Ce sujet a été résolu
Je crois que t'es un peu hors sujet en fait.
Je suis carreleur à mon compte et je gagne plus qu'un master ou que n'importe lequel de tes diplômes.
L'éducation nationale forme des soumis, le BTP forge des hommes.
Je suis carreleur à mon compte et je gagne plus qu'un master ou que n'importe lequel de tes diplômes.
L'éducation nationale forme des soumis, le BTP forge des hommes.
Comme tu voudras. En espérant que ton fils soit sur la même longueur d'onde que toi, sinon ça va faire boum à l'adolescence et l'ambiance à la maison risque d'être très tendue.
Le problème avec le destin que tu imposes à ton fils c'est que s'il veut faire autre chose que carreleur, il sera coincé. C'est dommage pour lui.
Le problème avec le destin que tu imposes à ton fils c'est que s'il veut faire autre chose que carreleur, il sera coincé. C'est dommage pour lui.
il y a 2 ans
Comme tu voudras. En espérant que ton fils soit sur la même longueur d'onde que toi, sinon ça va faire boum à l'adolescence et l'ambiance à la maison risque d'être très tendue.
Le problème avec le destin que tu imposes à ton fils c'est que s'il veut faire autre chose que carreleur, il sera coincé. C'est dommage pour lui.
Le problème avec le destin que tu imposes à ton fils c'est que s'il veut faire autre chose que carreleur, il sera coincé. C'est dommage pour lui.
En générale un maçon enfante un maçon, un carreleur enfante un carreleur, ça se transmet de père en fils.
Rien ne vaut un métier manuel et artisanal qui permet d'etre autonome et ne peut pas être remplacé.
Les 3/4 du tertiaire seront remplacé dans quelques années ou décennies
Rien ne vaut un métier manuel et artisanal qui permet d'etre autonome et ne peut pas être remplacé.
Les 3/4 du tertiaire seront remplacé dans quelques années ou décennies
il y a 2 ans
Je suis d’accord. Mais l’école peut pas tout faire, si les parents laissent les gosses à leur sort sans jamais les stimuler intellectuellement mieux que les laisser devant la télé faut pas s’étonner de finir avec une bande d’attardés. Je pense que beaucoup de prof font du mieux qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont. Pourtant dieu sait que je hais le système éducatif et oui il devrait être repensé.
Mais le problème est global et profond, ça va plus loin que le système éducatif seul qui, là encore je suis d’accord, est une fabrique à golem.
Pour ma part j’ai du avoir beaucoup de choses car j’ai toujours eu des profs qui nous martelaient de garder un sens CRITIQUE, sur TOUT.
Mais le problème est global et profond, ça va plus loin que le système éducatif seul qui, là encore je suis d’accord, est une fabrique à golem.
Pour ma part j’ai du avoir beaucoup de choses car j’ai toujours eu des profs qui nous martelaient de garder un sens CRITIQUE, sur TOUT.
Tu as raison, c'est un problème général, l'éducation ne fait pas tout.
Ça ne serait qu'un début. Mais oui si les parents continuent à donner des tablettes aux gosses de 3 ans on n'est pas sorti de l'auberge
Et oui faut pas oublier les profs qui font de son mieux, immense respect pour eux.
Ça ne serait qu'un début. Mais oui si les parents continuent à donner des tablettes aux gosses de 3 ans on n'est pas sorti de l'auberge
Et oui faut pas oublier les profs qui font de son mieux, immense respect pour eux.
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Idem, j'ai appris à lire avec la méthode syllabique, et je n'ai pas fait de CP à l'époque (couillonnade de la directrice alors que j'aurais dû sauter la grande section et non le CP, mais bon au final c'est revenu au même). J'avais un an d'avance.
Ça se voit immédiatement de toute façon, tu écris bien, tu t'exprimes bien, c'est un niveau au-dessus du reste du fofo
Certes, la méthode syllabique ne fait pas tout... mais si tu vois quelqu'un qui s'exprime clairement et sans fautes, il y a fort à parier qu'il ait reçu une instruction par la méthode syllabique.
Perso j'aurais pu avoir un an d'avance, mais immigré, donc j'ai dû apprendre le français
Mais tant mieux, j'étais plutôt célestin et être une année en avance ne m'aurait pas aidé je pense.

Certes, la méthode syllabique ne fait pas tout... mais si tu vois quelqu'un qui s'exprime clairement et sans fautes, il y a fort à parier qu'il ait reçu une instruction par la méthode syllabique.
Perso j'aurais pu avoir un an d'avance, mais immigré, donc j'ai dû apprendre le français
Mais tant mieux, j'étais plutôt célestin et être une année en avance ne m'aurait pas aidé je pense.
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Lukascobar
2 ans
Mon fils est au CP, il ira jusqu'à la 3eme pour rejoindre son père en apprentissage dans le bâtiment pour que je le forme moi même.
