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Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Si on veut parler du Panzer IV, seul char capable de rivaliser avec le T 34 76 avant l'émergence des Panthers et des Tigres allemands, sachez qu'au total près de 8 300 modèles ont été produits en 7 ans. Par comparaison, 4 années seulement auront été suffisants pour produire plus de 57 000 modèles de T 34, que ce soit des T 34 76 ou des T 34 85, sa version plus moderne apparue en 1944. A Koursk, on verra notamment à l'oeuvre des chars moyens comme le T 34, ou des chars plus légers comme le T 70. Sans oublier le SU 76 pour ce qui est des canons d'assauts. A cela il faut ajouter la multiplication de l'artillerie soviétique, surpassant l'artillerie allemande dès 1943 sur le plan quantitatif comme sur le plan qualitatif, en témoigne la présence des Katiouchas, un lance roquette multiple, portant le nom de la chanson patriotique.
Enfin, pour rentrer dans les détails concernant les blindés, il faut savoir que Staline, comme Lénine avant lui, partageaient une crainte certaine de l'Allemagne en tant que puissance militaire. Les performances des Panzers en Pologne puis en France l'ont stupéfait au plus au point. A l'inverse, la performance calamiteuse de l'Armée rouge en Finlande l'a logiquement inquiété voire alarmé. Les victoires remportées par le Wehrmacht en 1941 et au début de l'année 1942 dans les steppes russes le renforcent dans cette crainte. Mais après la bataille de Stalingrad, il sait qu'il ne peut pas être battu. Cependant, ce n'est qu'après l'échec allemande lors de la bataille de Koursk qu'il sera certain de la victoire finale sur le Reich, avec ou sans les Alliés d'ailleurs. Ainsi, Staline a de bonnes raisons de s'inquiéter. L'histoire récente parle pour elle même. D'une part les forces blindés allemandes, malgré la mauvaise surprise du T 34 76 soviétique, se sont montrés supérieurs dans l'emploi tactique voire sur le plan purement qualitatif étant donné que certains chars soviétiques, à l'image des T 26 ou encore des T 60. Or, à Koursk, les forces blindés, on l'aura deviner, ont eu un rôle non négligeable dans la mise en échec des plans allemands. De plus la réussite des offensives soviétiques prévues, censé être appliqués à la fin ou après l'opération Citadelle, à savoir les offensives à Kharkov et à Orel, dépendront en grande partie à la réussite et à la performance des blindés soviétiques sur le champ de bataille. D'autre part, les attaques allemandes n'ont jamais pu être stoppé que ce soit durant l'été 1942 ou pire, en 1941. Il a fallu encaisser beaucoup de pertes et céder du terrain à l'adversaire à chaque fois. Sans oublier le mauvais temps et l'usure qui se sont ajoutés aux facteurs déjà énoncés pour priver la Wehrmacht de la réussite de son objectif stratégique.
D'ailleurs, Alexander Werth, lui même notait dans son tome 2 à la page 66 qu'en Russie, l'attaque allemande à Koursk était attendue avec une certaine nervosité, nervosité qui habitait également Joseph Staline lui même en raison des 2 échecs passés.
Toukhatchevski avait demandé l'adoption d'une approche prônant la mécanisation progressive des forces armées soviétiques. D'où l'émergence des corps mécanisés, dont ceux de Timochenko qui se feront massacrer en 1941. La mauvaise emploi des blindés couplés à la mise à mort de Toukhatchevski en 1937 et à la campagne désastreuse de Finlande ont poussé Staline à démanteler ces corps mécanisés. Bien que seulement en état de guerre larvée, les performances de Joukov face aux armées japonaises aussi appelées l'Armée du Kwantung ont montré que la mécanisation des armées soviétiques étaient tout sauf inutile. Dans une optique de test des forces soviétiques, en effet l'Armée du Kwantung marche en Mongolie jusqu'au lac de Khalkin Gol, d'où Joukov lance son attaque avec 57 000 hommes et 500 tanks dont 2 brigades de tanks. Le centre des unités japonaises est crevé et Joukov se rabat sur les ailes dans un double enveloppement. Malgré cette victoire, la victoire ne fut acquise qu'au bout de 4 jours. Une victoire à la Pyrrhus insuffisante pour convaincre Staline de ne pas démanteler les Corps mécanisés. Ce n'est qu'après avoir vu la démonstration des Panzerdivisionen en France que Staline ordonne la construction d'une force blindée digne de ce nom. De telle sorte que 29 Corps mécanisés sont assemblés certes hâtivement. Sur le papier chaque corps dispose d'1 infanterie motorisée ainsi que de 2 divisions blindés, pour un total de 1 000 chars, plus de 5 000 véhicules, 350 canons et autour de 36 000 hommes. Pourtant, le manque d'encadrement, d'entraînement, au niveau de la doctrine, de la communication ainsi que de la logistique se font clairement ressentir et entraînent, in fine, la perte de 10 000 chars en seulement 2 mois. Ce qui entraîne un nouveau démantèlement des Corps mécanisés, cette fois du NKO, pour aboutir à des divisions blindés indépendantes de 180 chars environ plus un régiment d'infanterie portée. Puis naissent les brigades de chars ainsi que des bataillons de chars.
Enfin, pour rentrer dans les détails concernant les blindés, il faut savoir que Staline, comme Lénine avant lui, partageaient une crainte certaine de l'Allemagne en tant que puissance militaire. Les performances des Panzers en Pologne puis en France l'ont stupéfait au plus au point. A l'inverse, la performance calamiteuse de l'Armée rouge en Finlande l'a logiquement inquiété voire alarmé. Les victoires remportées par le Wehrmacht en 1941 et au début de l'année 1942 dans les steppes russes le renforcent dans cette crainte. Mais après la bataille de Stalingrad, il sait qu'il ne peut pas être battu. Cependant, ce n'est qu'après l'échec allemande lors de la bataille de Koursk qu'il sera certain de la victoire finale sur le Reich, avec ou sans les Alliés d'ailleurs. Ainsi, Staline a de bonnes raisons de s'inquiéter. L'histoire récente parle pour elle même. D'une part les forces blindés allemandes, malgré la mauvaise surprise du T 34 76 soviétique, se sont montrés supérieurs dans l'emploi tactique voire sur le plan purement qualitatif étant donné que certains chars soviétiques, à l'image des T 26 ou encore des T 60. Or, à Koursk, les forces blindés, on l'aura deviner, ont eu un rôle non négligeable dans la mise en échec des plans allemands. De plus la réussite des offensives soviétiques prévues, censé être appliqués à la fin ou après l'opération Citadelle, à savoir les offensives à Kharkov et à Orel, dépendront en grande partie à la réussite et à la performance des blindés soviétiques sur le champ de bataille. D'autre part, les attaques allemandes n'ont jamais pu être stoppé que ce soit durant l'été 1942 ou pire, en 1941. Il a fallu encaisser beaucoup de pertes et céder du terrain à l'adversaire à chaque fois. Sans oublier le mauvais temps et l'usure qui se sont ajoutés aux facteurs déjà énoncés pour priver la Wehrmacht de la réussite de son objectif stratégique.
D'ailleurs, Alexander Werth, lui même notait dans son tome 2 à la page 66 qu'en Russie, l'attaque allemande à Koursk était attendue avec une certaine nervosité, nervosité qui habitait également Joseph Staline lui même en raison des 2 échecs passés.
Toukhatchevski avait demandé l'adoption d'une approche prônant la mécanisation progressive des forces armées soviétiques. D'où l'émergence des corps mécanisés, dont ceux de Timochenko qui se feront massacrer en 1941. La mauvaise emploi des blindés couplés à la mise à mort de Toukhatchevski en 1937 et à la campagne désastreuse de Finlande ont poussé Staline à démanteler ces corps mécanisés. Bien que seulement en état de guerre larvée, les performances de Joukov face aux armées japonaises aussi appelées l'Armée du Kwantung ont montré que la mécanisation des armées soviétiques étaient tout sauf inutile. Dans une optique de test des forces soviétiques, en effet l'Armée du Kwantung marche en Mongolie jusqu'au lac de Khalkin Gol, d'où Joukov lance son attaque avec 57 000 hommes et 500 tanks dont 2 brigades de tanks. Le centre des unités japonaises est crevé et Joukov se rabat sur les ailes dans un double enveloppement. Malgré cette victoire, la victoire ne fut acquise qu'au bout de 4 jours. Une victoire à la Pyrrhus insuffisante pour convaincre Staline de ne pas démanteler les Corps mécanisés. Ce n'est qu'après avoir vu la démonstration des Panzerdivisionen en France que Staline ordonne la construction d'une force blindée digne de ce nom. De telle sorte que 29 Corps mécanisés sont assemblés certes hâtivement. Sur le papier chaque corps dispose d'1 infanterie motorisée ainsi que de 2 divisions blindés, pour un total de 1 000 chars, plus de 5 000 véhicules, 350 canons et autour de 36 000 hommes. Pourtant, le manque d'encadrement, d'entraînement, au niveau de la doctrine, de la communication ainsi que de la logistique se font clairement ressentir et entraînent, in fine, la perte de 10 000 chars en seulement 2 mois. Ce qui entraîne un nouveau démantèlement des Corps mécanisés, cette fois du NKO, pour aboutir à des divisions blindés indépendantes de 180 chars environ plus un régiment d'infanterie portée. Puis naissent les brigades de chars ainsi que des bataillons de chars.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Les Corps blindés feront tout de même leur apparition au mois de mars 1942 sous ordre du NKO. Cependant il faudra passer par les échecs de Kharkov entre autres pour voir ces unités s'étouffer en artillerie, en infanterie portée, en armes de protection anti aérienne ou encore en terme de bataillons du génie, notamment les pontonniers. De ces Corps blindés, il y en aura une bonne vingtaine avant Koursk. La composition de ces Corps blindés est assez variables et les estimations oscillent selon les Corps à entre 130 et 180 chars. On peut y ajouter 9 nouveaux Corps mécanisés constitués d'1 brigade mécanisée censée appuyé les 3 brigades mécanisées censés constitués la base de ces Corps mécanisés. Mais ce n'est véritablement que le 25 mai 1942 que le NKO passe à l'étape supérieure en créant l'Armée de tanks, une unité qui a pour vocation de pouvoir faire face aux Corps Panzers allemands. Comme pour les Corps Blindés, les premières tentatives se soldèrent par des échecs cuisants notamment en juillet de la même année. 1 des 4 armées de tanks mis sur pied parviendra tout de même à percer le flanc de Paulus à Stalingrad, je le rappelle en grande partie tenue par des troupes roumaines faiblement équipées. Celle qui parvient par la suite à atteindre le Dniepr en février 1943 se fera détruire par les contres dévastateurs des forces de Manstein, étant donné le mauvais état dans lequel celle ci était arrivé faute d'une logistique suffisante. Ce n'est que plus de 10 mois plus tard, le 28 janvier 1943 que le GKO cette fois ci, crée un nouveau type Armée de tanks, créée à partir des expériences passées. IL y en aura 6 aux totales, 5 des 6 étant formés en 1943, la dernière étant mis sur pied en 1944 seulement. Les Soviétiques doivent beaucoup à ces armées car sans elles, il n'aurait jamais été possible d'aller jusqu'à Berlin en 1945. En théorie une Armée de tanks c'est plus de 600 lances roquettes multiples et canon pour autour de 500 chars, sans oublier 46 000 hommes environ en 1943.
A cela on peut ajouter 1 régiment motocycliste, 1 régiment de liaison avec l'aviation, 1 régiment du génie, 2 régiments anti chars, 2 régiments de DCA ainsi que 2 bataillons de maintenance. Néanmoins jusqu'à la fin de la guerre, le manque de transports analogues aux half tracks américains pour transporter les troupes blindés se feront sentir. De telle sorte que les chars devront transporter des détachements d'infanterie sur leur structure. De plus, la tractation de la plus grande partie de l'artillerie présente au sein des Armées de tanks l'oblige à se cantonner aux routes. Tout le contraire du T 34 qui est quasi tout terrain étant donné sa mobilité ainsi qu'à la faible pression exercée sur le sol grâce à ses chenilles larges. Ils devront attendre en 1943 avant de commencer à produire des canons auto moteurs alors que les Anglo américains, eux, avaient déjà des canons sur chenille. En appuie de l'infanterie, les SU 122 et les SU 76 M seront utiles pour appuyer l'infanterie grâce à leur feu. Le canon de ce dernier est un canon Zis 3 de 76,2 mm monté sur un châssis de char léger. Pourtant, malgré le fait que l'Armée de tanks puisse sur le papier tenir tête au Panzercorp allemande, au niveau de la pratique, il faut noter que le T 34, autrefois roi sur les champs de batailles en 1941, n'est tout simplement plus aussi efficace qu'avant. Il se fait détrôné par le Tigre Royal allemand, le nouveau roi dans cette savane glacée. En parlant de savane glacée c'est dans une ambiance d'hiver glacé près de Leningrad que les soviétiques sont parvenus à capturer un Tigre allemand en janvier 1943. Autant dire que l'état major et le NKO ont du tremblé en constatant que ce char lourd ne pouvait être détruit par un T 34 que si celui s'approche à une distance suicidaire, ou alors en tirant sur le côté ou sur l'arrière, ce qui est très compliqué à faire. A l'inverse la canon 88 mm du Tigre troue le T 34 76 et ses 70 mm de blindage frontal à 3 000 de distances.
