petite blague , petite babe

Une femme vient de regarder le journal télévisé. Elle dit à son mari :

- Ils ont dit qu'on recherchait un homme jeune, genre sportif, d'apparence respectable, qui n'hésite pas à poursuivre de ses assiduités les femmes qui rentrent très tard chez elles.

- Ca, c'est le genre de boulot qui m'intéresserait. Combien paient-ils ?

C'est le général des forces de l'ONU qui inspecte les rangs. Il s'approche du soldat russe qui est au garde à vous raide comme un piquet. Il prend sa Kalachnikov et lui met un grand coup dans le dos. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- Niet camarade général
- Pourquoi tu n'as pas mal ?
- Parce que les soldats russes ne craignent pas la douleur
Il s'approche alors de l'américain prend son colt et lui met un grand coup sur
la tête. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- No mon général
- Pourquoi tu n'as pas mal ?
- Parce que les soldats américains ne craignent pas la douleur
Il s'approche alors du français, prend son fusil à baïonnette et la lui plante dans le pied. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- Non mon général
- Pourquoi tu n'as pas mal ?
- Parce que je chausse du 39 et ces cons de l'intendance mon donné du 44

Ce sont des étudiants en médecine qui assistent à leur premier cours d'anatomie sur un vrai corps. Les étudiants se placent autour de la table et attendent que le médecin commence à parler. Le médecin lance la conversation en disant :
- "Pour être un bon médecin, il faut posséder deux qualités principales. La première : ne pas avoir le sens du dégoût."
À ce moment, le médecin enfonce son doigt dans l'anus du cadavre et suce son doigt. Les élèves un peu confus et désorientés le font à leur tour, dégoûtés. Après que chacun l'ait fait, le médecin poursuit :
- "La seconde qualité qu'il faut avoir pour exceller en médecine est le sens de l'observation. J'ai enfoncé mon index et sucer mon majeur..."

Ce sont trois bons amis qui discutent du cadeau qu'ils ont fait à leurs femmes respectives pour Noël :

-Moi, dit le premier, j'ai offert à ma femme une voiture. Elle fait, tenez-vous bien, le 0 à 100 en 3 secondes !

-Moi, dit le deuxième, je lui ai offert une voiture, mon Dieu... Elle fait le 0 à 120 en 2 secondes ! Et toi ?

-Moi, dit le dernier, je lui en ai offert une qui fait le 0 à 200 en moins d'1 seconde !

Les autres, soufflés, lui demandent :

-Mais, qu'est-ce c'est ?

-C'est une balance.

Père : Fils, tu es adopté.

Fils : Je le savais ! Je veux voir mes parents biologiques !!!

Père : Nous sommes tes parents biologiques. Prend tes affaires, tes nouveaux parents viennent te chercher dans 20 minutes.

Un homme arrive dans un hôtel et demande une chambre, le réceptionniste lui annonce qu’il n y a qu’un lit disponible dans une chambre double.
Il poursuit en lui disant:
-Le problème c’est que votre voisin de chambre ronfle a faire trembler tout l’hôtel.
L homme accepte et se rend à sa chambre , lorsqu’il y entre , son voisin endormi ronfle comme un pompier.
Il se déshabille, prend une douche, se parfume et avant de se coucher va vers le ronfleur, l’embrasse sur la joue et lui dit bonne nuit chéri.
Le lendemain matin le réceptionniste surpris demande à l’homme :
- Mais votre voisin n'a pas du tout ronfler cette nuit, on ne l’a pas du tout entendu.
L’homme explique alors :
- Une fois dans la chambre je me suis déshabillé,j'ai pris une douche, mis du parfum et avant de me coucher je suis aller vers le ronfleur , je l'ai embrasser sur la joue avant de lui dire" bonne nuit chéri".
-Et alors ?demande le réceptioniste.
-Et bien le ronfleur a passé le reste de la nuit sur une chaise à espionner tous mes faits et gestes jusqu’ au petit matin !

C'est un vieil homme qui va se confesser. Le curé entame la conversation :
- Allez-y mon fils. Confessez vos péchés...
- Eh bien voilà mon Père. Ce que j'ai à vous dire n'est pas joli joli... Pendant la guerre de 39-45 j'ai reçu la visite d'une jeune femme juive qui voulait échapper aux nazis. Alors, je l'ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n'ont jamais pu la trouver.
- Mais c'est très bien ça ! C'est même un acte de résistance. Ce n'est pas un péché et ça pourrait même vous valoir une médaille...
- Mais je n'ai pas fini, mon Père... À l'époque, j'étais jeune, plutôt viril et con si voyez ce que je veux dire.... En échange de cette cachette, elle devrait m'accorder ses faveurs...
Le curé réfléchit une minute puis reprend :
- Eh bien, les temps étaient vraiment difficiles et puis vous preniez vraiment un très gros risque en la cachant chez vous... Je suis sûr que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l'âme charitable plutôt que le simple profiteur d'une situation dramatique...
- Oh merci mon Père. C'est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une autre question ?
- Mais bien sûr, mon fils.
- Est-ce que je dois lui dire que la guerre est terminée ?

C'est un prêtre qui essaye de communiquer avec Dieu. Soudain il entend:

- Frère Jean, je t'écoutes.

Le prêtre demande alors:

- Dieu ? C'est toi ?

La voix répond:

- Oui mon fils.

Le prêtre a attendu ce moment depuis longtemps et il ne peut s'empêcher de lui poser quelques questions.

- Dieu, pour toi 1 million d'années c'est quoi ?

Dieu répond:

- Une minute.

Le prêtre demande ensuite:

- Dieu, pour toi 1 million d'euros c'est quoi ?

Dieu répond:

- 1 centime

Le prêtre se met alors à réfléchir, puis demande:

- Dieu, peux-tu me prêter 1 centime ?

Et Dieu répond:

- Dans une minute si tu veux.

Un homme est au chevet de sa femme qui va bientôt mourir...

-Chéri, dit la dame dans un souffle

-Chut ne parle pas , lui dit son mari

Mais la femme insiste :

-Chéri je doit avouer quelque chose ... il faut que je te dise ...

-Non, non, tu n'as rien à avouer, insiste son mari, ne te fatigue pas...

-Si, il FAUT que je t'avoue cette chose, sinon je ne pourrai pas mourir en paix ... Je , je , je t'ai tron ,je t'ai trompé

Le mari approche son visage de celui de sa femme et lui répond :

-Ne t'inquiète pas de cela. Je le savais sinon, pourquoi t'aurais-je empoisonnée ?