Hors de question qu'il fasse des études pour devenir une pédale d'homme soja soumis au patronat.
Hors de question qu'il fasse des études pour devenir une pédale d'homme soja soumis au patronat.
C'est vrai qu'on a plutôt besoin de virilité, de nos jours. Un peu plus de testostérone. 

Au plaisir ~
il y a 2 ans
Bien souligné oui. Ça brise les harcelés et il s'agit là d'un manque à gagner pour la société, car soyons honnêtes, les garçons et filles qui se font harceler sont souvent les plus intelligents, les intello
Une fois j'ai vu un docu avec un mec dans sa 30aine toujours brisé par le harcèlement scolaire, ça m'a beaucoup marqué. Dans sa 30aine et toujours trauma par l'école.
On pourrait parler aussi des effets psychologiques sur le reste des élèves qui voient ça, et qui intègrent que dans la vie, il vaut mieux être PASSIF, ne pas faire de vagues, SURTOUT ne pas se faire harceler comme la victime du collège
Une aubaine pour les patrons d'entreprise qui vont bien profiter de ces individus passifs, conformistes et qui ne vont pas faire de vagues.
Je crois vraiment que l'éducation n'est qu'un reflet de notre société au fond, et si le harcèlement peut persister pendant des années c'est parce qu'on a une société qui récompense la passivité, le pas de vagues, les lèche botte (monde de l'entreprise) plutôt que le courage et la justice

Une fois j'ai vu un docu avec un mec dans sa 30aine toujours brisé par le harcèlement scolaire, ça m'a beaucoup marqué. Dans sa 30aine et toujours trauma par l'école.

On pourrait parler aussi des effets psychologiques sur le reste des élèves qui voient ça, et qui intègrent que dans la vie, il vaut mieux être PASSIF, ne pas faire de vagues, SURTOUT ne pas se faire harceler comme la victime du collège

Une aubaine pour les patrons d'entreprise qui vont bien profiter de ces individus passifs, conformistes et qui ne vont pas faire de vagues.
Je crois vraiment que l'éducation n'est qu'un reflet de notre société au fond, et si le harcèlement peut persister pendant des années c'est parce qu'on a une société qui récompense la passivité, le pas de vagues, les lèche botte (monde de l'entreprise) plutôt que le courage et la justice

Je suis on ne peut plus d'accord avec toi, le "pas-de-vagues" n'est qu'un des reflets contemporains de la banalité du mal et forcément cela cause des dégâts surprenants sur l'état psychologique de la jeunesse française. Le pire étant que le jeune prend très tôt le réflexe d'évacuer sa responsabilité personnelle dans l'état misérable dans lequel il se met et met les autres
Car bourreau ou martyr, l'explication ou la justification de son comportement est sans cesse reportée sur une chose abstraite et englobante : la coercition, l'inertie, l'ambiance... sans jamais remettre en question sa responsabilité personnelle ; cela arrange aussi les adultes, qui n'ont que faire des rapports de force dans la cour de récré
Car bourreau ou martyr, l'explication ou la justification de son comportement est sans cesse reportée sur une chose abstraite et englobante : la coercition, l'inertie, l'ambiance... sans jamais remettre en question sa responsabilité personnelle ; cela arrange aussi les adultes, qui n'ont que faire des rapports de force dans la cour de récré
il y a 2 ans
Topic intéressant l'OP.
Vincent Peillon, ancien ministre de l'éducation, écrivait : " D'où l'importance de l'école au coeur du régime républicain. C'est à elle qu'il revient de briser ce cercle, de produire cette auto institution, d'être la matrice qui engendre en permanence des républicains pour faire la République, république préservée, république pure, république hors du temps au sein de la république réelle , l'école doit opérer ce miracle par l'engendrement par lequel l'enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré républicaines, va s'élever jusqu'à devenir le citoyen, sujet autonome. C'est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l'école et par l'école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi. " Source : Extrait de " La Révolution française n'est pas terminée. " Editions Le Seuil. 2008. Page 17. Il a au moins le mérite d'être franc et clair. Pour autant, ce seraient des propos inadmissibles pour ceux qui pensent encore que l'école républicaine sont neutres fait pour forger des esprits indépendants tout en transmettant un savoir riche et utile. Il n'invente pourtant rien. En bon républicain franc maçon qu'il est, il ne fait que retranscrire la logique idéologique de l'école républicaine au regard de ce qu'il a forgé depuis l'origine de ce système. A l'époque de la révolution de 1789, une étrange école fit son apparition. Créée par décision de la convention nationale le 1er juin 1794, cette école avait pour nom école de Mars. C'était une école paramilitaire créée en 1794 afin d'endoctriner la jeunesse à l'amour de la République et à la haine des rois. C'était dans les Sablons à Neuilly Sur Scène. L'enseignement dispensé était un enseignement militaire et civique. Les gens recrutés étaient essentiellement des sans culottes. On y enseignait la fraternité, la discipline, la frugalité, l'amour de la patrie et à la haine de la monarchie.
