Ce sujet a été résolu
ATTENTION: Ceci est un pavé que j'ai préalablement posté sur JVCuck. Il y aura quelques légères modifications. Notamment ce petit préambule :
PRÉAMBULE
Avant de commencer cet exposé et commentaire des idées de Brighelli, je voudrais préciser quelque chose.
Si le discours que je propose est très déprimant, je pense qu'on peut s'en sortir à notre niveau. Oui, nous pouvons organiser des groupes de reconstruction, et combler les lacunes de cette éducation défaillante, voir construire une structure éducative nouvelle. Nous ne sommes pas condamnés au rôle d'esclaves apathiques, abrutis et consommateurs auquel l'éducation nationale a voulu nous rabaisser.
Les choses ne vont pas rester telles qu'elles sont. On y œuvre.
Musique du topic :
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INTRODUCTION
Bonsoir, mes chers crayons.

L'éducation nationale est une machine à fabriquer des golems : des créatures artificielles, vides et obéissantes. Ca, vous le savez déjà.

Mais savez-vous COMMENT cette Fabrique du Crétin conditionne vos cerveaux ?

Savez-vous comment elle mutile votre pensée dès la maternelle, pour que vous ayez des lacunes pratiquement irrécupérables par la suite ?

Savez-vous comment elle vous démoralise dès tout petit, en vous transmettant une aversion du travail et de l'effort ?

Savez-vous comment elle favorise la soumission au harcèlement (occasionnel et régulier), fabriquant ainsi une société dominée par des sociopathes ?

Savez-vous comment elle vous inculque la haine de votre pays et de votre peuple ?

Savez-vous comment elle promeut l'extrémisme religieux (notamment mus, mais pas seulement) et le barbarisme ?
Savez-vous comment elle détruit l'ascenseur social, et favorise une reproduction sociale toujours plus semblable à l'Ancien Régime ?

Savez-vous comment elle vous pousse à la consommation abrutissante ?

Savez-vous comment elle privilégie les filles et rabaisse les garçons ?

Savez-vous comment elle vous prive de toute compétence opérante dans le marché du travail, vous rendant ainsi dépendant vis-à-vis de l'Etat ?

* * *
L'éducation est la base fondamentale de toute civilisation. Elle impacte absolument tous les domaines et détermine notre avenir et celui de nos enfants.
Il est donc crucial de comprendre le fonctionnement de cette machine à broyer les cerveaux, afin de pouvoir démanteler son conditionnement pervers et pathologique. Ceci au niveau personnel et individuel tout d'abord, ensuite en s'organisant en groupes, puis finalement au niveau national.

Ce topic est basé sur les deux livres de Jean-Paul Brighelli (la Fabrique du Crétin 1 et 2), mais aussi sur mes réflexions et recherches personnelles. Ceci n'est PAS un résumé de Brighelli. D'un côté, beaucoup d'idées n'y sont pas présentes. D'un autre côté, vous allez trouver beaucoup de réflexions non abordées chez Brighelli, par exemple le harcèlement, il n'en parle pas - et la liaison que je ferai par la suite avec la Ponérologie politique.

Je parlerai seulement de l'éducation nationale, c'est-à-dire du système éducatif dès la maternelle à la Terminale. Je ne parlerai pas des Universités, qui sont un gigantesque Ponzi comme je l'ai expliqué dans un autre topac (l'ai-je posté sur Onche? Je ne sais plus).

Ceci sera un très grand topax. Je ne vais pas tout re-post d'un coup, soyez patients.
Aurez-vous les cojones de tout lire ?
Sans plus tarder, commençons l'autopsie de ce système lépreux, pathogène et involutif.
(Précision : le pavé fait 10 chapitres éparpillés dans le topic)
(Fin de l'Introduction)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Sacré pavé mon khey
Et oui j'ai plus apprit hors de l'école qu'à l'école
Anglais, maths, physique, etc
Le seul truc que j'ai appris à l'école est mon appartenance à la classe sociale des prolétaires
Et oui j'ai plus apprit hors de l'école qu'à l'école
Anglais, maths, physique, etc
Le seul truc que j'ai appris à l'école est mon appartenance à la classe sociale des prolétaires
Louez le Saint-Atome, De lui tout à commencé, de lui tout finira
il y a 2 ans
CHAPITRE 1 : La mutilation de la pensée par la méthode idéo-visuelle ou semi-globale, et par l'idéologie pédagogiste
Avant de se lancer, quelques bases techniques...

En France, la scolarisation est obligatoire pour tous les enfants à partir de 3 ans, jusqu'à 16 ans en théorie.
Or, les ados de 16 à 18 ans sont obligés de se former aussi. Donc généralement, un enfant restera sans travailler, en pleine formation jusqu'à ses 18 ans. On parle donc de 13 à 15 ans de scolarisation. C'est énorme, et cela couvre les années les plus importantes dans le développement du cerveau.

De façon générale, le système éducatif s'organise ainsi :
- Ecole maternelle : de 3 à 6 ans
- Primaire : de 6 à 11 ans
- Collège unique : de 11 à 15 ans
- Lycée général ou professionnel : de 15 à 18 ans.
* * *
Ceci est le pavé le plus long, car le plus important en réalité.
En maternelle et primaire, on nous apprend les bases de notre langue : lire, écrire, parler...

Traditionnellement, on apprend la langue par la méthode syllabique, couramment appelée le "b.a ba". Cette méthode consiste à enseigner au gamin à identifier les lettres une par une, à l'écrit et à l'oral, pour ensuite former des syllabes, et ensuite des mots.

Ainsi, l'élève apprend l'écriture et la prononciation. Plus important encore, il devient capable de décoder des nouveaux mots qu'il trouvera par la suite. Il sera capable de les prononcer correctement plus vite, ou de les retranscrire s'il les entend à l'oral.

En somme, cette méthode transmet à l'enfant des bases solides en lecture, écriture et prononciation, et lui permet de se développer lui-même en décodant des nouveaux mots pour les intégrer à sa pensée.
Parlons maintenant de la méthode globale, cette aberration inventée dans les années 70.

Cette méthode consiste à apprendre directement des mots aux élèves, afin qu'ils le mémorisent visuellement. Par exemple, on va montrer l'image d'un arbre et on va apprendre le mot "arbre" au gamin.

Cette méthode s'accompagne souvent de la croyance qu'il faut laisser à l'enfant apprendre la langue par lui-même, en lisant la notice du microondes ou du paquet de chips. Oui vous avez bien lu. C'est vraiment ce qu'ils pensent.

La méthode globale est mutilante, car elle ne fournit pas les bases structurées de la lecture, l'écriture, et la prononciation. Ainsi, l'élève aura éternellement du mal avec des nouveaux mots, à l'écriture et à l'oral, et sa pensée sera toujours plus floue et aléatoire, plus lente, plus inefficace. Le fameux "brain fog", comme on dit en anglais.

Je vous rassure : cette méthode n'a jamais été appliquée à 100%, car sinon le pays serait revenu à l'analphabétisme médiéval.



On a donc au moins 92% des enseignants qui n'appliquent pas une méthode purement syllabique, pourtant la méthode qui a toujours fonctionné depuis l'Antiquité. En revanche, les écoles privées, réservées aux élites, emploieront toujours systématiquement la méthode syllabique.

Je rappelle que cette mutilation de la pensée est permanente : l'enfant aura toujours des lacunes, non seulement dans les langues, mais aussi dans tous les domaines de la pensée. Car la langue est la base de tout.

(Suite au prochain post)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 1 : SUITE ET FIN
Présentons désormais l'idéologie pédagogiste : un brain fog permanent.

Autrefois, TOUS les élèves sortaient du CP en sachant lire et écrire et maîtrisant les 4 opérations de base. Aujourd'hui


Comment expliquer cela ? D'abord, par la réduction énorme des heures de français : elles ont été réduites de 40% depuis 50 ans. Pourquoi ? La justification va vous étonner par sa bêtise crasse.

On a considéré que, comme les enfants entendent le français pendant les cours d'histoire, de math... on pouvait couper les heures de grammaire, ça ne servait à rien. On a donc fait le calcul des """heures de français""" effectuées et on a coupé les "heures en trop". Oui, c'est nofake.

On ajoute à cela la disparition du samedi, et on obtient des élèves qui ne maîtrisent absolument pas l'écriture ni la lecture en sixième.

Mais comment expliquer le triomphe de cette idée aussi stupide ? Comment des personnes, pourtant bien éduquées, ont pu croire à cette connerie abyssale ?
Je vous présente, mes chers crayolas, l'idéologie pédagogiste.

Cette idéologie considère que l'enfant doit construire ses propres savoirs, donc qu'il doit deviner les règles grammaticales, les théorèmes mathématiques, et tout le reste par lui-même. Ainsi, l'élève pourrait développer sa personnalité (je vais écrire un pavé extra sur la personnalité. Exclusif à Onche ! Je vais le post à la fin du topic...

Cette idéologie part de l'idée Rousseauiste que l'enfant est naturellement bon. Quiconque ayant fréquenté des enfants sait que cela est faux et relève d'un idéalisme stupide. Les enfants sont des petits diables que l'on est censé instruire, "redresser", civiliser.

De plus, à cet âge, on n'a pas de personnalité, ou elle est très primitive. Car on n'a pas vécu assez d'expériences et on n'a pas les connaissances pour nous définir. Encore une fois, l'Ecole est censée nous donner un socle de savoirs nous permettant d'évoluer dans une Civilisation hypercomplexe.

Pour bien comprendre la stupidité bovine des pédagogistes, veuillez bien imaginer deux profs : un prof pédagogiste, et un prof traditionnel. Les deux veulent apprendre la géographie à un enfant.


L'enfant construit ses propres savoirs, n'est-ce pas ? Et la prochaine fois qu'il reverra une carte, il devra re-faire l'exercice. Hé oui, car il n'a pas appris pas cœur, il doit retrouver les pays du monde à chaque fois.



Le prof lui fera apprendre par coeur, et la prochaine fois qu'il verra une carte, il saura placer les pays immédiatement. Ca ne lui empêchera pas d'apprendre la position d'autres pays et d'explorer le reste de la carte par lui-même, bien entendu.

