✝️ La mort de Kirk m'a rendue transphobe. ⛔️

Discuter, débattre, s'écharper entre bonnes femmes c’est mon passe-temps préféré crayon.

La gueule des "bonnes femmes" en 2k25

Tu veux être une femme, tu fais les choses jusqu'au bout.

C'est pas possible d'entendre des choses comme

"je suis une femme mais je veux pas prendre d'hormones." on appelle ça un homme Timothée

"Je suis une femme mais je peux pas de vulve, je garde ma bite féminine" tu es un travesti dans ce cas Timothée

Voilà c'est dit.

Je vais faire beaucoup de peine à des personnes pour qui je n'ai pas de rancoeur au demeurant, pour lesquels j'ai des sentiments d'amitié même, pour certains,

mais les Nicolas et leur entourage sont au bout du rouleau donc il est temps de trancher dans le vif.

Et je privilégierai toujours les familles de Nicolas aux transitions à la carte de mes camarades.

La vie n'a de la valeur que si on respecte la valeur des choses. La civilisation n'est possible que si on respecte (au sens de respect, de révérence) les lois de l'univers. S'en affranchir ne donne pas le droit de s'en moquer et de singer tout et n'importe quoi en excluant les critères qui nous arrangent pas

Comprends pas, t'es trans et tu traite les trans de malades sauf toi?

t'as passé des mois à nous dire que t'étais une femme, peu importe les hormones, peu importe le pipou, peu importe les gènes, peu importe ton corps, peu importe tous les signes externes parce que tout ce qui compte c'est ton ressenti

pour finalement revenir nous dire que les trans qui ne se charcutent pas le pipou, ne se promènent pas en robe, ne se font pas une épilation définitive, ne se droguent pas et ne font pas des dizaines ou centaines d'actes médicaux définitifs, dangereux, coûteux, sont des faux trans, des traps ou simplement des hommes, nier leur identité ?

Ces gens ont un pet au casque faut pas les croire stables ou empreints de principes

(flemme de modifier, j'ai mis "tu" partout mais le prends pas personnellement )

L'opération existe donc il faut la faire.

Elle n'est pas parfaite ? Et alors ?
Oui il y a des risques mais complètement acceptables.
Les complications ne sont pas complètement définitives.
La dépression après ? Bah tu la soignes.
Si t'es pas prêt à dire au revoir à ta bite, tu gardes "M" sur ta carte d'indentité.

D'ailleurs il y a des risques à la prise d'hormones.

Mais aucune trans ne s'atermoient particulièrement sur ceux-ci.
Pourtant une thrombose ça peut plus vite tuer qu'une fistule post-opération.

C'est le confort du pont à moitié traversé ça.
C'est la frilosité de perdre son plaisir onaniste du fait de ne plus pouvoir s'astiquer la tige ou de pénétrer des culs pour les lesbiennes ou les trans avec un garçon mignon.

Une femme n'est pas sensé faire ça !

Si je pouvais avoir une autre opération, un utérus, des règles, mêmes douloureuses, perdre tous mes avantages masculins restants, je le ferais sans hésiter (mais pas sans peur)

Perso j'avais pas une dysphorie de dingo envers mon pénis, si l'opération n'avait pas existé, j'aurais vécu à près ok avec ça, mais j'aimerais réparer autant que possible le bug du genre dont je suis atteinte.
Et l'opération, malgré toute mes craintes, je l'ai toujours vu comme une chance inouie offerte par la société moderne.
Ma chatoune elle est loin d'être parfaite, j'aurais aimé avoir plus de fric pour aller faire un truc du turfu à l'autre bout de la planète, mais je l'aime déjà plus que tout. Je suis même parfois terriblement émue et triste de ne pas avoir été chercher le courage plus tôt. Mais je focalise sur le positif. Un cadeau m'a été fait, je me dois d'être reconnaissante.
Merci Nicolas (et merci moi)

Je vais aller me reposer maintenant. Mes soins et mon stress de dire les termes ce matin m'ont lessivée.

t'as passé des mois à nous dire que t'étais une femme, peu importe les hormones, peu importe le pipou, peu importe les gènes, peu importe ton corps, peu importe tous les signes externes parce que tout ce qui compte c'est ton ressenti

pour finalement revenir nous dire que les trans qui ne se charcutent pas le pipou, ne se promènent pas en robe, ne se font pas une épilation définitive, ne se droguent pas et ne font pas des dizaines ou centaines d'actes médicaux définitifs, dangereux, coûteux, sont des faux trans, des traps ou simplement des hommes, nier leur identité ?