Situation similaire au Panther d'ailleurs. Le T 34 85, qui arrive en avril 1944 ne fera que réduire l'écart grâce à son canon de 85 mm. De plus seul les chefs de compagnie sont dotés de radio. Situation qui sera complètement corrigée ou presque en 1944 et en 1945.
A cela on peut ajouter 1 régiment motocycliste, 1 régiment de liaison avec l'aviation, 1 régiment du génie, 2 régiments anti chars, 2 régiments de DCA ainsi que 2 bataillons de maintenance. Néanmoins jusqu'à la fin de la guerre, le manque de transports analogues aux half tracks américains pour transporter les troupes blindés se feront sentir. De telle sorte que les chars devront transporter des détachements d'infanterie sur leur structure. De plus, la tractation de la plus grande partie de l'artillerie présente au sein des Armées de tanks l'oblige à se cantonner aux routes. Tout le contraire du T 34 qui est quasi tout terrain étant donné sa mobilité ainsi qu'à la faible pression exercée sur le sol grâce à ses chenilles larges. Ils devront attendre en 1943 avant de commencer à produire des canons auto moteurs alors que les Anglo américains, eux, avaient déjà des canons sur chenille. En appuie de l'infanterie, les SU 122 et les SU 76 M seront utiles pour appuyer l'infanterie grâce à leur feu. Le canon de ce dernier est un canon Zis 3 de 76,2 mm monté sur un châssis de char léger. Pourtant, malgré le fait que l'Armée de tanks puisse sur le papier tenir tête au Panzercorp allemande, au niveau de la pratique, il faut noter que le T 34, autrefois roi sur les champs de batailles en 1941, n'est tout simplement plus aussi efficace qu'avant. Il se fait détrôné par le Tigre Royal allemand, le nouveau roi dans cette savane glacée. En parlant de savane glacée c'est dans une ambiance d'hiver glacé près de Leningrad que les soviétiques sont parvenus à capturer un Tigre allemand en janvier 1943. Autant dire que l'état major et le NKO ont du tremblé en constatant que ce char lourd ne pouvait être détruit par un T 34 que si celui s'approche à une distance suicidaire, ou alors en tirant sur le côté ou sur l'arrière, ce qui est très compliqué à faire. A l'inverse la canon 88 mm du Tigre troue le T 34 76 et ses 70 mm de blindage frontal à 3 000 de distances.
Situation similaire au Panther d'ailleurs. Le T 34 85, qui arrive en avril 1944 ne fera que réduire l'écart grâce à son canon de 85 mm. De plus seul les chefs de compagnie sont dotés de radio. Situation qui sera complètement corrigée ou presque en 1944 et en 1945.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Du côté des chars allemands, les dotations autour de Koursk sont les suivantes : 108 Panzer II, 822 Panzer III, 816 Panzer IV, 204 Panthers et 146 Tigres. Parmi les canons auto moteurs, 89 éléphants, 466 Sturmgeschutz III version G Engin blindé de 24 tonnes., le 230 Marder, 60 Horniss, 45 Sturmpanzer IV, 78 Wespe et 54 Hummel. Concernant les avions c'est plus compliqué étant donné que les deux tiers de la chasse est où en Allemagne pour se défendre face aux bombardements Alliés ou sur le littoral de Méditerranée. Au total, 40% seulement de l'aviation se trouve sur le front de l'est. Parmi eux plus de 80% des bombardiers tactiques. La 4ème et la 6ème Luftwotte sont respectivement commandés par Otto Dessloch et Ritter Von Greim. Pour un stationnement sur 2 aérodromes situés autour de Koursk au total. Pour entrer dans plus de précision, les Fpcke Wulf 190 A dotés de 2 mitrailleuses 7,9 et de 4 canons de 20 mm pouvant aller jusqu'à 660 kilomètres par heure ainsi que le chasseur allemande Messerschmitt Bf 109 G sont supérieurs par rapport aux Yak 1, Yak 7 et La 5 soviétiques. Le seul capable de largement rivaliser avec ces deux modèles de l'aviation allemande est la La 5 FN soviétique qui n'apparait cependant que très peu sur le champ de bataille à Koursk. L'avion Stuka Ju 87 G est également un atout essentiel dans le cadre de la lutte anti char. Ses 2 canons de 37 mm fera ses preuves à l'occasion de l'offensive soviétique à Orel et 95% des stuka Ju 87 G en l'occurrence sont des bombardiers piqueurs. Pour un rôle à Koursk somme tout limité. Pour faire face au Sturmovik, le Henschel Hs 129 B 2 est souvent présenté comme idéal. Le premier prototype décolle en mai 1939. Mais sa production ne démarre véritablement qu'après la défaite de la France en été 1940.
L'avantage principal de la Luftwaffe à Koursk, néanmoins se trouve du côté de ses pilotes, parmi les tout meilleurs au monde. Hartmann, Gunther Rall, Barkhorn et Hans Ulrich Rudel sont parmi les plus légendaires qui soient. Mais le manque de matériel relatif par rapport aux Soviétiques, la dilution de ses forces ainsi que le manque de carburant oblige de concentrer le gros des appareils au dessus des blidnés de la 9ème Armée de Model au nord ainsi qu'au dessus des forces de Manstein au sud. La percée doit également avoir lieu rapidement étant donné le risque d'attrition redouté par les Allemands. De même la concentration sur l'appuie tactique ne peut s'obtenir que si la supériorité aérienne ainsi que l'interdiction du champ de bataille sont abandonnés. Or il s'agissait là de 2 spécialités dans lesquels excellaient la Luftwaffe. L'interdiction des réseaux ferrés et routiers ainsi que les attaques constantes des aérodromes de la VVS n'auront tout simplement pas lieu contrairement à ce qui s'est déroule lors de l'opération Barbarossa 2 ans plus tôt.
Livres et sources :
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Pour ce qui est du renseignement par contre, l'OKH est surclassé et notamment sa section du FHO consacré entièrement au renseignement. Ainsi 98 unités soviétiques ne parviennent pas à être détectés par le FHO et leur chef, Reinhardt Gehlen. Rien que le Front du Centre et de la Steppe comportent respectivement 45 et 29 unités oubliées. L'analyse de Gehlen c'est que l'offensive soviétique d'été aura pour objectif le sud entre la 6ème et la 1ère armée panzer et sur la hernie Bielgorod Kharkov.
L'avantage principal de la Luftwaffe à Koursk, néanmoins se trouve du côté de ses pilotes, parmi les tout meilleurs au monde. Hartmann, Gunther Rall, Barkhorn et Hans Ulrich Rudel sont parmi les plus légendaires qui soient. Mais le manque de matériel relatif par rapport aux Soviétiques, la dilution de ses forces ainsi que le manque de carburant oblige de concentrer le gros des appareils au dessus des blidnés de la 9ème Armée de Model au nord ainsi qu'au dessus des forces de Manstein au sud. La percée doit également avoir lieu rapidement étant donné le risque d'attrition redouté par les Allemands. De même la concentration sur l'appuie tactique ne peut s'obtenir que si la supériorité aérienne ainsi que l'interdiction du champ de bataille sont abandonnés. Or il s'agissait là de 2 spécialités dans lesquels excellaient la Luftwaffe. L'interdiction des réseaux ferrés et routiers ainsi que les attaques constantes des aérodromes de la VVS n'auront tout simplement pas lieu contrairement à ce qui s'est déroule lors de l'opération Barbarossa 2 ans plus tôt.
Livres et sources :
Pour ce qui est du renseignement par contre, l'OKH est surclassé et notamment sa section du FHO consacré entièrement au renseignement. Ainsi 98 unités soviétiques ne parviennent pas à être détectés par le FHO et leur chef, Reinhardt Gehlen. Rien que le Front du Centre et de la Steppe comportent respectivement 45 et 29 unités oubliées. L'analyse de Gehlen c'est que l'offensive soviétique d'été aura pour objectif le sud entre la 6ème et la 1ère armée panzer et sur la hernie Bielgorod Kharkov.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Cependant, ce qui fera vraiment la différence durant la bataille de Koursk, ce sera la choix de défendre, au lieu d'attaquer. L'attaque en tenailles de Kharkov par Timochenko a échoué en mai 1942. Ce qui aura pour effet le parte de 2 millions d'hommes et de 1000 kilomètres de terrain, étant donné que l'Armée rouge était tombé dans un piège. Staline, malgré cela, veut une nouvelle offensive à partir de Koursk. Cependant, Vassilevski et Joukov ont bien retenu la leçon de Kharkov et insistent pour une mise en défense des forces armées. Le renseignement parvient à fournir des informations et des analyses pertinentes et amènent la Stavka à comprendre grâce à plusieurs sources les intentions allemandes d'attaquer à Koursk et ce dès la fin du mois de mars 1943. De plus, les mouvements de troupes ainsi que les concentrations d'hommes et de matériel sont informés par des milliers d'agent travaillant sur les arrières des troupes allemandes au service de la GRU qui sont les services secrets de l'Armée rouge. Enfin, malgré le fait que Staline soit convaincu que la principale menace se trouve à Koursk, il craint toujours pour Moscou. Alors il veut construire à système défensif qui empêche toute possibilité à la Wehrmacht de déboucher sur les arrières profonds du pays. Vatounine et Krouchtchev, eux, plaident en faveur d'une attaque. Finalement, cette option sera écartée par Joukov, Vassilevski et Antonov.
Le 2 juin 1943, l'opération Carmen demande la mobilisation de l'ensemble des moyen des Luftfloten 6 et 4 contre les aires de rassemblement situées dans et autour de Koursk. Malgré des attaques incessantes, le repérage des 130 appareils de la 1èree vague empêche le succès allemand. Puis les 155 avions allemands ne réussissent pas à bloquer 86 yak soviétiques ayant décollé entre temps. A 11 heures, c'est plus de 100 bombardiers allemands affrontant plus de 200 chasseurs soviétiques avec la perte d'une cinquantaine d'appareils de chaque côté.
A partir du mois de mai 1943, ce sont les opérations Koutouzov et Rumantsiev qui commencent à être planifiés par la stavka. La première opération étant menée par les Front de l'Ouest, du Centre et de Briansk, sachant que celui du centre est également censé défendre la face nord du saillant de Koursk contre toute entreprise allemande, la seconde étant menée par le Front de Steppe qui est la réserve générale pour Koursk au cas où ça se passerait mal, et par le Front de Voronej, censé défendre, lui, la face sud du saillant. Sans oublier les attaques le long du fleuve de Mious ainsi que sur le Donetz d'Izium même s'il ne s'agit que t'attaques de diversion. Il faut ajouter à cela le fait que Staline veuille récupérer les mines de fer de Krivoi Rog ainsi que les charbons du Donetz, en Ukraine, qui fournissaient 40% des besoins soviétiques en 1940.
La sous estimation constante des capacités de l'Armée rouge ainsi que la croyance en leur supériorité militaire font que malgré certaines incertitudes, les chefs militaires allemands sont certains de la victoire. Comme si Stalingrad n'avait été du qu'à la malchance ou à l'incompétence des Roumains. Après tout, avec autant d'hommes, d'avions et de blindés rassemblés à Koursk, on pourrait bien se demander comment est ce que les Allemands ne pourraient pas percer et l'emporter. Après tout, avec une telle préparation et une telle concentration des forces, et ce malgré les progrès constants du côté soviétique, comment l'armée allemande pourrait perdre?
Le 2 juin 1943, l'opération Carmen demande la mobilisation de l'ensemble des moyen des Luftfloten 6 et 4 contre les aires de rassemblement situées dans et autour de Koursk. Malgré des attaques incessantes, le repérage des 130 appareils de la 1èree vague empêche le succès allemand. Puis les 155 avions allemands ne réussissent pas à bloquer 86 yak soviétiques ayant décollé entre temps. A 11 heures, c'est plus de 100 bombardiers allemands affrontant plus de 200 chasseurs soviétiques avec la perte d'une cinquantaine d'appareils de chaque côté.
A partir du mois de mai 1943, ce sont les opérations Koutouzov et Rumantsiev qui commencent à être planifiés par la stavka. La première opération étant menée par les Front de l'Ouest, du Centre et de Briansk, sachant que celui du centre est également censé défendre la face nord du saillant de Koursk contre toute entreprise allemande, la seconde étant menée par le Front de Steppe qui est la réserve générale pour Koursk au cas où ça se passerait mal, et par le Front de Voronej, censé défendre, lui, la face sud du saillant. Sans oublier les attaques le long du fleuve de Mious ainsi que sur le Donetz d'Izium même s'il ne s'agit que t'attaques de diversion. Il faut ajouter à cela le fait que Staline veuille récupérer les mines de fer de Krivoi Rog ainsi que les charbons du Donetz, en Ukraine, qui fournissaient 40% des besoins soviétiques en 1940.
La sous estimation constante des capacités de l'Armée rouge ainsi que la croyance en leur supériorité militaire font que malgré certaines incertitudes, les chefs militaires allemands sont certains de la victoire. Comme si Stalingrad n'avait été du qu'à la malchance ou à l'incompétence des Roumains. Après tout, avec autant d'hommes, d'avions et de blindés rassemblés à Koursk, on pourrait bien se demander comment est ce que les Allemands ne pourraient pas percer et l'emporter. Après tout, avec une telle préparation et une telle concentration des forces, et ce malgré les progrès constants du côté soviétique, comment l'armée allemande pourrait perdre?
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il y a 2 ans
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La sous estimation constante des capacités de l'Armée rouge ainsi que la croyance en leur supériorité militaire font que malgré certaines incertitudes, les chefs militaires allemands sont certains de la victoire. Comme si Stalingrad n'avait été du qu'à la malchance ou à l'incompétence des Roumains. Après tout, avec autant d'hommes, d'avions et de blindés rassemblés à Koursk, on pourrait bien se demander comment est ce que les Allemands ne pourraient pas percer et l'emporter. Après tout, avec une telle préparation et une telle concentration des forces, et ce malgré les progrès constants du côté soviétique, comment l'armée allemande pourrait perdre?
Koursk se situe à l'Ouest de la Russie européenne. L'ensemble est peu élevé et monotone. Seulement quelques lignes de crêtes. En bref les conditions idéales pour une offensive. Au nord, se situe la chaîne d'Olkhovatka qui forme le coeur du plateau et qui descend jusqu'à Koursk, et ce sans la présence d'un seul obstacle naturel. Entre Koursk et la rivière du Psel, la steppe herbeuse et peu élevée plaide en faveur d'une attaque de chars. Même entre la rivière du Psel et Bielgorod plus au sud, le terrain est parfait. A noter la présence de plusieurs rivières dans la région, à savoir l'Oka au nord, le cours supérieur du Noetz, Au centre la Sejm et enfin le Psel orienté est ouest qui passe par Oboian.
L'objectif côté allemand est de percer les lignes de défense au nord et au sud du saillant de Koursk et ce en 48 heures seulement. Il faudra donc à Model de s'emparer des hauteurs de Olkhovatka et au sud, du côté de Manstein, c'est le détachement de Kempf ainsi que la 4ème Armée Panzer qui auront pour mission d'occuper la zone de Korocha Prokhorovka pour la première et pour la deuxième pris Oboian après avoir franchi le Psel en un même lap de temps. Soit au total 80 kilomètres pour être à Koursk. Chaque jour, les forces allemandes devront percer une ligne de défense soviétique puis border la suivante.
Koursk se situe à l'Ouest de la Russie européenne. L'ensemble est peu élevé et monotone. Seulement quelques lignes de crêtes. En bref les conditions idéales pour une offensive. Au nord, se situe la chaîne d'Olkhovatka qui forme le coeur du plateau et qui descend jusqu'à Koursk, et ce sans la présence d'un seul obstacle naturel. Entre Koursk et la rivière du Psel, la steppe herbeuse et peu élevée plaide en faveur d'une attaque de chars. Même entre la rivière du Psel et Bielgorod plus au sud, le terrain est parfait. A noter la présence de plusieurs rivières dans la région, à savoir l'Oka au nord, le cours supérieur du Noetz, Au centre la Sejm et enfin le Psel orienté est ouest qui passe par Oboian.
L'objectif côté allemand est de percer les lignes de défense au nord et au sud du saillant de Koursk et ce en 48 heures seulement. Il faudra donc à Model de s'emparer des hauteurs de Olkhovatka et au sud, du côté de Manstein, c'est le détachement de Kempf ainsi que la 4ème Armée Panzer qui auront pour mission d'occuper la zone de Korocha Prokhorovka pour la première et pour la deuxième pris Oboian après avoir franchi le Psel en un même lap de temps. Soit au total 80 kilomètres pour être à Koursk. Chaque jour, les forces allemandes devront percer une ligne de défense soviétique puis border la suivante.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Du côté du Front Nord, 5 armées allemande sont impliquées dans la bataille dont 3 directement face nord du saillant. Parmi ces armées on compte la 2ème armée Panzer, commandée par Rudolf Schmidt, qui garde les faces nord et est du saillant d'Orel. Celle ci consiste en 14 divisions d'infanterie, 1 division de Panzergrenadiere, 2 Panzerdivisionen ainsi que 2 divisions de sécurité, le tout endivisionnant 160 000 hommes au total pour près de 250 chars. On peut ajouter la 2ème armée dirigée par le général Walter Weiss ne contenant que 96 000 hommes répartis en seulement 8 divisions d'infanterie. Mais l'armée qui joue le rôle le plus important c'est celle commandée par Walter Model, à savoir la 9ème armée, contenant 335 000 hommes pour plus de 900 chars ou canons d'assauts et plus de 3 600 canons, le tout répartis en 14 divisions d'infanterie tout comme la 2ème armée Panzer, ainsi que 6 Panzerdivisionen et 1 division de Panzergrenadiere. La zone de Trosna Krasnaia Slobodka représente la zone où Model concentre le gros de ses forces. Notamment à l'est le XXIIIème corps dirigé par le général Freissner doté de 3 divisions d'infanterie ayant pour vocation la sécurisation du flanc gauche. Malo Arkhangelsk est donc au vu des cartes logiquement son objectif, ce qui est le cas. Les Nebelwerfer ainsi que les canons d'assauts s'ajoutent aux 25 chasseurs de chars Marder III ainsi qu'aux 2 compagnies d'engins explosifs radiocommandées. Mais au centre, entre Malo Arkhangelsk et Trosna, sur l'Oka, on trouve les XXXXVIème, XXXXVIIème, et XXXXIème Panzercorps d'ouest en est respectivement, pour 7 divisions d'infanterie. Les Panzerdivisionen se situant derrière sont censés exploiter et avancer après que les premières lignes de défense soviétique aient été troués. Le XXXXVIIème Corps Panzer doit notamment s'emparer de shauteurs d'Olkhovatka. Du côté du XXXXIème corps, la percée doit se situer à travers Zolotuchino.
Manstein répartit ses forces en 2 parties égales. A droite, de part et d'autre de Bielgorod, 100 000 hommes composent le détachement de Kempf. A cela s'ajoute 419 chars et canons d'assaut. A gauche de Borisovska à l'ouest de Bielgorod on y trouve la 4ème armée Panzer, forte de plus de 220 000 hommes. La 4ème Panzer doit crever les défenses soviétiques sur l'axe de la route Oboian Koursk. La rivière Psel est censée être atteinte puis bordée le soir même de l'attaque puis passée dès le lendemain, soit le 5 et 6 juillet. Le détachement de Kempf, lui doit marcher sur le Donetz puis marcher vers le nord après être passé au sud de Bielgorod. Le 7 juillet la ligne Korocha Skordnoye est en ligne de mire. Malgré l'évidente difficulté plus marquée du côté du détachement de Kempf, il dispose de moins d'hommes et de matériels que le 4ème armée qui pèse près de 1 100 chars, soit plus de 2,5 fois plus que Kempf. Or le Donetz est gardée par la 7ème armée de la Garde, l'un des armées soviétiques les plus puissantes du dispositif mis en place à Koursk. Le XIème Corps d'infanterie situé sur sa droite est censé s'appuyer sur la rive Koren voire Kolocha, parallèles au Donetz. Le IIIème Corps Panzer qui est situé à sa gauche doit détruire les réserves blindés soviétiques et avancer aussi vite que le IInd Corps SS Panzer à gauche et ce malgré la présence de bois, de marais de de cours d'eau ralentissant la progression des chars. C'est Hermann Hoth qui se trouve à la tête de la 4ème armée Panzer. Il devra diriger 10 divisions au total sur 70 kilomètres environ. Le XXXXVIIIème Corps blindé d'Otto von Knobelsdorgg et le IInd Corps SS Panzer commandé par Paul Hausser à droite constituent une formidable masse blindée censée écraser n'importe quelle défense soviétique. Du côté du premier Corps blindé on trouve les 3ème, 11ème et 167ème divisions Panzers plus la Panzergrenadierdivision Grossdeutschland commandée par Walter Hornlein qui dispose du contrôle de l'unité allemande la plus forte.
Manstein répartit ses forces en 2 parties égales. A droite, de part et d'autre de Bielgorod, 100 000 hommes composent le détachement de Kempf. A cela s'ajoute 419 chars et canons d'assaut. A gauche de Borisovska à l'ouest de Bielgorod on y trouve la 4ème armée Panzer, forte de plus de 220 000 hommes. La 4ème Panzer doit crever les défenses soviétiques sur l'axe de la route Oboian Koursk. La rivière Psel est censée être atteinte puis bordée le soir même de l'attaque puis passée dès le lendemain, soit le 5 et 6 juillet. Le détachement de Kempf, lui doit marcher sur le Donetz puis marcher vers le nord après être passé au sud de Bielgorod. Le 7 juillet la ligne Korocha Skordnoye est en ligne de mire. Malgré l'évidente difficulté plus marquée du côté du détachement de Kempf, il dispose de moins d'hommes et de matériels que le 4ème armée qui pèse près de 1 100 chars, soit plus de 2,5 fois plus que Kempf. Or le Donetz est gardée par la 7ème armée de la Garde, l'un des armées soviétiques les plus puissantes du dispositif mis en place à Koursk. Le XIème Corps d'infanterie situé sur sa droite est censé s'appuyer sur la rive Koren voire Kolocha, parallèles au Donetz. Le IIIème Corps Panzer qui est situé à sa gauche doit détruire les réserves blindés soviétiques et avancer aussi vite que le IInd Corps SS Panzer à gauche et ce malgré la présence de bois, de marais de de cours d'eau ralentissant la progression des chars. C'est Hermann Hoth qui se trouve à la tête de la 4ème armée Panzer. Il devra diriger 10 divisions au total sur 70 kilomètres environ. Le XXXXVIIIème Corps blindé d'Otto von Knobelsdorgg et le IInd Corps SS Panzer commandé par Paul Hausser à droite constituent une formidable masse blindée censée écraser n'importe quelle défense soviétique. Du côté du premier Corps blindé on trouve les 3ème, 11ème et 167ème divisions Panzers plus la Panzergrenadierdivision Grossdeutschland commandée par Walter Hornlein qui dispose du contrôle de l'unité allemande la plus forte.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Côté soviétique ce sont respectivement le Front du Centre et le Front de Voronej qui feront faces aux forces lancés par Model au nord et par Manstein au sud. Notamment pour ce qui est du front du Centre c'est Rokossovski qui est en à la tête. En septembre 1942 il devient commandant du Front du Don, nommé par la suite Front du Centre. A l'ouest de Koursk, sa marche vers la Desna est couronné de succès. De part le nombre de victoires obtenus par Rokossovski en comparant les rapports de forces avec l'adversaire, il n'est pas exagéré de dire qu'il fut l'un si ce n'est le meilleur des généraux soviétiques de la Grande Guerre Patriotique. Sur le plan opérationnel, on peut parler d'un général au dessus des autres. Les 3 armées déployés par Rokossovski au nord de Koursk sur les 2 premières lignes défensives sont du nord au sud, la 70ème armée commandée par le général Galanin, la 13ème armée commandée par le général Pukhov ainsi que la 48ème armée commandée par le général Romanenko. Entre Orel et la voie ferrée l'axe principal de Model sera mené et ça, Rokossovski l'avait bien compris, bien qu'il s'attendait plus à ce que ce soit à l'est vers Ponyri qu'à l'ouest vers Olkhovatka. La 13 ème armée est située entre Maloarkhangelsk et Gnilets, qui gardera 32 kilomètres de longueur de front pour 30 kilomètres de profondeur, avec respectivement 4 et 3 divisions pour la 1ère et la 2nd ligne de défense. Plus 5 en réserve sur la 3ème ligne. Sur les 2ème et 3ème ligne à noter également la présence de respectivement 5 régiments de chars et 1 brigade de chars. Cette armée endivisionne au total 114 000 hommes, 3 000 lances roquettes et autres canons sans oublier 270 chars et canons automoteurs. A droite de a 13ème armée, la 48ème armée comporte 84 000 hommes, plus de 1 600 canons et 178 chars. A gauche de la 13ème armée, la 70ème armée aligne 96 000 hommes pour plus de 1 600 canons également et 125 chars. Sans oublier la présence de plussieurs dizaines de formations à l'arrière.
Tout cela donne un total de plus de 700 000 hommes, près de 12 500 canons et lances roquettes ainsi que 1 785 chars et canons automoteurs. Il est évident que les rapports de forces sont favorables aux soviétiques. Les rapports sont ainsi que 2 contre 1 s'agissant des hommes mais aussi des chars alignés. Pour ce qui est de l'artillerie, le rapport de forces augmente, lui, à 4 contre 1 en faveur de l'Armée rouge. Pour ce qui est de l'aviation, il ne dépasse pas les 1,5 contre 1. En effet la 1ère Fliegerdivision compte 730 appareils contre plus de 1 000 en ce qui concerne la 16ème Armée aérienne dirigée par Rudenko.
Tout cela donne un total de plus de 700 000 hommes, près de 12 500 canons et lances roquettes ainsi que 1 785 chars et canons automoteurs. Il est évident que les rapports de forces sont favorables aux soviétiques. Les rapports sont ainsi que 2 contre 1 s'agissant des hommes mais aussi des chars alignés. Pour ce qui est de l'artillerie, le rapport de forces augmente, lui, à 4 contre 1 en faveur de l'Armée rouge. Pour ce qui est de l'aviation, il ne dépasse pas les 1,5 contre 1. En effet la 1ère Fliegerdivision compte 730 appareils contre plus de 1 000 en ce qui concerne la 16ème Armée aérienne dirigée par Rudenko.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Le Front de Voronej va voir l'intégralité de la 4ème armée Panzer s'abattre sur lui. C'est Nikolai Vatounine qui le dirige. Il gagne les faveurs de Staline grâce à son bon travail au sein de l'état major. Il lui confie en juillet 1942 le Front de Voronej après que Vatounine ait été nommé représentant de la Stavka. Par la suite il lui donne le Front du Sud Ouest grace auquel il gagne davantage de notoriété grâce à l'encerclement de Stalingrad. Il reprend ensuite le Front de Voronej dont les forces se font réduire par la marche désastreuse le long du Dniepr contre Manstein. Il est à Koursk à la tête d'un Front comprenant 6 armées dont 2 ne seront pas attaquées, à savoir la 38ème et la 40ème armée. Les armées qui se distingueront vraiment lors de la bataille seront les 6ème et 7ème Armées de la Garde placées sur les premières et seconde ligne. En réserve il dispose de la 69ème armée et surtout de la 1ère armée de tanks dirigée par Koutoukov. A cela s'ajoute en réserve a 35ème division de fusilliers de la garde ainsi que les 2nd et 5ème Corps blindés. C'est cette profondeur et cette masse au niveau des réserves qui surprendra en partie Manstein. Car que ce soit en termes d'hommes et de moyens hormis en artillerie, du moins durant les premiers jours de la batailles, Manstein a clairement l'avantage sur son adversaire.
Selon Glantz et House, dans leur ouvrage intitulé : The Battle of Kursk aux pages 26 27 et 28, la Stavka et Joukov ont commis l'erreur d'avoir anticipé le gros des forces armées au nord alors qu'ils viendront au sud car Joukov se serait laissé emporté par sa volonté farouche de détruire absolument le Groupe d'Armée Centre étant donné qu'il avait échoué en 1942. De plus, Staline met la priorité à l'éloignement de toute menace contre Moscou, ce qui expliquerait également cela et le fait de vouloir la destruction de la base de départ du saillant d'Orel. Mais selon Zetterling et Franckson il y a une autre raison pour cela. A savoir le fait que les préparatifs de la 9ème armée de Model auraient trompé les Soviétiques étant donné une concentration inhabituelle relevée par les services de renseignements soviétiques. Le Front du Centre, ainsi dispose de plus de divisions d'infanterie que le Front de Voronnej, à savoir 41 contre 35, plus de canons ou mortiers lourds ainsi que plus de canons antichars même si les dispositions varient selon les armées. Les meilleurs résultats de Manstein par rapport à Model ne s'expliqueront pas seulement par le fait que Model soit un spécialiste de la défense ou que Manstein ait eu plus de forces que Model tout en affronté un Front plus dégarni que celui auquel Model devra faire face. Il se trouve que la 9ème armée de Model verra son coup principal tomber contre les défenses de la 13ème armée, la plus puissante et de loin du Front du Centre qui est ramassé sur seulement plus de 30 kilomètres sachant que Manstein attaque la 6ème et 7ème armées de la Garde gardant un front plus élargie pour chaque que la 13ème armée, et également plus élargie que la 40ème armée faisant aussi partie du Front de Voronej contrairement à la 13ème armée. De plus, 4 armées sont mis sur la première et principale ligne de défense, là où Rokossovski en commet 5. Mais ça n'empêchera pas Vatounine d'harceler les flancs de Manstein avec ses 38ème et 40ème armées.
Selon Glantz et House, dans leur ouvrage intitulé : The Battle of Kursk aux pages 26 27 et 28, la Stavka et Joukov ont commis l'erreur d'avoir anticipé le gros des forces armées au nord alors qu'ils viendront au sud car Joukov se serait laissé emporté par sa volonté farouche de détruire absolument le Groupe d'Armée Centre étant donné qu'il avait échoué en 1942. De plus, Staline met la priorité à l'éloignement de toute menace contre Moscou, ce qui expliquerait également cela et le fait de vouloir la destruction de la base de départ du saillant d'Orel. Mais selon Zetterling et Franckson il y a une autre raison pour cela. A savoir le fait que les préparatifs de la 9ème armée de Model auraient trompé les Soviétiques étant donné une concentration inhabituelle relevée par les services de renseignements soviétiques. Le Front du Centre, ainsi dispose de plus de divisions d'infanterie que le Front de Voronnej, à savoir 41 contre 35, plus de canons ou mortiers lourds ainsi que plus de canons antichars même si les dispositions varient selon les armées. Les meilleurs résultats de Manstein par rapport à Model ne s'expliqueront pas seulement par le fait que Model soit un spécialiste de la défense ou que Manstein ait eu plus de forces que Model tout en affronté un Front plus dégarni que celui auquel Model devra faire face. Il se trouve que la 9ème armée de Model verra son coup principal tomber contre les défenses de la 13ème armée, la plus puissante et de loin du Front du Centre qui est ramassé sur seulement plus de 30 kilomètres sachant que Manstein attaque la 6ème et 7ème armées de la Garde gardant un front plus élargie pour chaque que la 13ème armée, et également plus élargie que la 40ème armée faisant aussi partie du Front de Voronej contrairement à la 13ème armée. De plus, 4 armées sont mis sur la première et principale ligne de défense, là où Rokossovski en commet 5. Mais ça n'empêchera pas Vatounine d'harceler les flancs de Manstein avec ses 38ème et 40ème armées.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Au delà des réserves initiales, 2 groupements d'Armées de réserve existent également afin d'empêcher les blindés allemands d'arriver jusqu'aux arrières stratégiques des Soviétiques, ce qui a été le cas durant les 2 étés de 1941 et 1943. La 1er groupement comprend la 3ème et 4ème armées de tanks de la garde mais aussi la 11ème armée, situées sur la route de Moscou au nord et nord est du saillant d'Orel. Il s'agit de l'utiliser en cas d'effondrement du Front du Centre face aux coups de la 9ème armée de Model, ce qui n'arrivera pas. Du coup son autre fonction est de former la réserve mobile qui exploitera la percée qui surviendra lors de l'offensive soviétique vers Ore, aussi nommée opération Koutouzov. Le Front de la Steppe, lui, constitue le 2nd groupement sous les ordres d'un certain Ivan Koniev. Ce groupement joue le même rôle que le 1er mais également pour le Front de Voronej cette fois. Sinon il devra lancer l'offensive en direction de Kharkov. Le Front de la Steppe s'étend sur 400 kilomètres entre Voronej et l'est d'Orel. 5 armées composent ce Front utilisé comme réserve. En l'occurrence les 4ème et 5ème armées de la Garde, les 27ème, 47ème et 53ème armées, sans oublier la 5ème Armée de tank de la Garde. Cette dernière est d'ailleurs commandée par le tankiste soviétique Pavel Rotmistrov.Ajoutons à cela la présence des 1er et 3ème Corps mécanisés de la Garde ainsi que du 4ème Corps Blindé. Au total plus de 570 000 hommes pour plus de 9 200 canons et lances roquettes et plus de 1600 chars et canons automoteurs. Il sera assisté par la 5ème Armée aérienne composé de 563 appareils.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Au nord, le 5 juillet 1943, Walter Model fait le choix d'obtenir la percée via utilisation de l'infanterie et de l'artillerie le premier jour, une méthode utilisée habituellement par les Soviétiques. Cela n'empêche pas Model de les assister avec 90 Ferdinans des 653ème et 654ème bataillons de chasseurs de chars lours ainsi que par 45 Brummbars du 216ème Sturmpanzer bataillong sans oublier 31 tigres ainsi que 140 canons d'assauts issus de 7 bataillons de Sturmgeschutz. La contre préparation d'artillerie déclenchée par Rokossovski sur ordre de Joukov ont eu selon Rokossovski pour résultat des pertes adverses importantes ainsi, la désorganisation ainsi que le recul de l'attaque générale. Roman Toppel conteste cette vision repris par nombre d'auteurs soviétiques et occidentaux. Les archives de la Wehrmacht mettent en avant le fait que cette préparation a un un effet limite sommme tout à l'exception du secteur tenu par le IIIème Panzerkorps.
Le 6 juillet
Rudenko envoie les biplan Po 2 qui attaquent l'infanterie allemande. Les quadrimoteurs Pe 8 eux, s'en prennent aux véhicules de la 9ème armée de Model. La contre attaque de Rokossovski a pour but d'éloigner les forces allemandes de Ponyri et des hauteurs d'Olkhovatka. La 17ème Corps des fusilliers de la Garde doit exploiter l'effet de choc crée par la 2ème Armée de tank commandée par Rodin. Les 2ème et 9ème Panzer avancent respectivement vers Olkhovatka et Ponyri. Les véhicules de la 2ème panzerdivisionnen entre les villages de Saborovka et Podolyan sont balayés par les avions soviétuqques, notamment des Douglas B+DB 7 Boston. La 107ème brigade blindée du 1-ème Corps blindé se fait détruire quasi intégralement par les Tigres allemands. Deichmann envoie son Fliergerkorps pour venir en aide aux Panzers. Malgré cela plusieurs He 111 et Bf 110 sont abattus par des unités d'élites envoyés par Rudenko volant sur des Yak 9T eux même dotés d'un canon de 37 mm. Puis à 18 heures c'est le 19ème Corps blindé qui se lance contre les 2ème et 20ème Panzerdivisionen. Malgré cela, les Panzers, bien appuyés par la Luftwaffe, contre attaquent et détruisent plusieurs dizaines de T 34 et T 70. Mais la contre attaque a tout de même ralentie les Allemands de 24 heures. Cependant, à cause de cela, la 2nd Armée de tanks est très affaiblie comme l'expliquent d'ailleurs David Glantz et Johnathan House dans leur ouvrage consacré à ce sujet. Ce qui fait que plus tard Rokossovski n'autorise que des attaques de T 34 contre de schars moyens et légers. Les chars lourds allemands les surclassent trop facilement. Le soir du 6 juillet, les 3ème, 16ème et 19ème Corps sont utilisés en tant qu'armes antichars fixes et enterrés, en dépit des consignes du maréchal Fedorenko, chef des blindés au NKO. Rokossovski se tourne vers le nord de Ponyri et attaque les 86 et 292ème divisions d'infanterie avec ses 52ème et 148ème divisions ainsi que la 74ème division de fuusiliers.
Du côté de Manstein, les SS du XXXXVIIIème Corps Panzer font une percée à Sisyphe. Les 3ème et 11ème divisions Panzers vont vers Oboian après une longue préparation d'artillerie. La 67ème division de fusilier soviétique se fait largement affaiblir par les 200 sorties de la Luftwaffe. Près de Ravoko, la Pena est atteinte par la 3ème Panzer mais l'artillerie soviétique empêche le passage. Du coup Seidemann qui avait envoyé les Stukas à Kempf, les rappelle à l'ouest mais avec les chasseurs en moins ce qui est une grosse erreur car les Ju 87 de la St G 77 se font museler au dessus de la rivière par des La 5 soviétiques su 88ème IAP. Ensuite, Krasovskuy envoie les sturmoviks du 291ème ShAD harceler la Grossdeutshcland et la 3ème Panzer. Pour une dizaine de chars allemands détruits. Puis kla 3ème Panzer va vers Lukhanino. alors qu'au même moment, la 11ème Panzer et la Grossdeutschland se font bloquer par la résistance acharné du 3ème Corps mécanisé de la 1ère Armée de tanks. De plus, avec le blocage de hoth, le IInd Corps SS Panzer se met en avant de part sa plus grande avancée. Ce 2nd Corps est appuyé par la VIIIème Fliegerkorps et au sol, la Das Reich et la Leibstandarte sont en pointe. A la fin de la journée , Teterevino est proche et la route de prokhorovka est ouverte. C'est d'ailleurs vers là que les SS se dirigent à la fin de l'après midi, vers Prokhorovka; Au lieu de marcher vers Oboian au nord. Mauvais choix selon House et Glantz, historiens.