On a pourtant choisi la voie du pédagogisme, qui fait perdre un temps fou et produit des élèves avec des connaissances floues. Un brain fog qui va le poursuivre dans toutes les matières pendant toute sa vie.

* * *
Un utilisateur de JVCuck répond à mon topic :
Le 20 janvier 2023 à 04:15:51 :
"Tu dis ça comme si t'avais réussit pas vie ta pas trop ton mot a dire tes juste un célestin sur jvc a 4 h du mat"
Je remercie à cet utilisateur de fournir une démonstration pour le topic. Comme vous pouvez le constater, ce spécimen ne parvient pas à aligner 2 mots, il écrit approximativement ce qui lui vient dans sa tête, et on arrive à peine à en soustraire une signification cohérente.

C'est une belle preuve des dégâts de la méthode semi-globale et du pédagogisme idéologique. Les crétins en deviennent incapables d'exprimer une insulte simple. Et dans sa tête, il a probablement une répartie de fou.
(Fin du Chapitre 1)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 2 : La démoralisation des nouvelles générations. Une aversion au travail et à l'effort inculquée depuis l'enfance. L'enfant pris pour un abruti fini.
Aujourd'hui on voit sur le forum énormément de topics cherchant "la planque" idéale. Mais qu'est-ce qu'une "planque" ? La planque est le boulot qui te permet de faire le moindre effort possible (idéalement, ne rien foutre) en gagnant un maximum d'argent, tout ça en ayant la sécurité de l'emploi, sachant qu'on ne va jamais te virer.

Il s'est développé en France une véritable culture de la planque, qui ne peut venir que d'une population totalement démoralisée, ayant une aversion pour le travail et de l'effort, et manquant de toute ambition. Le pire, c'est que dans le lot il y a BEAUCOUP de personnes intelligentes, qui pourraient devenir médecin, scientifique, ingénieur, faire un bien fou à la société et en même temps bien brasser de l'argent, mais préfèrent passer un concours de la fonction publique cat C pour se planquer (j'en suis).

Cette démoralisation commence par le pédagogisme (ou idéologie pédagogiste). Car le pédagogisme, comme vous allez le voir, prend les enfants pour des débiles mentaux. C'est le point de départ de la culture de la planque : considérer les enfants pour des débiles, des incapables, des bons à rien.

Pour bien comprendre la folie des pédagogistes, je vais tout simplement copypaste un passage de Brighelli dans La Fabrique du Crétin 2. Ce passage contient une longue citation de Rousseau : vous devez la lire, car elle est LUNAIRE.

* * *
Pour le contexte, comprenez que le philosophe Jean-Jacques Rousseau est l'un des "pères fondateurs" du pédagogisme. De plus, Rousseau détestait La Fontaine et ses fables, vous allez voir pourquoi.
Je laisse la parole à Jean-Paul Brighelli :
"Le pédagogisme est un idéalisme obsessionnel qui convient bien à notre époque de religiosité diffuse et de déconstruction postmoderne. C’est une secte, avec des réflexes de secte, quelques gourous et une propension à maudire et à persécuter ceux qui ne pensent pas comme eux. C’est la victoire de Rousseau sur les philosophes des Lumières.
Le philosophe genevois [Rousseau] a une dent contre ce bon La Fontaine. « On fait apprendre les fables de La Fontaine, écrit-il, à tous les enfants, et il n’y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient, ce serait encore pis ; car la morale en est tellement mêlée et si disproportionnée à leur âge, qu’elle les porterait plus au vice qu’à la vertu. » Et de s’acharner sur ce petit bijou qu’est « Le Corbeau et le Renard » :"
Maintenant préparez-vous à la chiasse de pédagogisme absurde que nous a pondu ce bon vieux Rousseau.

