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Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Même ainsi, les forces de Chuikov ont résisté dans la ville jusqu'à ce que l'offensive de Stalingrad connue sous le nom d'opération Uranus puisse être lancée. Chuikov a joué un rôle déterminant dans l'évolution de la conduite de la guerre urbaine (au moins soviétique et de leurs pays influencés). Pour plus de détails à ce sujet, je recommanderais l'article Stalingrad et l'évolution de la guerre urbaine soviétique par David R. Stone. Une grande partie des calculs matériels soviétiques et même maintenant russes et des considérations pour les offensives de renforcement proviennent de Chuikov.
Georgy Joukov était une figure importante dans la planification de l'opération Uranus, tandis queKonstantin Rokossovsky commandait le front du Don qui avait le plus de succès dans l'écrasement de la 3e armée roumaine et l'encerclement de Stalingrad, le front de Stalingrad lui-même était commandé par Andrey Yeryomenko, et plus au sud le le deuxième front à encercler Stalingrad était le front sud-ouest commandé par un autre général légendaire, Nikolai Vatounine.
La victoire n'a cependant pas été remportée par des généraux célèbres, mais par le sacrifice de plus d'un demi-million d'hommes et de femmes, qui sont morts pour faire de cette ville particulière le tournant de la lutte contre l'Allemagne nazie.
La source du nombre de pertes soviétiques est les pertes de combat soviétiques de Krivosheev au 20e siècle, 1997.
Georgy Joukov était une figure importante dans la planification de l'opération Uranus, tandis queKonstantin Rokossovsky commandait le front du Don qui avait le plus de succès dans l'écrasement de la 3e armée roumaine et l'encerclement de Stalingrad, le front de Stalingrad lui-même était commandé par Andrey Yeryomenko, et plus au sud le le deuxième front à encercler Stalingrad était le front sud-ouest commandé par un autre général légendaire, Nikolai Vatounine.
La victoire n'a cependant pas été remportée par des généraux célèbres, mais par le sacrifice de plus d'un demi-million d'hommes et de femmes, qui sont morts pour faire de cette ville particulière le tournant de la lutte contre l'Allemagne nazie.
La source du nombre de pertes soviétiques est les pertes de combat soviétiques de Krivosheev au 20e siècle, 1997.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
uant à la question de savoir dans quelles mesures les erreurs tactiques allemandes ont contribué à la défaite durant cette bataille, c'est difficile à mesure avec précision.
Les Allemands ont bombardé et déversé beaucoup d'obus et d'artillerie dans un espace urbain relativement restreint. Cela crée des zones où les défenseurs peuvent se cacher après leur sortie des abris anti-bombes ou des égouts. Les cratères ont créé des pièges à chars.
Après tout cela, les Soviétiques ont utilisé la tactique qui consiste à se rapprocher de très près des Allemands. Cela signifiait qu'ils venaient le plus proche possible des Allemands, en utilisant les décombres comme couverture. Ce qui faisait que les Allemands ne pouvaient pas bombarder sans toucher leurs propres troupes.
L'artillerie doit être amenée très près pour fournir un soutien; rendant leurs équipages vulnérables aux tirs de fusil. Ces tireurs d'élite soviétiques feraient des "plinking" sur les équipages d'artillerie.
Des chars, les soviétiques en avaient dans les décombres, à bout portant (PTRD-41 14,5x114 mm):
Les cocktails Molotov fonctionnaient également très bien.
Les Allemands n'ont jamais utilisé le terme blitzkrieg. Cependant, l'allemand, Bewegungskrieg, était un concept de MOUVEMENT violent pour perturber et détruire la capacité de l'ennemi à réagir, communiquer et contrer en utilisant l'armure allemande, l'air, l'artillerie et l'infanterie mobile, derrière le point de contact initial. Stalingrad était le contraire. La guerre stationnaire était à l'opposé de la doctrine allemande et Stalingrad n'était pas la façon dont les Allemands voulaient se battre. Les avantages des blindés, de l'air et l'aviation, de l'artillerie et de la mobilité ont été perdus.
Les Soviétiques ont amené les Allemands dans un matchstationnaire pendant qu'ils déployaient leur version de la blitzkrieg ; quelque chose qu'ils avaient voulu et espéré pouvoir faire auparavant. Bataille en profondeur/Opération en profondeur Opération en profondeur . Ils le déploieraient après des préparatifs minutieux et au moment de leur choix. Les Soviétiques ont retardé leur attaque de 11 jours parce qu'ils voulaient plus de moyens de transport et de réserves de carburant ; quelque chose d'inédit avant cela. Les Allemands étaient habitués aux contre-offensives soviétiques préparées à la hâte par des groupes d'armées soviétiques mal préparés.
Ainsi, lorsque les Soviétiques ont lancé l'opération Uranus, une opération de combat en profondeur, les Allemands ne savaient pas quoi faire. Les Soviétiques lancent une contre-attaque à Stalingrad
Il a fallu des semaines aux Allemands pour comprendre et réagir.
Les Allemands ont bombardé et déversé beaucoup d'obus et d'artillerie dans un espace urbain relativement restreint. Cela crée des zones où les défenseurs peuvent se cacher après leur sortie des abris anti-bombes ou des égouts. Les cratères ont créé des pièges à chars.
Après tout cela, les Soviétiques ont utilisé la tactique qui consiste à se rapprocher de très près des Allemands. Cela signifiait qu'ils venaient le plus proche possible des Allemands, en utilisant les décombres comme couverture. Ce qui faisait que les Allemands ne pouvaient pas bombarder sans toucher leurs propres troupes.
L'artillerie doit être amenée très près pour fournir un soutien; rendant leurs équipages vulnérables aux tirs de fusil. Ces tireurs d'élite soviétiques feraient des "plinking" sur les équipages d'artillerie.
Des chars, les soviétiques en avaient dans les décombres, à bout portant (PTRD-41 14,5x114 mm):
Les cocktails Molotov fonctionnaient également très bien.
Les Allemands n'ont jamais utilisé le terme blitzkrieg. Cependant, l'allemand, Bewegungskrieg, était un concept de MOUVEMENT violent pour perturber et détruire la capacité de l'ennemi à réagir, communiquer et contrer en utilisant l'armure allemande, l'air, l'artillerie et l'infanterie mobile, derrière le point de contact initial. Stalingrad était le contraire. La guerre stationnaire était à l'opposé de la doctrine allemande et Stalingrad n'était pas la façon dont les Allemands voulaient se battre. Les avantages des blindés, de l'air et l'aviation, de l'artillerie et de la mobilité ont été perdus.
Les Soviétiques ont amené les Allemands dans un matchstationnaire pendant qu'ils déployaient leur version de la blitzkrieg ; quelque chose qu'ils avaient voulu et espéré pouvoir faire auparavant. Bataille en profondeur/Opération en profondeur Opération en profondeur . Ils le déploieraient après des préparatifs minutieux et au moment de leur choix. Les Soviétiques ont retardé leur attaque de 11 jours parce qu'ils voulaient plus de moyens de transport et de réserves de carburant ; quelque chose d'inédit avant cela. Les Allemands étaient habitués aux contre-offensives soviétiques préparées à la hâte par des groupes d'armées soviétiques mal préparés.
Ainsi, lorsque les Soviétiques ont lancé l'opération Uranus, une opération de combat en profondeur, les Allemands ne savaient pas quoi faire. Les Soviétiques lancent une contre-attaque à Stalingrad
Il a fallu des semaines aux Allemands pour comprendre et réagir.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Les 20 divisions encerclées à Stalingrad :
20 divisions allemandes sont encerclées dans la poche de Stalingrad.
