Ce sujet a été résolu
PlombirAuPlomb
2 ans
pas mal l'histoire de l'expédition j'aime bien ça
Le gouverneur était grandement sous pression. Le roi le haïssait et voulait le voir tomber, mais il s’obstinait à rester en place.
Le royaume de Novigrad, étais ravager par la guerre civile depuis 1079, les différents peuples composant le royaume, s’étais tous soulever contre l’autorité de la dynastie Erickson, et c’était tous mit a prendre leurs indépendance. Les premier a s’être révolter avait été les picts, s’en suivi plusieurs centaine de massacre entre les novigardiens et les tribus du nord.
Les vampires de l’ancien royaume de Tule, soupçonner de profiter de la guerre pour boire le sang des morts et de collaborer avec le roi de Novigrad, firent face a de très nombreux pogrom, ce qui les fit fuir dans les royaume du sud.
Face à tous ces évènements, les valaks se révoltèrent eu aussi, malgré la fidélité apparente de leurs gouverneurs de province qui comptais garder les privilèges issus de sa fonction. Le roi, malgré sa fidélité, le reprochais d’être faible et de ne pas faire assez pour vaincre les rebelles. Il était au bord du gouffre.
Des bruits de couloir disait, également, qu’une armée étrangère venait de débarquer sur la côte nord et combattais au coté des insurger. Il se disait, aussi, qu’il avançait vite vers le sud. Le gouverneur avait depuis longtemps fuit le nord et son ancienne capital, Tyre, du fait du risque élever d’assassina dans cette région. Il vivait désormais dans la cité portuaire de Solitude, relativement protéger par des gardes novigardiens.
Au début de l’été, il vu cette armée, aux portes de sa cité, il vu également des navires pratiquer un blocus sur le port. Le siège dura un mois. Les canons détruisaient les murs avec une très grande efficacité, les assiéger ne put résister très longtemps.
Le gouverneur, tenta de fuir, mais ce fit capturer. On le présenta à un homme et un femme, visiblement les généraux de cette troupe. La femme, une femme très belle, d’une trentaine d’années et au cheveux blond comme de l’or, lui dit d’un ton sévère.
- Il y a bien longtemps que vous m’avez volé, gouverneur. Mais aujourd’hui, je reprends mon dut.
- Qui êtes-vous? Dit le prisonnier.
- Mélina Ivanovitch, l’une de c’est trop nombreuses princesses vous avez cru bon de découronner de leurs titres.
Mélina, condamna l’homme a une exécution, il fut donc pendu sous les rire de la foule enfin libéré de ce suppo de Novigrad.

Mélina, fit ensuite couronner son plus jeune fils Léon, il devint Léon 1er de Valakie. Ce choix avait été exiger par son mari Alexandre.
- Tu pourra diriger entend que régente, le temps qu’il grandisse.
Elle ne comprenait pas le ‘’tu’’ de sa phrase, comme s’il ne s’y incluait pas, comme s’ils n’étaient pas un couple.
- Que veut tu dire par là, nous dirigerons ensemble, jusqu’à sa majorité.
- Je regrette mon ange, ça ne sera pas possible.
- Que y a-t-il, Alexandre, dit moi, je t’en supplie. Arrête de créer des mystères.
- Je dois partir, je dois regagner ma terre. Ont ne peut s’y rendre tous les deux.
- Qu… quoi? Tu me laisse seule ici?
Les larmes commençaient à naitre sur ces yeux, la tristesse se laissais paraitre dans sa voie, Alexandre, aussi, avait l’œil triste.
- Quand je t’ai dit que la Valakie pourrait me soutenir, je parlais de te mettre au pouvoir, afin que tu puisses t’assurer de cette tâche primordiale.
- Tu, m’avait promis de ne plus me quitter, l’a tu oublié? Dit-elle, c’est mouiller de larme.
- Mélina, nous n’avons pas le choix, ce royaume est trop instable pour le laissais ainsi. Il a besoin de dirigeant, et seul toi, peut s’acquitter de cette tâche. Tu es une princesse et je suis le fils d’un baron, le commandement divin nous a ordonner de prioriser les petites gens à nos propre personne.
Mélina ce tenais la, dans un coin de la pièce, sanglotant de ce que venais de dire son mari, elle devait, maintenant, ce couper de l’homme quel aimais. Elle était brisée, il le savait et s’en voulait mais il ne pourra jamais revenir en arrière. Le départ était imminent, il emmenait ces fils les plus vieux, Marc 13 ans et Nicolas 8 ans, et il laissait sa femme, seule avec c’est filles. Il en était bouleversé lui aussi, mais sa décence d’homme, lui interdisait de verser la moindre larme. La seule chose qu’il sut faire, c’est la prendre dans ces bras, de lui couvrir le coup de baiser, comme quand ils étaient jeunes, et de lui dire cela.
- Je reviendrais, je te promets sur ma place au paradis, je reviendrais pour toi.
- Vraiment? Dit-elle de sa petite voie.
- Vraiment.
Ils passèrent encore une nuit ensemble, puit, il parti avec une troupe d’une centaine d’homme. Il regardait, souvent en arrière, se demandent, s’il serait capable de tenir sa promesse un jour.
Le royaume de Novigrad, étais ravager par la guerre civile depuis 1079, les différents peuples composant le royaume, s’étais tous soulever contre l’autorité de la dynastie Erickson, et c’était tous mit a prendre leurs indépendance. Les premier a s’être révolter avait été les picts, s’en suivi plusieurs centaine de massacre entre les novigardiens et les tribus du nord.
Les vampires de l’ancien royaume de Tule, soupçonner de profiter de la guerre pour boire le sang des morts et de collaborer avec le roi de Novigrad, firent face a de très nombreux pogrom, ce qui les fit fuir dans les royaume du sud.
Face à tous ces évènements, les valaks se révoltèrent eu aussi, malgré la fidélité apparente de leurs gouverneurs de province qui comptais garder les privilèges issus de sa fonction. Le roi, malgré sa fidélité, le reprochais d’être faible et de ne pas faire assez pour vaincre les rebelles. Il était au bord du gouffre.
Des bruits de couloir disait, également, qu’une armée étrangère venait de débarquer sur la côte nord et combattais au coté des insurger. Il se disait, aussi, qu’il avançait vite vers le sud. Le gouverneur avait depuis longtemps fuit le nord et son ancienne capital, Tyre, du fait du risque élever d’assassina dans cette région. Il vivait désormais dans la cité portuaire de Solitude, relativement protéger par des gardes novigardiens.
Au début de l’été, il vu cette armée, aux portes de sa cité, il vu également des navires pratiquer un blocus sur le port. Le siège dura un mois. Les canons détruisaient les murs avec une très grande efficacité, les assiéger ne put résister très longtemps.
Le gouverneur, tenta de fuir, mais ce fit capturer. On le présenta à un homme et un femme, visiblement les généraux de cette troupe. La femme, une femme très belle, d’une trentaine d’années et au cheveux blond comme de l’or, lui dit d’un ton sévère.
- Il y a bien longtemps que vous m’avez volé, gouverneur. Mais aujourd’hui, je reprends mon dut.
- Qui êtes-vous? Dit le prisonnier.
- Mélina Ivanovitch, l’une de c’est trop nombreuses princesses vous avez cru bon de découronner de leurs titres.
Mélina, condamna l’homme a une exécution, il fut donc pendu sous les rire de la foule enfin libéré de ce suppo de Novigrad.
Mélina, fit ensuite couronner son plus jeune fils Léon, il devint Léon 1er de Valakie. Ce choix avait été exiger par son mari Alexandre.
- Tu pourra diriger entend que régente, le temps qu’il grandisse.
Elle ne comprenait pas le ‘’tu’’ de sa phrase, comme s’il ne s’y incluait pas, comme s’ils n’étaient pas un couple.
- Que veut tu dire par là, nous dirigerons ensemble, jusqu’à sa majorité.
- Je regrette mon ange, ça ne sera pas possible.
- Que y a-t-il, Alexandre, dit moi, je t’en supplie. Arrête de créer des mystères.
- Je dois partir, je dois regagner ma terre. Ont ne peut s’y rendre tous les deux.
- Qu… quoi? Tu me laisse seule ici?
Les larmes commençaient à naitre sur ces yeux, la tristesse se laissais paraitre dans sa voie, Alexandre, aussi, avait l’œil triste.
- Quand je t’ai dit que la Valakie pourrait me soutenir, je parlais de te mettre au pouvoir, afin que tu puisses t’assurer de cette tâche primordiale.
- Tu, m’avait promis de ne plus me quitter, l’a tu oublié? Dit-elle, c’est mouiller de larme.
- Mélina, nous n’avons pas le choix, ce royaume est trop instable pour le laissais ainsi. Il a besoin de dirigeant, et seul toi, peut s’acquitter de cette tâche. Tu es une princesse et je suis le fils d’un baron, le commandement divin nous a ordonner de prioriser les petites gens à nos propre personne.
Mélina ce tenais la, dans un coin de la pièce, sanglotant de ce que venais de dire son mari, elle devait, maintenant, ce couper de l’homme quel aimais. Elle était brisée, il le savait et s’en voulait mais il ne pourra jamais revenir en arrière. Le départ était imminent, il emmenait ces fils les plus vieux, Marc 13 ans et Nicolas 8 ans, et il laissait sa femme, seule avec c’est filles. Il en était bouleversé lui aussi, mais sa décence d’homme, lui interdisait de verser la moindre larme. La seule chose qu’il sut faire, c’est la prendre dans ces bras, de lui couvrir le coup de baiser, comme quand ils étaient jeunes, et de lui dire cela.
- Je reviendrais, je te promets sur ma place au paradis, je reviendrais pour toi.
- Vraiment? Dit-elle de sa petite voie.
- Vraiment.
Ils passèrent encore une nuit ensemble, puit, il parti avec une troupe d’une centaine d’homme. Il regardait, souvent en arrière, se demandent, s’il serait capable de tenir sa promesse un jour.
il y a 2 ans
Je voudrais remercié @CleaMolette de sa visite sur ce topic qui compte beaucoup pour moi.
