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T es un dictateur?
Oui je fais un référendum pour savoir si je dois partir ou non
:sele:
l horreur quasiment le nazisme
:zhitler:
Je suis pour la démocratie?

Oui, j'ai manifesté il y a plus de 50 ans contre l'un des plus grands hommes d'Etat de l'histoire de France, un homme qui, de part sa clairvoyance, a su préserver l'intégrité de territoire français ainsi que sa souveraineté et son indépendance, et ce tout en assurant son redressement économique et financier après la guerre. El famoso dictateur.


Mais j'ai soutenu en 2017 et 2022 Emmanuel Macron, el famoso rempart contre les extrême et la menace fasciste, malgré les insultes permanentes contre le peuple français, la potentielle guerre contre la Russie voire la Chine et l'Iran, le pass nazitaire, les vaccins avec 500 fois plus d'effets secondaires que les vaccins contre la grippe, les politiques anti classes populaires et anti sociales, les danses de pd à l'Elysée pour la fête de la musique, les déficits géants de notre balance des paiements et le surendettement.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Un affrontement en France? Je ne vois pas comment ce serait possible, sauf si tu parles de guerre civile bien entendu. Ce qui est tout sauf improbable.
Non tu vois pas comment ce serait possible, parce que tu t’appelles Marc et que t’es plaquiste
:chakoi:


Réveilles toi frérot fais preuve d’humilité et revient dans le RÉEL
:chakoi:


C’est pour ton bien que je dis ça sans déconner. T’es entrain de te bercer d’illusions à croire qu’une Deus Ex Machina viendra te sauver de ton sort funeste. Ça marche pas comme ça. C’est même un comportement typique de golem à vrai dire.
Faut que tu agisses si tu veux produire un effet
:chakoi:
XPISTI SIGILLUM MILITUM Sequela Christi ✝️
il y a 2 ans
Tkt on mourra en héros nous aurons droit à nos noms gravés sur une plaque en or

Après tout nous sommes morts pour la "liberté" , pour la "démocratie" et pour la "paix dans le monde"
Et on aura BHL qui nous rendra hommage sur LCI en disant aimer voire les français se faire trouver en Ukraine. Pendant ce temps lui, pourra se taper des 10 sur 10 dans sa villa de milliardaire tout en ayant été favorable à des interventions militaire et an y étant parfois impliqué directement, tout cela ayant entraîné la mort de plusieurs millions de personnes sans oublier des dizaines de millions de blessés et de réfugiés.

La vie cette pute pour le prolo lambda français.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
T es un dictateur?
Oui je fais un référendum pour savoir si je dois partir ou non
:sele:
l horreur quasiment le nazisme
:zhitler:
Pendant, ce temps là,

BILAN DE MACRON EN FRANCE ( premier quinquennat )
Son mandat en quelques phrases (merci au khey qui a posté ce pavé):

• La triple baisse des APL
• La hausse de la CSG pour une partie des retraités
• Donne de l'argent a des célébrités comme Rihanna
• La transformation de l'ISF – les riches investissent 70 % de moins dans les PME depuis – ainsi que de la dernière tranche de la taxe sur les salaires pour les associations
• La baisse des impôts des multinationales
• Les tensions avec l'armée et les collectivités territoriales
• L'annulation de 300 millions d'euros de dotations à ces mêmes collectivités en 2017
• La baisse considérable du budget alloué aux contrats aidés
• Le seuil de consentement à une relation se**elle fixé à 15 ans
• La suppression du suivi des salariés exposés aux produits chimiques
• L’adoption du CETA par l'Assemblée nationale
• L’accord UE-Mercosur relancé en dépit des promesses de Macron
• La redevance TV probablement étendue aux autres écrans (PC, tablettes, portables, etc.)
• Le démantèlement du code du travail
• La vente de la branche Énergie d'Alstom
• L'ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques
• La privatisation des entreprises publiques telle la FDJ (malgré la désapprobation de la Cour des comptes) ADP ou EDF, la concentration des pouvoirs
• Les dysfonctionnements à l'assemblée
• Le gel du point d’indice et rétablissement du jour de carence pour les fonctionnaires
• Le gel du taux d’intérêt du livret A
• La suppression de la prime d'activité pour près de 68 000 personnes handicapées et des cotisations salariales maladie et chômage
• L'économie de 3,4 milliards d'euros à prévoir sur l'assurance chômage
• La réforme des retraites
• La coupe budgétaire un peu partout (ex : près d'1 milliard en moins pour les hôpitaux hors covid)
• La baisse du budget national du logement (hormis en 2021)
• Le budget pour l'hébergement d'urgence diminué de 57 millions d'euros
• La France qui compte 500 000 pauvres de plus en 2018 (9,3 millions au total, plus de 10 millions en 2020)
• La suppression de l'Observatoire de la pauvreté
• L'Élysée qui s'immisce dans le processus de nomination du Samu social
• La baisse drastique des logements accessibles aux personnes handicapés
• La privatisation des HLM
• Les déplacements en vol à 350 000 euros ou pour une distance de 110 kilomètres
• Les malaises durant le « service national universel » coûtant près de 1,5 milliards d'euros par an
• La limitation de vitesse baissée à 80km/h
• La fermeture de sites internet soi disant diffuseurs de « fake news »
• La loi Avia contre la « cyberhaine » remettant en cause la liberté d'expression
• La loi sur le secret des affaires
• La loi asile et immigration
• La suppression partielle de l'exit flat
• Les congrès de Versailles à 270.000 €
• Le service de vaisselle à 500 000 euros
• Les dépenses de l'Assemblée qui ont explosé
• La promesse non tenue de Castaner sur l'abolition des privilèges des ex-ministres de l'Intérieur
• Les avantages princiers et dîners fastueux aux frais du contribuable de Rugy
• La directrice de cabinet de ce dernier qui garde un HLM pendant 12 ans
• Les reculs sur la loi hydrocarbures et le glyphosate
• L'accord avec Total de raser des forêts tropicales dans le cadre du projet « Montagne d'Or »
• La fermeture de l'usine d'hydroliennes à Cherbourg
• L'abandon de l'objectif de 20 % de produits bio dans les cantines
• La suppression des aides au maintien de l'agriculture bio
• L’interdiction de la vente de semences paysannes
• L'autorisation de la chasse de 18 000 tourterelles des bois
• La validation par le Conseil d'État de la pratique de la chasse des oiseaux à la glu (suspendu un an)
• La répression de manifestants écologistes et des pompiers
• La lobbyiste Catherine Tissot-Colle au cœur de la convention pour le climat
• La gestion catastrophique de l'incendie de l'usine de Rouen
• La loi « anti-casseurs »
• 9,1 milliards d'euros de vente d'armes en 2018 dont certaines ont été utilisés contre des civils au Yémen
• La commande pour 22 millions d’euros de grenades lacrymogènes
• La disparition des trains primeurs
• La commande de 40 000 grenades de désencerclement
• Les milliers de manifestants blessés
• L'expérimentation puis le déploiement progressif de la reconnaissance faciale
• La hausse du coût des études pour les étudiants non européens
• Les lycéens laissés sur le carreau à cause du système Parcoursup
• La réforme du lycée
• La loi sur l'école de la confiance
• La fermeture de 400 écoles malgré la promesse de Macron
• Le musellement des profs opposés à la loi Blanquer
• La loi alimentation réduisant le pouvoir d'achat des ménages
• La hausse de l'électricité pour sauver des opérateurs privés
• Le logiciel RH de l'éducation nationale abandonné après avoir englouti 320 millions d'euros
• La réforme des retraites qui oblige à travailler plus pour toucher moins
• Les dérapages verbaux contre "ceux qui ne sont rien" et "fainéants" (voir en bas)
• Le départ de nombreux conseillers et membres du gouvernement
• Une quarantaine de députés LREM qui ont quitté la majorité
• Un tiers des députés LREM ont déroché (cent étaient prêts à publier une tribune contre Macron)
• La députée LREM convoquée pour avoir critiqué Emmanuel Macron
• L'astrofurting et la radicalisation des macronistes sur les réseaux sociaux
• L'arnaque du grand débat
• L'hommage à Pétain
• La défiance des Français envers Castaner (7 sur 10 le trouvent ni rassurant ni compétent) en matière de lutte contre le terrorisme
• Le décès de Steve Maia Caniço suite à une intervention policière disproportionnée
• Le décès de Zineb Redouane
• Les gilets jaunes
• 7 milliards d’euros pour Air France, sans contrepartie environnementale ou sociale
• Affaire Legay
• Affaire Benalla et ses multiples rebondissements
• Affaire El Guerrab
• Affaire Avia
• Affaire Schiappou
• Affaire Nyssen
• Affaire Kohler et ses rebondissements
• Affaire Darmanin
• Affaire Le Maire
• Affaire Philippe
• Affaire Leclabart
• Affaire Son Forget
• Affaire Laabid
• Affaire Flessel
• Affaire Navarro
• Affaire Melchior
• Affaire Ferrand
• Affaire Bridey
• Affaire Solère
• Affaire Josso
• Affaire Breton
• Affaire Brugnera
• Affaire Ouarouss
• Affaire Delevoye
• Affaire Pietraszewski
• Affaire Pénicaud
• Affaire Buzyn
• Affaire Griveaux
• Affaire Dussopt
• Affaire Djebbari
• Affaire Borne
• Affaire Bennari
• Affaire Platini
• Affaire de l'hôpital de la Pitié-Salpetrière
• Affaire Chalençon avec les ministres impliqués (Attal et Moretti)
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Pendant, ce temps là,