(Suite au prochain post)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 2 : SUITE
Rousseau analysant la fable du Corbeau et le Renard. Ayy, vous êtes non ready.
« Maître corbeau, sur un arbre perché…
« Maître ! que signifie ce mot en lui-même ? que signifie-t-il au devant d’un nom propre ? quel sens a-t-il dans cette occasion ? Qu’est-ce qu’un corbeau ? Qu’est-ce qu’un arbre perché ? L’on ne dit pas sur un arbre perché, l’on dit perché sur un arbre. Par conséquent, il faut parler des inversions de la poésie ; il faut dire ce que c’est que prose et que vers.
« Tenait dans son bec un fromage.
« Quel fromage ? était-ce un fromage de Suisse, de Brie, ou de Hollande ? Si l’enfant n’a point vu de corbeaux, que gagnez-vous à lui en parler ? s’il en a vu, comment concevra-t-il qu’ils tiennent un fromage à leur bec ? Faisons toujours des images d’après nature.
« Maître renard, par l’odeur alléché,
« Encore un maître ! mais pour celui-ci c’est à bon titre : il est maître passé dans les tours de son métier. Il faut dire ce que c’est qu’un renard, et distinguer son vrai naturel du caractère de convention qu’il a dans les fables.
« Alléché. Ce mot n’est pas usité. Il le faut expliquer ; il faut dire qu’on ne s’en sert plus qu’en vers. L’enfant demandera pourquoi l’on parle autrement en vers qu’en prose. Que lui répondrez-vous ?
« Alléché par l’odeur d’un fromage ! Ce fromage, tenu par un corbeau perché sur un arbre, devait avoir beaucoup d’odeur pour être senti par le renard dans un taillis ou dans son terrier ! Est-ce ainsi que vous exercez votre élève à cet esprit de critique judicieuse qui ne s’en laisse imposer qu’à bonnes enseignes, et sait discerner la vérité du mensonge dans les narrations d’autrui ?
« Lui tint à peu près ce langage :
« Ce langage ! Les renards parlent donc ? ils parlent donc la même langue que les corbeaux ? Sage précepteur, prends garde à
toi ; pèse bien ta réponse avant de la faire ; elle importe plus que tu n’as pensé.
« Eh ! bonjour, monsieur du Corbeau !
« Monsieur ! titre que l’enfant voit tourner en dérision, même avant qu’il sache que c’est un titre d’honneur. Ceux qui disent monsieur du Corbeau auront bien d’autres affaires avant que d’avoir expliqué ce du.
« Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
« Cheville, redondance inutile. L’enfant, voyant répéter la même chose en d’autres termes, apprend à parler lâchement. Si vous dites que cette redondance est un art de l’auteur, qu’elle entre dans le dessein du renard qui veut paraître multiplier les éloges avec des paroles, cette excuse sera bonne pour moi, mais non pas pour mon élève.
« Sans mentir, si votre ramage
« Sans mentir ! on ment donc quelquefois ? Où en sera l’enfant si vous lui apprenez que le renard ne dit sans mentir que parce qu’il ment ?
« Répondait à votre plumage,
« Répondait ! que signifie ce mot ? Apprenez à l’enfant à comparer des qualités aussi différentes que la voix et le plumage ; vous verrez comme il vous entendra.
« Vous seriez le phénix des hôtes de ces bois.
« Le phénix ! Qu’est-ce qu’un phénix ? Nous voici tout à coup jetés dans la menteuse antiquité, presque dans la mythologie.
« Les hôtes de ces bois ! Quel discours figuré ! Le flatteur ennoblit son langage et lui donne plus de dignité pour le rendre plus séduisant. Un enfant entendra-t-il cette finesse ? Sait-il seulement, peut-il savoir ce que c’est qu’un style noble et un style bas ? »
"J’épargne au lecteur la fin de cette analyse. Les pédagogues modernes, qui en sont imprégnés, évitent tout simplement de faire apprendre « Le Corbeau et le Renard », ou une quelconque fable de La Fontaine, vieux réactionnaire emperruqué, à leurs « apprenants ». Ils ont assimilé une fois pour toutes la conclusion de Rousseau : « Je demande si c’est à des enfants de dix ans qu’il faut apprendre qu’il y a des hommes qui flattent et mentent pour leur profit ? On pourrait tout au plus leur apprendre qu’il y a des railleurs qui persiflent les petits garçons, et se moquent en secret de leur sotte vanité ; mais le fromage gâte tout ; on leur apprend moins à ne pas le laisser tomber de leur bec qu’à le faire tomber du bec d’un autre. »"
On dirait l'analyse d'un foromeur frustré qui se croit subversif putain.

Ce passage made in Roussaeu est simplement incroyable. Il est important de le lire car il illustre la folie sans limite des pédagogistes. Vous voyez à quel point on prend l'enfant pour un abruti fini ? Non ?
Pas grave. Nous allons voir en détail comment cette analyse finit par considérer les enfants comme des abrutis.

SELON ROUSSEAU ET LES PÉDAGOGISTES,





























Mais évidemment, lui, Rousseau, aura bien lu des romans avec son père dès l'enfance. La chance.
(Suite au prochain post)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 2 : SUITE ET FIN
Les institutions actuelles ont bien adopté la philosophie de Rousseau en éducation.
Ainsi, on fait comprendre aux enfants qu'ils sont trop stupides pour comprendre une bonne poésie ou un bon roman. Trop cons pour apprendre des nouveaux mots, pour comprendre des distinctions simples, pour faire des liens basiques entre les mots par le contexte, ils seraient complètement déboussolés par la moindre "erreur de logique" (car incapables de distinguer la fiction de la réalité), trop débiles pour comprendre une subtilité ou le 2ème degré, et il ne faudrait surtout pas leur apprendre qu'il y a des dangers dans le monde, il faut qu'ils restent des enfants éternels dans la tête.

Alors comment faudrait-il les éduquer selon les pédagogistes ? Eh bien, pour eux, il ne faudrait pas les éduquer du tout. C'est pour ça qu'on dit que le pédagogiste est celui qui apprend ce qu'il ne sait pas ; parce que son rôle n'est pas de transmettre, mais simplement de garder les enfants et de leur laisser s'exprimer, car le seul savoir valide est celui qui découle exclusivement de l'enfant lui-même.

Ainsi, le niveau va baisser dans toutes les matières. On va s'adapter à l'enfant le plus stupide, car il ne faudrait surtout pas que le savoir facho méchant du prof s'impose sur celui d' Abrutin 80 de QI. Oui : les "réflexions" d'Abrutin, 14 ans, 80 QI ont la même valeur que celui d'un BAC+8.

Quelle est la conséquence de cette médiocrité ? L'effort minimal est récompensé : moins on fait d'effort, plus le niveau baisse, moins il y a d'efforts à fournir, et la boucle continue. C'est pour cette raison qu'on va mépriser "l'intello". Car l'intello est celui qui fait remonter le niveau, et qui va donc forcer la classe à faire plus d'efforts. L'intello donne un point de comparaison, un repère, une aspiration, mais aussi un reflet de sa propre médiocrité. Quand tout le monde est débile comme nous, on se sent mieux. Quand il y a une personne intelligente, la bulle de bêtise explose, on se rends compte que de son infériorité. Et ça fait mal.

Les plus intelligents et même les lambdas seront, à terme, démoralisés. D'une part, ils sont pris pour des abrutis, et s'habituent à être traités de la sorte, car c'est facile. Peu d'efforts à fournir, on est pénard : la culture de la planque, du "pas de vagues" s'installe déjà au collège. D'autre part, s'ils fournissent trop d'efforts ils s'isoleront forcément de ses camarades, ils deviendront des "intellos", ce qu'il faut éviter à tout prix pour survivre dans la jungle sociale du collège et du lycée. Vous le savez : le plus grand ennemi du planqué, c'est le travailleur. De plus, les intelligents comprennent très bien que le brevet et le bac n'ont plus aucune valeur. Oui, même certains collégiens le comprennent, à cet âge.

Exemple personnel : mon petit frère, qui a 18,5 de moyenne générale en 3ème, ne souhaite pas faire un lycée général, selon lui ça serait une perte de temps car le BAC est donné à tout le monde. 14 ans déjà redpilled. Les gamins comprennent déjà que ça ne sert à rien.

Je voudrais ajouter une touche personnelle. Je me suis toujours demandé pourquoi il n'y a pas de cérémonie de délivrance du brevet, et surtout du BAC. Une cérémonie ou tout le monde se réunit, où l'on célèbre sa réussite par un évènement où se rejoignent parents, profs, élèves... un rite qui marquerait le passage de la vie adolescente à la vie adulte. Pourquoi on ne fait pas ça ? Pourquoi, en France, on célèbre le BAC en regardant des fiches collés avec du scotch sur les murs de son lycée délabré ? Perso je me suis senti vide de l'intérieur ce jour là. Non seulement car déjà redpill sur le BAC, mais aussi car j'avais l'impression que tout cela n'avait aucune valeur, aucune importance, aucune transcendance. On te file un bout de papier et hop dégage. C'est très démoralisant.

Les conséquences de tout ça sont catastrophiques. Les gens ne veulent plus travailler, car ils ont pris une aversion presque instinctive pour l'effort. Quoiqu'on en dise, l'effort paye : dans une société normale, l'effort lui-même est apprécié, on aime activer ses neurones, se mettre à l'œuvre, modeler le monde de ses propres mains. L'ouvrage est le propre de l'homme : nous sommes "homo faber", l'homme qui fabrique, qui œuvre. Détester le travail, c'est une chose ; détester l'effort, c'est anti-nature, et un signe indéniable de la Régression anthropologique en cours.

(Fin du Chapitre 2)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 3 : Le harcèlement promu par l'école. La favorisation des psychopathes et autres malades mentaux.
Aujourd'hui s'est répandue la croyance stupide que le harcèlement relève de la "sélection naturelle". Non seulement dans le forom, mais aussi par influenceurs abrutissants, Andrew Tate en tête, qui parlent à des millions de jeunes hommes.

Il est temps de démanteler cette croyance absurde d'une fois pour toutes. Non seulement le harcèlement à l'école n'est pas naturel, mais il est complètement artificiel, et génère une société dominée par des psychopathes et autres malades mentaux.

Dit autrement, on sélectionne artificiellement des humains défectueux, qui normalement auraient le moins de chance de survivre. Un psychopathe est naturellement rejeté par la société, ou alors il est rélégué à une place inférieure dans la hiérarchie, car on se rend vite compte de son manque d'empathie et d'émotions.

Or ce qui distingue les chefs des autres est justement sa grande empathie et sa grande sociabilité. Comme l'explique Pierre Clastres dans La Société contre l'État, le chef des tribus primitives ne donne pas des ordres, il a plutôt un rôle de juge, de médiateur, et il est au service de tout le monde en même temps ; son rôle est de souder, relier la société, en dénouant les conflits et aidant tout le monde dans ses besoins.

Tout le contraire d'un psychopathe, qui ne pense qu'à sa gueule, est incapable d'empathie, a des comportements antisociaux. Les psychos sont des humains défectueux, qui ont, dans la nature, beaucoup plus de mal à s'intégrer à la société. C'est pour cela que les psychos restent une minorité (seulement 1,2% à 4,5% des adultes), la nature s'est chargée de les sélectionner.

* * *
Mais comment l'Ecole sélectionne-t-elle les sociopathes et autres malades au détriment des enfants normaux ? Par le harcèlement. Le harcèlement est fortement favorisé par des conditions complètement artificielles. Les harceleurs sont une extrême minorité des élèves, il y a généralement 1 harceleur par classe et le reste sont des suiveurs. Les suiveurs sont généralement des personnes normales qui veulent juste survivre à la jungle sociale du collège.

Pour comprendre le harcèlement en France en 2k23, il faut parler du Collège unique, instauré par la Loi Haby de 1975.

Contexte : avant 1975, à la sortie du primaire, tous les élèves n'allaient pas au même collège. Il y avait 3 filières différentes :
Filière I : pour les plus intelligents, la voie vers le lycée.
Filière II : menait vers des collèges techniques.
Filière III : menait vers la vie active directement.
Ainsi, les élèves étaient répartis selon leur niveau. On ne mélangeait pas les Célestins 150 de QI aux Abrutins 80 de QI. Les classes étaient donc plus homogènes en terme de niveau (et pas seulement ayy

Il faut comprendre que, naturellement, le système éducatif séparait les enfants les plus doués et les moins doués. C'est un processus tout à fait naturel, car il est raisonnable. Le shaman d'une tribu n'essayait pas de transmettre ses connaissances à Abruton 60 de QI qui cassait des roches avec sa tête.

Il transmettait ses connaissances seulement à un membre intelligent de la tribu, qui s'avérait souvent être son propre fils car hérédité du QI. D'un autre côté, on pouvait apprendre Abruton à chasser, à fabriquer des outils, etc. Chacun ses capacités, il n'y a rien de mal à ça, la société a besoin d'Abruton et du Shaman par égal.

A partir de la Loi Haby du 11 juillet 1975, il y aura 1 seul collège unique. Quelle était l'idée ? Mélanger tout le monde dans un melting pot ignoble, en espérant que les plus intelligents allaient remonter le niveau du reste. Du pur idéalisme.

Évidemment, le résultat fut l'extrême opposé.

Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur Abrutin, 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.

Soulignons que n'est pas vraiment la faute d'Abrutin, mais du système qui veut lui enseigner à monter sur un arbre alors qu'il est un poisson.

Le collège unique instaure, déjà, des conditions complètement artificielles, qui vont favoriser les discriminations horizontales à cause des différences d'intelligence.

(Suite au prochain post)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CHAPITRE 3 : SUITE ET FIN
Ensuite, on inculque aux enfants, à l'école et à la maison, l'idée qu'il suffit d' "ignorer" ses harceleurs et ils finiront par s'en lasser. Cette idée n'a rien de naturel, elle découle du christianisme ("tendre l'autre joue". Du reste, une idée assez tronquée mais passons). On inculque cette idée complètement anti-nature à nos petites têtes blondes, alors que les petites têtes brunes apprennent qu'il faut être violent et barbare pour être un "homme" viril.

Encore une fois, les conditions sont loin d'être naturelles.
Essayez de provoquer un cheval avec un bâton, même si la bête est pacifique, elle finira par vous mordre ou vous frapper. Réagir au harcèlement est naturel. Dire aux gamins qu'il faut tout accepter sans réagir, c'est aller contre la nature.

Mais ce n'est pas fini. Comme vous le savez, l'Education nationale pratique le "Pas de vagues, pas de vagues..." et vont toujours ignorer le célestin qui se fait hagar. Pourquoi ? Car ils ne veulent pas se compliquer la vie. En revanche, quand le célestin réplique, on va tout de suite intervenir, car le célestin a commis la chose insupportable, "faire des vagues". Le pire cauchemar des planqués, comme on l'a vu dans le Chapitre 2.

Dans une organisation naturelle, déjà rashid et célestin ne se rencontreraient pas normalement. S'ils se rencontraient, et rashid harcelait célestin, les adultes responsables mettraient une bonne claque à rashid pour le calmer. Sinon, le célestin se défendrait. Sinon, la famille de célestin interviendrait.

Vous voyez que, dans un monde à peu près normal, Célestin a plein de moyens pour s'en sortir, et le harcèlement n'a pas lieu de durer. Le harcèlement devrait, naturellement, être temporaire et permettre à la victime de se prendre une claque de réalité pour comprendre la violence du monde, mais ça devrait aussi faire comprendre au harceleur que ce type de comportements va finir par t'isoler de la société.

Or notre système est complètement artificiel, provoquant la prolongation du harcèlement et l'impunité des harceleurs, ce qui va faire que 1) les célestins ne vont pas pouvoir évoluer, car brisés par un harcèlement - torture psychologique s'étalant sur des années, et 2) les harceleurs vont continuer à avoir ces comportements dans la vie de tous les jours, ce qui va conforter sa sociopathie et rendra le monde un peu plus merdique.

* * *
Les conséquences se font sentir au quotidien, par le bas et le haut de la structure sociale.

Par le bas, à chaque "incivilité" qui correspond tout simplement à un manque d'instruction élémentaire. "Incivilité" ça veut dire ce que ça veut dire : "Manque de civilisation", en d'autres termes, barbarisme, sauvagerie, manque d'instruction, de "correction". Ces individus restent des ados éternels, ça devient même des "grands frères" qui vont continuer par rôder autour du collège / lycée car incapables d'affronter le monde adulte. Ils finissent souvent en tôle ou par avoir des vies de merde.
Par le haut, si vous avez lu la Ponérologie politique, vous savez que nous sommes dirigés par des psychopathes ; or c'est justement ce que le système promeut. Souvenez-vous que le harcèlement existe partout, non seulement chez les prolos, mais aussi chez les petits bobos riches, où il est plus pervers et malsain.

En sélectionnant, de façon artificielle, les sociopathes, le système éducatif corrompt la société par le haut et par le bas. On s'habitue à des comportements malsains, et on les accepte comme normaux, car l'école et la culture chrétienne (déformée, il faut aussi le dire) nous a conditionné à les accepter. Cela n'a rien de naturel, et on voit bien où ça nous mène : dictature sanitaire avec la petite charte de Biderman, pénuries d'énergie dans des pays du premier monde, insécurité grandissante, escroqueries économiques et financières en tout genre, bref, un petit enfer sur Terre.
(Fin du Chapitre 3)
(putain, j'en suis qu'au chapitre 3 ?
)
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Putaso
2 ans
ATTENTION: Ceci est un pavé que j'ai préalablement posté sur JVCuck. Il y aura quelques légères modifications. Notamment ce petit préambule :
PRÉAMBULE
Avant de commencer cet exposé et commentaire des idées de Brighelli, je voudrais préciser quelque chose.
Si le discours que je propose est très déprimant, je pense qu'on peut s'en sortir à notre niveau. Oui, nous pouvons organiser des groupes de reconstruction, et combler les lacunes de cette éducation défaillante, voir construire une structure éducative nouvelle. Nous ne sommes pas condamnés au rôle d'esclaves apathiques, abrutis et consommateurs auquel l'éducation nationale a voulu nous rabaisser.
Les choses ne vont pas rester telles qu'elles sont. On y œuvre.
Musique du topic :
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INTRODUCTION
Bonsoir, mes chers crayons.

L'éducation nationale est une machine à fabriquer des golems : des créatures artificielles, vides et obéissantes. Ca, vous le savez déjà.

Mais savez-vous COMMENT cette Fabrique du Crétin conditionne vos cerveaux ?

Savez-vous comment elle mutile votre pensée dès la maternelle, pour que vous ayez des lacunes pratiquement irrécupérables par la suite ?

Savez-vous comment elle vous démoralise dès tout petit, en vous transmettant une aversion du travail et de l'effort ?

Savez-vous comment elle favorise la soumission au harcèlement (occasionnel et régulier), fabriquant ainsi une société dominée par des sociopathes ?

Savez-vous comment elle vous inculque la haine de votre pays et de votre peuple ?

Savez-vous comment elle promeut l'extrémisme religieux (notamment mus, mais pas seulement) et le barbarisme ?
Savez-vous comment elle détruit l'ascenseur social, et favorise une reproduction sociale toujours plus semblable à l'Ancien Régime ?

Savez-vous comment elle vous pousse à la consommation abrutissante ?

Savez-vous comment elle privilégie les filles et rabaisse les garçons ?

Savez-vous comment elle vous prive de toute compétence opérante dans le marché du travail, vous rendant ainsi dépendant vis-à-vis de l'Etat ?

* * *
L'éducation est la base fondamentale de toute civilisation. Elle impacte absolument tous les domaines et détermine notre avenir et celui de nos enfants.
Il est donc crucial de comprendre le fonctionnement de cette machine à broyer les cerveaux, afin de pouvoir démanteler son conditionnement pervers et pathologique. Ceci au niveau personnel et individuel tout d'abord, ensuite en s'organisant en groupes, puis finalement au niveau national.

Ce topic est basé sur les deux livres de Jean-Paul Brighelli (la Fabrique du Crétin 1 et 2), mais aussi sur mes réflexions et recherches personnelles. Ceci n'est PAS un résumé de Brighelli. D'un côté, beaucoup d'idées n'y sont pas présentes. D'un autre côté, vous allez trouver beaucoup de réflexions non abordées chez Brighelli, par exemple le harcèlement, il n'en parle pas - et la liaison que je ferai par la suite avec la Ponérologie politique.

Je parlerai seulement de l'éducation nationale, c'est-à-dire du système éducatif dès la maternelle à la Terminale. Je ne parlerai pas des Universités, qui sont un gigantesque Ponzi comme je l'ai expliqué dans un autre topac (l'ai-je posté sur Onche? Je ne sais plus).

Ceci sera un très grand topax. Je ne vais pas tout re-post d'un coup, soyez patients.
Aurez-vous les cojones de tout lire ?
Sans plus tarder, commençons l'autopsie de ce système lépreux, pathogène et involutif.
(Précision : le pavé fait 10 chapitres éparpillés dans le topic)
(Fin de l'Introduction)
Palu mais je suis d'accord avec le titre
il y a 2 ans
Mongke
2 ans
Sacré pavé mon khey
Et oui j'ai plus apprit hors de l'école qu'à l'école
Anglais, maths, physique, etc
Le seul truc que j'ai appris à l'école est mon appartenance à la classe sociale des prolétaires
Et oui j'ai plus apprit hors de l'école qu'à l'école
Anglais, maths, physique, etc
Le seul truc que j'ai appris à l'école est mon appartenance à la classe sociale des prolétaires
L'école te fait bien comprendre ta "place". Un petit chiffre : on est passé de 10% de prolos en Grandes Ecoles à 2% uniquement. Le hasard sûrement.
Au plaisir ~
il y a 2 ans
CykaBlyat21
2 ans
j'up
Merci kheyon. Je vais me reposer un peu parce que j'avais oublié que le pavé était aussi long bordel, il y a 10 chapitres et j'en suis au 3ème
Au plaisir ~
il y a 2 ans
merci beaucoup
j'ai amélioré le pavé au niveau de la lisibilité. Aussi ne rate pas le nouveau préambule + un nouveau mini-chapitre sur la personnalité des gosses que je posterai après tout le reste (ça va prendre un moment du coup
)
j'ai amélioré le pavé au niveau de la lisibilité. Aussi ne rate pas le nouveau préambule + un nouveau mini-chapitre sur la personnalité des gosses que je posterai après tout le reste (ça va prendre un moment du coup
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Je suis plutôt d'accord dans l'ensemble
Sauf cette partie : Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur Abrutin, 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.
J'ai jamais vu des low quémander des explications au prof, les mecs sont plus occupés à se jeter des bouts de gommes. Ceux qui posent des questions et demandent de répéter sont des gens déjà investis, pas Abrutin
Ce sont uniquement les profs qui tirent le niveau vers le bas, pour les branleurs(dont je faisais parti) écouter le cours était le dernier de nos soucis, et yavait pas vraiment de différence entre moi qui ais survolé mes études et celui a galéré en ne branlant rien non plus, notre implication était la même en cours et en dehors
Sauf cette partie : Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur Abrutin, 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.
J'ai jamais vu des low quémander des explications au prof, les mecs sont plus occupés à se jeter des bouts de gommes. Ceux qui posent des questions et demandent de répéter sont des gens déjà investis, pas Abrutin
Ce sont uniquement les profs qui tirent le niveau vers le bas, pour les branleurs(dont je faisais parti) écouter le cours était le dernier de nos soucis, et yavait pas vraiment de différence entre moi qui ais survolé mes études et celui a galéré en ne branlant rien non plus, notre implication était la même en cours et en dehors
il y a 2 ans
ougnoule
2 ans
J'ai tout lu quel amas de vérité, ça mérite un up
cimer
Fun fact j'ai mis à peu près 1 semaine à tout rédiger
Fun fact j'ai mis à peu près 1 semaine à tout rédiger
Au plaisir ~
il y a 2 ans
Metaelcano
2 ans
Je suis plutôt d'accord dans l'ensemble
Sauf cette partie : Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur Abrutin, 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.
J'ai jamais vu des low quémander des explications au prof, les mecs sont plus occupés à se jeter des bouts de gommes. Ceux qui posent des questions et demandent de répéter sont des gens déjà investis, pas Abrutin
Ce sont uniquement les profs qui tirent le niveau vers le bas, pour les branleurs(dont je faisais parti) écouter le cours était le dernier de nos soucis, et yavait pas vraiment de différence entre moi qui ais survolé mes études et celui a galéré en ne branlant rien non plus, notre implication était la même en cours et en dehors
Sauf cette partie : Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur Abrutin, 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.
J'ai jamais vu des low quémander des explications au prof, les mecs sont plus occupés à se jeter des bouts de gommes. Ceux qui posent des questions et demandent de répéter sont des gens déjà investis, pas Abrutin
Ce sont uniquement les profs qui tirent le niveau vers le bas, pour les branleurs(dont je faisais parti) écouter le cours était le dernier de nos soucis, et yavait pas vraiment de différence entre moi qui ais survolé mes études et celui a galéré en ne branlant rien non plus, notre implication était la même en cours et en dehors
Pense qu' en jetant des bouts de gomme ça tire la classe vers le bas, forcément difficile de se concentrer
Je me souviens que dans certains cours c'était impossible de suivre, même en faisant des efforts pour te concentrer.
Les profs doivent souvent jouer le rôle de gendarme, ou alors laisser le bordel se dérouler, dans les deux cas c'est la merde
Mais tu as raison sur le fait que, généralement, ceux qui posent des questions sont un minimum investis. Même si parfois ils ne sont pas les plus intelligents.

Je me souviens que dans certains cours c'était impossible de suivre, même en faisant des efforts pour te concentrer.

Les profs doivent souvent jouer le rôle de gendarme, ou alors laisser le bordel se dérouler, dans les deux cas c'est la merde
Mais tu as raison sur le fait que, généralement, ceux qui posent des questions sont un minimum investis. Même si parfois ils ne sont pas les plus intelligents.
Au plaisir ~
il y a 2 ans