Merci clea
Merci clea
il y a 2 ans
Ange_Gabriel
2 ans
Je voudrais remercié @CleaMolette de sa visite sur ce topic qui compte beaucoup pour moi.
Merci clea
Merci clea
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a 2 ans
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
Prend ton temps
Crois moi, j'en ai pas fini
Crois moi, j'en ai pas fini
il y a 2 ans
Anthony_Agard
2 ans
Up.
Cela faisait plus de 26 ans que le règne du roi Pierre 1er était en vigueur. Il avait régné sans partage sur ce royaume meurtri par la guerre. Il avait su garder sa couronne et son territoire, par la terreur. Il avait refait la guerre à Verden deux fois, sans gains particulier. C’est conflit était aussi meurtrier qu’inutile. Le royaume, pendent ce temps, avait atteint plus d’un million d’habitant, le clergé poussant les familles à avoir un grand nombre d’enfant. Par conséquent, le royaume était beaucoup plus sensible aux famines. La famine de 1082 avait, d’ailleurs, mener les paysans à la révolte mais ils furent arrêtés, dans leurs élans, par les capes noires. Ses chevaliers fanatiser était le seul rempart a l’effondrement du royaume.
En 1086, les chevaliers de la confrérie, était tous issu d’une génération de noble qui n’ont connu que la guerre. Ils avaient tous grandi à travers les mouvements de troupe, entre coupé de pillage et de massacre tous plus atroces les uns après les autres. S’est jeunes hommes ne connaissaient rien d’autres.
Le royaume, à force de faire la guerre, c’était considérablement affaiblie. C’était, désormais, la couronne était la plus pauvre de tout le continent, cette situation était du pain bénit pour tous c’est ennemis. Les attaque et les escarmouche de tous horizons se multipliais en permanence, tantôt une attaque par Novigrad, tantôt un raid par l’armée de Bi, puis une embuscade par des mercenaires de Verden. Les campagnes était si dangereuse, que les paysans n’avaient guère de choix, que de rester cantonner à leurs villages, villages qui était parfois fortifier avec des troncs d’arbres.
Tous sentaient, que le royaume était sur le point de disparaitre à jamais. Seule la tyrannie, permettais sa survie.

En 1086, les chevaliers de la confrérie, était tous issu d’une génération de noble qui n’ont connu que la guerre. Ils avaient tous grandi à travers les mouvements de troupe, entre coupé de pillage et de massacre tous plus atroces les uns après les autres. S’est jeunes hommes ne connaissaient rien d’autres.
Le royaume, à force de faire la guerre, c’était considérablement affaiblie. C’était, désormais, la couronne était la plus pauvre de tout le continent, cette situation était du pain bénit pour tous c’est ennemis. Les attaque et les escarmouche de tous horizons se multipliais en permanence, tantôt une attaque par Novigrad, tantôt un raid par l’armée de Bi, puis une embuscade par des mercenaires de Verden. Les campagnes était si dangereuse, que les paysans n’avaient guère de choix, que de rester cantonner à leurs villages, villages qui était parfois fortifier avec des troncs d’arbres.
Tous sentaient, que le royaume était sur le point de disparaitre à jamais. Seule la tyrannie, permettais sa survie.
il y a 2 ans
Cela faisait plus de 26 ans que le règne du roi Pierre 1er était en vigueur. Il avait régné sans partage sur ce royaume meurtri par la guerre. Il avait su garder sa couronne et son territoire, par la terreur. Il avait refait la guerre à Verden deux fois, sans gains particulier. C’est conflit était aussi meurtrier qu’inutile. Le royaume, pendent ce temps, avait atteint plus d’un million d’habitant, le clergé poussant les familles à avoir un grand nombre d’enfant. Par conséquent, le royaume était beaucoup plus sensible aux famines. La famine de 1082 avait, d’ailleurs, mener les paysans à la révolte mais ils furent arrêtés, dans leurs élans, par les capes noires. Ses chevaliers fanatiser était le seul rempart a l’effondrement du royaume.
En 1086, les chevaliers de la confrérie, était tous issu d’une génération de noble qui n’ont connu que la guerre. Ils avaient tous grandi à travers les mouvements de troupe, entre coupé de pillage et de massacre tous plus atroces les uns après les autres. S’est jeunes hommes ne connaissaient rien d’autres.
Le royaume, à force de faire la guerre, c’était considérablement affaiblie. C’était, désormais, la couronne était la plus pauvre de tout le continent, cette situation était du pain bénit pour tous c’est ennemis. Les attaque et les escarmouche de tous horizons se multipliais en permanence, tantôt une attaque par Novigrad, tantôt un raid par l’armée de Bi, puis une embuscade par des mercenaires de Verden. Les campagnes était si dangereuse, que les paysans n’avaient guère de choix, que de rester cantonner à leurs villages, villages qui était parfois fortifier avec des troncs d’arbres.
Tous sentaient, que le royaume était sur le point de disparaitre à jamais. Seule la tyrannie, permettais sa survie.

En 1086, les chevaliers de la confrérie, était tous issu d’une génération de noble qui n’ont connu que la guerre. Ils avaient tous grandi à travers les mouvements de troupe, entre coupé de pillage et de massacre tous plus atroces les uns après les autres. S’est jeunes hommes ne connaissaient rien d’autres.
Le royaume, à force de faire la guerre, c’était considérablement affaiblie. C’était, désormais, la couronne était la plus pauvre de tout le continent, cette situation était du pain bénit pour tous c’est ennemis. Les attaque et les escarmouche de tous horizons se multipliais en permanence, tantôt une attaque par Novigrad, tantôt un raid par l’armée de Bi, puis une embuscade par des mercenaires de Verden. Les campagnes était si dangereuse, que les paysans n’avaient guère de choix, que de rester cantonner à leurs villages, villages qui était parfois fortifier avec des troncs d’arbres.
Tous sentaient, que le royaume était sur le point de disparaitre à jamais. Seule la tyrannie, permettais sa survie.
Acte 7
Le retour d’exile
Le voyage fut rude, la troupe dut traverser des montagnes enneigé, forets incertains et rivières puissantes. Ils durent, parfois, affronter les tribus païennes des Alpes ou des fonctionnaires Bi, poster à la frontière.
Alexandre, dut faire preuve d’une solide logistique, pour pouvoir transporter c’est canons ainsi que toute les affaires de la troupe. Pendant ce voyage, le caractère de ces fils se raffermir et se définissais a vu d’œil. Il les avait pourtant élevés avec un amour et un intérêt qui était, en tout point, égales, mais cela n’avait pas empêchés leurs différences de se creuser. Marc, son ainé, étais un combattant, il s’était, rudement débattu, lorsque qu’on lui apprit qu’on allait le priver de sa mère pour plusieurs années. Les hommes de son père ainsi que les domestiques, avaient eu le droit a des coups et des cris de la part du garçon. Il semblait, en permanente lutte, contre le destin. Marc, bravais la marche contre le froid et les courants des rivières avec une très grande abnégation, ce qui impressionnais beaucoup les hommes ainsi que son père. A chaque embuscades païennes, il fallait le maintenir fermement, pour pas qu’il se jette les yeux fermé dans la bataille, avec sa dague de poche.
Nicolas, étais l’inverse d’un soldat. C’étais un jeune garçon très cultiver pour son âge, à trois ans, il savait lire et écrire. C’était l’un de c’est enfant précoce que l’on destinait, généralement, a de bonnes études et a un confortable poste d’administrateur, quoi que cela avait l’aire de ne pas passionner le garçon. Il avait été, initier a la poésie par sa mère, dès ces cinq ans, cela ne l’avait jamais quitter. Il était fasciné par la complexe poésie valak et par l’art de la civilisation antique, dont il maîtrisait parfaitement la langue. Il avait pleuré tout le long du départ, il pleurait comme aucun enfants n’était capables. L’idée de ne jamais revoir sa mère, ne cessais de lui tourmenter l’esprit. Son père, ne put rien faire a cela, a part garder le silence et forcer son fils à marcher comme lui. En réalité, il était comme lui, Mélina était tout pour lui, loin devant la fraternité militaire, l’amour paternel et l’érotisme habituel. Parfois, en fermant les paupières, il pouvait la percevoir, dans toute sa beauté et son amour, cela lui faisait si mal, qu’il en versait des larmes, larmes qu’il essuyait aussitôt, pour ne pas montrer sa faiblesse aux soldats, dont il était le chef. Nicolas en était incapable, et il était la victime des plus cruel de la troupe, dont son propre frère. Ce dernier se mit à le surnommer ‘’ Nicolas le pleurnichard’’ et en riait avec toute sa cruauté. Alexandre n’en fit rien, il fallait que Nicolas se renforce.
Ils finirent, par arriver dans la région de la grande plaine de l'Est, là ou Alexandre avait vécu ces premières années en ce bas monde.

Le retour d’exile
Le voyage fut rude, la troupe dut traverser des montagnes enneigé, forets incertains et rivières puissantes. Ils durent, parfois, affronter les tribus païennes des Alpes ou des fonctionnaires Bi, poster à la frontière.
Alexandre, dut faire preuve d’une solide logistique, pour pouvoir transporter c’est canons ainsi que toute les affaires de la troupe. Pendant ce voyage, le caractère de ces fils se raffermir et se définissais a vu d’œil. Il les avait pourtant élevés avec un amour et un intérêt qui était, en tout point, égales, mais cela n’avait pas empêchés leurs différences de se creuser. Marc, son ainé, étais un combattant, il s’était, rudement débattu, lorsque qu’on lui apprit qu’on allait le priver de sa mère pour plusieurs années. Les hommes de son père ainsi que les domestiques, avaient eu le droit a des coups et des cris de la part du garçon. Il semblait, en permanente lutte, contre le destin. Marc, bravais la marche contre le froid et les courants des rivières avec une très grande abnégation, ce qui impressionnais beaucoup les hommes ainsi que son père. A chaque embuscades païennes, il fallait le maintenir fermement, pour pas qu’il se jette les yeux fermé dans la bataille, avec sa dague de poche.