16ème Division Panzer : Réformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Déployé en Italie, puis de retour en Est, combat à Korsun et Kamenets-Podolsky, se rend finalement en Tchécoslovaquie en mai 1945.
24ème Division Panzer : reformée en mars 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. A combattu en Italie, dans le Dniepr, puis en Hongrie, en Pologne et enfin en Prusse orientale, où le gros de la division s'est rendu aux Soviétiques.
94ème Division d'infanterie : reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Déployé en Italie, y a combattu toute la guerre jusqu'à la reddition le 22 avril avec le reste des forces allemandes là-bas.
113ème division d'infanterie: reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Renvoyé vers l'Est, de nouveau détruit à Newel en novembre. Les restes se sont repliés dans la 337. Infanterie-Division.
76_me division d'infanterie : reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Envoyé en Italie jusqu'en octobre, puis retour vers l'Est, où il passa le reste de la guerre et se rendit finalement en Tchécoslovaquie.
384ème Division d'infanterie: Troupes de combat survivantes qui ont réussi à briser l'encerclement absorbé par la 9ème Panzer-Division. Division réformée, renvoyée à l'Est, de nouveau détruite à Chisinau en août 1944. Plus jamais reconstruite.
60ème Division d'infanterie: Réformé en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé en tant que 60. Panzergrenadier-Division Feldherrnhalle. Renvoyé vers l'est, redésigné Panzer-Division Feldhernhalle en novembre 1944, détruit en janvier 1945, réformé en février, rendu en Autriche en mai.
389ème division d'infanterie : reformée en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé, renvoyée à l'Est en septembre. Mauled à Korsun, réaménagé en Hongrie. Coincé sur Kurland Pocket, évacué en février 1945, rendu dans la péninsule de Hel.
44ème division d'infanterie : Réformée en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé sous le nom de Reichsgrenadier-Division Hoch- und Deutschmeister. A combattu en Italie, puis envoyé en Hongrie, s'est rendu aux Américains à Linz.
79ème Division d'infanterie: reformée le 12 janvier 1943 à partir d'unités laissées à l'extérieur de la poche et évacuées de l'état-major divisionnaire. Anéanti près de Chitcani en août 1944 lorsque la Roumanie a changé de camp. Réformé en octobre sous le nom de 79. Volksgrenadier-Division. A pris part à la bataille des Ardennes et aux combats qui ont suivi, s'est rendu le 14 avril 1945.
376ème division d'infanterie : reformée aux Pays-Bas, renvoyée vers l'Est la même année. Détruit lors de l' offensive Jassy-Kishinev , officiellement dissous et jamais réformé, le personnel restant absorbé par les 15e et 76e.
100ème Jäger-Division : réformée à Belgrade, a combattu des partisans en Albanie, envoyée à l'est en mars 1944, s'est finalement rendue en Silésie.
3ème : Réformée en 3. Panzergrenadier-Division, a combattu en Italie jusqu'à l'été 1944, transférée à l'Ouest, a participé aux batailles post-Cobra et a pris part à la bataille des Ardennes, combats ultérieurs à Remagen. Rendu dans la poche de la Ruhr.
295ème division d'infanterie : réformée en division de forteresse, stationnée en Norvège jusqu'à la fin de la guerre.
14ème division panzer : reformée en Bretagne, envoyée au groupe d'armées sud. Réaffecté au Nord en août 1944, encerclé à Kurland. Officiellement dissous dans les dernières semaines de la guerre, le personnel se rend en mai.
71ème division d'infanterie : réformée, envoyée en Italie et mutilée à Monte Cassino, puis combattue sur la ligne Gothique. Transféré en Hongrie fin 1944, finalement rendu aux Britanniques à St. Veith.
29ème division d'infanterie : Réformée en France sous le nom de 29. Panzergrenadier-Division, déployée en Italie l'été 1943, y combattit jusqu'à sa destruction dans le nord de l'Italie en avril.
297ème division d'infanterie : réformée à Bordeaux, déployée dans les Balkans pour des fonctions anti-partisanes. Il y resta jusqu'à ce qu'il se rende aux Yougoslaves avec la capitulation générale allemande.
371ème division d'infanterie: réformée en Bretagne, envoyée en Italie, puis en Croatie et enfin à nouveau à l'Est en février 1944. Rendue aux Soviétiques en Tchécoslovaquie.
20 divisions allemandes sont encerclées dans la poche de Stalingrad.
16ème Division Panzer : Réformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Déployé en Italie, puis de retour en Est, combat à Korsun et Kamenets-Podolsky, se rend finalement en Tchécoslovaquie en mai 1945.
24ème Division Panzer : reformée en mars 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. A combattu en Italie, dans le Dniepr, puis en Hongrie, en Pologne et enfin en Prusse orientale, où le gros de la division s'est rendu aux Soviétiques.
94ème Division d'infanterie : reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Déployé en Italie, y a combattu toute la guerre jusqu'à la reddition le 22 avril avec le reste des forces allemandes là-bas.
113ème division d'infanterie: reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Renvoyé vers l'Est, de nouveau détruit à Newel en novembre. Les restes se sont repliés dans la 337. Infanterie-Division.
76_me division d'infanterie : reformée en 1943 à partir de recrues et de personnel en congé. Envoyé en Italie jusqu'en octobre, puis retour vers l'Est, où il passa le reste de la guerre et se rendit finalement en Tchécoslovaquie.
384ème Division d'infanterie: Troupes de combat survivantes qui ont réussi à briser l'encerclement absorbé par la 9ème Panzer-Division. Division réformée, renvoyée à l'Est, de nouveau détruite à Chisinau en août 1944. Plus jamais reconstruite.
60ème Division d'infanterie: Réformé en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé en tant que 60. Panzergrenadier-Division Feldherrnhalle. Renvoyé vers l'est, redésigné Panzer-Division Feldhernhalle en novembre 1944, détruit en janvier 1945, réformé en février, rendu en Autriche en mai.
389ème division d'infanterie : reformée en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé, renvoyée à l'Est en septembre. Mauled à Korsun, réaménagé en Hongrie. Coincé sur Kurland Pocket, évacué en février 1945, rendu dans la péninsule de Hel.
44ème division d'infanterie : Réformée en 1943 à partir des recrues et du personnel en congé sous le nom de Reichsgrenadier-Division Hoch- und Deutschmeister. A combattu en Italie, puis envoyé en Hongrie, s'est rendu aux Américains à Linz.
79ème Division d'infanterie: reformée le 12 janvier 1943 à partir d'unités laissées à l'extérieur de la poche et évacuées de l'état-major divisionnaire. Anéanti près de Chitcani en août 1944 lorsque la Roumanie a changé de camp. Réformé en octobre sous le nom de 79. Volksgrenadier-Division. A pris part à la bataille des Ardennes et aux combats qui ont suivi, s'est rendu le 14 avril 1945.
376ème division d'infanterie : reformée aux Pays-Bas, renvoyée vers l'Est la même année. Détruit lors de l' offensive Jassy-Kishinev , officiellement dissous et jamais réformé, le personnel restant absorbé par les 15e et 76e.
100ème Jäger-Division : réformée à Belgrade, a combattu des partisans en Albanie, envoyée à l'est en mars 1944, s'est finalement rendue en Silésie.
3ème : Réformée en 3. Panzergrenadier-Division, a combattu en Italie jusqu'à l'été 1944, transférée à l'Ouest, a participé aux batailles post-Cobra et a pris part à la bataille des Ardennes, combats ultérieurs à Remagen. Rendu dans la poche de la Ruhr.
295ème division d'infanterie : réformée en division de forteresse, stationnée en Norvège jusqu'à la fin de la guerre.
