Ce sujet a été résolu
De plus, pour le léger réchauffement observé durant le XXIème siècle, il s'explique en très grande partie par la diminution observée de la couverture nuageuse. Soit, de l'albédo.
Sources : https://www.climato-reali[...]ement-hivernal-en-europe/
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Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 8 mois
Autres sources intéressantes à ce sujet : https://royalsocietypubli[...]oi/10.1098/rspa.2022.0053
Publié dans le Royal Society Publishing
Sur le sujet : The changing nature of Earth's reflected sunlight
Publié par Graeme L. Stephens
, Maria Z. Hakuba
, Seiji Kato
, Andrew Gettelman
, Jean-Louis Dufresne
, Timothy Andrews
, Jason N. S. Cole
, Ulrika Willen
Thorsten Mauritsen
L'étude date de 2022.
Publié dans le Royal Society Publishing
Sur le sujet : The changing nature of Earth's reflected sunlight
Publié par Graeme L. Stephens
, Maria Z. Hakuba
, Seiji Kato
, Andrew Gettelman
, Jean-Louis Dufresne
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L'étude date de 2022.
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
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Publié dans ResearchGate également.
Dans l'ads également : https://ui.adsabs.harvard[...]2RSPSA.47820053S/abstract
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
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L'étude date de 2022.
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, Jean-Louis Dufresne
, Timothy Andrews
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L'étude date de 2022.
il y a 8 mois
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0277379120305953 qui est une étude dont le sujet est : Holocene history of landscape instability in Iceland: Can we deconvolve the impacts of climate, volcanism and human activity? publié par Áslaug Geirsdóttir
University of Iceland
David Harning
University of Colorado Boulder
Gifford H. Miller
John T. Andrews
University of Colorado Boulder
Aussi disponibles dans Research Gate : https://www.researchgate.[...]canism_and_human_activity
Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
University of Iceland
David Harning
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Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0277379120305953 qui est une étude dont le sujet est : Holocene history of landscape instability in Iceland: Can we deconvolve the impacts of climate, volcanism and human activity? publié par Áslaug Geirsdóttir
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Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
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Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
L'intégralité de cette étude se trouve ici.
https://par.nsf.gov/servlets/purl/10428383
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0277379120305953 qui est une étude dont le sujet est : Holocene history of landscape instability in Iceland: Can we deconvolve the impacts of climate, volcanism and human activity? publié par Áslaug Geirsdóttir
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Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
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C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
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Anthony_Agard
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https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0277379120305953 qui est une étude dont le sujet est : Holocene history of landscape instability in Iceland: Can we deconvolve the impacts of climate, volcanism and human activity? publié par Áslaug Geirsdóttir
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Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
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Cette étude démontre que l'Islande a connu une période globalement plus froide que durant l'ensemble des 8 000 années précédentes.
Quasiment toutes les périodes sont concernés à l'exception de la période du XIXème siècle.
C'est au cours des derniers siècles en plus de cela, que les glaces de la région ont été les plus étendues sur les 8 000 dernières années, qui est la période étudiée dans l'étude.
il y a 8 mois
Pour le document en entier : https://www.sciencedirect[...]0277379120305953/purchase
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il y a 8 mois
“L’activité solaire et le champ magnétique augmentent de 56%, ce qui empêche le GCR d’atteindre l’atmosphère de 19% et, par conséquent, le GST augmente - expliquant en partie le réchauffement d’environ 0,5°C enregistré entre 1950 et 2016.”
Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
sur le sujet : Possible effects of galactic cosmic ray flux and low-cloud amounts on global surface temperature en février 2020.
Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
sur le sujet : Possible effects of galactic cosmic ray flux and low-cloud amounts on global surface temperature en février 2020.
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
“L’activité solaire et le champ magnétique augmentent de 56%, ce qui empêche le GCR d’atteindre l’atmosphère de 19% et, par conséquent, le GST augmente - expliquant en partie le réchauffement d’environ 0,5°C enregistré entre 1950 et 2016.”
Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
sur le sujet : Possible effects of galactic cosmic ray flux and low-cloud amounts on global surface temperature en février 2020.
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Anthony_Agard
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“L’activité solaire et le champ magnétique augmentent de 56%, ce qui empêche le GCR d’atteindre l’atmosphère de 19% et, par conséquent, le GST augmente - expliquant en partie le réchauffement d’environ 0,5°C enregistré entre 1950 et 2016.”
Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
sur le sujet : Possible effects of galactic cosmic ray flux and low-cloud amounts on global surface temperature en février 2020.
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Publié dans ResearchGate également : https://www.researchgate.[...]lobal_surface_temperature
Sur l'absorption des radiations des gaz au sein de l'atmosphère terrestre
Ainsi que sur le site ads : https://ui.adsabs.harvard[...]0Prama..94...45E/abstract
Sur l'absorption des radiations des gaz au sein de l'atmosphère terrestre
Ainsi que sur le site ads : https://ui.adsabs.harvard[...]0Prama..94...45E/abstract
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
“L’activité solaire et le champ magnétique augmentent de 56%, ce qui empêche le GCR d’atteindre l’atmosphère de 19% et, par conséquent, le GST augmente - expliquant en partie le réchauffement d’environ 0,5°C enregistré entre 1950 et 2016.”
Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
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Source : https://link.springer.com[...]07/s12043-019-1912-2#Sec3 Publié dans Springer par M A El-Borie, A A Thabet, E S El-Mallah, M Abd El-Zaher et A A Bishara
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il y a 8 mois
Le rapport entre les pourcentages d’eau ( qui se situe entre 1 et 2%) et de méthane (qui est de l'ordre des 0,00019%) est tel que les effets du CH4 sont intégralement dissimulés par H2O. La quantité de CH4 doit en tout être multipliée par 100 pour qu’elle soit comparable à celle de H2O.
A partir de ce moment là il est impossible que ce gaz puisse être vu comme étant cohérent pour vouloir démontrer quoique ce soit en rapport avec un réchauffement anthropique.
Il faut savoir que les absorptions spectrales reposent sur un modèle, un modèle qui représente une Terre imaginaire qui n'aurait pas de nuages. Or, comme chacun le sait, les nuages existent dans notre monde.
. Lorsque le ciel est nuageux, autour de 80% du temps, ils dominent le forçage total de l’effet de serre, étouffant ainsi au niveau de l'influence le CH4 comme le CO2.
La section transversale d’absorption élevée du CH4 par molécule ne fait donc aucune différence dans notre atmosphère réelle. De nombreuses informations plus que discutables ont cette fâcheuse tendance à circuler. Les peurs qui sont suscités sont pourtant parfaitement inutiles et irrationnelles.
Malgré ces faits présentés émanant de leur théorie radiative, il est en effet estimé par le GIEC que l’augmentation des niveaux de CH4 dans l’atmosphère (0,00017% à 0,00019%) a contribué à hauteur de 0,5°C au réchauffement climatique et ce depuis la période de1850-1900.
A partir de ce moment là il est impossible que ce gaz puisse être vu comme étant cohérent pour vouloir démontrer quoique ce soit en rapport avec un réchauffement anthropique.
Il faut savoir que les absorptions spectrales reposent sur un modèle, un modèle qui représente une Terre imaginaire qui n'aurait pas de nuages. Or, comme chacun le sait, les nuages existent dans notre monde.
. Lorsque le ciel est nuageux, autour de 80% du temps, ils dominent le forçage total de l’effet de serre, étouffant ainsi au niveau de l'influence le CH4 comme le CO2.
La section transversale d’absorption élevée du CH4 par molécule ne fait donc aucune différence dans notre atmosphère réelle. De nombreuses informations plus que discutables ont cette fâcheuse tendance à circuler. Les peurs qui sont suscités sont pourtant parfaitement inutiles et irrationnelles.
Malgré ces faits présentés émanant de leur théorie radiative, il est en effet estimé par le GIEC que l’augmentation des niveaux de CH4 dans l’atmosphère (0,00017% à 0,00019%) a contribué à hauteur de 0,5°C au réchauffement climatique et ce depuis la période de1850-1900.
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
Le rapport entre les pourcentages d’eau ( qui se situe entre 1 et 2%) et de méthane (qui est de l'ordre des 0,00019%) est tel que les effets du CH4 sont intégralement dissimulés par H2O. La quantité de CH4 doit en tout être multipliée par 100 pour qu’elle soit comparable à celle de H2O.
A partir de ce moment là il est impossible que ce gaz puisse être vu comme étant cohérent pour vouloir démontrer quoique ce soit en rapport avec un réchauffement anthropique.
Il faut savoir que les absorptions spectrales reposent sur un modèle, un modèle qui représente une Terre imaginaire qui n'aurait pas de nuages. Or, comme chacun le sait, les nuages existent dans notre monde.
. Lorsque le ciel est nuageux, autour de 80% du temps, ils dominent le forçage total de l’effet de serre, étouffant ainsi au niveau de l'influence le CH4 comme le CO2.
La section transversale d’absorption élevée du CH4 par molécule ne fait donc aucune différence dans notre atmosphère réelle. De nombreuses informations plus que discutables ont cette fâcheuse tendance à circuler. Les peurs qui sont suscités sont pourtant parfaitement inutiles et irrationnelles.
Malgré ces faits présentés émanant de leur théorie radiative, il est en effet estimé par le GIEC que l’augmentation des niveaux de CH4 dans l’atmosphère (0,00017% à 0,00019%) a contribué à hauteur de 0,5°C au réchauffement climatique et ce depuis la période de1850-1900.
A partir de ce moment là il est impossible que ce gaz puisse être vu comme étant cohérent pour vouloir démontrer quoique ce soit en rapport avec un réchauffement anthropique.
Il faut savoir que les absorptions spectrales reposent sur un modèle, un modèle qui représente une Terre imaginaire qui n'aurait pas de nuages. Or, comme chacun le sait, les nuages existent dans notre monde.
. Lorsque le ciel est nuageux, autour de 80% du temps, ils dominent le forçage total de l’effet de serre, étouffant ainsi au niveau de l'influence le CH4 comme le CO2.
La section transversale d’absorption élevée du CH4 par molécule ne fait donc aucune différence dans notre atmosphère réelle. De nombreuses informations plus que discutables ont cette fâcheuse tendance à circuler. Les peurs qui sont suscités sont pourtant parfaitement inutiles et irrationnelles.
Malgré ces faits présentés émanant de leur théorie radiative, il est en effet estimé par le GIEC que l’augmentation des niveaux de CH4 dans l’atmosphère (0,00017% à 0,00019%) a contribué à hauteur de 0,5°C au réchauffement climatique et ce depuis la période de1850-1900.
il y a 8 mois
Une étude détaille comment un climat beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui a conduit à la disparition des glaciers et calottes glaciaires au cours de l’Holocène à 300 ppm de CO2. L’étendue de glace moderne de l'Arctique est parmi les plus importantes des 10 000 dernières années. Les glaciologues Larocca et Axford (2022) ont synthétisé un enregistrement complet des glaciers et des calottes glaciaires (GIC) de l'ensemble de l’Arctique situés à proximité des lacs pour l’Alaska, Groenland, Arctique canadien, Islande, Scandinavie, Svalbard et Arctique russe. Ils ont comparé le volume et l’étendue actuels des GIC aux périodes passées de l’Holocène où ils étaient soit 1) plus petits qu’actuellement, soit 2) absents, ces dernières caractérisations signifiant une plus grande chaleur arctique.
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
sur le sujet :Arctic glaciers and ice caps through the Holocene:a circumpolar synthesis of lake-based reconstructionspublié par Laura J. Larocca et Yarrow Axford
Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
sur le sujet :Arctic glaciers and ice caps through the Holocene:a circumpolar synthesis of lake-based reconstructionspublié par Laura J. Larocca et Yarrow Axford
Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
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il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
Une étude détaille comment un climat beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui a conduit à la disparition des glaciers et calottes glaciaires au cours de l’Holocène à 300 ppm de CO2. L’étendue de glace moderne de l'Arctique est parmi les plus importantes des 10 000 dernières années. Les glaciologues Larocca et Axford (2022) ont synthétisé un enregistrement complet des glaciers et des calottes glaciaires (GIC) de l'ensemble de l’Arctique situés à proximité des lacs pour l’Alaska, Groenland, Arctique canadien, Islande, Scandinavie, Svalbard et Arctique russe. Ils ont comparé le volume et l’étendue actuels des GIC aux périodes passées de l’Holocène où ils étaient soit 1) plus petits qu’actuellement, soit 2) absents, ces dernières caractérisations signifiant une plus grande chaleur arctique.
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
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Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
sur le sujet :Arctic glaciers and ice caps through the Holocene:a circumpolar synthesis of lake-based reconstructionspublié par Laura J. Larocca et Yarrow Axford
Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
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Anthony_Agard
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Une étude détaille comment un climat beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui a conduit à la disparition des glaciers et calottes glaciaires au cours de l’Holocène à 300 ppm de CO2. L’étendue de glace moderne de l'Arctique est parmi les plus importantes des 10 000 dernières années. Les glaciologues Larocca et Axford (2022) ont synthétisé un enregistrement complet des glaciers et des calottes glaciaires (GIC) de l'ensemble de l’Arctique situés à proximité des lacs pour l’Alaska, Groenland, Arctique canadien, Islande, Scandinavie, Svalbard et Arctique russe. Ils ont comparé le volume et l’étendue actuels des GIC aux périodes passées de l’Holocène où ils étaient soit 1) plus petits qu’actuellement, soit 2) absents, ces dernières caractérisations signifiant une plus grande chaleur arctique.
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
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Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
Source : https://cp.copernicus.org/articles/18/579/2022/
sur le sujet :Arctic glaciers and ice caps through the Holocene:a circumpolar synthesis of lake-based reconstructionspublié par Laura J. Larocca et Yarrow Axford
Contrairement à l’opinion populaire selon laquelle l’étendue des glaciers et des calottes glaciaires modernes est sans précédent ou sur le point de disparaître pour la toute première fois, les auteurs ont découvert que plus de la moitié des GIC de l’Arctique qui existent aujourd’hui n’existaient pas ou étaient plus petits qu’aujourd’hui. Il y a 10 000 à 3 400 ans, lorsque le CO2 atmosphérique variait entre 260 et 270 ppm. De plus, la plupart (« 80 % ou plus ») étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a 7 900 à 4 500 ans, ce qui était le pic de la chaleur arctique de cet interglaciaire – plusieurs degrés Celsius plus chaud qu’aujourd’hui. Les images suivantes du document documentent le «pourcentage de GIC plus petits ou absents» pour chaque région au cours des 10 000 dernières années ou plus. Notez qu'entre 80 % et 100 % des GIC étaient plus petits qu’aujourd’hui ou absents il y a environ 8000 et 4000 ans,
il y a 8 mois
D'ailleurs pour montrer que les prédictions du GIEC se sont révélés fausses, on est sûr aujourd'hui que parmi les 79 prédictions climatiques catastrophistes, eh bien il y en a une majorité de fausses.
En l'occurrence, 48 sur 79.
Le tout sachant que la majorité du reste est probablement faux également mais qu'on ne peut pas être sûr à 100% étant donné que ces prédictions concernent le futur.
Source : https://www.inderscience.[...]narticle.php?artid=112896
Publié dans Inder Science Publishers
En l'occurrence, 48 sur 79.
Le tout sachant que la majorité du reste est probablement faux également mais qu'on ne peut pas être sûr à 100% étant donné que ces prédictions concernent le futur.
Source : https://www.inderscience.[...]narticle.php?artid=112896
Publié dans Inder Science Publishers
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 8 mois
Anthony_Agard
8 mois
D'ailleurs pour montrer que les prédictions du GIEC se sont révélés fausses, on est sûr aujourd'hui que parmi les 79 prédictions climatiques catastrophistes, eh bien il y en a une majorité de fausses.
En l'occurrence, 48 sur 79.
Le tout sachant que la majorité du reste est probablement faux également mais qu'on ne peut pas être sûr à 100% étant donné que ces prédictions concernent le futur.
Source : https://www.inderscience.[...]narticle.php?artid=112896
Publié dans Inder Science Publishers
En l'occurrence, 48 sur 79.
Le tout sachant que la majorité du reste est probablement faux également mais qu'on ne peut pas être sûr à 100% étant donné que ces prédictions concernent le futur.
Source : https://www.inderscience.[...]narticle.php?artid=112896
Publié dans Inder Science Publishers
Title: Apocalypse now? Communicating extreme forecasts
Authors: David C. Rode; Paul S. Fischbeck
Cette étude date de 2021.
Authors: David C. Rode; Paul S. Fischbeck
Cette étude date de 2021.
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il y a 8 mois