Nicolas, étais l’inverse d’un soldat. C’étais un jeune garçon très cultiver pour son âge, à trois ans, il savait lire et écrire. C’était l’un de c’est enfant précoce que l’on destinait, généralement, a de bonnes études et a un confortable poste d’administrateur, quoi que cela avait l’aire de ne pas passionner le garçon. Il avait été, initier a la poésie par sa mère, dès ces cinq ans, cela ne l’avait jamais quitter. Il était fasciné par la complexe poésie valak et par l’art de la civilisation antique, dont il maîtrisait parfaitement la langue. Il avait pleuré tout le long du départ, il pleurait comme aucun enfants n’était capables. L’idée de ne jamais revoir sa mère, ne cessais de lui tourmenter l’esprit. Son père, ne put rien faire a cela, a part garder le silence et forcer son fils à marcher comme lui. En réalité, il était comme lui, Mélina était tout pour lui, loin devant la fraternité militaire, l’amour paternel et l’érotisme habituel. Parfois, en fermant les paupières, il pouvait la percevoir, dans toute sa beauté et son amour, cela lui faisait si mal, qu’il en versait des larmes, larmes qu’il essuyait aussitôt, pour ne pas montrer sa faiblesse aux soldats, dont il était le chef. Nicolas en était incapable, et il était la victime des plus cruel de la troupe, dont son propre frère. Ce dernier se mit à le surnommer ‘’ Nicolas le pleurnichard’’ et en riait avec toute sa cruauté. Alexandre n’en fit rien, il fallait que Nicolas se renforce.
Ils finirent, par arriver dans la région de la grande plaine de l'Est, là ou Alexandre avait vécu ces premières années en ce bas monde.
il y a 2 ans
Acte 7
Le retour d’exile
Le voyage fut rude, la troupe dut traverser des montagnes enneigé, forets incertains et rivières puissantes. Ils durent, parfois, affronter les tribus païennes des Alpes ou des fonctionnaires Bi, poster à la frontière.
Alexandre, dut faire preuve d’une solide logistique, pour pouvoir transporter c’est canons ainsi que toute les affaires de la troupe. Pendant ce voyage, le caractère de ces fils se raffermir et se définissais a vu d’œil. Il les avait pourtant élevés avec un amour et un intérêt qui était, en tout point, égales, mais cela n’avait pas empêchés leurs différences de se creuser. Marc, son ainé, étais un combattant, il s’était, rudement débattu, lorsque qu’on lui apprit qu’on allait le priver de sa mère pour plusieurs années. Les hommes de son père ainsi que les domestiques, avaient eu le droit a des coups et des cris de la part du garçon. Il semblait, en permanente lutte, contre le destin. Marc, bravais la marche contre le froid et les courants des rivières avec une très grande abnégation, ce qui impressionnais beaucoup les hommes ainsi que son père. A chaque embuscades païennes, il fallait le maintenir fermement, pour pas qu’il se jette les yeux fermé dans la bataille, avec sa dague de poche.
Nicolas, étais l’inverse d’un soldat. C’étais un jeune garçon très cultiver pour son âge, à trois ans, il savait lire et écrire. C’était l’un de c’est enfant précoce que l’on destinait, généralement, a de bonnes études et a un confortable poste d’administrateur, quoi que cela avait l’aire de ne pas passionner le garçon. Il avait été, initier a la poésie par sa mère, dès ces cinq ans, cela ne l’avait jamais quitter. Il était fasciné par la complexe poésie valak et par l’art de la civilisation antique, dont il maîtrisait parfaitement la langue. Il avait pleuré tout le long du départ, il pleurait comme aucun enfants n’était capables. L’idée de ne jamais revoir sa mère, ne cessais de lui tourmenter l’esprit. Son père, ne put rien faire a cela, a part garder le silence et forcer son fils à marcher comme lui. En réalité, il était comme lui, Mélina était tout pour lui, loin devant la fraternité militaire, l’amour paternel et l’érotisme habituel. Parfois, en fermant les paupières, il pouvait la percevoir, dans toute sa beauté et son amour, cela lui faisait si mal, qu’il en versait des larmes, larmes qu’il essuyait aussitôt, pour ne pas montrer sa faiblesse aux soldats, dont il était le chef. Nicolas en était incapable, et il était la victime des plus cruel de la troupe, dont son propre frère. Ce dernier se mit à le surnommer ‘’ Nicolas le pleurnichard’’ et en riait avec toute sa cruauté. Alexandre n’en fit rien, il fallait que Nicolas se renforce.
Ils finirent, par arriver dans la région de la grande plaine de l'Est, là ou Alexandre avait vécu ces premières années en ce bas monde.

Le retour d’exile
Le voyage fut rude, la troupe dut traverser des montagnes enneigé, forets incertains et rivières puissantes. Ils durent, parfois, affronter les tribus païennes des Alpes ou des fonctionnaires Bi, poster à la frontière.
Alexandre, dut faire preuve d’une solide logistique, pour pouvoir transporter c’est canons ainsi que toute les affaires de la troupe. Pendant ce voyage, le caractère de ces fils se raffermir et se définissais a vu d’œil. Il les avait pourtant élevés avec un amour et un intérêt qui était, en tout point, égales, mais cela n’avait pas empêchés leurs différences de se creuser. Marc, son ainé, étais un combattant, il s’était, rudement débattu, lorsque qu’on lui apprit qu’on allait le priver de sa mère pour plusieurs années. Les hommes de son père ainsi que les domestiques, avaient eu le droit a des coups et des cris de la part du garçon. Il semblait, en permanente lutte, contre le destin. Marc, bravais la marche contre le froid et les courants des rivières avec une très grande abnégation, ce qui impressionnais beaucoup les hommes ainsi que son père. A chaque embuscades païennes, il fallait le maintenir fermement, pour pas qu’il se jette les yeux fermé dans la bataille, avec sa dague de poche.
Nicolas, étais l’inverse d’un soldat. C’étais un jeune garçon très cultiver pour son âge, à trois ans, il savait lire et écrire. C’était l’un de c’est enfant précoce que l’on destinait, généralement, a de bonnes études et a un confortable poste d’administrateur, quoi que cela avait l’aire de ne pas passionner le garçon. Il avait été, initier a la poésie par sa mère, dès ces cinq ans, cela ne l’avait jamais quitter. Il était fasciné par la complexe poésie valak et par l’art de la civilisation antique, dont il maîtrisait parfaitement la langue. Il avait pleuré tout le long du départ, il pleurait comme aucun enfants n’était capables. L’idée de ne jamais revoir sa mère, ne cessais de lui tourmenter l’esprit. Son père, ne put rien faire a cela, a part garder le silence et forcer son fils à marcher comme lui. En réalité, il était comme lui, Mélina était tout pour lui, loin devant la fraternité militaire, l’amour paternel et l’érotisme habituel. Parfois, en fermant les paupières, il pouvait la percevoir, dans toute sa beauté et son amour, cela lui faisait si mal, qu’il en versait des larmes, larmes qu’il essuyait aussitôt, pour ne pas montrer sa faiblesse aux soldats, dont il était le chef. Nicolas en était incapable, et il était la victime des plus cruel de la troupe, dont son propre frère. Ce dernier se mit à le surnommer ‘’ Nicolas le pleurnichard’’ et en riait avec toute sa cruauté. Alexandre n’en fit rien, il fallait que Nicolas se renforce.
Ils finirent, par arriver dans la région de la grande plaine de l'Est, là ou Alexandre avait vécu ces premières années en ce bas monde.
Je vais écrire la suite demain
Promis
Promis
il y a 2 ans
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
La troupe, débarqua dans le bourg de Nadine, pendant l’automne 1086. Partout ou ils regardèrent, ils y virent la famine, la pauvreté et la méfiance. On ne se rappelais plus d’Alexandre Kaski, il avait disparue de cette terre et personne ne voulait se souvenir de lui. Et puis, qui était cet homme, qui violais la cité de sa présence et de son armée. Tous le fuyaient a ça vu, les mendiants se cachait dans les caniveaux, les marchand, fermait leurs échoppes a leurs simple vu et les bourgeois verrouillaient leurs maisons a clé et fermait toute les fenêtres. Arrivé au bourg principal, ils furent accueillis par des hommes à cape noire, qui leurs fermèrent les portes avec hostilités. Alexandre, eux beau essayer de faire croire qu’ils n’étaient que de simple mercenaire, cela fut malheureusement vain.
Ayan cruellement besoin de se ravitailler, ils durent se rabattre à aller demander l’aumône au monastère de Nadine, qui se trouvait sur une colline, non loin du bourg.
Alexandre se souvenait de ces lieux, il avait assisté à sa construction, dans ces jeunes années. Il avait vu chaque pierre et chaque fenêtre être poser. Il se souvenait de la splendeur et de l’immensité de la bâtisse, ainsi que la richesse de c’est ornement, composer de calices d’ors et de c’est vitraux, d’une complexité qu’il n’avait connue, nulle part ailleurs.
Ce ne qu’est que par des ruines, qu’ils furent accueillis. La chapelle principale avait brulé et avait été remplacer par une petite église en bois bidon construite juste à côté. Les dortoirs, n’avais plus de fenêtre, elles avaient été piller car c’étais alors les derniers objets de valeurs en ce lieu, et tous semblais, a première vue, a l’abondons. Il ne restait plus qu’une dizaine de moine, vivants sur place et essayant de garder le monastère du mieux que leurs maigres moyens, leurs permis. Parmi c’est dernier habitant, se trouver l’évêque de la région, le père Denis. Alexandre, reconnu ce visage vieilli, c’est petits yeux, cette large bouche qui tendait au sourire permanant et ce long nez d’aristocrate, il s’agissait bien du petit frère du roi Pierre. Celui-ci, reconnu également Alexandre, c’était un des seuls qui voulut se souvenir de lui. Denis, accepta, sans hésiter, d’accueillir la troupe, au grand soulagement de celle-ci qui avait fait long voyage.
