La RUSSIE fait CACA-CULOTTE

Heureusement que Maurice Lemoine était plus intelligent que les gens aussi pitoyables que toi sur le Venezuela.

Lorsqu'un putch patronat militaires de droite avait renversé le président Chavez en avril 2002, les médias soumis au néoconservatisme avaient je le rappellele coup d’État en inversant l’ordre des images. Des secteurs populaires tentant de défendre le palais présidentiel avec des armes de fortune ont été transformés par la propagande sans honte à des assassins qui tiraient sur la foule non armée. Facile à faire avec l'aide de l'inversion chronologique des images.
En réalité ceux qui étaient qualifiés d'assassins chavistes étaient des gens résistant à des sniopers putschistes

Si on passe son temps à lire les journaux relayant la propagande oligarchique, logique qu'on pense bêtement que Maduro, en bon successeur de Chavez serait un méchant dictateur cruel qui lancerait sa propre armée contre son propre peuple. La réalité moins favorable aux néoconservateurs et aux néolibéraux est qu'il existe une pression grandissante qui a été exercé par le renseignement américain sur Maduro et son gouvernement depuis la fin de l'ère Chavez. L'objectif est de récupérer dans son giron le Vénézuéla, premier producteur de pétrole en Amérique du Sud. La révolution orange qui s'est déroulé au Vénézuéla ressemble vraiment énormément aux événements du printemps arabe qui a eu lieu durant les anénes 2010 avec comme objectif la déstabilisation des pays jugés trop peu favorables aux intérêts des Etats Unis. Ou trop indépendants, si on veut.



Mais la révolution colorée de 2017 a échoué. Et le bolivarisme, la révolution bolivarienne est parvenue à rester.
Entre mai et juillet 2016 déjà, des troubles avaient eu lieu et durant cette période, la presse espagnole avaient fait de la soit disante dictature oppressante bolivarienne un des thèmes majeurs de la campagne électorale. De plus, l'agression de policier à Chacaito dans le Caracas avait été passé sous silence. Bizarrement, les troubles, on n'en a plus parlé ou presque en Espagne après l'élection.


Source : https://albaciudad.org/20[...]-las-elecciones-graficos/

Les médias ont bien sûr oublié de mentionné que Paola Rodríguez (22 ans), victime d’un coup de feu à San Cristobal, son assassin a été rapidement arrêté par les autorités et qu'il s'agissait d'un militant de l'opposition.
https://informe360.com/no[...]nato-paola-ramirez-gomez/

Faux cf l'historique, par contre qd tu te permets de m'insulter au milieu de tes pavés comme je l'ai découvert par hasard, puis de m'ignorer parce que ma réponse te gêne, bah ouais plus envie de te parler comme à un être humainvu qu'après tout tu te comportes comme le rouge que tu es. Bref poste tes pavés de merde si ça t'amuse, j'espère que t'apprendras à discuter aux gens normalement un jour. Irl tu fais ça, tu te prends une tarte. Ça te ferait du bien cela dit.

Brayan était l’aîné de cinq enfants et avant le 11 avril 2017 ses jours se passaient de manière normale : le matin il allait étudier et l’après-midi, au retour, sortait dans la rue pour aider sa mère à vendre des chips de babane à cuire, des haricots cuits et des pois cajuns.

Agneu gneu gneu Ji pas d'argument donc jy tinsulte de sal rouge de merde AGNEU GNEU GNEU AGNEU GNEU GNEU sale rouge de merde.

Ou ou ou ah ah ou ou ah ah

Un petit rappel concernant qui fout la merde en Amérique du Sud.


Les pays qui exportent des denrées alimentaires et des produits agricoles sont aujourd’hui dans une position très difficile. L’Équateur, la Colombie, le Brésil et l’Argentine sont parmi les plus touchés. Ces pays importent presque toutes les fournitures dont ils ont besoin pour la production agricole : engrais, produits agrochimiques et même semences dans certains cas. Les sanctions ont interrompu ces approvisionnements. Nous aurions pu éviter cette situation.

