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JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Autre mensonge de la télé et des médias.
El famoso massacre à Maidan ordonné par le gouvernement pro russe.
La réalité :
Jusqu’à ce jour, la thèse officielle parle d’un massacre ordonné par le gouvernement pro-russe. Cette thèse apparaît rapidement très douteuse. Le premier à la contester est le ministre des Affaires étrangères estonien Urmas Paet. Après son retour d’un séjour à Kiev effectué seulement 5 jours après le massacre, Paet transmet à la commissaire des Affaires étrangères de l’UE Catherine Ashton les révélations d’une docteure ukrainienne qui a examiné les cadavres de la place Maïdan. La conversation téléphonique interceptée et diffusée par les médias est déconcertante.
« Ils ont tous commencé à tirer deux ou trois coups à chaque fois. Cela à duré de 15 à 20 minutes. Nous n’avions pas le choix. On nous a donné l’ordre de tirer tant sur la police que sur les manifestants sans faire de différence. »
« J’étais totalement stupéfait. » C’est ainsi que le Géorgien Alexander Revazishvilli se remémore la fusillade tragique du 24 février 2014, à Kiev quant un groupe de mystérieux tireurs ouvrirent le feu sur la foule et sur les policiers, massacrant plus de 80 personnes. Ce massacre a horrifié le monde et changé le destin de l’Ukraine en forçant la fuite du président pro-russe Viktor Ianoukovytch accusé d’avoir organisé la fusillade. Mais ce massacre a également changé le destin de l’Europe et de notre pays en déclenchant la crise menant aux sanctions contre la Russie de Poutine. Sanctions qui sont revenues en boomerang sur l’économie italienne.
Les confessions de Revazishvilli et des deux autres Géorgiens – recueillies par l’auteur du document « Ukraine, les vérités cachées » diffusée ce soir à 23h30 sur Matrix, Canal 5 – révèlent une toute autre vérité bien déconcertante. Celle d’un massacre ourdi et exécutée par la même opposition qui a accusé Ianoukovytch et ses alliés russes.
El famoso massacre à Maidan ordonné par le gouvernement pro russe.
La réalité :
Jusqu’à ce jour, la thèse officielle parle d’un massacre ordonné par le gouvernement pro-russe. Cette thèse apparaît rapidement très douteuse. Le premier à la contester est le ministre des Affaires étrangères estonien Urmas Paet. Après son retour d’un séjour à Kiev effectué seulement 5 jours après le massacre, Paet transmet à la commissaire des Affaires étrangères de l’UE Catherine Ashton les révélations d’une docteure ukrainienne qui a examiné les cadavres de la place Maïdan. La conversation téléphonique interceptée et diffusée par les médias est déconcertante.
« Ils ont tous commencé à tirer deux ou trois coups à chaque fois. Cela à duré de 15 à 20 minutes. Nous n’avions pas le choix. On nous a donné l’ordre de tirer tant sur la police que sur les manifestants sans faire de différence. »
« J’étais totalement stupéfait. » C’est ainsi que le Géorgien Alexander Revazishvilli se remémore la fusillade tragique du 24 février 2014, à Kiev quant un groupe de mystérieux tireurs ouvrirent le feu sur la foule et sur les policiers, massacrant plus de 80 personnes. Ce massacre a horrifié le monde et changé le destin de l’Ukraine en forçant la fuite du président pro-russe Viktor Ianoukovytch accusé d’avoir organisé la fusillade. Mais ce massacre a également changé le destin de l’Europe et de notre pays en déclenchant la crise menant aux sanctions contre la Russie de Poutine. Sanctions qui sont revenues en boomerang sur l’économie italienne.
Les confessions de Revazishvilli et des deux autres Géorgiens – recueillies par l’auteur du document « Ukraine, les vérités cachées » diffusée ce soir à 23h30 sur Matrix, Canal 5 – révèlent une toute autre vérité bien déconcertante. Celle d’un massacre ourdi et exécutée par la même opposition qui a accusé Ianoukovytch et ses alliés russes.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Revazishvilli et ses deux compagnons – rencontrés et interviewés dans le documentaire – sont un ancien membre des services de sécurité de l’ex-président géorgien Mikheil Saakachvili et deux ex-militants de son propre parti. Recrutés à Tbilisi par Mamuka Mamulashvili, le conseiller militaire de Saakashvili, ils sont chargés d’appuyer – avec d’autres volontaires géorgiens et lituaniens – les démonstrations en cours à Kiev, moyennant une prime de cinq mille dollars chacun.
Munis de faux passeports, ils arrivent en Ukraine pour coordonner les démonstrations et pour provoquer la police ukrainienne, initialement sans utiliser d’armes. Celles-ci entreront en scène le 18 février et seront distribuées entre les différents groupes de Géorgiens et de Lituaniens par Mamulashvili et par d’autres dirigeants de l’opposition ukrainienne. « Chaque sac contenait trois ou quatre armes, il y avait des pistolets Makarov, des fusils mitrailleurs AKM, des carabines ainsi que des paquets de cartouches ». Le lendemain Mamulashvili et les chefs des protestataires expliquent aux volontaires qu’ils devront affronter un assaut de la police dans le palais du conservatoire et dans l’hôtel Ukraïna.
Source :
https://www.ilgiornale.it[...]-kiev-ordini-1463409.html
Munis de faux passeports, ils arrivent en Ukraine pour coordonner les démonstrations et pour provoquer la police ukrainienne, initialement sans utiliser d’armes. Celles-ci entreront en scène le 18 février et seront distribuées entre les différents groupes de Géorgiens et de Lituaniens par Mamulashvili et par d’autres dirigeants de l’opposition ukrainienne. « Chaque sac contenait trois ou quatre armes, il y avait des pistolets Makarov, des fusils mitrailleurs AKM, des carabines ainsi que des paquets de cartouches ». Le lendemain Mamulashvili et les chefs des protestataires expliquent aux volontaires qu’ils devront affronter un assaut de la police dans le palais du conservatoire et dans l’hôtel Ukraïna.
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il y a 2 ans
JokerHate
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On leur explique que, dans ce cas, il faudra tirer sur la place et semer le chaos. Mais un des protagonistes reconnait avoir reçu une autre explication plus exhaustive. « Quand Mamulashvili est arrivé, je le lui ai également demandé. Si les choses se compliquent, alors nous devrons commencer à tirer » – m’a-t-il répondu. « Nous ne pouvons pas aller aux élections présidentielles anticipées. Mais sur qui devons-nous tirer ?, lui ai-je demandé. Il m’a répondu que le qui et le où n’avaient pas d’importance, il fallait tirer partout afin de créer le chaos ».
Cela n’avait pas d’importance si nous tirions sur un arbre, une barricade ou sur ceux qui lançaient des cocktails molotov. Un autre volontaire le confirme : ce qui comptait était de semer la confusion. « J’entendais des hurlements », confesse Alexander – il y avait de nombreux blessés. Ma seule préoccupation était de partir aussi vite que possible avant qu’ils ne me détectent. Autrement, ils m’auraient mis en pièces. Quelqu’un criait déjà qu’il y avait des tireurs d’élite. Quatre ans après les faits, Alexander et ses deux compagnons disent n’avoir pas encore reçu la moindre récompense, raison pour laquelle ils ont décidés de dire la vérité sur ceux qui les ont utilisés et abandonnés. « Sur le moment je n’ai pas réalisé. Je n’étais pas prêt. Puis j’ai compris. Nous avons été utilisés et piégés. »
https://www.les-crises.fr[...]-de-la-crise-ukrainienne/
Cela n’avait pas d’importance si nous tirions sur un arbre, une barricade ou sur ceux qui lançaient des cocktails molotov. Un autre volontaire le confirme : ce qui comptait était de semer la confusion. « J’entendais des hurlements », confesse Alexander – il y avait de nombreux blessés. Ma seule préoccupation était de partir aussi vite que possible avant qu’ils ne me détectent. Autrement, ils m’auraient mis en pièces. Quelqu’un criait déjà qu’il y avait des tireurs d’élite. Quatre ans après les faits, Alexander et ses deux compagnons disent n’avoir pas encore reçu la moindre récompense, raison pour laquelle ils ont décidés de dire la vérité sur ceux qui les ont utilisés et abandonnés. « Sur le moment je n’ai pas réalisé. Je n’étais pas prêt. Puis j’ai compris. Nous avons été utilisés et piégés. »
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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El famoso l'UE tient compte des intérêts des différentes parties.
La réalité :
Le 25 février 2013, José Manuel Barroso indiqua : « Un pays ne peut à la fois être membre d’une union douanière et dans une zone avancée de libre-échange avec l’Union européenne ».
Il y a 4 Ukraines exactement.
L’Est de l’Ukraine, industriel, russophone, ayant très longtemps appartenu à la Russie. On compte 30% de russophones en Ukraine ;
Le Centre, ukrainophone, qui a très longtemps appartenu à la Russie ;
L’Ouest, avec la Galicie, ukrainophone, mais ayant appartenu à l’Autriche-Hongrie jusqu’en 1920, puis à la Pologne entre 1920 et 1940 ;
La Crimée, qui n’était pas une région comme les autres, mais une « République autonome », rattachée par le bon plaisir de Khrouchtchev en 1954. Elle comprenait une vaste majorité de Russes, et la base militaire russe de Sébastopol.
En 1997, le PIB par habitant est tombé à 50% de celui de 1991, et il n’est remonté qu’à 80% de ce niveau… Du coup, le revenu par Ukrainien est toujours huit à dix fois inférieur à celui d’un Français, quatre fois inférieur à celui d’un Russe et de 40 % inférieur à un habitant de Namibie ou d’Irak… Avec un salaire minimal mensuel de cent euros, le salaire d’un Ukrainien est 30% inférieur à celui d’un Chinois
L'Ukraine avait choisi la voie de l'intégration de la CEI mais les oligarches ukrainiens ont fait pression sur Ianoukovitch pour qu'il penche vers un accord de libre échange avec l'UE.