" Les enfants appartenaient à la grande famille avant d'appartenir à leur famille particulière. Le père a la direction des premières années. Mais, sitôt que leur intelligence est formé, la République fait valoir ses droits : ils sont nés pour elle et non pour orgueil ou le despotisme de leurs parents, il est de toute justice qu'elle se saisisse d'eux à l'âge où leur âme ardente d'ouvre naturellement aux beaux sentiments, à l'enthousiasme du bien, au patriotisme. " Source : Arthur Chuquet, historien. Extrait de " L'Ecole de Mars, 1794 " . 1899. Page 21. On le voit bien, dès l'origine, la République visait à soutirer l'enfant de sa famille en le déclarant propriété de l'Etat, dans l'idée d'en faire un bon républicain, à défaut d'en faire un bon français. Durant la séance du 1 août 1793, Antoine Claire Thibaudeau, lui qui était révolutionnaire, politique et président de la convention nationale entre le 6 et le 24 mars 1794 : " J'ai toujours pensé que l'enfant était propriété de l'Etat, et que les parents n'en étaient que les dépositaires; que c'était à l'Etat pour ainsi dire, l'enfant du sein de sa mère, qu'il devait s'en emparer comme de son bien le plus précieux... " Lors de la séance du 13 août 1793, Georges Danton confirmait lui même ses paroles, tout comme leur maître Jean Jacques Rousseau qui défendait également ce point de vue. Mieux encore, en la personne de Jean Paul Rabot Saint Etienne, révolutionnaire, pasteur protestant et président de la convention nationale du 24 janvier au 7 février 1793.
Ce dernier écrit vite en 1792 son projet d'éducation nationale où on peut y lire : " Toute sa doctrine ( à l'éduction nationale ) consiste donc à s'emparer de l'homme dès le berceau et même avant sa naissance, car l'enfant qui n'est pas né appartient déjà à la patrie. Elle s'empare de tout homme sans le quitter jamais, en sorte que l'éduction nationale n'est pas une institution pour l'enfant, mais pour la vie toute entière. " Source : Extrait de " Projet d'éduction nationale " 1792. Page 3. Lorsqu'on regarde bien le régime fasciste italien, la même chose était dite : " Je prends l'homme au berceau et je ne le rends au pape qu'après sa mort. " C'est ce que disait Benito Mussolini. Comme tous ls régimes dictatoriaux le feraient. La République a repris en 1932 et gardé depuis, le terme d'éduction nationale si chère et Jean Paul Rabot Saint Etienne et pourtant, cette appellation a une logique d'endoctrinement dès le berceau. En 1866, le républicain Jean Macé, enseignant et journaliste, créa la ligue de l'enseignement en 1866. la ligue se donnait pour objectif l'instauration d'une école gratuite, obligatoire et laique. Alors que le président de la République Patrice Mac Mahon avait dissous cette ligue en 1873, cette dernière se reconstituera dans le cadre d'un congrès convoqué à cet effet et qui se déroulera du 18 au 20 avril 1880 dans les locaux du Grand Orient de France. Cela ne s'invente pas. Le 21 avril 1880, au trocadero, la ligue fut consacrée en tant qu'organisation républicaine par Léon Gambetta. Lorsqu'on parle de Gambetta, on pense au camp de Conlie, le camp d'extermination breton créé en 1870 où furent abandonnés volontairement les soldats bretons dans des conditions sanitaires désastreuses. Gambetta inventa même la ligue à devenir la république en action, et a gagner à l'idée républicaine tous les villages de France. On appréciera la neutralité.