Le 6 juillet
Rudenko envoie les biplan Po 2 qui attaquent l'infanterie allemande. Les quadrimoteurs Pe 8 eux, s'en prennent aux véhicules de la 9ème armée de Model. La contre attaque de Rokossovski a pour but d'éloigner les forces allemandes de Ponyri et des hauteurs d'Olkhovatka. La 17ème Corps des fusilliers de la Garde doit exploiter l'effet de choc crée par la 2ème Armée de tank commandée par Rodin. Les 2ème et 9ème Panzer avancent respectivement vers Olkhovatka et Ponyri. Les véhicules de la 2ème panzerdivisionnen entre les villages de Saborovka et Podolyan sont balayés par les avions soviétuqques, notamment des Douglas B+DB 7 Boston. La 107ème brigade blindée du 1-ème Corps blindé se fait détruire quasi intégralement par les Tigres allemands. Deichmann envoie son Fliergerkorps pour venir en aide aux Panzers. Malgré cela plusieurs He 111 et Bf 110 sont abattus par des unités d'élites envoyés par Rudenko volant sur des Yak 9T eux même dotés d'un canon de 37 mm. Puis à 18 heures c'est le 19ème Corps blindé qui se lance contre les 2ème et 20ème Panzerdivisionen. Malgré cela, les Panzers, bien appuyés par la Luftwaffe, contre attaquent et détruisent plusieurs dizaines de T 34 et T 70. Mais la contre attaque a tout de même ralentie les Allemands de 24 heures. Cependant, à cause de cela, la 2nd Armée de tanks est très affaiblie comme l'expliquent d'ailleurs David Glantz et Johnathan House dans leur ouvrage consacré à ce sujet. Ce qui fait que plus tard Rokossovski n'autorise que des attaques de T 34 contre de schars moyens et légers. Les chars lourds allemands les surclassent trop facilement. Le soir du 6 juillet, les 3ème, 16ème et 19ème Corps sont utilisés en tant qu'armes antichars fixes et enterrés, en dépit des consignes du maréchal Fedorenko, chef des blindés au NKO. Rokossovski se tourne vers le nord de Ponyri et attaque les 86 et 292ème divisions d'infanterie avec ses 52ème et 148ème divisions ainsi que la 74ème division de fuusiliers.
Du côté de Manstein, les SS du XXXXVIIIème Corps Panzer font une percée à Sisyphe. Les 3ème et 11ème divisions Panzers vont vers Oboian après une longue préparation d'artillerie. La 67ème division de fusilier soviétique se fait largement affaiblir par les 200 sorties de la Luftwaffe. Près de Ravoko, la Pena est atteinte par la 3ème Panzer mais l'artillerie soviétique empêche le passage. Du coup Seidemann qui avait envoyé les Stukas à Kempf, les rappelle à l'ouest mais avec les chasseurs en moins ce qui est une grosse erreur car les Ju 87 de la St G 77 se font museler au dessus de la rivière par des La 5 soviétiques su 88ème IAP. Ensuite, Krasovskuy envoie les sturmoviks du 291ème ShAD harceler la Grossdeutshcland et la 3ème Panzer. Pour une dizaine de chars allemands détruits. Puis kla 3ème Panzer va vers Lukhanino. alors qu'au même moment, la 11ème Panzer et la Grossdeutschland se font bloquer par la résistance acharné du 3ème Corps mécanisé de la 1ère Armée de tanks. De plus, avec le blocage de hoth, le IInd Corps SS Panzer se met en avant de part sa plus grande avancée. Ce 2nd Corps est appuyé par la VIIIème Fliegerkorps et au sol, la Das Reich et la Leibstandarte sont en pointe. A la fin de la journée , Teterevino est proche et la route de prokhorovka est ouverte. C'est d'ailleurs vers là que les SS se dirigent à la fin de l'après midi, vers Prokhorovka; Au lieu de marcher vers Oboian au nord. Mauvais choix selon House et Glantz, historiens.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
7 juillet
La ligne de crête d'Olkhovatka est l'objectif du XXXXVIIème Panzerkorps et Ponyri est l'objectif donné par Model au XXXXIème Panzerkorps. Les 9ème et 18ème divisions Panzers disposent de 200 engins blindés aux côtés de la 292ème divisions d'infanterie. La moitié de la ville est prise aux prix de combats violents mêlant katiouchas, avions, et blindés de telle sorte que Ponyri est comparé à Verdun avec des chars et que sa gare change 4 fois de mains en 5 heures. Pour ce qui est de l'aviation, le système de guidage radio est revu. Au lieu de faire voler les avions à la même altitude, il est décidé que 4 groupes de 6 échelonnés de 2 000 à 4 000 mètres seront envoyés. Les Lavochkine et les Yaks auront pour mission de garde l'ensemble à une altitude située entre 4 000 et 5 000 mètres. Malgré moins de sorties côté soviétiques avec 1 370 sorties contre 1 687 pour son adversaire, la 16ème VS, non seulement parvient à parer 3 attaques allemandes sur 4 mais en plus de cela, ils parviennent grâce à une couverture de chasse efficace, à exécuter leurs missions de bombardements comme il se doit, certes avec des pertes plus élevées que du côté de la Luftwaffe. A savoir une dizaine de bombardiers et une trentaine pour la chasse pour une dizaine d'avions au total pour la Luftwaffe. Soit un rapport de 4 pertes contre 1. C'est une différence par rapport au 5 et 6 juillet et une différence notable.
Du côté de Manstein la rivière de Psel était l'objectif du XXXXVIIIème PanzerKorps et du IInd Corps SS Panzer. Or, là où dans son secteur le IInd Corps Panzer a roulé sur 20 kilomètres, le XXXXVIIIème PanzzerKorps n'a fait que 5 kilomètres. Et ce malgré une plus grande concentration en blindés. Steven Newton l'explique clairement que le Schwerkunkt se trouve du côté du XXXXVIIIème Panzerkorps. Or, Hoth lui retire tout soutient aérien pour le donner au IInd Corps SS Panzer hormis durant les premières heures de la bataille. De plus, il n'y a rien pour exploiter une éventuelle percée vu que tous les chars sont devant. Au total ce Panzerkorps est doté de 350 chars supposés écraser n'importe quelle défense soviétique. Pourtant quand la défense da la 71ème division de fusiliers est crevée à Korovino et que la 3ème division panzer pousse jusqu'à Krasnyi Pochinok., il n'y a rien pour exploiter. Pour rappel, le XXXXVIIIème Panzerkorps est composé de 3 divisions, la plus puissante étant placée au centre. Pour le IInd Corps SS Panzer, le schéma est le même. Pour le premier c'est la Grossdeutschland qui est placée au centre aux côtés des 11ème et 3ème divisions panzers sur les côtés. Pour la deuxième, la Leibstandarte est placée au centre appuyé sur les côtés par les divisions blindés Totankof et Das Reich. En plus de cela les mines non repérées immobilisent des Panthers du XXXXVIIIème Panzerkorps ce qui contribut au ralentissement.
Au sud, le IIIème Corps Blindé de Breith a du mal à déboucher sur la rive droite de la rivière du Donetz.
La ligne de crête d'Olkhovatka est l'objectif du XXXXVIIème Panzerkorps et Ponyri est l'objectif donné par Model au XXXXIème Panzerkorps. Les 9ème et 18ème divisions Panzers disposent de 200 engins blindés aux côtés de la 292ème divisions d'infanterie. La moitié de la ville est prise aux prix de combats violents mêlant katiouchas, avions, et blindés de telle sorte que Ponyri est comparé à Verdun avec des chars et que sa gare change 4 fois de mains en 5 heures. Pour ce qui est de l'aviation, le système de guidage radio est revu. Au lieu de faire voler les avions à la même altitude, il est décidé que 4 groupes de 6 échelonnés de 2 000 à 4 000 mètres seront envoyés. Les Lavochkine et les Yaks auront pour mission de garde l'ensemble à une altitude située entre 4 000 et 5 000 mètres. Malgré moins de sorties côté soviétiques avec 1 370 sorties contre 1 687 pour son adversaire, la 16ème VS, non seulement parvient à parer 3 attaques allemandes sur 4 mais en plus de cela, ils parviennent grâce à une couverture de chasse efficace, à exécuter leurs missions de bombardements comme il se doit, certes avec des pertes plus élevées que du côté de la Luftwaffe. A savoir une dizaine de bombardiers et une trentaine pour la chasse pour une dizaine d'avions au total pour la Luftwaffe. Soit un rapport de 4 pertes contre 1. C'est une différence par rapport au 5 et 6 juillet et une différence notable.
Du côté de Manstein la rivière de Psel était l'objectif du XXXXVIIIème PanzerKorps et du IInd Corps SS Panzer. Or, là où dans son secteur le IInd Corps Panzer a roulé sur 20 kilomètres, le XXXXVIIIème PanzzerKorps n'a fait que 5 kilomètres. Et ce malgré une plus grande concentration en blindés. Steven Newton l'explique clairement que le Schwerkunkt se trouve du côté du XXXXVIIIème Panzerkorps. Or, Hoth lui retire tout soutient aérien pour le donner au IInd Corps SS Panzer hormis durant les premières heures de la bataille. De plus, il n'y a rien pour exploiter une éventuelle percée vu que tous les chars sont devant. Au total ce Panzerkorps est doté de 350 chars supposés écraser n'importe quelle défense soviétique. Pourtant quand la défense da la 71ème division de fusiliers est crevée à Korovino et que la 3ème division panzer pousse jusqu'à Krasnyi Pochinok., il n'y a rien pour exploiter. Pour rappel, le XXXXVIIIème Panzerkorps est composé de 3 divisions, la plus puissante étant placée au centre. Pour le IInd Corps SS Panzer, le schéma est le même. Pour le premier c'est la Grossdeutschland qui est placée au centre aux côtés des 11ème et 3ème divisions panzers sur les côtés. Pour la deuxième, la Leibstandarte est placée au centre appuyé sur les côtés par les divisions blindés Totankof et Das Reich. En plus de cela les mines non repérées immobilisent des Panthers du XXXXVIIIème Panzerkorps ce qui contribut au ralentissement.
Au sud, le IIIème Corps Blindé de Breith a du mal à déboucher sur la rive droite de la rivière du Donetz.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Le 8 juillet
Le 3ème Corps mécanisé est repoussé par le XXXXVIIIème Corps Panzer le long de la rive est de Pena. Le Grossdeutschaldn veut que les Stukas interviennent devant Syrtsevo, repère des katiouchas soviétiques. Mais le St G 77 tombe sur les La 5 du 240ème IAP commandés par Pororozniy. Au bilan, 5 Stukas plus 1 Bf 109 perdus. Malgré cela, la 6ème Armée de la garde commence à lâcher petit à petit. La ténacité de la 200ème Brigade du 6ème Corps blindé qui résistera une journée entière, malgré 12 attaques de la Grossdeutschalnd, une infériorité de 3 contre 1 et un soutien aérien inexistant contrairement aux allemands. Des contre attaques des Corps blindés soviétiques freinent tout de même les Corps et les divisions Panzers dans la profondeur. Paul Hausser se doit de réorienter son Corps SS Panzer vers le nord ouest pour aider Knobelsdorf, commandant de la Grossdeutschland, à pousser vers Oboian, quitte à laisser une part importante de la divisions Das Reich à Teterevino et sur Bolchi Miaki.
Au final, 190 blindés font perdus côté soviétiques contre plus de 30 seulement côté allemand et un records de 2 192 prisonniers soviétiques durant l'opération CItadelle. Et la deuxième ligne de défense a cédé dans la majorité des secteurs. Le seul point positif à retenir pour l'Armée rouge c'est que Vatounine a empêcher les divisions Das Reich et Totenkopf à se joindre à la poussée vers Oboian en attendant l'arrivée des réserves du Front de Steppe.
Le 3ème Corps mécanisé est repoussé par le XXXXVIIIème Corps Panzer le long de la rive est de Pena. Le Grossdeutschaldn veut que les Stukas interviennent devant Syrtsevo, repère des katiouchas soviétiques. Mais le St G 77 tombe sur les La 5 du 240ème IAP commandés par Pororozniy. Au bilan, 5 Stukas plus 1 Bf 109 perdus. Malgré cela, la 6ème Armée de la garde commence à lâcher petit à petit. La ténacité de la 200ème Brigade du 6ème Corps blindé qui résistera une journée entière, malgré 12 attaques de la Grossdeutschalnd, une infériorité de 3 contre 1 et un soutien aérien inexistant contrairement aux allemands. Des contre attaques des Corps blindés soviétiques freinent tout de même les Corps et les divisions Panzers dans la profondeur. Paul Hausser se doit de réorienter son Corps SS Panzer vers le nord ouest pour aider Knobelsdorf, commandant de la Grossdeutschland, à pousser vers Oboian, quitte à laisser une part importante de la divisions Das Reich à Teterevino et sur Bolchi Miaki.
Au final, 190 blindés font perdus côté soviétiques contre plus de 30 seulement côté allemand et un records de 2 192 prisonniers soviétiques durant l'opération CItadelle. Et la deuxième ligne de défense a cédé dans la majorité des secteurs. Le seul point positif à retenir pour l'Armée rouge c'est que Vatounine a empêcher les divisions Das Reich et Totenkopf à se joindre à la poussée vers Oboian en attendant l'arrivée des réserves du Front de Steppe.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Le 9 juillet
Du côté de Manstein, il faut savoir que durant la nuit du 8 au 9 juillet, la 5ème Armée de la Garde mise en réserve initialement se place sur ordres de Vatounine et Vassilevski de se placer du la ligne est Oboian nord est de Prokhorovka étant donné la certitude que Model a définitivement échoué dans sa tenaille au nord. Par contre, Vatounine a bien plus de mal a arrêter Manstein, d'où la décision d'envoyer les 3 armées restant du Front de la Steppe en drextion de Koursk. Celles ci consistent en la 27ème Armée dirigée par le général Trofimenko, la 53ème Armée du général Managarov qui va aller le long de la rivière Sejm, qui débouche sur Koursk, ainsi que la puissante 5ème Armée de la Garde commandée par le général Zhadov sur le Psel entre Prokhorovka à droite et Oboian à gauche. Elles consistent à elles 3 à plus de 3 000 canons et mortiers lourds plus lances roquettes sans oublier les plus de 800 chars et canons automoteurs. Le tout pour un total de 170 000 hommes. Face au XXXXVIIIème Panzerkorps, la 1èer Armée de tanks est renforcée suite à son affaiblissement et à ses pertes durant les journées précédentes. L'objectif du jour de Manstein et de Hoth c'est le rupture complète de la dernière ligne de défense soviétique sur le Psel. Mais Hoth se doit aussi de sécuriser ses flancs grâce au travail de harcèlement des forces de Vatounine. Oboian est l'objectif de la journée. Et ce malgré le fait que la division Das Reich soit bloqué sur le flanc droit et ne puisse donc pas participer à l'avancée aux côté de la Totenkpof et de la Leibstandarte ainsi que de la 11ème division Panzer. De même que la Grossdeutschland se situant à l'Ouest aux côtés de la 3ème division Panzer face à la menance venant du Pena. Le 3ème Corps mécanisé de Krivoshein est enfoncé par la division Totenkopf, de même que la 31ème Corps blindé. La luftwaffe effectue un effort suprême avec plus de 1 500 sorties, performance impossible à répéter par la suite.
A 15 kilomètres du sud est d'Oboian, le Psel est atteint par le IInd Corps Panzer SS. Une fois la jonction effectuée entre la 11ème division Panzer et la Leibstandarte, l il faut pousser jusqu'à Kochetova. C'est là qu'ils seront d'ailleurs stoppés par la 10ème Corps blindé. Le 2nd et 5ème Corps blindés de la Garde sont repoussés par la Das Reich dans la direction de Prokhorovka. Novoselovka n'est en plus de cela, toujours pas pris par les Allemands, ni par la 11ème Panzer ni par la Grossdeutschland. En revanche, Sirtseva et Verkhopénie sont prises, elles qui sont les 2 dernières positions fortifiées de la Pena. Au final, malgré cela, seule la 11ème Panzer peut aller jusqu'à Oboian avec une défaite pour seule issue. Ce sera à la 2ère Armée de tanks d'arrêter définitivement la Grossdeutschland et la 3ème panzer. Le IIIème Panzerkorps commandé par Breith, n'a pas réussit à avancer comme il le voulait. Hoth prend la décision controversée par la suite durant la nuit du 9 au 10 juillet de déplacer le IInd Corps Panzer SS du nord ouest à vers Oboian vers le nord est en drection de Prokhorovka, avec un soutien de la Luftwaffe. Il s'agit d'écarter le maneca soviétique à l'est puis de débloquer la IIIème Corps de Breith pour qu'en définitive le IInd et le IIIème Corps puissent rejoindre le XXXXVIIIème Panzerkorps et aller à Koursk après avoir rejoint ce dernier après Oboian. Mais selon les historiens David Glantz et Johnatan House, la 4ème aArmée Panzer aurait pu voire du aller vers Oboian au lieu de s'en prendre aux réserves blindés fort conséquentes que la Stavka gardait en arrière. Pourtant, Friedrich Fangohr, chef d'état major de la 4ème Armée Panzer, prétend le contraire et que l'idée vient non pas de Manstein et de Hoth. Et que la rencontre avec les réserves blindés soviétiques auraient été prévu pour le 3ème voire 4ème jour ( en l'occurrence ici, c'est plus tard ). En gros pour passer le Psel, il faudrait d'abord battre les réserves de la Stavka selon Hoth.
Selon Fangohr, c'était la bonne décision à prendre non seulement car le terrain à Prokhorovka est plat ce qui signifie comme la bataille de Prokhorovka le démontrera d'ailleurs que les blindés allemands auront l'avantage grâce à une portée plus longue et une plus grande puissance de leur canon, ainsi qu'un blindage plus épais. Sans oublier une possible tenaille de la part du IInd Corps Panzer SS du nord est avec plus à l'ouest, le IIIème Corps de Breith, ce qui en l'occurrence, n'arrivera pas. En bref tout comme au nord, ce n'est pas tant Hoth ou Manstein qui ont perdu mais surtout Vatounine qui l'a emporté en défendant intelligemment du côté de la boucle de la Pena. En plus de cela, l'avion de l'as allemand Gunther Rall est descendu, probablement par Ivan Kozhedub. Les pertes pourtant depuis le début largement en faveur des Allemands au sud de la tenaille, se sont rapprochés. L'écart s'est resseré pour ne tomber qu'à 28 contre 38 entre les Soviets et le VIIIème Fliegerkorps
Du côté de Manstein, il faut savoir que durant la nuit du 8 au 9 juillet, la 5ème Armée de la Garde mise en réserve initialement se place sur ordres de Vatounine et Vassilevski de se placer du la ligne est Oboian nord est de Prokhorovka étant donné la certitude que Model a définitivement échoué dans sa tenaille au nord. Par contre, Vatounine a bien plus de mal a arrêter Manstein, d'où la décision d'envoyer les 3 armées restant du Front de la Steppe en drextion de Koursk. Celles ci consistent en la 27ème Armée dirigée par le général Trofimenko, la 53ème Armée du général Managarov qui va aller le long de la rivière Sejm, qui débouche sur Koursk, ainsi que la puissante 5ème Armée de la Garde commandée par le général Zhadov sur le Psel entre Prokhorovka à droite et Oboian à gauche. Elles consistent à elles 3 à plus de 3 000 canons et mortiers lourds plus lances roquettes sans oublier les plus de 800 chars et canons automoteurs. Le tout pour un total de 170 000 hommes. Face au XXXXVIIIème Panzerkorps, la 1èer Armée de tanks est renforcée suite à son affaiblissement et à ses pertes durant les journées précédentes. L'objectif du jour de Manstein et de Hoth c'est le rupture complète de la dernière ligne de défense soviétique sur le Psel. Mais Hoth se doit aussi de sécuriser ses flancs grâce au travail de harcèlement des forces de Vatounine. Oboian est l'objectif de la journée. Et ce malgré le fait que la division Das Reich soit bloqué sur le flanc droit et ne puisse donc pas participer à l'avancée aux côté de la Totenkpof et de la Leibstandarte ainsi que de la 11ème division Panzer. De même que la Grossdeutschland se situant à l'Ouest aux côtés de la 3ème division Panzer face à la menance venant du Pena. Le 3ème Corps mécanisé de Krivoshein est enfoncé par la division Totenkopf, de même que la 31ème Corps blindé. La luftwaffe effectue un effort suprême avec plus de 1 500 sorties, performance impossible à répéter par la suite.
A 15 kilomètres du sud est d'Oboian, le Psel est atteint par le IInd Corps Panzer SS. Une fois la jonction effectuée entre la 11ème division Panzer et la Leibstandarte, l il faut pousser jusqu'à Kochetova. C'est là qu'ils seront d'ailleurs stoppés par la 10ème Corps blindé. Le 2nd et 5ème Corps blindés de la Garde sont repoussés par la Das Reich dans la direction de Prokhorovka. Novoselovka n'est en plus de cela, toujours pas pris par les Allemands, ni par la 11ème Panzer ni par la Grossdeutschland. En revanche, Sirtseva et Verkhopénie sont prises, elles qui sont les 2 dernières positions fortifiées de la Pena. Au final, malgré cela, seule la 11ème Panzer peut aller jusqu'à Oboian avec une défaite pour seule issue. Ce sera à la 2ère Armée de tanks d'arrêter définitivement la Grossdeutschland et la 3ème panzer. Le IIIème Panzerkorps commandé par Breith, n'a pas réussit à avancer comme il le voulait. Hoth prend la décision controversée par la suite durant la nuit du 9 au 10 juillet de déplacer le IInd Corps Panzer SS du nord ouest à vers Oboian vers le nord est en drection de Prokhorovka, avec un soutien de la Luftwaffe. Il s'agit d'écarter le maneca soviétique à l'est puis de débloquer la IIIème Corps de Breith pour qu'en définitive le IInd et le IIIème Corps puissent rejoindre le XXXXVIIIème Panzerkorps et aller à Koursk après avoir rejoint ce dernier après Oboian. Mais selon les historiens David Glantz et Johnatan House, la 4ème aArmée Panzer aurait pu voire du aller vers Oboian au lieu de s'en prendre aux réserves blindés fort conséquentes que la Stavka gardait en arrière. Pourtant, Friedrich Fangohr, chef d'état major de la 4ème Armée Panzer, prétend le contraire et que l'idée vient non pas de Manstein et de Hoth. Et que la rencontre avec les réserves blindés soviétiques auraient été prévu pour le 3ème voire 4ème jour ( en l'occurrence ici, c'est plus tard ). En gros pour passer le Psel, il faudrait d'abord battre les réserves de la Stavka selon Hoth.
Selon Fangohr, c'était la bonne décision à prendre non seulement car le terrain à Prokhorovka est plat ce qui signifie comme la bataille de Prokhorovka le démontrera d'ailleurs que les blindés allemands auront l'avantage grâce à une portée plus longue et une plus grande puissance de leur canon, ainsi qu'un blindage plus épais. Sans oublier une possible tenaille de la part du IInd Corps Panzer SS du nord est avec plus à l'ouest, le IIIème Corps de Breith, ce qui en l'occurrence, n'arrivera pas. En bref tout comme au nord, ce n'est pas tant Hoth ou Manstein qui ont perdu mais surtout Vatounine qui l'a emporté en défendant intelligemment du côté de la boucle de la Pena. En plus de cela, l'avion de l'as allemand Gunther Rall est descendu, probablement par Ivan Kozhedub. Les pertes pourtant depuis le début largement en faveur des Allemands au sud de la tenaille, se sont rapprochés. L'écart s'est resseré pour ne tomber qu'à 28 contre 38 entre les Soviets et le VIIIème Fliegerkorps
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Le 10 et 11 juillet toujours du côté de Manstein, il faut savoir qu'il y a 3 secteurs du côté du Front de Voronej, à savoir à gauche le secteur rivière Pena route d'Oboian, au centre route d'Oboian est de Prokhorovka et la vallée du Donetz à droite. D'ouest en est on compte le 6ème Corps blindé, le 3ème Corps mécanisé, le 10ème Corps blindé venu du Front de la Steppe, le 5ème COrps blindé de la Garde ainsi que lze 31ème Corps blindés. Pour un total de 300 blindés. La Grossdeutschaldn ainsi que la 3ème panzer doit éliminer le menance se situant sur le flanc gauche du XXXXVIIIème Corps Panzer. La 11ème division Panzer elle, continue vers Oboian. Les Panzers IV et V tentent d'encercler le 6ème Corps blindé après une percée sur la jonction entre le 6ème Corps blindé et le 3ème Corps mécanisé. Mais les tirs des chars soviétiques et de l'aviation rouge font beaucoup de pertes du côté de la grossdeutschland. Les pertes sont similaires en ce qui concerne l'aviation côté soviétique et allemand. Dans la nuit du 11 au 12 juillet, malgré l'attente de la Grossdeutschland par la 11ème Panzer, les forces du Front de Voronej lancent des attaques vers le sud est ayant pour objectif de couper le XXXXVIIIème Panzerkorps et de le diviser en 2 parties étant donné que seule la 3ème division Panzer ainsi que 2 divisions d'infanterie gardent le flanc gauche. Les défenses de la 332 ème divisions d'infanterie allemande est crevée par les assauts du 5ème et 6ème Corps blindés, assistés par la 1854ème division de fusiliers. Le 10ème Corps blindé au nord assisté par l'artillerie et l'aviation, repousse la 3ème division Panzer sur plus de 10 kilomètres vers Berezovka et Verkhopénié. Au total seul la 117me Panzer peut avancer vers Oboian en théorie mais ces forces seules en sont incapable.
Du côté du nord, Model est toujours empêtré dans les défenses de Rokossovski.