Denis et son invité, soupèrent ensemble, ce soir-là. Le prêtre, le mis au courant des faits de c’est 25 dernières années à Alexandre, il lui raconta tout. Il lui parla même, de l’exécution de son père et du récit que lui avait rapporté la prêtresse Catherine, morte depuis. Il lui parla du pillage qu’avait été victime le monastère, ainsi que la cité de Nadine, par les soldats de Bi.
- Nous sommes, une nation faible, nos ennemis le savent et en profite pour nous appauvrir. Dit le père Denis, entre deux gorgé de vin blanc. Alexandre étais pendu a c’est lèvre et le laissa continuer.
- Nous étions un royaume riche, mais l’arrogance de nos derniers rois, a eu raisons de nous. Aujourd’hui, il ne tient plus ça couronne, garce a son armé personnel, la sainte armée, ou la sainte confrérie ou, encore, les capes noires.
- C’est eux qui contrôlent le bourg, non?
- Tout à fait, il le contrôle depuis que votre père est mort, les anciens vassaux ne peuvent plus rien contre cela, sous peine de se faire confisquer tout leurs bien par la couronne et de voir leurs fiefs devenir un avant-poste de cape noire.
- Ils ont si puissant que ça, cette confrérie? Demanda Alexandre, sirotant son vin.
- Ils ont plus de 40 000, tous aux ordres directs de Pierre le manchot, l’évêque de Zagreb et maire du palais.
- Je pensais que ce n’était qu’un soldat.
- Oui, au début, mais, pour pouvoir justifier des expropriations, il est toujours bon de rabaisser dieu a son niveau et de se dire légitime par cela, vous voyer ce que je veux dire.
- Vous ne soutenez pas cela? Demanda Alexandre, étonner d’entendre de telles critique, de la part d’un évêque propriétaire d’un monastère de plusieurs hectares. Ils ne vous ont pas causer de problèmes.
- Non, le roi craint l’infamie que lui causerais la mort de son petit frère, surtout si c’est lui qui l’a ordonné. Il me laisse tranquille mais, il m’abandonne à mon sort et me confisque la moitié de tous nos dons, chaque année. Nous ne pouvons presque plus acheter de matériaux de construction, afin de réparer notre établissement et la plupart des prêtre, quitte le monastère, car ils ne peuvent progresser efficacement dans la hiérarchie cléricale, à mes coté.
Sur cela, Ils finirent leurs verres et alla ce coucher. Alexandre, dormis difficilement, choquer par l’état dans lequel se trouvait sa terre natale. Il ne s’attendais pas à un tel niveau de ruine et de pauvreté.
Au levé du soleil, 600 hommes entouraient le monastère, des capes noires. La troupe, en supériorité numérique mais a la santé refaite par la nuit, ce mit en position d’attaque. Alexandre Kaski, épée a la main, ce prépara a attaquer, lorsque qu’un émissaire vint a lui. On souhaitais le rencontrer, a Zagreb.
Ayan cruellement besoin de se ravitailler, ils durent se rabattre à aller demander l’aumône au monastère de Nadine, qui se trouvait sur une colline, non loin du bourg.
Alexandre se souvenait de ces lieux, il avait assisté à sa construction, dans ces jeunes années. Il avait vu chaque pierre et chaque fenêtre être poser. Il se souvenait de la splendeur et de l’immensité de la bâtisse, ainsi que la richesse de c’est ornement, composer de calices d’ors et de c’est vitraux, d’une complexité qu’il n’avait connue, nulle part ailleurs.
Ce ne qu’est que par des ruines, qu’ils furent accueillis. La chapelle principale avait brulé et avait été remplacer par une petite église en bois bidon construite juste à côté. Les dortoirs, n’avais plus de fenêtre, elles avaient été piller car c’étais alors les derniers objets de valeurs en ce lieu, et tous semblais, a première vue, a l’abondons. Il ne restait plus qu’une dizaine de moine, vivants sur place et essayant de garder le monastère du mieux que leurs maigres moyens, leurs permis. Parmi c’est dernier habitant, se trouver l’évêque de la région, le père Denis. Alexandre, reconnu ce visage vieilli, c’est petits yeux, cette large bouche qui tendait au sourire permanant et ce long nez d’aristocrate, il s’agissait bien du petit frère du roi Pierre. Celui-ci, reconnu également Alexandre, c’était un des seuls qui voulut se souvenir de lui. Denis, accepta, sans hésiter, d’accueillir la troupe, au grand soulagement de celle-ci qui avait fait long voyage.
Denis et son invité, soupèrent ensemble, ce soir-là. Le prêtre, le mis au courant des faits de c’est 25 dernières années à Alexandre, il lui raconta tout. Il lui parla même, de l’exécution de son père et du récit que lui avait rapporté la prêtresse Catherine, morte depuis. Il lui parla du pillage qu’avait été victime le monastère, ainsi que la cité de Nadine, par les soldats de Bi.
- Nous sommes, une nation faible, nos ennemis le savent et en profite pour nous appauvrir. Dit le père Denis, entre deux gorgé de vin blanc. Alexandre étais pendu a c’est lèvre et le laissa continuer.
- Nous étions un royaume riche, mais l’arrogance de nos derniers rois, a eu raisons de nous. Aujourd’hui, il ne tient plus ça couronne, garce a son armé personnel, la sainte armée, ou la sainte confrérie ou, encore, les capes noires.
- C’est eux qui contrôlent le bourg, non?
- Tout à fait, il le contrôle depuis que votre père est mort, les anciens vassaux ne peuvent plus rien contre cela, sous peine de se faire confisquer tout leurs bien par la couronne et de voir leurs fiefs devenir un avant-poste de cape noire.
- Ils ont si puissant que ça, cette confrérie? Demanda Alexandre, sirotant son vin.
- Ils ont plus de 40 000, tous aux ordres directs de Pierre le manchot, l’évêque de Zagreb et maire du palais.
- Je pensais que ce n’était qu’un soldat.
- Oui, au début, mais, pour pouvoir justifier des expropriations, il est toujours bon de rabaisser dieu a son niveau et de se dire légitime par cela, vous voyer ce que je veux dire.
- Vous ne soutenez pas cela? Demanda Alexandre, étonner d’entendre de telles critique, de la part d’un évêque propriétaire d’un monastère de plusieurs hectares. Ils ne vous ont pas causer de problèmes.
- Non, le roi craint l’infamie que lui causerais la mort de son petit frère, surtout si c’est lui qui l’a ordonné. Il me laisse tranquille mais, il m’abandonne à mon sort et me confisque la moitié de tous nos dons, chaque année. Nous ne pouvons presque plus acheter de matériaux de construction, afin de réparer notre établissement et la plupart des prêtre, quitte le monastère, car ils ne peuvent progresser efficacement dans la hiérarchie cléricale, à mes coté.
Sur cela, Ils finirent leurs verres et alla ce coucher. Alexandre, dormis difficilement, choquer par l’état dans lequel se trouvait sa terre natale. Il ne s’attendais pas à un tel niveau de ruine et de pauvreté.
Au levé du soleil, 600 hommes entouraient le monastère, des capes noires. La troupe, en supériorité numérique mais a la santé refaite par la nuit, ce mit en position d’attaque. Alexandre Kaski, épée a la main, ce prépara a attaquer, lorsque qu’un émissaire vint a lui. On souhaitais le rencontrer, a Zagreb.
il y a 2 ans
Le feu crépitais dans la nuit, la jeune femme, contrainte, devais tenir compagnie au homme du désert. Enchainée nue a un poteau de bois, elle étais exposer aux hommes, hilares de la voire se débattre contre ces chaines douloureuses. Le camp empestais la fumé d'opium, l'aire étais irrespirable et les caravaniers s'extasiais de cela. Certains homme, ivre de vin et d'opium, vint lui toucher les seins et les serrer douloureusement avec leurs mains d'ivrognes. L'un d'eux, le plus vieux et le plus laid d'entre eux, un dénommé Ibn, alla jusqu'à lui lécher le coup et le visage. Son haleine putride lui donnais la nausée, il fini son acte sous les rires de c'est camarades.
Pour ce rassurer, elle avait comme coutume de se remémorer son enfance. Elle s'appelais Mélina Ivanovitch, elle étais la fille d'un prince de la cité de Tyre et d'une princesse du pays de Tule. Son père étais un des hommes l'un des homme les plus respecter parmi les valaks. Ça famille étais la lointaine descendante du mystique roi Ivan qui avait fondé la cité, 1 000 ans auparavant.
Elle vécus sa vie de petite fille a courir le long des murailles en bois et cueillir des fleurs dans les forets aux alentours.
C'étais l'enfant le plus aimer de son père, il lui appris a lire et a écrire et l'emmena même, a plusieurs reprise au sanctuaire de la foret de Biork, afin d'y apprendre le rites sacrée des dieux.
Un jour, une armée venant d'un royaume lointain, nommé Novigrad, vint pour conquérir la cité et absorber les valaks sous l'autorité de leurs roi et de leurs dieu unique.
Les envahisseurs, en supériorité tactique du fait des armes de siège avancés qu'ils possédait, eu raison de la cité. Le roi de Novigrad, voulant absorber la région sans brusquer les locos, mit en au pouvoir un chef issu des descendants du roi Ivan. Le gouverneur, nouvellement élu c'étais convertit a leurs religion, sans aucune résistance. il fit la promesse de convertir l'ensemble du pays et des pays aux alentours. Il fit exécuter les autres descendant du roi Ivan, dont le père et la mère de Mélina.
Elle se souvient de la tristesse qui lui perça le cœur telle une lance et des larmes qui avait mouiller c'est joues d'enfant. Elle dut endurer sa tristesse, au monastère pour femme de Monastride, nouvellement créer par le gouverneur. Elle étais tenu par une prêtresse Novigardienne, sœur Mona, qui fit étudier les texte sacré, aux jeune fille anciennement nobles.
C'étais une dame si douce et si bonne, qu'elle fut affublé du nom de ''mère'' par les filles.
Emplit de pitié, pour c'est fillettes, elle ne sut agir autrement que comme une mère. Cette dame aimais particulièrement la petite Mélina, jeune fille intelligente et doué. Elle la consolait souvent, lorsqu'elle étais prise de pleure, du fait du souvenir terrible qu'elle ne savait effacer de son âme.
Elle considérais les autres filles comme c'est sœurs, elle les consolait, comme la mère le faisait avec elle. La nuit, elles se blottissait toute ensemble sur une paillasse, afin de se réchauffer, a la fois le corps, du fait de l'hiver mordant, et le cœurs, du fait de la peine de chacune.
Le temps passa, les fillettes devint des filles puis des jeunes femmes, le petit monastère de bois devint un grand monastère de pierres.
Mélina, avait désormais 16 ans, elle étais devenus la seconde du monastère. Elle étais respecter de tous, jusqu'aux nobles, qui regrettais son vœu de chasteté. Elle étais en effet, d'une grande beauté.
Tous lui souriais, elle avait réussie a se reconstruire dans la foi et avais de nouveaux une famille, le monastère avec comme mère, la douce présence de dame Mona.
C'étais sans compter sur la guerre et son lot de pillages et d'atrocités.
Pour ce rassurer, elle avait comme coutume de se remémorer son enfance. Elle s'appelais Mélina Ivanovitch, elle étais la fille d'un prince de la cité de Tyre et d'une princesse du pays de Tule. Son père étais un des hommes l'un des homme les plus respecter parmi les valaks. Ça famille étais la lointaine descendante du mystique roi Ivan qui avait fondé la cité, 1 000 ans auparavant.
Elle vécus sa vie de petite fille a courir le long des murailles en bois et cueillir des fleurs dans les forets aux alentours.
C'étais l'enfant le plus aimer de son père, il lui appris a lire et a écrire et l'emmena même, a plusieurs reprise au sanctuaire de la foret de Biork, afin d'y apprendre le rites sacrée des dieux.
Un jour, une armée venant d'un royaume lointain, nommé Novigrad, vint pour conquérir la cité et absorber les valaks sous l'autorité de leurs roi et de leurs dieu unique.
Les envahisseurs, en supériorité tactique du fait des armes de siège avancés qu'ils possédait, eu raison de la cité. Le roi de Novigrad, voulant absorber la région sans brusquer les locos, mit en au pouvoir un chef issu des descendants du roi Ivan. Le gouverneur, nouvellement élu c'étais convertit a leurs religion, sans aucune résistance. il fit la promesse de convertir l'ensemble du pays et des pays aux alentours. Il fit exécuter les autres descendant du roi Ivan, dont le père et la mère de Mélina.
Elle se souvient de la tristesse qui lui perça le cœur telle une lance et des larmes qui avait mouiller c'est joues d'enfant. Elle dut endurer sa tristesse, au monastère pour femme de Monastride, nouvellement créer par le gouverneur. Elle étais tenu par une prêtresse Novigardienne, sœur Mona, qui fit étudier les texte sacré, aux jeune fille anciennement nobles.
C'étais une dame si douce et si bonne, qu'elle fut affublé du nom de ''mère'' par les filles.
Emplit de pitié, pour c'est fillettes, elle ne sut agir autrement que comme une mère. Cette dame aimais particulièrement la petite Mélina, jeune fille intelligente et doué. Elle la consolait souvent, lorsqu'elle étais prise de pleure, du fait du souvenir terrible qu'elle ne savait effacer de son âme.
Elle considérais les autres filles comme c'est sœurs, elle les consolait, comme la mère le faisait avec elle. La nuit, elles se blottissait toute ensemble sur une paillasse, afin de se réchauffer, a la fois le corps, du fait de l'hiver mordant, et le cœurs, du fait de la peine de chacune.
Le temps passa, les fillettes devint des filles puis des jeunes femmes, le petit monastère de bois devint un grand monastère de pierres.
Mélina, avait désormais 16 ans, elle étais devenus la seconde du monastère. Elle étais respecter de tous, jusqu'aux nobles, qui regrettais son vœu de chasteté. Elle étais en effet, d'une grande beauté.
Tous lui souriais, elle avait réussie a se reconstruire dans la foi et avais de nouveaux une famille, le monastère avec comme mère, la douce présence de dame Mona.
C'étais sans compter sur la guerre et son lot de pillages et d'atrocités.
il y a 2 ans
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
Kaski, ne reconnu pas tout de suite la capitale, il ne vu qu’un ramassis de ruines et de rues sales. Les mendiants pullulaient, les petites gens n’avait que de la peau sur les os. Ce spectacle, qui n’étais déjà pas réjouissant, atteint son comble avec la cathédral Saint Alexis. Le vielle édifice n’avait jamais été reconstruit, les fidèles priaient dans ces ruines, a la vue du ciel. La végétation, envahissais les murs et des arbres commençais à pousser dans l’enceinte du monument.
Tout cela, étais dut à la politique et ces conflits constant au sein de la cour. Le roi, avait affronter absolument tous ces vaisseaux, au cours d’une longue guerre civile et avait dut user de l’impôt citoyen pour financer la victoire.
Lorsque qu’il fut, enfin, devant le roi, celui-ci lui, parla principalement de c’est problème. Il était, entrer en guerre contre Verden, depuis deux ans, son armée, se battait sans relâche mais avec très peu de résultats. Les généraux manquaient, il proposa donc un marcher a Alexandre. Kaski, ferais la guerre au Verden et, il héritera de l’ancien titre de son père. Le voyageur, ne put qu’accepter, malgré sa méfiance fasse a cette hypocrite. Il partit donc au sud, pour diriger l’armée du roi Pierre.
Tout cela, étais dut à la politique et ces conflits constant au sein de la cour. Le roi, avait affronter absolument tous ces vaisseaux, au cours d’une longue guerre civile et avait dut user de l’impôt citoyen pour financer la victoire.
Lorsque qu’il fut, enfin, devant le roi, celui-ci lui, parla principalement de c’est problème. Il était, entrer en guerre contre Verden, depuis deux ans, son armée, se battait sans relâche mais avec très peu de résultats. Les généraux manquaient, il proposa donc un marcher a Alexandre. Kaski, ferais la guerre au Verden et, il héritera de l’ancien titre de son père. Le voyageur, ne put qu’accepter, malgré sa méfiance fasse a cette hypocrite. Il partit donc au sud, pour diriger l’armée du roi Pierre.
il y a 2 ans
PlombirAuPlomb
2 ans
pas mal l'histoire de l'expédition j'aime bien ça
La situation, sur place, était fort compliquer, non seulement, l’ennemie avait plus de cannons, mais ils avaient, aussi, fait l’acquisition d’une nouvelle arme, le mousquet. Un petit cannons porter par un seul homme, qui pouvait transpercer les armures et tuer un bon nombre d’homme en une seule fois. Il lui fallut, ruser par ne pas laisser l’ennemies l’anéantir, il pratiqua la stratégie de la terre bruler et des embuscades systématiques. Cela dura trois ans, Verden perdu de nombreux hommes et les almaniens se renforcèrent.
Les capes noires, aux services d’Alexandre, avait énormément de respect pour leur général. Il était pieux et courageux, bien plus que leurs roi. En 1089, il finit, même, a la tête de l’ordre, ce qui déplut au roi Pierre.
Alexandre, prenait beaucoup trop d’importance, le tout, dans une armée qui était censé être a son service. Il ne put, même, pas se résoudre a l’assassiner, il était trop populaire et son meurtre provoquerais une révolte à coup sûr.
Il coupa donc, de moitié son ravitaillement, ce qui mit les capes noires, en difficulté.

Les capes noires, aux services d’Alexandre, avait énormément de respect pour leur général. Il était pieux et courageux, bien plus que leurs roi. En 1089, il finit, même, a la tête de l’ordre, ce qui déplut au roi Pierre.
Alexandre, prenait beaucoup trop d’importance, le tout, dans une armée qui était censé être a son service. Il ne put, même, pas se résoudre a l’assassiner, il était trop populaire et son meurtre provoquerais une révolte à coup sûr.
Il coupa donc, de moitié son ravitaillement, ce qui mit les capes noires, en difficulté.
il y a 2 ans
La situation, sur place, était fort compliquer, non seulement, l’ennemie avait plus de cannons, mais ils avaient, aussi, fait l’acquisition d’une nouvelle arme, le mousquet. Un petit cannons porter par un seul homme, qui pouvait transpercer les armures et tuer un bon nombre d’homme en une seule fois. Il lui fallut, ruser par ne pas laisser l’ennemies l’anéantir, il pratiqua la stratégie de la terre bruler et des embuscades systématiques. Cela dura trois ans, Verden perdu de nombreux hommes et les almaniens se renforcèrent.
Les capes noires, aux services d’Alexandre, avait énormément de respect pour leur général. Il était pieux et courageux, bien plus que leurs roi. En 1089, il finit, même, a la tête de l’ordre, ce qui déplut au roi Pierre.
Alexandre, prenait beaucoup trop d’importance, le tout, dans une armée qui était censé être a son service. Il ne put, même, pas se résoudre a l’assassiner, il était trop populaire et son meurtre provoquerais une révolte à coup sûr.
Il coupa donc, de moitié son ravitaillement, ce qui mit les capes noires, en difficulté.

Les capes noires, aux services d’Alexandre, avait énormément de respect pour leur général. Il était pieux et courageux, bien plus que leurs roi. En 1089, il finit, même, a la tête de l’ordre, ce qui déplut au roi Pierre.
Alexandre, prenait beaucoup trop d’importance, le tout, dans une armée qui était censé être a son service. Il ne put, même, pas se résoudre a l’assassiner, il était trop populaire et son meurtre provoquerais une révolte à coup sûr.
Il coupa donc, de moitié son ravitaillement, ce qui mit les capes noires, en difficulté.
La guerre continua, avec difficulté. La colère grondait telle une tempête avenir au sein de l’armée. Les hommes mourraient de faim et devait pratiquer pillage sur pillage, afin de simplement trouver un peu de pains. Malgré cela, la combativité des hommes, ne faiblissait pas, pousser par leur général, il se battirent et avancèrent, mais ce fut long et pénible.