BILAN DE MACRON EN FRANCE ( premier quinquennat )
Son mandat en quelques phrases (merci au khey qui a posté ce pavé):

• La triple baisse des APL
• La hausse de la CSG pour une partie des retraités
• Donne de l'argent a des célébrités comme Rihanna
• La transformation de l'ISF – les riches investissent 70 % de moins dans les PME depuis – ainsi que de la dernière tranche de la taxe sur les salaires pour les associations
• La baisse des impôts des multinationales
• Les tensions avec l'armée et les collectivités territoriales
• L'annulation de 300 millions d'euros de dotations à ces mêmes collectivités en 2017
• La baisse considérable du budget alloué aux contrats aidés
• Le seuil de consentement à une relation se**elle fixé à 15 ans
• La suppression du suivi des salariés exposés aux produits chimiques
• L’adoption du CETA par l'Assemblée nationale
• L’accord UE-Mercosur relancé en dépit des promesses de Macron
• La redevance TV probablement étendue aux autres écrans (PC, tablettes, portables, etc.)
• Le démantèlement du code du travail
• La vente de la branche Énergie d'Alstom
• L'ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques
• La privatisation des entreprises publiques telle la FDJ (malgré la désapprobation de la Cour des comptes) ADP ou EDF, la concentration des pouvoirs
• Les dysfonctionnements à l'assemblée
• Le gel du point d’indice et rétablissement du jour de carence pour les fonctionnaires
• Le gel du taux d’intérêt du livret A
• La suppression de la prime d'activité pour près de 68 000 personnes handicapées et des cotisations salariales maladie et chômage
• L'économie de 3,4 milliards d'euros à prévoir sur l'assurance chômage
• La réforme des retraites
• La coupe budgétaire un peu partout (ex : près d'1 milliard en moins pour les hôpitaux hors covid)
• La baisse du budget national du logement (hormis en 2021)
• Le budget pour l'hébergement d'urgence diminué de 57 millions d'euros
• La France qui compte 500 000 pauvres de plus en 2018 (9,3 millions au total, plus de 10 millions en 2020)
• La suppression de l'Observatoire de la pauvreté
• L'Élysée qui s'immisce dans le processus de nomination du Samu social
• La baisse drastique des logements accessibles aux personnes handicapés
• La privatisation des HLM
• Les déplacements en vol à 350 000 euros ou pour une distance de 110 kilomètres
• Les malaises durant le « service national universel » coûtant près de 1,5 milliards d'euros par an
• La limitation de vitesse baissée à 80km/h
• La fermeture de sites internet soi disant diffuseurs de « fake news »
• La loi Avia contre la « cyberhaine » remettant en cause la liberté d'expression
• La loi sur le secret des affaires
• La loi asile et immigration
• La suppression partielle de l'exit flat
• Les congrès de Versailles à 270.000 €
• Le service de vaisselle à 500 000 euros
• Les dépenses de l'Assemblée qui ont explosé
• La promesse non tenue de Castaner sur l'abolition des privilèges des ex-ministres de l'Intérieur
• Les avantages princiers et dîners fastueux aux frais du contribuable de Rugy
• La directrice de cabinet de ce dernier qui garde un HLM pendant 12 ans
• Les reculs sur la loi hydrocarbures et le glyphosate
• L'accord avec Total de raser des forêts tropicales dans le cadre du projet « Montagne d'Or »
• La fermeture de l'usine d'hydroliennes à Cherbourg
• L'abandon de l'objectif de 20 % de produits bio dans les cantines
• La suppression des aides au maintien de l'agriculture bio
• L’interdiction de la vente de semences paysannes
• L'autorisation de la chasse de 18 000 tourterelles des bois
• La validation par le Conseil d'État de la pratique de la chasse des oiseaux à la glu (suspendu un an)
• La répression de manifestants écologistes et des pompiers
• La lobbyiste Catherine Tissot-Colle au cœur de la convention pour le climat
• La gestion catastrophique de l'incendie de l'usine de Rouen
• La loi « anti-casseurs »
• 9,1 milliards d'euros de vente d'armes en 2018 dont certaines ont été utilisés contre des civils au Yémen
• La commande pour 22 millions d’euros de grenades lacrymogènes
• La disparition des trains primeurs
• La commande de 40 000 grenades de désencerclement
• Les milliers de manifestants blessés
• L'expérimentation puis le déploiement progressif de la reconnaissance faciale
• La hausse du coût des études pour les étudiants non européens
• Les lycéens laissés sur le carreau à cause du système Parcoursup
• La réforme du lycée
• La loi sur l'école de la confiance
• La fermeture de 400 écoles malgré la promesse de Macron
• Le musellement des profs opposés à la loi Blanquer
• La loi alimentation réduisant le pouvoir d'achat des ménages
• La hausse de l'électricité pour sauver des opérateurs privés
• Le logiciel RH de l'éducation nationale abandonné après avoir englouti 320 millions d'euros
• La réforme des retraites qui oblige à travailler plus pour toucher moins
• Les dérapages verbaux contre "ceux qui ne sont rien" et "fainéants" (voir en bas)
• Le départ de nombreux conseillers et membres du gouvernement
• Une quarantaine de députés LREM qui ont quitté la majorité
• Un tiers des députés LREM ont déroché (cent étaient prêts à publier une tribune contre Macron)
• La députée LREM convoquée pour avoir critiqué Emmanuel Macron
• L'astrofurting et la radicalisation des macronistes sur les réseaux sociaux
• L'arnaque du grand débat
• L'hommage à Pétain
• La défiance des Français envers Castaner (7 sur 10 le trouvent ni rassurant ni compétent) en matière de lutte contre le terrorisme
• Le décès de Steve Maia Caniço suite à une intervention policière disproportionnée
• Le décès de Zineb Redouane
• Les gilets jaunes
• 7 milliards d’euros pour Air France, sans contrepartie environnementale ou sociale
• Affaire Legay
• Affaire Benalla et ses multiples rebondissements
• Affaire El Guerrab
• Affaire Avia
• Affaire Schiappou
• Affaire Nyssen
• Affaire Kohler et ses rebondissements
• Affaire Darmanin
• Affaire Le Maire
• Affaire Philippe
• Affaire Leclabart
• Affaire Son Forget
• Affaire Laabid
• Affaire Flessel
• Affaire Navarro
• Affaire Melchior
• Affaire Ferrand
• Affaire Bridey
• Affaire Solère
• Affaire Josso
• Affaire Breton
• Affaire Brugnera
• Affaire Ouarouss
• Affaire Delevoye
• Affaire Pietraszewski
• Affaire Pénicaud
• Affaire Buzyn
• Affaire Griveaux
• Affaire Dussopt
• Affaire Djebbari
• Affaire Borne
• Affaire Bennari
• Affaire Platini
• Affaire de l'hôpital de la Pitié-Salpetrière
• Affaire Chalençon avec les ministres impliqués (Attal et Moretti)
Extension des pouvoirs des services de renseignement, nouveaux fichiers de police et bases de données massives, accélération du pouvoir de censure de l’administration, partenariats multiples avec des entreprises sécuritaires pour démultiplier la surveillance sur Internet ou dans nos rues, utilisation massive de la reconnaissance faciale policière.

Cette orientation a été initiée par Nicolas Sarkozy dans les années 2000 avant d’être déployée à grande échelle par François Hollande.

2017 –

14 mai 2017 : Emmanuel Macron commence son mandat de président de la République française ;
22 septembre 2017 : invoquant une provocation au terrorisme, le ministère de l’Intérieur ordonne directement aux sites Indymedia Nantes et Grenoble le retrait d’un communiqué anti-autoritaire publié sur leur site sous peine de blocage par les fournisseurs d’accès à Internet (notre article ici). Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise donnera finalement raison aux deux sites en janvier 2019 ;
30 octobre 2017 : promulgation de la loi « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme ». Le texte intègre dans le droit commun plusieurs mesures de l’état d’urgence décidé depuis 2015 tout en prolongeant la durée de vie des « boîtes noires » de surveillance des télécommunications, ces sondes algorithmiques créées en 2015 pour surveiller automatiquement l’ensemble d’un réseau de télécommunications ;
14 novembre 2017 : le gouvernement annonce avoir déployé une première « boîte noire » permettant la surveillance de masse des télécommunications (voir notre réaction).

– 2018 –

9 mars 2018 : promulgation de la loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants (ORE), qui instaure une sélection de fait à l’entrée des études supérieures, et autorise les établissements supérieurs à recourir à des algorithmes pour trier les candidatures. Suite à une QPC de l’UNEF a laquelle La Quadrature s’est jointe, le Conseil constitutionnel a réinterprété en 2020 la loi pour mettre partiellement fin à l’opacité de ces algorithmes de tri (lire notre réaction) ;
13 juillet 2018 : promulgation de la loi sur la « programmation militaire » (voir notre réaction ici). L’agence de cybersécurité du gouvernement (l’ANSSI) gagne de nouveaux pouvoirs de surveillance en pouvant ordonner à un hébergeur ou un fournisseur d’accès à Internet de poser sur le réseau des sondes lui permettant d’analyser tout le trafic pour détecter des attaques informatiques – la suite directe des boîtes noires instituées par la loi Renseignement de 2015. En février 2019, nous attaquons le décret d’application de cette loi devant le Conseil d’État (recours rejeté fin 2021) ;
5 septembre 2018 : promulgation de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel ». Son article 58 permet une expérimentation obligeant toute personne en recherche d’emploi à déclarer en ligne à Pôle Emploi « l’état d’avancement de leur recherche d’emploi » (sous peine de perdre le bénéfice de ses allocations). On analyse ici les risques de contrôle social qui résultent d’une telle expérimentation ;
11 septembre 2018 : promulgation de la « loi Collomb » relative à l’immigration, qui instaure un fichage forcé des empreintes digitales et des photos des migrants mineurs non-accompagnés. Suite à une QPC d’associations d’aide aux personnes migrantes, à laquelle La Quadrature s’est jointe, le Conseil constitutionnel a validé ce fichage massif en 2019 ;

22 novembre 2018 : création du « Comité stratégique de filière industries de sécurité » qui réunit, sous la présidence de Marc Darmon, vice-président de Thalès et en coopération avec l’État, l’ensemble des sociétés sécuritaires françaises ;
22 décembre 2018 : promulgation de la loi « fake news » (ou « relative à la manipulation de l’information »). En plus d’obligations générales de transparence pour certaines grandes plateformes, la loi crée une procédure d’urgence pour faire cesser une « fausse information » dans les trois mois précédant un scrutin national.

– 2019 –

14 janvier 2019 : le ministère de l’Intérieur, via l’office central de la lutte contre la criminalité informatique, exerce une censure et demande le retrait sur Internet d’une image caricaturant Emmanuel Macron en général Pinochet ;
21 janvier 2019 : le jour même où la CNIL sanctionne Google à hauteur de 50 millions d’euros à la suite d’une plainte collective portée par LQDN, le gouvernement fait la promotion de l’entreprise sur les réseaux sociaux ;
26 mars 2019 : adoption au Parlement européen de la directive Copyright (voir notre réaction ici). Emmanuel Macron se félicite sur Twitter de l’adoption de ce texte qui légitime les outils de filtrage et de censure automatisés mise en place par les grandes plateformes Internet pour « protéger » le droit d’auteur ;
31 mars 2019 : Emmanuel Macron nomme Cédric O comme secrétaire d’État au numérique, ancien salarié de Safran, entreprise française d’armement, ayant notamment été la maison-mère d’Idemia, entreprise spécialisée dans la reconnaissance faciale ;
13 mai 2019 : publication du décret « Alicem » qui autorise un dispositif d’identité numérique conditionnée à une reconnaissance faciale obligatoire, malgré l’avis négatif de la Cnil (notre article ici). Nous attaquons ce décret devant le Conseil d’État mais perdons le contentieux un an plus tard ;
24 juillet 2019 : promulgation de la loi sur la « transformation du système de santé » qui autorise le lancement du « Health Data Hub ». Il s’agit d’une plateforme visant à centraliser l’ensemble des données de santé de la population française pour faciliter leur utilisation à des fins de recherche, via l’utilisation massive d’algorithmes (voir notre article d’analyse) ;

24 octobre 2019 : Emmanuel Macron nomme Thierry Breton pour devenir commissaire à la Commission européenne. Ancien PDG de la société Atos (société qui a une grande expérience dans la surveillance biométrique aux frontières, ancienne maison-mère d’Amesys), il sera en charge de pousser notamment en Europe la vision française de l’intelligence artificielle à travers plusieurs textes, notamment le règlement sur l’intelligence artificielle et le « Digital Services Act » ;
28 décembre 2019 : publication de la loi de finances 2020 (voir notre article ici). Cette loi, validée par le Conseil constitutionnel, autorise l’administration fiscale et les douanes à surveiller les réseaux sociaux pour y collecter les informations et ensuite les faire analyser par leurs algorithmes.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Extension des pouvoirs des services de renseignement, nouveaux fichiers de police et bases de données massives, accélération du pouvoir de censure de l’administration, partenariats multiples avec des entreprises sécuritaires pour démultiplier la surveillance sur Internet ou dans nos rues, utilisation massive de la reconnaissance faciale policière.

Cette orientation a été initiée par Nicolas Sarkozy dans les années 2000 avant d’être déployée à grande échelle par François Hollande.

2017 –

14 mai 2017 : Emmanuel Macron commence son mandat de président de la République française ;
22 septembre 2017 : invoquant une provocation au terrorisme, le ministère de l’Intérieur ordonne directement aux sites Indymedia Nantes et Grenoble le retrait d’un communiqué anti-autoritaire publié sur leur site sous peine de blocage par les fournisseurs d’accès à Internet (notre article ici). Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise donnera finalement raison aux deux sites en janvier 2019 ;
30 octobre 2017 : promulgation de la loi « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme ». Le texte intègre dans le droit commun plusieurs mesures de l’état d’urgence décidé depuis 2015 tout en prolongeant la durée de vie des « boîtes noires » de surveillance des télécommunications, ces sondes algorithmiques créées en 2015 pour surveiller automatiquement l’ensemble d’un réseau de télécommunications ;
14 novembre 2017 : le gouvernement annonce avoir déployé une première « boîte noire » permettant la surveillance de masse des télécommunications (voir notre réaction).

– 2018 –

9 mars 2018 : promulgation de la loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants (ORE), qui instaure une sélection de fait à l’entrée des études supérieures, et autorise les établissements supérieurs à recourir à des algorithmes pour trier les candidatures. Suite à une QPC de l’UNEF a laquelle La Quadrature s’est jointe, le Conseil constitutionnel a réinterprété en 2020 la loi pour mettre partiellement fin à l’opacité de ces algorithmes de tri (lire notre réaction) ;
13 juillet 2018 : promulgation de la loi sur la « programmation militaire » (voir notre réaction ici). L’agence de cybersécurité du gouvernement (l’ANSSI) gagne de nouveaux pouvoirs de surveillance en pouvant ordonner à un hébergeur ou un fournisseur d’accès à Internet de poser sur le réseau des sondes lui permettant d’analyser tout le trafic pour détecter des attaques informatiques – la suite directe des boîtes noires instituées par la loi Renseignement de 2015. En février 2019, nous attaquons le décret d’application de cette loi devant le Conseil d’État (recours rejeté fin 2021) ;
5 septembre 2018 : promulgation de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel ». Son article 58 permet une expérimentation obligeant toute personne en recherche d’emploi à déclarer en ligne à Pôle Emploi « l’état d’avancement de leur recherche d’emploi » (sous peine de perdre le bénéfice de ses allocations). On analyse ici les risques de contrôle social qui résultent d’une telle expérimentation ;
11 septembre 2018 : promulgation de la « loi Collomb » relative à l’immigration, qui instaure un fichage forcé des empreintes digitales et des photos des migrants mineurs non-accompagnés. Suite à une QPC d’associations d’aide aux personnes migrantes, à laquelle La Quadrature s’est jointe, le Conseil constitutionnel a validé ce fichage massif en 2019 ;

22 novembre 2018 : création du « Comité stratégique de filière industries de sécurité » qui réunit, sous la présidence de Marc Darmon, vice-président de Thalès et en coopération avec l’État, l’ensemble des sociétés sécuritaires françaises ;
22 décembre 2018 : promulgation de la loi « fake news » (ou « relative à la manipulation de l’information »). En plus d’obligations générales de transparence pour certaines grandes plateformes, la loi crée une procédure d’urgence pour faire cesser une « fausse information » dans les trois mois précédant un scrutin national.

– 2019 –

14 janvier 2019 : le ministère de l’Intérieur, via l’office central de la lutte contre la criminalité informatique, exerce une censure et demande le retrait sur Internet d’une image caricaturant Emmanuel Macron en général Pinochet ;
21 janvier 2019 : le jour même où la CNIL sanctionne Google à hauteur de 50 millions d’euros à la suite d’une plainte collective portée par LQDN, le gouvernement fait la promotion de l’entreprise sur les réseaux sociaux ;
26 mars 2019 : adoption au Parlement européen de la directive Copyright (voir notre réaction ici). Emmanuel Macron se félicite sur Twitter de l’adoption de ce texte qui légitime les outils de filtrage et de censure automatisés mise en place par les grandes plateformes Internet pour « protéger » le droit d’auteur ;
31 mars 2019 : Emmanuel Macron nomme Cédric O comme secrétaire d’État au numérique, ancien salarié de Safran, entreprise française d’armement, ayant notamment été la maison-mère d’Idemia, entreprise spécialisée dans la reconnaissance faciale ;
13 mai 2019 : publication du décret « Alicem » qui autorise un dispositif d’identité numérique conditionnée à une reconnaissance faciale obligatoire, malgré l’avis négatif de la Cnil (notre article ici). Nous attaquons ce décret devant le Conseil d’État mais perdons le contentieux un an plus tard ;
24 juillet 2019 : promulgation de la loi sur la « transformation du système de santé » qui autorise le lancement du « Health Data Hub ». Il s’agit d’une plateforme visant à centraliser l’ensemble des données de santé de la population française pour faciliter leur utilisation à des fins de recherche, via l’utilisation massive d’algorithmes (voir notre article d’analyse) ;

24 octobre 2019 : Emmanuel Macron nomme Thierry Breton pour devenir commissaire à la Commission européenne. Ancien PDG de la société Atos (société qui a une grande expérience dans la surveillance biométrique aux frontières, ancienne maison-mère d’Amesys), il sera en charge de pousser notamment en Europe la vision française de l’intelligence artificielle à travers plusieurs textes, notamment le règlement sur l’intelligence artificielle et le « Digital Services Act » ;
28 décembre 2019 : publication de la loi de finances 2020 (voir notre article ici). Cette loi, validée par le Conseil constitutionnel, autorise l’administration fiscale et les douanes à surveiller les réseaux sociaux pour y collecter les informations et ensuite les faire analyser par leurs algorithmes.
2020
30 janvier 2020 : signature d’un partenariat entre l’État et les principales entreprises sécuritaires françaises pour notamment financer la surveillance des prochains Jeux Olympiques de Paris en 2024 ;
20 février 2020 : publication du décret « Gendnotes » (notre article ici). Ce décret autorise la police à utiliser une application mobile facilitant la collecte de photos et d’informations sensibles et leurs transferts vers des fichiers extérieurs (comme le TAJ, qui permet la reconnaissance faciale). Avec d’autres associations, nous attaquons ce texte et gagnons partiellement devant le Conseil d’État qui interdit le transfert des informations vers d’autres fichiers (notre réaction ici) ;
29 mars 2020 : publication du décret DataJust, qui autorise le ministère de la justice à collecter les données personnelles issues de décisions de justice, pour développer un obscur algorithme de justice prédictive. Nous avons attaqué le décret mais le Conseil d’État a rejeté notre recours fin 2021. Début 2022, le ministère annonçait toutefois l’abandon du projet ;
1er avril 2020 : déjà utilisés sur plusieurs manifestations, la police nationale déploie en toute illégalité des drones sur tout le territoire pour surveiller le respect du confinement.
Nous réussissons à faire condamner la préfecture de Paris deux fois par le Conseil d’État, avant que la CNIL puis le Conseil Constitutionnel viennent interdire leur utilisation au gouvernement. Les drones reviendront néanmoins dans un nouveau texte en 2022 (voir notre article sur le sujet) ;
9 avril 2020 : le ministère de l’Intérieur décide l’extension du décret de « système de contrôle automatisé » (ou ADOC pour « accès au dossier des contraventions). Permettant à l’origine la conservation des informations relatives aux délits routiers, le ministère de l’intérieur vient légaliser a posteriori l’extension de ce fichier à toutes les infractions réprimées par une amende forfaitaire avec une conservation étendue entre 5 et 10 ans. Nous avons attaqué cette extension devant le Conseil d’État (qui nous a rejeté fin 2021) ;
11 mai 2020 : promulgation de la loi « prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions ». Ce texte accentue la surveillance sanitaire et permet au gouvernement de mettre en place un système de recensement et de traçage des personnes contaminées, à travers deux fichiers, le fichier SIDEP et le fichier Contact Covid ;
29 mai 2020 : le gouvernement autorise par décret le lancement de l’application StopCovid visant à pister, grâce au Bluetooth des téléphones des personnes l’ayant installée, les personnes ayant été infectées par le Covid ou susceptibles de l’être. Nous envoyons aux parlementaires nos arguments pour rejeter ce projet dystopique (voir notre article) ;
24 juin 2020 : promulgation de la loi sur les contenus haineux sur Internet (dite « loi Avia »). Alors qu’au départ, la proposition de loi (fortement soutenue par le gouvernement) voulait notamment imposer la censure en 24 heures pour les contenus « haineux » et en une heure pour les contenus « terroristes » ainsi que déléguer de grands pouvoirs de régulation au CSA (voir notre résumé ici), le Conseil constitutionnel censure une très grande partie du texte pour n’en laisser que quelques dispositions mineures. Plusieurs dispositions se retrouveront néanmoins dans d’autres textes, le règlement européen de censure terroriste et la loi dite « Séparatisme » (voir ci-dessous) ;
6 juillet 2020 : nomination de Gérald Darmanin comme ministre de l’intérieur. Après avoir accentué la surveillance par l’administration fiscale lorsqu’il était ministre de l’action et des comptes publics, son arrivée à Beauvau marque un serrage de vis sécuritaire supplémentaire ;
30 juillet 2020 : promulgation de la loi « visant à protéger les victimes de violences conjugales » (voir notre article ici). Son article 22 (anciennement article 11) impose aux sites qui hébergent des contenus pornographiques de recourir à des dispositifs de vérification d’âge (et donc d’identification forcée) pour empêcher que les mineur·es y aient accès ;
13 octobre 2020 : un rapport du Sénat révèle qu’en 2019, la police a utilisé plus de 375 000 fois à des fins de reconnaissance faciale le fichier du « Traitement des antécédents à des fins judiciaires ». Nous attaquons ce fichier en août 2020 ;
16 novembre 2020 : le ministère de l’Intérieur publie le livre blanc de la sécurité intérieure. Ce document dévoile les velléités sécuritaires pour les prochaines années pour faire passer la surveillance et le contrôle de la population par la police à une nouvelle ère technologique (on en parle ici) ;
2 décembre 2020 : publication de 3 décrets qui étendent et aggravent les fichiers PASP, GIPASP et EASP (notre article ici). Ces fichiers facilitent le fichage massif des militantes et militants politiques et de leur entourage, en étendant cette surveillance aux réseaux sociaux, aux manifestations, et aux « opinions » politiques (non plus les seules « activités » politiques). Nous attaquons avec d’autres associations les textes en urgence devant le Conseil d’État et perdons une première bataille en janvier 2021. En décembre 2021, le Conseil d’État annule une partie de ces fichiers relative notamment aux opinions politiques ;
24 décembre 2020 : promulgation de la loi dite « petite loi Renseignement » (notre article ici). Le gouvernement fait passer en urgence une loi pour prolonger les expérimentations de plusieurs mesures sécuritaires adoptées en 2017 (mesures renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme – fermetures des lieux de culte, perquisitions administratives…) et la prolongation de la surveillance des réseaux par algorithmes votées en 2015 (ou boîtes noires) ;
29 décembre 2020 : promulgation de la loi de finances pour l’année 2021. Au détour d’un amendement n’ayant fait l’objet d’aucun débat, il est donné aux agents chargés de la fraude à Pôle Emploi la possibilité d’obtenir près des banques, fournisseurs d’énergie, opérateurs de téléphonie toute information nécessaire pour détecter des « situations frauduleuses ». On parle ici de cette surveillance sociale ici.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
2021
10 mars 2021 : publication du décret « Datakalab » qui autorise l’entreprise de surveillance Datakalab à déployer dans les transports en commun son logiciel de détection du port du masque. Un an auparavant, la Cnil avait pourtant critiqué le dispositif. Nous soulignons dans un article l’illégalité de ce texte que le ministre des transports a offert à la start-up (voir aussi l’article d’analyse co- écrit par un de nos membres) ;
mars-avril 2021 : dans le cadre de notre contentieux contre la surveillance de masse mise en place par les services de renseignement français, le gouvernement, mis au pied du mur par la Cour de l’Union européenne, demande au Conseil d’État de déroger au droit de l’Union européenne pour violer nos libertés fondamentales (on en parle ici) ;
29 avril 2021 : adoption au Parlement européen du règlement de censure antiterroriste (voir notre réaction ici). Avec ce texte, dont l’adoption a été précipitée par l’action du gouvernement français, l’ensemble des acteurs de l’Internet devront maintenant censurer en une heure un contenu qu’une autorité administrative (et non un juge) aura qualifié de « terroriste » sous peine de lourdes sanctions. Le Conseil constitutionnel avait pourtant censuré la même disposition dans sa décision sur la loi Avia un an auparavant ;
25 mai 2021 : promulgation de la loi « Sécurité globale ». Comme pour la loi Avia, le Conseil constitutionnel est venu censurer, à la suite d’un engagement et de la pression des militantes et militants, de nombreuses dispositions initialement prévues dans la proposition/projet de loi du gouvernement (voir notre article). Pas de drones ou d’hélicoptères de surveillance donc, mais une extension des pouvoirs de vidéosurveillance de la police, de la RATP/SNCF et la transmission en temps-réel des images des caméras-piétons de la police à un centre de commandement avec leur possible utilisation par des gardes-champêtres. Comme pour la loi Avia, plusieurs de ces dispositions reviendront rapidement dans d’autres textes ;
31 mai 2021 : promulgation de la loi « relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire ». Ce texte, incarnant l’orientation autoritaire de la gestion de crise et le rejet de toute tentative de dialogue et de respect envers les personnes non-vaccinées met en place le passe sanitaire, qui sera officiellement lancé en juin 2021, puis étendu à de plus en plus de domaines par diverses réformes postérieures ;
30 juillet 2021 : promulgation de la loi relative à la prévention d’actes de terrorisme et au renseignement. En plus de pérenniser et d’étendre les dispositifs de « boîtes noires » de surveillance des télécommunications, le texte confirme, malgré un arrêt contradictoire de la Cour de Justice de l’Union européenne, l’obligation de conservation généralisée des données de connexion. Il autorise par ailleurs la surveillance des communications satellitaires, facilite les échanges entre services de renseignement entre eux et avec d’autres services de l’État et intensifie les obligations de coopération avec les opérateurs et fournisseurs de communications électroniques (voir un des nos articles ici) ;
5 août 2021 : promulgation de la loi étendant le passe sanitaire à de nombreuses activités quotidiennes ;
24 août 2021 : promulgation de la loi « séparatismes » (renommée loi « confortant le respect des principes de la République »). Parmi d’autres dispositions liberticides (notamment une version remaniée de l’article 24 de la loi « Sécurité Globale »), le texte donne de nouveaux pouvoirs à l’administration pour réguler les grandes plateformes et lutter contre les contenus dits « haineux » (voir notre article ici) ;
26 octobre 2021 : promulgation de la loi de lutte contre le piratage audiovisuel. Elle renforce les pouvoirs de l’administration (en fusionnant le CSA et la HADOPI dans une nouvelle autorité administrative dénommée « ARCOM ») contre le libre partage des œuvres audiovisuelles en lui donnant différents pouvoirs pour bloquer encore plus rapidement qu’avant un site internet qui lui paraît illégal (on en parlait ici).


2022
24 janvier 2022 : promulgation de la loi « responsabilité pénale et sécurité intérieure » qui, malgré les multiples censures du Conseil d’État, de la CNIL et du Conseil constitutionnel, autorise notamment la police nationale à déployer sur le territoire des drones de surveillance. La loi vient également valider la vidéosurveillance en cellule de garde-à-vue et les caméras embarquées sur les véhicules de police.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Pendant, ce temps là,

BILAN DE MACRON EN FRANCE ( premier quinquennat )
Son mandat en quelques phrases (merci au khey qui a posté ce pavé):

• La triple baisse des APL
• La hausse de la CSG pour une partie des retraités
• Donne de l'argent a des célébrités comme Rihanna
• La transformation de l'ISF – les riches investissent 70 % de moins dans les PME depuis – ainsi que de la dernière tranche de la taxe sur les salaires pour les associations
• La baisse des impôts des multinationales
• Les tensions avec l'armée et les collectivités territoriales
• L'annulation de 300 millions d'euros de dotations à ces mêmes collectivités en 2017
• La baisse considérable du budget alloué aux contrats aidés
• Le seuil de consentement à une relation se**elle fixé à 15 ans
• La suppression du suivi des salariés exposés aux produits chimiques
• L’adoption du CETA par l'Assemblée nationale
• L’accord UE-Mercosur relancé en dépit des promesses de Macron
• La redevance TV probablement étendue aux autres écrans (PC, tablettes, portables, etc.)
• Le démantèlement du code du travail
• La vente de la branche Énergie d'Alstom
• L'ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques
• La privatisation des entreprises publiques telle la FDJ (malgré la désapprobation de la Cour des comptes) ADP ou EDF, la concentration des pouvoirs
• Les dysfonctionnements à l'assemblée
• Le gel du point d’indice et rétablissement du jour de carence pour les fonctionnaires
• Le gel du taux d’intérêt du livret A
• La suppression de la prime d'activité pour près de 68 000 personnes handicapées et des cotisations salariales maladie et chômage
• L'économie de 3,4 milliards d'euros à prévoir sur l'assurance chômage
• La réforme des retraites
• La coupe budgétaire un peu partout (ex : près d'1 milliard en moins pour les hôpitaux hors covid)
• La baisse du budget national du logement (hormis en 2021)
• Le budget pour l'hébergement d'urgence diminué de 57 millions d'euros
• La France qui compte 500 000 pauvres de plus en 2018 (9,3 millions au total, plus de 10 millions en 2020)
• La suppression de l'Observatoire de la pauvreté
• L'Élysée qui s'immisce dans le processus de nomination du Samu social
• La baisse drastique des logements accessibles aux personnes handicapés
• La privatisation des HLM
• Les déplacements en vol à 350 000 euros ou pour une distance de 110 kilomètres
• Les malaises durant le « service national universel » coûtant près de 1,5 milliards d'euros par an
• La limitation de vitesse baissée à 80km/h
• La fermeture de sites internet soi disant diffuseurs de « fake news »
• La loi Avia contre la « cyberhaine » remettant en cause la liberté d'expression
• La loi sur le secret des affaires
• La loi asile et immigration
• La suppression partielle de l'exit flat
• Les congrès de Versailles à 270.000 €
• Le service de vaisselle à 500 000 euros
• Les dépenses de l'Assemblée qui ont explosé
• La promesse non tenue de Castaner sur l'abolition des privilèges des ex-ministres de l'Intérieur
• Les avantages princiers et dîners fastueux aux frais du contribuable de Rugy
• La directrice de cabinet de ce dernier qui garde un HLM pendant 12 ans
• Les reculs sur la loi hydrocarbures et le glyphosate
• L'accord avec Total de raser des forêts tropicales dans le cadre du projet « Montagne d'Or »
• La fermeture de l'usine d'hydroliennes à Cherbourg
• L'abandon de l'objectif de 20 % de produits bio dans les cantines
• La suppression des aides au maintien de l'agriculture bio
• L’interdiction de la vente de semences paysannes
• L'autorisation de la chasse de 18 000 tourterelles des bois
• La validation par le Conseil d'État de la pratique de la chasse des oiseaux à la glu (suspendu un an)
• La répression de manifestants écologistes et des pompiers
• La lobbyiste Catherine Tissot-Colle au cœur de la convention pour le climat
• La gestion catastrophique de l'incendie de l'usine de Rouen
• La loi « anti-casseurs »
• 9,1 milliards d'euros de vente d'armes en 2018 dont certaines ont été utilisés contre des civils au Yémen
• La commande pour 22 millions d’euros de grenades lacrymogènes
• La disparition des trains primeurs
• La commande de 40 000 grenades de désencerclement
• Les milliers de manifestants blessés
• L'expérimentation puis le déploiement progressif de la reconnaissance faciale
• La hausse du coût des études pour les étudiants non européens
• Les lycéens laissés sur le carreau à cause du système Parcoursup
• La réforme du lycée
• La loi sur l'école de la confiance
• La fermeture de 400 écoles malgré la promesse de Macron
• Le musellement des profs opposés à la loi Blanquer
• La loi alimentation réduisant le pouvoir d'achat des ménages
• La hausse de l'électricité pour sauver des opérateurs privés
• Le logiciel RH de l'éducation nationale abandonné après avoir englouti 320 millions d'euros
• La réforme des retraites qui oblige à travailler plus pour toucher moins
• Les dérapages verbaux contre "ceux qui ne sont rien" et "fainéants" (voir en bas)
• Le départ de nombreux conseillers et membres du gouvernement
• Une quarantaine de députés LREM qui ont quitté la majorité
• Un tiers des députés LREM ont déroché (cent étaient prêts à publier une tribune contre Macron)
• La députée LREM convoquée pour avoir critiqué Emmanuel Macron
• L'astrofurting et la radicalisation des macronistes sur les réseaux sociaux
• L'arnaque du grand débat
• L'hommage à Pétain
• La défiance des Français envers Castaner (7 sur 10 le trouvent ni rassurant ni compétent) en matière de lutte contre le terrorisme
• Le décès de Steve Maia Caniço suite à une intervention policière disproportionnée
• Le décès de Zineb Redouane
• Les gilets jaunes
• 7 milliards d’euros pour Air France, sans contrepartie environnementale ou sociale
• Affaire Legay
• Affaire Benalla et ses multiples rebondissements
• Affaire El Guerrab
• Affaire Avia
• Affaire Schiappou
• Affaire Nyssen
• Affaire Kohler et ses rebondissements
• Affaire Darmanin
• Affaire Le Maire
• Affaire Philippe
• Affaire Leclabart
• Affaire Son Forget
• Affaire Laabid
• Affaire Flessel
• Affaire Navarro
• Affaire Melchior
• Affaire Ferrand
• Affaire Bridey
• Affaire Solère
• Affaire Josso
• Affaire Breton
• Affaire Brugnera
• Affaire Ouarouss
• Affaire Delevoye
• Affaire Pietraszewski
• Affaire Pénicaud
• Affaire Buzyn
• Affaire Griveaux
• Affaire Dussopt
• Affaire Djebbari
• Affaire Borne
• Affaire Bennari
• Affaire Platini
• Affaire de l'hôpital de la Pitié-Salpetrière
• Affaire Chalençon avec les ministres impliqués (Attal et Moretti)
Ce manuscrit de l enculerie bordel
:Crie:
merci khey je le screenshot
:gg:
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
:Clint_tir_2:
il y a 2 ans
Mais oui, c'était contre De Gaulle le dictateur contre lequel il fallait manifester en 1968.
Bordel ces enfants gâtés.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Ce manuscrit de l enculerie bordel
:Crie:
merci khey je le screenshot
:gg:
Et encore il faudra que j'en trouve un pour Hollande ou Sarkozy. Parce qu'avec eux, il y en a des trucs à dire également.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Et encore il faudra que j'en trouve un pour Hollande ou Sarkozy. Parce qu'avec eux, il y en a des trucs à dire également.
Sur Giscard Destin surtout le proto-macron avant l heure
:risibo:
et Miterrand le cagoulard
:journal:
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
:Clint_tir_2:
il y a 2 ans-PEMT
Le nombre d'estropiés qu'il va y avoir si ça arrive
il y a 2 ans-PEMT
Sur Giscard Destin surtout le proto-macron avant l heure
:risibo:
et Miterrand le cagoulard
:journal:
Mitterrand.

Le mec qui a un passé encore plus d'extrême droite que Jean marie Le Pen lui même. Mais malgré cela, c'est sous Mitterrand qu'SOS Racisme, piloté par le PS dans le but de diaboliser le FN, a été créée ahi.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Sur Giscard Destin surtout le proto-macron avant l heure
:risibo:
et Miterrand le cagoulard
:journal:
Le seul en dehors de De Gaulle qui était un bon président c'était Pompidou en vrai. Malgré la connerie de la loi Pompidou Giscard ou Pompidou Rothschild.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Le nombre d'estropiés qu'il va y avoir si ça arrive
Comme d'hab, une génération sacrifiée en perspective. Et plus d'un siècle après 14 18. Il faut croire que l'histoire est un éternel recommencement.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Pendant, ce temps là,

BILAN DE MACRON EN FRANCE ( premier quinquennat )
Son mandat en quelques phrases (merci au khey qui a posté ce pavé):

• La triple baisse des APL
• La hausse de la CSG pour une partie des retraités
• Donne de l'argent a des célébrités comme Rihanna
• La transformation de l'ISF – les riches investissent 70 % de moins dans les PME depuis – ainsi que de la dernière tranche de la taxe sur les salaires pour les associations
• La baisse des impôts des multinationales
• Les tensions avec l'armée et les collectivités territoriales
• L'annulation de 300 millions d'euros de dotations à ces mêmes collectivités en 2017
• La baisse considérable du budget alloué aux contrats aidés
• Le seuil de consentement à une relation se**elle fixé à 15 ans
• La suppression du suivi des salariés exposés aux produits chimiques
• L’adoption du CETA par l'Assemblée nationale
• L’accord UE-Mercosur relancé en dépit des promesses de Macron
• La redevance TV probablement étendue aux autres écrans (PC, tablettes, portables, etc.)
• Le démantèlement du code du travail
• La vente de la branche Énergie d'Alstom
• L'ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques
• La privatisation des entreprises publiques telle la FDJ (malgré la désapprobation de la Cour des comptes) ADP ou EDF, la concentration des pouvoirs
• Les dysfonctionnements à l'assemblée
• Le gel du point d’indice et rétablissement du jour de carence pour les fonctionnaires
• Le gel du taux d’intérêt du livret A
• La suppression de la prime d'activité pour près de 68 000 personnes handicapées et des cotisations salariales maladie et chômage
• L'économie de 3,4 milliards d'euros à prévoir sur l'assurance chômage
• La réforme des retraites
• La coupe budgétaire un peu partout (ex : près d'1 milliard en moins pour les hôpitaux hors covid)
• La baisse du budget national du logement (hormis en 2021)
• Le budget pour l'hébergement d'urgence diminué de 57 millions d'euros
• La France qui compte 500 000 pauvres de plus en 2018 (9,3 millions au total, plus de 10 millions en 2020)
• La suppression de l'Observatoire de la pauvreté
• L'Élysée qui s'immisce dans le processus de nomination du Samu social
• La baisse drastique des logements accessibles aux personnes handicapés
• La privatisation des HLM
• Les déplacements en vol à 350 000 euros ou pour une distance de 110 kilomètres
• Les malaises durant le « service national universel » coûtant près de 1,5 milliards d'euros par an
• La limitation de vitesse baissée à 80km/h
• La fermeture de sites internet soi disant diffuseurs de « fake news »
• La loi Avia contre la « cyberhaine » remettant en cause la liberté d'expression
• La loi sur le secret des affaires
• La loi asile et immigration
• La suppression partielle de l'exit flat
• Les congrès de Versailles à 270.000 €
• Le service de vaisselle à 500 000 euros
• Les dépenses de l'Assemblée qui ont explosé
• La promesse non tenue de Castaner sur l'abolition des privilèges des ex-ministres de l'Intérieur
• Les avantages princiers et dîners fastueux aux frais du contribuable de Rugy
• La directrice de cabinet de ce dernier qui garde un HLM pendant 12 ans
• Les reculs sur la loi hydrocarbures et le glyphosate
• L'accord avec Total de raser des forêts tropicales dans le cadre du projet « Montagne d'Or »
• La fermeture de l'usine d'hydroliennes à Cherbourg
• L'abandon de l'objectif de 20 % de produits bio dans les cantines
• La suppression des aides au maintien de l'agriculture bio
• L’interdiction de la vente de semences paysannes
• L'autorisation de la chasse de 18 000 tourterelles des bois
• La validation par le Conseil d'État de la pratique de la chasse des oiseaux à la glu (suspendu un an)
• La répression de manifestants écologistes et des pompiers
• La lobbyiste Catherine Tissot-Colle au cœur de la convention pour le climat
• La gestion catastrophique de l'incendie de l'usine de Rouen
• La loi « anti-casseurs »
• 9,1 milliards d'euros de vente d'armes en 2018 dont certaines ont été utilisés contre des civils au Yémen
• La commande pour 22 millions d’euros de grenades lacrymogènes
• La disparition des trains primeurs
• La commande de 40 000 grenades de désencerclement
• Les milliers de manifestants blessés
• L'expérimentation puis le déploiement progressif de la reconnaissance faciale
• La hausse du coût des études pour les étudiants non européens
• Les lycéens laissés sur le carreau à cause du système Parcoursup
• La réforme du lycée
• La loi sur l'école de la confiance
• La fermeture de 400 écoles malgré la promesse de Macron
• Le musellement des profs opposés à la loi Blanquer
• La loi alimentation réduisant le pouvoir d'achat des ménages
• La hausse de l'électricité pour sauver des opérateurs privés
• Le logiciel RH de l'éducation nationale abandonné après avoir englouti 320 millions d'euros
• La réforme des retraites qui oblige à travailler plus pour toucher moins
• Les dérapages verbaux contre "ceux qui ne sont rien" et "fainéants" (voir en bas)
• Le départ de nombreux conseillers et membres du gouvernement
• Une quarantaine de députés LREM qui ont quitté la majorité
• Un tiers des députés LREM ont déroché (cent étaient prêts à publier une tribune contre Macron)
• La députée LREM convoquée pour avoir critiqué Emmanuel Macron
• L'astrofurting et la radicalisation des macronistes sur les réseaux sociaux
• L'arnaque du grand débat
• L'hommage à Pétain
• La défiance des Français envers Castaner (7 sur 10 le trouvent ni rassurant ni compétent) en matière de lutte contre le terrorisme
• Le décès de Steve Maia Caniço suite à une intervention policière disproportionnée
• Le décès de Zineb Redouane
• Les gilets jaunes
• 7 milliards d’euros pour Air France, sans contrepartie environnementale ou sociale
• Affaire Legay
• Affaire Benalla et ses multiples rebondissements
• Affaire El Guerrab
• Affaire Avia
• Affaire Schiappou
• Affaire Nyssen
• Affaire Kohler et ses rebondissements
• Affaire Darmanin
• Affaire Le Maire
• Affaire Philippe
• Affaire Leclabart
• Affaire Son Forget
• Affaire Laabid
• Affaire Flessel
• Affaire Navarro
• Affaire Melchior
• Affaire Ferrand
• Affaire Bridey
• Affaire Solère
• Affaire Josso
• Affaire Breton
• Affaire Brugnera
• Affaire Ouarouss
• Affaire Delevoye
• Affaire Pietraszewski
• Affaire Pénicaud
• Affaire Buzyn
• Affaire Griveaux
• Affaire Dussopt
• Affaire Djebbari
• Affaire Borne
• Affaire Bennari
• Affaire Platini
• Affaire de l'hôpital de la Pitié-Salpetrière
• Affaire Chalençon avec les ministres impliqués (Attal et Moretti)
il a été placé par le cartel bancaire pour ça... Ca été dit par Assélineau, Berruyer, le think tank econoclastes avant 2020 si l'europe fédérale ne se fait pas avant 2025, l'Ue s'effondre, la monnaie euro tient encore artificiellement par les politiques ... donc on voit bien où ils nous emmènent
:zizou:
il y a 2 ans
Mitterrand.

Le mec qui a un passé encore plus d'extrême droite que Jean marie Le Pen lui même. Mais malgré cela, c'est sous Mitterrand qu'SOS Racisme, piloté par le PS dans le but de diaboliser le FN, a été créée ahi.
La fraude qui a passer 20 ans a boire des kir
:jesus_issou:
mais il a abolie la peine de mort donc ca va il est de gauche
:risi_zoom:
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
:Clint_tir_2:
il y a 2 ans
La fraude qui a passer 20 ans a boire des kir
:jesus_issou:
mais il a abolie la peine de mort donc ca va il est de gauche
:risi_zoom:
De gauche pendant seulement 1 an avant le tournant de la rigueur de fin 1982 début 1983 ahi.


Dire que Mélenchon voit Mitterrand comme un maitre à penser. Entre ça et Zemmour qui est proche de Sarkozy, elle est bien belle l'avenir de la France avec des oppositions aussi merdiques.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Le seul en dehors de De Gaulle qui était un bon président c'était Pompidou en vrai. Malgré la connerie de la loi Pompidou Giscard ou Pompidou Rothschild.
Un allié du général qui savait qu il ne pourrait pas le dépasser en tant que président mais qui c est quand même demener + lui avoir apporté son aide pour fondé la fondation Anne De Gaulle
:triste:
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
:Clint_tir_2:
il y a 2 ans
Un allié du général qui savait qu il ne pourrait pas le dépasser en tant que président mais qui c est quand même demener + lui avoir apporté son aide pour fondé la fondation Anne De Gaulle
:triste:
L'époque où les puissances d'argent et les lobby n'avaient pas autant d'influence sur nos hommes d'Etat.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans