Tous les nationalistes blancs du monde entier soutiennent l'Ukraine

Comme je suis gentil, @Toxounet je vais quand même t'aider à faire face à la situation qui arrive, gentlemen oblige.

Dans l'hypothèse d'une chute catastrophe et globale des monnaies, la solution est la même que celle qui permet d'échapper à l'inflation, à savoir thésauriser. Autrement dit, sortir son patrimoine du système bancaire et monétaire. Il y a deux valeurs vedettes pour ça, à savoir les métaux précieux et l'immobilier. Le Bitcoin peut représenter une bonne solution pour cela. Enfin des biens ou des marchandises rares pourront servir de monnaie d'échanges.

Il y a des biens dont la valeur se renforce au fur et à mesure des années et qui ne sont soumis ni aux taux de change ni à l'inflation. Les livres anciens, les oeuvres d'art, les grands vins, ou même quasiment toutes les collections de timbre, de bijoux ou de voitures, voire de pièces peuvent faire l'affaire d'un investisseur qui cherche à mettre une partie de son argent en sécurité.
Après tu peux choisir de tout ignorer.
Mais la PSL économique en sera d'autant plus grande, au point où en cas de chutes des monnaies tu te retrouverais bien vite dans la rue à faire des post de rageux en te demandant pourquoi ne pas m'avoir écouter.

Il pourra toujours monnayer son trou de balle de blanc fier de l'être avec un migrant soudanais porte de la chapelle, pour gratter une place sous sa tente Quechua.

Je ne suis pas inquiet pour lui

La Chine le tiers monde?

Pour rappel, la Chine a pris conscience de l'importance primordiale de la loi, de l'ordre et de la stabilité sociale. Depuis le début, même jusqu'à présent, les dirigeants chinois pensent que la stabilité l'emporte sur tout. La Chine ne se disputera jamais inutilement avec qui que ce soit afin de se concentrer sur l'édification de la nation. Un érudit de la dynastie Ming a conseillé à son futur roi que pour être le vainqueur final, il devait fortifier vigoureusement sa défense, s'approvisionner énormément en nourriture et ne jamais se presser pour déclarer la suprématie. C'est pourquoi la Chine évite toujours la guerre et essaie de garder un profil bas et d'être amicale avec tous, y compris l'Inde.
L'ancien dirigeant suprême chinois, M. Deng Xiao Ping, a déploré le taux d'analphabétisme extrêmement élevé lorsqu'il est arrivé au pouvoir. Il a immédiatement décidé de restaurer l'examen d'entrée à l'université abandonné ainsi que l'enseignement de niveau inférieur en général. Il a finalement aidé à fournir la main-d'œuvre technique et le personnel pouvant être formé dont on avait tant besoin pour l'industrialisation et le développement. En revanche, l'Inde a mis l'accent sur l'éducation de haut niveau mais a quelque peu négligé l'éducation de niveau inférieur.

Faut vraiment pas connaître l'histoire et l'économie de la China pour affirmer ça.

Pour continuer avec la Chine, la Chine a nationalisé ses terres lorsque les communistes ont pris le pouvoir. De telle sorte qu'elle pouvait mettre en œuvre de nombreuses politiques nécessitant une utilisation modifiée des terres sans trop d'obstacles pour la construction de barrages et de trains à grande vitesse, etc. Mais sinon oui c'est le tiers monde.

Concernant le plan de 5 ans, la vision chinoise du développement ne vient pas spontanément. Ils sont méticuleusement planifiés, vigoureusement débattus et finalement soumis pour approbation et mise en œuvre en tant que leur plan national quinquennal au Congrès national du peuple, que l'Occident a comparé à un parlement d'approbation automatique. Le gouvernement chinois s'appuie sur de nombreux plans quinquennaux bien élaborés pour le développement cohérent et clairvoyant du pays, ce que l'Inde et l'Occident multipartites n'ont pas. Il a éliminé les luttes intestines politiques et la chasse aux votes qui prenaient du temps pour l'élaboration de politiques futures. Certains universitaires et groupes de réflexion occidentaux étaient favorables à cela, mais se demandaient simplement comment l'adapter au système occidental.

Mais selon @Toxounet, c'est le tiers monde.

Me dis pas qu'on doit lui mettre aussi des photos de Hong-Kong, Shanghai ou Pékin ?

Il a pas compris qu'il a 20 ans de retard en fait

Pour ce qui est de la corruption, elle était endémique dans le passé en Chine, mais a été largement maîtrisée grâce à une application de la poigne de fer. D'un autre côté, la corruption indienne s'envenime toujours et il n'y a aucun effort significatif pour essayer de la réprimer. Cela enrichit ceux qui occupent des postes élevés et bas, sapant la confiance et des ressources précieuses tout en causant des dommages incalculables au développement du pays.

De plus, côté leadership, les dirigeants chinois sont promus à partir des rangs et des fichiers. Ils ne font pas soudainement irruption sur scène avec la responsabilité de l'édification de la nation sur leurs épaules comme Donald Trump. Ils sont évalués et promus depuis leur pratique en tant que leaders de base. Ils ont généralement des années d'expérience dans la réflexion et l'exécution des politiques chinoises. L'échelon supérieur constitue des leaders très capables. Les dirigeants provinciaux chinois ont reçu le pouvoir discrétionnaire et ont été personnellement responsables de la responsabilité d'apporter des investissements et du développement de l'économie. Ils ont donc tout fait avec détermination, car leur pouvoir personnel futur et leur promotion au sein du gouvernement dépendaient fortement de son succès. C'est une motivation suffisante pour provoquer un développement rapide et consciencieux de leurs provinces et de la Chine dans son ensemble. La même chose n'existe pas en Inde car elle pratique un système démocratique de politique multipartite, même si des progrès ont en vue.

Mais à ce qu'il parait c'est le tiers monde.

Pour ce qui est de la pauvreté, la Chine s'est montré très déterminée à éradiquer l'extrême pauvreté, soulageant ainsi des centaines de millions de personnes de difficultés financières. Le gouvernement central confie aux provinces les plus riches la responsabilité d'aider à réduire la pauvreté des sections les plus pauvres dans d'autres provinces qui ne sont pas sous leur propre administration. Le progrès et le succès de ces mesures ont été pris en considération comme critères de promotion pour les dirigeants des provinces assistantes. Ces pauvres gens, une fois sortis de leur bourbier, pourront en retour contribuer au bien-être économique du pays. C'est une stratégie gagnante sur le long terme. Mais à ce qu'il parait c'est le tiers monde.

Effectivement, les pays des BRICS qu'il semble imaginer n'existent clairement plus pour la plupart. Ne parlons même du cas particulier de la Chine ahi.

La Chine savait dès le départ l'importance primordiale de la construction d'infrastructures. Une de leur devise : "to get rich build road first". En effet, le transport rend possible et accélère le commerce, la création d'emplois et la transformation économique. La Chine a avancé périodiquement avec des billions de RMB dépensés pour la construction d'infrastructures, en particulier lorsque l'économie était dans le marasme. Ils ont construit un nombre insensé de routes dans les villages, de nombreuses autoroutes, des centrales électriques, des ponts, des barrages et des trains à grande vitesse, etc. L'infrastructure a facilité une expansion économique rapide en retour. L'Inde ne l'avait pas à la même échelle. Mais, peut-être que l'Inde pourrait s'en inspirer. Et ils le feront sans doute d'ici quelques années.

De plus, les entreprises locales ou étrangères apprécient la prévisibilité, la stabilité et la cohérence dans la mise en œuvre des politiques. La Chine l'a donc, les entreprises étrangères investies en Chine sont pratiquement enfermées. L'Inde est beaucoup moins prévisible, ce qui implique que de nombreuses grandes multinationales comme Walmart, GM, Mitsubishi, Fiat, etc. l'appellent un jour après avoir investi en Inde. En fait, un total de 2 783 entreprises étrangères ayant des sièges sociaux ou des filiales en Inde ont fermé leurs activités dans le pays entre 2014 et novembre 2021, a déclaré le ministre du Commerce et de l'Industrie Piyush Goyal au Parlement fin 2021.

Toujours le tiers monde?

Le tiers monde anti blanc, la Russie? Alors que près de 85% des Russes sont techniquement des blancs. Soit un proportion supérieure comparée à la France et à d'autres pays de l'Europe de l'Ouest.

Concernant l'Inde, l'occident tenu en laisse par les Etats-Unis est ennemi de la Chine, de la Russie et des pays musulmans. L'Inde est ennemie de la Chine et des pays musulmans donc logiquement l'occident suce l'Inde. Et dans le même temps, la Russie alliée de la Chine cherche aussi à se rapprocher de l'Inde

Du coup l'Inde n'a pratiquement rien à faire et n'a qu'à maintenir une position plus ou moins neutre pour continuer à bénéficier du soutien occidental et russe ainsi que des conflits entre les 2 côtés

L'occident espère remplacer la Chine avec l'Inde donc investit massivement en Inde

Tandis que la Chine et l'Inde savent tous les 2 qu'ils seront perdants s'ils rentrent en conflit direct donc yaurarien surtout avec la Russie à côté qui essaie jouer les médiateurs

Quant aux pays musulmans, ils sont faibles et menacent surtout l'occident, il n'y a que le Pakistan peu menaçant à lui seul qui ose confronter directement l'Inde et cette fois c'est la Chine qui joue les médiateurs

En parallèle, l'occident esclave des Etats-Unis est militairement déjà en guerre contre des pays musulmans et économiquement déjà en guerre avec la Chine

https://onche.org/topic/2[...]souleve-contre-proutine/4

Pour rappel le sel de jokerhate et qu'il se met à insulter tout le monde quand "le coup d'état wagner" à fait prout.

Il s'est même pris du goulag aya !

La privatisation ou la marchandisation des services publics tels que l’énergie, l’eau, les trains, la santé, l’éducation, les routes et les prisons a permis aux entreprises de mettre en place des péages, des loyers ou des dépôts de garantie, payables par le usagers par les gouvernements.
Au bout du compte, ces rentes ne sont ni plus ni moins que des revenus du capital, désignés d’une autre façon. Lorsque vous payez un prix artificiellement gonflé pour un billet de train, seule une partie du prix sert à rémunérer les opérateurs, les dépenses d’énergie, les salaires ou l’amortissement du matériel roulant. Le reste, c’est ce qu’on vous ponctionne.
Ceux qui possèdent et dirigent les services privatisés ou semi-privatisés du Royaume-Uni amassent des fortunes prodigieuses en investissant peu et en facturant cher. En Russie et en Inde, les oligarques ont acquis des actifs de l’État à des prix dérisoires. Au Mexique, Carlos Slim a obtenu le contrôle de presque tous les services de téléphonie, et il est rapidement devenu l’un des hommes les plus riches du monde.
La financiarisation, comme le note Andrew Sayer dans Why We Can’t Afford the Rich, a eu un impact similaire. « Comme la rente », soutient-il, « l’intérêt est… un revenu du capital obtenu sans aucun effort ». Comme les pauvres deviennent plus pauvres et les riches plus riches, les riches acquièrent de plus en plus le contrôle d’un autre outil essentiel : la monnaie. Le paiements d’intérêt, à une écrasante majorité, permet un transfert financier des pauvres vers les riches. Comme les prix de l’immobilier et le retrait de l’État pèsent sur les personnes endettées (exemple : le remplacement des bourses d’études par des prêts aux étudiants), les banques et leurs dirigeants s’enrichissent à leur détriment.
Selon Sayer, les quatre dernières décennies ont été marquées par un transfert de richesse non seulement des pauvres vers les riches, mais également parmi les riches, depuis ceux qui gagnent de l’argent en fournissant de nouveaux produits ou services vers ceux qui en gagnent en contrôlant les actifs existants, en récoltant des loyers, des intérêts ou des gains de capital. Le revenu acquis a été supplanté par les revenus du capital non acquis.

En bref, l'Inde et la Russie que l'auteur imagine est surtout la Russie et l'Inde des années 1990.

Pour rappel, la betterave, une seule de ses grosses tubercules fournit environ 140 kg de sucres. C'est de là que vient un quart du sucre consommé dans le monde et 92% de celui qui est consommé en France. Le sucre issu de la betterave est naturellement blanc mais nécessite un procédé d'une dizaine d'étapes avant d'arriver dans les supermarchés ou les rayons de l'agroalimentaire. Le sucre roux, lui, est plus répandu en dehors de France et vient principalement de l'exploitation de la canne à sucre. Il est naturellement roux car il contient des déchets organiques, quelques olilgo élements et des pigments. Nutritionnellement parlant il n'a aucune différence entre les deux. Ils sont en effet tous les deux composé à 99% de saccharose. Ce sont 9 pays qui contrôlent 98% de la production mondiale. Le Brésil et l'Inde sont les plus gros producteurs suivis par l'Union européenne. Derrière il y a la Chine, les Etats Unis, la Thailande, le Mexique. Avec 4,6 millions de tonnes extraits chaque année, la France arrive en 10ème position parmi les plus gros producteurs mondiaux de sucre. Principalement de sucre de betterave mais aussi de sucre de canne via les Antilles. D'après les données du FAO, les plus gros addicts su sucre sont en Asie. Au Moyen Orient et en Afrique du Nord, la consommation du sucre augmente de manière considérable également. Selon l'institut national de la consommation, 58% de la production mondiale finit dans l'agroalimentaire.

Le Brésil et l'Inde plus gros producteurs de sucre au monde, sachant que c'est le nouvel opium.

Mais @Toxounet nous rassure en disant que c'est le tiers monde alors que si tous ces pays décident d'arrêter de commercer avec nous, on est not ready pour la purge économique qu'on va se prendre.

Pour rappel, La Chine et le Brésil ont convenu qu'ils effectueront désormais des règlements entre eux en monnaies nationales. L'accord permettra aux deux pays d'effectuer directement des transactions commerciales et financières, en échangeant des yuans contre des reals, en contournant la devise américaine.

La Chine est le plus grand partenaire commercial du Brésil avec un commerce bilatéral record de 150,5 milliards de dollars en 2022. L'accord, qui fait suite à un accord préliminaire en janvier, a été annoncé après un forum d'affaires sino-brésilien à Pékin. Par exemple, le journal singapourien The Straits Times écrit à ce sujet.

"Cela devrait réduire les coûts, développer davantage le commerce bilatéral et faciliter les investissements", selon l'Agence brésilienne de promotion du commerce et des investissements ApexBrasil.

Les États-Unis ont déjà évalué le refus des deux plus grandes économies du monde du dollar. Par exemple, le sénateur républicain Mark Rubio a noté que des relations économiques se forment qui échappent au contrôle de Washington. « Ces pays forment une économie parallèle, complètement indépendante des États-Unis. Dans cinq ans, on ne pourra plus dicter ses conditions à quelqu'un en imposant des sanctions

Ouvrages que je conseille de lire : La démondialisation » de W. Bello. « L’Etat prédateur » de J. Galbreith. « L’illusion économique » et « Après l’empire » de E. Todd.