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Sinon très intéressant
:risi_celestin:
Merci clé
:chat_chouettes:
il y a 2 ans
J'ai mis en fav. Déjà lu les deux premiers actes.
:chat_lunettes:
Le capitaine, étais tourmenté depuis peu. Tout avais commencer avec un conflit entre lui et un changeur de devises, ce dernier changeais artificiellement la valeur de la monnaie afin de s'enrichir. Il accusait le brave marin de ne pas avoir donner assez pour la somme reçu, il exigeais donc la différence et ce de manière musclé. Il étais pas rare qu'il ramène la garde ou des bandits de grand chemin a la maison, et se en pleine nuit, afin de réclamer son supposer dut.

Homère Sila ne pouvait compter sur son équipage, il étais claire que les hommes voulait se débarrasser de lui. Ils n'hésitais pas a faire des affaire dans son dos et même a s'embarquer dans d'autre navire, alors qu'ils avaient tous dut signés un contrat d'exclusivité avec lui. Image

Il étais vieux, malade, et endetter, il ne pouvait même plus se lever. Image

Son seul allié restant, étais son fils adoptif, Alexandre. Image

Ce dernier, prenais grand soin de l'homme, il lui appliquais des remèdes contre les douleurs, lui fit a manger et fit face aux hommes qui en voulait au capitaine. Il avait, pour cela, acheter une dague, au bazar.

Il priait tous les soirs, il demandais a dieu de ne jamais lui imposer de s'en servir. A chaque fois qu'il posait le regard sur cette objet, l'homme de la fumerie lui venait en tête, il voulait l'oublié a tout jamais. Il essaya de se persuader que cette scène n'avais été qu'un vulgaire rêve, une mauvaise pensé qu'il fallait enterrer dans son esprit.

Vers le mois d'Aout, le jeune homme rentra du bazar comme a son habitude. Image

Il faisait bon, on étais a la deuxième semaine de la saison des pluies, l'aire été humide et agréable. Les enfants des rues, s'amusait dans les flaques d'eaux, les commerçants tentait de les chasser a coup de ballet, les femmes faisais leurs courses en compagnie de leurs mères ou de leurs sœurs et le bon vent amenais les aromes du bazar dans tous les recoin de la cité.

Il fit route, en étant détendu et de bonne humeur.

Arriver chez lui, il ouvrit la porte et entra sans avoir a y penser réellement. A l'intérieur, il fut surpris d'y voir son père en compagnies d'une assemblais composais de gardes et de deux personnes qu'il détestais particulièrement. Le changeur de devise et le second du Marin Empereur, Mark le boiteux. C'étais un homme d'une quarantaine d'année, au visage boursouflé et a la voie peu discrète.

C'étais un marin expérimenter mais aussi, et surtout, un vautour qui ne ratais pas une occasion de s'enrichir personnellement. Ce petit homme, gros e laid avais sans doute comme intention de vendre les navires et la cargaison afin de se remplir les bourse d'or et le ventre par la même occasion. Image

Les gardes le fit assoir, de force, a ce qui s'apparentais a un procès verbal. Un des un hommes en armure, le sergent si on devais en croire son riche équipement, faisait office de juge. Image

Ils étais accuser de fraude et de mauvaise pratique commercial, il devais rembourser les plaignants, un remboursement qui allais s'élever a 33 000 dinars. Toute leurs économies serais absorber par c'est deux chacals, une tel injustice fit bouillir le jeune homme.

C'est oisifs c'étais léguer contre eux tout ça pour de l'argent. Il ne pouvait le supporter, il mit discrètement la main sur sa dague et commis l'irréparable.

En un éclaire, il ce jeta, lame en main, sur le gros Mark et lui enfonça l'arme dans l'œil gauche. L'homme hurla de douleur, ce qui déstabilisa toute l'assemblé. Il se jeta, ensuite sur le changeur, il l'égorgea d'un seul mouvement. Le sang inonda la pièce. Les deux hommes étais désormais au sol, mort. Le gardes, entoura le jeune homme afin qu'il se rende, mais au lieu de ça, il ce jeta par la fenêtre du première étage et s'écrasa, brutalement, sur l'abri soleil. Titubant, le jeune homme se mit a courir dans le long de la rue, les gardes le suivirent de prêt.

Il réussie, finalement, a les semer dans une ruelle peu fréquenté. Il lava c'est main, c'est bras et son visage dans une flaque d'eau. Il ne croyait pas réel la situation. Il avait trahi la parole de son père et condamné par la même occasion. Un tel crime ne pardonnerais pas. Il pria une dernière fois avant de partir et murmura d'une voie tremblante.

- Pardonnez moi, père.
il y a 2 ans
Le capitaine, étais tourmenté depuis peu. Tout avais commencer avec un conflit entre lui et un changeur de devises, ce dernier changeais artificiellement la valeur de la monnaie afin de s'enrichir. Il accusait le brave marin de ne pas avoir donner assez pour la somme reçu, il exigeais donc la différence et ce de manière musclé. Il étais pas rare qu'il ramène la garde ou des bandits de grand chemin a la maison, et se en pleine nuit, afin de réclamer son supposer dut.

Homère Sila ne pouvait compter sur son équipage, il étais claire que les hommes voulait se débarrasser de lui. Ils n'hésitais pas a faire des affaire dans son dos et même a s'embarquer dans d'autre navire, alors qu'ils avaient tous dut signés un contrat d'exclusivité avec lui. Image

Il étais vieux, malade, et endetter, il ne pouvait même plus se lever. Image

Son seul allié restant, étais son fils adoptif, Alexandre. Image

Ce dernier, prenais grand soin de l'homme, il lui appliquais des remèdes contre les douleurs, lui fit a manger et fit face aux hommes qui en voulait au capitaine. Il avait, pour cela, acheter une dague, au bazar.

Il priait tous les soirs, il demandais a dieu de ne jamais lui imposer de s'en servir. A chaque fois qu'il posait le regard sur cette objet, l'homme de la fumerie lui venait en tête, il voulait l'oublié a tout jamais. Il essaya de se persuader que cette scène n'avais été qu'un vulgaire rêve, une mauvaise pensé qu'il fallait enterrer dans son esprit.

Vers le mois d'Aout, le jeune homme rentra du bazar comme a son habitude. Image

Il faisait bon, on étais a la deuxième semaine de la saison des pluies, l'aire été humide et agréable. Les enfants des rues, s'amusait dans les flaques d'eaux, les commerçants tentait de les chasser a coup de ballet, les femmes faisais leurs courses en compagnie de leurs mères ou de leurs sœurs et le bon vent amenais les aromes du bazar dans tous les recoin de la cité.

Il fit route, en étant détendu et de bonne humeur.

Arriver chez lui, il ouvrit la porte et entra sans avoir a y penser réellement. A l'intérieur, il fut surpris d'y voir son père en compagnies d'une assemblais composais de gardes et de deux personnes qu'il détestais particulièrement. Le changeur de devise et le second du Marin Empereur, Mark le boiteux. C'étais un homme d'une quarantaine d'année, au visage boursouflé et a la voie peu discrète.

C'étais un marin expérimenter mais aussi, et surtout, un vautour qui ne ratais pas une occasion de s'enrichir personnellement. Ce petit homme, gros e laid avais sans doute comme intention de vendre les navires et la cargaison afin de se remplir les bourse d'or et le ventre par la même occasion. Image

Les gardes le fit assoir, de force, a ce qui s'apparentais a un procès verbal. Un des un hommes en armure, le sergent si on devais en croire son riche équipement, faisait office de juge. Image

Ils étais accuser de fraude et de mauvaise pratique commercial, il devais rembourser les plaignants, un remboursement qui allais s'élever a 33 000 dinars. Toute leurs économies serais absorber par c'est deux chacals, une tel injustice fit bouillir le jeune homme.

C'est oisifs c'étais léguer contre eux tout ça pour de l'argent. Il ne pouvait le supporter, il mit discrètement la main sur sa dague et commis l'irréparable.

En un éclaire, il ce jeta, lame en main, sur le gros Mark et lui enfonça l'arme dans l'œil gauche. L'homme hurla de douleur, ce qui déstabilisa toute l'assemblé. Il se jeta, ensuite sur le changeur, il l'égorgea d'un seul mouvement. Le sang inonda la pièce. Les deux hommes étais désormais au sol, mort. Le gardes, entoura le jeune homme afin qu'il se rende, mais au lieu de ça, il ce jeta par la fenêtre du première étage et s'écrasa, brutalement, sur l'abri soleil. Titubant, le jeune homme se mit a courir dans le long de la rue, les gardes le suivirent de prêt.

Il réussie, finalement, a les semer dans une ruelle peu fréquenté. Il lava c'est main, c'est bras et son visage dans une flaque d'eau. Il ne croyait pas réel la situation. Il avait trahi la parole de son père et condamné par la même occasion. Un tel crime ne pardonnerais pas. Il pria une dernière fois avant de partir et murmura d'une voie tremblante.

- Pardonnez moi, père.
Une torche vint éclairer le cachot ou étais enfermer le condamné, les gardes ouvrit la cellule où étais coucher un être aux allures de squelette. Image

Le misérable étais étendu sur une paillasse qui faisait office de lit. Ils réveillèrent celui ci comme on le faisait avec les animaux que l'on savait condamné a la mort.