La colère ne faiblissait pas.
En 1091, Alexandre, essuya une puisante défaite. Les hommes, affaiblis par la faim, n’avait sut avancer. Il était en était furieux, jamais il n’aurait perdu, avec un bon ravitaillement, les capes noires étaient des soldats expérimenter, ils ne pouvaient pas perdre. La mauvaise fois de leur roi, était la seule responsable de cet échec. Alexandre, était déterminer à le punir.
Il fit semblant de battre en retraite, il retira derrière le Pontest et laissa Zagreb se faire assiéger par les verdinois, en prenant bien soin de bloquer toute sortie. Le roi fut donc coincé dans sa propre capitale.

La colère ne faiblissait pas.
En 1091, Alexandre, essuya une puisante défaite. Les hommes, affaiblis par la faim, n’avait sut avancer. Il était en était furieux, jamais il n’aurait perdu, avec un bon ravitaillement, les capes noires étaient des soldats expérimenter, ils ne pouvaient pas perdre. La mauvaise fois de leur roi, était la seule responsable de cet échec. Alexandre, était déterminer à le punir.
Il fit semblant de battre en retraite, il retira derrière le Pontest et laissa Zagreb se faire assiéger par les verdinois, en prenant bien soin de bloquer toute sortie. Le roi fut donc coincé dans sa propre capitale.
il y a 2 ans
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
Le roi, étais aculé. Son entourage le laissait de plus en plus tombé. Sa femme, la reine, avait fuit avec son seul héritier et avait rejoint le sud. La ville était en flamme et tout le monde savait que c’étais le fautif étais le souverain. Craignant les tentatives d’assassinat, il se barricadât dans le donjon de son château, c’est derniers hommes encore fidèles et c’est maitresses.
Il se contentait de donner des ordres depuis son cabinet, ordre qui était, quasiment, jamais respecter. Par dépit, il passait la plupart du temps a festoyer et a jouir des vives accumuler en ce lieux. Il n’était pas rare d’assister à des scènes d’orgie entre c’est jeunes maitresses et c’est commandant.
Un soir, un des chevaux appartenant à la garde, ce cassa la patte et dut être abattu. Une telle quantité de viande, rendu joyeux les hommes et Denis, ils firent donc, un grand festin accompagner des meilleurs vins et des plus belles filles du roi. Toute la nuit, ils burent, mangèrent tout en chantent et en s’adonnant aux passions interdites des femmes. Ils ne restèrent que les os de l’étalon, os qui ne pouvait être que légèrement grignoter par les domestiques affamés. C’est le commandant de la garde, qui dut réveiller le roi de son ivresse, il s’approcha, lui parla mais il ne reçu aucune réaction de la part du souverain. Il mit la main sur son épaule et senti la peau froide du roi Denis, il n’y avait plus de doute possible. Il mit la main sur la poitrine de l’ivrogne, rien ne battait, il était mort de la même manière que son père.
Il se contentait de donner des ordres depuis son cabinet, ordre qui était, quasiment, jamais respecter. Par dépit, il passait la plupart du temps a festoyer et a jouir des vives accumuler en ce lieux. Il n’était pas rare d’assister à des scènes d’orgie entre c’est jeunes maitresses et c’est commandant.
Un soir, un des chevaux appartenant à la garde, ce cassa la patte et dut être abattu. Une telle quantité de viande, rendu joyeux les hommes et Denis, ils firent donc, un grand festin accompagner des meilleurs vins et des plus belles filles du roi. Toute la nuit, ils burent, mangèrent tout en chantent et en s’adonnant aux passions interdites des femmes. Ils ne restèrent que les os de l’étalon, os qui ne pouvait être que légèrement grignoter par les domestiques affamés. C’est le commandant de la garde, qui dut réveiller le roi de son ivresse, il s’approcha, lui parla mais il ne reçu aucune réaction de la part du souverain. Il mit la main sur son épaule et senti la peau froide du roi Denis, il n’y avait plus de doute possible. Il mit la main sur la poitrine de l’ivrogne, rien ne battait, il était mort de la même manière que son père.
il y a un an
Le roi, étais aculé. Son entourage le laissait de plus en plus tombé. Sa femme, la reine, avait fuit avec son seul héritier et avait rejoint le sud. La ville était en flamme et tout le monde savait que c’étais le fautif étais le souverain. Craignant les tentatives d’assassinat, il se barricadât dans le donjon de son château, c’est derniers hommes encore fidèles et c’est maitresses.
Il se contentait de donner des ordres depuis son cabinet, ordre qui était, quasiment, jamais respecter. Par dépit, il passait la plupart du temps a festoyer et a jouir des vives accumuler en ce lieux. Il n’était pas rare d’assister à des scènes d’orgie entre c’est jeunes maitresses et c’est commandant.
Un soir, un des chevaux appartenant à la garde, ce cassa la patte et dut être abattu. Une telle quantité de viande, rendu joyeux les hommes et Denis, ils firent donc, un grand festin accompagner des meilleurs vins et des plus belles filles du roi. Toute la nuit, ils burent, mangèrent tout en chantent et en s’adonnant aux passions interdites des femmes. Ils ne restèrent que les os de l’étalon, os qui ne pouvait être que légèrement grignoter par les domestiques affamés. C’est le commandant de la garde, qui dut réveiller le roi de son ivresse, il s’approcha, lui parla mais il ne reçu aucune réaction de la part du souverain. Il mit la main sur son épaule et senti la peau froide du roi Denis, il n’y avait plus de doute possible. Il mit la main sur la poitrine de l’ivrogne, rien ne battait, il était mort de la même manière que son père.
Il se contentait de donner des ordres depuis son cabinet, ordre qui était, quasiment, jamais respecter. Par dépit, il passait la plupart du temps a festoyer et a jouir des vives accumuler en ce lieux. Il n’était pas rare d’assister à des scènes d’orgie entre c’est jeunes maitresses et c’est commandant.
Un soir, un des chevaux appartenant à la garde, ce cassa la patte et dut être abattu. Une telle quantité de viande, rendu joyeux les hommes et Denis, ils firent donc, un grand festin accompagner des meilleurs vins et des plus belles filles du roi. Toute la nuit, ils burent, mangèrent tout en chantent et en s’adonnant aux passions interdites des femmes. Ils ne restèrent que les os de l’étalon, os qui ne pouvait être que légèrement grignoter par les domestiques affamés. C’est le commandant de la garde, qui dut réveiller le roi de son ivresse, il s’approcha, lui parla mais il ne reçu aucune réaction de la part du souverain. Il mit la main sur son épaule et senti la peau froide du roi Denis, il n’y avait plus de doute possible. Il mit la main sur la poitrine de l’ivrogne, rien ne battait, il était mort de la même manière que son père.
Dès qu’Alexandre appris la nouvelle, il attaqua et repoussa l’armée verdinoise par ces flans. Il reprit ainsi la ville en seulement une semaine, il fit exécuter les responsables du défunt roi ainsi que le grand prêtre qui était devenu impopulaire parmi les capes noires. Il se proclama régent, le temps que l’héritier revienne de son exile.
Il continua la guerre, avec une armée aussi déterminer que jamais, il fini par mettre le siège sur Verden pendant l’automne 1092. Les canons détruisirent la majorité des murs de la cité, le roi Serge 2 étais aculé dans son palais.
Malgré cela, il réussit à tenir jusqu’à l’été 1093. Souffrant de la faim et du manque d’homme viable, le roi abdiqua a condition de garder son titre de noblesse. Alexandre accepta cet arrangement et la guerre se termina ainsi. Pour seller se traiter, Serge donna sa plus belle fille en mariage a l’un des fils du baron. Alexandre décida donc de faire fiancé son fils Nicola a cette princesse, ce qui mit Marc en grande colère contre son père. Ce conflit fut toute fois éclipser, par le couronnement d’Alexandre au trône d’Almanie.
En l’absence de l’héritier et du fait de l’impopularité des fils d’Alexis Athos, Il fut proclamé roi dans le palais de Verden. Ce fut le début de la dynastie royal des Kaski.
Il fit, dès le début de son règne, de grands travaux au sein de son royaume. Il renouvela la cathédral de Zagreb, qu’il renomma sainte Olga, en l’honneur de la première reine.
Il réorganisa les terres, favorisant les seigneurs aux barons, ce qui améliora le rendement de ce royaume devenu très vaste pour être diriger par quelques hommes.
Il rénova les murs des villes et les armas de canons.
Le règne d’Alexandre 1er marquais le début de la modernisation du royaume et de la période que l’on appellera plus tard, la renaissance.
Il continua la guerre, avec une armée aussi déterminer que jamais, il fini par mettre le siège sur Verden pendant l’automne 1092. Les canons détruisirent la majorité des murs de la cité, le roi Serge 2 étais aculé dans son palais.
Malgré cela, il réussit à tenir jusqu’à l’été 1093. Souffrant de la faim et du manque d’homme viable, le roi abdiqua a condition de garder son titre de noblesse. Alexandre accepta cet arrangement et la guerre se termina ainsi. Pour seller se traiter, Serge donna sa plus belle fille en mariage a l’un des fils du baron. Alexandre décida donc de faire fiancé son fils Nicola a cette princesse, ce qui mit Marc en grande colère contre son père. Ce conflit fut toute fois éclipser, par le couronnement d’Alexandre au trône d’Almanie.
En l’absence de l’héritier et du fait de l’impopularité des fils d’Alexis Athos, Il fut proclamé roi dans le palais de Verden. Ce fut le début de la dynastie royal des Kaski.
Il fit, dès le début de son règne, de grands travaux au sein de son royaume. Il renouvela la cathédral de Zagreb, qu’il renomma sainte Olga, en l’honneur de la première reine.
Il réorganisa les terres, favorisant les seigneurs aux barons, ce qui améliora le rendement de ce royaume devenu très vaste pour être diriger par quelques hommes.
Il rénova les murs des villes et les armas de canons.
Le règne d’Alexandre 1er marquais le début de la modernisation du royaume et de la période que l’on appellera plus tard, la renaissance.
il y a un an
Acte 8
La Renaissance
Les années qui suivirent ne furent, marqué que par un seul grand conflit, contre l’empire Bi. Celui çi tentais de prendre le plus de territoire possible, ce que le roi avait horreur juste a y penser. Il fit donc la guerre entre 1098 et 1106. Ce conflit ne mena a rien pour les deux camps, Alexandre ne gagna rien, a part la mort de son fils ainé, qui étais devenu l’antagoniste de lui et de son cadet.
Nicola étais un homme très cultiver, après la mort de sa femme en 1099, dut a une violente grippe, il partit a Kavala, affiner c’est connaissance et, peut-être, ramener certaine avancé dans son royaume. Il y rencontra une jeune femme rousse du nom de Lydia. Il en tomba profondément amoureux et la ramena avec lui, en Almanie, et en fit sa nouvelle femme.
La cour, ce méfiait profondément de cette femme, soupçonner d’être d’ascendance vampire. Il lui fit 5 enfants dont Alexandre Nicolaid Kaski, future héritier après son père.
De son voyage, il y ramena la mode des vestons et de la collerette qui remplaça les fourrures et les tuniques fade. Il donna le gout, a la noblesse, de l’érudition, beaucoup envoyèrent donc leurs enfants étudier a Kavala et le roi fondit l’académies royal des sciences, la future université. Les années 1106 à 1117 furent donc tranquille, aucunes guerres de grandes ampleurs éclatèrent durant cette période. Les capes noires, qui était septique face aux changements en cour dans le royaume, restèrent tout te fois fidèle envers le roi et défendais avec courage les frontières. Cette période fut toute fois marquer par la mort de Mélina, en Valakie, son mari, qui lui avait promis de revenir, n’avait donc jamais put honorer sa promesse. Alexandre était en miette, il ne se levais même plus de son lit, son âme était morte.
Il resta inactif de 1111 à 1117, c’était le maire du palais qui gouvernait et plus tard, son fils, qui allait bientôt prendre le pouvoir du fait de la santé déclinante de son père. Il en profita pour toujours plus réformé le royaume, ce qui n’étais pas chose simple, vu la résistance du saint ordre face à tout changement.
En 1117, Alexandre fini par mourir, seul, dans ses appartement, hanté par l’âme de sa bien aimé.
Nicola 1er pris donc le pouvoir.
La Renaissance
Les années qui suivirent ne furent, marqué que par un seul grand conflit, contre l’empire Bi. Celui çi tentais de prendre le plus de territoire possible, ce que le roi avait horreur juste a y penser. Il fit donc la guerre entre 1098 et 1106. Ce conflit ne mena a rien pour les deux camps, Alexandre ne gagna rien, a part la mort de son fils ainé, qui étais devenu l’antagoniste de lui et de son cadet.
Nicola étais un homme très cultiver, après la mort de sa femme en 1099, dut a une violente grippe, il partit a Kavala, affiner c’est connaissance et, peut-être, ramener certaine avancé dans son royaume. Il y rencontra une jeune femme rousse du nom de Lydia. Il en tomba profondément amoureux et la ramena avec lui, en Almanie, et en fit sa nouvelle femme.
La cour, ce méfiait profondément de cette femme, soupçonner d’être d’ascendance vampire. Il lui fit 5 enfants dont Alexandre Nicolaid Kaski, future héritier après son père.
De son voyage, il y ramena la mode des vestons et de la collerette qui remplaça les fourrures et les tuniques fade. Il donna le gout, a la noblesse, de l’érudition, beaucoup envoyèrent donc leurs enfants étudier a Kavala et le roi fondit l’académies royal des sciences, la future université. Les années 1106 à 1117 furent donc tranquille, aucunes guerres de grandes ampleurs éclatèrent durant cette période. Les capes noires, qui était septique face aux changements en cour dans le royaume, restèrent tout te fois fidèle envers le roi et défendais avec courage les frontières. Cette période fut toute fois marquer par la mort de Mélina, en Valakie, son mari, qui lui avait promis de revenir, n’avait donc jamais put honorer sa promesse. Alexandre était en miette, il ne se levais même plus de son lit, son âme était morte.
Il resta inactif de 1111 à 1117, c’était le maire du palais qui gouvernait et plus tard, son fils, qui allait bientôt prendre le pouvoir du fait de la santé déclinante de son père. Il en profita pour toujours plus réformé le royaume, ce qui n’étais pas chose simple, vu la résistance du saint ordre face à tout changement.
En 1117, Alexandre fini par mourir, seul, dans ses appartement, hanté par l’âme de sa bien aimé.
Nicola 1er pris donc le pouvoir.
il y a un an
Merci kheyou
j'ai pas encore tout lu, je mets en fav pour plus tard
Le roi Nicolas, dut faire face très tôt aux troubles. Une maladie, jamais vu jusqu’à lors, avait son apparition dans le royaume. Les malades se couvraient de pustules noires monstrueuses et les quelques survivants, étaient défigurés et rendu bossus. La maladie s’était propager de l’ouest jusqu’à l’est du continent, il n’y avait pas un endroit ou la ‘’Peste’’ n’avait pas fait de ravage. Même la noblesse, était toucher par ce mal, le roi de Novigrad en était mort, sont royaume avait alors sombrer dans une guerre de succession, ce qui finira d’enterrer l’empire novigardien.
Les rues de Zagreb, comme la plupart des villes, était encombrer par les corps des pestiférés, personne ne voulait risquer de les manipuler. La cité, devint donc, un charnier a ciel ouvert. Nicolas tenta, en vain, d’endiguer l’infection a l’aide des meilleurs médecins mais personne n’avait jamais vu une maladie de la sorte et ils furent bien impuissant.
Pendant ce temps, le duché de Constantine, avait profiter du désordre pour prendre possession du territoire frontalier avec les Almaniens. Le roi, Impuissant face a la maladie, décida, en 1119, de ce lancer dans une guerre contre le duché, pour faire oublier a la noblesse, la sinistre situation que traversait le royaume. Il réussit à réunir une armée de 7 000 hommes, dont 2 800 capes noires, 1 200 arquebusiers et 3 000 mercenaires montagnards ethniquement relier a l’empire Bi.

Les rues de Zagreb, comme la plupart des villes, était encombrer par les corps des pestiférés, personne ne voulait risquer de les manipuler. La cité, devint donc, un charnier a ciel ouvert. Nicolas tenta, en vain, d’endiguer l’infection a l’aide des meilleurs médecins mais personne n’avait jamais vu une maladie de la sorte et ils furent bien impuissant.
Pendant ce temps, le duché de Constantine, avait profiter du désordre pour prendre possession du territoire frontalier avec les Almaniens. Le roi, Impuissant face a la maladie, décida, en 1119, de ce lancer dans une guerre contre le duché, pour faire oublier a la noblesse, la sinistre situation que traversait le royaume. Il réussit à réunir une armée de 7 000 hommes, dont 2 800 capes noires, 1 200 arquebusiers et 3 000 mercenaires montagnards ethniquement relier a l’empire Bi.
il y a un an
Le roi Nicolas, dut faire face très tôt aux troubles. Une maladie, jamais vu jusqu’à lors, avait son apparition dans le royaume. Les malades se couvraient de pustules noires monstrueuses et les quelques survivants, étaient défigurés et rendu bossus. La maladie s’était propager de l’ouest jusqu’à l’est du continent, il n’y avait pas un endroit ou la ‘’Peste’’ n’avait pas fait de ravage. Même la noblesse, était toucher par ce mal, le roi de Novigrad en était mort, sont royaume avait alors sombrer dans une guerre de succession, ce qui finira d’enterrer l’empire novigardien.
Les rues de Zagreb, comme la plupart des villes, était encombrer par les corps des pestiférés, personne ne voulait risquer de les manipuler. La cité, devint donc, un charnier a ciel ouvert. Nicolas tenta, en vain, d’endiguer l’infection a l’aide des meilleurs médecins mais personne n’avait jamais vu une maladie de la sorte et ils furent bien impuissant.
Pendant ce temps, le duché de Constantine, avait profiter du désordre pour prendre possession du territoire frontalier avec les Almaniens. Le roi, Impuissant face a la maladie, décida, en 1119, de ce lancer dans une guerre contre le duché, pour faire oublier a la noblesse, la sinistre situation que traversait le royaume. Il réussit à réunir une armée de 7 000 hommes, dont 2 800 capes noires, 1 200 arquebusiers et 3 000 mercenaires montagnards ethniquement relier a l’empire Bi.

Les rues de Zagreb, comme la plupart des villes, était encombrer par les corps des pestiférés, personne ne voulait risquer de les manipuler. La cité, devint donc, un charnier a ciel ouvert. Nicolas tenta, en vain, d’endiguer l’infection a l’aide des meilleurs médecins mais personne n’avait jamais vu une maladie de la sorte et ils furent bien impuissant.
Pendant ce temps, le duché de Constantine, avait profiter du désordre pour prendre possession du territoire frontalier avec les Almaniens. Le roi, Impuissant face a la maladie, décida, en 1119, de ce lancer dans une guerre contre le duché, pour faire oublier a la noblesse, la sinistre situation que traversait le royaume. Il réussit à réunir une armée de 7 000 hommes, dont 2 800 capes noires, 1 200 arquebusiers et 3 000 mercenaires montagnards ethniquement relier a l’empire Bi.
Le changement de température, rendit plusieurs hommes malades et fut fatale pour une bonne partit d’entre eux. L’aire chaud et sec de cette contrée, était étranger à ces hommes du nord.
L’armée du Duché, étais moins nombreuse, mais professionnelle. Constantine avait toujours eux une grande culture militaire et la conscription y était de mise. Ils étaient que 4 000, mais c’était les meilleurs en tous les domaines, ils avaient les meilleurs arquebusiers et les meilleurs épéistes de tout le sud du continent.
Les capes noires, avancèrent les premiers, leurs botes foulait la plaine sableuse en direction des position ennemies. Ils furent, toute fois, repousser par une salve massive d’arquebusier. Les balles traversèrent les armures et les corps de c’est malheureux soldats. Ils durent se replier rapidement, les cavaliers constantinois, en profita pour charger les fuyards, tuants une centaine d’hommes. Les arquebusiers almaniens, tira, a leurs tours, une salve qui tua de nombreux chevaliers. C’est dernier, répliqua avec leurs pistolets, ce qui mit les almaniens en difficulté. Les montagnards, profitèrent de ces offensives ennemies, au centre, pour prendre les arquebusiers de revers. Ils traversèrent un bois qui bordait la colline qui servait de camp aux constantinois, et put ainsi, les surprendre par leurs droites. Les hommes des montagnes, furent sans pitié et tua et mutila les pauvres soldats sudistes. Ils tentèrent bien de répliquer par quelques salves, mais la désorganisation fut si grande, qu’ils ne purent riposter efficacement. Les chevaliers. Sans le soutient de l’arrière, dut se replier et quitter le champ de bataille, ils furent suivie par les arquebusiers survivants. La victoire étais à l’Almanie, les étrangers furent repousser hors des frontière. L’armée, dans l’élans de la victoire, ce lança à la conquête du duché. La guerre fut tout fois arrêter par le roi Nicolas, la guerre coutante cher. Il fit donc un armistice, en 1121 avec le duché, ce qui frustra le Saint Ordre et ces capes noires.
La peste, avait empirer dans le royaume.
L’armée du Duché, étais moins nombreuse, mais professionnelle. Constantine avait toujours eux une grande culture militaire et la conscription y était de mise. Ils étaient que 4 000, mais c’était les meilleurs en tous les domaines, ils avaient les meilleurs arquebusiers et les meilleurs épéistes de tout le sud du continent.
Les capes noires, avancèrent les premiers, leurs botes foulait la plaine sableuse en direction des position ennemies. Ils furent, toute fois, repousser par une salve massive d’arquebusier. Les balles traversèrent les armures et les corps de c’est malheureux soldats. Ils durent se replier rapidement, les cavaliers constantinois, en profita pour charger les fuyards, tuants une centaine d’hommes. Les arquebusiers almaniens, tira, a leurs tours, une salve qui tua de nombreux chevaliers. C’est dernier, répliqua avec leurs pistolets, ce qui mit les almaniens en difficulté. Les montagnards, profitèrent de ces offensives ennemies, au centre, pour prendre les arquebusiers de revers. Ils traversèrent un bois qui bordait la colline qui servait de camp aux constantinois, et put ainsi, les surprendre par leurs droites. Les hommes des montagnes, furent sans pitié et tua et mutila les pauvres soldats sudistes. Ils tentèrent bien de répliquer par quelques salves, mais la désorganisation fut si grande, qu’ils ne purent riposter efficacement. Les chevaliers. Sans le soutient de l’arrière, dut se replier et quitter le champ de bataille, ils furent suivie par les arquebusiers survivants. La victoire étais à l’Almanie, les étrangers furent repousser hors des frontière. L’armée, dans l’élans de la victoire, ce lança à la conquête du duché. La guerre fut tout fois arrêter par le roi Nicolas, la guerre coutante cher. Il fit donc un armistice, en 1121 avec le duché, ce qui frustra le Saint Ordre et ces capes noires.
La peste, avait empirer dans le royaume.
il y a un an
Le changement de température, rendit plusieurs hommes malades et fut fatale pour une bonne partit d’entre eux. L’aire chaud et sec de cette contrée, était étranger à ces hommes du nord.
L’armée du Duché, étais moins nombreuse, mais professionnelle. Constantine avait toujours eux une grande culture militaire et la conscription y était de mise. Ils étaient que 4 000, mais c’était les meilleurs en tous les domaines, ils avaient les meilleurs arquebusiers et les meilleurs épéistes de tout le sud du continent.
Les capes noires, avancèrent les premiers, leurs botes foulait la plaine sableuse en direction des position ennemies. Ils furent, toute fois, repousser par une salve massive d’arquebusier. Les balles traversèrent les armures et les corps de c’est malheureux soldats. Ils durent se replier rapidement, les cavaliers constantinois, en profita pour charger les fuyards, tuants une centaine d’hommes. Les arquebusiers almaniens, tira, a leurs tours, une salve qui tua de nombreux chevaliers. C’est dernier, répliqua avec leurs pistolets, ce qui mit les almaniens en difficulté. Les montagnards, profitèrent de ces offensives ennemies, au centre, pour prendre les arquebusiers de revers. Ils traversèrent un bois qui bordait la colline qui servait de camp aux constantinois, et put ainsi, les surprendre par leurs droites. Les hommes des montagnes, furent sans pitié et tua et mutila les pauvres soldats sudistes. Ils tentèrent bien de répliquer par quelques salves, mais la désorganisation fut si grande, qu’ils ne purent riposter efficacement. Les chevaliers. Sans le soutient de l’arrière, dut se replier et quitter le champ de bataille, ils furent suivie par les arquebusiers survivants. La victoire étais à l’Almanie, les étrangers furent repousser hors des frontière. L’armée, dans l’élans de la victoire, ce lança à la conquête du duché. La guerre fut tout fois arrêter par le roi Nicolas, la guerre coutante cher. Il fit donc un armistice, en 1121 avec le duché, ce qui frustra le Saint Ordre et ces capes noires.
La peste, avait empirer dans le royaume.
L’armée du Duché, étais moins nombreuse, mais professionnelle. Constantine avait toujours eux une grande culture militaire et la conscription y était de mise. Ils étaient que 4 000, mais c’était les meilleurs en tous les domaines, ils avaient les meilleurs arquebusiers et les meilleurs épéistes de tout le sud du continent.
Les capes noires, avancèrent les premiers, leurs botes foulait la plaine sableuse en direction des position ennemies. Ils furent, toute fois, repousser par une salve massive d’arquebusier. Les balles traversèrent les armures et les corps de c’est malheureux soldats. Ils durent se replier rapidement, les cavaliers constantinois, en profita pour charger les fuyards, tuants une centaine d’hommes. Les arquebusiers almaniens, tira, a leurs tours, une salve qui tua de nombreux chevaliers. C’est dernier, répliqua avec leurs pistolets, ce qui mit les almaniens en difficulté. Les montagnards, profitèrent de ces offensives ennemies, au centre, pour prendre les arquebusiers de revers. Ils traversèrent un bois qui bordait la colline qui servait de camp aux constantinois, et put ainsi, les surprendre par leurs droites. Les hommes des montagnes, furent sans pitié et tua et mutila les pauvres soldats sudistes. Ils tentèrent bien de répliquer par quelques salves, mais la désorganisation fut si grande, qu’ils ne purent riposter efficacement. Les chevaliers. Sans le soutient de l’arrière, dut se replier et quitter le champ de bataille, ils furent suivie par les arquebusiers survivants. La victoire étais à l’Almanie, les étrangers furent repousser hors des frontière. L’armée, dans l’élans de la victoire, ce lança à la conquête du duché. La guerre fut tout fois arrêter par le roi Nicolas, la guerre coutante cher. Il fit donc un armistice, en 1121 avec le duché, ce qui frustra le Saint Ordre et ces capes noires.
La peste, avait empirer dans le royaume.
Les morts s’accumulaient, le ciel était assombri par les buchées a ciel ouvert, les rues était imprégner d’une odeur cadavérique.
Tous, voyait cette épidémie, comme un châtiment divin dut aux infidèles et aux pécheurs du royaume. Ont put donc y voir de nombreux pogroms de vampire et d’étranger.
Un jour, le jeune Nicolaid Kaski, en fut témoin. Le jeune garçon de 12 ans, assista a l’exécution d’une vampire, alors qu’il se rendais a la messe du nouvelle ans 1122.
C’étais un jeune vampire, blonde et d’une grande beauté, malgré son allure plus que modeste. Elle devait avoir aux alentour de 17 ou 18 ans. C’est yeux, mouiller de larmes, face à la cruauté de citadins en soifs de coupable.
Sa condamnation fut prononcée par un prêtre appartenant aux Sainte Ordre.
- Vous, Anna la Verte, avait été juger pour complot afin de nuire aux croyants et a enrichir votre race dégénérer. Au nom de l’Ordre, je vous condamne a mort, que Dieu est pitié de votre âme damner.
La jeune femme ne put que fondre en larme avant qu’ont allume le bucher. Le jeune garçon blond, vu la chaire de la jeune femme se détacher, sa chevelure être réduite en cendre et c’est doux yeux verts fondre
Sur ce terrible spectacle, il tourna les talons et ce rendit a la Cathédrale, il tacha d’oublier du mieux qu’il put, mais il continua de la voir en rêve. Elle ne le quitta jamais.

Tous, voyait cette épidémie, comme un châtiment divin dut aux infidèles et aux pécheurs du royaume. Ont put donc y voir de nombreux pogroms de vampire et d’étranger.
Un jour, le jeune Nicolaid Kaski, en fut témoin. Le jeune garçon de 12 ans, assista a l’exécution d’une vampire, alors qu’il se rendais a la messe du nouvelle ans 1122.
C’étais un jeune vampire, blonde et d’une grande beauté, malgré son allure plus que modeste. Elle devait avoir aux alentour de 17 ou 18 ans. C’est yeux, mouiller de larmes, face à la cruauté de citadins en soifs de coupable.
Sa condamnation fut prononcée par un prêtre appartenant aux Sainte Ordre.
- Vous, Anna la Verte, avait été juger pour complot afin de nuire aux croyants et a enrichir votre race dégénérer. Au nom de l’Ordre, je vous condamne a mort, que Dieu est pitié de votre âme damner.
La jeune femme ne put que fondre en larme avant qu’ont allume le bucher. Le jeune garçon blond, vu la chaire de la jeune femme se détacher, sa chevelure être réduite en cendre et c’est doux yeux verts fondre
Sur ce terrible spectacle, il tourna les talons et ce rendit a la Cathédrale, il tacha d’oublier du mieux qu’il put, mais il continua de la voir en rêve. Elle ne le quitta jamais.
il y a un an