Avec la IIIème République, ce sera l'école de Jules Ferry. Il s'agissait de la mise en place d'une école républicaine, gratuite, obligatoire et laique, dans la logique de la ligue de l'enseignement. C'est une arme de combat. Comme le souligne Ferry lui même : " Nous avons promis la neutralité religieuse, nous n'avons pas promis la neutralité philosophique, pas plus que la neutralité politique. " Source : Extrait du discours de Jules Ferry au Sénat le 31 mai 1883. Cela confirme son propose tenu devant un congrès d'instituteur en avril 1881 : " Vous devez enseigner la politique parce que la loi vous charge de donner l'enseignement civique, et aussi parce que vous devez vous souvenir que vous êtes les fils de 1789 qui a affranchi vos pères et que vous vivez sous la République de 1870 qui vous a affranchi vous mêmes. Vous avez le devoir de faire aimer la République et la première Révolution. " Source : Extrait de l'intervention de Jules Ferry au congrès pédagogique du 25 avril 1881. La propagande républicaine essaie encore de faire croire aujourd'hui que ce fut une révolution à cette époque, à savoir la gratuité et l'obligation de l'école. Alors que la seule nouveauté de l'école de Ferry, c'est son aspect laique et profondément anti catholique, l'anticléricalisme de la IIIème République obligeant. Mais pour ce qui est de la gratuité de l'école et l'obligation, il n'y avait rien de nouveau. A l'époque de l'Ancien Régime, ces notions étaient déjà acquises. Le 13 décembre 1698, une ordonnance royale et dictée par Louis XIV impose l'obligation pour les parents d'envoyer leurs enfants dans les écoles paroissiales. Et ses écoles étaient parfaitement gratuites. Bien avant Louis XIV, c'est le prêtre théologien Ignace de Loyola, fondateur de la compagnie de Jésus, qui s'attela à répandre l'instruction au sein du royaume de France. Dès 1562, les jésuites parsemèrent la France de leurs collèges.
" Les enfants appartenaient à la grande famille avant d'appartenir à leur famille particulière. Le père a la direction des premières années. Mais, sitôt que leur intelligence est formé, la République fait valoir ses droits : ils sont nés pour elle et non pour orgueil ou le despotisme de leurs parents, il est de toute justice qu'elle se saisisse d'eux à l'âge où leur âme ardente d'ouvre naturellement aux beaux sentiments, à l'enthousiasme du bien, au patriotisme. " Source : Arthur Chuquet, historien. Extrait de " L'Ecole de Mars, 1794 " . 1899. Page 21. On le voit bien, dès l'origine, la République visait à soutirer l'enfant de sa famille en le déclarant propriété de l'Etat, dans l'idée d'en faire un bon républicain, à défaut d'en faire un bon français. Durant la séance du 1 août 1793, Antoine Claire Thibaudeau, lui qui était révolutionnaire, politique et président de la convention nationale entre le 6 et le 24 mars 1794 : " J'ai toujours pensé que l'enfant était propriété de l'Etat, et que les parents n'en étaient que les dépositaires; que c'était à l'Etat pour ainsi dire, l'enfant du sein de sa mère, qu'il devait s'en emparer comme de son bien le plus précieux... " Lors de la séance du 13 août 1793, Georges Danton confirmait lui même ses paroles, tout comme leur maître Jean Jacques Rousseau qui défendait également ce point de vue. Mieux encore, en la personne de Jean Paul Rabot Saint Etienne, révolutionnaire, pasteur protestant et président de la convention nationale du 24 janvier au 7 février 1793.
Vincent Peillon, ancien ministre de l'éducation, écrivait : " D'où l'importance de l'école au coeur du régime républicain. C'est à elle qu'il revient de briser ce cercle, de produire cette auto institution, d'être la matrice qui engendre en permanence des républicains pour faire la République, république préservée, république pure, république hors du temps au sein de la république réelle , l'école doit opérer ce miracle par l'engendrement par lequel l'enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré républicaines, va s'élever jusqu'à devenir le citoyen, sujet autonome. C'est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l'école et par l'école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi. " Source : Extrait de " La Révolution française n'est pas terminée. " Editions Le Seuil. 2008. Page 17. Il a au moins le mérite d'être franc et clair. Pour autant, ce seraient des propos inadmissibles pour ceux qui pensent encore que l'école républicaine sont neutres fait pour forger des esprits indépendants tout en transmettant un savoir riche et utile. Il n'invente pourtant rien. En bon républicain franc maçon qu'il est, il ne fait que retranscrire la logique idéologique de l'école républicaine au regard de ce qu'il a forgé depuis l'origine de ce système. A l'époque de la révolution de 1789, une étrange école fit son apparition. Créée par décision de la convention nationale le 1er juin 1794, cette école avait pour nom école de Mars. C'était une école paramilitaire créée en 1794 afin d'endoctriner la jeunesse à l'amour de la République et à la haine des rois. C'était dans les Sablons à Neuilly Sur Scène. L'enseignement dispensé était un enseignement militaire et civique. Les gens recrutés étaient essentiellement des sans culottes. On y enseignait la fraternité, la discipline, la frugalité, l'amour de la patrie et à la haine de la monarchie.