On dirait surtout que tu te rends compte que tu n'as pas de soutien derrière toi, et que si tu veux vivre en société tu dois être accepté par la majorité de la population. Sauf que cette majorité change progressivement, politiquement elle bascule à droite et démographiquement elle bascule vers la couleur sans longueur d'onde.

Que tu fais tout pour prouver que tu es le bon petit soldat de la majorité, des droitards, par peur de finir dans le même panier que l'assassin de Charlie Kirk. Panier qui finira possiblement très mal.

Et on dirait aussi que tu surjoues la bonne mère de famille, le trans "accompli" pour qu'on t'intègre sans poser de questions. Ne pas attirer l'attention sur toi, enfin sur toi mais pas sur ta transidentité.

J'avais déjà un max de réserve sur la question mais j'avais choisi la stratégie de faire la fille super sympa, qui arrondit toujours les angles.
Je l'ai tenue jusqu'au bout mais j'ai bien été forcée de constater qu'à part faire du bien à quelques personnes, ça ne permettait ni de convaincre beaucoup de monde, ni de traduire le fond de ma pensée.

Il y a aussi le fait que maintenant que cette question d’opération est réglée, je peux prendre le temps de me poser et de réfléchir.

L’arrêt de travail, alors que je reprends du poil de la bête est propice à remettre les choses à plat.

Il y a aussi des événements, malheureusement,qui font mûrir une réflexion déjà en chemin.
C’est le cas de la mort de Charlie Kirk.

Je ne m’excuserai pas de mûrir sur la question.

Je n’ai jamais cherché à être spécialement aimée ou me faire des amis ici.
Ça n’a jamais été mon objectif premier.
Ce que j’aime c’est la recherche de la vérité et du débat.
De ce point de vue là je me sentais très proche de Charlie Kirk. Il pourrait être de ma famille.
J’ai été profondément affectée par son assassinat par un terroriste communiste antifasciste woke.

OSEF des trans de manière générale, c'est tellement un non sujet du fait de leur nombre restreint.
On a tendance à surinterpréter leur importance alors qu'IRL j'en ai presque jamais vu...

En revanche, ceux qui militent pour l'extrême gauche et pour la "normalisation" de leur condition (sémantique de devenir la norme) pour détruire l'Occident, ça, c'est non...

Titre volontairement putaclic mais pas si exagéré que ça

J'écoutais cet homme depuis 2 ans via Maudin Malin / Radio Maudin C'était un homme d'une grande bonté d'âme, un débateur redoutable.
Ça lui arrivait de dire des bêtises, ou d'être tellement convaincu d'être dans la vérité via Jesus Christ, qu'il articulait des sophismes.

Pour autant s'il m'était possible de le ramener à vie en torturtant nuit et jour son assassin pendant toute une saison, je n'hésiterai pas une seule seconde.

Voici Charlie Kirk

Voici son assassin

D'ailleurs, quand on les regarde côte à côte, on ne peut s'empêcher de soupçonner que la jalousie a joué dans son acte

Voici le copain trans de la merde humaine au-dessus (je vais pas donner les noms des coupables, ce ne sont plus des fils de, ce ne sont plus des citoyens)

Regardez bien ces photos. Les 2 sous-êtres là ont considérés qu'ils valaient mieux que Charlie Kirk et sa famille, que le sort de milliers de déchets ingrats comme eux prévalaient sur une famille comme celle de Kirk.

Voilà le résultat de 10 ans de wokisme, voilà ce que ça donne quand on fait des trans des enfants rois. Voilà ce que ça fait quand on accepte qu'on peut être des malades auto-diag à la carte.

Je suis dégoûtée.

Et en tant que "femme" (avec tous les guillemets du monde) trans je me sens à la fois salie et responsable.

Les temps vont être durs. J'espère au moins qu'après la tempête, nous verrons fleurir davantage de familles comme celle-ci

et que les malades mentaux comme les deux ordures au dessus seront en HP, en prison ou au bout d'une corde, un tabouret à leurs pieds dans leurs appart vide de vie, de transmission et de transcendance.