Notamment un certain Porochenko, un oligarche devenu ministre du commerce et qui a monté un projet d'accord d'association avec l'UE. Cela aboutirait normalement à une baisse de 99% des droits de douane. A la fin de l'année 2013, le président ukrainien demande une aide de 20 milliards d'euros par an mais seuls 600 millions d'euros ont été finalement accordés. Et François Hollande refuse, déclarant : Nous ne pouvons pas payer l’Ukraine pour qu’elle rejoigne l’accord d’association. Non, nous ne paierons pas
https://www.telegraph.co.[...]an-veto-says-Barroso.html
La réalité :
Le 25 février 2013, José Manuel Barroso indiqua : « Un pays ne peut à la fois être membre d’une union douanière et dans une zone avancée de libre-échange avec l’Union européenne ».
Il y a 4 Ukraines exactement.
L’Est de l’Ukraine, industriel, russophone, ayant très longtemps appartenu à la Russie. On compte 30% de russophones en Ukraine ;
Le Centre, ukrainophone, qui a très longtemps appartenu à la Russie ;
L’Ouest, avec la Galicie, ukrainophone, mais ayant appartenu à l’Autriche-Hongrie jusqu’en 1920, puis à la Pologne entre 1920 et 1940 ;
La Crimée, qui n’était pas une région comme les autres, mais une « République autonome », rattachée par le bon plaisir de Khrouchtchev en 1954. Elle comprenait une vaste majorité de Russes, et la base militaire russe de Sébastopol.
En 1997, le PIB par habitant est tombé à 50% de celui de 1991, et il n’est remonté qu’à 80% de ce niveau… Du coup, le revenu par Ukrainien est toujours huit à dix fois inférieur à celui d’un Français, quatre fois inférieur à celui d’un Russe et de 40 % inférieur à un habitant de Namibie ou d’Irak… Avec un salaire minimal mensuel de cent euros, le salaire d’un Ukrainien est 30% inférieur à celui d’un Chinois
L'Ukraine avait choisi la voie de l'intégration de la CEI mais les oligarches ukrainiens ont fait pression sur Ianoukovitch pour qu'il penche vers un accord de libre échange avec l'UE.
Notamment un certain Porochenko, un oligarche devenu ministre du commerce et qui a monté un projet d'accord d'association avec l'UE. Cela aboutirait normalement à une baisse de 99% des droits de douane. A la fin de l'année 2013, le président ukrainien demande une aide de 20 milliards d'euros par an mais seuls 600 millions d'euros ont été finalement accordés. Et François Hollande refuse, déclarant : Nous ne pouvons pas payer l’Ukraine pour qu’elle rejoigne l’accord d’association. Non, nous ne paierons pas
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il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Finalement, le 21 novembre, le président ukrainien indique avoir fait le choix d'un accord trilatéral. Ce que Barroso, président de la commission européenne refuse. De plus, un accord UE Ukraine serait tous sauf favorable à la Russie, ni même à l'Ukraine.
https://www.bbc.com/news/world-europe-25108022
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il y a 2 ans
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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La manière de l'UE à ne pas tenir comptes des intérêts des différentes parties était assez ridicule. C'est comme si l’Espagne négociait un accord de libre circulation des personnes avec l’Algérie, que la France s’inquiétait, ayant elle-même une frontière avec l’Espagne et Schengen, et que l’Algérie critiquait alors la France en expliquant qu’un pays tiers n’a pas à s’ingérer dans un accord bilatéral algéroespagnol.
Le 17 décembre 2013, un accord est obtenu entre l'Ukraine et la Russie car cette dernière acceptant de payer 20 milliards par an.
Ca aurait du s'arrêter là puisque pour l'Ukraine, les avantages étaient clairs. Crimée conservée, faillite évitée, avantages sociaux des Ukrainiens préservés, risque de dislocation du pays évité Pour l'Europe, pareil puisque pas de concurrence de travailleurs payés à 100 euros par mois et pas besoin de soutenir financièrement l'Ukraine, cette charge revenant exclusivement à la Russie.
Pour ce qui est de Svoboda. :
Oleg Tiagnybok créa dans la capitale de la Galicie, Lviv, le Parti national social d’Ukraine, avec l’emblème de la division SS Das Reich. « L’intellectuel » du parti, spécialiste de la prise du pouvoir par les nazis et les fascistes, fonda un Centre de recherches politiques Joseph Goebbels. En 2004, pour plus de respectabilité, ils renommèrent le parti Svoboda – « Liberté », tout un programme Des clips réalisés à la gloire des Waffen SS.
En novembre, 48% des ukrainiens soutenaient le fait que leur président ne signe pas l'accord de libre échange avec l'UE. 35% désapprouvant.
Le 17 décembre 2013, un accord est obtenu entre l'Ukraine et la Russie car cette dernière acceptant de payer 20 milliards par an.
Ca aurait du s'arrêter là puisque pour l'Ukraine, les avantages étaient clairs. Crimée conservée, faillite évitée, avantages sociaux des Ukrainiens préservés, risque de dislocation du pays évité Pour l'Europe, pareil puisque pas de concurrence de travailleurs payés à 100 euros par mois et pas besoin de soutenir financièrement l'Ukraine, cette charge revenant exclusivement à la Russie.
Pour ce qui est de Svoboda. :
Oleg Tiagnybok créa dans la capitale de la Galicie, Lviv, le Parti national social d’Ukraine, avec l’emblème de la division SS Das Reich. « L’intellectuel » du parti, spécialiste de la prise du pouvoir par les nazis et les fascistes, fonda un Centre de recherches politiques Joseph Goebbels. En 2004, pour plus de respectabilité, ils renommèrent le parti Svoboda – « Liberté », tout un programme Des clips réalisés à la gloire des Waffen SS.
En novembre, 48% des ukrainiens soutenaient le fait que leur président ne signe pas l'accord de libre échange avec l'UE. 35% désapprouvant.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
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2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Une conversation de Victoria Nulland a montré qu'elle était en train de choisir le futur gouvernement de l'Ukraine avec
Cet enregistrement audio révèle donc comment celle-ci a tenté, en coordination avec l’ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt, d’imposer au gouvernement ukrainien les candidats de l’opposition de leur choix.
Geoffrey R. Pyatt : Je pense que nous jouons. La pièce Klitchko est évidemment l’électron le plus compliqué ici, en particulier le fait qu’on l’ait annoncé comme vice-Premier ministre. Vous avez vu mes notes sur la difficulté du mariage en ce moment, nous essayons d’obtenir une lecture très rapide pour savoir s’il fait partie de l’équipe. Mais je pense que votre raisonnement à son sujet, que vous aurez besoin de lui dire —je pense que c’est le prochain coup de téléphone que vous souhaitez organiser— est exactement celui que vous avez fait à Yats [surnom de Iatseniouk]. Je suis heureux que vous l’ayez mis sur la sellette (…) Il s’inscrit dans ce scénario. Et je suis très heureux qu’il a dit ce qu’il a dit.
Victoria Nuland : Bon. Je ne pense pas que Klitsch [surnom de Klitschko] devrait être dans le gouvernement. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire, je ne pense pas que ce soit une bonne idée .
Geoffrey R. Pyatt : Oui, je veux dire… je suppose… Pour ce qui est de sa non-participation au gouvernement, je serais d’avis de le laisser en dehors pour qu’il se consacre à ses obligations politiques. Je ne fais que réfléchir, pour trier les options pour avancer, nous voulons garder ensemble les démocrates modérés. Le problème sera avec Tyahnybok et ses gars. Et, vous savez, je suis sûr que cela fait partie du calcul de Ianoukovytch.
Victoria Nuland : Je pense Yats, c’est le gars. Il a de l’expérience économique et de l’expérience de gouverner. C’est le gars. Vous savez, ce qu’il a besoin, c’est que Klitsch et Tyahnybok restent à l’extérieur. Nous aurons besoin de leur parler quatre fois par semaine. Vous savez, je pense juste que si Klitchko entre, il va devoir travailler à ce niveau avec Iatseniouk, c’est juste que ça ne va pas marcher…
Geoffrey R. Pyatt : Ouais, ouais , je pense que c’est vrai. Ok , bon. Souhaitez-vous que nous organisions un appel avec lui comme prochaine étape ?
Victoria Nuland : Ma conception de l’appel dont vous parlez, c’est que les trois grands participent à leur propre réunion et que Yats leur propose dans ce contexte. Vous le savez, une conversation « trois plus un » ou « trois plus deux » si vous participez. C’est ainsi que vous le comprenez ?
Geoffrey R. Pyatt : Non, je pense que c’est ce qu’il a proposé, mais connaissant leur dynamique interne lorsque Klitchko était le chien dominant, il va prendre son temps avant de se pointer à une de leurs réunions et doit déjà être en train de parler à ses gars. Donc je pense que si vous vous adressiez directement à lui, cela aiderait à faire de la gestion de personnalités parmi les trois. Cela vous donne également une chance d’agir vite sur tout cela et nous permettra d’être derrière avant qu’ils s’assoient et qu’il explique pourquoi il n’est pas d’accord.
Victoria Nuland : Ok. Bon. Je suis heureuse. Pourquoi ne le contacteriez-vous pas pour voir si il veut parler avant ou après.
Geoffrey R. Pyatt : Ok, je vais le faire. Merci.
Victoria Nuland : Je ne me souviens pas si je vous ai dit ou si je n’en ai parlé qu’à Washington : quand j’ai parlé à Jeff Feltman ce matin, il avait un nouveau nom pour le type de l’ONU : Robert Serry. Je vous ai écrit à ce sujet ce matin.
Geoffrey R. Pyatt : Oui, j’ai vu cela.