" Les enfants appartenaient à la grande famille avant d'appartenir à leur famille particulière. Le père a la direction des premières années. Mais, sitôt que leur intelligence est formé, la République fait valoir ses droits : ils sont nés pour elle et non pour orgueil ou le despotisme de leurs parents, il est de toute justice qu'elle se saisisse d'eux à l'âge où leur âme ardente d'ouvre naturellement aux beaux sentiments, à l'enthousiasme du bien, au patriotisme. " Source : Arthur Chuquet, historien. Extrait de " L'Ecole de Mars, 1794 " . 1899. Page 21. On le voit bien, dès l'origine, la République visait à soutirer l'enfant de sa famille en le déclarant propriété de l'Etat, dans l'idée d'en faire un bon républicain, à défaut d'en faire un bon français. Durant la séance du 1 août 1793, Antoine Claire Thibaudeau, lui qui était révolutionnaire, politique et président de la convention nationale entre le 6 et le 24 mars 1794 : " J'ai toujours pensé que l'enfant était propriété de l'Etat, et que les parents n'en étaient que les dépositaires; que c'était à l'Etat pour ainsi dire, l'enfant du sein de sa mère, qu'il devait s'en emparer comme de son bien le plus précieux... " Lors de la séance du 13 août 1793, Georges Danton confirmait lui même ses paroles, tout comme leur maître Jean Jacques Rousseau qui défendait également ce point de vue. Mieux encore, en la personne de Jean Paul Rabot Saint Etienne, révolutionnaire, pasteur protestant et président de la convention nationale du 24 janvier au 7 février 1793.
Ce dernier écrit vite en 1792 son projet d'éducation nationale où on peut y lire : " Toute sa doctrine ( à l'éduction nationale ) consiste donc à s'emparer de l'homme dès le berceau et même avant sa naissance, car l'enfant qui n'est pas né appartient déjà à la patrie. Elle s'empare de tout homme sans le quitter jamais, en sorte que l'éduction nationale n'est pas une institution pour l'enfant, mais pour la vie toute entière. " Source : Extrait de " Projet d'éduction nationale " 1792. Page 3. Lorsqu'on regarde bien le régime fasciste italien, la même chose était dite : " Je prends l'homme au berceau et je ne le rends au pape qu'après sa mort. " C'est ce que disait Benito Mussolini. Comme tous ls régimes dictatoriaux le feraient. La République a repris en 1932 et gardé depuis, le terme d'éduction nationale si chère et Jean Paul Rabot Saint Etienne et pourtant, cette appellation a une logique d'endoctrinement dès le berceau. En 1866, le républicain Jean Macé, enseignant et journaliste, créa la ligue de l'enseignement en 1866. la ligue se donnait pour objectif l'instauration d'une école gratuite, obligatoire et laique. Alors que le président de la République Patrice Mac Mahon avait dissous cette ligue en 1873, cette dernière se reconstituera dans le cadre d'un congrès convoqué à cet effet et qui se déroulera du 18 au 20 avril 1880 dans les locaux du Grand Orient de France. Cela ne s'invente pas. Le 21 avril 1880, au trocadero, la ligue fut consacrée en tant qu'organisation républicaine par Léon Gambetta. Lorsqu'on parle de Gambetta, on pense au camp de Conlie, le camp d'extermination breton créé en 1870 où furent abandonnés volontairement les soldats bretons dans des conditions sanitaires désastreuses. Gambetta inventa même la ligue à devenir la république en action, et a gagner à l'idée républicaine tous les villages de France. On appréciera la neutralité.
Avec la IIIème République, ce sera l'école de Jules Ferry. Il s'agissait de la mise en place d'une école républicaine, gratuite, obligatoire et laique, dans la logique de la ligue de l'enseignement. C'est une arme de combat. Comme le souligne Ferry lui même : " Nous avons promis la neutralité religieuse, nous n'avons pas promis la neutralité philosophique, pas plus que la neutralité politique. " Source : Extrait du discours de Jules Ferry au Sénat le 31 mai 1883. Cela confirme son propose tenu devant un congrès d'instituteur en avril 1881 : " Vous devez enseigner la politique parce que la loi vous charge de donner l'enseignement civique, et aussi parce que vous devez vous souvenir que vous êtes les fils de 1789 qui a affranchi vos pères et que vous vivez sous la République de 1870 qui vous a affranchi vous mêmes. Vous avez le devoir de faire aimer la République et la première Révolution. " Source : Extrait de l'intervention de Jules Ferry au congrès pédagogique du 25 avril 1881. La propagande républicaine essaie encore de faire croire aujourd'hui que ce fut une révolution à cette époque, à savoir la gratuité et l'obligation de l'école. Alors que la seule nouveauté de l'école de Ferry, c'est son aspect laique et profondément anti catholique, l'anticléricalisme de la IIIème République obligeant. Mais pour ce qui est de la gratuité de l'école et l'obligation, il n'y avait rien de nouveau. A l'époque de l'Ancien Régime, ces notions étaient déjà acquises. Le 13 décembre 1698, une ordonnance royale et dictée par Louis XIV impose l'obligation pour les parents d'envoyer leurs enfants dans les écoles paroissiales. Et ses écoles étaient parfaitement gratuites. Bien avant Louis XIV, c'est le prêtre théologien Ignace de Loyola, fondateur de la compagnie de Jésus, qui s'attela à répandre l'instruction au sein du royaume de France. Dès 1562, les jésuites parsemèrent la France de leurs collèges.
" Les enfants appartenaient à la grande famille avant d'appartenir à leur famille particulière. Le père a la direction des premières années. Mais, sitôt que leur intelligence est formé, la République fait valoir ses droits : ils sont nés pour elle et non pour orgueil ou le despotisme de leurs parents, il est de toute justice qu'elle se saisisse d'eux à l'âge où leur âme ardente d'ouvre naturellement aux beaux sentiments, à l'enthousiasme du bien, au patriotisme. " Source : Arthur Chuquet, historien. Extrait de " L'Ecole de Mars, 1794 " . 1899. Page 21. On le voit bien, dès l'origine, la République visait à soutirer l'enfant de sa famille en le déclarant propriété de l'Etat, dans l'idée d'en faire un bon républicain, à défaut d'en faire un bon français. Durant la séance du 1 août 1793, Antoine Claire Thibaudeau, lui qui était révolutionnaire, politique et président de la convention nationale entre le 6 et le 24 mars 1794 : " J'ai toujours pensé que l'enfant était propriété de l'Etat, et que les parents n'en étaient que les dépositaires; que c'était à l'Etat pour ainsi dire, l'enfant du sein de sa mère, qu'il devait s'en emparer comme de son bien le plus précieux... " Lors de la séance du 13 août 1793, Georges Danton confirmait lui même ses paroles, tout comme leur maître Jean Jacques Rousseau qui défendait également ce point de vue. Mieux encore, en la personne de Jean Paul Rabot Saint Etienne, révolutionnaire, pasteur protestant et président de la convention nationale du 24 janvier au 7 février 1793.
il y a 7 mois
Je met en favoris.
Ce dernier écrit vite en 1792 son projet d'éducation nationale où on peut y lire : " Toute sa doctrine ( à l'éduction nationale ) consiste donc à s'emparer de l'homme dès le berceau et même avant sa naissance, car l'enfant qui n'est pas né appartient déjà à la patrie. Elle s'empare de tout homme sans le quitter jamais, en sorte que l'éducation nationale n'est pas une institution pour l'enfant, mais pour la vie toute entière. " Source : Extrait de " Projet d'éducation nationale " 1792. Page 3. Lorsqu'on regarde bien le régime fasciste italien, la même chose était dite : " Je prends l'homme au berceau et je ne le rends au pape qu'après sa mort. " C'est ce que disait Benito Mussolini. Comme tous ls régimes dictatoriaux le feraient. La République a repris en 1932 et gardé depuis, le terme d'éducation nationale si chère et Jean Paul Rabot Saint Etienne et pourtant, cette appellation a une logique d'endoctrinement dès le berceau. En 1866, le républicain Jean Macé, enseignant et journaliste, créa la ligue de l'enseignement en 1866. la ligue se donnait pour objectif l'instauration d'une école gratuite, obligatoire et laique. Alors que le président de la République Patrice Mac Mahon avait dissous cette ligue en 1873, cette dernière se reconstituera dans le cadre d'un congrès convoqué à cet effet et qui se déroulera du 18 au 20 avril 1880 dans les locaux du Grand Orient de France. Cela ne s'invente pas. Le 21 avril 1880, au trocadero, la ligue fut consacrée en tant qu'organisation républicaine par Léon Gambetta. Lorsqu'on parle de Gambetta, on pense au camp de Conlie, le camp d'extermination breton créé en 1870 où furent abandonnés volontairement les soldats bretons dans des conditions sanitaires désastreuses. Gambetta inventa même la ligue à devenir la république en action, et a gagner à l'idée républicaine tous les villages de France. On appréciera la neutralité.
Avec la IIIème République, ce sera l'école de Jules Ferry. Il s'agissait de la mise en place d'une école républicaine, gratuite, obligatoire et laique, dans la logique de la ligue de l'enseignement. C'est une arme de combat. Comme le souligne Ferry lui même : " Nous avons promis la neutralité religieuse, nous n'avons pas promis la neutralité philosophique, pas plus que la neutralité politique. " Source : Extrait du discours de Jules Ferry au Sénat le 31 mai 1883. Cela confirme son propose tenu devant un congrès d'instituteur en avril 1881 : " Vous devez enseigner la politique parce que la loi vous charge de donner l'enseignement civique, et aussi parce que vous devez vous souvenir que vous êtes les fils de 1789 qui a affranchi vos pères et que vous vivez sous la République de 1870 qui vous a affranchi vous mêmes. Vous avez le devoir de faire aimer la République et la première Révolution. " Source : Extrait de l'intervention de Jules Ferry au congrès pédagogique du 25 avril 1881. La propagande républicaine essaie encore de faire croire aujourd'hui que ce fut une révolution à cette époque, à savoir la gratuité et l'obligation de l'école. Alors que la seule nouveauté de l'école de Ferry, c'est son aspect laique et profondément anti catholique, l'anticléricalisme de la IIIème République obligeant. Mais pour ce qui est de la gratuité de l'école et l'obligation, il n'y avait rien de nouveau. A l'époque de l'Ancien Régime, ces notions étaient déjà acquises. Le 13 décembre 1698, une ordonnance royale et dictée par Louis XIV impose l'obligation pour les parents d'envoyer leurs enfants dans les écoles paroissiales. Et ses écoles étaient parfaitement gratuites. Bien avant Louis XIV, c'est le prêtre théologien Ignace de Loyola, fondateur de la compagnie de Jésus, qui s'attela à répandre l'instruction au sein du royaume de France. Dès 1562, les jésuites parsemèrent la France de leurs collèges.
Jean Dumont, historien spécialiste de l'histoire de l'Eglise catholique et de l'histoire hispanique des XVème et XVIème siècles :" A la différence de l'université, ces collèges dispensent un enseignement de haute qualité jusqu'à la frange de l'enseignement supérieur, sont gratuits et donc ouverts à toutes les classes sociales. Aucune distinction n'y est admise selon la richesse ou la noblesse... Même les pauvres domestiques des collèges sont admis à suivre les cours, tel ce Jean Tarin qui deviendra recteur de l'université de Paris. " Source : Extrait de " L'Eglise au risque de l'histoire. " Editions de Paris, 1994. Pages 439 - 440. Sans oublier aussi la création de l'institut des frères des écoles chrétiennes par Saint Jean Baptiste de La Salle en 1680. L'objectif de cette congrégation laique était de fournir justement un enseignement et une formation aux jeunes les plus défavorisés. Mais c'est sous la Révolution dans la constitution de l'an III qu'est mise en place une législation scolaire qui, tout en prévoyant la liberté de l'enseignement, supprime l'obligation scolaire et la gratuité de l'enseignement. Et c'est François Guizot, ministre du roi Louis Philippe, qui initie véritablement, le cycle des grandes lois scolaires du XIXème siècle par la loi du 28 juin 1833, qui rend obligatoire pour les communes d'entretenir une école primaire tout en s'assurant de la bonne qualité des enseignants par la création d'écoles normales et avec le souci réel d'élever le niveau intellectuel de la population. C'est aussi Guizot qui étend l'application de cette loi aux jeunes filles par l'ordonnance du 23 juin 1836. Comme l'écrit Pierre Van Ommeslaegue, professeur de philosophie, dans son ouvrage " L'école et la loi ", paru en 2019, préfacé par Yves Marie Adeleine, c'est le vrai début de l'école publique. La France n'a pas attendu la IIIème République pour voir émerger une instruction ouverte à tous et gratuite.
Ce dernier écrit vite en 1792 son projet d'éducation nationale où on peut y lire : " Toute sa doctrine ( à l'éduction nationale ) consiste donc à s'emparer de l'homme dès le berceau et même avant sa naissance, car l'enfant qui n'est pas né appartient déjà à la patrie. Elle s'empare de tout homme sans le quitter jamais, en sorte que l'éducation nationale n'est pas une institution pour l'enfant, mais pour la vie toute entière. " Source : Extrait de " Projet d'éducation nationale " 1792. Page 3. Lorsqu'on regarde bien le régime fasciste italien, la même chose était dite : " Je prends l'homme au berceau et je ne le rends au pape qu'après sa mort. " C'est ce que disait Benito Mussolini. Comme tous ls régimes dictatoriaux le feraient. La République a repris en 1932 et gardé depuis, le terme d'éducation nationale si chère et Jean Paul Rabot Saint Etienne et pourtant, cette appellation a une logique d'endoctrinement dès le berceau. En 1866, le républicain Jean Macé, enseignant et journaliste, créa la ligue de l'enseignement en 1866. la ligue se donnait pour objectif l'instauration d'une école gratuite, obligatoire et laique. Alors que le président de la République Patrice Mac Mahon avait dissous cette ligue en 1873, cette dernière se reconstituera dans le cadre d'un congrès convoqué à cet effet et qui se déroulera du 18 au 20 avril 1880 dans les locaux du Grand Orient de France. Cela ne s'invente pas. Le 21 avril 1880, au trocadero, la ligue fut consacrée en tant qu'organisation républicaine par Léon Gambetta. Lorsqu'on parle de Gambetta, on pense au camp de Conlie, le camp d'extermination breton créé en 1870 où furent abandonnés volontairement les soldats bretons dans des conditions sanitaires désastreuses. Gambetta inventa même la ligue à devenir la république en action, et a gagner à l'idée républicaine tous les villages de France. On appréciera la neutralité.
Avec la IIIème République, ce sera l'école de Jules Ferry. Il s'agissait de la mise en place d'une école républicaine, gratuite, obligatoire et laique, dans la logique de la ligue de l'enseignement. C'est une arme de combat. Comme le souligne Ferry lui même : " Nous avons promis la neutralité religieuse, nous n'avons pas promis la neutralité philosophique, pas plus que la neutralité politique. " Source : Extrait du discours de Jules Ferry au Sénat le 31 mai 1883. Cela confirme son propose tenu devant un congrès d'instituteur en avril 1881 : " Vous devez enseigner la politique parce que la loi vous charge de donner l'enseignement civique, et aussi parce que vous devez vous souvenir que vous êtes les fils de 1789 qui a affranchi vos pères et que vous vivez sous la République de 1870 qui vous a affranchi vous mêmes. Vous avez le devoir de faire aimer la République et la première Révolution. " Source : Extrait de l'intervention de Jules Ferry au congrès pédagogique du 25 avril 1881. La propagande républicaine essaie encore de faire croire aujourd'hui que ce fut une révolution à cette époque, à savoir la gratuité et l'obligation de l'école. Alors que la seule nouveauté de l'école de Ferry, c'est son aspect laique et profondément anti catholique, l'anticléricalisme de la IIIème République obligeant. Mais pour ce qui est de la gratuité de l'école et l'obligation, il n'y avait rien de nouveau. A l'époque de l'Ancien Régime, ces notions étaient déjà acquises. Le 13 décembre 1698, une ordonnance royale et dictée par Louis XIV impose l'obligation pour les parents d'envoyer leurs enfants dans les écoles paroissiales. Et ses écoles étaient parfaitement gratuites. Bien avant Louis XIV, c'est le prêtre théologien Ignace de Loyola, fondateur de la compagnie de Jésus, qui s'attela à répandre l'instruction au sein du royaume de France. Dès 1562, les jésuites parsemèrent la France de leurs collèges.
Jean Dumont, historien spécialiste de l'histoire de l'Eglise catholique et de l'histoire hispanique des XVème et XVIème siècles :" A la différence de l'université, ces collèges dispensent un enseignement de haute qualité jusqu'à la frange de l'enseignement supérieur, sont gratuits et donc ouverts à toutes les classes sociales. Aucune distinction n'y est admise selon la richesse ou la noblesse... Même les pauvres domestiques des collèges sont admis à suivre les cours, tel ce Jean Tarin qui deviendra recteur de l'université de Paris. " Source : Extrait de " L'Eglise au risque de l'histoire. " Editions de Paris, 1994. Pages 439 - 440. Sans oublier aussi la création de l'institut des frères des écoles chrétiennes par Saint Jean Baptiste de La Salle en 1680. L'objectif de cette congrégation laique était de fournir justement un enseignement et une formation aux jeunes les plus défavorisés. Mais c'est sous la Révolution dans la constitution de l'an III qu'est mise en place une législation scolaire qui, tout en prévoyant la liberté de l'enseignement, supprime l'obligation scolaire et la gratuité de l'enseignement. Et c'est François Guizot, ministre du roi Louis Philippe, qui initie véritablement, le cycle des grandes lois scolaires du XIXème siècle par la loi du 28 juin 1833, qui rend obligatoire pour les communes d'entretenir une école primaire tout en s'assurant de la bonne qualité des enseignants par la création d'écoles normales et avec le souci réel d'élever le niveau intellectuel de la population. C'est aussi Guizot qui étend l'application de cette loi aux jeunes filles par l'ordonnance du 23 juin 1836. Comme l'écrit Pierre Van Ommeslaegue, professeur de philosophie, dans son ouvrage " L'école et la loi ", paru en 2019, préfacé par Yves Marie Adeleine, c'est le vrai début de l'école publique. La France n'a pas attendu la IIIème République pour voir émerger une instruction ouverte à tous et gratuite.
il y a 7 mois
Favoris direct
J'ai été harcelé h24 7j/7 à l'école et c'était toujours des juifs les harceleurs
Ils m'ont aussi fait faux accident de voiture et empoisonnement
Cohencidence
Alors que j'étais premier de classe et considérer comme le plus intelligent
Maintenant je fais plus rien car moindre insulte ou autre je suis prêt à tuer celui qui me casse les couilles
Donc plutôt que la prison à cause de mon trauma je préfère me laisser crever
J'ai été harcelé h24 7j/7 à l'école et c'était toujours des juifs les harceleurs
Ils m'ont aussi fait faux accident de voiture et empoisonnement
Cohencidence
Alors que j'étais premier de classe et considérer comme le plus intelligent
Maintenant je fais plus rien car moindre insulte ou autre je suis prêt à tuer celui qui me casse les couilles
Donc plutôt que la prison à cause de mon trauma je préfère me laisser crever
il y a 7 mois