L’Amérique Latine a connu un âge d’or de développement et d’intégration à l’époque de dirigeants tels que Hugo Chavez, Rafael Correa, Evo Morales, Ignacio Lula da Silva et d’autres. Au cours de ces années, de nombreux travaux ont été consacrés à la question de savoir comment la région pouvait commencer à produire ses propres approvisionnements agricoles. Il s’agissait même d’un projet phare de l’UNASUR. L’objectif était de garantir la sécurité alimentaire face aux fluctuations des marchés internationaux. Il y avait également la proposition d’une banque à l’échelle de l’Amérique latine et d’une monnaie commune. Cela aurait pu aider l’économie de la région à survivre à la crise monétaire actuelle.

Or que se passe-t-il aujourd’hui ? Prenons le cas de l’Équateur : il existe deux sources principales de revenus dans les exportations. Il y a d'abord fort logiquement le pétrole, et bien entendu, la guerre en Ukraine représente une opportunité, via les hausses de prix, de croissance des revenus pour l’Équateur. Seulement voilà, le président conservateur Guillermo Lasso a promis au FMI de le payer au moyen des futures ventes de pétrole. Donc même si le prix du pétrole passe à 300 dollars, cela ne profitera aux citoyens ordinaires.
L'Equateur exporte également café, crevettes, fleurs, bananes. Et justement en parlant de fleurs, le marché principale pour le production de fleurs équatoriennes c'est la Russie. Mais en 2023, ces prodcuters ont connu une crise étant donné que les sanctions les avaient coupés de leurs clients. Or, il s'agit là d'une industrie importante pour l’Équateur, et ce n'est pas comme s'il n'y avait pas des privinces qui se consacraient presque intégralement à la production de fleurs, en l'occurrence les provinces de Pichincha et Cotopaxi. Ce n'est pas pour rien que non seulement il existe dans ces privinces des aéroports et que ces aéroports sont grandement utilisés pour le transport de marchandise car il se trouve que ces fleurs sont exportées par voie aérienne dans le monde. Certes une partie va vers l'Europe et les Etats Unis mais il ne faut pas oublier que la majorité va en direction de la Russie. La Russie est l’un des rares pays où les gens achètent des fleurs toute l’année et pas seule En ce qui concerne les exportations de céréales et d'engrais notamment, elles nécessitent des engrais et d’autres fournitures agricoles importés. Il y a maintenant une pénurie mondiale car la Russie était le premier producteur mondial.

Bien évidemment qu'il est largement possible de surmonter l'épreuve si l'Etat parvient à se montrer compétent et donc s'il arrive à s'adapter. Sauf que le problème de l'Equateur est que son gouvernement est d'inspiration néo libérale. Il y a donc eu une réponse d'orientation néo libérale, dans la droite ligne de l'idéologieu du gouvernement équatorien. Les producteurs de fleurs ont demandé de l’aide. Ces producteurs de fleurs avaient en effet demandé des prêts dans le but de pouvoir subvenir temporairement à leurs besoins. Sauf que le problème réside dans le fait que le président de l'Equateur Guillermo Lasso a répondu en disant que prendre ce genre de mesures signifiait ou du moins supposait d’assumer un risque et que l’État ne disposait d' aucune obligation de renflouer qui que ce soit. Or, cette idée peut marcher si elle est appliquée à tout le monde seulement. Bizarrement, les banques quand ils font face à une crise, ne sont nullement concernés, surtout les grandes banques. les petits agriculteurs, en revanche, sont laissés à l'abandon. L’élection de gouvernements progressistes en Amérique latine n’est pas seulement une question d’idéologie. L'objectif est pour les citoyens de défendre leur économie et leur niveau de vie. Si un banquier gagne une élection, il ne faut pas être surpris que des mesures fondamenetalement impopulaires soit prises. De toute façon, confier la tête de l'Etat à un banquier, c'est comme confier la garde d'une cave à vin à un alcoolique. Il ne faut en aucun cas s'étonner que le résultat ne soit pas conforme aux attentes populaires.
Quand BRICS à savoir le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud vont se mettre à commercer presqu'entièrement en Yuan, ou du moins dans une autre monnaie que le dollar, l'ordre mondial connaître des changements incontestables. On verrai cela à l'oeuvre durant les prochaines années avant la fin de la décennie 2020. L'empire du dollar sera donc défait et vaincu. Ce n'est pas comme si l'histoire économique ne nous avait pas enseigné que pour qu'un pays puissance dominer le monde et soit une grande puissance il faut que sa monnaie soit puissante également.
La livre sterling dominait le commerce international quand c'était la Grande Bretagne qui dominant le monde commercialement comme financièrement. Il faut savoir que même la dette extérieure de l’Équateur était calculée en livres sterling à ce moment là. Et que les réserves de la banque centrale de l'Equateur s’exprimaient en livres sterling. Sauf qu'après la Seconde Guerre Mondiale, les Etats Unis se sont pour un certain temps imposé comme la grande puissance de ce monde. Ils ont construits des institutions financières et internationales pour servir leurs propres intérêts. Par la suite, ils ont supprimé l'étalon or. On l'oublie souvent mais la guerre en Ukraine est aussi une question de monnaie. Les États-Unis et les néocons se trouvant à leur tête participent à ce conflit contre la Russie parce qu’ils ont besoin de défendre à tout prix la puissance du dollar-papier alors que la Russie ou l’Inde par exemple amarrent leurs monnaies à la valeur de matières premières.

Tu l'-s toi même admis

C'est pour cela que l’Amérique latine doit avoir comme priorité une lente dédollarisation. Pour cela, les pays du continent sud américain se doivent de diversifier leurs réserves monétaires internationales. Je rappel que Rafael Correa avait commencé à le faire en Équateur en investissant dans des réserves d’or. Cela avait été critiqué par une partie de l'opposition pro américaine notamment. Cependant, pour que cette diversification se fasse vraiment, des changements nécessaires à leurs relations commerciales doivent logiquement être effectués. Si par exemple les pays d'Amérique du Sud veulent commencer à constituer des réserves en yuan chinois, ils doivent logiquement approfondir nos relations commerciales avec la Chine pour y parvenir. De même que s'ils veulent commencer à constituer des réserves en roubles russes, ils se doivent d'approfondir leurs relations commerciales avec la Russie.

En parlant de Bryan d'ailleurs.

Qui fout la merde au Venezuela? Qui fout la merde dans les Caraibes déjà?

Moins il y a de souveraineté, mieux c’est pour les mondialistes. Plus il y a de souveraineté, mieux c’est pour ceux qui dépendent de l’État-nation. C’est là que réside le conflit des élites du système.

D'ailleurs qu'est ce qui s'est passé en 2018 déjà? Le 12 mai, l’ex-présidente argentine Cristina Fernández, avait dénoncé « la violence utilisée au Venezuela comme méthode pour arriver au pouvoir, pour renverser un gouvernementt. ». Depuis l’Équateur, l’ex-président Rafael Correa a rappelé que « le Venezuela est une démocratie. " C’est par le dialogue, avec les élections, que doivent se régler les divergences. De nombreux cas de violences viennent clairement des partis d’opposition. ». C’est aussi la position du Caricom, qui regroupe les pays des Caraïbes. Le Pape François a dû pousser les évêques du Venezuela qui comme dans le Chili de 1973 traînaient les pieds face au dialogue national proposé par le président Maduro. Ce dernier a par ailleurs lancé le processus participatif de l’Assemblée Constituante, avec vote à la clef, et confirmé la tenue du scrutin présidentiel légalement prévu en 2018.

Sources :








https://www.ambito.com/po[...]fendio-venezuela-n3983274

http://www.correodelorino[...]e-violencia-en-venezuela/


http://ultimasnoticias.co[...]la-division-la-oposicion/

" "Respeto las opiniones ajenas pero no las comparto en este caso, porque sí se ve una democracia. Muchos brotes de violencia han venido de grupos perfectamente identificados de la oposición. La violencia debe ser condenada venga de donde venga", sostuvo el mandatario sudamericano en el Salón Blanco. "




" En declaraciones a los periodistas acreditados en Casa Rosada, el titular del Palacio de Carondelet reconoció que "es preocupante" la crisis que vive Venezuela. "Lo primero es que cese la violencia, lograr resolver los problemas por el diálogo y en el marco democrático. Eso es lo que debemos impulsar todos los países de la región y del mundo", agregó tras su encuentro con Michetti en del despacho de la vicepresidenta. "