14ème division panzer : reformée en Bretagne, envoyée au groupe d'armées sud. Réaffecté au Nord en août 1944, encerclé à Kurland. Officiellement dissous dans les dernières semaines de la guerre, le personnel se rend en mai.
71ème division d'infanterie : réformée, envoyée en Italie et mutilée à Monte Cassino, puis combattue sur la ligne Gothique. Transféré en Hongrie fin 1944, finalement rendu aux Britanniques à St. Veith.
29ème division d'infanterie : Réformée en France sous le nom de 29. Panzergrenadier-Division, déployée en Italie l'été 1943, y combattit jusqu'à sa destruction dans le nord de l'Italie en avril.
297ème division d'infanterie : réformée à Bordeaux, déployée dans les Balkans pour des fonctions anti-partisanes. Il y resta jusqu'à ce qu'il se rende aux Yougoslaves avec la capitulation générale allemande.
371ème division d'infanterie: réformée en Bretagne, envoyée en Italie, puis en Croatie et enfin à nouveau à l'Est en février 1944. Rendue aux Soviétiques en Tchécoslovaquie.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
La bataille de Stalingrad s'est finalement déroulée sur les rives de la Volga, les derniers 10% de terres que les Allemands ne pouvaient pas sécuriser et ont permis aux Soviétiques de pousser continuellement des troupes. Ce manque de suivi de la part des Allemands pour prendre ces 10 derniers % était dû en partie aux poches de résistance soviétique qui étaient encore dispersées dans Stalingrad même. La doctrine militaire allemande avait toujours souligné que l'arrière devait être sécurisé avant que d'autres poussées puissent être effectuées et le commandant allemand Friedrich Paulus a suivi cette ligne de pensée
En trois mois, les Allemands avaient pris la majeure partie de Stalingrad, repoussant le reste des troupes soviétiques sur les pentes de Mamayev Kurgan et la zone de l'usine dans la partie nord de la ville. Les problèmes qui se sont posés n'ont pas été résolus car les services de renseignement allemands ont raté une chose après l'autre, sans se rendre compte de la contre-offensive massive qui se construisait sur les côtés opposés de la Volga.
Alors que 90% de la ville avait été prise en seulement trois mois de combats, la résistance soviétique déterminée s'est avérée être un problème pour les Allemands alors qu'ils tentaient de consolider leurs possessions. Les ruines bombardées de Stalingrad en ont fait le bonheur des défenseurs soviétiques à Stalingrad.
En effet, chaque pièce devait être vérifiée et chaque bâtiment nettoyé.
La plupart des unités allemandes ont été engagées à Stalingrad même tandis que les autres nations alliées, l'Italie, la Hongrie et la Roumanie, ont été chargées de défendre les flancs de la 6e armée. Étant donné que l'accent avait été mis sur la ville elle-même, les flancs le long de la rivière Don n'ont jamais été fortifiés et les Soviétiques ont été autorisés à conserver des têtes de pont clés qui ont permis de lancer des contre-attaques rapides. Le flanc sud était encore plus en difficulté puisque 400 km de territoire devaient être défendus uniquement par la 4e armée roumaine et la 16e division d'infanterie motorisée. Paulus avait reconnu les dangers de cela et avait demandé de retirer la 6e armée derrière le Don, mais il a été rejeté et a reçu l'ordre de tenir bon à Stalingrad même. Ce choix de déploiement s'avéra fatal.
Les Soviétiques avaient réalisé très tôt que si les Allemands eux-mêmes étaient expérimentés, bien équipés et plus efficaces qu'ils ne l'avaient prévu, leurs camarades alliés ne l'étaient pas. À la lumière de cela, les généraux soviétiques, Georgy Joukov et Aleksandr Vasilevsky, ont planifié l'opération Uranus, une contre-attaque massive contre les lignes allemandes. Ils concentreraient la plupart de leurs armées sur les flancs nord et sud, zones défendues, légèrement, par les nations alliées de l'Allemagne.
Et notamment les troupes roumaines faiblement équipées et moins expérimentées que leurs consoeurs allemandes.
En trois mois, les Allemands avaient pris la majeure partie de Stalingrad, repoussant le reste des troupes soviétiques sur les pentes de Mamayev Kurgan et la zone de l'usine dans la partie nord de la ville. Les problèmes qui se sont posés n'ont pas été résolus car les services de renseignement allemands ont raté une chose après l'autre, sans se rendre compte de la contre-offensive massive qui se construisait sur les côtés opposés de la Volga.
Alors que 90% de la ville avait été prise en seulement trois mois de combats, la résistance soviétique déterminée s'est avérée être un problème pour les Allemands alors qu'ils tentaient de consolider leurs possessions. Les ruines bombardées de Stalingrad en ont fait le bonheur des défenseurs soviétiques à Stalingrad.
En effet, chaque pièce devait être vérifiée et chaque bâtiment nettoyé.
La plupart des unités allemandes ont été engagées à Stalingrad même tandis que les autres nations alliées, l'Italie, la Hongrie et la Roumanie, ont été chargées de défendre les flancs de la 6e armée. Étant donné que l'accent avait été mis sur la ville elle-même, les flancs le long de la rivière Don n'ont jamais été fortifiés et les Soviétiques ont été autorisés à conserver des têtes de pont clés qui ont permis de lancer des contre-attaques rapides. Le flanc sud était encore plus en difficulté puisque 400 km de territoire devaient être défendus uniquement par la 4e armée roumaine et la 16e division d'infanterie motorisée. Paulus avait reconnu les dangers de cela et avait demandé de retirer la 6e armée derrière le Don, mais il a été rejeté et a reçu l'ordre de tenir bon à Stalingrad même. Ce choix de déploiement s'avéra fatal.
Les Soviétiques avaient réalisé très tôt que si les Allemands eux-mêmes étaient expérimentés, bien équipés et plus efficaces qu'ils ne l'avaient prévu, leurs camarades alliés ne l'étaient pas. À la lumière de cela, les généraux soviétiques, Georgy Joukov et Aleksandr Vasilevsky, ont planifié l'opération Uranus, une contre-attaque massive contre les lignes allemandes. Ils concentreraient la plupart de leurs armées sur les flancs nord et sud, zones défendues, légèrement, par les nations alliées de l'Allemagne.
