Ce sujet a été résolu
Ouais, fait nous un topic, histoire dans avoir une deuxième de comme ça
quand j'irai mieux
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
Le voyage se fit sans inconvénient pour la troupe. Il y avais Alexandre, Mélina son épouse, son fils, c'est hommes de main et Abass. Ils entrèrent dans la cité comme ils le firent a chaque fois. Quelques chose dérangeais le père de famille, la ville étais calme, il y avais peu d'activité, trop peu. C'est sens étais en alerte. 
Arriver a l'entré du palais, Il s'identifia aux gardes, qui le connaissait déjà de puis bien longtemps, ce ridicule rituel n'avait plus de sens. Ils pénétrèrent, lui le premier, dans l'enceinte du palais, Arslan l'attendais sur son trône.
Il fit s'avança et s'inclina respectueusement devant le roi.
- Vous avez désiré me parler, mon roi?
- Oui Alexandre, je désire te parler et je suis satisfait de ta venu rapide.
Le roi, tout en sirotent son vin, fit venir plusieurs dizaines de gardes dans la grande pièce, garde qui était cacher depuis le début, dans les diffèrent couloirs du palais. Alexandre, les yeux inquiet et interrogatif, dévisagea toute cette assembler d'hommes armés autours de lui.
- Tu a étais d'une grande aide c'est dernière années. Continua Arslan. Tu a défendu notre étendard courageusement mais la guerre étant ce qu'elle est, il faut savoir faire des concessions pour ne plus être importuner par c'est belliqueux voisins.
- Je ne comprend pas, que voulait vous dire par la?
- Je veux dire que tu est, et tu restera, un hérétique au yeux des gens d'ici. Tu a oser te marier avec des coutume qui ne sont pas les coutume des rois et des sultans. Je t'ai donner des terres, alors que tu n'ai sensé être qu'un dhimmi, de plus, tu oser te reproduire, c'est inamissible.
- Et les services que je vous est rendu, les batailles que vous avez gagner grâce a moi, ce n'est rien peut-être? Reprocha Alexandre a ce roi roux de barbe mais noir d'œil.
- Je n'est plus besoin de toi, tu est un criminel, un voyou. Je t'ai engager pendant une période de crise, voila tout. Tu n'est pas le premier bandits sortit du désert que je croise.
- Vous me dégouter.
- Et moi je regrette cela. Dit Arslan, le regard toujours plus noir. Il continua la discutions, en proposant une dernière option a son général.
- C'est simple, convertit toi, devient un homme du pays. Convertit ta femme et ton fils et ont n'oublis tout. Je ne veut pas ta mort mais si je me débarrasse pas de toi, les autres royaume me ferons la guerre jusqu'à qu'ils ai vues ma tète sur une pic.
Alexandre, le regard emplis d'une colère plus noir que les yeux du petit souverain, lui répondit, la main sur la pomme de son épée.
- Je préfère mourir, plutôt que de me convertir a ta religion de barbare illettré.
Le roi, offusquer de cette réponse, fit signe a c'est gardes.
- Tuer le! Qu'on l'expose en pièce sur la place du marcher.
Un des gardes, s'avança pour enfoncer sa lance dans le flan du malheureux mais il se fut surprendre par celui ci et couper la tète d'un geste d'une brutalité que n'avais jamais connu ce palais. Un second se vu le bras trancher en essayant de désarmer Alexandre. Comprennent que leurs adversaire étais très fort, Ils l'entourèrent sans oser l'attaquer, il attendirent presque une minute complète. Après ce temps écouler, deux homme, un armé d'une lance, l'autre d'un glaive, s'avancèrent soudainement. L'homme a la lance reçu un coup de pommeau a la figure, ce qui lui fit exploser c'est lèvres et fit tomber son arme. Le général affronta, ensuite, l'épéiste. Il lui transperça la tète tel un fruit que l'on découpe.
Pendent tout cela, les dizaine d'hommes l'isolèrent dans un coin de la pièce. Pour ce dégager de ce piège, il récupéra la lance au sol et attaqua, a distance, c'est adversaires, il creva l'œil de l'un d'entre eux. Ne pouvant venir a bout de tout c'est gardes, il ce décida a fuir de ce palais mais il voulais punir ce roi ingrats de son affront. Il chargea avec beaucoup de violence les garde pour qu'ils ce disperse un peu plus, la lance de l'un d'entre eux vint lui déchirer la joue. Une fois cela, il repéra une fenêtre et jeta sa lance en visant le roi qui se tenais debout a les regarder. La jambe d'Arslan fut transpercer de toute par et il hurla de douleurs, au même moment , Alexandre ce jeta par la fenêtre et disparu dans le jardin du palais.
Arriver a l'entré du palais, Il s'identifia aux gardes, qui le connaissait déjà de puis bien longtemps, ce ridicule rituel n'avait plus de sens. Ils pénétrèrent, lui le premier, dans l'enceinte du palais, Arslan l'attendais sur son trône.
Il fit s'avança et s'inclina respectueusement devant le roi.
- Vous avez désiré me parler, mon roi?
- Oui Alexandre, je désire te parler et je suis satisfait de ta venu rapide.
Le roi, tout en sirotent son vin, fit venir plusieurs dizaines de gardes dans la grande pièce, garde qui était cacher depuis le début, dans les diffèrent couloirs du palais. Alexandre, les yeux inquiet et interrogatif, dévisagea toute cette assembler d'hommes armés autours de lui.
- Tu a étais d'une grande aide c'est dernière années. Continua Arslan. Tu a défendu notre étendard courageusement mais la guerre étant ce qu'elle est, il faut savoir faire des concessions pour ne plus être importuner par c'est belliqueux voisins.
- Je ne comprend pas, que voulait vous dire par la?
- Je veux dire que tu est, et tu restera, un hérétique au yeux des gens d'ici. Tu a oser te marier avec des coutume qui ne sont pas les coutume des rois et des sultans. Je t'ai donner des terres, alors que tu n'ai sensé être qu'un dhimmi, de plus, tu oser te reproduire, c'est inamissible.
- Et les services que je vous est rendu, les batailles que vous avez gagner grâce a moi, ce n'est rien peut-être? Reprocha Alexandre a ce roi roux de barbe mais noir d'œil.
- Je n'est plus besoin de toi, tu est un criminel, un voyou. Je t'ai engager pendant une période de crise, voila tout. Tu n'est pas le premier bandits sortit du désert que je croise.
- Vous me dégouter.
- Et moi je regrette cela. Dit Arslan, le regard toujours plus noir. Il continua la discutions, en proposant une dernière option a son général.
- C'est simple, convertit toi, devient un homme du pays. Convertit ta femme et ton fils et ont n'oublis tout. Je ne veut pas ta mort mais si je me débarrasse pas de toi, les autres royaume me ferons la guerre jusqu'à qu'ils ai vues ma tète sur une pic.
Alexandre, le regard emplis d'une colère plus noir que les yeux du petit souverain, lui répondit, la main sur la pomme de son épée.
- Je préfère mourir, plutôt que de me convertir a ta religion de barbare illettré.
Le roi, offusquer de cette réponse, fit signe a c'est gardes.
- Tuer le! Qu'on l'expose en pièce sur la place du marcher.
Un des gardes, s'avança pour enfoncer sa lance dans le flan du malheureux mais il se fut surprendre par celui ci et couper la tète d'un geste d'une brutalité que n'avais jamais connu ce palais. Un second se vu le bras trancher en essayant de désarmer Alexandre. Comprennent que leurs adversaire étais très fort, Ils l'entourèrent sans oser l'attaquer, il attendirent presque une minute complète. Après ce temps écouler, deux homme, un armé d'une lance, l'autre d'un glaive, s'avancèrent soudainement. L'homme a la lance reçu un coup de pommeau a la figure, ce qui lui fit exploser c'est lèvres et fit tomber son arme. Le général affronta, ensuite, l'épéiste. Il lui transperça la tète tel un fruit que l'on découpe.
Pendent tout cela, les dizaine d'hommes l'isolèrent dans un coin de la pièce. Pour ce dégager de ce piège, il récupéra la lance au sol et attaqua, a distance, c'est adversaires, il creva l'œil de l'un d'entre eux. Ne pouvant venir a bout de tout c'est gardes, il ce décida a fuir de ce palais mais il voulais punir ce roi ingrats de son affront. Il chargea avec beaucoup de violence les garde pour qu'ils ce disperse un peu plus, la lance de l'un d'entre eux vint lui déchirer la joue. Une fois cela, il repéra une fenêtre et jeta sa lance en visant le roi qui se tenais debout a les regarder. La jambe d'Arslan fut transpercer de toute par et il hurla de douleurs, au même moment , Alexandre ce jeta par la fenêtre et disparu dans le jardin du palais.
il y a 2 ans
Ange_Gabriel
2 ans
Le voyage se fit sans inconvénient pour la troupe. Il y avais Alexandre, Mélina son épouse, son fils, c'est hommes de main et Abass. Ils entrèrent dans la cité comme ils le firent a chaque fois. Quelques chose dérangeais le père de famille, la ville étais calme, il y avais peu d'activité, trop peu. C'est sens étais en alerte. 
Arriver a l'entré du palais, Il s'identifia aux gardes, qui le connaissait déjà de puis bien longtemps, ce ridicule rituel n'avait plus de sens. Ils pénétrèrent, lui le premier, dans l'enceinte du palais, Arslan l'attendais sur son trône.
Il fit s'avança et s'inclina respectueusement devant le roi.
- Vous avez désiré me parler, mon roi?
- Oui Alexandre, je désire te parler et je suis satisfait de ta venu rapide.
Le roi, tout en sirotent son vin, fit venir plusieurs dizaines de gardes dans la grande pièce, garde qui était cacher depuis le début, dans les diffèrent couloirs du palais. Alexandre, les yeux inquiet et interrogatif, dévisagea toute cette assembler d'hommes armés autours de lui.
- Tu a étais d'une grande aide c'est dernière années. Continua Arslan. Tu a défendu notre étendard courageusement mais la guerre étant ce qu'elle est, il faut savoir faire des concessions pour ne plus être importuner par c'est belliqueux voisins.
- Je ne comprend pas, que voulait vous dire par la?
- Je veux dire que tu est, et tu restera, un hérétique au yeux des gens d'ici. Tu a oser te marier avec des coutume qui ne sont pas les coutume des rois et des sultans. Je t'ai donner des terres, alors que tu n'ai sensé être qu'un dhimmi, de plus, tu oser te reproduire, c'est inamissible.
- Et les services que je vous est rendu, les batailles que vous avez gagner grâce a moi, ce n'est rien peut-être? Reprocha Alexandre a ce roi roux de barbe mais noir d'œil.
- Je n'est plus besoin de toi, tu est un criminel, un voyou. Je t'ai engager pendant une période de crise, voila tout. Tu n'est pas le premier bandits sortit du désert que je croise.
- Vous me dégouter.
- Et moi je regrette cela. Dit Arslan, le regard toujours plus noir. Il continua la discutions, en proposant une dernière option a son général.
- C'est simple, convertit toi, devient un homme du pays. Convertit ta femme et ton fils et ont n'oublis tout. Je ne veut pas ta mort mais si je me débarrasse pas de toi, les autres royaume me ferons la guerre jusqu'à qu'ils ai vues ma tète sur une pic.
Alexandre, le regard emplis d'une colère plus noir que les yeux du petit souverain, lui répondit, la main sur la pomme de son épée.
- Je préfère mourir, plutôt que de me convertir a ta religion de barbare illettré.
Le roi, offusquer de cette réponse, fit signe a c'est gardes.
- Tuer le! Qu'on l'expose en pièce sur la place du marcher.
Un des gardes, s'avança pour enfoncer sa lance dans le flan du malheureux mais il se fut surprendre par celui ci et couper la tète d'un geste d'une brutalité que n'avais jamais connu ce palais. Un second se vu le bras trancher en essayant de désarmer Alexandre. Comprennent que leurs adversaire étais très fort, Ils l'entourèrent sans oser l'attaquer, il attendirent presque une minute complète. Après ce temps écouler, deux homme, un armé d'une lance, l'autre d'un glaive, s'avancèrent soudainement. L'homme a la lance reçu un coup de pommeau a la figure, ce qui lui fit exploser c'est lèvres et fit tomber son arme. Le général affronta, ensuite, l'épéiste. Il lui transperça la tète tel un fruit que l'on découpe.
Pendent tout cela, les dizaine d'hommes l'isolèrent dans un coin de la pièce. Pour ce dégager de ce piège, il récupéra la lance au sol et attaqua, a distance, c'est adversaires, il creva l'œil de l'un d'entre eux. Ne pouvant venir a bout de tout c'est gardes, il ce décida a fuir de ce palais mais il voulais punir ce roi ingrats de son affront. Il chargea avec beaucoup de violence les garde pour qu'ils ce disperse un peu plus, la lance de l'un d'entre eux vint lui déchirer la joue. Une fois cela, il repéra une fenêtre et jeta sa lance en visant le roi qui se tenais debout a les regarder. La jambe d'Arslan fut transpercer de toute par et il hurla de douleurs, au même moment , Alexandre ce jeta par la fenêtre et disparu dans le jardin du palais.
Arriver a l'entré du palais, Il s'identifia aux gardes, qui le connaissait déjà de puis bien longtemps, ce ridicule rituel n'avait plus de sens. Ils pénétrèrent, lui le premier, dans l'enceinte du palais, Arslan l'attendais sur son trône.
Il fit s'avança et s'inclina respectueusement devant le roi.
- Vous avez désiré me parler, mon roi?
- Oui Alexandre, je désire te parler et je suis satisfait de ta venu rapide.
Le roi, tout en sirotent son vin, fit venir plusieurs dizaines de gardes dans la grande pièce, garde qui était cacher depuis le début, dans les diffèrent couloirs du palais. Alexandre, les yeux inquiet et interrogatif, dévisagea toute cette assembler d'hommes armés autours de lui.
- Tu a étais d'une grande aide c'est dernière années. Continua Arslan. Tu a défendu notre étendard courageusement mais la guerre étant ce qu'elle est, il faut savoir faire des concessions pour ne plus être importuner par c'est belliqueux voisins.
- Je ne comprend pas, que voulait vous dire par la?
- Je veux dire que tu est, et tu restera, un hérétique au yeux des gens d'ici. Tu a oser te marier avec des coutume qui ne sont pas les coutume des rois et des sultans. Je t'ai donner des terres, alors que tu n'ai sensé être qu'un dhimmi, de plus, tu oser te reproduire, c'est inamissible.
- Et les services que je vous est rendu, les batailles que vous avez gagner grâce a moi, ce n'est rien peut-être? Reprocha Alexandre a ce roi roux de barbe mais noir d'œil.
- Je n'est plus besoin de toi, tu est un criminel, un voyou. Je t'ai engager pendant une période de crise, voila tout. Tu n'est pas le premier bandits sortit du désert que je croise.
- Vous me dégouter.
- Et moi je regrette cela. Dit Arslan, le regard toujours plus noir. Il continua la discutions, en proposant une dernière option a son général.
- C'est simple, convertit toi, devient un homme du pays. Convertit ta femme et ton fils et ont n'oublis tout. Je ne veut pas ta mort mais si je me débarrasse pas de toi, les autres royaume me ferons la guerre jusqu'à qu'ils ai vues ma tète sur une pic.
Alexandre, le regard emplis d'une colère plus noir que les yeux du petit souverain, lui répondit, la main sur la pomme de son épée.
- Je préfère mourir, plutôt que de me convertir a ta religion de barbare illettré.
Le roi, offusquer de cette réponse, fit signe a c'est gardes.
- Tuer le! Qu'on l'expose en pièce sur la place du marcher.
Un des gardes, s'avança pour enfoncer sa lance dans le flan du malheureux mais il se fut surprendre par celui ci et couper la tète d'un geste d'une brutalité que n'avais jamais connu ce palais. Un second se vu le bras trancher en essayant de désarmer Alexandre. Comprennent que leurs adversaire étais très fort, Ils l'entourèrent sans oser l'attaquer, il attendirent presque une minute complète. Après ce temps écouler, deux homme, un armé d'une lance, l'autre d'un glaive, s'avancèrent soudainement. L'homme a la lance reçu un coup de pommeau a la figure, ce qui lui fit exploser c'est lèvres et fit tomber son arme. Le général affronta, ensuite, l'épéiste. Il lui transperça la tète tel un fruit que l'on découpe.
Pendent tout cela, les dizaine d'hommes l'isolèrent dans un coin de la pièce. Pour ce dégager de ce piège, il récupéra la lance au sol et attaqua, a distance, c'est adversaires, il creva l'œil de l'un d'entre eux. Ne pouvant venir a bout de tout c'est gardes, il ce décida a fuir de ce palais mais il voulais punir ce roi ingrats de son affront. Il chargea avec beaucoup de violence les garde pour qu'ils ce disperse un peu plus, la lance de l'un d'entre eux vint lui déchirer la joue. Une fois cela, il repéra une fenêtre et jeta sa lance en visant le roi qui se tenais debout a les regarder. La jambe d'Arslan fut transpercer de toute par et il hurla de douleurs, au même moment , Alexandre ce jeta par la fenêtre et disparu dans le jardin du palais.
Il avais réussi a quitter la cité avec Abass, sa femme et son enfant, en revanche, était pris en otage par le roi de Médina. Ils ce cachèrent dans les montagnes qu'ils connaissaient très bien, pour y avoir chasser tant de fois. Les hommes d'Arslan parcourais les routes de montagne a la recherche des deux fugitifs, ils fouillèrent tous les villages avec plus ou moins de brutalité. Alexandre et Abass étais considérer comme dangereux par le roi, après la blessure infliger par Alexandre, il avait du se faire amputer du fait du risque d'une grave infection. Le roi, devenu manchot, venais de frôler, pour la première fois, la mort. Il ne pouvais laisser un homme qui étais capable de le tuer en liberté, sur tout sur c'est propres terres.
Les deux camarades ce cachais dans les grottes, situer dans les hauteurs de vallée rocailleuses. De la, il devait affronter le froid de l'hiver et le manque d'eau et de nourriture. Pour la première fois depuis 7 ans, Abass se montra faible a Alexandre. Il avait toujours eu l'ombre d'un grand frère vis a vis de cette homme qui ne connaissait rien au désert.
Ce qu'il ne comprenais pas dans l'attitude de son ami, c'est son refus. Il avais toujours eux comme habitude de suivre les mouvement que lui imposait le vent du temps et des hommes, si ont lui demandais de prêter allégeance a tel ou tel roi ou sultan, il le faisait. C'était une question de survit et puis, il n'étais que mercenaire, il se devais de s'adapter a chacun de c'est ''clients''. Il se devais de questionner son camarade, il voulais savoir pourquoi. lors d'une nuit froide, il se lança dans cette douloureuse discutions.
- Hey, Alexandre, tu est réveiller?
- Oui! Tu a encore froid, c'est ça?
- Je voulait te poser cette question, je n'avais pas eu le temps de te la confronter donc je le fait maintenant.
Alexandre, tout a fait serin, laissa son ami poser sa question.
- Pourquoi tu n'a pas accepter la conversion quand il te l'a proposer?
- Par honnêté.
Abass embarrasser par cette réponse si simple, continua son monologue.
- Tu n'avait qu'a accepter, ont n'aurais put éviter tous ça. Ta femme et ton fils serais après de toi et non pas chez ce tyran, mais tu préfère ta fierté a la raison.
- Ce n'est pas de la fierté, c'est de l'honnêté.
- A quoi bon être honnête, si tu n'a plus rien.
Abass fit dos a Alexandre et resta silencieux, ne sachant comment lui exprimer son incompréhension. Après deux minute de cela, Alexandre parla.
- Je ne peut croire en un dieu qui est faux. Le dieux des gens de ce pays, est un dieu de terreur, on le craint comme une bête féroce, celui d'où je vient, il aime comme un père. Les rois ne sont pas c'est égales, car ils ne sont pas capable d'aimer le monde comme le fait le seigneur, le mieux qui puisse faire est de lui prêter sermon et de protéger les fidèles. Les souverains d'ici, ce prenne pour des demi dieux, ils interdisent et punissent l'adultère, mais ne se gène pas pour le pratiquer avec toute femmes qui soit a leurs gouts. Ils n'hésite pas, non plus, a bruler et piller des villages afin de ne retrouver que deux hommes.
Abass regarda en bas de la montagne, il vu les lueurs des habitation incendier par les soldats. Il y régnais une tel injustice dans ce pays, il s'en rendais compte pour la première fois de sa vie. Il étais dégouter cette terre sans amour et sans verdure et ne put que donner raison a son ami.
- Toi, Abass, tu ne devrais pas les suivre dans leurs hérésies. Ils ne servent pas les gens comme toi, tu est un moins que rien pour eux, pour moi tu est comme un frère.
- Je ne pourrais.
- Pourquoi donc?
- C'est comme ça ici, si ont ce soumet pas, ont va en enfer. Il n'y a pas d'autre issu.
- Je te dit et te le redit, c'est l'inverse, leurs dieu est faux et il ne s'en servent que pour justifier leurs actions cruels.
La discutions s'éternisa et les deux amis finirent par s'endormir d'épuisement.
Les deux camarades ce cachais dans les grottes, situer dans les hauteurs de vallée rocailleuses. De la, il devait affronter le froid de l'hiver et le manque d'eau et de nourriture. Pour la première fois depuis 7 ans, Abass se montra faible a Alexandre. Il avait toujours eu l'ombre d'un grand frère vis a vis de cette homme qui ne connaissait rien au désert.

Ce qu'il ne comprenais pas dans l'attitude de son ami, c'est son refus. Il avais toujours eux comme habitude de suivre les mouvement que lui imposait le vent du temps et des hommes, si ont lui demandais de prêter allégeance a tel ou tel roi ou sultan, il le faisait. C'était une question de survit et puis, il n'étais que mercenaire, il se devais de s'adapter a chacun de c'est ''clients''. Il se devais de questionner son camarade, il voulais savoir pourquoi. lors d'une nuit froide, il se lança dans cette douloureuse discutions.
- Hey, Alexandre, tu est réveiller?
- Oui! Tu a encore froid, c'est ça?
- Je voulait te poser cette question, je n'avais pas eu le temps de te la confronter donc je le fait maintenant.
Alexandre, tout a fait serin, laissa son ami poser sa question.
- Pourquoi tu n'a pas accepter la conversion quand il te l'a proposer?
- Par honnêté.
Abass embarrasser par cette réponse si simple, continua son monologue.
- Tu n'avait qu'a accepter, ont n'aurais put éviter tous ça. Ta femme et ton fils serais après de toi et non pas chez ce tyran, mais tu préfère ta fierté a la raison.
- Ce n'est pas de la fierté, c'est de l'honnêté.
- A quoi bon être honnête, si tu n'a plus rien.
Abass fit dos a Alexandre et resta silencieux, ne sachant comment lui exprimer son incompréhension. Après deux minute de cela, Alexandre parla.
- Je ne peut croire en un dieu qui est faux. Le dieux des gens de ce pays, est un dieu de terreur, on le craint comme une bête féroce, celui d'où je vient, il aime comme un père. Les rois ne sont pas c'est égales, car ils ne sont pas capable d'aimer le monde comme le fait le seigneur, le mieux qui puisse faire est de lui prêter sermon et de protéger les fidèles. Les souverains d'ici, ce prenne pour des demi dieux, ils interdisent et punissent l'adultère, mais ne se gène pas pour le pratiquer avec toute femmes qui soit a leurs gouts. Ils n'hésite pas, non plus, a bruler et piller des villages afin de ne retrouver que deux hommes.
Abass regarda en bas de la montagne, il vu les lueurs des habitation incendier par les soldats. Il y régnais une tel injustice dans ce pays, il s'en rendais compte pour la première fois de sa vie. Il étais dégouter cette terre sans amour et sans verdure et ne put que donner raison a son ami.
- Toi, Abass, tu ne devrais pas les suivre dans leurs hérésies. Ils ne servent pas les gens comme toi, tu est un moins que rien pour eux, pour moi tu est comme un frère.
- Je ne pourrais.
- Pourquoi donc?
- C'est comme ça ici, si ont ce soumet pas, ont va en enfer. Il n'y a pas d'autre issu.
- Je te dit et te le redit, c'est l'inverse, leurs dieu est faux et il ne s'en servent que pour justifier leurs actions cruels.
La discutions s'éternisa et les deux amis finirent par s'endormir d'épuisement.
il y a 2 ans
Alors, tu va mieux?
ce week-end je commencerai, je sors d'un rdv, j'ai des choses à faire, un peu de paperasse etc
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
ce week-end je commencerai, je sors d'un rdv, j'ai des choses à faire, un peu de paperasse etc
Cool
il y a 2 ans
Les semaines qui suivirent furent pas moins froides. Abass était toujours dans une grande incompréhension sur les agissements de son ami, il voulait pourtant comprendre. Il le voulait de manière maladive, comment un homme pouvait il tout sacrifier pour de tel question?
Il descendait souvent dans la vallée, dans l'espoir de récupérer plus ou moins de provision, il pouvait alors y observer les habitation calcinées et trop nombreuses fausse communes. Arslan n'avait eu aucun scrupule a massacrer c'est propre sujets afin de les retrouver eux. Abass prit se qu'il put, quelques bout de pains et un peu d'eau, et prit le chemin de la montagne sous les regards des villageois. Il pouvait sentir leurs souffrances, de leurs yeux sans vie, ils n'avait plus rien en commun avec les vivant. Ils avait les joues creusées et les cotes apparentes. Ils étais laids a faire peur, l'homme les évitais du regard, par dégout.
Sur son chemin, il vu un homme qui semblais, comme hors du temps et de l'espace. C'étais un vielle homme aux regard jovial et au joues rouges. Il étais propre et bien habiller, il n'étais pas en tenu de voyage. Ce n'étais clairement pas un marchand, il n'y avait pas de mule, pas de chameaux ni aucune bêtes qui sert aux longs voyages. Il remarqua que Abass le regardais, celui ci, gêner et ne voulant pas se faire trop remarquer, détourna le regard. Le vielle homme sourit.
- Vous m'avez l'aire affamé, n'ai je point raison? Dit l'homme d'un ton joyeux et détaché, comme si cela n'avait pas de réel importance.
Celui ci, vu le pain que transportais son interlocuteur. Il s'approcha, mit son foulard par dessus les morceaux de pains, puit le retira quelques instant plus tard. Abass n'y croyait pas c'est yeux, les miette qu'il avait récupérer étais devenu de belle grande miche de pain frais. Cela n'étais pas possible, il se frotta les yeux frénétiquement mais ce qui venais de voir étais bien réel.
- Comment... Comment cela est-il possible?
- Le maitre est miséricordieux, mon cher ami.
Sur cette simple phrase, il parti et laissa Abass dans sa confusion.
Il n'étais humain mais ce n'étais pas un djinn, car il étais matériel. L'homme n'avait jamais entendu parler d'une telle créature, il ne savait quoi en penser. Il se remémorais ce qu'avait dit Alexandre, il avait parlait du dieu ''qui aimais''. Cela lui tortura l'esprit comme une évidence que l'on pouvait concevoir. Il ne pouvait la concevoir mais avait pourtant vu.
Le soir même, il pria au coté d'Alexandre et lui fit une confession qu'il n'aurais pas fait quelques jours plutôt.
- Tu avais raison, l'autre soir.
Il descendait souvent dans la vallée, dans l'espoir de récupérer plus ou moins de provision, il pouvait alors y observer les habitation calcinées et trop nombreuses fausse communes. Arslan n'avait eu aucun scrupule a massacrer c'est propre sujets afin de les retrouver eux. Abass prit se qu'il put, quelques bout de pains et un peu d'eau, et prit le chemin de la montagne sous les regards des villageois. Il pouvait sentir leurs souffrances, de leurs yeux sans vie, ils n'avait plus rien en commun avec les vivant. Ils avait les joues creusées et les cotes apparentes. Ils étais laids a faire peur, l'homme les évitais du regard, par dégout.
Sur son chemin, il vu un homme qui semblais, comme hors du temps et de l'espace. C'étais un vielle homme aux regard jovial et au joues rouges. Il étais propre et bien habiller, il n'étais pas en tenu de voyage. Ce n'étais clairement pas un marchand, il n'y avait pas de mule, pas de chameaux ni aucune bêtes qui sert aux longs voyages. Il remarqua que Abass le regardais, celui ci, gêner et ne voulant pas se faire trop remarquer, détourna le regard. Le vielle homme sourit.
- Vous m'avez l'aire affamé, n'ai je point raison? Dit l'homme d'un ton joyeux et détaché, comme si cela n'avait pas de réel importance.
Celui ci, vu le pain que transportais son interlocuteur. Il s'approcha, mit son foulard par dessus les morceaux de pains, puit le retira quelques instant plus tard. Abass n'y croyait pas c'est yeux, les miette qu'il avait récupérer étais devenu de belle grande miche de pain frais. Cela n'étais pas possible, il se frotta les yeux frénétiquement mais ce qui venais de voir étais bien réel.
- Comment... Comment cela est-il possible?
- Le maitre est miséricordieux, mon cher ami.
Sur cette simple phrase, il parti et laissa Abass dans sa confusion.
Il n'étais humain mais ce n'étais pas un djinn, car il étais matériel. L'homme n'avait jamais entendu parler d'une telle créature, il ne savait quoi en penser. Il se remémorais ce qu'avait dit Alexandre, il avait parlait du dieu ''qui aimais''. Cela lui tortura l'esprit comme une évidence que l'on pouvait concevoir. Il ne pouvait la concevoir mais avait pourtant vu.
Le soir même, il pria au coté d'Alexandre et lui fit une confession qu'il n'aurais pas fait quelques jours plutôt.
- Tu avais raison, l'autre soir.
il y a 2 ans
Ange_Gabriel
2 ans
Les semaines qui suivirent furent pas moins froides. Abass était toujours dans une grande incompréhension sur les agissements de son ami, il voulait pourtant comprendre. Il le voulait de manière maladive, comment un homme pouvait il tout sacrifier pour de tel question?
Il descendait souvent dans la vallée, dans l'espoir de récupérer plus ou moins de provision, il pouvait alors y observer les habitation calcinées et trop nombreuses fausse communes. Arslan n'avait eu aucun scrupule a massacrer c'est propre sujets afin de les retrouver eux. Abass prit se qu'il put, quelques bout de pains et un peu d'eau, et prit le chemin de la montagne sous les regards des villageois. Il pouvait sentir leurs souffrances, de leurs yeux sans vie, ils n'avait plus rien en commun avec les vivant. Ils avait les joues creusées et les cotes apparentes. Ils étais laids a faire peur, l'homme les évitais du regard, par dégout.
Sur son chemin, il vu un homme qui semblais, comme hors du temps et de l'espace. C'étais un vielle homme aux regard jovial et au joues rouges. Il étais propre et bien habiller, il n'étais pas en tenu de voyage. Ce n'étais clairement pas un marchand, il n'y avait pas de mule, pas de chameaux ni aucune bêtes qui sert aux longs voyages. Il remarqua que Abass le regardais, celui ci, gêner et ne voulant pas se faire trop remarquer, détourna le regard. Le vielle homme sourit.
- Vous m'avez l'aire affamé, n'ai je point raison? Dit l'homme d'un ton joyeux et détaché, comme si cela n'avait pas de réel importance.
Celui ci, vu le pain que transportais son interlocuteur. Il s'approcha, mit son foulard par dessus les morceaux de pains, puit le retira quelques instant plus tard. Abass n'y croyait pas c'est yeux, les miette qu'il avait récupérer étais devenu de belle grande miche de pain frais. Cela n'étais pas possible, il se frotta les yeux frénétiquement mais ce qui venais de voir étais bien réel.
- Comment... Comment cela est-il possible?
- Le maitre est miséricordieux, mon cher ami.
Sur cette simple phrase, il parti et laissa Abass dans sa confusion.
Il n'étais humain mais ce n'étais pas un djinn, car il étais matériel. L'homme n'avait jamais entendu parler d'une telle créature, il ne savait quoi en penser. Il se remémorais ce qu'avait dit Alexandre, il avait parlait du dieu ''qui aimais''. Cela lui tortura l'esprit comme une évidence que l'on pouvait concevoir. Il ne pouvait la concevoir mais avait pourtant vu.
Le soir même, il pria au coté d'Alexandre et lui fit une confession qu'il n'aurais pas fait quelques jours plutôt.
- Tu avais raison, l'autre soir.
Il descendait souvent dans la vallée, dans l'espoir de récupérer plus ou moins de provision, il pouvait alors y observer les habitation calcinées et trop nombreuses fausse communes. Arslan n'avait eu aucun scrupule a massacrer c'est propre sujets afin de les retrouver eux. Abass prit se qu'il put, quelques bout de pains et un peu d'eau, et prit le chemin de la montagne sous les regards des villageois. Il pouvait sentir leurs souffrances, de leurs yeux sans vie, ils n'avait plus rien en commun avec les vivant. Ils avait les joues creusées et les cotes apparentes. Ils étais laids a faire peur, l'homme les évitais du regard, par dégout.
Sur son chemin, il vu un homme qui semblais, comme hors du temps et de l'espace. C'étais un vielle homme aux regard jovial et au joues rouges. Il étais propre et bien habiller, il n'étais pas en tenu de voyage. Ce n'étais clairement pas un marchand, il n'y avait pas de mule, pas de chameaux ni aucune bêtes qui sert aux longs voyages. Il remarqua que Abass le regardais, celui ci, gêner et ne voulant pas se faire trop remarquer, détourna le regard. Le vielle homme sourit.
- Vous m'avez l'aire affamé, n'ai je point raison? Dit l'homme d'un ton joyeux et détaché, comme si cela n'avait pas de réel importance.
Celui ci, vu le pain que transportais son interlocuteur. Il s'approcha, mit son foulard par dessus les morceaux de pains, puit le retira quelques instant plus tard. Abass n'y croyait pas c'est yeux, les miette qu'il avait récupérer étais devenu de belle grande miche de pain frais. Cela n'étais pas possible, il se frotta les yeux frénétiquement mais ce qui venais de voir étais bien réel.
- Comment... Comment cela est-il possible?
- Le maitre est miséricordieux, mon cher ami.
Sur cette simple phrase, il parti et laissa Abass dans sa confusion.
Il n'étais humain mais ce n'étais pas un djinn, car il étais matériel. L'homme n'avait jamais entendu parler d'une telle créature, il ne savait quoi en penser. Il se remémorais ce qu'avait dit Alexandre, il avait parlait du dieu ''qui aimais''. Cela lui tortura l'esprit comme une évidence que l'on pouvait concevoir. Il ne pouvait la concevoir mais avait pourtant vu.
Le soir même, il pria au coté d'Alexandre et lui fit une confession qu'il n'aurais pas fait quelques jours plutôt.
- Tu avais raison, l'autre soir.
Les deux hommes, se mirent a prêcher dans la région. Les villageois furent séduis par cette fois qui ne faisais plus des puissants des demi dieux. De plus en plus de villageois acceptèrent la conversion, a l'été, il étais plus de 18 000. Tous les plus faible de la société se mirent a rejoindre le culte, les prêches poussais même les esclaves a se révolter de plus en plus. Les marchand d'esclave mourrait en grand nombre. Arslan, tenta bien d'endiguer l'avancer des croyants, en y envoyant une armée, mais les soldats se convertirent et retourna leurs armes contre leurs généraux.
Ce fut autour des petit vassaux d'Arslan, de se convertirent, sous le poids des croyant, il étais prés de 50 000 a l'automne. Les prêches se multipliais et les convection suivais, surtout dans cette région pauvre. Entre temps, les croyants avait former une armée, avec Abass et Alexandre a sa tête. Ils capturèrent toute les forteresses qui appartenais a Arslan, il entourèrent, ensuite, Médina. Il étais plus de 100 000 au nouvelle ans.
Arslan étais perdu, il tenais la femme d'Alexandre en otage mais cela ne changeais rien au fait qu'il étais plus populaire que lui, au sein du bas peuple. Celle ci, souriais de le voir échouer et ne pouvais supporter cette affront, de plus, il étais devenu impopulaire au sein même de son palais. Le personnel, parlais de plus en plus de cette religion nouvelle et de c'est nouvelle idées. Arslan n'hésitais plus a tuer qui que ce soit qui le déplaisais, a l'exception de Mélina et de son fils, car il craignais un assaut final et vengeur de la par de son asseyant. Un jour, ou une de c'est concubine fut about, elle se saisi d'une dague qui trainais sur une table et égorgea le roi, il mourus ainsi et la ville fut prise sans difficulté.
Alexandre put enfin revoir sa femme mais les réjouissance fut de courte duré. Le sultan de Tripoli venais d'envoyer une armée, afin de venger son défunt vassaux qui étais Arslan. Il fallut donc, encore, combattre. Les tripolitains fut pris en embuscades par Abass fut défait.
Après un ans et demi de prêches, ils était plus de 200 000. Il fallu plus de deux ans pour venir a bout du sultan. Alexandre mena de rudes combats dans le désert, bien des hommes moururent. Malgré cela, aucun n'avait cesser de croire de prêcher la parole divine.
Le siège de Tripoli fut poser pendant l'hiver 1079, la ville portuaire fut difficile a prendre. Les tripolitains étais ravitailler par le mer et pouvait résister et un très long siège. La stratégie qui fut donc adopter, fut de profiter de la saison sèche pour incendier la cité. Des pluies de flèches et de projectiles enflammer ensevelir la cité. Même le palais du sultan, fut brulé.

A la fin du printemps, la guerre prit fin.
Un nouveau royaume naquit, le Saint Royaume, avec Abass comme roi et Alexandre comme maire du palais.
il y a 2 ans
ce week-end je commencerai, je sors d'un rdv, j'ai des choses à faire, un peu de paperasse etc
Et alors?
Suite du mien demain
Suite du mien demain
il y a 2 ans
Et alors?
Suite du mien demain
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J'ai des idées, je sens comment agencer les mots même si je suis nul.
Lien de l'ia pour les images ? elles sont essentielles pour mon histoire
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Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
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Moi je fouille sur Google image
Je te conseil de faire ça, les images sont vraiment mieux
Tape medieval fantaisy art et tu trouveras
J’ai aussi l’intention de me servir des illustrations de Denis Gordeev, tape, tu verras
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il y a 2 ans
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je n'y arrive pas encore, j'ai l'impression de baisser mon froc devant le forum
je ne sais même pas si j'arriverais à le montrer à @CleaMolette
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il y a 2 ans
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T’inquiète, ce n’est que des métaphores
Ce n’est pas ta réel vie
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il y a 2 ans
je n'y arrive pas encore, j'ai l'impression de baisser mon froc devant le forum
je ne sais même pas si j'arriverais à le montrer à @CleaMolette
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Depuis 1079, la vie d’Alexandre était plus que confortable. Il était doté d’une grande renommer dans tout le Saint royaume, il était très fortuné et ne manquais vraiment de rien. Sa femme lui avait donner 4 enfants supplémentaires, deux filles, Sophia et Christina, et deux fils, Nicola et Léon. Sa femme l’aimait toujours autant et lui, l’aimais en retour. Beaucoup l’enviais mais, lui, il lui manquait toujours quelques choses.
Il ne connaissait pas ce ‘’quelques chose’’ il ne pouvait que ressentir. Ce sentiment atroce le rongeait et faisais de lui, l’homme le plus malheureux au monde. La nuit, il restait l’œil ouvert, a rechercher, toujours rechercher mais a ne trouver qu’un malheureux vide qu’il ne savait combler avec la simple amour de sa famille.
Quelques jours après c’est 37 ans, il partit à la chasse, seul. Il se le devait, il ne pouvait rester plus longtemps entourer, il lui fallait la solitude offerte par les montagnes.
Il traversa les majestueuse montagnes qu’il connaissait depuis tant de temps et qui lui offrait un de c’est rare ilot de solitude de sa vie.
Il prit le temps d’admirer les immenses paysages perdus de ce pays, maculer de ces ruines qui inspirait toujours autant la majesté par ces pierres éternelles. Le soleil, étais alors sur le déclin et offrait un grandiose ciel rosé. Alexandre posa son campement sur une plateforme rocheuse, afin de mieux admirer cette vision digne des plus grands poèmes.
A la nuit tombée, la lune éclaira encore faiblement les montagnes. Alexandre, ce tenait là, au bord de la falaise, à admirer le ciel nocturne. Il était en quête de réponse, Il en appelait à Dieu et a tous les saints. Il se sentait si vide, si ignorant et si mort, qu’il hésita à se jeter dans le vide. Il sentait, alors, capable de renoncer à sa femme, a son poste et sa propre enfant. Il a, depuis longtemps, trahi la parole de sont père adoptif, Homère, il était devenu un parfait chevalier. Il avait désiré devenir moine mais il était loin d’avoir respecter la promesse de chasteté. Il avait promis à sa femme de ne jamais la quitter, et pourtant, étais parti, si souvent, a la guerre. Il n’avait respecté aucune de ces promesses, il avait trahi tant de fois et il se savait coupable devant dieu et devant les saints.
Il était sur le point de sauter, lorsqu’il se rappela d’une conversation qu’il avait eu, lorsqu’il vivait a Jaffa. ‘’Votre pays d’origine, il souhaite votre retour’’ avait dit cet étrange vieillard. A chaque fois qu’il était face a un bouleversement, l’ombre de l’homme du fumoir planait. Il le hantait comme un revenant et cette simple parole, dite des années plutôt, le suivait san vraiment se prononcer.
C’étais donc cela, ‘’Le maitre’’ voulait le voir revenir. Il s’était tellement entêté a ne plus y penser que l’idée de revenir en Almanie ne lui venait aucunement a l’esprit, alors qu’il nourrissait depuis des années, une envie de revoir sa terre.
Pour lui, l’Almanie étais un royaume en guerre permanente avec des hivers mordants et des étés trop courts. C’étais en tout cas c’est dernier souvenir, son enfance avait été pourtant joyeuse. Il se rappelais les chants que lui chantais sa défunt mère, au sujet de son père et de c’est action de bravoure lors des bataille, ‘’Oh baron Kaski, toi notre lame sacrée, que votre armée et votre cœur soit bénit, lorsque vous affrontez l’ennemie de votre épée’’.
Elle était morte avant c’est 10 ans, sa seule ambition, alors, avait été de ressemblais a l’homme qu’elle avait aimé.
‘’Peut être, la rendrai-je fier, de là ou elle est’’ ce disait-il à cette époque.
Il admirait son père, c’était un homme bon mais absent, du fait de sa lourde tâche de baron. C’étais un homme profondément généreux, il n’hésitait pas à donner de son propre pain, lors des mauvaises récoltes. Lorsqu’il eu la guerre contre Verden, il géra lui-même les fiefs de son père, en suivant son exemple. En remerciement, le baron lui fit cadeaux de sa lame de guerre, c’était un des seul vrais moments où son père lui montra un amour particulier. ‘’Je te promets que cette terre sera tienne un jour’’ lui avait-il dit. Il ne put bien sur jamais s’acquitter de cette promesse, de la venais peut-être ce sentiment de vide. Le destin, désirait quelques choses pour lui et pas autres choses.
Il s’endormi tard, cette nuit-là, lorsqu’il se réveilla, le soleil étais déjà haut dans le ciel. Il fit quelques pas, prépara quelques brindilles pour le feu puis le vit. Ce vielle homme qui le regardait de l’autre bout de la vallée. Il savait que c’étais lui, mais le sentiment de crainte et d’appréhension avait disparu, il avait compris qu’il n’était qu’un messager de rappelle. Les deux hommes se regardèrent quelques instants avant que chacun reprenne leurs routes.
Alexandre avait compris après presque vingt ans et il se devait, maintenant de partir.
Il ne connaissait pas ce ‘’quelques chose’’ il ne pouvait que ressentir. Ce sentiment atroce le rongeait et faisais de lui, l’homme le plus malheureux au monde. La nuit, il restait l’œil ouvert, a rechercher, toujours rechercher mais a ne trouver qu’un malheureux vide qu’il ne savait combler avec la simple amour de sa famille.
Quelques jours après c’est 37 ans, il partit à la chasse, seul. Il se le devait, il ne pouvait rester plus longtemps entourer, il lui fallait la solitude offerte par les montagnes.
Il traversa les majestueuse montagnes qu’il connaissait depuis tant de temps et qui lui offrait un de c’est rare ilot de solitude de sa vie.
Il prit le temps d’admirer les immenses paysages perdus de ce pays, maculer de ces ruines qui inspirait toujours autant la majesté par ces pierres éternelles. Le soleil, étais alors sur le déclin et offrait un grandiose ciel rosé. Alexandre posa son campement sur une plateforme rocheuse, afin de mieux admirer cette vision digne des plus grands poèmes.
A la nuit tombée, la lune éclaira encore faiblement les montagnes. Alexandre, ce tenait là, au bord de la falaise, à admirer le ciel nocturne. Il était en quête de réponse, Il en appelait à Dieu et a tous les saints. Il se sentait si vide, si ignorant et si mort, qu’il hésita à se jeter dans le vide. Il sentait, alors, capable de renoncer à sa femme, a son poste et sa propre enfant. Il a, depuis longtemps, trahi la parole de sont père adoptif, Homère, il était devenu un parfait chevalier. Il avait désiré devenir moine mais il était loin d’avoir respecter la promesse de chasteté. Il avait promis à sa femme de ne jamais la quitter, et pourtant, étais parti, si souvent, a la guerre. Il n’avait respecté aucune de ces promesses, il avait trahi tant de fois et il se savait coupable devant dieu et devant les saints.
Il était sur le point de sauter, lorsqu’il se rappela d’une conversation qu’il avait eu, lorsqu’il vivait a Jaffa. ‘’Votre pays d’origine, il souhaite votre retour’’ avait dit cet étrange vieillard. A chaque fois qu’il était face a un bouleversement, l’ombre de l’homme du fumoir planait. Il le hantait comme un revenant et cette simple parole, dite des années plutôt, le suivait san vraiment se prononcer.
C’étais donc cela, ‘’Le maitre’’ voulait le voir revenir. Il s’était tellement entêté a ne plus y penser que l’idée de revenir en Almanie ne lui venait aucunement a l’esprit, alors qu’il nourrissait depuis des années, une envie de revoir sa terre.
Pour lui, l’Almanie étais un royaume en guerre permanente avec des hivers mordants et des étés trop courts. C’étais en tout cas c’est dernier souvenir, son enfance avait été pourtant joyeuse. Il se rappelais les chants que lui chantais sa défunt mère, au sujet de son père et de c’est action de bravoure lors des bataille, ‘’Oh baron Kaski, toi notre lame sacrée, que votre armée et votre cœur soit bénit, lorsque vous affrontez l’ennemie de votre épée’’.
Elle était morte avant c’est 10 ans, sa seule ambition, alors, avait été de ressemblais a l’homme qu’elle avait aimé.
‘’Peut être, la rendrai-je fier, de là ou elle est’’ ce disait-il à cette époque.
Il admirait son père, c’était un homme bon mais absent, du fait de sa lourde tâche de baron. C’étais un homme profondément généreux, il n’hésitait pas à donner de son propre pain, lors des mauvaises récoltes. Lorsqu’il eu la guerre contre Verden, il géra lui-même les fiefs de son père, en suivant son exemple. En remerciement, le baron lui fit cadeaux de sa lame de guerre, c’était un des seul vrais moments où son père lui montra un amour particulier. ‘’Je te promets que cette terre sera tienne un jour’’ lui avait-il dit. Il ne put bien sur jamais s’acquitter de cette promesse, de la venais peut-être ce sentiment de vide. Le destin, désirait quelques choses pour lui et pas autres choses.
Il s’endormi tard, cette nuit-là, lorsqu’il se réveilla, le soleil étais déjà haut dans le ciel. Il fit quelques pas, prépara quelques brindilles pour le feu puis le vit. Ce vielle homme qui le regardait de l’autre bout de la vallée. Il savait que c’étais lui, mais le sentiment de crainte et d’appréhension avait disparu, il avait compris qu’il n’était qu’un messager de rappelle. Les deux hommes se regardèrent quelques instants avant que chacun reprenne leurs routes.
Alexandre avait compris après presque vingt ans et il se devait, maintenant de partir.
il y a 2 ans
T’inquiète, ce n’est que des métaphores
Ce n’est pas ta réel vie
Ce n’est pas ta réel vie
ça parle quand-même de mes amours et de mes rêves
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
ça parle quand-même de mes amours et de mes rêves
Bah c’est super
il y a 2 ans
Bah c’est super
non c'est effrayant
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
Il prépara pendant un ans son voyage. Il en avait parlé à sa femme qui hésita longtemps. Elle, avait reconstruit sa vie dans ce pays, il était dure de quitter pour revenir sur son continent natal. Elle n’avait plus aucune attache, a part sa religion et son sang, sinon, elle n’avait pas parlé valak depuis bien longtemps et c’était orientaliser considérablement. Elle ne portait plus les robes rouge et blanche des femmes valaks mais la soie a motif des femmes aristocrates du Penjab. Même dans sa posture, il n’y avait plus rien d’occidental, elle machait, mangeais et se tenait comme les princesses de ce pays qui était pourtant étranger. Alexandre, lui rappela, en revanche, l’essentiel, elle était une princesse et pas n’importe laquelle, elle descendait du roi Ivan et elle pouvait donc hériter du trône de la Valakie.
Elle avait donc, devant elle la possibilité de reprendre le contrôle de son royaume d’origine et de peut être venger la mort de ces parents. Cette envie émergea en elle comme une vague scélérate au milieu de l’océan de tranquillité qu’étais sa vie. Elle se rappelait, désormais, de la peine et de la souffrance qu’elle avait endurer dans ces jeunes années. Elle se rappelais du moment ou elle avait vu la tête de son père se faire séparer de son corps et du sourire satisfait du gouverneur, devant ce spectacle ignoble.
Elle serra le point sur ce souvenir qu’elle n’avait sut oublier.
Elle accepta de suivre son mari dans cette aventure mais, ils devront en premier lieux passer par la Valakie, c’était le compromis qu’ils avait trouvé pour que le voyage se passe. De plus, s’ils arrivaient à reconquérir ce royaume, ça offrirait un allié de taille à Alexandre, s’attendais déjà a une hostilité de la part de la noblesse en Almanie.
Abass était attrister par leurs départs mais accepta, il leurs offrit même, c’est propres navires leurs voyage. Il était redevable à vie à Alexandre et ce devait, par honneur, de le soutenir dans cette aventure, malgré sa peine.
Alexandre, pendant cette période, recruta le plus de mercenaire qu’il put. Il multipliait les missives et les voyages, afin de se trouver les meilleurs guerriers possibles. Il acheta, même, une nouvelle arme, venu de la république d’Hélios, le canon. C’étais un large cylindre de ferre affubler d’une mèche et qui pouvait propulser un boulet a des vitesses jamais vu et qui dépassait l’efficacité des catapultes. Elle avait le même fonctionnement que le feu grégeois, avec une poudre que 'ont enflammer. Elle avait, selon les chroniqueurs, déjà permit, a la république, de reprendre plusieurs dizaines de forteresse a l’Empire Bi dans les années 1070, elle avait donc une très bonne réputation. Il en acheta 12 et engagea 50 mercenaires kavaléens spécialiser dans cette arme.
Peu avant le nouvel an, tout était fin prêt, il avait réuni plus de 1500 hommes de tout horizons et avait vendu toute c’est propriété a Abass. Celui-ci, le serra une dernière fois dans c’est bras.
- Je donnerais tout pour que tu restes, mais dieu sait que ce n’est pas raisonnable. Dit-il, les yeux mouillants, a son ami Alexandre.
- Garde ce que tu a, tu a l’a mérité, je n’ai pas a le recevoir. Tu a un beau et grand royaume, plus beau que beaucoup d'autres, profite en.
- Ce royaume! Ce royaume, n’a que très peu d’importance. Dieu m’a donné un ami fidèle comme toi, cela m’aurait suffi.
Les deux hommes firent leurs derniers adieux, Alexandre embarqua avec sa femme ces quatre enfants. Ils voguèrent vers l’est, une direction qu’Alexandre n’avait pas prit depuis bien longtemps.
Elle avait donc, devant elle la possibilité de reprendre le contrôle de son royaume d’origine et de peut être venger la mort de ces parents. Cette envie émergea en elle comme une vague scélérate au milieu de l’océan de tranquillité qu’étais sa vie. Elle se rappelait, désormais, de la peine et de la souffrance qu’elle avait endurer dans ces jeunes années. Elle se rappelais du moment ou elle avait vu la tête de son père se faire séparer de son corps et du sourire satisfait du gouverneur, devant ce spectacle ignoble.
Elle serra le point sur ce souvenir qu’elle n’avait sut oublier.
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Abass était attrister par leurs départs mais accepta, il leurs offrit même, c’est propres navires leurs voyage. Il était redevable à vie à Alexandre et ce devait, par honneur, de le soutenir dans cette aventure, malgré sa peine.
Alexandre, pendant cette période, recruta le plus de mercenaire qu’il put. Il multipliait les missives et les voyages, afin de se trouver les meilleurs guerriers possibles. Il acheta, même, une nouvelle arme, venu de la république d’Hélios, le canon. C’étais un large cylindre de ferre affubler d’une mèche et qui pouvait propulser un boulet a des vitesses jamais vu et qui dépassait l’efficacité des catapultes. Elle avait le même fonctionnement que le feu grégeois, avec une poudre que 'ont enflammer. Elle avait, selon les chroniqueurs, déjà permit, a la république, de reprendre plusieurs dizaines de forteresse a l’Empire Bi dans les années 1070, elle avait donc une très bonne réputation. Il en acheta 12 et engagea 50 mercenaires kavaléens spécialiser dans cette arme.
Peu avant le nouvel an, tout était fin prêt, il avait réuni plus de 1500 hommes de tout horizons et avait vendu toute c’est propriété a Abass. Celui-ci, le serra une dernière fois dans c’est bras.
- Je donnerais tout pour que tu restes, mais dieu sait que ce n’est pas raisonnable. Dit-il, les yeux mouillants, a son ami Alexandre.
- Garde ce que tu a, tu a l’a mérité, je n’ai pas a le recevoir. Tu a un beau et grand royaume, plus beau que beaucoup d'autres, profite en.
- Ce royaume! Ce royaume, n’a que très peu d’importance. Dieu m’a donné un ami fidèle comme toi, cela m’aurait suffi.
Les deux hommes firent leurs derniers adieux, Alexandre embarqua avec sa femme ces quatre enfants. Ils voguèrent vers l’est, une direction qu’Alexandre n’avait pas prit depuis bien longtemps.
il y a 2 ans