Victoria Nuland : Ok. Il a obtenu aujourd’hui, à la fois de Serry et de Ban Ki-moon, que Serry vienne lundi ou mardi. Ce serait formidable, je pense, ça aiderait à souder ce projet et d’avoir l’aide de l’ONU pour le souder et, vous savez quoi, de baiser l’Union européenne.
Geoffrey R. Pyatt : Non, exactement. Et je pense que nous devons faire quelque chose pour le faire coller à nous, parce que vous pouvez être sûre que s’il commence à prendre de l’altitude, les Russes vont travailler dans les coulisses pour essayer de torpiller. Et encore une fois le fait que c’est sur la place publique en ce moment, dans ma tête, je suis encore à essayer de comprendre pourquoi Ianoukovytch (…) ça. En attendant, il y a actuellement une réunion d’un courant du Parti des Régions et je suis sûr qu’il y a un débat très animé dans ce groupe à ce sujet. Mais de toute façon , nous pourrions faire tomber la crêpe du bon côté si nous nous agissons rapidement. Alors laissez- moi travailler sur Klitschko et si vous pouvez juste conserver… Je pense que nous devrions juste chercher à trouver quelqu’un avec une personnalité internationale pour accoucher de notre projet. L’autre question concerne Ianoukovytch, mais nous en reparlerons demain, nous verrons comment les choses commencent à se mettre en place.
Victoria Nuland : Donc, sur ce point, Jeff, quand j’ai écrit la note, Sullivan m’a répondu d’une manière très formelle en disant que j’avais besoin de Biden et j’ai dit probablement demain pour les bravos et pour réussir à faire coller les détails. Donc, Biden est prêt.
Geoffrey R. Pyatt : Ok. Très bien, merci.
Cet enregistrement audio révèle donc comment celle-ci a tenté, en coordination avec l’ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt, d’imposer au gouvernement ukrainien les candidats de l’opposition de leur choix.
Geoffrey R. Pyatt : Je pense que nous jouons. La pièce Klitchko est évidemment l’électron le plus compliqué ici, en particulier le fait qu’on l’ait annoncé comme vice-Premier ministre. Vous avez vu mes notes sur la difficulté du mariage en ce moment, nous essayons d’obtenir une lecture très rapide pour savoir s’il fait partie de l’équipe. Mais je pense que votre raisonnement à son sujet, que vous aurez besoin de lui dire —je pense que c’est le prochain coup de téléphone que vous souhaitez organiser— est exactement celui que vous avez fait à Yats [surnom de Iatseniouk]. Je suis heureux que vous l’ayez mis sur la sellette (…) Il s’inscrit dans ce scénario. Et je suis très heureux qu’il a dit ce qu’il a dit.
Victoria Nuland : Bon. Je ne pense pas que Klitsch [surnom de Klitschko] devrait être dans le gouvernement. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire, je ne pense pas que ce soit une bonne idée .
Geoffrey R. Pyatt : Oui, je veux dire… je suppose… Pour ce qui est de sa non-participation au gouvernement, je serais d’avis de le laisser en dehors pour qu’il se consacre à ses obligations politiques. Je ne fais que réfléchir, pour trier les options pour avancer, nous voulons garder ensemble les démocrates modérés. Le problème sera avec Tyahnybok et ses gars. Et, vous savez, je suis sûr que cela fait partie du calcul de Ianoukovytch.
Victoria Nuland : Je pense Yats, c’est le gars. Il a de l’expérience économique et de l’expérience de gouverner. C’est le gars. Vous savez, ce qu’il a besoin, c’est que Klitsch et Tyahnybok restent à l’extérieur. Nous aurons besoin de leur parler quatre fois par semaine. Vous savez, je pense juste que si Klitchko entre, il va devoir travailler à ce niveau avec Iatseniouk, c’est juste que ça ne va pas marcher…
Geoffrey R. Pyatt : Ouais, ouais , je pense que c’est vrai. Ok , bon. Souhaitez-vous que nous organisions un appel avec lui comme prochaine étape ?
Victoria Nuland : Ma conception de l’appel dont vous parlez, c’est que les trois grands participent à leur propre réunion et que Yats leur propose dans ce contexte. Vous le savez, une conversation « trois plus un » ou « trois plus deux » si vous participez. C’est ainsi que vous le comprenez ?
Geoffrey R. Pyatt : Non, je pense que c’est ce qu’il a proposé, mais connaissant leur dynamique interne lorsque Klitchko était le chien dominant, il va prendre son temps avant de se pointer à une de leurs réunions et doit déjà être en train de parler à ses gars. Donc je pense que si vous vous adressiez directement à lui, cela aiderait à faire de la gestion de personnalités parmi les trois. Cela vous donne également une chance d’agir vite sur tout cela et nous permettra d’être derrière avant qu’ils s’assoient et qu’il explique pourquoi il n’est pas d’accord.
Victoria Nuland : Ok. Bon. Je suis heureuse. Pourquoi ne le contacteriez-vous pas pour voir si il veut parler avant ou après.
Geoffrey R. Pyatt : Ok, je vais le faire. Merci.
Victoria Nuland : Je ne me souviens pas si je vous ai dit ou si je n’en ai parlé qu’à Washington : quand j’ai parlé à Jeff Feltman ce matin, il avait un nouveau nom pour le type de l’ONU : Robert Serry. Je vous ai écrit à ce sujet ce matin.
Geoffrey R. Pyatt : Oui, j’ai vu cela.
Victoria Nuland : Ok. Il a obtenu aujourd’hui, à la fois de Serry et de Ban Ki-moon, que Serry vienne lundi ou mardi. Ce serait formidable, je pense, ça aiderait à souder ce projet et d’avoir l’aide de l’ONU pour le souder et, vous savez quoi, de baiser l’Union européenne.
Geoffrey R. Pyatt : Non, exactement. Et je pense que nous devons faire quelque chose pour le faire coller à nous, parce que vous pouvez être sûre que s’il commence à prendre de l’altitude, les Russes vont travailler dans les coulisses pour essayer de torpiller. Et encore une fois le fait que c’est sur la place publique en ce moment, dans ma tête, je suis encore à essayer de comprendre pourquoi Ianoukovytch (…) ça. En attendant, il y a actuellement une réunion d’un courant du Parti des Régions et je suis sûr qu’il y a un débat très animé dans ce groupe à ce sujet. Mais de toute façon , nous pourrions faire tomber la crêpe du bon côté si nous nous agissons rapidement. Alors laissez- moi travailler sur Klitschko et si vous pouvez juste conserver… Je pense que nous devrions juste chercher à trouver quelqu’un avec une personnalité internationale pour accoucher de notre projet. L’autre question concerne Ianoukovytch, mais nous en reparlerons demain, nous verrons comment les choses commencent à se mettre en place.
Victoria Nuland : Donc, sur ce point, Jeff, quand j’ai écrit la note, Sullivan m’a répondu d’une manière très formelle en disant que j’avais besoin de Biden et j’ai dit probablement demain pour les bravos et pour réussir à faire coller les détails. Donc, Biden est prêt.
Geoffrey R. Pyatt : Ok. Très bien, merci.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Source pour la non réponse des 28 de l'UE à Victoria Nuland pour son fuck europe :
https://www.lemonde.fr/eu[...]-nuland_4363898_3214.html
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il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Autre mensonge concernant el famoso la guerre en ukraine vient de nul part et Poutine a juste attaqué sans raison.
Aucune raison, aucun contexte circulez.
la réalité.
Le concept de l’extraterritorialité du droit américain est l’application du droit américain en-dehors des frontières des États-Unis, ce qui permet à des juges américains d’engager des poursuites judiciaires pour des faits qui ont eu lieu dans n’importe quel point dans le monde.
L’élément principal qui est utilisé comme prétexte aux engagements des poursuites est le fait de l’utilisation du dollar américain dans des transactions.
Ainsi, les mécanismes juridiques de l’extraterritorialité du droit américain procurent aux entreprises américaines un avantage concurrentiel majeur et totalement illégal, selon le droit international des affaires, mais bien légal selon le droit américain. Car, l’extraterritorialité du droit oblige les entreprises étrangères utilisant dans leurs transactions le dollar américain à se conformer aux standards américains, à se soumettre à la surveillance et au contrôle de l’état américain – ce qui rend possible l’espionnage « légalisé » de leur savoir-faire et de mener des actions d’entrave au développement des concurrents des entreprises américaines.
Dans les procédures de poursuite par le Département de Justice américain, les entreprises étrangères sont soumises à l’obligation de la régularisation de leur situation par l’acceptation d’une surveillance durant plusieurs années d’affilée, dans le cadre d’un « programme de conformité ».
En outre, en mettant artificiellement les entreprises étrangères, qui intéressent les groupes américains, en danger de paiement de très grosses amendes – on les mets en position de ne pas être hostile au rachat par les américains, afin de les éviter.
Afin d’asseoir sa domination mondiale, un nombre incalculable de poursuites est lancé sans aucun véritable fondement, dont le réel but est l’accès à l’information des concurrents et l’ingérence économique.
Aucune raison, aucun contexte circulez.
la réalité.
Le concept de l’extraterritorialité du droit américain est l’application du droit américain en-dehors des frontières des États-Unis, ce qui permet à des juges américains d’engager des poursuites judiciaires pour des faits qui ont eu lieu dans n’importe quel point dans le monde.
L’élément principal qui est utilisé comme prétexte aux engagements des poursuites est le fait de l’utilisation du dollar américain dans des transactions.
Ainsi, les mécanismes juridiques de l’extraterritorialité du droit américain procurent aux entreprises américaines un avantage concurrentiel majeur et totalement illégal, selon le droit international des affaires, mais bien légal selon le droit américain. Car, l’extraterritorialité du droit oblige les entreprises étrangères utilisant dans leurs transactions le dollar américain à se conformer aux standards américains, à se soumettre à la surveillance et au contrôle de l’état américain – ce qui rend possible l’espionnage « légalisé » de leur savoir-faire et de mener des actions d’entrave au développement des concurrents des entreprises américaines.
Dans les procédures de poursuite par le Département de Justice américain, les entreprises étrangères sont soumises à l’obligation de la régularisation de leur situation par l’acceptation d’une surveillance durant plusieurs années d’affilée, dans le cadre d’un « programme de conformité ».
En outre, en mettant artificiellement les entreprises étrangères, qui intéressent les groupes américains, en danger de paiement de très grosses amendes – on les mets en position de ne pas être hostile au rachat par les américains, afin de les éviter.
Afin d’asseoir sa domination mondiale, un nombre incalculable de poursuites est lancé sans aucun véritable fondement, dont le réel but est l’accès à l’information des concurrents et l’ingérence économique.
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il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Dans la comptabilité il existe un terme comme les créances douteuses. Les bons du Trésor américain sont des titres obligataires qui s’achètent et se remboursent en dollars américains et qui sont, factuellement, les créances douteuses. Pourquoi ?
Aujourd’hui, la dette de l’état américain a dépassé les 31.000 milliards de dollars et continue à s’accroître au quotidien à la hauteur de plusieurs milliards par jour. Ce chiffre dépasse largement celui du PIB annuel des États-Unis et fait de la quasi-globalité des bons émis par le Trésor américain les titres à la solvabilité et valeur plus que douteuses, car remboursables par la monnaie nationale, dont pour la majorité émise il n’y a rien derrière. Rien de tangible. Sa solvabilité n’est garantie que par l’émission monétaire et la confiance accordée au dollar américain qui se base non pas sur sa valeur réelle, mais sur la domination militaire du monde par les États-Unis.
Et la Russie avec l’Ukraine dans tout cela ?
Depuis l’arrivée de Poutine au pouvoir, la Fédération de Russie a commencé le processus progressif de séparation des bons du Trésor américain. Depuis le 2014, le début du conflit instauré par les États-Unis en Ukraine par le coup d’état, la Russie s’est débarrassée de la quasi-intégralité de la dette américaine. Si en 2010 la Russie faisait partie des dix plus gros détenteurs de bons du Trésor américain, avec plus de 176 milliards USD, en 2015 elle en a détenu qu’à la hauteur d’environ 90 milliards, soit sa masse totale pratiquement divisée par deux en 5 ans. Aujourd’hui, la Russie ne détient que 2 milliards de cette dette, ce qui est une quantité dérisoire.
En tandem avec la Russie, la Chine de même, se débarrasse progressivement de ce dangereux débiteur. Si en 2015 elle a détenu des bons outre-Atlantique pour plus de 1270 milliards USD, aujourd’hui, c’est à la hauteur inférieure de 970 milliards, soit une baisse de ¼ en 7 ans. Aujourd’hui, la quantité de dette américaine détenue par la Chine est au plus bas depuis 12 ans.
Parallèlement au débarras des bons du Trésor américain, la Fédération de Russie a déclenché le processus progressif de la libération du monde du système des pétrodollars.
Une spirale vicieuse est déclenchée : l’ébranlement du système des pétrodollars porterait un coup significatif au marché des bons du Trésor américain. En effet, la baisse de la demande du dollar sur la scène internationale enclenchera automatiquement une dévaluation de la monnaie et, de fait, la baisse de la demande de bons du Trésor qui mènera, mécaniquement, à une augmentation de leur taux d’intérêt, en rendant tout simplement impossible le financement de la dette publique américaine au niveau que l’on connaît aujourd’hui.
Les détracteurs du postulat que la chute du dollar contre bon nombre de devises causera de très importants dommages à l’économie américaine stipulent qu’un dollar plus faible mènera vers une augmentation significative des exportations américaines, fera profiter les fabricants américains et, de fait, diminuera le déficit commercial des États-Unis.
S’ils ont tout-à-fait raison sur l’effet bénéfique de la dévaluation du dollar vis-à-vis des exportations américaines – ils ont parfaitement tort sur l’effet final inévitablement dévastateur sur l’économie américaine, car ils ne prennent pas en compte l’élément majeur : les États-Unis sont un pays qui se trouve depuis des décennies sur la voie de la désindustrialisation et l’effet positif sur les exportations ne sera que relativement négligeable face au déficit commercial gigantesque. Le déficit qui a déjà atteint en 2021 le niveau record de l’histoire des États-Unis et qu’avec une dévaluation du dollar, et donc l’augmentation du coût des importations à tous les niveaux, aura un effet destructeur.
Ainsi, régler le compte des deux fautifs de la situation – de la Russie et de la Chine – est donc l’élément clé dans la stratégie de survie des États-Unis d’Amérique.
Avec l’effondrement, en 1971, des accords de Bretton Woods qui ont perduré depuis 1944, la dépendance mondiale vis-à-vis du dollar américain a commencé à diminuer très dangereusement pour l’économie des États-Unis et il leur fallait trouver un autre moyen pour augmenter la demande de la monnaie nationale.
Et c’est en 1979 que le « pétrodollar » est né dans le cadre de l’accord américano-saoudien de la coopération économique : « pétrole contre dollars ». Dans le cadre de cet accord l’Arabie Saoudite a pris des obligations de vendre son pétrole au reste du monde uniquement en dollar américain, ainsi que réinvestir ses réserves excédentaires en dollars dans des bons du Trésor américain et des entreprises américaines.
En contrepartie, les États-Unis ont pris des obligations militaires de garantir la sécurité de l’Arabie Saoudite.
Par la suite, cet accord « pétrole contre dollars » a été étendu à d’autres pays de l’OPEP et ceci est, d’ailleurs, sans aucune contrepartie de la part des américains, et a mené vers une émission exponentielle du billet vert. Progressivement, le dollar américain est devenu la monnaie d’échange de référence pour d’autres matières premières et, de ce fait, la monnaie de réserve mondiale – ce qui a procuré aux États-Unis une suprématie sans égale et des privilèges exorbitants.
Aujourd’hui, on observe une rupture stratégique entre les États-Unis et l’Arabie Saoudite qui est due à plusieurs facteurs majeurs. On peut citer une très importante réduction des importations de pétrole brut par les États-Unis, dont l’Arabie était le plus grand fournisseur ; le retrait du soutien américain à l’Arabie Saoudite dans la guerre du Yémen et l’intention du président américain Joe Biden de sauver l’accord nucléaire avec les mollahs chiites d’Iran – ennemi juré des saoudites sunnites.
Le Royaume a très mal vécu cette triple « trahison » des américains. Le grand désaccord entre les deux pays est arrivé au point culminant avec le déclenchement de la guerre en Ukraine, quand le pouvoir saoudite été mis devant un choix existentiel : continuer à évoluer dans le sillage des États-Unis ou rejoindre le camp de leurs adversaires majeurs qui sont la Chine et la Russie. C’est la seconde solution qui a été retenue.
Face à l’Amérique qui a négligé les intérêts stratégiques des saoudites, la Chine, tout au contraire, n’a fait que croître sa coopération avec l’Arabie Saoudite. Et cette relation bilatérale ne se limite pas qu’au secteur des énergies fossiles, mais s’élargit grandement dans le domaine des infrastructures, de commerce et d’investissement. Non seulement les importants investissements chinois en Arabie sont en croissance constante et la Chine rachète aujourd’hui près d’un quart des exportations mondiales de pétrole du Royaume, mais, en contrepartie, le Fonds Souverain du Royaume envisage de commencer à réaliser d’importants investissements dans des entreprises chinoises de secteurs stratégiques.
Parallèlement, un accord de coopération militaire entre le Royaume saoudien et la Fédération de Russie a été signé au mois d’août 2021.
De même qu’entre la Russie et la Chine, l’Arabie Saoudite a pris le chemin de la dédollarisation des échanges et des investissements dans ses relations avec les Chinois.
Les actions conjointes et synchronisées de la Russie, de la Chine et des pays de l’OPEP sur le chemin de la dédollarisation progressive ont pris de l’ampleur avec le déclenchement de la guerre en Ukraine qui a fait sauter les masques et auront, à terme, un effet d’avalanche quasi inévitable vis-à-vis de la domination monétaire américaine, car les banques centrales de nombreux pays sont incitées à repenser la logique de l’accumulation de réserves, ainsi que du bien-fondé d’investissement dans des obligations du Trésor américain.
Aujourd’hui, la dette de l’état américain a dépassé les 31.000 milliards de dollars et continue à s’accroître au quotidien à la hauteur de plusieurs milliards par jour. Ce chiffre dépasse largement celui du PIB annuel des États-Unis et fait de la quasi-globalité des bons émis par le Trésor américain les titres à la solvabilité et valeur plus que douteuses, car remboursables par la monnaie nationale, dont pour la majorité émise il n’y a rien derrière. Rien de tangible. Sa solvabilité n’est garantie que par l’émission monétaire et la confiance accordée au dollar américain qui se base non pas sur sa valeur réelle, mais sur la domination militaire du monde par les États-Unis.
Et la Russie avec l’Ukraine dans tout cela ?
Depuis l’arrivée de Poutine au pouvoir, la Fédération de Russie a commencé le processus progressif de séparation des bons du Trésor américain. Depuis le 2014, le début du conflit instauré par les États-Unis en Ukraine par le coup d’état, la Russie s’est débarrassée de la quasi-intégralité de la dette américaine. Si en 2010 la Russie faisait partie des dix plus gros détenteurs de bons du Trésor américain, avec plus de 176 milliards USD, en 2015 elle en a détenu qu’à la hauteur d’environ 90 milliards, soit sa masse totale pratiquement divisée par deux en 5 ans. Aujourd’hui, la Russie ne détient que 2 milliards de cette dette, ce qui est une quantité dérisoire.
En tandem avec la Russie, la Chine de même, se débarrasse progressivement de ce dangereux débiteur. Si en 2015 elle a détenu des bons outre-Atlantique pour plus de 1270 milliards USD, aujourd’hui, c’est à la hauteur inférieure de 970 milliards, soit une baisse de ¼ en 7 ans. Aujourd’hui, la quantité de dette américaine détenue par la Chine est au plus bas depuis 12 ans.
Parallèlement au débarras des bons du Trésor américain, la Fédération de Russie a déclenché le processus progressif de la libération du monde du système des pétrodollars.
Une spirale vicieuse est déclenchée : l’ébranlement du système des pétrodollars porterait un coup significatif au marché des bons du Trésor américain. En effet, la baisse de la demande du dollar sur la scène internationale enclenchera automatiquement une dévaluation de la monnaie et, de fait, la baisse de la demande de bons du Trésor qui mènera, mécaniquement, à une augmentation de leur taux d’intérêt, en rendant tout simplement impossible le financement de la dette publique américaine au niveau que l’on connaît aujourd’hui.
Les détracteurs du postulat que la chute du dollar contre bon nombre de devises causera de très importants dommages à l’économie américaine stipulent qu’un dollar plus faible mènera vers une augmentation significative des exportations américaines, fera profiter les fabricants américains et, de fait, diminuera le déficit commercial des États-Unis.
S’ils ont tout-à-fait raison sur l’effet bénéfique de la dévaluation du dollar vis-à-vis des exportations américaines – ils ont parfaitement tort sur l’effet final inévitablement dévastateur sur l’économie américaine, car ils ne prennent pas en compte l’élément majeur : les États-Unis sont un pays qui se trouve depuis des décennies sur la voie de la désindustrialisation et l’effet positif sur les exportations ne sera que relativement négligeable face au déficit commercial gigantesque. Le déficit qui a déjà atteint en 2021 le niveau record de l’histoire des États-Unis et qu’avec une dévaluation du dollar, et donc l’augmentation du coût des importations à tous les niveaux, aura un effet destructeur.
Ainsi, régler le compte des deux fautifs de la situation – de la Russie et de la Chine – est donc l’élément clé dans la stratégie de survie des États-Unis d’Amérique.
Avec l’effondrement, en 1971, des accords de Bretton Woods qui ont perduré depuis 1944, la dépendance mondiale vis-à-vis du dollar américain a commencé à diminuer très dangereusement pour l’économie des États-Unis et il leur fallait trouver un autre moyen pour augmenter la demande de la monnaie nationale.
Et c’est en 1979 que le « pétrodollar » est né dans le cadre de l’accord américano-saoudien de la coopération économique : « pétrole contre dollars ». Dans le cadre de cet accord l’Arabie Saoudite a pris des obligations de vendre son pétrole au reste du monde uniquement en dollar américain, ainsi que réinvestir ses réserves excédentaires en dollars dans des bons du Trésor américain et des entreprises américaines.
En contrepartie, les États-Unis ont pris des obligations militaires de garantir la sécurité de l’Arabie Saoudite.
Par la suite, cet accord « pétrole contre dollars » a été étendu à d’autres pays de l’OPEP et ceci est, d’ailleurs, sans aucune contrepartie de la part des américains, et a mené vers une émission exponentielle du billet vert. Progressivement, le dollar américain est devenu la monnaie d’échange de référence pour d’autres matières premières et, de ce fait, la monnaie de réserve mondiale – ce qui a procuré aux États-Unis une suprématie sans égale et des privilèges exorbitants.
Aujourd’hui, on observe une rupture stratégique entre les États-Unis et l’Arabie Saoudite qui est due à plusieurs facteurs majeurs. On peut citer une très importante réduction des importations de pétrole brut par les États-Unis, dont l’Arabie était le plus grand fournisseur ; le retrait du soutien américain à l’Arabie Saoudite dans la guerre du Yémen et l’intention du président américain Joe Biden de sauver l’accord nucléaire avec les mollahs chiites d’Iran – ennemi juré des saoudites sunnites.
Le Royaume a très mal vécu cette triple « trahison » des américains. Le grand désaccord entre les deux pays est arrivé au point culminant avec le déclenchement de la guerre en Ukraine, quand le pouvoir saoudite été mis devant un choix existentiel : continuer à évoluer dans le sillage des États-Unis ou rejoindre le camp de leurs adversaires majeurs qui sont la Chine et la Russie. C’est la seconde solution qui a été retenue.
Face à l’Amérique qui a négligé les intérêts stratégiques des saoudites, la Chine, tout au contraire, n’a fait que croître sa coopération avec l’Arabie Saoudite. Et cette relation bilatérale ne se limite pas qu’au secteur des énergies fossiles, mais s’élargit grandement dans le domaine des infrastructures, de commerce et d’investissement. Non seulement les importants investissements chinois en Arabie sont en croissance constante et la Chine rachète aujourd’hui près d’un quart des exportations mondiales de pétrole du Royaume, mais, en contrepartie, le Fonds Souverain du Royaume envisage de commencer à réaliser d’importants investissements dans des entreprises chinoises de secteurs stratégiques.
Parallèlement, un accord de coopération militaire entre le Royaume saoudien et la Fédération de Russie a été signé au mois d’août 2021.
De même qu’entre la Russie et la Chine, l’Arabie Saoudite a pris le chemin de la dédollarisation des échanges et des investissements dans ses relations avec les Chinois.
Les actions conjointes et synchronisées de la Russie, de la Chine et des pays de l’OPEP sur le chemin de la dédollarisation progressive ont pris de l’ampleur avec le déclenchement de la guerre en Ukraine qui a fait sauter les masques et auront, à terme, un effet d’avalanche quasi inévitable vis-à-vis de la domination monétaire américaine, car les banques centrales de nombreux pays sont incitées à repenser la logique de l’accumulation de réserves, ainsi que du bien-fondé d’investissement dans des obligations du Trésor américain.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
En parlant de la première guerre du dollar qui est la guerre d’Irak, il faut mettre de côté la fameuse fiole d’anthrax imaginaire que le secrétaire d’État américain Colin Powell a brandi à l’ONU, le 5 février 2003, afin de détruire le pays et de massacrer le peuple irakien, et de rappeler les faits. Les faits qui sont très éloignés de la fantaisie américaine.
Au mois d’octobre de l’an 2000, le président irakien Saddam Hussein a fait une déclaration qu’il ne souhaite plus vendre son pétrole contre les dollars américains, mais uniquement contre les euros.
Une telle déclaration valait la signature de son arrêt de mort.
Selon une étude poussée de American Civil Liberties Union et du Fond américain de l’indépendance du journalisme, qu’entre 2001 et 2003 le gouvernement américain a fait 935 déclarations mensongères concernant l’Irak, dont 260 directement par George W. Bush. Et parmi les 260 déclarations du mensonge prémédité du président américain, 232 ont été sur la présence en Irak d’armes de destruction massive inexistantes.
La fiole de Colin Powell, après 254 déclarations mensongères de ce dernier du même propos, n’a été que le point culminant d’une longue et laborieuse préparation de l’opinion publique nationale et internationale en vue d’un imminent déclenchement de l’extermination de la menace irakienne portée à la monnaie américaine.
Et, lorsqu’en février 2003, Saddam Hussein met sa « menace » à exécution en vendant plus de 3 milliards de barils de pétrole brut pour le montant de 26 milliards d’euros – un mois plus tard, les États-Unis procèdent à l’invasion et la destruction totale de l’Irak, dont on connaît les conséquences tragiques avec l’anéantissement de l’intégralité de l’infrastructure du pays et tant de morts parmi la population civile.
Même à ce jour, les États-Unis affirment fermement que cette guerre n’a strictement rien à avoir avec la volonté de l’Irak de s’affranchir du système des pétrodollars. Vu l’impunité judiciaire la plus totale des crimes contre l’humanité commis par les gouvernements successifs des États-Unis, ils ne se donnent même pas la peine de les couvrir par des récits ne serait-ce que peu crédibles aux yeux de la communauté internationale.
Les faits sont parfaitement connus et on pourrait s’en arrêter là. Mais, pour que le procédé de « défense » des intérêts américains, dont l’actuelle guerre en Ukraine soit encore plus claire, parlons également de l’avant-dernière – seconde grande guerre du dollar qui est la guerre de Libye.
Au mois d’octobre de l’an 2000, le président irakien Saddam Hussein a fait une déclaration qu’il ne souhaite plus vendre son pétrole contre les dollars américains, mais uniquement contre les euros.
Une telle déclaration valait la signature de son arrêt de mort.
Selon une étude poussée de American Civil Liberties Union et du Fond américain de l’indépendance du journalisme, qu’entre 2001 et 2003 le gouvernement américain a fait 935 déclarations mensongères concernant l’Irak, dont 260 directement par George W. Bush. Et parmi les 260 déclarations du mensonge prémédité du président américain, 232 ont été sur la présence en Irak d’armes de destruction massive inexistantes.
La fiole de Colin Powell, après 254 déclarations mensongères de ce dernier du même propos, n’a été que le point culminant d’une longue et laborieuse préparation de l’opinion publique nationale et internationale en vue d’un imminent déclenchement de l’extermination de la menace irakienne portée à la monnaie américaine.
Et, lorsqu’en février 2003, Saddam Hussein met sa « menace » à exécution en vendant plus de 3 milliards de barils de pétrole brut pour le montant de 26 milliards d’euros – un mois plus tard, les États-Unis procèdent à l’invasion et la destruction totale de l’Irak, dont on connaît les conséquences tragiques avec l’anéantissement de l’intégralité de l’infrastructure du pays et tant de morts parmi la population civile.
Même à ce jour, les États-Unis affirment fermement que cette guerre n’a strictement rien à avoir avec la volonté de l’Irak de s’affranchir du système des pétrodollars. Vu l’impunité judiciaire la plus totale des crimes contre l’humanité commis par les gouvernements successifs des États-Unis, ils ne se donnent même pas la peine de les couvrir par des récits ne serait-ce que peu crédibles aux yeux de la communauté internationale.
Les faits sont parfaitement connus et on pourrait s’en arrêter là. Mais, pour que le procédé de « défense » des intérêts américains, dont l’actuelle guerre en Ukraine soit encore plus claire, parlons également de l’avant-dernière – seconde grande guerre du dollar qui est la guerre de Libye.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Six années se sont écoulées depuis l’anéantissement de la menace irakienne – une nouvelle menace existentielle pour le dollar américain est apparu en la personne de celui qui a refusé de tirer la leçon du destin tragique de Saddam Hossein : Mouammar Kadafi.
En 2009, alors à la présidence de l’Union Africaine, Mouammar Kadafi propose aux États du continent africain une véritable révolution monétaire qui avait toutes les chances de réussir pour changer le destin du continent et qui été accueilli avec un grand enthousiasme : se soustraire de la domination du dollar américain en créant une union monétaire africaine dans laquelle les exportations du pétrole et autres ressources naturelles africaines soient payées principalement par le dinar-or – une nouvelle monnaie à créer et qui serait fondée sur les actifs financiers et les réserves d’or des fonds souverains du continent.
Suivant l’exemple des pays arabes de l’OPEP ayant leurs propres fonds souverains pétroliers, d’autres pays africains producteurs de pétrole, commençant par les géants pétroliers et gaziers l’Angola et le Nigeria, ont lancé des processus de la création de leurs propres fonds nationaux constitués des revenus tirés des exportations pétrolières. En tout, 28 nations productrices de pétrole et de gaz africains étaient parties prenantes du projet.
Kadhafi, pourtant, a commis une erreur stratégique de calcul qui a non seulement « enterré » le dinar-or, mais également lui a coûté la vie.
Il a sous-estimé le fait qu’il était totalement exclu que ce projet se réalise, d’une part, pour l’État américain et, d’autre part, pour « l’état profond » de Wall Street et de la City de Londres.
Car, non seulement il mettait en danger existentiel la monnaie américaine, mais, en plus, privait les banques new-yorkaises et de la City du brossage habituel de trillions de dollars provenant des exportations de matières premières du continent africain. Le Royaume-Uni était donc en parfaite symbiose avec les États-Unis dans sa volonté de destruction du pouvoir-auteur de la menace.
Dès la prise de décision par des « alliés » sur la neutralisation de la nouvelle menace – ils ne se soucièrent guère du drôle de timing pour être une coïncidence aux yeux des observateurs : plus de 40 ans d’inaction face à Kadhafi, arrivé au pouvoir en 1969, et, dès qu’il expose à l’Union Africaine le projet de cette révolution monétaire – une nouvelle guerre civile orchestrée par les États-Unis se déclenche de suite.
En ayant déjà dans le passif l’invasion criminelle et la destruction de l’Irak basées sur de grossiers mensonges prémédités que l’état américain a proliféré à l’ONU en 2003 via Colin Powell sur les soi-disant armes de destruction massive détenues par Saddam Hussein, les États-Unis ne pouvaient plus se permettre de réutiliser la même technique et ont été obligés de diversifier la mise en place de l’invasion, afin de ne pas se mettre, une fois de plus, en position de criminels de guerre.
Soit, au moment quand ce nouveau « printemps arabe » est arrivé au point d’être écrasé par le pouvoir de l’état libyen – les américains, en restant dans l’ombre, utilisent les pays satellites et vassaux – la France, le Royaume-Uni et le Liban – pour déterrer de l’oubli une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre la Libye datée de 1973 – vieille de plus de 35 ans – pour attaquer et détruire le pays.
La réalisation été faite en violant même leur propre résolution nouvellement adoptée : au lieu de l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye prévue par la résolution, ce sont les bombardements directs des objectifs militaires au sol qui ont eu lieu. Ces bombardements ont été totalement illicites et en totale violation du droit international, car ceux qui ont voté pour l’adaptation de la résolution l’ont fait étant rassurés par les auteurs que l’objectif de l’action n’est que l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne protégeant les civils et nullement la défaite de Kadhafi, ni la destruction de son armée.
C’est-à-dire que les États-Unis, sous la couverture de ses pays-satellites, ont directement menti à l’ONU, une fois de plus, afin d’avoir une moindre base légale pour déclencher les hostilités et de faire par la suite ce qui était prévu d’avance : anéantir la nouvelle menace au dollar américain.
Que ce sont les États-Unis et personne d’autre qui sont les réels auteurs de la destruction de la Libye en 2011 était un secret de polichinelle.
Et, à partir de la publication par Wikileaks de la correspondance du 2 avril 2011 entre l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et son conseiller Sid Blumenthal sur le sujet, le « secret » est sorti de l’ombre : Clinton était l’élément-clé de la conspiration occidentale contre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et, plus précisément, contre la nouvelle monnaie panafricaine – menace directe au dollar américain.
Blumenthal écrit à Clinton : « Selon les informations sensibles disponibles par cette source, le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent… Cet or a été accumulé avant le courant de rébellion et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar-or libyen ».
Comme je l’ai mentionné auparavant, aucune guerre n’a jamais une seule raison pour être lancée. Dans le cas de la guerre contre Kadhafi cela a été de même : une des raisons-clés complémentaires était l’intérêt personnel de Hillary Rodham Clinton de jouer le rôle de « dame de fer » dans le milieu politique américain, en vue des futures élections présidentielles. Ceci était comme dire à son parti politique : « regardez : j’ai été capable d’écraser tout un pays. Ne doutez donc pas que je suis bien en capacité de mener le combat électoral ». En avril 2015 elle annonce sa candidature à la présidence et, en juillet 2016, elle est officiellement désignée comme candidate du Parti démocrate.
Dans la seconde grande guerre du dollar ce n’est pas que l’avenir de la Libye, mais l’avenir de tout le continent africain qui était mis sur l’hôtel du sacrifice pour le bien-être de l’économie américaine.
Tous ceux qui essaient de mettre en danger le système monétaire américain – doivent disparaître, s’ils ne sont pas de taille à résister.
Néanmoins, si c’est un pays puissant qui est en cause et que l’on n’est pas en mesure de l’écraser directement, comme l’Irak et la Libye, ce sont des attaques indirectes multimodales d’envergure qui sont élaborées et lancées, restant toujours dans l’ombre, faisant passer l’agressé pour l’agresseur, dans le but d’affaiblir l’adversaire au point qu’il abandonne ses projets de « destitution » du dollar et soit obligé de se concentrer sur la résolution de problèmes nouvellement apparus.
Après la fin de la guerre en Ukraine – la troisième grande guerre du dollar américain, c’est inévitablement la quatrième grande guerre du dollar – la guerre de Chine – qui aura lieu et dont on ignore encore quelle forme précise elle prendra.
En 2009, alors à la présidence de l’Union Africaine, Mouammar Kadafi propose aux États du continent africain une véritable révolution monétaire qui avait toutes les chances de réussir pour changer le destin du continent et qui été accueilli avec un grand enthousiasme : se soustraire de la domination du dollar américain en créant une union monétaire africaine dans laquelle les exportations du pétrole et autres ressources naturelles africaines soient payées principalement par le dinar-or – une nouvelle monnaie à créer et qui serait fondée sur les actifs financiers et les réserves d’or des fonds souverains du continent.
Suivant l’exemple des pays arabes de l’OPEP ayant leurs propres fonds souverains pétroliers, d’autres pays africains producteurs de pétrole, commençant par les géants pétroliers et gaziers l’Angola et le Nigeria, ont lancé des processus de la création de leurs propres fonds nationaux constitués des revenus tirés des exportations pétrolières. En tout, 28 nations productrices de pétrole et de gaz africains étaient parties prenantes du projet.
Kadhafi, pourtant, a commis une erreur stratégique de calcul qui a non seulement « enterré » le dinar-or, mais également lui a coûté la vie.
Il a sous-estimé le fait qu’il était totalement exclu que ce projet se réalise, d’une part, pour l’État américain et, d’autre part, pour « l’état profond » de Wall Street et de la City de Londres.
Car, non seulement il mettait en danger existentiel la monnaie américaine, mais, en plus, privait les banques new-yorkaises et de la City du brossage habituel de trillions de dollars provenant des exportations de matières premières du continent africain. Le Royaume-Uni était donc en parfaite symbiose avec les États-Unis dans sa volonté de destruction du pouvoir-auteur de la menace.
Dès la prise de décision par des « alliés » sur la neutralisation de la nouvelle menace – ils ne se soucièrent guère du drôle de timing pour être une coïncidence aux yeux des observateurs : plus de 40 ans d’inaction face à Kadhafi, arrivé au pouvoir en 1969, et, dès qu’il expose à l’Union Africaine le projet de cette révolution monétaire – une nouvelle guerre civile orchestrée par les États-Unis se déclenche de suite.
En ayant déjà dans le passif l’invasion criminelle et la destruction de l’Irak basées sur de grossiers mensonges prémédités que l’état américain a proliféré à l’ONU en 2003 via Colin Powell sur les soi-disant armes de destruction massive détenues par Saddam Hussein, les États-Unis ne pouvaient plus se permettre de réutiliser la même technique et ont été obligés de diversifier la mise en place de l’invasion, afin de ne pas se mettre, une fois de plus, en position de criminels de guerre.
Soit, au moment quand ce nouveau « printemps arabe » est arrivé au point d’être écrasé par le pouvoir de l’état libyen – les américains, en restant dans l’ombre, utilisent les pays satellites et vassaux – la France, le Royaume-Uni et le Liban – pour déterrer de l’oubli une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre la Libye datée de 1973 – vieille de plus de 35 ans – pour attaquer et détruire le pays.
La réalisation été faite en violant même leur propre résolution nouvellement adoptée : au lieu de l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye prévue par la résolution, ce sont les bombardements directs des objectifs militaires au sol qui ont eu lieu. Ces bombardements ont été totalement illicites et en totale violation du droit international, car ceux qui ont voté pour l’adaptation de la résolution l’ont fait étant rassurés par les auteurs que l’objectif de l’action n’est que l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne protégeant les civils et nullement la défaite de Kadhafi, ni la destruction de son armée.
C’est-à-dire que les États-Unis, sous la couverture de ses pays-satellites, ont directement menti à l’ONU, une fois de plus, afin d’avoir une moindre base légale pour déclencher les hostilités et de faire par la suite ce qui était prévu d’avance : anéantir la nouvelle menace au dollar américain.
Que ce sont les États-Unis et personne d’autre qui sont les réels auteurs de la destruction de la Libye en 2011 était un secret de polichinelle.
Et, à partir de la publication par Wikileaks de la correspondance du 2 avril 2011 entre l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et son conseiller Sid Blumenthal sur le sujet, le « secret » est sorti de l’ombre : Clinton était l’élément-clé de la conspiration occidentale contre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et, plus précisément, contre la nouvelle monnaie panafricaine – menace directe au dollar américain.
Blumenthal écrit à Clinton : « Selon les informations sensibles disponibles par cette source, le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent… Cet or a été accumulé avant le courant de rébellion et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar-or libyen ».
Comme je l’ai mentionné auparavant, aucune guerre n’a jamais une seule raison pour être lancée. Dans le cas de la guerre contre Kadhafi cela a été de même : une des raisons-clés complémentaires était l’intérêt personnel de Hillary Rodham Clinton de jouer le rôle de « dame de fer » dans le milieu politique américain, en vue des futures élections présidentielles. Ceci était comme dire à son parti politique : « regardez : j’ai été capable d’écraser tout un pays. Ne doutez donc pas que je suis bien en capacité de mener le combat électoral ». En avril 2015 elle annonce sa candidature à la présidence et, en juillet 2016, elle est officiellement désignée comme candidate du Parti démocrate.
Dans la seconde grande guerre du dollar ce n’est pas que l’avenir de la Libye, mais l’avenir de tout le continent africain qui était mis sur l’hôtel du sacrifice pour le bien-être de l’économie américaine.
Tous ceux qui essaient de mettre en danger le système monétaire américain – doivent disparaître, s’ils ne sont pas de taille à résister.
Néanmoins, si c’est un pays puissant qui est en cause et que l’on n’est pas en mesure de l’écraser directement, comme l’Irak et la Libye, ce sont des attaques indirectes multimodales d’envergure qui sont élaborées et lancées, restant toujours dans l’ombre, faisant passer l’agressé pour l’agresseur, dans le but d’affaiblir l’adversaire au point qu’il abandonne ses projets de « destitution » du dollar et soit obligé de se concentrer sur la résolution de problèmes nouvellement apparus.
Après la fin de la guerre en Ukraine – la troisième grande guerre du dollar américain, c’est inévitablement la quatrième grande guerre du dollar – la guerre de Chine – qui aura lieu et dont on ignore encore quelle forme précise elle prendra.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Une conversation de Victoria Nulland a montré qu'elle était en train de choisir le futur gouvernement de l'Ukraine avec
Cet enregistrement audio révèle donc comment celle-ci a tenté, en coordination avec l’ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt, d’imposer au gouvernement ukrainien les candidats de l’opposition de leur choix.
Geoffrey R. Pyatt : Je pense que nous jouons. La pièce Klitchko est évidemment l’électron le plus compliqué ici, en particulier le fait qu’on l’ait annoncé comme vice-Premier ministre. Vous avez vu mes notes sur la difficulté du mariage en ce moment, nous essayons d’obtenir une lecture très rapide pour savoir s’il fait partie de l’équipe. Mais je pense que votre raisonnement à son sujet, que vous aurez besoin de lui dire —je pense que c’est le prochain coup de téléphone que vous souhaitez organiser— est exactement celui que vous avez fait à Yats [surnom de Iatseniouk]. Je suis heureux que vous l’ayez mis sur la sellette (…) Il s’inscrit dans ce scénario. Et je suis très heureux qu’il a dit ce qu’il a dit.
Victoria Nuland : Bon. Je ne pense pas que Klitsch [surnom de Klitschko] devrait être dans le gouvernement. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire, je ne pense pas que ce soit une bonne idée .
Geoffrey R. Pyatt : Oui, je veux dire… je suppose… Pour ce qui est de sa non-participation au gouvernement, je serais d’avis de le laisser en dehors pour qu’il se consacre à ses obligations politiques. Je ne fais que réfléchir, pour trier les options pour avancer, nous voulons garder ensemble les démocrates modérés. Le problème sera avec Tyahnybok et ses gars. Et, vous savez, je suis sûr que cela fait partie du calcul de Ianoukovytch.
Victoria Nuland : Je pense Yats, c’est le gars. Il a de l’expérience économique et de l’expérience de gouverner. C’est le gars. Vous savez, ce qu’il a besoin, c’est que Klitsch et Tyahnybok restent à l’extérieur. Nous aurons besoin de leur parler quatre fois par semaine. Vous savez, je pense juste que si Klitchko entre, il va devoir travailler à ce niveau avec Iatseniouk, c’est juste que ça ne va pas marcher…
Geoffrey R. Pyatt : Ouais, ouais , je pense que c’est vrai. Ok , bon. Souhaitez-vous que nous organisions un appel avec lui comme prochaine étape ?
Victoria Nuland : Ma conception de l’appel dont vous parlez, c’est que les trois grands participent à leur propre réunion et que Yats leur propose dans ce contexte. Vous le savez, une conversation « trois plus un » ou « trois plus deux » si vous participez. C’est ainsi que vous le comprenez ?
Geoffrey R. Pyatt : Non, je pense que c’est ce qu’il a proposé, mais connaissant leur dynamique interne lorsque Klitchko était le chien dominant, il va prendre son temps avant de se pointer à une de leurs réunions et doit déjà être en train de parler à ses gars. Donc je pense que si vous vous adressiez directement à lui, cela aiderait à faire de la gestion de personnalités parmi les trois. Cela vous donne également une chance d’agir vite sur tout cela et nous permettra d’être derrière avant qu’ils s’assoient et qu’il explique pourquoi il n’est pas d’accord.
Victoria Nuland : Ok. Bon. Je suis heureuse. Pourquoi ne le contacteriez-vous pas pour voir si il veut parler avant ou après.
Geoffrey R. Pyatt : Ok, je vais le faire. Merci.
Victoria Nuland : Je ne me souviens pas si je vous ai dit ou si je n’en ai parlé qu’à Washington : quand j’ai parlé à Jeff Feltman ce matin, il avait un nouveau nom pour le type de l’ONU : Robert Serry. Je vous ai écrit à ce sujet ce matin.
Geoffrey R. Pyatt : Oui, j’ai vu cela.
Victoria Nuland : Ok. Il a obtenu aujourd’hui, à la fois de Serry et de Ban Ki-moon, que Serry vienne lundi ou mardi. Ce serait formidable, je pense, ça aiderait à souder ce projet et d’avoir l’aide de l’ONU pour le souder et, vous savez quoi, de baiser l’Union européenne.
Geoffrey R. Pyatt : Non, exactement. Et je pense que nous devons faire quelque chose pour le faire coller à nous, parce que vous pouvez être sûre que s’il commence à prendre de l’altitude, les Russes vont travailler dans les coulisses pour essayer de torpiller. Et encore une fois le fait que c’est sur la place publique en ce moment, dans ma tête, je suis encore à essayer de comprendre pourquoi Ianoukovytch (…) ça. En attendant, il y a actuellement une réunion d’un courant du Parti des Régions et je suis sûr qu’il y a un débat très animé dans ce groupe à ce sujet. Mais de toute façon , nous pourrions faire tomber la crêpe du bon côté si nous nous agissons rapidement. Alors laissez- moi travailler sur Klitschko et si vous pouvez juste conserver… Je pense que nous devrions juste chercher à trouver quelqu’un avec une personnalité internationale pour accoucher de notre projet. L’autre question concerne Ianoukovytch, mais nous en reparlerons demain, nous verrons comment les choses commencent à se mettre en place.
Victoria Nuland : Donc, sur ce point, Jeff, quand j’ai écrit la note, Sullivan m’a répondu d’une manière très formelle en disant que j’avais besoin de Biden et j’ai dit probablement demain pour les bravos et pour réussir à faire coller les détails. Donc, Biden est prêt.
Geoffrey R. Pyatt : Ok. Très bien, merci.
Cet enregistrement audio révèle donc comment celle-ci a tenté, en coordination avec l’ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt, d’imposer au gouvernement ukrainien les candidats de l’opposition de leur choix.
Geoffrey R. Pyatt : Je pense que nous jouons. La pièce Klitchko est évidemment l’électron le plus compliqué ici, en particulier le fait qu’on l’ait annoncé comme vice-Premier ministre. Vous avez vu mes notes sur la difficulté du mariage en ce moment, nous essayons d’obtenir une lecture très rapide pour savoir s’il fait partie de l’équipe. Mais je pense que votre raisonnement à son sujet, que vous aurez besoin de lui dire —je pense que c’est le prochain coup de téléphone que vous souhaitez organiser— est exactement celui que vous avez fait à Yats [surnom de Iatseniouk]. Je suis heureux que vous l’ayez mis sur la sellette (…) Il s’inscrit dans ce scénario. Et je suis très heureux qu’il a dit ce qu’il a dit.
Victoria Nuland : Bon. Je ne pense pas que Klitsch [surnom de Klitschko] devrait être dans le gouvernement. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire, je ne pense pas que ce soit une bonne idée .
Geoffrey R. Pyatt : Oui, je veux dire… je suppose… Pour ce qui est de sa non-participation au gouvernement, je serais d’avis de le laisser en dehors pour qu’il se consacre à ses obligations politiques. Je ne fais que réfléchir, pour trier les options pour avancer, nous voulons garder ensemble les démocrates modérés. Le problème sera avec Tyahnybok et ses gars. Et, vous savez, je suis sûr que cela fait partie du calcul de Ianoukovytch.
Victoria Nuland : Je pense Yats, c’est le gars. Il a de l’expérience économique et de l’expérience de gouverner. C’est le gars. Vous savez, ce qu’il a besoin, c’est que Klitsch et Tyahnybok restent à l’extérieur. Nous aurons besoin de leur parler quatre fois par semaine. Vous savez, je pense juste que si Klitchko entre, il va devoir travailler à ce niveau avec Iatseniouk, c’est juste que ça ne va pas marcher…
Geoffrey R. Pyatt : Ouais, ouais , je pense que c’est vrai. Ok , bon. Souhaitez-vous que nous organisions un appel avec lui comme prochaine étape ?
Victoria Nuland : Ma conception de l’appel dont vous parlez, c’est que les trois grands participent à leur propre réunion et que Yats leur propose dans ce contexte. Vous le savez, une conversation « trois plus un » ou « trois plus deux » si vous participez. C’est ainsi que vous le comprenez ?
Geoffrey R. Pyatt : Non, je pense que c’est ce qu’il a proposé, mais connaissant leur dynamique interne lorsque Klitchko était le chien dominant, il va prendre son temps avant de se pointer à une de leurs réunions et doit déjà être en train de parler à ses gars. Donc je pense que si vous vous adressiez directement à lui, cela aiderait à faire de la gestion de personnalités parmi les trois. Cela vous donne également une chance d’agir vite sur tout cela et nous permettra d’être derrière avant qu’ils s’assoient et qu’il explique pourquoi il n’est pas d’accord.
Victoria Nuland : Ok. Bon. Je suis heureuse. Pourquoi ne le contacteriez-vous pas pour voir si il veut parler avant ou après.
Geoffrey R. Pyatt : Ok, je vais le faire. Merci.
Victoria Nuland : Je ne me souviens pas si je vous ai dit ou si je n’en ai parlé qu’à Washington : quand j’ai parlé à Jeff Feltman ce matin, il avait un nouveau nom pour le type de l’ONU : Robert Serry. Je vous ai écrit à ce sujet ce matin.
Geoffrey R. Pyatt : Oui, j’ai vu cela.
Victoria Nuland : Ok. Il a obtenu aujourd’hui, à la fois de Serry et de Ban Ki-moon, que Serry vienne lundi ou mardi. Ce serait formidable, je pense, ça aiderait à souder ce projet et d’avoir l’aide de l’ONU pour le souder et, vous savez quoi, de baiser l’Union européenne.
Geoffrey R. Pyatt : Non, exactement. Et je pense que nous devons faire quelque chose pour le faire coller à nous, parce que vous pouvez être sûre que s’il commence à prendre de l’altitude, les Russes vont travailler dans les coulisses pour essayer de torpiller. Et encore une fois le fait que c’est sur la place publique en ce moment, dans ma tête, je suis encore à essayer de comprendre pourquoi Ianoukovytch (…) ça. En attendant, il y a actuellement une réunion d’un courant du Parti des Régions et je suis sûr qu’il y a un débat très animé dans ce groupe à ce sujet. Mais de toute façon , nous pourrions faire tomber la crêpe du bon côté si nous nous agissons rapidement. Alors laissez- moi travailler sur Klitschko et si vous pouvez juste conserver… Je pense que nous devrions juste chercher à trouver quelqu’un avec une personnalité internationale pour accoucher de notre projet. L’autre question concerne Ianoukovytch, mais nous en reparlerons demain, nous verrons comment les choses commencent à se mettre en place.
Victoria Nuland : Donc, sur ce point, Jeff, quand j’ai écrit la note, Sullivan m’a répondu d’une manière très formelle en disant que j’avais besoin de Biden et j’ai dit probablement demain pour les bravos et pour réussir à faire coller les détails. Donc, Biden est prêt.
Geoffrey R. Pyatt : Ok. Très bien, merci.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Attendez laissez-moi réfléchir
Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
Source pour la non réponse des 28 de l'UE à Victoria Nuland pour son fuck europe :
https://www.lemonde.fr/eu[...]-nuland_4363898_3214.html
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il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
Alors pourquoi c'est pas le cas des droitards blancs Occidentaux ?
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Dimanche 9 mars 2014 :
Ukraine : 10.000 pro-russes dans la rue à Donetsk, Klitschko annule son meeting.
Près de 10.000 manifestants pro-russes se sont rassemblés dimanche à Donetsk, fief russophone de l’Est de l’Ukraine, signant une nouvelle démonstration de force et contraignant le leader pro-européen Vitali Klitschko à annuler un meeting.
La fronde n’est pas restée limitée à Donetsk puisqu’à Lougansk, autre grande ville de l’Est, les manifestants pro-russes ont occupé le siège de l’administration régionale et demandé au gouverneur de démissionner, ont rapporté des médias locaux.
https://sedo.com/search/d[...]mp;utm_campaign=offerpage
http://www.romandie.com/n[...]g_RP_090320142311-13-4549
Ukraine : 10.000 pro-russes dans la rue à Donetsk, Klitschko annule son meeting.
Près de 10.000 manifestants pro-russes se sont rassemblés dimanche à Donetsk, fief russophone de l’Est de l’Ukraine, signant une nouvelle démonstration de force et contraignant le leader pro-européen Vitali Klitschko à annuler un meeting.
La fronde n’est pas restée limitée à Donetsk puisqu’à Lougansk, autre grande ville de l’Est, les manifestants pro-russes ont occupé le siège de l’administration régionale et demandé au gouverneur de démissionner, ont rapporté des médias locaux.
http://www.romandie.com/n[...]g_RP_090320142311-13-4549
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il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
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Autre mensonge de la télé : les américains sous entendu les straussiens n'ont rien avoir avec le Maidan.
C'est juste que les Ukrainiens se sont soulevés tout seul.
La réalité :
photo publiée vendredi 28 février 2014 par le journaliste de l’Agence Télégraphique Juive (JTA, Jewish Telegraphic Agency) Canaan Lipshiz, envoyé spécial à Kiev, en Ukraine.
Source :
https://www.jta.org/2014/[...]e-streets-and-saves-lives
https://www.humanite.fr/m[...]-au-coeur-de-la-gu-558689
C'est juste que les Ukrainiens se sont soulevés tout seul.
La réalité :
photo publiée vendredi 28 février 2014 par le journaliste de l’Agence Télégraphique Juive (JTA, Jewish Telegraphic Agency) Canaan Lipshiz, envoyé spécial à Kiev, en Ukraine.
Source :
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JokerHate
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Ah oui c'est parce-que c'est des demi-bougnoules de 85 de QI qui croient qu'il suffit de faire l'inverse de ce que ça raconte à la télé pour avoir la ligne correcte, ça y'est je me rappelle
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Autre mensonge médiatique.
La Crimée n'a pas voulu être russe.
Ou alors l'annexion de la Crimée était injustifiée.
Réalité : En Crimée, 80% des militaires ukrainiens ont refusé l’ordre de rentrer au pays et ont choisi de s’engager dans l’armée russe [
Source :
https://www.rfi.fr/fr/eur[...]es-sein-pouvoir-ukrainien

La Crimée n'a pas voulu être russe.
Ou alors l'annexion de la Crimée était injustifiée.
Réalité : En Crimée, 80% des militaires ukrainiens ont refusé l’ordre de rentrer au pays et ont choisi de s’engager dans l’armée russe [
Source :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
JokerHate
2 ans
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Paz sur vous les pro-Poutine aux origines incompréhensibles même par un biologiste BAC +18 et du coup vous vous identifiez aux turco-mongols russes :cristano:
" C'est le général Mikhailo Koval qui est désormais chargé de restructurer l'armée ukrainienne et de lui redonner du coeur à l'ouvrage. Car l'humiliante défaite des forces ukrainiennes en Crimée est devenu le symbole de l'impuissance des nouvelles autorités de Kiev.
Son prédécesseur Igor Tenioukh, auquel il est reproché de ne pas avoir su gérer ni la résistance, ni le retrait des forces ukrainiennes, a dû reconnaitre que sur les 18 800 soldats stationnés en Crimée, 4 300 seulement ont choisi de rester dans l'armée de leur pays. "
le FMI conditionnait le versement d’un prêt à l’Ukraine à une privatisations d'entreprises publiques et à une diminution des dépenses sociales, notamment au niveau du subventionnement des prix du gaz.
Source pour les 35% d'Ukrainiens d'accord avec le libre échange UE Ukraine :
https://www.les-crises.fr[...]ponsabilite-ue-ukraine-2/
Son prédécesseur Igor Tenioukh, auquel il est reproché de ne pas avoir su gérer ni la résistance, ni le retrait des forces ukrainiennes, a dû reconnaitre que sur les 18 800 soldats stationnés en Crimée, 4 300 seulement ont choisi de rester dans l'armée de leur pays. "
le FMI conditionnait le versement d’un prêt à l’Ukraine à une privatisations d'entreprises publiques et à une diminution des dépenses sociales, notamment au niveau du subventionnement des prix du gaz.
Source pour les 35% d'Ukrainiens d'accord avec le libre échange UE Ukraine :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Rip l'auteur.
Et tu n'as pas fini de m'entendre.
Et tu n'as pas fini de m'entendre.
Mais je te lis pas donc vas-y perd ton temps le golem
il y a 2 ans