Et notamment les troupes roumaines faiblement équipées et moins expérimentées que leurs consoeurs allemandes.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Stalingrad n'est pas top 5 des villes soviétiques que ce soit par sa population ou son importance industrielle. Mais elle joue un rôle de pivot entre Caucase et Russie centrale. Aujourd'hui, la ville se nomme Volgograd. Cette ville est fondée par Ivan le Terrible en 1589 sur un gué de la Volga, Tsaritsyne se spécialise au commerce, et également à la guerre déjà d'une certaine manière. Les richesses étaient amenés vers Moscou puis Saint Petersbourg depuis le Caucase. La présence d'un fleuve aussi long et large que la Volga a bien évidemment énormément aidé. La géographie de cette ville donnent aux soldats soviétiques qu'ils meurent sur la dernière ligne russe avant la rupture totale et définitive. Ainsi l'industrie nait avec les chenmins de fer en 1867. Une gare de style néoclassique apparait au centre. La ville est en plus d'être liée à Moscou, également liée au Donbass. Les cheminées de fabriques alimentaires et chimiques notamment l'usine Lazue peuplent la ville. A noter que des capitaux français fondent dans cette ville la future Octobre rouge qui est l'une des plus grosses usines métallurgiques de Russie. Comme aucun pont ne franchit le fleuve, la ville s'allonge sur la rive droite de telle sorte que certaines usines ont des bases dans l'eau de la rive. Pour ce qui est de son rôle dans la guerre, bien avant la célèbre bataille de 1942, à l'époque de la guerre civile russe, les Armées blanches se retranchent sur leurs bases arrières de Sibérie et du Caucase tandis que les Armées rouges sont repliés sur la Grande Moscovie. Les conséquences de la guerre sont une diminution de moitié de sa population. Mais le premier plan quiquennal sous Staline commencent à donner à la ville une grande importance industrielle. Ainsi l'usine Stalingradsky Traktorny Zavod est construite au nord des 2 précédentes usines. De base elle était censée fournir de smachines agricoles aux steppes céréalières du Kouban avant de se convertir dans la production de T 34 en 1941.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Il faut savoir que les usines nouvellement bâties se trouvent aux côtés de quartiers d'habitations. Ces quartiers d'habitations sont de type usines ouvrières. Ces habitations, loin d'être une habitation particulièrement salubre, reste meilleure que la majorité des habitations soviétiques de l'époque. Puis, le régime tente d'en faire une sorte d'exemple de ce que à quoi doit ressembler la future ville soviétique typique. On en fait un vitrine du socialisme soviétique. Le nom de Tsarytsine se fait en 1925 en référence d'une victoire que Staline y aurait remporté contre les Armées blanches durant la guerre civile. La réalité est bien moins glorieuse. En effet, Staline était président du conseil militaire du Front Sud. Il a donc participé à la défense de Tsaritsyne face aux Cosaques blancs commandés par Krasnov. Mais il n'a fait que commander quelques raids d'unités de cavalerie depuis l'arrière. En réalité, Staline a même voulu abandonner la ville après que la pression de Krasnov soit devenu oppressante sur la cité en octobre 1918. En réalité, c'est Dimitri Zhloba qui a conservé la cité, ainsi que sa Division de fer. Or, ce dernier fut exécuté par Staline en 1938. Pour ce qui est de la ville en tant que champ de bataille, les Allemands ne voulaient pas y livrer des combats urbains de base. Ils voulaient s'en emparer en une seule poussé seulement. Il auraient pu le faire à 2 reprises mais ils ne l'ont pas fait. La Wehrmacht a beau avoir l'avantage et faire jouer de sa supériorité technique et tactique dans les combats d'openfield et dans les steppes russes sur terrain plat, en combat urbain, les chefs allemands savent qu'ils n'ont pas l'avantage. Ce n'est pas pour rien qu'Hitler avait demandé expréssement à ses troupes de ne pas se battre dans la ville de Leningrad dès l'automne 1941, préférant la réduire par un siège. Pareil pour la ville de Moscou. Les Soviétiques avaient montré d'ailleurs à Sébastopol qu'en combat urbain, les Allemands n'étaient pas avantagés.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Cependant, les Allemands pensent que la situation dos au fleuve leur donnera l'avantage. Mais pour s'emparer de la ville dans son entiéreté, un grand nombre d'obstacles s'imposent face à eux. En effet, la partie nord qui est dominée par les trois grande susines, est un dédale d'ateliers et de voies ferrées durs à franchir. L'usine de tracteurs Djerzinski fait partie de ce secteur nord, de même que l'usine Barricades et l'usine Octobre rouge.. Des habitations ouvrières bordent également le secteur à l'ouest. On trouve également des écoles, des stades, des magasins et même des jardins publics. Un affluent de la Vola, à savoir la Mokraia Metchetka marche la limite de la ville tout au nord. Après, il y a Rynok et Spartakovka et leurs fauborugs ouvriers. Ensuite, on trouve le centre ville, doté d'immeubles plus modernes ainsi que de grands boulevards. Parmi les immeubles, on a les centres et sièges d'associations communistes et syndicales ainsi que des administrations. La gare numéro 1 est l'une des places les plus emblématiques de ce secteur centre notamment son horloge réglée sur heure de Moscou. Mais c'est la place Rouge qui forme le véritable centre de la ville. Il s'agit d'un quadrilatère composé par le théâtre Gorki, le magasin Univermag ainsi que du siège de la Pravda. Pour terminer, au sud de la cité se trouve ce qui est la partie la plus ancienne de la ville. C'est là que se trouvent le débarcadère principal du ferry reliant la ville à son faubourg sur la rive orientale à savoir Krasnaia Sloboda. C'est là aussi que se situe la gare numéro 2. Des quartiers résidentielles s'y trouvent avec des maisons individuelles le plus souvent en bois. La raffinerie se sucre et l'énorme silo de grains sont ce qui le séparent de la Volga. De Rynok au nord à Duroposnoe au sud, il y a 50 kilomètres de distance. Cela oblige à passer par la Volga pour tourner la ville que ce soit par le nord ou par le sud.
Sans oublier les îles sablonneuses de Zaitsevki et de Golodny. Au delà de la Volga, la rivière Tsaritsa passe la ville au sud. Le plateau sur lequel se situe Stalingrad est toutefois scindé par plus de 50 ravins escarpés appelés balky. Ce n'est donc pas un grand obstacle. Contrairement à la colline du Kougan Mamaiev. Depuis le haut de cette colline on aperçout non seulement la rive orientale de la Volga mais aussi les quartiers des usines au nord. Bien spur, la falaise haute qui protège la rive occidentale pour la Volga donne un avantage aux défenseurs contre les assaillants. Des prairies humide sparsèment la rive gauche au bord du fleuve. Lors des assèchements, ils se transforment en steppe sablonneuse. Seul problème pour les défenseurs, il n'y a pas assez d'arbres et de possibilité de camouflage en dehors de certains ravins dont beaucoup se révéleront d'ailleurs utiles aux Soviétiques face aux attaques de la Luftwaffe.
Sans oublier les îles sablonneuses de Zaitsevki et de Golodny. Au delà de la Volga, la rivière Tsaritsa passe la ville au sud. Le plateau sur lequel se situe Stalingrad est toutefois scindé par plus de 50 ravins escarpés appelés balky. Ce n'est donc pas un grand obstacle. Contrairement à la colline du Kougan Mamaiev. Depuis le haut de cette colline on aperçout non seulement la rive orientale de la Volga mais aussi les quartiers des usines au nord. Bien spur, la falaise haute qui protège la rive occidentale pour la Volga donne un avantage aux défenseurs contre les assaillants. Des prairies humide sparsèment la rive gauche au bord du fleuve. Lors des assèchements, ils se transforment en steppe sablonneuse. Seul problème pour les défenseurs, il n'y a pas assez d'arbres et de possibilité de camouflage en dehors de certains ravins dont beaucoup se révéleront d'ailleurs utiles aux Soviétiques face aux attaques de la Luftwaffe.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Les 2 Armées qui s'illustreront durant la bataille sont respectivement la 6ème Armée côté allemand et la 62ème Armée côté soviétique. La 6ème Armée doit garder un front de 200 kilomètres en septembre 1942. Son PC se trouve sur le Don à Golubinski à 75 kilomètres de Stalingrad. Les 4 Corps de la 6ème Armée en font la plus puissante de la Wehrmacht. Ainsi à l'ouest du Don on trouve le XIème Corps. Elle bloque les têtes de pont de Trekostrovskaia et celle de Kremenskaia. Le tout fait 3 Divisions de chasseurs avec les 44ème, 376ème et 385ème. Certaines éléments de la 24ème Panzerdivision se trouvent dans sa réserve. L'ensemble fait 45 000 hommes. Plus bas se trouve le VIIIème Corps entre la rive orientale du Don à la moitié de l'isthme on Volga. Ce Corps est dirigé par Heitz sur 50 kilomètres avec ses 2 divisions qui consistent en les 76ème et 113ème Divisions de chasseurs. Le tout fait 30 000 hommes.Entre la Volga et l'isthme Don vola on trouve le XIVème Panzerkorps dirigé par le général Hube. Ce dernier garder 13 kilomètres le long de la Volga à l'est et également la zone située entre Orlovka et Rynok au sud. L'ensemble est doté des 3ème et 60ème Divisions motorisées comprenant chacune un bataillon de chasseurs de chars et un bataillon de chars. A cela s'ajoutent la 16ème Panzerdivisionen ainsi que la 94ème Division d'infanterie. L'ensemble fait 60 000 hommes. Mais le Corps le plus puissant non seulement de la 6ème Armée mais aussi et surtout de toute la Wehrmacht est sans aucun doute le LIème Corps qui comporte une masse impressionnante de 150 000 hommes. La conquête de la ville sera en grande partie faite par ce Corps. En son sein se trouvent les 71ème, 79ème, 295ème, 305ème et 389ème Divisions d'infanterie, une partie de la 14ème Division Panzer ainsi que la 24ème Division Panzer. A cela s'ajoute la 100ème Division de chasseurs ainsi que la plus grosse partie de l'artillerie de la 6ème Armée. Notamment 1 000 canons et lances roquettes multiples.
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il y a 2 ans
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Sur le flanc sur la 4ème Armée Panzer les protège. Cette dernière est commandée par le général Hoth. La 29ème Division motorisée la compose ainsi que les 297ème et 371ème Divisions..
Du côté de la Luftwaffe, c'est William von Richtoffen qui en aura la charge pour le secteur de Stalingrad, lui qui commande la Luftflotte 4.Il doit tenir une zone allant de Bakou à Voronej. Egalement il doit défendre le pétrole roumain dans un premier temps avant de laisser cette responsabilité à un autre. Le Fliegerkorps IV est quant à lui sous les ordres du général Pflugbeil. Enfin, le Fliegerkorps VIII est dirigé par le général Fiebig. Ce dernier est également doté d'un corps roumain. Ce Fliegerkorps doit aider la 6ème Armée depuis les airs. Les Junkers 52 servent au ravitaillement de la Luftwaffe alors que plusieurs milliers de tonnes de munitions sont livrés depuis le début du plan Blau. Les hommes de Fiebig bombardent les unités soviétiques ce qui ouvre la voie à Stalingrad pour la 6ème Armée allemande.La grand boucle du Don est survolé par Richtoffen le 21 août.
Du côté de la Luftwaffe, c'est William von Richtoffen qui en aura la charge pour le secteur de Stalingrad, lui qui commande la Luftflotte 4.Il doit tenir une zone allant de Bakou à Voronej. Egalement il doit défendre le pétrole roumain dans un premier temps avant de laisser cette responsabilité à un autre. Le Fliegerkorps IV est quant à lui sous les ordres du général Pflugbeil. Enfin, le Fliegerkorps VIII est dirigé par le général Fiebig. Ce dernier est également doté d'un corps roumain. Ce Fliegerkorps doit aider la 6ème Armée depuis les airs. Les Junkers 52 servent au ravitaillement de la Luftwaffe alors que plusieurs milliers de tonnes de munitions sont livrés depuis le début du plan Blau. Les hommes de Fiebig bombardent les unités soviétiques ce qui ouvre la voie à Stalingrad pour la 6ème Armée allemande.La grand boucle du Don est survolé par Richtoffen le 21 août.
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il y a 2 ans
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La 8ème Armée aérienne soviétique se fait battre à plat de couture par le VIIIème Fliegerkorps avec l'aide de la 9ème Division de Flak du général Pickert. La 8ème Armée aérienne est dirigé par Krukine. Ensuite, ce sont les avions de la 16ème Armée aérienne du général Stepanov qui sont défaits par cette même formation allemande. Ainsi, la chasse allemande ainsi que les Stukas sont systématiquement aidés par le Fliegerkorps. Richtofen envoie les avions de cette formation sur la mer Noire quand l'intensité des combats faiblit à Stalingrad. Et le nombre d'appareils en état de voler diminue au fur et à mesure. De plus, certaines escadrilles partent chez Rommel en Afrique du nord tandis que d'autres sont envoyés au Groupe d'Armée Centre plus au nord. On le voit très bien dans la diminution des sorties. On passe de plus de 1 3000 sorties par jour en moyenne durant les premières semaines de juillet 1942 contre à peine 900 durant les premières semaines du mois de septembre. Ces chiffres concernent la Luftflotte. Ainsi au début du plan Blau, 1 600 appareils sont en état et parmi eux 1 155 opérationnels. Or, plus de 10 semaines après le début des opérations, le chiffre tombe à 950 et parmi eux seulement 516 en état de voler. Et parmi ces derniers, 396 sont des avions de combat. Cela entraîne petit à petit un certain surmenage des pilotes restants. Goering ne parvient pas à fournir les remplacements au rythme des pertes. En effet, les offensives lancées par les Soviétiques face aux Groupes d'Armées Nord et Centre empêchent tout transfert massif d'unités. De 950 avions, on passe à seulement 974 en octobre 1942 finalement.
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il y a 2 ans
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Pour ce qui est de la 6ème Armée allemande, c'est Friedrich Paulus qui commande. Nait en Hesse en 1890 dans une famille d'origine paysanne et roturière travaillant en tant que petit fonctionnaire. Son mariage avec Hélène Constance Rosetti Solesco lui permet d'intégrer la grande aristocratie militaire prussienne, et ce malgré ses origines modestes. Il sert au sein des états majors lors de la Première Guerre mondiale. Plus tard, en 1931, il enseigne à Berlin l'histoire et la tactique de guerre clandestine de la Reichswehr. Il monte rapidement les échelons après l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Il prend le commandement du détachement motorisé numéro 3 qui sera la matrice de plusieurs Panzerdivisionen. Chef d'état major de la Direction des troupes motorisés, il l'est en 1935. Il contribue aux côté d'une dizaine d'officiers allemandes à la création de l'arme blindée allemande. Par la suite, il monte en grade pour devenir général en 1939 puis enfin chef d'état major de la 10ème Armée qui devient par la suite la 6ème Armée suite à la campagne de Pologne. Von Reichenau est son chef. Paulus remporte à ses côtés de grandes victoires en France après la Pologne. Le 28 mai 1940, c'est même Paulus qui reçoit la capitulation de l'Armée belge au château d'Avaing. Halder appelle Paulus au poste de quartier général le 3 septembre 1940, responsable de l'indsutrction et de l'organisation. Il participe à la préparation de l'opération Barbarossa contre l'URSS. Il se débrouille plutôt bien durant les premiers mois de l'opération en 1941 lorsqu'il mène plusieurs missions de liaison entre les Grouês d'Armées Nord, Centre et Sud et l'OKH. Le 5 janvier 1942, suite à l'échec de Barbarossa, von Reichenau recommande la direction allemande de nommer Paulus général des troupes blindées. Il prend la tête de la 6ème Armée alors qu'il n'a jamais commandé de corps ni même de division.
Son chef d'état major est Ferdinan Heim. Le colonel Schmidt le remplace par la suite. En mai 1942, lorsque Timochenko envoie les troupes soviétiques sur Kharkov, Paulus tente d'affaiblir la contre offensive de la 1ère Armée Panzer au détriment d'un renforcement de la 6ème Armée, grandement concernée par l'attaque également. Finalement, Kharkov est un succès pour les Allemands. Et Hitler comme Halder ont eu raison de refuser. Paulus est tout de même décoré de la Croix de chevalier pour sa défense acharnée. Plus tard, cependant, cette même 6ème Armée souffre de gros problèmes logistiques. En dépit de certains manquements, la 6ème Armée repousse toutes les contre attaques soviétiques. Le 23 août, lors de la percée, il refuse au chef du XIVème Panzerkorps qui est le général von Wietersheim le droit de revenir sur le Don. Paulus a su démontrer un grand sang froid ainsi qu'une grande capacité. De plus, il n'a pas démérité à Stalingrad malgré les critiques qu'il a reçu dans l'Allemagne d'après guerre.
Son chef d'état major est Ferdinan Heim. Le colonel Schmidt le remplace par la suite. En mai 1942, lorsque Timochenko envoie les troupes soviétiques sur Kharkov, Paulus tente d'affaiblir la contre offensive de la 1ère Armée Panzer au détriment d'un renforcement de la 6ème Armée, grandement concernée par l'attaque également. Finalement, Kharkov est un succès pour les Allemands. Et Hitler comme Halder ont eu raison de refuser. Paulus est tout de même décoré de la Croix de chevalier pour sa défense acharnée. Plus tard, cependant, cette même 6ème Armée souffre de gros problèmes logistiques. En dépit de certains manquements, la 6ème Armée repousse toutes les contre attaques soviétiques. Le 23 août, lors de la percée, il refuse au chef du XIVème Panzerkorps qui est le général von Wietersheim le droit de revenir sur le Don. Paulus a su démontrer un grand sang froid ainsi qu'une grande capacité. De plus, il n'a pas démérité à Stalingrad malgré les critiques qu'il a reçu dans l'Allemagne d'après guerre.
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il y a 2 ans
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Quand à son adversaire, il consiste en la 62ème Armée soviétique. Son passif avant Stalingrad n'est pas très glorieux. En effet, cette armée a connu des défaites face aux Allemands durant l'été 1942. Elle a été reformée à 2 reprises. Au point qu'elle comprend les éléments de 23 Divisions différentes au total. Lopatine était son ancien commandant. Ce dernier avait demandé l'abandon de la ville de Stalingrad à Emerenko, lequel avait refusé. Une partie de la 64ème Armée n'est pas loin et isolée au sud de la Tsaritsa. Ainsi, la 62ème Armée comprend 5 régiments d'infanterie; 4 brigades blindées et 1 demi brigade blindée6ème, 6ème Garde, 27ème et 189ème; 4 brigades d'infanterie, à savoir les 42ème, 115ème, 124ème et 149ème brigades, 3 Divisions d'infanterie, à savoir la 35ème Garde ainsi que les 112ème et 244ème. A cela s'ajoutent 2 brigades d'infanterie motirisés. Le problème est que l'ensemble est beaucoup trop hétérogènes. Ainsi on copte certaines brigades de chars n'ayant en réalité pas chars ou un seul seulement tandis qu'une autre en a 19. Certaines divisions d'infanterie n'ont plus que 800 hommes contre une dotation normale qui s'élève à 10 000 hommes. De plus, seuls 250 combattants composent le flanc gauche de la 62ème Armée gardé par la 35ème Division de la Garde. Au total, l'ensemble comporte entre 55 000 et 60 000 hommes tout au plus. Pour un nombre de canons s'élevant à 400 et seulement 60 chars, ce qui n'est manifestement pas assez. De plus, la 8ème Armée aérienne a déjà été affaibli par les attaques de la Luftwaffe. Seuls 359 missions peuvent être menés par jour par cette formation, soit 3 fois moins que son adversaire qu'est el VIIIème Fliegerkorps, ce qui est l'une des preuves que l'aviation allemande est toujours sur le plan qualitatif clairement supérieure à l'aviation rouge, malgré quelques progrès. Leurs mnitions ne permet pas de dépasser en théorie plus d'une journée de combats urbains. Plus aucun fossé antichar dans la ville.
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il y a 2 ans
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Concernant celui qui va commander la 62ème Armée durant la défense de la ville de Stalingrad, ce n'est autre que Vassili Tchouikov qui est né en 1900 dans la province de Toula, en tant que fils de paysan. Tous ses 7 frères deviendront soldats. Il devient Garde route en 1917 puis se bat contre les Cosaques durant la guerre civile russe. Les combats se déroulent dans la région de Tsaritsyne. Par la suite, ce sont les Armées blanches qu'il doit affronter dans les régions sibériennes. Dès 19 ans, il est commandant de régiemnts. Il est blessé à 4 reprises notamment durant des combats rapprochés. Une fois la guerre civile terminée, il voyage en Chine à plusieurs reprises. Il se forme au sein de l'académie Frounzé par la suite puis devient membre de l'état major de l'Armée d'Extrême Orient entre 1932 et 1935. Il devient chef de Corps juste avant la campagne de Finlande en 1940. Il fait partie de ces commandants qui parviennent à analyser avec justesses les performances médiocres de l'Armée rouge à ce moment là. Aussi, son rapport à Vorochilov parvient à pointer les problèmes majeurs, à savoir le manque d'initiative des commandants de la troupe, le manque de coordination et l'absence de doctrine militaire digne de ce nom. Ce même Tchouikov est envoyé par Staline à Tchongking en Chine en tant qu'attaché militaire auprès de Tchang Kai Chek sur un ordre de Staline. Résultat, il n'est pas là pour voir la catastrophe de 1941 puisqu'il reste en Chine jusqu'en 1942, précisément jusqu'en mai 1942. Il retourne finalement en Russie pour combattre en juillet 1942 avec la 64ème Armée soviétique. Il ne manque ni de sang froid ni de souplesse tactique, s'étant révéler capable de mobiliser ses troupes efficacement, y compris durant une retraite. Le 12 septembre 1942 ainsi, grâce à ses compétences, Emerenko nomme Tchoukov commandant de la 62ème Armée, quelques heures seulement avant l'assaut allemand contre la ville.
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il y a 2 ans
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La bataille se déroule dans le centre et sud de la ville sur un front de 10 kilomètres. Il s'agit de prendre d'abord la colline du Kourgane Mamaiev qui fait 102 mètres. D'autre part, le débarcadère central qui fait face au faubourg de Krasnaia Sloboda où les Soviétiques acheminent l'essentiel des renforts. Ceux doivent doivent aller à la 62ème Armée plus une petite partie de la 64ème Armée. Le plan de Paulus est le double enveloppement typiquement allemand. 2 forces s'élance de part et d'autre de la rivière Tsaritsa. Au nord, le LIème Corps du général von Seydlitz Kurbach. Aus sud, des unités de la 4ème Armée Panzer. Le LIème Corps parti de la zone gare de Goumrank Goroditché dans les faubourgs, qui doit prendre la colline Mamaiev puis passer par la gare numéro 1 pour aller vers l'embarcadère centrale. Depuis les lisières ouest des faubourgs de Zelznaia Poliania, Sadovaia, et Minima, la 4ème Armée Panzer va vers le LIème Corps en passant par le quartier Ielchenka puis la gare numéro 2. Contrairement à la 6ème Armée qui affronte la 62ème Armée, la 4ème Armée Panzer doit faire face à une partie de la 64ème Armée soviétique cette dernière étant commandée par le général Choumilov. 3 Divisions d'infanterie sont commis par Von Seydlitz Kurback, à savoir les 71ème, 76ème et 295ème, respectivement commandés par von Hartmann, Carl Rodenburg et Rolf Wuthmann.. La 4ème Armée Panzer avec ses 24ème Panzerdivision et 94ème Division alors que ce sont les 14ème Panzerdivision et la 29ème Division motorisée qui attaquent en direction de la Volga à leur droite. Les combats ont lieu dans les quartiers de Ielchenka et de Kouporosnoié. Les 297ème et 371ème DIvisions du IVème Corps fixent des forces de la 64ème Armée au sud du quartier de Kouporosnoié. 25 000 hommes composent l'infanterie d'assaut. Les avions et les chars sont en soutien. Dans ces 2 domaines, les Allemands ont l'avantage pour le moment. De plus, 1500 canons et Fiebig sur les arrières.
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il y a 2 ans
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250 chars et canons d'assaut et plus de 500 avions dont 150 Stukas. Ainsi, rien que le LIème COrps dispose de plus de 12 000 combattants pour 1500 mitrailleuses, 1060 canons de 75mm au moins. Dans certains cas ce sont des 220 m de l'artillerie réglementaire voir des 840 mm de l'artillerie de Corps. A cela s'ajoutent plus de 500 armes antichars. Tchoukov quant à lui franchit la Volga le 12 septembre. Au début des combats, les rapports de force sont favorables à la 6ème Armée allemande avec 5 contre 1 pour les chars, 3 contre 1 pour l'artillerie, 1,5 pour l'infanterie. Le même 12 septembre, Paulus est à Vinnitsa avec Hitler et également avec von Weichs qui dirige le Groupe d'Armées B.Von Weichs prévient du danger de la faiblesse des flancs de son Groupe d'Armées. Et aussi le manque de préparation pour l'hiver qui arrive. Malgré la confiance affichée par Hitler, ceci n'est qu'une façade car le journal de guerre de l'OKW dévoile qu'Hitler s'inquiète pour le flanc nord du côté du Don. Von Weichs est pourtant confiant que Stalingrad sera une affaire réglée en 10 jours tout au plus. Durant cette même journée du 12 septembre, Vassilevski et Joukov présente leur plan à Staline pour l'encerclement de la 6ème Armée à Stalingrad. Pendant ce temps, une contre attaque est préparée par Tchouikov et Krylov qui est son chef d'état major. En effet, par l'embarcadère les renforts doivent arriver. Le lendemain, le 13 septembre, le VIIème Fliegerkorps tente de bombarder les installations militaires. Les abris, les barricades et les tranchées y passent. A 8 heures, les canons d'assaut et les chars s'élancent devant l'infanterie. Dès qu'une résistance soviétique farouche se fait jour, un groupe d'avions allemands vien détruire l'immeuble ou la zone dans laquelle les défenseurs se retranchaient. Le LIème Corps prend finalement la gare de Razgoulaevka ainsi que des faubourgs à Alexandrovka et Goroditché. Pour une avancée de 3 kilomètres en fin de journée.
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il y a 2 ans
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La 4ème Armée Panzer progresse moins vite au sud mais s'empare tout de même de la gare de Sadovaya ainsi que la station MTS puis les faubourgs de Minina et Zeliani Poliania. Le premier pC de Tchouikov à Mamaiev est détruit par l'aviation allemande également. 1000 sorties de la Luftwaffe sont effectués, détruisant les concentrations d'hommes et de matériel adverses. Von Richthofen vient participer aux engagements aériens. La retraite en direction de la Volga est lente. Dans le bunker Tsaritsyne, Tchouikov installe son PC, dans ce qui sera son deuxième emplacement, sur la rive nord de la Tsaritsa. Tchouikov décide une contre attaque quand les Allemands ne s'y attendent pas au début du 13 septembre. Il s'agit de gagner du temps avant l'arrivée des renforts de la 13ème DIvision de la Garde. C'est dans le quartier des usines au nord qu'elle doit débarquer. Mais Tchouikov explique à Emerenko que c'est au sud que cette division sera utile car le gros de l'attaque allemande s'y trouve. A partir de ce moment là, Tchouikov décide seul sur les déploiements dans la ville de Stalingrad. Il a même le dessus sur le NKVD dans ce domaine là. Cela ne s'est tout simplement jamais vu jusque là dans un système aussi hyper centralisé que celui de l'URSS et de l'Armée rouge. Mais au même moment, l'OKH rassemble les forces d'assaut sous le commandement de Paulus, même les unités de la 4ème Armée Panzer commandée par Hoth à l'origine. Cette 4ème Armée Panzer comporte les 24ème Panzer et 29ème Motorisée auxquels s'ajoutent la 94ème Division d'infanterie. L'équivalent de 2 brigades et demie passent à l'offensive et les Stukas interviennent dès la levée du jour. La 4ème Armée passe la voie ferrée au sud, celle qui forme l'épine dorsale de la ville. Les canons d'assaut détruisent les mûrs des immeubles peuplés de soldats soviétiques. Le LIème Corps avance au nord. La station de tracteurs et de machines est prise par ce même Corps. Ensuite, c'est l'aérodrome de Stalingradski qui tombe.
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il y a 2 ans
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La colline de Mamaiev est bientôt bordé par un groupe de combat de la 76ème Division d'infanterie tandis que les compagnies d'assauts de la 71ème Division d'infanterie avancent dans le centre ville au sud. Ils suivent la vallée de Tsaritsa. Ils avancent au point que le nouveau PC de Tchouikov ne se trouve même pas à 800 mètres de distance déjà. La maison des spécialistes est prises. La gare centrale est quasiment atteinte. Côté soviétiques, les petits points d'appuis dispersés cèdent petit à petit. Pendant ce temps là, à Krasnaia Sloboda se trouve la 13ème Division de la Garde. De Kamishin à Srednaia Akhtuba, des camions y amènent une multitude de soldats soviétiques. Avec la compagnie de sécurité, des secrétaires, personnels de sections, plantons, les 9 chars KV1 de réserve, Tchouikov en fait 2 groupes de combat improvisés mis devant la Maison de Spécialiste ainsi que dans le quartier de la gare. Comme une tentative de la dernière chance. Il s'agit de bloquer les rues menant au débarcadère en attendant les renforts soviétiques. Les communications du PC sont coupés. Les Allemands ne sont plus qu'à 500 mètres seulement. Il lui reste de Saraiev une milice de 1500 hommes placés devant le débarcadère central. Ce sont les seuls forces qu'il lui restent. Le 14 septembre au début de l'après midi, Alexandre Illitch Rodimtsev, major général, va au PC de Tchouikov. La Division de Rodimtsev a fait 100 kilomètres par camions. L'unité a été renforcée et augmentée pour parvenir à 10 000 hommes bien que 10% ne possèdent pas de fusils. Il s'agit de passer selon Krylov de la rive est à la rive ouest durant la nuit du 14 au 15 septembre. Il n'y a pas le choix. C'est maintenant ou jamais. Le secteur assigné à sa Division est de plus de 5 kilomètres, entre Tsaritsa et Mamaiev Kourgane. Il s'agira non seulement pour eux de tenir mais en plus de cela de reprendre Mamaiev, la Maison des Spécialistes et le quartier de la gare.
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il y a 2 ans
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La 13ème Division de la Garde franchit la Volga à 19 heures 30 de la même journée. Un des bacs se fait détruire par un obus tuant 41 Soviétiques. Le 1er Bataillon du 42ème Régiment prend pied le premier et se battent directement contre les unités allemandes situés à 200 mètres à peine de l'embarcadère. L'étreinte est à peine desserrée. La 13ème Division de la Garde, du moins la majorité de leur unité finissent par arrivée durant la nuit. Ainsi, les 34ème et 39ème Régiments arrivent dans leur intégralité tandis que la plus grosse partie du 42ème Régiment se fait stoppé net par les attaques de la Luftwaffe. La gare est défendu par les éléments restants du 42ème Régiment à savoir son 1er bataillon tandis que le bataillon du NKVD ainsi que le 34ème régiment doivent protéger la colline de Mamaiev. Enfin, entre les 2, au centre se situe la 39ème Division d'infanterie. Au début du 15 septembre, la Luftwaffe effectue une attaque, dans ce qui doit être le dernier assaut. Des immeubles entiers s'effondrent. 1000 sorties aériennes allemandes. La plupart sont le fait de Me 109. Entre Kourgane Mamaiev et la gare centrale, la 71ème Division d'infanterie ainsi que la 295ème Division, les 2 appartenant au LIème Corps, doivent attaquer. Enfin, au sud de Tsaritsa, les 14ème et 24ème Panzerdivisionen doivent aller ensemble vers l'embouchure de la Tsaritsa aux côtés de la 94ème Division d'infanterie. Mais une violente contre attaque soviétique a lieu. On assiste à des combats au corps à corps par moments. Les hommes de la 13ème Division de la Garde remontent la rue de Moscou jusqu'à la banque d'état. L'obstacle est contourné. La Place rouge est atteinte puis les magasins Univermag sont pris avant que les unités de la division n'attaquent la gare centrale. Les Allemands doivent retraiter dans un premier temps mais de scontre attaques s'ensuivent au point où la gare change de mains à 4 reprises en une journée. Le 34ème régiemnt attaque la Maison des Spécialistes 5 fois.
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il y a 2 ans
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Ce 34ème Régiment reçoit l'aide de quelques KV 1 d'accompagnement et de soutien tandis quela 35ème Division de la Garde commandée par le général Dubaniski se retire des quartiers de Kouporosnoié et de Ielchanka dans leur intégralité. En effet, les 3 Divisions dont 2 Divisions Panzer sont trop fortes. L'embouchure de la Tsaritsa est proche. Les chars devancent l'infanterie allemande devant la gare numéro 2. En plus de cela, un silo à grain se fait attaquer par l'artillerie allemande. Seul sa prise permettra le jonction entre les 2 pinces de la 4ème Armée Panzer. Du côté de la colline de Mamaiev, on se bat parfois au corps à corps à son sommet tandis que les Allemands se trouvent sur les pentes nord et ouest. Mais une section du 416ème Régiment de la 112ème Division parvient au nord est et des grenades sont lancés pour détruire les mitrailleuses allemandes. Mais sur les 30 hommes de la section, 24 sont morts ou blessés. Malgré cela, Mamaiev est repris. Les soldats du 34ème régiment de la Garde s'en prennent à la Maison des Spécialistes mais les Allemands contre attaquent à la mitrailleuse lourde jusqu'à l'embarcadère central. Ainsi que ce soit le quartier de la gare ou la gare en elle même, elles changent de mains 15 fois avant le 19 septembre. Entre temps, la 13ème Division de la Garde est décimée et ce dès le 16 septembre. Ainsi, d'autres renforts doivent être envoyés. 2 Divisions : c'est ce que demande Tchouikov. FInalement il obtient la 92ème bridade d'infanterie navale de la Flotte du Nor det de la Baltique puis la 137ème brigade blindée du 2ème COrps. La premier fait 5000 hommes, le second seulement 1000. Pour un total de 6000 hommes supplémentaires auxquels s'ajoutent des armes antichars de 45 mm eainsi que pas moins de 50 chars légers T 60. Ces derniers sont envoyés à Mamaiev à l'est. Le 17 septembre, les attaques allemandes continue dans le quartier de la gare centrale. Les dépôts, les wagons ainsi que l'aiguillage sont l'object de furieux combats.
Au nord, von Seydlitz envoie sa 76ème Division d'infanterie pour repousser les forces de Rodimtsev sur les pentes de Mamaiev puis au sommet. Le reliquat de la 13ème Division de la Gard edonne des signes nets d'épuisements. La 94ème Division d'infanterie ainsi que les 14ème et 24ème Panzerdivisionen au sud de la Tsaritsa sont bloquée par le silo à céréales. Il faudra 7 jours soit pas moins d'une semaine avant d'en prendre le contrôlé. Une dizaine d'attaques par jour sont repoussés par la 35ème Division soviétique notamment. Tandis l'énorme bâtiment résiste à l'artillerie et aux bombardements aériens allemands. On se bat dans la salle des machines, dans l'élévateur, dans les escaliers. Tchouikov prépare une attaque pour le lendemain et doit aller vers le nord vers Joukov afin de délivrer la 62ème Armée. Pour le moment il doit une deuxième fois aménager son PC ailleurs étant donné que dans la rue de Pouchkine est arrivée un groupe de mitrailleurs allemands.
Au nord, von Seydlitz envoie sa 76ème Division d'infanterie pour repousser les forces de Rodimtsev sur les pentes de Mamaiev puis au sommet. Le reliquat de la 13ème Division de la Gard edonne des signes nets d'épuisements. La 94ème Division d'infanterie ainsi que les 14ème et 24ème Panzerdivisionen au sud de la Tsaritsa sont bloquée par le silo à céréales. Il faudra 7 jours soit pas moins d'une semaine avant d'en prendre le contrôlé. Une dizaine d'attaques par jour sont repoussés par la 35ème Division soviétique notamment. Tandis l'énorme bâtiment résiste à l'artillerie et aux bombardements aériens allemands. On se bat dans la salle des machines, dans l'élévateur, dans les escaliers. Tchouikov prépare une attaque pour le lendemain et doit aller vers le nord vers Joukov afin de délivrer la 62ème Armée. Pour le moment il doit une deuxième fois aménager son PC ailleurs étant donné que dans la rue de Pouchkine est arrivée un groupe de mitrailleurs allemands.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Moskalenko engage 2 Divisions plus 3 brigades blindées sur son aile gauche. Avec elles, il avance de 3 kilomèters sur les crêtes. Mais, l'infanterie est rejetée par une contre attaque allemande avant de se faire détruire par l'aviation. Les 2 brigades souffrent beaucoup face aux obus aichars 7,5 cm PAK 40 et face aux canons des Panzers allemands. En l'occurrence des Panzer III et IV. Malinovski envoie le long de la Volga une partie de sa 66ème Armée. Mais malgré le fait qu'une dizaine de chars russes arrivent jusqu'à Stalingrad, la brèche est refermé après que ceux ci se fassent détruire par une contre attaque des Panzergrenadiere. Le lendemain le 19 septembre, une attaque combinée de la 1ère Armée de la Garde, de la 24ème Armée ainsi que de la 66ème Armée voit le jour mais leur infanterie est stoppé net par les Stukas allemands ainsi que par l'artillerie allemande qui détruit leurs tranchées de départ en grande partie. A l'intérieur de la ville, quelques progressions à noter du côté des troupes du NKVD qui ont pris une colline, la 38ème brigade d'infanterie motorisée a quand à elle, seulement pris un verger. Enfin, quelques centaines de mèters ont été pris par la 42ème brigade d'infanterie. Les Allemands ne sont qu'à 500 mètres de couper la 62ème Armée en deux en fonçant jusque sur la Volga mais une seconde unité de renfort arrive et est sur le point de passer la Volga côté soviétique. Il s'agit de la 95ème Division commandée par le colonel Gorichny. 3 jours plus tard, la réunion soviétique avec la présence de Staline fait la point et constate le premier échec de la tentative de Joukov. Il ne s'agit plus pour le moment d'attaquer par le nord pour rejoindre Stalingrad mais de harceler les Allemands avec seulement 1 ou 2 Divisions au lieu de la grande attaque d'Armée ou inter Armée. Depuis le front nord, sont envoyés à Tchouikov la 37ème Division et la 39ème DIvision de la Garde. A cela s'ajoute la 308ème Division.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans