Je vous raconte l'histoire de ma NATION

Lorsqu'il fallait faire escale dans les villages

Il étais pas rare qu'une rixe éclate, a cause de l'intolérance d'un marin ou d'un geste de l'un de ceux ci envers une femme, ou parfois, juste a cause d'un mal entendu culturel.

Le peuple Zainu, qui étais différent du peuple Bi, avais leur propre coutume et leurs propre religion. Ils vénérait les esprits de la foret, esprit qui communiquais avec les sorcières, sorcière qui servais généralement de femme au chef.

Ce peuple étais relativement mépriser par le khan de qui dirigeais l'empire, ils était massivement réduit en esclavage et n'avais aucun droits. Les tribus ont , alors développer, un réflexe de méfiance et d'autodéfense vis a vis des étrangers a leurs ethnies.

Un jour, les fonctionnaires de l'empire, qui dirigeais l'ile depuis la capital local, Hué, décida d'enfin soumettre c'est insolente tribus. La guerre fit alors rage dans la région et l'équipage dut faire tout leurs possible pour terminer les travaux a temps. Après 4 mois de travaux, le camp fut attaquer par les troupes Impérial. Le combat fut rude mais ils réussirent a les repousser mais au cout de la vie de 32 marins. Le capitaine fut capturer lors de cette affrontement.

Condamné a une mort certaine, Homère ne pouvais compter que sur son fils qui étais rester avec l'équipage. Sinon, il se savait perdu.

Personne n'avais le courage de suivre Alexandre, les quelques armes qu'ils avait étais endommagée et donc inefficace. De plus, ils jugeaient le capitaine responsable de leurs situation pénible, il fallait être fou pour mourir pour lui.

Le jeune homme décida donc, de secourir son père adoptif, sans ces compagnons de voyage. Ceux ci le laissèrent y aller. ''Au pire il allais mourir et nous n'aurons qu'a rentrer'' ce disent ils.

Il s'aventura donc dans la jungle, bel et bien seul.

Le jeune homme fut accueilli par de menaçantes lances pointé dans sa direction. Les gardes l'amena au centre du village, ou une foule aux regards haineux et au envie de sang l'encerclèrent.

On lui mit des coups pied, on le frappa a coup de bâton et on lui lança des pierre. Jamais il n'avais récenti de tel douleurs, il s'en mordu la lèvre jusqu'au sang.

Ont voulais le tuer, il le sentait, mais il tachais de rester calme. Son regard resta dure et déterminer, meme face aux cailloux qu'on lui lançai et aux gourdins avec les quels on voulais le tuer. Son regard semblais vouloir dire '' Je veux parler au chef''.

Il vu, alors une femme aux multiples colliers et aux tatouages étrange sur le visage. Elle étais a demi nue, comme tout le village, mais les quelques vêtement qu'elle portait étais de qualité supérieur a ceux des villageois. Il étais brodés d'or et dessinaient des motif complexe. Les locaux s'écartais d'elle, certain s'abaissa voir s'inclina face a cette femme qui étais d'une beauté a la fois exotique et envoutante.

Alexandre s'agenouilla par réflexe mimétique, tout en continuant a fixer les yeux amande de ce qu'il avais compris être la sorcière. Elle s'approcha de lui, l'examina et lui demanda, avec un léger ricanement en langue kavaléenne ''Que veut tu?''.

Les tribus avais, pour la plus part, des bases de langue étrangères, dont le kavaléen, mais la sorcière ne parlais pas comme le font les zainus. Elle n'avais pas d'accent et parlais trop correctement et avec une intonation trop exacte pour que ce ne soit pas de la pure magie.

Un peut terrifier, le jeune lui répondit '' J'ai besoin que vous m'aidiez libérer un homme, il a été capturer par les soldats de Bi. Quel est votre prix, sorcière?''

Un sourire étrange se forma sur le visage de la femme, étrange car c'est yeux, eux, n'exprimait rien a part la terreur d'une ensorceleuse. Elle jaugea le jeune homme, examina c'est jambes, c'est bras et, une fois encore, son visage.

Elle lui dit, ensuite, ''Je t'aiderais, mais, je vais te prendre ta pureté, accepte tu ce marché''. L'ancien apprenti prêtre eux un moment d'hésitation, que voulait t'elle dire par la, il craignais le pire mais il n'y avais pas d'autres options.

Il ferma les yeux et répondit, blanc comme un linge '' J'accepte''.

Elle ricana a sa réponse, tout en le fixant de c'est yeux qui semblais vouloir dire '' Tu est mien''. Elle le fit entrer dans une hutte, elle lui fit boire du sang de serpent qui étais a vomir et qui lui donna des vertiges.

Le villages fit ensuite une dance traditionnel autour de l'habitation en branchage. C'étais une étrange dance, semblant vouloir reproduire les mouvement propre a la nature. Le vent dans les arbres, les rapides des rivières, les pas des jaguars et les mouvement du serpent. Après un temps a être témoins de ce spectacle pas commun, il se mit naturellement a danser avec ceux qui avais souhaiter le tuer. Il ne contrôlais plus c'est mouvement et fini même par ce déshabiller pour ce mêler a la masse.

Des femmes du villages le pris a partie et lui peintura d'étrange symboles sur le corp. Il ne pouvait résister, c'étais comme si quelqu'un d'autre ce trouvais dans son corp. La sorcière lui pris, par la suite, la main et l'entraina dans les eaux peu profonde de la rivière. Elle étais nue et féminine, elle provoquais un sentiment de désir qu'Alexandre avais toujours voulu fuir mais il ne le pouvais plus. Il n'étais plus le maitre de son âme, il étais soumise aux intention maléfique de cette femme, qui voulais l'éloigner de dieu une

bonne fois pour toute.

Ils le firent, elle avec plaisir, lui avec une grande honte.

Quand il se réveilla, il faisais déjà nuit. Il étais coucher sur le sable qui tapissais le village, encore nu et barbouiller de peinture. Il essayais de ce convaincre que ce qu'il venais de vivre étais faux, il en vomissais c'est tripes.

Il pouvais voir, au loin, la lueur d'un feu, il se leva et s'approcha. Il trouva la sorcière et les hommes du village, armés de lance et couvert de sang. entre eux et Alexandre, ce tenais deux homme. Le premier étais le père d'Alexandre, blessé a la tète et inconscient, et un fonctionnaire de Bi, lui qui était responsable de la capture du capitaine.

Agenouiller et ligoter le vielle homme jaugea l'assemblé avec haine et rancœur, l'homme étais humilier.

La femme, s'approcha du jeune marin et lui tendit une lame. Sans qu'il est a y pensai, celui ci la prit en main.

'' Tue le fonctionnaire, tranche lui la tête'' toujours dans kavaléen très inhabituel.

Il voulut de tout coeur résister a cette ordre, mais, il ne put.

Il tua l'homme, c'est larme le rendais aveugle.

Il récupéra ensuite c'est vêtement et son père, ils repartir au près de leurs hommes. Ceux ci fut très étonner de les voir vivant. Ils quittèrent cette enfer vert la semaine qui suivirent.

pas mal l'histoire de l'expédition j'aime bien ça

Merci du compliment cley

Le capitaine avais repris conscience depuis peu. Il ne pouvait même plus ce tenir debout, il n'avais plus l'énergie. Homère, déléguais beaucoup de tache a son fils, fils devenu taciturne depuis leurs dépare. Il ne savais pas pour les évènements qui ont mener a sa libération. Les hommes ne voulait pas lui en dire plus et Alexandre lui disait que le minimum. Il lui disait '' J'ai vendu du vin aux tribus afin de vous libéré'' mais il voyait dans son regard qu'il cachais une autre vérité, une vérité qui ne lui apportais que honte et qui s'obstinais a ne pas dévoiler.

A force, l'homme eu peur, lui aussi, de la vérité et s'accrocha donc au mensonge de son fils adoptif.

Une fois le détroit d'Acre dépasser, la flotte se retrouva enfin a voguer dans l'océan Central.

Il n'y avais plus terre a l'horizon, que vagues immense a perte de vue.

Ce soir-là, les hommes buvais dans la cale du navire, ils chantaient et dansais si fort qu’on pouvait les entendre, même au sommet du mat. Ont étais le soir du nouvelle ans 1067 et le capitaine avais lui-même organiser cette fête, qui étais rarissime à bord. L’équipage avais été fortement hérité lors du séjour sur l’ile et Homère craignais les mutineries. Il savait pour le fait que les matelots avaient l’intention de l’abandonner a son sort, lui et son fils, mais il n’avait rien dit a propos de cela. Il cherchait désormais à pacifier la relation avec tous les navires.

Il se tenais au milieux de la fête, dans un fauteuil une coupe de vin a la main

Son fils n'étais pas avec eux, il gardais le pont. L'attitude de celui ci avais changer, il n'avais plus peur de faire face aux hommes, alors qu'il étais plus petit et plus faible qu'eux, il n'avais plus peur de faire face aux tempête et il n'hésiterais surement pas a ce jeter a l'eau si la situation le demanderais. Il semblais ne plus craindre la mort, même qui semblais la rechercher.

Le jeune homme faisais le tour du pont, sans réel but. Il disait qu'il veillait. Les matelots, déjà ivre a peine minuit débuter, se moquait de lui et le surnomma le ''Veilleur''. Cette agaçante plaisanterie, il la chassa de son esprit, comme il avait appris lorsque qu'il étudias encore les textes sacrées. Il se remémora les belles années a Kavala, les livres, le marché et l'église. Tout c'est souvenir lui rendit le cœur lourd et réprima un sanglot. Il se mettais alors a penser a cette femme et a cette homme qu'il avait tuer et dépecer, lui qui avait juré sur son âme et l'âme de son père adoptif, de ne jamais tuer.

Il réprima, une fois encore une larme, qu'il chassa d'une gifle, infliger par lui même. Il lui fallait ne penser qu'au présent, il le fallait pour sa survit. Son père vivais, il n'avait rien d'autre pour lui dans ce monde, que l'amour paternel qui n'étais dépasser que par la crainte de dieu contre les fauteurs.

Grelottent, il décida de rejoindre c'est compagnons, dans la cale.

Le mois qui suivirent, la terre fut enfin en vue.


Une longue bande de terre oranger s'étalais a l'horizon. Au loin, ont pouvais y voir une grande cité, qui avais poussée sur la cote. C'étais Jaffa, la majestueuse capital du sultanat du Penjab.



lorsque le jeune homme eu été débarquer, il fut frappé par l'apparence de cette cité. L'arche qui accueillais les étrangers, étais, comme ont pourrais dire, a la fois grandiose et spectaculaire. Les demeures des citadins, avait été peintes avec des couleurs jamais vu encore par le jeune homme. Chaque rues semblable a de petites places du marché, il y avais tant de monde, certains transportais des marchandises sur leur têtes, d'autres semblais vouloir vendre d'étranges animaux qui devait servir de montures ou de bêtes de chantier et l'ensemble dégageais des ambiances et des saveurs encore inconnues du jeune marin.

Il suivit tant de mieux que mal sont père, dans cette foule qui semblais ne jamais finir.

Homère négocia une demeure avec un vendeur qui s'exprimais avec un accent qui semblais avoir été tailler avec une hache. Ont une fois la transaction conclu avec lui, les membre de d'équipage pris possession de la demeure. Cette large demeure sera la leurs pour les années avenir.

Ils passèrent les 2 ans qui suivirent, a faire du négoce. Au début, en kavaléen, puis en penjabi. Alexandre avais réussie a apprendre cette langue, après l'achat de livre, dont un qui présentais une traduction a chaque pages. Ce livre parlais du culte local, c'était une version original de la religions du Dieu unique. Elle avais été apporté par le peuple de la mer et leurs prophète, un dénommé Isa. c'étais un faiseur de miracle a qui dieu avais confier la mission de réveiller les hommes et de les soumettre a son autorité toute puissante. Dieu, selon le texte, avait une armée de djinns qui veillais a sa volonté sur terre. C'est dit djinns, étais des esprit errants qui pouvait être bienfaisant comme malfaisant envers les hommes, cela dépendais de la volonté de dieu.

En côtoyant les commerçants, il voyait des gens qui se faisais toujours plus bas que le divin. Il portais tous le turban par peur de la foudre sacré. Les femmes mariés, ce couvrais le visage de voile de soie, pour ne pas provoquer le mauvaise œil et provoquer un djinn dans le même temps. C'étais une société ou le sacré étais le moteur de celle ci, et non pas l'inverse comme sur le continent. Le sultan, lui même, se disait descendre des fils d'Isa pour ce légitimer.

Le commerce, le rapprocha de c'est gens. Il leurs vendais du poissons pécher par lors de c'est quelques sorti en mer, il leurs vendirent le vin de Kavala et lui, achetais épice sur épice. Du clou de girofle, de la vanille, du sucre, de la cannèle et des arachide, il remplissais, lentement mais surement, les cales des navires.

Tout ce déroulais a merveille, il en oublia presque le passé. Malheureusement pour lui, une rencontre inattendu allais changer cela.

C'était une après midi fortement banal, les marchands était a leurs petites affaires. Vendaient mille et un produit qui avait été ramener du désert ou d'ailleurs.

Les citadins se pressait sous les toitures des échoppes, afin de fuir les brulants rayons de soleil de ce début de mois de mai. Alexandre étais parmi eux. Il étais entrain de négocier une importante marchandise de cannelle, pour le compte de son père, a un véreux colporteur, l'un de ceux qui travers le désert de long en large et qui compte bien rentabiliser leurs périples. Le vendeur, passa de 600 dirhams, a 550, puis 500 jusqu'à qu'il accepte enfin, a la énième demande de prix d'ami, qui fit descendre sont prix a moins de 400.


Le jeune homme. Content de son affaire, remercia le marchand ambulant et chargea l'âne de son père avec la marchandise fraichement acquise, il alors route a travers les rue bondées de la ville.

Alors qu'il faisait route vers sa demeure, quelques chose attira son attention. Pas directement mais il de manière invisible, presque spirituel. Sur la terrasse d'une fumerie typique, un vielle homme l'observais de manière a la fois moqueuse mais sage. Interloquer, il s'arrêta a cette établissement et pris place sur un coussin voisin de l'homme.

Il fuma un temps, puis, l'air de rien, lui posa la question.

- Ont se connait?

L'homme, ricana comme le font les vieillards et lui répondit en souriant.

- Vous non, moi par contre, je vous connais depuis toujours.

Alexandre, peu satisfait de cette réponse qui sonnait comme c'elle d'un charlatan, lui demanda.

- Si vous me connaissait vraiment, vous devriez savoir mon nom et le nom de mon père?

L'homme répondit sans se faire prié et avec un sourire d'amusement qui fit frissonner le jeune homme

- vous êtes Alexandre Kaski, vous êtes né dans le royaume Almanie a Port-Du-Roi. Votre vrais père, étais le baron Kaski, hélas, il a été déchu de son titre et exécuter, il y a peu.

Le souffle couper par les dires du vielle homme, le jeune marin le laissa continuer.

- Vous avez été adopte a votre 14em année par un capitaine kavaléen du nom d'Homère Sila. Je sait aussi que vous l'aimez comme vous aimiez, auparavant, votre père et que lui vous aime comme son propre fils.

Ému par les dires de l'homme, il réussi a trouver la force de poser une ultime question.

-Qui êtes vous, d'où me connaissait vous?

- J'ai eu plusieurs noms tout au long de ma vie, Al Mardhi, L'homme de la montagne, l'ancien sage ou simplement l'érudit. Il y a bien longtemps que je vis, j'ai appris tant de choses de ma longue existence. Des chose qui dépasse l'entendement imposée par les puissants qui ne sont, pourtant, qu'impuissant face a la mort.

-Pourquoi m'avoir attiré ici, vous vouliez depuis le début me parler, n'ai-je pas raison? Pourquoi ici, pourquoi maintenant.

- Depuis votre naissance, vous dégager quelques chose, cher jeune homme. Vous êtes un disciple choisi, le maitre vous a choisi depuis le début.

- Quel maitre?

- Je ne pourrais vous répondre, il impossible de connaitre la nature du maitre. Il est au-delà de toute considération mortel.

- Que me veut-il? Je ne suis rien, juste un marin.

- Votre pays d'origine, il souhaite votre retour.

- Et quoi encore, que je prenne la voie de l'épée et que je me fasse chevalier, il en est or de question. Sur l'honneur et sur mon âme, j'ai promis sur le divin de ne jamais emprunter cette voie.

L'homme ricana de la réaction de son jeune interlocuteur.

- L'honneur, est une affaire d'homme, le divin n'a rien a voir avec cela. Quand le divin décide quelques choses, honneur ou pas, cette chose se réalise.

Désarçonner et a bout de souffle de cette discutions, Alexandre ce décida a partir. Le regard vide, il pris son ane et continua sa route. Il regarda une dernière fois, derrière son épaule, et vu le regard de l'homme avec ce même mélange d'amusement et de sagesse.

Up.

Cimer du up

J'ai mis en fav. Déjà lu les deux premiers actes.

T’en pense quoi, jusqu’à maintenant?
Malgré les faute d’orthographe

Quelques fautes d'orthographes relevées en effet. A part ça, le fond est cool.

Et puis de toute façon, les fautes, ça se corrige facilement avec les modifications de post.

J’essaye d’ailleurs de les corriger quand je les vois

J'ai la référence putain

Ref qui est?

Délire de 4chan

Sinon très intéressant