Ce sujet a été résolu
WSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
il y a un an
Pas autant que la tienne de voyageur
C’est le voyage interne qui compte, je suis très sérieux
Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu
il y a un an
WSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
il y a un an
Trop bien le dessin
Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu
il y a un an
Trop bien le dessin
il y a un an
Elle a l'air deprimax de bz la popax
il y a un an
C'est plus un regard oops t'aurai pas du voir ça et après elle te tue te cuisine et te mange
WSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
il y a un an
WSHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
il y a un an
Elle a l'air deprimax de bz la popax
Ah c’est elle qui a dessiné
Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu
il y a un an
"Par exemple, Scharff et al. (39) ont observé qu’avant le THAG, les « femmes transgenres » avaient une force de préhension moyenne de 41,8 kg, et qu’après 12 mois de THAG, leur force de préhension avait diminué pour atteindre une moyenne de 40,0 kg (il est important de noter que cette force de préhension réduite se situait toujours dans le 95e percentile pour des femmes comparables). Wiik et al. (55) ont observé que 12 mois de THAG avaient réduit le volume des muscles de la cuisse d’environ 5 %, mais que la force d’extension et de flexion du genou n’avait pas été réduite. Roberts et al. (36) ont observé qu’avant la transition, les « femmes transgenres » membres de l’US Air Force effectuaient un test d’aptitude à la course sur 2,4 km 21 % plus rapidement que les femmes d’âge comparable et qu’après 2,5 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours le test d’aptitude à la course sur 2,4 km 12 % plus rapidement que les femmes. Alvares et al. (1) ont rapporté qu’après 14 ans de THAG, les « femmes transgenres » possèdent toujours un VO2peak [capacité aérobie] supérieur de 14% à celui des femmes comparables.
Chiccarelli (11) a observé qu’après 4 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours 17,7 % de pompes et 8,3 % de redressements assis de plus en une minute que les femmes comparables. Une étude de cas portant sur un nageur de la division 1 de la NCAA, qui avait concouru dans la catégorie hommes, puis subi deux années de THAG (conformément aux directives de la NCAA à l’époque) et avait ensuite concouru dans la catégorie femmes « suggère que la nageuse transgenre a réalisé des performances supérieures à celles des nageuses femelles de même rang » (41). Dans l’ensemble, les recherches existantes indiquent que si le THAG affecte la biologie, les changements qu’il induit sont minimes par rapport aux différences biologiques initiales typiques entre les hommes et les femmes, ce qui signifie que les attributs biologiques et les différences de performance perdurent même après des années de THAG.
Hilton et Lundberg (23), Harper et al. (20), et Heather (21) ont publié des articles de synthèse, et World Rugby (la fédération internationale de Rugby), le Conseil des sports du Royaume-Uni et la FINA (fédération mondiale des sports aquatiques) ont également publié des analyses scientifiques des études existantes sur les effets de la suppression de la testostérone sur la force musculaire, la composition corporelle et d’autres facteurs susceptibles d’influencer les performances athlétiques. Bien que la suppression de la testostérone chez les « femmes transgenres » réduise la concentration d’hémoglobine circulante et l’amène aux niveaux de référence des femmes, toutes ces études concluent que même après trois ans de suppression de la testostérone, les « femmes transgenres » conservent des avantages athlètiques masculins"
Chiccarelli (11) a observé qu’après 4 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours 17,7 % de pompes et 8,3 % de redressements assis de plus en une minute que les femmes comparables. Une étude de cas portant sur un nageur de la division 1 de la NCAA, qui avait concouru dans la catégorie hommes, puis subi deux années de THAG (conformément aux directives de la NCAA à l’époque) et avait ensuite concouru dans la catégorie femmes « suggère que la nageuse transgenre a réalisé des performances supérieures à celles des nageuses femelles de même rang » (41). Dans l’ensemble, les recherches existantes indiquent que si le THAG affecte la biologie, les changements qu’il induit sont minimes par rapport aux différences biologiques initiales typiques entre les hommes et les femmes, ce qui signifie que les attributs biologiques et les différences de performance perdurent même après des années de THAG.
Hilton et Lundberg (23), Harper et al. (20), et Heather (21) ont publié des articles de synthèse, et World Rugby (la fédération internationale de Rugby), le Conseil des sports du Royaume-Uni et la FINA (fédération mondiale des sports aquatiques) ont également publié des analyses scientifiques des études existantes sur les effets de la suppression de la testostérone sur la force musculaire, la composition corporelle et d’autres facteurs susceptibles d’influencer les performances athlétiques. Bien que la suppression de la testostérone chez les « femmes transgenres » réduise la concentration d’hémoglobine circulante et l’amène aux niveaux de référence des femmes, toutes ces études concluent que même après trois ans de suppression de la testostérone, les « femmes transgenres » conservent des avantages athlètiques masculins"
Je suis le donut du forum
il y a un an
Certains effets des hormones sont permanents ou ne régressent que partiellement à l'arrêt et les différences entre les sexes ne se limitent pas qu'aux différences endocriniennes y'a aussi des différences génétiques, en matière de biologie cellulaire qui sont indépendantes des hormones (après bien sûr ce ne sont pas des différences qui sautent forcément aux yeux mais elles existent).
C'est pas un hasard si pas mal de sportives de haut niveau ont des problèmes d'ambiguïté sexuelle parce que le sexe biologique est un facteur important en matière de performance sportive.
C'est pas un hasard si pas mal de sportives de haut niveau ont des problèmes d'ambiguïté sexuelle parce que le sexe biologique est un facteur important en matière de performance sportive.
Tu n'en sais rien du tout arrête de faire ton Putain de spécialistes alors que tu es juste un gros menteur de merde qui se base sur une écrivaine eco + pour te faire ton avis
il y a un an
Litaire
1 an
"Par exemple, Scharff et al. (39) ont observé qu’avant le THAG, les « femmes transgenres » avaient une force de préhension moyenne de 41,8 kg, et qu’après 12 mois de THAG, leur force de préhension avait diminué pour atteindre une moyenne de 40,0 kg (il est important de noter que cette force de préhension réduite se situait toujours dans le 95e percentile pour des femmes comparables). Wiik et al. (55) ont observé que 12 mois de THAG avaient réduit le volume des muscles de la cuisse d’environ 5 %, mais que la force d’extension et de flexion du genou n’avait pas été réduite. Roberts et al. (36) ont observé qu’avant la transition, les « femmes transgenres » membres de l’US Air Force effectuaient un test d’aptitude à la course sur 2,4 km 21 % plus rapidement que les femmes d’âge comparable et qu’après 2,5 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours le test d’aptitude à la course sur 2,4 km 12 % plus rapidement que les femmes. Alvares et al. (1) ont rapporté qu’après 14 ans de THAG, les « femmes transgenres » possèdent toujours un VO2peak [capacité aérobie] supérieur de 14% à celui des femmes comparables.
Chiccarelli (11) a observé qu’après 4 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours 17,7 % de pompes et 8,3 % de redressements assis de plus en une minute que les femmes comparables. Une étude de cas portant sur un nageur de la division 1 de la NCAA, qui avait concouru dans la catégorie hommes, puis subi deux années de THAG (conformément aux directives de la NCAA à l’époque) et avait ensuite concouru dans la catégorie femmes « suggère que la nageuse transgenre a réalisé des performances supérieures à celles des nageuses femelles de même rang » (41). Dans l’ensemble, les recherches existantes indiquent que si le THAG affecte la biologie, les changements qu’il induit sont minimes par rapport aux différences biologiques initiales typiques entre les hommes et les femmes, ce qui signifie que les attributs biologiques et les différences de performance perdurent même après des années de THAG.
Hilton et Lundberg (23), Harper et al. (20), et Heather (21) ont publié des articles de synthèse, et World Rugby (la fédération internationale de Rugby), le Conseil des sports du Royaume-Uni et la FINA (fédération mondiale des sports aquatiques) ont également publié des analyses scientifiques des études existantes sur les effets de la suppression de la testostérone sur la force musculaire, la composition corporelle et d’autres facteurs susceptibles d’influencer les performances athlétiques. Bien que la suppression de la testostérone chez les « femmes transgenres » réduise la concentration d’hémoglobine circulante et l’amène aux niveaux de référence des femmes, toutes ces études concluent que même après trois ans de suppression de la testostérone, les « femmes transgenres » conservent des avantages athlètiques masculins"
Chiccarelli (11) a observé qu’après 4 ans de THAG, les « femmes transgenres » effectuaient toujours 17,7 % de pompes et 8,3 % de redressements assis de plus en une minute que les femmes comparables. Une étude de cas portant sur un nageur de la division 1 de la NCAA, qui avait concouru dans la catégorie hommes, puis subi deux années de THAG (conformément aux directives de la NCAA à l’époque) et avait ensuite concouru dans la catégorie femmes « suggère que la nageuse transgenre a réalisé des performances supérieures à celles des nageuses femelles de même rang » (41). Dans l’ensemble, les recherches existantes indiquent que si le THAG affecte la biologie, les changements qu’il induit sont minimes par rapport aux différences biologiques initiales typiques entre les hommes et les femmes, ce qui signifie que les attributs biologiques et les différences de performance perdurent même après des années de THAG.
Hilton et Lundberg (23), Harper et al. (20), et Heather (21) ont publié des articles de synthèse, et World Rugby (la fédération internationale de Rugby), le Conseil des sports du Royaume-Uni et la FINA (fédération mondiale des sports aquatiques) ont également publié des analyses scientifiques des études existantes sur les effets de la suppression de la testostérone sur la force musculaire, la composition corporelle et d’autres facteurs susceptibles d’influencer les performances athlétiques. Bien que la suppression de la testostérone chez les « femmes transgenres » réduise la concentration d’hémoglobine circulante et l’amène aux niveaux de référence des femmes, toutes ces études concluent que même après trois ans de suppression de la testostérone, les « femmes transgenres » conservent des avantages athlètiques masculins"
T'es un putain d'enculé
il y a un an
Parce qu'il me mettait mal à l'aise et qu'il avait pas vraiment envie de me pêcho non plus mais rien a voir avec le sujet...
Ah bon c'est il mais pourtant il avait une chatte et était xx
il y a un an
T'es un putain d'enculé
C'est pas moi qui ait inventé les études va prendre un Xanax ou respirer un bon goût c'est grave d'être insultant comme ça pour une divergence d'opinion
Je suis le donut du forum
il y a un an