Du côté du nord, Model est toujours empêtré dans les défenses de Rokossovski.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Kempf connait une mance encore plus grave sur ses flancs avec son détachement armée que Von Knobelsdorff avec son XXXXVIIIème Panzerkorps mais en pire étant donné les attaques constantes de la 7ème Armée de la Garde dirigée par Choumilov. Ce qui veut dire que le flanc droit du IInd Corps SS Panzer est moins bien gardé. L'objectif de Kempf était de rouler sur 60 kilomètres en 6 jours. Or il en a à peine parcouru la moitié soit 30 kilomètres durant ce lap de temps. La 6ème division Panzer lutte contre la 69ème Armée commandée par Kriuchenkin pour aller vers le nord. Mais la 6ème Panzer a besoin de l'assistance des 7ème et 19ème Divisions Panzers étant donné que plus de la moitié des chars de la 6ème panzer ont été détruit par les antichars, les mines et l'artillerie voire par des fossés antichars, soit plus de 50 sur 100. Avec le problème des 106, 198 et 320ème Divisions d'Infanterie attaquées quotidiennement par les 24ème et 25ème Corps de fusiliers de le Garde, sachant que les 7ème et 19ème Divisions Panzes sont bloquées le long des flanc est et ouest sur la défensive, Kempf plaide pour l'arrêt de l'offensive. Mais avec l'assistance des Tigres Allemands du 505ème détachement ainsi qu'avec l'aide de 50 stukas allemands, la 6ème Panzer parvient à se défaire de la 69ème Armée. Durant la nuit du 11 au 13 juillet, 2 bataillons du 11ème Régiment blindé de la 6ème Panzerdivisionen vers sur al route du Donetz vers Prokhorovka. La tactique est de passer en silence avec un T 34 capturé placé en tête. Le tout mené par Franz Bake. Le bourg fortifié de Rzhavets est franchi en seulement quelques temps pour 12 kilomètres de parcourus. Mais une file de 6 T 34 après inspection découvre la vérité au moment où les Panzers se dirigent vers la rivière. Le résultat est qu'une tête de pont est renforcée le long du Donetz.
Le 7 juillet au sud le 3ème Corps mécanisé, résiste de même que la 2ème Armée aérienne Soviétique de Krasovsky qui envoie des sturmovik avec la chasse plus haut pour le soutien. Les Allemands rencontrent par la suite l'arme antichar soviétique SU 152 capable de détruire un Tigre mais heureusement pour eux, les soviétiques n'en alignent que 12. 1 800 contre 1 500 sorties en faveur des Allemands permettent le maintien d'une supériorité aérienne notable côté Luftwaffe. Les Yak 1 et les La 5 ne rivalisent d'ailleurs pas avec les Bf 109 allemands.
Le 7 juillet au sud le 3ème Corps mécanisé, résiste de même que la 2ème Armée aérienne Soviétique de Krasovsky qui envoie des sturmovik avec la chasse plus haut pour le soutien. Les Allemands rencontrent par la suite l'arme antichar soviétique SU 152 capable de détruire un Tigre mais heureusement pour eux, les soviétiques n'en alignent que 12. 1 800 contre 1 500 sorties en faveur des Allemands permettent le maintien d'une supériorité aérienne notable côté Luftwaffe. Les Yak 1 et les La 5 ne rivalisent d'ailleurs pas avec les Bf 109 allemands.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Bataille de Prokhorovka le 12 juillet 1943.
Le 12 juillet, c'est la bataille de Prokhovorka qui entrera dans l'histoire. Mais, on s'imagine souvent cette bataille comme étant une charge mutuelle entre chars adverses à la manière des charges de cavalerie médiévales. Avec comme résultat des pertes à peu près égales de chaque côté, des Panzers saignés par l'affrontement. L'historiographie soviétique, voire dans une moindre mesure une partie de l'historiographie occndentale d'après guerre, s'est appuyé sur les dires de Rotmistrov pour diffuser l'idée selon laquelle cette bataille aurait non seulement scéllé le sort de l'opération CItadelle, mais en plus de cela, par voie d'exagération, aurait également constitué une sorte de tournant dans la guerre en Europe. Une vision assez mythique qui n'en demeure pas moins fausse pour autant. Jusqu'aux années 1980, seuls quelques auteurs allemands comme Ernst Klink ont tenté de nuancer largement cette histoire. Mais le fait qu'ils soient allemands et qu'ils étaient soupçonnés de revanchisme fit qu'ils ne furent pas vraiment écoutés. C'est un américain, George Nipe qui, dans son ouvrage intitulé : Decision in the Ukraine, qui a mis sur les rails des nouveaux historiens du front de l'Est dont Franckson et Zetterlong sont les plus connu, du moins concernant la seule bataille de Koursk. Au départ les auteurs parlaient d'entre 1 200 et 1 500 chars. Sauf que l'estimation soviétique des 1 200 s'obtient au ajoutant les 500 chars et canons automoteurs du IInd Corps SS Panzer, en y ajoutant les plus de 700 chars de la 5ème Armée de tanks. Le chiffre des 1 500 chars est obtenu en y ajoutant le IIIème Corps blindé de Breith. Sauf que la bataille de Prokhorovka s'est déroulé le 12 juillet. or ces chiffres sont ceux du 5 juillet soit au début de l'opération Citadelle. A ce moment là la 5ème Armée de tanks compte 793 chars dont 500 T 34. Mais ayant assisté la 69ème armée de 4 brigades de chars et ayant subis des pertes non négligeables à partir du 11 juillet, ces chiffres sont moindre.
Selon les analyses de Niklas Zetterling et d'Anders Franckson, le maximum est de plus de 600 chars et canons automoteurs. De plus il faut retirer plus d'une centaine de blindés qui ne seront pas impliqués directement dans la plaine de Prokhorovka étant donné que seuls le 2nd Corps Blindé de le Garde ainsi que les 18ème et 29ème Corps blindés sont réellement engagés directement sontre le IInd Corps SS Panzer, qui lui, compte 390 chars ainsi qu'une centaine de canons automoteurs le 5 juillet initialement. Cependant, l'analyse poussée des Kriegstagebucher, c'est à dire des journaux d'opération allemands ainsi que les Tagesmeldungen, c'est à dire les rapports quotidiens du Corps SS font que Roman Toppel, ayant soigneusement étudié la question, évoqué 240 chars présents à Prokhorovka ainsi que 40 chasseurs de chars Marder. A cela s'ajoute 60 canons d'assaut. Pour un total de 340 blindés. On notera tout de même que la majeure partie de la divisions blindée Totenkof est engagée au delà du Psel et que un seul de ses régiments est réellement engagée directement dans la bataille, en l'occurrence la 6ème Panzergrenadiere SS. Cela signifie qu'en dehors de cela, la majorité de la division Das Reich ainsi que l'intégralité de la Leibstandarte sont les seuls concernés. La Das Reich étant sur le flanc droit de la Leibstandarte, qui elle, reste au centre. Selon, Roman Toppel, tout cela pèse 200 blindés maximum. Pour un total de 114 chars sans compter les canons automoteurs plus 14 chars de commandement donc non armés. Au total seulement 5 tigres dont 4 pour la Leibstandarte et 1 seul pour la divisions Das Reich. La majorité des chars engagés étant non pas des Tigres mais des Panthers. Du côté de Rotmistrov, il y a 3 Corps blindés. Le 18ème qui est dirigé par le général Bakharov est placée entre Obtiabrski et la rivière du Psel sur la gauche. Le tout comporte plus de 190 chars dont 100 en premier échelon et 90 en second échelon.
Le 12 juillet, c'est la bataille de Prokhovorka qui entrera dans l'histoire. Mais, on s'imagine souvent cette bataille comme étant une charge mutuelle entre chars adverses à la manière des charges de cavalerie médiévales. Avec comme résultat des pertes à peu près égales de chaque côté, des Panzers saignés par l'affrontement. L'historiographie soviétique, voire dans une moindre mesure une partie de l'historiographie occndentale d'après guerre, s'est appuyé sur les dires de Rotmistrov pour diffuser l'idée selon laquelle cette bataille aurait non seulement scéllé le sort de l'opération CItadelle, mais en plus de cela, par voie d'exagération, aurait également constitué une sorte de tournant dans la guerre en Europe. Une vision assez mythique qui n'en demeure pas moins fausse pour autant. Jusqu'aux années 1980, seuls quelques auteurs allemands comme Ernst Klink ont tenté de nuancer largement cette histoire. Mais le fait qu'ils soient allemands et qu'ils étaient soupçonnés de revanchisme fit qu'ils ne furent pas vraiment écoutés. C'est un américain, George Nipe qui, dans son ouvrage intitulé : Decision in the Ukraine, qui a mis sur les rails des nouveaux historiens du front de l'Est dont Franckson et Zetterlong sont les plus connu, du moins concernant la seule bataille de Koursk. Au départ les auteurs parlaient d'entre 1 200 et 1 500 chars. Sauf que l'estimation soviétique des 1 200 s'obtient au ajoutant les 500 chars et canons automoteurs du IInd Corps SS Panzer, en y ajoutant les plus de 700 chars de la 5ème Armée de tanks. Le chiffre des 1 500 chars est obtenu en y ajoutant le IIIème Corps blindé de Breith. Sauf que la bataille de Prokhorovka s'est déroulé le 12 juillet. or ces chiffres sont ceux du 5 juillet soit au début de l'opération Citadelle. A ce moment là la 5ème Armée de tanks compte 793 chars dont 500 T 34. Mais ayant assisté la 69ème armée de 4 brigades de chars et ayant subis des pertes non négligeables à partir du 11 juillet, ces chiffres sont moindre.
Selon les analyses de Niklas Zetterling et d'Anders Franckson, le maximum est de plus de 600 chars et canons automoteurs. De plus il faut retirer plus d'une centaine de blindés qui ne seront pas impliqués directement dans la plaine de Prokhorovka étant donné que seuls le 2nd Corps Blindé de le Garde ainsi que les 18ème et 29ème Corps blindés sont réellement engagés directement sontre le IInd Corps SS Panzer, qui lui, compte 390 chars ainsi qu'une centaine de canons automoteurs le 5 juillet initialement. Cependant, l'analyse poussée des Kriegstagebucher, c'est à dire des journaux d'opération allemands ainsi que les Tagesmeldungen, c'est à dire les rapports quotidiens du Corps SS font que Roman Toppel, ayant soigneusement étudié la question, évoqué 240 chars présents à Prokhorovka ainsi que 40 chasseurs de chars Marder. A cela s'ajoute 60 canons d'assaut. Pour un total de 340 blindés. On notera tout de même que la majeure partie de la divisions blindée Totenkof est engagée au delà du Psel et que un seul de ses régiments est réellement engagée directement dans la bataille, en l'occurrence la 6ème Panzergrenadiere SS. Cela signifie qu'en dehors de cela, la majorité de la division Das Reich ainsi que l'intégralité de la Leibstandarte sont les seuls concernés. La Das Reich étant sur le flanc droit de la Leibstandarte, qui elle, reste au centre. Selon, Roman Toppel, tout cela pèse 200 blindés maximum. Pour un total de 114 chars sans compter les canons automoteurs plus 14 chars de commandement donc non armés. Au total seulement 5 tigres dont 4 pour la Leibstandarte et 1 seul pour la divisions Das Reich. La majorité des chars engagés étant non pas des Tigres mais des Panthers. Du côté de Rotmistrov, il y a 3 Corps blindés. Le 18ème qui est dirigé par le général Bakharov est placée entre Obtiabrski et la rivière du Psel sur la gauche. Le tout comporte plus de 190 chars dont 100 en premier échelon et 90 en second échelon.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Du côté de Rotmistrov, il y a 3 Corps blindés. Le 18ème qui est dirigé par le général Bakharov est placée entre Obtiabrski et la rivière du Psel sur la gauche. Le tout comporte plus de 190 chars dont 100 en premier échelon et 90 en second échelon.
A droite, le 2nd Corps blindé de la Garde dispose de 120 chars aptes au combat, envoyé contre la Das Reich là où son homologue de gauche doit attaquer le 2nd Régiment de Panzergrenadiere de la Leibstandarte ainsi que l'aile droite de la division blindée allemande Totenkopf dans la zone se situant entre Storozhevoe 1 et Belenikhino. Au centre enfin on trouve la 29ème Corps blindé dirigée par le général Kirichenko, censé lui, s'en prendre au gros de la Leibstandarte en partant d'une zone située entre le sovkhose Obtiabrski et le village de Storozhevoe. Le tout pour un total de 212 chars et canons autommoteurs. Pendant ce temps, les 228 blindés du 5ème Corps mécanisé de la Garde se tiennent en réserve même s'ils seront envoyés au sud face au IIIème Corps Panzer de Breith. Les tirs de préparation débutent à 8 heures du 12 juillet. Pour un rapport de forces de moins de 5 contre 1 au total en faveur des Soviétiques. Malgré cela, les chars T 34 sont laminés. George Nipe a expliqué cela en 3 raisons. A savoir que d'une part, combattre les Panzers sur le terrain plat de Prokhorovka signifie que les Allemands sont plus dangereux dans le tir lointain étant donné la supériorité des blindés allemands notamment celle des Panthers par rapport aux blindés russes étant donné qu'un terrain plat signifie plus de chance d'atteindre sa cible en tir lointain. D'autre part les T 34 n'ayant pas de stabilisateur, cela signifie qu'il suffit que les Panzers restent immobiles, ce qu'ils ont fait, face aux charges des T 34, le tout aggravé par le manque de radios. Ils y sont tous allés en même temps sans compagnie pour protéger celle d'à côté qui avance avec sa puissance de feu.