Une fois celui ci debout, la prêtresse accompagnons les gardes, lui livra la dernière discutions avant la sentence. Image

Elle dit aux gardes de sortir de la pièce, ce qu'il firent. Elle entra dans la petite cellule et elle resta la, debout, faute de sièges. Le prisonnier, resta assis sur sa paillasse, la tête levé vers la femme.

- C'est aujourd'hui, bon baron! Le roi a décidé de ne plus vous laisser vivre.

Kaski, regarda la jeune femme, avec apaisement et lui sourit.

- Qu'il en soit ainsi, il me juge nuisible pour la coure, je doit donc mourir. Je respecte sa décision.

La jeune prêtresse, ému par cette acceptation, ce rappela sont intention de départ, l'aveu.

- Avez vous du regrets, votre trahison, la regretter vous?

- Non, car je n'ai pas trahi, cher enfant.

- La roi, vous n'êtes pas venu a son secoure, pourtant. C'est une trahison, c'est un pécher, Dieu, et je le pris d'avoir pitié de vous, hais de telle choses.

- Oui, je le sait, j'ai lu les textes sacrés bien avant votre naissance et ils ont guider toute mon existence. Or, le roi est le réel traitre, moi, je n'ai rien fait de répréhensible envers le divin.

- Vous n'avais pas honte de dire cela. Dit la prêtresse avec un accent de colère

- Loin de la.

- J'essaye de vous sauver de l'enfer et vous, vous vous enfoncer volontairement dans les limbes.

L'homme sourie, aimablement a son interlocutrice et lui répondit.

- Dieu a commander, aux souverains, de protéger les plus faibles, je ne fait que cela. Le roi vit bien loin de son peuples, il ne les connait même pas, moi, c'est ma famille, ce sont mes enfant. Ils étais terrorisés par les barbares, je les en ai débarrasser, leurs villages se faisait bruler par des pirates, je les ai chassés et quand il a fallu porter la responsabilité de tout ça, je l'est prise.

La religieuse, défait dans son argumentaire, ne sut quoi répondre et l'homme continua.

- Dieu a commander d'aimer et j'ai aimé, j'aime encore et j'aimerais encore dans l'au-delà. Tel est les enseignements du prophète.

La jeune femme, sous le choc de cette interprétation, ne sachant quoi répondre, lui fit les dernier sacrements. C'étais une interprétation si évidente mais si rare, de ce qu'elle avait put voire dans sa courte vie. Orpheline de la guerre, elle n'avait connue que violence et désolation. Elle avait été recueillit par le couvent de Zagreb qui étais dominer par un clergé revancharde qui exigeais un mode de vie austère et sans gouts. Elle ne connaissais pas ce sentient étrange, dégager par le voie de l'ancien baron. C'était l'amour, il n'y avais d'amour nul part, dans ce royaume. Image

Les gardes, réapparurent, dans la pièce. Ils forcèrent le pauvre homme a ce lever, il montèrent l'escalier qui menais a l'extérieur.

La place qui faisait face au château étais bondée, les citadins, hurlais des insultes sur le traitre et dut même être calmés par les quelques capes noires présentes. L'homme monta l'échafaud, le bourreau étais déjà présent. Le roi, regardais depuis le balcon du château, le regard impassible fasse a ce vielle homme qu'il voulait voir mort. Cette scène lui donnait des allure de corbeau charognard, attendant la mort de sa proie, la foule avais des allures de verres dégoulinant, ce qui donna des nausées a la prêtresse.

Le bourreau fit coucher l'homme sur le banc, la tête face a la foule. Le sergent de la confrérie fit prononça un discours ou il énumérais les crime du condamnés et fini celui ci par cette phrase.

- Pour vos crimes contre la coure, Baron Kaski, le roi vous condamne a la décapitation, puisse dieu vous punir a la mesure de vos fautes.

Au dernier moment, Kaski regarda la jeune femme et sembla lui demander, avec c'est lèvres '' Quel est ton nom''.

Elle répondit, les yeux mouillant et a voie haute.

- Catherine, je suis la prêtresse Catherine.

A ce moment la, la hache trancha son coup Image

Il n'étais plus.
il y a 2 ans
pas mal l'histoire de l'expédition j'aime bien ça
:fdv_cigar:
Il vivait comme un sauvage depuis le triste évènement qui le mena a vivre sa situation. Il n'hésitait plus a voler, marchand ou mendiant, afin de soulager son ventre. Le visage cacher par son foulard, il n'avait plus d'identité, plus de fierté et plus d'honneur. On lui avait tout prit. Promit, pourtant, a un avenir d'aristocrate prospère, on lui avait enlever cela, Il avait enfin trouver une voie dans la servitude divine, on le força a faire autrement et même qu'il fut souiller la luxure et le père qui donnait encore du sens a sa misérable vie avait été exécuté devant lui. Crucifier et criblé de flèches devant une foule curieuse de voir un la mort brutal d'un homme, il n'avait put retenir c'est larmes devant ce massacre.

Il menais donc une vie de voleur a la tire et de petit brigand, il étais au antipode de tout ce qu'il fut et il en avait conscience. Il priait chaque jour, pour son salut mais aussi par crainte du divin.

Un jour, Il vola la mauvaise personne. Il avait repérer un de c'est prêtre local, que l'on nommais pacha, il étais richement habiller avec une tunique longue brodée d'or, une riche bague a chaque doigts et une lourde bourse qui faisait énormément de bruit. Il étais accompagner de deux gardes du corp, l'opération étais donc risquer mais, affamé, il prit le risque. Image

Il sauta sur l'homme et lui mit sa lame sous la gorge de ce dernier. Les hommes en arme, prit de cour, ne put même pas dégainer leurs épées, de risque de voir la gorge de leurs protéger, être ouverte. Il s'éloigna de quelques pas, avec son otage, et, en quelques seconde, pris la bourse et jeta brutalement l'homme vers les gardes. Il courut vers les avenues bondé de la ville, le pacha, entrain de reprendre conscience, cria aux deux homme armés.

- Rattraper moi ce gredin!

Alexandre, affaibli par la fin et pris dans un cul de sac de ruelle, ce fit attrapé par les gardes et roué de coup.

A son réveille, il étais nu et enchainer dans une cage. D'habitude le crime de vol, son punit de mort, il étais donc étrange qu'il soit encore vivant. La cage étais assez petite et il ne pouvait ni être debout, et ni assis complétement. Il étais toujours dans la rue, exposer aux passants qui étais, pour la plus part, indifférent a lui. Il eut seulement que des regards méprisants et quelques crachats.

Il passa une des pire nuit de sa vie dans cette endroit froid et inconfortable. Il aurais aimais qu'on le tue directement plutôt qu'on lui inflige un tel sort. Les chaine étais, entrain, de geler littérales sur sa peau, ce qui étais insupportable. Il avais soif, très soif, il se sentais mourir.

Soudain, un homme vint le voir. L'homme de la fumerie échangea un regard avec le prisonnier. Il lui fit boire un thé froid, autant qu'il fallu pour le rassasier. Il fit alors une remarque qui marqua un tournent dans la vie du jeune Alexandre.

- On ne peut échapper au destin, Alexandre. Le maitre ne souhaitais pas un marchand de toi, ni un marin, ni un prêtre. Si tu est encore perdu, rappel toi de notre discutions, tu est fait pour l'épée.


Il partit, le jour ce leva quelques heurs après. Les hommes en arme, vint le sortir de la cage.

Il fut amener au marché d'esclave de la ville. Les enchères débuta Image
Parmi les esclaves, il n'y avait quasiment aucun locos, surtout des valaks du continent, des tribus soumise sur les iles et des moubaks, aux corps robustes et a la peau noire comme le charbon.

Certain ce vendais pour 200 dinars, d'autre pouvais monter a 4 000 ou 5 000. Cela dépendait de la robustesse et de la fonction de l'esclave. Le prix des femmes, valaks surtout, pouvait monter jusqu'à minimum 700 voir 1 500 pour une très belle valak. Elles allait ensuite servir de concubine, de cuisinières ou de danseuse pour les aristocrates et autre hauts placés.

Alexandre fut vendu pour 1000 a un gouverneur de province qui étais venu pour l'occasion. Il l'avais pointer du doigt en disant, a son intendant.

- Lui, il nous le faut! Il sera parfait pour les travaux des champs.

Il fut donc acheter avec deux autres esclave, une femme valak et un des seul penjabi. C'est ainsi qu'il quitta Jaffa, enchainer et devant suivre a pied une caravane a travers le désert le plus chaud du monde connu. Image
il y a 2 ans
Il vivait comme un sauvage depuis le triste évènement qui le mena a vivre sa situation. Il n'hésitait plus a voler, marchand ou mendiant, afin de soulager son ventre. Le visage cacher par son foulard, il n'avait plus d'identité, plus de fierté et plus d'honneur. On lui avait tout prit. Promit, pourtant, a un avenir d'aristocrate prospère, on lui avait enlever cela, Il avait enfin trouver une voie dans la servitude divine, on le força a faire autrement et même qu'il fut souiller la luxure et le père qui donnait encore du sens a sa misérable vie avait été exécuté devant lui. Crucifier et criblé de flèches devant une foule curieuse de voir un la mort brutal d'un homme, il n'avait put retenir c'est larmes devant ce massacre.

Il menais donc une vie de voleur a la tire et de petit brigand, il étais au antipode de tout ce qu'il fut et il en avait conscience. Il priait chaque jour, pour son salut mais aussi par crainte du divin.

Un jour, Il vola la mauvaise personne. Il avait repérer un de c'est prêtre local, que l'on nommais pacha, il étais richement habiller avec une tunique longue brodée d'or, une riche bague a chaque doigts et une lourde bourse qui faisait énormément de bruit. Il étais accompagner de deux gardes du corp, l'opération étais donc risquer mais, affamé, il prit le risque. Image

Il sauta sur l'homme et lui mit sa lame sous la gorge de ce dernier. Les hommes en arme, prit de cour, ne put même pas dégainer leurs épées, de risque de voir la gorge de leurs protéger, être ouverte. Il s'éloigna de quelques pas, avec son otage, et, en quelques seconde, pris la bourse et jeta brutalement l'homme vers les gardes. Il courut vers les avenues bondé de la ville, le pacha, entrain de reprendre conscience, cria aux deux homme armés.

- Rattraper moi ce gredin!

Alexandre, affaibli par la fin et pris dans un cul de sac de ruelle, ce fit attrapé par les gardes et roué de coup.

A son réveille, il étais nu et enchainer dans une cage. D'habitude le crime de vol, son punit de mort, il étais donc étrange qu'il soit encore vivant. La cage étais assez petite et il ne pouvait ni être debout, et ni assis complétement. Il étais toujours dans la rue, exposer aux passants qui étais, pour la plus part, indifférent a lui. Il eut seulement que des regards méprisants et quelques crachats.

Il passa une des pire nuit de sa vie dans cette endroit froid et inconfortable. Il aurais aimais qu'on le tue directement plutôt qu'on lui inflige un tel sort. Les chaine étais, entrain, de geler littérales sur sa peau, ce qui étais insupportable. Il avais soif, très soif, il se sentais mourir.

Soudain, un homme vint le voir. L'homme de la fumerie échangea un regard avec le prisonnier. Il lui fit boire un thé froid, autant qu'il fallu pour le rassasier. Il fit alors une remarque qui marqua un tournent dans la vie du jeune Alexandre.

- On ne peut échapper au destin, Alexandre. Le maitre ne souhaitais pas un marchand de toi, ni un marin, ni un prêtre. Si tu est encore perdu, rappel toi de notre discutions, tu est fait pour l'épée.


Il partit, le jour ce leva quelques heurs après. Les hommes en arme, vint le sortir de la cage.

Il fut amener au marché d'esclave de la ville. Les enchères débuta Image
Parmi les esclaves, il n'y avait quasiment aucun locos, surtout des valaks du continent, des tribus soumise sur les iles et des moubaks, aux corps robustes et a la peau noire comme le charbon.

Certain ce vendais pour 200 dinars, d'autre pouvais monter a 4 000 ou 5 000. Cela dépendait de la robustesse et de la fonction de l'esclave. Le prix des femmes, valaks surtout, pouvait monter jusqu'à minimum 700 voir 1 500 pour une très belle valak. Elles allait ensuite servir de concubine, de cuisinières ou de danseuse pour les aristocrates et autre hauts placés.

Alexandre fut vendu pour 1000 a un gouverneur de province qui étais venu pour l'occasion. Il l'avais pointer du doigt en disant, a son intendant.

- Lui, il nous le faut! Il sera parfait pour les travaux des champs.

Il fut donc acheter avec deux autres esclave, une femme valak et un des seul penjabi. C'est ainsi qu'il quitta Jaffa, enchainer et devant suivre a pied une caravane a travers le désert le plus chaud du monde connu. Image
il y a 2 ans
J'ai mis en fav. Déjà lu les deux premiers actes.
:chat_lunettes:
Le soleil écrasait les hommes sous sa lumière. La caravane étais partis depuis plusieurs jour, déjà. Les esclaves devais braver le sable chaud a chaque pas. Les journée de marche étais interminable et les captifs n'avais droit qu'a un seul maigre repas par jours et quelque petite portion d'eau.

Les esclaves, n'avais le droit a aucune parole durant les repas, afin d'éviter qu'il ne fomente un plan d'évasion. Ils étais sur veiller par un caravanier, armer d'un bâton, au cas du moindre chuchotement venu d'un des larbins.

Un jour, pendant le repas, les maitre furent distraient par le femme, qu'ils avaient forcer a danser pour l'amusement des homme. Pendant ce spectacle qui faisais du bien aux homme brutal du désert, Alexandre put échanger avec son camarade de misère.
Image

- Ont est encore loin de la destination final. Dit l'homme, enchainer au coté d'Alexandre.

- Ou allons nous?

- A Astana, dans les steppes, ils espèrent probablement arriver avant l'hiver.

- Combien de temps, avant d'arriver?

- Un mois si la temps est clément.

Le jeune esclave, vit son interlocuteur ce libéré d'une chaine, comme çi ne rien étais. Surpris par cela, il regarda les siennes, elles étais vielle et rouiller par le sable.

- Ils ont voulut économiser leurs dinars, d'habitude, les chaine son changer a chaque voyage. Dit l'esclave penjabi et il continua la discutions par une proposition.

- Ce soir, faisons le! Ils vont continuer de s'amuser avec la fille, ils vont probablement boire et fumé l'opium qu'ils ont. Ont aura que détruire c'est simulie de chaine et ont sera libre.

Alexandre quitta les yeux de l'esclave et regarda le spectacle humiliant qui étais imposer a la jeune femme. Elle dansais nue, sous la menace d'un gourdin, elle étais belle, avec c'est cheveux blond et son visage claire. A la nuit tomber, elle serais probabement souiller par les hommes, ivre de tous les abus. Il revint vers les yeux de son galérien de compagnon et lui répondit.

- C'est d'accord, faisons le mais ont prend la fille avec nous.

- Bien sure, c'est porcs, vont payer pour leurs actions.

Ils finirent leurs repas en silence et attendit la nuit. Alexandre ne pouvait quitter la jeune esclave des yeux, il ressentais, un sentiment de désir qu'il n'avait pas vu depuis des année. Il avais voulut oublier de tel sentiment, mais n'avais jamais réussi complètement et la jeune esclave venais balayer tout ces années de déni. Image
il y a 2 ans
Le soleil écrasait les hommes sous sa lumière. La caravane étais partis depuis plusieurs jour, déjà. Les esclaves devais braver le sable chaud a chaque pas. Les journée de marche étais interminable et les captifs n'avais droit qu'a un seul maigre repas par jours et quelque petite portion d'eau.

Les esclaves, n'avais le droit a aucune parole durant les repas, afin d'éviter qu'il ne fomente un plan d'évasion. Ils étais sur veiller par un caravanier, armer d'un bâton, au cas du moindre chuchotement venu d'un des larbins.

Un jour, pendant le repas, les maitre furent distraient par le femme, qu'ils avaient forcer a danser pour l'amusement des homme. Pendant ce spectacle qui faisais du bien aux homme brutal du désert, Alexandre put échanger avec son camarade de misère.
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- Ont est encore loin de la destination final. Dit l'homme, enchainer au coté d'Alexandre.

- Ou allons nous?

- A Astana, dans les steppes, ils espèrent probablement arriver avant l'hiver.

- Combien de temps, avant d'arriver?

- Un mois si la temps est clément.

Le jeune esclave, vit son interlocuteur ce libéré d'une chaine, comme çi ne rien étais. Surpris par cela, il regarda les siennes, elles étais vielle et rouiller par le sable.

- Ils ont voulut économiser leurs dinars, d'habitude, les chaine son changer a chaque voyage. Dit l'esclave penjabi et il continua la discutions par une proposition.

- Ce soir, faisons le! Ils vont continuer de s'amuser avec la fille, ils vont probablement boire et fumé l'opium qu'ils ont. Ont aura que détruire c'est simulie de chaine et ont sera libre.

Alexandre quitta les yeux de l'esclave et regarda le spectacle humiliant qui étais imposer a la jeune femme. Elle dansais nue, sous la menace d'un gourdin, elle étais belle, avec c'est cheveux blond et son visage claire. A la nuit tomber, elle serais probabement souiller par les hommes, ivre de tous les abus. Il revint vers les yeux de son galérien de compagnon et lui répondit.

- C'est d'accord, faisons le mais ont prend la fille avec nous.

- Bien sure, c'est porcs, vont payer pour leurs actions.

Ils finirent leurs repas en silence et attendit la nuit. Alexandre ne pouvait quitter la jeune esclave des yeux, il ressentais, un sentiment de désir qu'il n'avait pas vu depuis des année. Il avais voulut oublier de tel sentiment, mais n'avais jamais réussi complètement et la jeune esclave venais balayer tout ces années de déni. Image
Le feu crépitais dans la nuit, la jeune femme, contrainte, devais tenir compagnie au homme du désert. Enchainée nue a un poteau de bois, elle étais exposer aux hommes, hilares de la voire se débattre contre ces chaines douloureuses. Le camp empestais la fumé d'opium, l'aire étais irrespirable et les caravaniers s'extasiais de cela. Certains homme, ivre de vin et d'opium, vint lui toucher les seins et les serrer douloureusement avec leurs mains d'ivrognes. L'un d'eux, le plus vieux et le plus laid d'entre eux, un dénommé Ibn, alla jusqu'à lui lécher le coup et le visage. Son haleine putride lui donnais la nausée, il fini son acte sous les rires de c'est camarades.




Pour ce rassurer, elle avait comme coutume de se remémorer son enfance. Elle s'appelais Mélina Ivanovitch, elle étais la fille d'un prince de la cité de Tyre et d'une princesse du pays de Tule. Son père étais un des hommes l'un des homme les plus respecter parmi les valaks. Ça famille étais la lointaine descendante du mystique roi Ivan qui avait fondé la cité, 1 000 ans auparavant.

Elle vécus sa vie de petite fille a courir le long des murailles en bois et cueillir des fleurs dans les forets aux alentours. Image

C'étais l'enfant le plus aimer de son père, il lui appris a lire et a écrire et l'emmena même, a plusieurs reprise au sanctuaire de la foret de Biork, afin d'y apprendre le rites sacrée des dieux. Image

Un jour, une armée venant d'un royaume lointain, nommé Novigrad, vint pour conquérir la cité et absorber les valaks sous l'autorité de leurs roi et de leurs dieu unique. Image

Les envahisseurs, en supériorité tactique du fait des armes de siège avancés qu'ils possédait, eu raison de la cité. Le roi de Novigrad, voulant absorber la région sans brusquer les locos, mit en au pouvoir un chef issu des descendants du roi Ivan. Le gouverneur, nouvellement élu c'étais convertit a leurs religion, sans aucune résistance. il fit la promesse de convertir l'ensemble du pays et des pays aux alentours. Il fit exécuter les autres descendant du roi Ivan, dont le père et la mère de Mélina.

Elle se souvient de la tristesse qui lui perça le cœur telle une lance et des larmes qui avait mouiller c'est joues d'enfant. Elle dut endurer sa tristesse, au monastère pour femme de Monastride, nouvellement créer par le gouverneur. Elle étais tenu par une prêtresse Novigardienne, sœur Mona, qui fit étudier les texte sacré, aux jeune fille anciennement nobles.

C'étais une dame si douce et si bonne, qu'elle fut affublé du nom de ''mère'' par les filles. Image

Emplit de pitié, pour c'est fillettes, elle ne sut agir autrement que comme une mère. Cette dame aimais particulièrement la petite Mélina, jeune fille intelligente et doué. Elle la consolait souvent, lorsqu'elle étais prise de pleure, du fait du souvenir terrible qu'elle ne savait effacer de son âme.

Elle considérais les autres filles comme c'est sœurs, elle les consolait, comme la mère le faisait avec elle. La nuit, elles se blottissait toute ensemble sur une paillasse, afin de se réchauffer, a la fois le corps, du fait de l'hiver mordant, et le cœurs, du fait de la peine de chacune.

Le temps passa, les fillettes devint des filles puis des jeunes femmes, le petit monastère de bois devint un grand monastère de pierres. Image

Mélina, avait désormais 16 ans, elle étais devenus la seconde du monastère. Elle étais respecter de tous, jusqu'aux nobles, qui regrettais son vœu de chasteté. Elle étais en effet, d'une grande beauté.

Tous lui souriais, elle avait réussie a se reconstruire dans la foi et avais de nouveaux une famille, le monastère avec comme mère, la douce présence de dame Mona.

C'étais sans compter sur la guerre et son lot de pillages et d'atrocités. Image
il y a 2 ans
Le feu crépitais dans la nuit, la jeune femme, contrainte, devais tenir compagnie au homme du désert. Enchainée nue a un poteau de bois, elle étais exposer aux hommes, hilares de la voire se débattre contre ces chaines douloureuses. Le camp empestais la fumé d'opium, l'aire étais irrespirable et les caravaniers s'extasiais de cela. Certains homme, ivre de vin et d'opium, vint lui toucher les seins et les serrer douloureusement avec leurs mains d'ivrognes. L'un d'eux, le plus vieux et le plus laid d'entre eux, un dénommé Ibn, alla jusqu'à lui lécher le coup et le visage. Son haleine putride lui donnais la nausée, il fini son acte sous les rires de c'est camarades.




Pour ce rassurer, elle avait comme coutume de se remémorer son enfance. Elle s'appelais Mélina Ivanovitch, elle étais la fille d'un prince de la cité de Tyre et d'une princesse du pays de Tule. Son père étais un des hommes l'un des homme les plus respecter parmi les valaks. Ça famille étais la lointaine descendante du mystique roi Ivan qui avait fondé la cité, 1 000 ans auparavant.

Elle vécus sa vie de petite fille a courir le long des murailles en bois et cueillir des fleurs dans les forets aux alentours. Image

C'étais l'enfant le plus aimer de son père, il lui appris a lire et a écrire et l'emmena même, a plusieurs reprise au sanctuaire de la foret de Biork, afin d'y apprendre le rites sacrée des dieux. Image

Un jour, une armée venant d'un royaume lointain, nommé Novigrad, vint pour conquérir la cité et absorber les valaks sous l'autorité de leurs roi et de leurs dieu unique. Image

Les envahisseurs, en supériorité tactique du fait des armes de siège avancés qu'ils possédait, eu raison de la cité. Le roi de Novigrad, voulant absorber la région sans brusquer les locos, mit en au pouvoir un chef issu des descendants du roi Ivan. Le gouverneur, nouvellement élu c'étais convertit a leurs religion, sans aucune résistance. il fit la promesse de convertir l'ensemble du pays et des pays aux alentours. Il fit exécuter les autres descendant du roi Ivan, dont le père et la mère de Mélina.

Elle se souvient de la tristesse qui lui perça le cœur telle une lance et des larmes qui avait mouiller c'est joues d'enfant. Elle dut endurer sa tristesse, au monastère pour femme de Monastride, nouvellement créer par le gouverneur. Elle étais tenu par une prêtresse Novigardienne, sœur Mona, qui fit étudier les texte sacré, aux jeune fille anciennement nobles.

C'étais une dame si douce et si bonne, qu'elle fut affublé du nom de ''mère'' par les filles. Image

Emplit de pitié, pour c'est fillettes, elle ne sut agir autrement que comme une mère. Cette dame aimais particulièrement la petite Mélina, jeune fille intelligente et doué. Elle la consolait souvent, lorsqu'elle étais prise de pleure, du fait du souvenir terrible qu'elle ne savait effacer de son âme.

Elle considérais les autres filles comme c'est sœurs, elle les consolait, comme la mère le faisait avec elle. La nuit, elles se blottissait toute ensemble sur une paillasse, afin de se réchauffer, a la fois le corps, du fait de l'hiver mordant, et le cœurs, du fait de la peine de chacune.

Le temps passa, les fillettes devint des filles puis des jeunes femmes, le petit monastère de bois devint un grand monastère de pierres. Image

Mélina, avait désormais 16 ans, elle étais devenus la seconde du monastère. Elle étais respecter de tous, jusqu'aux nobles, qui regrettais son vœu de chasteté. Elle étais en effet, d'une grande beauté.

Tous lui souriais, elle avait réussie a se reconstruire dans la foi et avais de nouveaux une famille, le monastère avec comme mère, la douce présence de dame Mona.

C'étais sans compter sur la guerre et son lot de pillages et d'atrocités. Image
L'empereur de Bi avais déclarer la guerre contre Novigrad, afin d'affirmer son pouvoir dans l'ouest des Alpes.
Les combat furent terribles et Bi prit l'avantage Image

La province de la Valakie étais désormais la cible de pillage de la part des troupes impériales. Le monastère fut la cible de l'un d'eux. La religieuse furent toute réunies dans la grande coure, Dame Mona fut emmener dans la chapelle, elle fut battue a mort par le capitaine qui dirigeais la troupe. Image

Les cris de douleurs et la résonnance des coups, ne fit aucun doute sur le sort tragique de la mère. Certaine prêtresse se mirent a pleurer en pensent au sort de dame Mona et regardèrent Mélina avec des yeux leurs mouillants, semblants dires '' Protège nous, je vous en supplies ma sœur'' mais cette dernière étais impuissante fasse a cela. Elle étais elle même terrifier du sort qu'ont leurs réservais.

Le capitaine, vint devant elles et se mit, avec c'est hommes, a faire un trie parmi les femmes. C'elles considérer comme laides, étais décapiter et les belles, étais réduite en esclavages. Bien sure, Mélina étais la plus belle, il la prit donc pour lui même, il l'a défleurie le soir même, dans sa tante de campagne.

Elle fut amener comme concubine, dans la capital de l'empire. Image

La, elle passa de main en main, tant elle étais apprécier des aristocrates. Son la seul qui la gardait vivante, étais sa foi pour le divin, elle prié a chaque foi que les homme eu fait leurs affaires et soit endormit.

Le jour de c'est 18 ans, elle tomba dans les mains d'un marchand véreux, qui décida de la vendre a un marchand Penjabi. C'est ainsi qu'elle se retrouva dans le marcher d'esclave de Jaffa puis dans cette caravane de rustres ivrognes et pervers.


Les caravaniers étais, pour la plus part coucher, certain, ivre d'opium, ne fit rien a part rester assis le regard vide et la bouche grande ouverte. Le vieux Ibn, étais rester devant le feu, a la regarder de la même manière des aristocrates de Bi, les yeux luisant d'une énergie perverse. Il l'a détacha et la traina, par c'est chaines, dans sa tante.

Il l'étendit et continua cette acte dégoutant qu'il prenais plaisir a faire, une heure plutôt. Il le fit longtemps et partout, puis fini par avoir envie de plus. Il chercha a enlever sa tunique, lorsqu'un gourdin vint lui fracasser le crane. Le Kavaléen qui étais esclave avec elle venait de tuer le pervers, il brisa c'est chaines et ils sortirent tout deux de la tante.

A l'extérieur, elle se rendit compte que tout les hommes étais mort, sauf les deux esclaves.
il y a 2 ans
L'empereur de Bi avais déclarer la guerre contre Novigrad, afin d'affirmer son pouvoir dans l'ouest des Alpes.
Les combat furent terribles et Bi prit l'avantage Image

La province de la Valakie étais désormais la cible de pillage de la part des troupes impériales. Le monastère fut la cible de l'un d'eux. La religieuse furent toute réunies dans la grande coure, Dame Mona fut emmener dans la chapelle, elle fut battue a mort par le capitaine qui dirigeais la troupe. Image

Les cris de douleurs et la résonnance des coups, ne fit aucun doute sur le sort tragique de la mère. Certaine prêtresse se mirent a pleurer en pensent au sort de dame Mona et regardèrent Mélina avec des yeux leurs mouillants, semblants dires '' Protège nous, je vous en supplies ma sœur'' mais cette dernière étais impuissante fasse a cela. Elle étais elle même terrifier du sort qu'ont leurs réservais.

Le capitaine, vint devant elles et se mit, avec c'est hommes, a faire un trie parmi les femmes. C'elles considérer comme laides, étais décapiter et les belles, étais réduite en esclavages. Bien sure, Mélina étais la plus belle, il la prit donc pour lui même, il l'a défleurie le soir même, dans sa tante de campagne.

Elle fut amener comme concubine, dans la capital de l'empire. Image

La, elle passa de main en main, tant elle étais apprécier des aristocrates. Son la seul qui la gardait vivante, étais sa foi pour le divin, elle prié a chaque foi que les homme eu fait leurs affaires et soit endormit.

Le jour de c'est 18 ans, elle tomba dans les mains d'un marchand véreux, qui décida de la vendre a un marchand Penjabi. C'est ainsi qu'elle se retrouva dans le marcher d'esclave de Jaffa puis dans cette caravane de rustres ivrognes et pervers.


Les caravaniers étais, pour la plus part coucher, certain, ivre d'opium, ne fit rien a part rester assis le regard vide et la bouche grande ouverte. Le vieux Ibn, étais rester devant le feu, a la regarder de la même manière des aristocrates de Bi, les yeux luisant d'une énergie perverse. Il l'a détacha et la traina, par c'est chaines, dans sa tante.

Il l'étendit et continua cette acte dégoutant qu'il prenais plaisir a faire, une heure plutôt. Il le fit longtemps et partout, puis fini par avoir envie de plus. Il chercha a enlever sa tunique, lorsqu'un gourdin vint lui fracasser le crane. Le Kavaléen qui étais esclave avec elle venait de tuer le pervers, il brisa c'est chaines et ils sortirent tout deux de la tante.

A l'extérieur, elle se rendit compte que tout les hommes étais mort, sauf les deux esclaves.
Ils pillèrent l'équipement, les habits, la nourriture, l'eau et prirent deux chameau avec eux. Une fois vêtu et armés avec des sabres, le penjabi du groupe s'adresse a Alexandre de manière solennel. Image

- C'est grâce a ton aide, que nous avons put redevenir libre, nous somme désormais frères, par l'honneur.

- Non, c'est grâce a toi je te doit la vie.

- Quel est ton nom, mon frère?

- Alexandre, et toi, mon ami?

- Abass! Tu n'est pas d'ici non?

- Je suis né de l'autre coté de la mer, dans un royaume nommé Almanie.

Abass dévisagea l'apparence de son nouveau frère.

- C'est vrais que tu ne ressemble pas a un valak. Dit-il en souriant de cette remarque qu'il venait de faire.

- Toi qui connait cette terre, ou pouvons nous nous rendre, dans ce désert.

- Ma ville natal, Tripoli, elle est nord est d'ici. Nous serions tranquille, la bas. Elle est situer dans une région rebelle, les lois du sultanat ne s'y applique pas, pas d'esclavage et pas de fonctionnaire tout puissant ou de pachas rapaces.

- C'est loin?

- deux semaines si ont passe par la voit traditionnelle, un mois et demi si ont passe par la route sure.

- Sure, de qui, de quoi?

- Des hommes du sultanat, bougre d'idiot. Ils cherche a reprendre le control de la région, il y a donc énormément de mouvement de troupe. C'est beaucoup trop risquer, ils pourrais être tenté de nous attaquer et de nous remettre nos chaines, de plus, ont est avec une femme et cela pourrais les motivés a nous mettre en cage.

Les trois ancien esclave se regardèrent les yeux indécis. Il étais claire que la route habituel étais beaucoup trop dangereuse mais ils n'étais pas sure, non plus, d'avoir assez de provision pour tenir un voyage plus long. Une choses étais sure, aucun d'entre eux ne voulait retomber dans la position d'esclave, il fut donc décider de prendre le risque de la faim.

Ils se mirent en route, Abass en tête et Alexandre a l'arrière du convoi avec la femme. Image

Alexandre, voulant savoir l'identité de la femme, la questionna.

Il lui parla en penjabi, elle lui répondit quelques mots avec un accent inaudible pour toute personne voulant converser. Il essaya le kavaléen mais n'obtenu encore moins de résulta. Puis, il essaya la langue des écrits divins et ils réussirent, enfin a discuter avec un dialecte cohérent.

- Quelle est votre nom? Demanda t-il.

- Mélina, Je vous remercie de ce que vous avez fait, cette nuit.

- C'est ce que tout bon croyant aurais fait.

- Dieu ne fait pas assez d'homme comme vous.

Flatté par ce compliment, il rougie légèrement. Il changea de sujet et lui demanda.

- Ou avez vous apprise la langue sacré?

- Au monastère de Monastride, j'y officiait en tant que prêtresse.

- Je connait beaucoup de monastères mais celui ci, je n'en ai jamais entendu parler.

- Il étais récent.

- Étais?

- Il a été détruit par les pillard de Bi et souiller par leurs présence. Le jeune homme sentais la jeune femme devenir émotive, en disant cela.

- Je suis désolé, je n'aurais pas du en parler.

- Ce n'est pas vous, j'ai tant de souvenirs de cela.

- Ah, les souvenirs, c'est tout ce qui nous reste a nous. Il suffirait d'oublier les mauvais et de donner plus de place aux bon, non?

Son beau visage sourit de nouveau.

- Vous avez raison mon cher Alexandre. Raconté moi donc!

Ils parlèrent tout deux de leurs enfances, ils rirent ensemble de leurs anecdote respective. Ils parlèrent tout le reste de la journée et ils devinrent, inséparable. Pour la première fois, Alexandre vu la douce lueur d'un amour sincère et réciproque.
il y a 2 ans
Up.
:Zidahi:
T’a des questions, niveau lore?

Je pourrais pas tous détailler en racontant, mais je peux très bien le faire en discutent
:cafe:


Ça peut être sur n’importe quoi, n’hésite pas
il y a 2 ans
Ils pillèrent l'équipement, les habits, la nourriture, l'eau et prirent deux chameau avec eux. Une fois vêtu et armés avec des sabres, le penjabi du groupe s'adresse a Alexandre de manière solennel. Image

- C'est grâce a ton aide, que nous avons put redevenir libre, nous somme désormais frères, par l'honneur.

- Non, c'est grâce a toi je te doit la vie.

- Quel est ton nom, mon frère?

- Alexandre, et toi, mon ami?

- Abass! Tu n'est pas d'ici non?

- Je suis né de l'autre coté de la mer, dans un royaume nommé Almanie.

Abass dévisagea l'apparence de son nouveau frère.

- C'est vrais que tu ne ressemble pas a un valak. Dit-il en souriant de cette remarque qu'il venait de faire.

- Toi qui connait cette terre, ou pouvons nous nous rendre, dans ce désert.

- Ma ville natal, Tripoli, elle est nord est d'ici. Nous serions tranquille, la bas. Elle est situer dans une région rebelle, les lois du sultanat ne s'y applique pas, pas d'esclavage et pas de fonctionnaire tout puissant ou de pachas rapaces.

- C'est loin?

- deux semaines si ont passe par la voit traditionnelle, un mois et demi si ont passe par la route sure.

- Sure, de qui, de quoi?

- Des hommes du sultanat, bougre d'idiot. Ils cherche a reprendre le control de la région, il y a donc énormément de mouvement de troupe. C'est beaucoup trop risquer, ils pourrais être tenté de nous attaquer et de nous remettre nos chaines, de plus, ont est avec une femme et cela pourrais les motivés a nous mettre en cage.

Les trois ancien esclave se regardèrent les yeux indécis. Il étais claire que la route habituel étais beaucoup trop dangereuse mais ils n'étais pas sure, non plus, d'avoir assez de provision pour tenir un voyage plus long. Une choses étais sure, aucun d'entre eux ne voulait retomber dans la position d'esclave, il fut donc décider de prendre le risque de la faim.

Ils se mirent en route, Abass en tête et Alexandre a l'arrière du convoi avec la femme. Image

Alexandre, voulant savoir l'identité de la femme, la questionna.

Il lui parla en penjabi, elle lui répondit quelques mots avec un accent inaudible pour toute personne voulant converser. Il essaya le kavaléen mais n'obtenu encore moins de résulta. Puis, il essaya la langue des écrits divins et ils réussirent, enfin a discuter avec un dialecte cohérent.

- Quelle est votre nom? Demanda t-il.

- Mélina, Je vous remercie de ce que vous avez fait, cette nuit.

- C'est ce que tout bon croyant aurais fait.

- Dieu ne fait pas assez d'homme comme vous.

Flatté par ce compliment, il rougie légèrement. Il changea de sujet et lui demanda.

- Ou avez vous apprise la langue sacré?

- Au monastère de Monastride, j'y officiait en tant que prêtresse.

- Je connait beaucoup de monastères mais celui ci, je n'en ai jamais entendu parler.

- Il étais récent.

- Étais?

- Il a été détruit par les pillard de Bi et souiller par leurs présence. Le jeune homme sentais la jeune femme devenir émotive, en disant cela.

- Je suis désolé, je n'aurais pas du en parler.

- Ce n'est pas vous, j'ai tant de souvenirs de cela.

- Ah, les souvenirs, c'est tout ce qui nous reste a nous. Il suffirait d'oublier les mauvais et de donner plus de place aux bon, non?

Son beau visage sourit de nouveau.

- Vous avez raison mon cher Alexandre. Raconté moi donc!

Ils parlèrent tout deux de leurs enfances, ils rirent ensemble de leurs anecdote respective. Ils parlèrent tout le reste de la journée et ils devinrent, inséparable. Pour la première fois, Alexandre vu la douce lueur d'un amour sincère et réciproque.
ACTE 6
La mort



Il fallu emprunter des routes de montagne qui abimais les bêtes comme les hommes. Au-delà de c'est sentiers rocailleux, les voyageur ne put complanter que des montagne a perte de vu. Ça faisait plus de deux semaines qu'ils voyagèrent dans la direction du Nord Est, ils n'avaient croisé que quelques bergers égarer dans c'est montagne, a la recherche de verts pâturages.

Ils étais a peine au therme, de leurs voyages, que la nourriture commençais déjà a manquer. Une partie de celle ci, avais pourrie lors d'une froide nuit de pleine lune. Ils leurs fallait donc, renouveler lors provision sous peine d'une mort certaine.

Abass connaissait l'existence d'un petit village de montagne, qui se situais dans une vallée en contre bas de la route, ils s'y dirigèrent donc.

Ils prirent une descendante qui les mena dans une vallée ou circulait une rivière, source d'une verdure luxuriante et de champ nourricier pour les paysans. Le long de la route, Alexandre put admiré les incroyable ruine de l'ancienne civilisation. Il vu un majestueux temple aux immense colonnes. Il étais bien plus grand que tout les sanctuaire qu'il eu connu dans sa vie, il étais gravé de grandiose gravure sur tout sa façade. Il y reconnu d'étranges figures divines ainsi que des écritures en caractère divin. Il put lire, ainsi l'inscription '' Serviteurs du roi les divin, nous promettons fidélité et servitude absolu, que ton nom se rependre sur la terre des hommes et que ta voie résonne dans le firmament''. Il s'arrêta ,respectueusement, devant l'édifice en ruine, et s'inclina devant l'œuvre des ancêtre, Mélina fit de même, a y en lu, elle aussi, les inscriptions. Image

Abass, les attendit, ne pouvant lire les inscription mais respectant le grandeur de l'édifice. Une fois les honneurs terminés, il reprirent la route, le cœurs illuminer de la lumière divine.

Le lendemain, ils arrivèrent enfin au village d'Al Kibboutz. Image
il y a 2 ans
Ils pillèrent l'équipement, les habits, la nourriture, l'eau et prirent deux chameau avec eux. Une fois vêtu et armés avec des sabres, le penjabi du groupe s'adresse a Alexandre de manière solennel. Image

- C'est grâce a ton aide, que nous avons put redevenir libre, nous somme désormais frères, par l'honneur.

- Non, c'est grâce a toi je te doit la vie.

- Quel est ton nom, mon frère?

- Alexandre, et toi, mon ami?

- Abass! Tu n'est pas d'ici non?

- Je suis né de l'autre coté de la mer, dans un royaume nommé Almanie.

Abass dévisagea l'apparence de son nouveau frère.

- C'est vrais que tu ne ressemble pas a un valak. Dit-il en souriant de cette remarque qu'il venait de faire.

- Toi qui connait cette terre, ou pouvons nous nous rendre, dans ce désert.

- Ma ville natal, Tripoli, elle est nord est d'ici. Nous serions tranquille, la bas. Elle est situer dans une région rebelle, les lois du sultanat ne s'y applique pas, pas d'esclavage et pas de fonctionnaire tout puissant ou de pachas rapaces.

- C'est loin?

- deux semaines si ont passe par la voit traditionnelle, un mois et demi si ont passe par la route sure.

- Sure, de qui, de quoi?

- Des hommes du sultanat, bougre d'idiot. Ils cherche a reprendre le control de la région, il y a donc énormément de mouvement de troupe. C'est beaucoup trop risquer, ils pourrais être tenté de nous attaquer et de nous remettre nos chaines, de plus, ont est avec une femme et cela pourrais les motivés a nous mettre en cage.

Les trois ancien esclave se regardèrent les yeux indécis. Il étais claire que la route habituel étais beaucoup trop dangereuse mais ils n'étais pas sure, non plus, d'avoir assez de provision pour tenir un voyage plus long. Une choses étais sure, aucun d'entre eux ne voulait retomber dans la position d'esclave, il fut donc décider de prendre le risque de la faim.

Ils se mirent en route, Abass en tête et Alexandre a l'arrière du convoi avec la femme. Image

Alexandre, voulant savoir l'identité de la femme, la questionna.

Il lui parla en penjabi, elle lui répondit quelques mots avec un accent inaudible pour toute personne voulant converser. Il essaya le kavaléen mais n'obtenu encore moins de résulta. Puis, il essaya la langue des écrits divins et ils réussirent, enfin a discuter avec un dialecte cohérent.

- Quelle est votre nom? Demanda t-il.

- Mélina, Je vous remercie de ce que vous avez fait, cette nuit.

- C'est ce que tout bon croyant aurais fait.

- Dieu ne fait pas assez d'homme comme vous.

Flatté par ce compliment, il rougie légèrement. Il changea de sujet et lui demanda.

- Ou avez vous apprise la langue sacré?

- Au monastère de Monastride, j'y officiait en tant que prêtresse.

- Je connait beaucoup de monastères mais celui ci, je n'en ai jamais entendu parler.

- Il étais récent.

- Étais?

- Il a été détruit par les pillard de Bi et souiller par leurs présence. Le jeune homme sentais la jeune femme devenir émotive, en disant cela.

- Je suis désolé, je n'aurais pas du en parler.

- Ce n'est pas vous, j'ai tant de souvenirs de cela.

- Ah, les souvenirs, c'est tout ce qui nous reste a nous. Il suffirait d'oublier les mauvais et de donner plus de place aux bon, non?

Son beau visage sourit de nouveau.

- Vous avez raison mon cher Alexandre. Raconté moi donc!

Ils parlèrent tout deux de leurs enfances, ils rirent ensemble de leurs anecdote respective. Ils parlèrent tout le reste de la journée et ils devinrent, inséparable. Pour la première fois, Alexandre vu la douce lueur d'un amour sincère et réciproque.
il y a 2 ans
ACTE 6
La mort



Il fallu emprunter des routes de montagne qui abimais les bêtes comme les hommes. Au-delà de c'est sentiers rocailleux, les voyageur ne put complanter que des montagne a perte de vu. Ça faisait plus de deux semaines qu'ils voyagèrent dans la direction du Nord Est, ils n'avaient croisé que quelques bergers égarer dans c'est montagne, a la recherche de verts pâturages.

Ils étais a peine au therme, de leurs voyages, que la nourriture commençais déjà a manquer. Une partie de celle ci, avais pourrie lors d'une froide nuit de pleine lune. Ils leurs fallait donc, renouveler lors provision sous peine d'une mort certaine.

Abass connaissait l'existence d'un petit village de montagne, qui se situais dans une vallée en contre bas de la route, ils s'y dirigèrent donc.

Ils prirent une descendante qui les mena dans une vallée ou circulait une rivière, source d'une verdure luxuriante et de champ nourricier pour les paysans. Le long de la route, Alexandre put admiré les incroyable ruine de l'ancienne civilisation. Il vu un majestueux temple aux immense colonnes. Il étais bien plus grand que tout les sanctuaire qu'il eu connu dans sa vie, il étais gravé de grandiose gravure sur tout sa façade. Il y reconnu d'étranges figures divines ainsi que des écritures en caractère divin. Il put lire, ainsi l'inscription '' Serviteurs du roi les divin, nous promettons fidélité et servitude absolu, que ton nom se rependre sur la terre des hommes et que ta voie résonne dans le firmament''. Il s'arrêta ,respectueusement, devant l'édifice en ruine, et s'inclina devant l'œuvre des ancêtre, Mélina fit de même, a y en lu, elle aussi, les inscriptions. Image

Abass, les attendit, ne pouvant lire les inscription mais respectant le grandeur de l'édifice. Une fois les honneurs terminés, il reprirent la route, le cœurs illuminer de la lumière divine.

Le lendemain, ils arrivèrent enfin au village d'Al Kibboutz. Image
Le village était, pour ainsi dire, étrange aux yeux du jeune voyageur. Il n'y avait presque aucune habitation bâtit, presque tout les habitant vivais dans les ruines anciennes creusées dans la montagne. Les paysans vivaient dans une misère jamais vu et jamais cru possible par Alexandre, mais ils vivaient pourtant dans d'immenses palais qu'aucun rois ne pourrait se permettre d'avoir. Au centre de la vallée, les champs de blée suivais un petit ruisseau qui coulait le long des immense montagne de pierre rouge, offrant un oasis de vie a tout créature vivant dans cette environnement hostile.

Malgré les récente récolte, aucun paysans ne voulut donner aux groupe de voyageur ou même, leurs ouvrir la porte. Étant tous les trois armés et la région étant en guerre, les paysans étais terrifié par c'est trois inconnus sortit du désert. Désespérer de trouver tout aides que ce soit de la part des villageois, Abass proposa de ce rendre au fief du roi local. Image

-Personne n'ouvrira, ne perdons plus notre temps a chercher de l'aide des paysans.

- Ont a presque plus rien a manger ni a boire, on va mourir avant d'arriver. Reprocha Alexandre a l'homme du désert.

- Pour la nourriture, ont peut tenir ainsi, et l'eau...

- Ont ne peut rien faire a part boire l'eau sale de la rivière.

- Au point ou en ont est, si nous avons pas le choix, faisons le!

Le jeune homme grimaça son incertitude, l'eau de la rivière avais une couleur brunâtre et une odeur de déjection animal. Il ne faisais aucunement confiance a cette eau ressemblant a une trainée boue. Il comprit le sarcasme du '' faisons le'', il n'y avait que trois fin possible a leurs situation, la mort immédiate, par une diarrhée douloureuse et longue, la mort par asséchement de leurs gorges ou la survit par la marche.

- Qu'allons nous faire? Dit Mélina que ne put comprendre que partiellement la discutions entre les deux hommes.

Alexandre, la voix désespérer, lui dit.

- Ont doit marcher encore.

- Si tel est le cas, doit nous protégera. Répondit t'elle, en joignant c'est mains, en signe de prière.
il y a 2 ans
Le village était, pour ainsi dire, étrange aux yeux du jeune voyageur. Il n'y avait presque aucune habitation bâtit, presque tout les habitant vivais dans les ruines anciennes creusées dans la montagne. Les paysans vivaient dans une misère jamais vu et jamais cru possible par Alexandre, mais ils vivaient pourtant dans d'immenses palais qu'aucun rois ne pourrait se permettre d'avoir. Au centre de la vallée, les champs de blée suivais un petit ruisseau qui coulait le long des immense montagne de pierre rouge, offrant un oasis de vie a tout créature vivant dans cette environnement hostile.

Malgré les récente récolte, aucun paysans ne voulut donner aux groupe de voyageur ou même, leurs ouvrir la porte. Étant tous les trois armés et la région étant en guerre, les paysans étais terrifié par c'est trois inconnus sortit du désert. Désespérer de trouver tout aides que ce soit de la part des villageois, Abass proposa de ce rendre au fief du roi local. Image

-Personne n'ouvrira, ne perdons plus notre temps a chercher de l'aide des paysans.

- Ont a presque plus rien a manger ni a boire, on va mourir avant d'arriver. Reprocha Alexandre a l'homme du désert.

- Pour la nourriture, ont peut tenir ainsi, et l'eau...

- Ont ne peut rien faire a part boire l'eau sale de la rivière.

- Au point ou en ont est, si nous avons pas le choix, faisons le!

Le jeune homme grimaça son incertitude, l'eau de la rivière avais une couleur brunâtre et une odeur de déjection animal. Il ne faisais aucunement confiance a cette eau ressemblant a une trainée boue. Il comprit le sarcasme du '' faisons le'', il n'y avait que trois fin possible a leurs situation, la mort immédiate, par une diarrhée douloureuse et longue, la mort par asséchement de leurs gorges ou la survit par la marche.

- Qu'allons nous faire? Dit Mélina que ne put comprendre que partiellement la discutions entre les deux hommes.

Alexandre, la voix désespérer, lui dit.

- Ont doit marcher encore.

- Si tel est le cas, doit nous protégera. Répondit t'elle, en joignant c'est mains, en signe de prière.
La route fut un clavaire, pire que la traverser qu'ils avait effectuer enchainer. A chaque pas, la fatigue ce faisait plus grande, Ils n'avais plus de nourriture et n'avais droit qu'a quelques goute d'eau par jour. Les migraine causé par le manque d'eau, maintenais Alexandre et Mélina dans un état second, seul Abass pouvait diriger l'expédition, lui qui étais habituer a de telle condition depuis toujours.
Image

Fils de mercenaire, il n'avais, de sa courte vie, jamais quitter le désert. Un coup, il fit la guerre quelques part, un autre coup, il étais sur la route des dunes, pour ce rendre a un autre champs de batailles. Il avait survécut a la faim et a la soif, mieux que tout c'est camarade. Tous étais morts, depuis, seul lui avait été assez fort et assez ruser pour vivre.
Mais, depuis peu, il avais perdu tout envie. Il n'avais plus de camarades, plus d'amis ni de famille, que des souverain qui lui devais si ou ça. A la suit d'une bataille, il n'avais pas sut trouver de raison de ce battre d'avantage et fut capturer par des marchands d'esclaves.

Après sa fuite réussie, il voyait en c'est camarade de cavale, une nouvelle troupe, de nouveaux amis et une nouvelle famille. Ils étais pour lui, sans qu'il se l'explique, un frère et une sœur. Il leurs avait donner le reste du peu de nourriture et ce privait d'eau un jour sur deux pour eux. Il fallait qu'il vivent, c'étais son seul but, peut être son dernier avant la mort.

Les regardant dormir, l'un contre l'autre, pour résister au froid, il attendais que le soleil ce lève afin de reprendre la marche. Image
il y a 2 ans
faudra faire une bd ou je ne sais quoi pour faciliter la compréhension
Après 8 jours de voyage épuisant, ils arrivèrent dans une plaine sableuse au milieux des montagnes. De la route, ou il se trouvaient encore, il purent voir une forteresse au milieux de ce plateaux. Une véritable cité c'étais dresser la, aux milieux des montagne, dans un oasis perdu.

- Nous y voila! Dit Abass, la voie emplis de bonheur. Médina, la cité des montagnes! Image

Ils purent entrer dans la cité sans trop de difficulté, les gardes connaissant Abass. Le roi fut rapidement informer de la venu du group et les accueillis dans son palais. Ils purent manger et boire a leurs faim et a leurs soif.
il y a 2 ans
Après 8 jours de voyage épuisant, ils arrivèrent dans une plaine sableuse au milieux des montagnes. De la route, ou il se trouvaient encore, il purent voir une forteresse au milieux de ce plateaux. Une véritable cité c'étais dresser la, aux milieux des montagne, dans un oasis perdu.

- Nous y voila! Dit Abass, la voie emplis de bonheur. Médina, la cité des montagnes! Image

Ils purent entrer dans la cité sans trop de difficulté, les gardes connaissant Abass. Le roi fut rapidement informer de la venu du group et les accueillis dans son palais. Ils purent manger et boire a leurs faim et a leurs soif.
Ça faisais déjà plusieurs jours, qu'ils avait été accueillit par le roi local. Celui ci, ce nommais Arslan le roux, car il portait une barbe rousse, ce qui était peu commun dans c'est pays. Ils les avais accueillit avec une étonnante amabilité. Connaissant déjà Abass, et lui devant surement quelques chose, le roi ne put les refuser dans son palais et ils prirent, peu a peu, place au sein de la coure.

Mélina, redécouvrait ce mode de vie noble qu'elle avait dut quitter a c'est 8 ans. Image

Elle mangeais a sa faim et des plats d'un grand raffinement, elle avait accès a une bibliothèque qui lui permit de ce perfectionner son usage de la langue penjabi et assistais au séance du roi Arslan entant que dame d'honneur.

Malgré tout cela, il manquais quelques choses a son cœur, la présence d'Alexandre. Il n'étais que peu présent, il s'entrainais a l'épée avec Abass et s'initiais a tout les arts militaires possible en ce lointain monde. Il n'étais présent, a la coure, que un jour sur trois.

Il y avait beaucoup d'homme qui la réclamais, mais elle les rejeta tous et elle priait pour la présence d'un seul. Les hommes de la coure étais des guerriers sans éducation et sans raffinement, Alexandre avait étudier, comme elle, les texte sacrés, il étais saint et baigner par la divine lumière des écritures. Mélina, n'avait connu de sa vie de femme, que des brutes épaisses et athées. Lorsqu'elle avais vue Alexandre, dans le tante du vieux Ibn, elle avais vue dans c'est yeux, la compassion et l'amour universel de dieu. Depuis lors, l'aimais, plus qu'elle même.

- Seigneur, s'il vous plait, fait qu'il revienne. Mis t'elle, dans sa prière avant d'aller rejoindre la coure pour une séance.

Le roi, recevait une troupe de danseuses esclave venu de tripoli, elle étais pour la plus part, bien jeune et c'étais toute des valaks.
Elles étais arriver la veille depuis les routes qui menais au désert.

- Oh, vous, roi des rois des montagne, laissais moi avoir l'honneur de faire danser mes esclaves afin d'accompagne votre vin de ce soir. Dit le marchand en s'inclinant devant Arslan.

- Si la réputation de votre troupe est exacte, vous seriez connu et reconnu de Tripoli jusqu'en dans le lointain Kyrat, c'est bien cela?

- Oui votre majesté, nous avons voyager dans toute c'est lointaines contrées, nous avons livré spectacle a bien des souverains et aujourd'hui, afin de récompenser votre hospitalité, nous souhaitons vous offrir ce spectacle.

Le roi, songea a la proposition puis accepta sous la pression de sa coure composer de soldats.

Elle firent donc spectacle Image

De voir cela, dégoutait Mélina, au plus au point. De voir autant de jeune fille de son peuple danser pour le plaisir de quelques généraux sans honneur l'insupportait aux plus haut points. Avant même la fin du spectacle des esclaves, elle quitta en secret l'assistance et rentra a c'est appartements et elle pria d'avantage au retour d'Alexandre.
il y a 2 ans
Ça faisais déjà plusieurs jours, qu'ils avait été accueillit par le roi local. Celui ci, ce nommais Arslan le roux, car il portait une barbe rousse, ce qui était peu commun dans c'est pays. Ils les avais accueillit avec une étonnante amabilité. Connaissant déjà Abass, et lui devant surement quelques chose, le roi ne put les refuser dans son palais et ils prirent, peu a peu, place au sein de la coure.

Mélina, redécouvrait ce mode de vie noble qu'elle avait dut quitter a c'est 8 ans. Image

Elle mangeais a sa faim et des plats d'un grand raffinement, elle avait accès a une bibliothèque qui lui permit de ce perfectionner son usage de la langue penjabi et assistais au séance du roi Arslan entant que dame d'honneur.

Malgré tout cela, il manquais quelques choses a son cœur, la présence d'Alexandre. Il n'étais que peu présent, il s'entrainais a l'épée avec Abass et s'initiais a tout les arts militaires possible en ce lointain monde. Il n'étais présent, a la coure, que un jour sur trois.

Il y avait beaucoup d'homme qui la réclamais, mais elle les rejeta tous et elle priait pour la présence d'un seul. Les hommes de la coure étais des guerriers sans éducation et sans raffinement, Alexandre avait étudier, comme elle, les texte sacrés, il étais saint et baigner par la divine lumière des écritures. Mélina, n'avait connu de sa vie de femme, que des brutes épaisses et athées. Lorsqu'elle avais vue Alexandre, dans le tante du vieux Ibn, elle avais vue dans c'est yeux, la compassion et l'amour universel de dieu. Depuis lors, l'aimais, plus qu'elle même.

- Seigneur, s'il vous plait, fait qu'il revienne. Mis t'elle, dans sa prière avant d'aller rejoindre la coure pour une séance.

Le roi, recevait une troupe de danseuses esclave venu de tripoli, elle étais pour la plus part, bien jeune et c'étais toute des valaks.
Elles étais arriver la veille depuis les routes qui menais au désert.

- Oh, vous, roi des rois des montagne, laissais moi avoir l'honneur de faire danser mes esclaves afin d'accompagne votre vin de ce soir. Dit le marchand en s'inclinant devant Arslan.

- Si la réputation de votre troupe est exacte, vous seriez connu et reconnu de Tripoli jusqu'en dans le lointain Kyrat, c'est bien cela?

- Oui votre majesté, nous avons voyager dans toute c'est lointaines contrées, nous avons livré spectacle a bien des souverains et aujourd'hui, afin de récompenser votre hospitalité, nous souhaitons vous offrir ce spectacle.

Le roi, songea a la proposition puis accepta sous la pression de sa coure composer de soldats.

Elle firent donc spectacle Image

De voir cela, dégoutait Mélina, au plus au point. De voir autant de jeune fille de son peuple danser pour le plaisir de quelques généraux sans honneur l'insupportait aux plus haut points. Avant même la fin du spectacle des esclaves, elle quitta en secret l'assistance et rentra a c'est appartements et elle pria d'avantage au retour d'Alexandre.
Alexandre avait beaucoup de progrès, il maniais , désormais, l'épée comme un soldat professionnel voir, comme un champion de l'arène. Il avait vaincu bien des guerriers Médinois en duel, depuis le début de son entrainement. Abass, étais impressionner par les talents de son ami, Alexandre apprenais très vite et étais d'une très grande agilité. Tout les deux formais un duo imbattable qui fit frissonner toute la vallée.

Ils rentrèrent au palais peu de temps, après le spectacle des esclaves. Mélina, ont entend la porte de c'est appartements s'ouvrir et en y voyant Alexandre, fut emplis de bonheur mais aussi du fureur.

- Pourquoi est tu partit autant de temps Dit t'elle en le tutoyant, comme elle le faisait avec lui.

Alexandre, ce doutant de quelques chose, lui répondit calmement afin de peut être pouvoir savoir.

- Je me devais de perfectionner ma maitrise de la lame.

- Ne fait plus une telle chose, je t'en pris. Les larmes émaillais c'est doux yeux vert.

Elle s'assis en larme, Alexandre fit de même pour la consolait comme il put.

- Je déteste cette coure, avec c'est barbare de montagnardes en guise de barons.

- Nous n'avons pas le choix, ont doit les supporter.

- Les supporter! Dit t'elle, d'un accent qui exprimait son mécontentement.

- Dieu Nous a mis cette ultime a nous deux, nous devons être fort. C'est hommes font des chose terribles, ils tuent, il pillent et n'ont qu'un respect limité de leurs propre dieu. Or, ce sont les seuls qui ont bien voulu de nous deux.

- Je crois que je ne sera pas assez forte pour supporter cela. Dit elle de sa belle voie tremblante et de c'est yeux mouillants.

- Moi non plus, Mélina. Parfois, j'ai l'impression que le divin m'a abandonner. J'ai le sentiment d'avoir trahi, d'avoir manqué de force pour assumer les promesses que j'avais faite au ciel. J'avais promis de ne jamais tuer, je l'ai fait, de ne jamais volé, je l'ai fait par survit et de ne jamais aimais autre que le divin, j'ai aimais sans le vouloir et je t'aime toi. Aujourd'hui, je suis un damné et la seul chose qui me fait croire, c'est toi, c'est ta vision, c'est ton être.

Alexandre étais rouge de cette confession, Mélina aussi.

Les larme mouillant encore c'est yeux, elle fit une demande a Alexandre.

- Si toi, tu est trop faible pour croire et que moi je suis trop faible pour survivre a cette vie, Alors, s'il te plait Alexandre, ne me quitte plus, soit avec moi, j'ai besoin de toi.

- Je te le promet.

Les années qui suivirent, ils devint tout deux des membre éminant de la coure de Médina. Alexandre se battit pour le roi Arslan et hérita de terres dans la vallée de Médina. Au même moment, il se maria a la belle Mélina, Cela ce fit en petit comité, du fait qu'aucun membre de la coure ne partageais leurs fois. Il vécurent ainsi, sur leurs domaine, jusqu'à un bouleversement inattendu et tragique. Image
il y a 2 ans
faudra faire une bd ou je ne sais quoi pour faciliter la compréhension
Au nouvel ans 1077, Alexandre parti a la chasse a l'aigle, laissant Abass assurer la sécurité de sa femme et de son jeune fils de 3 ans, Marc. La chasse fut très bonne, il rentra avec une bonne quantité de gibier. Il passa devant d'énorme ruine de l'ancienne civilisation, il étais toujours aussi impressionner après toute c'est année passer dans ce désert.

Elles dégageais une énergie presque divine, elles inspirait le respects malgré leurs état de dégradation avancées.
Image

Alors qu'il admirait la grandiose structure, il aperçu au loin, un homme ressemblant a un spectre. Intriguer, il voulu aller voir l'étranger de plus près. Il marcha en sa direction plusieurs minutes mais il s'éloignais et disparaissait sous l'horizon. Il cria afin d'interpeller l'homme mais rien a faire, il étais trop loin.

Soudain, l'étranger s'arrêta au milieux de la plaine désertique, il fit signe de la main au chasseur et fit ensuite le signe de la prière. Ont le regardant plus clairement, Alexandre cru reconnaitre l'homme de la fumerie, le même qu'il avait rencontrer des années auparavant, alors qu'il habitait Jaffa. Il n'aimais pas cette présence, c'étais signe de perturbation, or il n'en voulait plus. Il avait une femme aimante, un fils, un ami fidèle et dévouer ainsi qu'un poste confortable a la coure d'un roi, il ne voulait plus de changement.

Le voyageur s'éloigna pour de bon et disparu dans le l'immensité de ce paysage aride.

L'homme, rentra chez lui inquiet de sa femme et son fils.

Lorsqu'il arriva chez lui, il trouva sa maison intacte avec sa femme et son fils, l'attendons.

Son ami Abass, l'informa, cependant, que le roi le convoquait, lui et toute sa famille.
il y a 2 ans
j'ai oublié la mienne bordel
Je vous aime tous
:love:
Tu ne fais pas exception

il y a 2 ans
j'ai oublié la mienne bordel
Ouais, fait nous un topic, histoire dans avoir une deuxième de comme ça
:risibeuh:
il y a 2 ans