[Officiel] Le blabla des Onchois et des Sardinonches

Après elle veut un club réservé aux femmes nées femmes je pense et ça ça existe plus trop je crois...

https://charliehebdo.fr/2[...]passes-les-bars-lesbiens/

"De là, nous remontons le Marais, jalonné de bars lesbiens fermés comme autant de monuments déchus. Nous voilà au Bar’Ouf, rue Saint-Martin. Pas mal d’hommes. Quelques gays. Et une présence trans significative. Qu’il n’est pas trop question de remarquer. Un problème pour moi : remarquer est littéralement mon boulot. Certaines lesbiennes de ma connaissance m’ont déjà murmuré leur révolte face à l’OPA des femmes trans sur les lieux lesbiens, mais l’atmosphère du Bar’Ouf reste cool. On me dit que la Mutinerie, à côté, est désormais bien moins lesbienne que gay, trans, queer et grand public. Autour de bières générations belges et de jägerbombs, Francie tente de m’expliquer la réalité économique et démographique de ces lieux."

El famoso opa encore des haineuse

alors j'aurais plus dit la politique d'architecture brutaliste inspirée de l'urss pour les logements sociaux perso

J'ai quasi jamais vu de classements de filles (juste un seul au lycée il me semble) perso plus des classements de garçons je trouvais ça scandaleux...

Franchement je sais même pas comment il faut faire

J'ai surtout l'impression que si t'es une lesbienne yeslife 8/10 ça se fait tout seul, tu vas avoir des copines naturellement en étudiant ou en travaillant (après l'inconvénient c'est que c'est souvent des meufs « hétéro » du coup c'est clairement une bombe à retardement) alors que si t'es banale physiquement et pas une oui-vie bah y a pas vraiment de moyen
« si t'es belle : partout, si t'es moche : euh »
Et non y a pas de bar ou boîte pour lesbiennes, les lesbiennes ne sont pas un marché économique intéressant, ça ne fonctionne pas, t'as 0 clientèle si tu lances ça, les bar/boîtes pour lesbiennes qui ouvrent doivent toutes fermer ou changer de concept, comme la mutinerie à Paris qui était originellement un bar pour lesbiennes et est devenu un bar militant, le G-GIRL à Toulouse qui a fermé illico presto alors que le G-BOY subsiste sans problème malgré la concurrence du limelight
Les lesbiennes sont très rares oui (d'ailleurs certains naïfs croient que les vraies lesbiennes n'existent pas vu que tout ce qu'ils ont rencontré comme meufs qui se disaient lesbiennes c'est les meufs bi instables émotionnellement qui se prétendent lesbiennes pendant deux ans avant de retourner branler des queues), discrètes oui aussi, il faut dire que quand un fœtus est surexposé à la testostérone pendant la vie utérine ça donne rarement un cerveau très social
En fait y a pas vraiment de monde lesbien y a surtout des lesbiennes dans leur coin qui font leur trucs, si elles sont belles (et sociables et impulsives) elles vont passer leur jeunesse à coucher avec leurs connaissances féminines qui veulent vérifier si elles sont bi

(je suis pas chez oim pour l'instant )

Précisé de la sorte je ne démens pas les propos

Ça va je trouve et l'art déco tu en think what ?

c'est un peu gay non ?

les deux je trouve, l'art nouveau ça a donné le goût du kitsch avant que l'architecture brutaliste l'universalise en le rationalisant

Quelques "cours particuliers" à donner avant les rattrapages de la fac

C'est un bisou amical

https://charliehebdo.fr/2[...]ture-dans-mouvement-lgbt/

"« La Part des Anges », un bar féministe et lesbien de Rennes vient de mettre la clé sous la porte. En cause : des menaces par des militants transactivistes qui accusent sa gérante de transphobie. Le collectif féministe Nous Toutes 35 ne soutient pas le bar et appelle à le boycotter."

" C’est un sujet qui décidément fracture le féminisme et la communauté LGBT. Un des seuls bars lesbiens de Rennes, la part des Anges, a été menacé par des activistes trans. En marge d’une manif contre la loi sur les retraites, le 14 avril dernier, quatre personnes se sont rendues dans ce bar, l’une d’entre elles a cassé un carreau, bousculé une des serveuses et tagué « fuck TERF » (pour « trans-exclusionary radical feminist », soit « féministe excluant les personnes transgenres ») sur la devanture, qualificatif utilisé par les transactivistes pour désigner les personnes qu’ils considèrent comme transphobes. « C’est une agression lesbophobe et misogyne », dénonce auprès de Charlie Orane Guéneau, la gérante du bar, qui a porté plainte. Elle a également reçu des menaces de mort par courriers ou dans des messages glissés sous sa porte : « Sauve un trans, suicide-toi », ou « Une balle, une terf ». Aujourd’hui, elle se dit effondrée, essorée financièrement et marquée par le licenciement de ses trois salariés.

Ce bar, elle l’a ouvert il y a neuf ans dans le centre-ville. C’était au départ un « bar féministe », explique la quinquagénaire, qui, en tant, que lesbienne, milite pour « le droit à l’indifférence ». En atteste, explique-t-elle, cette inscription sur la devanture de l’établissement : « Bar TTC queer », « TTC » pour « toute tendance confondues ». « Le bar a toujours été inclusif, assure-t-elle, nous n’avons jamais refusé les personnes trans. » Ces trois dernières années pourtant, les accusations de « transphobie » visant le bar et sa gérante se sont multipliées sur les réseaux sociaux. Des militants transactivistes lui reprochent de « mégenrer » des clients trans, c’est-à-dire de genrer au féminin une personne qui demanderait d’être désignée au masculin et inversement. Des accusations qui se sont peu à peu renforcées, jusqu’à ce qu’on lui reproche des agressions, ce que la gérante dément, pointant une campagne de dénigrement et de diffamation par plusieurs associations LGBT de Rennes, la « capitale du wokisme »,selon ses propres termes."

Même en études sup elles le font encore leur classement des garçons les plus mignons

Toast

Mal aux zieux

La dernière fois que t'as montré une photo Popa a dit que tu faisais mannequin