De plus, les unités allemands se concentrent vite sur les points menacés grâce aux radios. Sans oublier le rôle important de la VIIIème Fliegerkorps dont les avions ont contribué à la mise hors de combat de dizaines de chars soviétiques. Sur le plan des pertes, les Allemands ont clairement eu l'avantage. Sur le plan tactique, durant toute la bataille, les Allemands sont parvenus à rester maîtres du terrain contrairement aux Soviétiques. les estimations de Zetterling, Franckson et de Toppel en se basant sur les rapports quotidiens des unités SS du IInd Corps Panzer SS, mettent en avant le chiffre de 17 blindés chars et canons automoteurs définitivement perdus. Sans oublier une vingtaine de blindés abandonnés lors de l'offensive Soviétique de Kharkov sur les plaines de Prokhorovka. Soit une estimation de plus de 40 blindés perdus au total. Pour une soixantaine de blindés touchés mais réparables et récupérables. Côté Soviétiques, les chiffres sont bien plus affolants. En effet, le 29ème Corps blindé a perdu 150 chars et canons automoteurs dont 117 irrécupérables. Sans oublier près d'un tiers de pertes définitives pour ce qui est du 2nd Corps blindé de la Garde ainsi que pour le 18ème Corps blindé soit une bonne centaine au moins rien que pour le 12 juillet si on ne prend en compte que cette journée sachant que les sources soviétiques additionnent les chiffres du 11 et du 12 juillet, le tout sachant que plus des 3 quarts des pertes ont eu lieu durant la journée du 12 juillet au moins, cela signifie un rapport de plus de 6 contre 1 étant donné que les Soviétiques ont perdu entre 260 et 270 blindés au total contre seulement plus de 40 pour les Allemands. Soit un rapport de 6 contre 1 similaire à l'ensemble de l'année 1943, voire même 1942. En fait, la seule raison pour laquelle Prokhorovka n'est pas conquise est du à la capacité du haut commandement soviétique à désunir les forces allemandes avec 3 batailles. 1 à Prkhorovka, 1 sur la Donetez et un autre à l'ouest de Pena.
A noter un rapport de pertes de 846 hommes dont 185 tués et disparus contre plus de 5 500 soldats perdus côté Soviétiques.
Malgré la volonté de Manstein de poursuivre l'offensive, Hitler décide d'arrêter l'opération Citadelle le 13 juillet.
Avec le débarquement en Sicile et celui qui va inévitablement suivre en Italie, Hitler se résout à se mettre sur la défensive à l'est et ce malgré l'avis contraire de Manstein.
A droite, le 2nd Corps blindé de la Garde dispose de 120 chars aptes au combat, envoyé contre la Das Reich là où son homologue de gauche doit attaquer le 2nd Régiment de Panzergrenadiere de la Leibstandarte ainsi que l'aile droite de la division blindée allemande Totenkopf dans la zone se situant entre Storozhevoe 1 et Belenikhino. Au centre enfin on trouve la 29ème Corps blindé dirigée par le général Kirichenko, censé lui, s'en prendre au gros de la Leibstandarte en partant d'une zone située entre le sovkhose Obtiabrski et le village de Storozhevoe. Le tout pour un total de 212 chars et canons autommoteurs. Pendant ce temps, les 228 blindés du 5ème Corps mécanisé de la Garde se tiennent en réserve même s'ils seront envoyés au sud face au IIIème Corps Panzer de Breith. Les tirs de préparation débutent à 8 heures du 12 juillet. Pour un rapport de forces de moins de 5 contre 1 au total en faveur des Soviétiques. Malgré cela, les chars T 34 sont laminés. George Nipe a expliqué cela en 3 raisons. A savoir que d'une part, combattre les Panzers sur le terrain plat de Prokhorovka signifie que les Allemands sont plus dangereux dans le tir lointain étant donné la supériorité des blindés allemands notamment celle des Panthers par rapport aux blindés russes étant donné qu'un terrain plat signifie plus de chance d'atteindre sa cible en tir lointain. D'autre part les T 34 n'ayant pas de stabilisateur, cela signifie qu'il suffit que les Panzers restent immobiles, ce qu'ils ont fait, face aux charges des T 34, le tout aggravé par le manque de radios. Ils y sont tous allés en même temps sans compagnie pour protéger celle d'à côté qui avance avec sa puissance de feu.
De plus, les unités allemands se concentrent vite sur les points menacés grâce aux radios. Sans oublier le rôle important de la VIIIème Fliegerkorps dont les avions ont contribué à la mise hors de combat de dizaines de chars soviétiques. Sur le plan des pertes, les Allemands ont clairement eu l'avantage. Sur le plan tactique, durant toute la bataille, les Allemands sont parvenus à rester maîtres du terrain contrairement aux Soviétiques. les estimations de Zetterling, Franckson et de Toppel en se basant sur les rapports quotidiens des unités SS du IInd Corps Panzer SS, mettent en avant le chiffre de 17 blindés chars et canons automoteurs définitivement perdus. Sans oublier une vingtaine de blindés abandonnés lors de l'offensive Soviétique de Kharkov sur les plaines de Prokhorovka. Soit une estimation de plus de 40 blindés perdus au total. Pour une soixantaine de blindés touchés mais réparables et récupérables. Côté Soviétiques, les chiffres sont bien plus affolants. En effet, le 29ème Corps blindé a perdu 150 chars et canons automoteurs dont 117 irrécupérables. Sans oublier près d'un tiers de pertes définitives pour ce qui est du 2nd Corps blindé de la Garde ainsi que pour le 18ème Corps blindé soit une bonne centaine au moins rien que pour le 12 juillet si on ne prend en compte que cette journée sachant que les sources soviétiques additionnent les chiffres du 11 et du 12 juillet, le tout sachant que plus des 3 quarts des pertes ont eu lieu durant la journée du 12 juillet au moins, cela signifie un rapport de plus de 6 contre 1 étant donné que les Soviétiques ont perdu entre 260 et 270 blindés au total contre seulement plus de 40 pour les Allemands. Soit un rapport de 6 contre 1 similaire à l'ensemble de l'année 1943, voire même 1942. En fait, la seule raison pour laquelle Prokhorovka n'est pas conquise est du à la capacité du haut commandement soviétique à désunir les forces allemandes avec 3 batailles. 1 à Prkhorovka, 1 sur la Donetez et un autre à l'ouest de Pena.
A noter un rapport de pertes de 846 hommes dont 185 tués et disparus contre plus de 5 500 soldats perdus côté Soviétiques.
Malgré la volonté de Manstein de poursuivre l'offensive, Hitler décide d'arrêter l'opération Citadelle le 13 juillet.
Avec le débarquement en Sicile et celui qui va inévitablement suivre en Italie, Hitler se résout à se mettre sur la défensive à l'est et ce malgré l'avis contraire de Manstein.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Bien que Von Kluge s'attendait au lancement d'une offensive grâce au renseignement fourni par la Luftwaffe et de part la forme du front, l'ampleur de l'attaque le surprendra. Il ne s'attendait pas à autant de nouvelles unités, lui qui croyait que l'Armée rouge avait été grandement épuisée par l'opération Citadelle, ce qui n'est vrai qu'en partie seulement. La manière dont les unités de Rokossovski passeront de la défensive à l'offensive en quelques jours seulement le surprendra également. Ainsi donc, les renseignements allemands sous estiment les forces Soviétiques de plus de moitié aussi bien pour ce qui est des hommes que pour le matériel. Ni le 1er ni le 5ème Corps blindé ne seront détectés. Le 11 juillet se passe en reconnaissance de forces. Avec attaque d'aérodromes allemands. Ce n'est que le 12 juillet que le vraie offensive démarre avec une préparation d'artillerie de plus de 2 heures 30 à partir de 3 heures du matin. Quelques minutes avant la fin du feu de l'artillerie, les fantassins ou les fusiliers montés sur les chars d'accompagnement foncent couverts par les Yak et les Sturmovik. Le front d'attaque consiste à 200 kilomètres entre Novosil au sud ouest et Zhizdra au nord ouest. Après la percée obtenue par les divisions de la 11ème Armée de la Garde, les Corps blindés exploitent dans la profondeur.
Les 211 et 293ème divisions allemandes sont en fuite. Pour ce qui est de l'exploitation, la 1er Corps blindé avance de plus de 10 kilomètres durant l'après midi alors que le 5ème Corps, lui, fait face à une contre attaque menés par la 5ème divisions Panzer. Mais le 13 juillet, l'artillerie appuyant le nouvelle assaut mené par Bagramian, avec l'assistance de la 50ème Armée, le 5ème divisions Panzer se voit contraint de reculer. Soit une avancée de plus de 20 kilomètres par les blindés russes jusqu'à moins de 20 kilomètres de Khotinets, se situant au nord ouest d'Orel. Le LVème Corps allemand est tout de même sauvé de la destruction grâce à l'arrivée d'unités en provenance de la 9ème Armée de Model. Orel est alors hautement menacé ainsi que la voie ferrée liant Orel à Bryansk. La Stavka elle même ne s'attendait pas à cette progression. Elle n'a pas mis assez de blindés pour l'exploitation. Pourtant, Fedorenko, patron des blindés, était favorable à la mise en place d'une Armée de tank derrière la 11ème Armée de la Garde. Autrement dit une grande puissance de percée pour une exploitation moyenne, voilà ce que reproche Fedorenko. La 3ème et la 4ème Armées de tanks sont loin à ce moment là. Malgré l'envoie de la 11ème Armée et de Badanov, les forces de Model sont plus rapides et viennent colmater les brèches. Du côté de la 61ème Armée, Belov fait l'erreur de lâcher ses forces d'exploitation trop rapidement ce qui fait qu'au lieu d'exploiter dans la profondeur, il doivent faire face à des attaques de l'infanterie puis de la 12ème Panzerdivisionen. Cette force d'exploitation c'est le 20ème Corps blindé. Sur les arrières de la ville de Bolkhov, le 25ème Corps blindé du général Anikushkin est lâché le 17 juillet. Du coup, 4 divisions sont engagés par Model pour contrer la menca d'encerclement.
Les 211 et 293ème divisions allemandes sont en fuite. Pour ce qui est de l'exploitation, la 1er Corps blindé avance de plus de 10 kilomètres durant l'après midi alors que le 5ème Corps, lui, fait face à une contre attaque menés par la 5ème divisions Panzer. Mais le 13 juillet, l'artillerie appuyant le nouvelle assaut mené par Bagramian, avec l'assistance de la 50ème Armée, le 5ème divisions Panzer se voit contraint de reculer. Soit une avancée de plus de 20 kilomètres par les blindés russes jusqu'à moins de 20 kilomètres de Khotinets, se situant au nord ouest d'Orel. Le LVème Corps allemand est tout de même sauvé de la destruction grâce à l'arrivée d'unités en provenance de la 9ème Armée de Model. Orel est alors hautement menacé ainsi que la voie ferrée liant Orel à Bryansk. La Stavka elle même ne s'attendait pas à cette progression. Elle n'a pas mis assez de blindés pour l'exploitation. Pourtant, Fedorenko, patron des blindés, était favorable à la mise en place d'une Armée de tank derrière la 11ème Armée de la Garde. Autrement dit une grande puissance de percée pour une exploitation moyenne, voilà ce que reproche Fedorenko. La 3ème et la 4ème Armées de tanks sont loin à ce moment là. Malgré l'envoie de la 11ème Armée et de Badanov, les forces de Model sont plus rapides et viennent colmater les brèches. Du côté de la 61ème Armée, Belov fait l'erreur de lâcher ses forces d'exploitation trop rapidement ce qui fait qu'au lieu d'exploiter dans la profondeur, il doivent faire face à des attaques de l'infanterie puis de la 12ème Panzerdivisionen. Cette force d'exploitation c'est le 20ème Corps blindé. Sur les arrières de la ville de Bolkhov, le 25ème Corps blindé du général Anikushkin est lâché le 17 juillet. Du coup, 4 divisions sont engagés par Model pour contrer la menca d'encerclement.
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il y a 2 ans
Que les Russes ont toujours été nul à chier dans l'art de la guerre
Sur la face est du saillant, les 3ème et 63ème Armées du Front de Brianks, se font laminer par le XXXVème Corps d'Armée commandé par le général allemand Rendulic car ayant anticipé avec précision le point d'application de l'attaque. Les mines posés aux environs de la rivière Susha détruisent plus de 60 chars dont la majorité de T 34, sans oublier le fiasco de l'infanterie durant l'attaque. De telle sorte que l'avance n'est que de plus de 5 kilomètres à peine. Ce n'est que le 13 soit le lendemain que le 1er Corps de tanks tente de passer, Celui ci, dirigé par le général Pankov, fait face aux Panzers avec ses T 34, ce qui arrête provisoirement l'avance Soviétique. L'introduction de la 3ème Armée de tanks de la Garde ne suffit pas. Car elle arrive trop tard.
Finalement le saillant d'Orel est évacué à la fin du mois de juillet après usure des forces allemandes, au prix de pertes soviétiques bien supérieures toutefois.
Finalement le saillant d'Orel est évacué à la fin du mois de juillet après usure des forces allemandes, au prix de pertes soviétiques bien supérieures toutefois.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans