Ce sujet a été résolu
Dans les rues d'Alep, des jeunes Syriennes décrivent une réalité marquée par l'influence croissante des normes islamiques. Les autorités assurent que la restriction des libertés des femmes n'est pas leur priorité.
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
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il y a 2 jours
wii
2j
Dans les rues d'Alep, des jeunes Syriennes décrivent une réalité marquée par l'influence croissante des normes islamiques. Les autorités assurent que la restriction des libertés des femmes n'est pas leur priorité.
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Faut les exfiltrer de ce trou à merde
On a pas tous la même couleur de peau mais on a tous la même couleur de popo.
il y a 2 jours
wii
2j
Dans les rues d'Alep, des jeunes Syriennes décrivent une réalité marquée par l'influence croissante des normes islamiques. Les autorités assurent que la restriction des libertés des femmes n'est pas leur priorité.
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
L'islam est la solution
Content que ce pays ai quitté l'athéisme
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I know what you did last summer
il y a 2 jours
L'islam est la solution
Content que ce pays ai quitté l'athéisme
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Tellement la solution que t'es en europe

Créateur du délire "n'existe pas"
il y a 2 jours
Tellement la solution que t'es en europe

il y a 2 jours
L'islam est la solution
Content que ce pays ai quitté l'athéisme
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Ok en fait tu es le secondaire de lapucellerie
il y a 2 jours
Ok en fait tu es le secondaire de lapucellerie
Non je suis juste algérien musulman. Lui il est musulman mais pas maghrébin
I know what you did last summer
il y a 2 jours
wii
2j
Dans les rues d'Alep, des jeunes Syriennes décrivent une réalité marquée par l'influence croissante des normes islamiques. Les autorités assurent que la restriction des libertés des femmes n'est pas leur priorité.
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Il faut vite en accueillir des milliards
il y a 2 jours
Il faut vite en accueillir des milliards
oui je suis d'accord
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il y a 2 jours
l'islam détruit toutes les civilisations qu'elle touche et ce depuis 2000 ans en les ramenant a chaque fois a l'age de pierre
https://www.youtube.com/watch?v=O5UIBAzDx08
il y a 2 jours
tu connais pas l'histoire de l'Afghanistan communiste ?
elle a été aidée, financée et partiellement construite par l'URSS
puis les américains, pakistanais et saoudiens ont financé les islamistes tels que Hekmatyar ou Massoud
en 1995 Kaboul est bombardé par les islamistes, la ville devient le Gaza de 2025
les talibans prennent le pouvoir
et la suite tu la connais : fin de la télévision, pas de musique, femmes en burqa, lapidations, pas de travail.....
elle a été aidée, financée et partiellement construite par l'URSS
puis les américains, pakistanais et saoudiens ont financé les islamistes tels que Hekmatyar ou Massoud
en 1995 Kaboul est bombardé par les islamistes, la ville devient le Gaza de 2025
les talibans prennent le pouvoir
et la suite tu la connais : fin de la télévision, pas de musique, femmes en burqa, lapidations, pas de travail.....
il y a 2 jours
Reste y surtout dans ton pays de consanguin
Créateur du délire "n'existe pas"
il y a 2 jours
l'islam détruit toutes les civilisations qu'elle touche et ce depuis 2000 ans en les ramenant a chaque fois a l'age de pierre
Oui et c'est drôle les islamophobe qui insulte le 7eme siècle a cause de l'islam qui partout dans le monde méditerranéen avait de grande civilisation sauf en Arabie ou Mahomet naquis et essaye de civiliser les arabes a sa sauce.
son délire va partir trop et détruire 60% des civilisations anciennes.
Parce que en vrai mahomet a fait des choses bien pour les sales "arabes" c'était encore pluus le bordel dans les tribus barbares arabes.
le viol de masse l'esclavage intensif les femmes qui n'avaient 0 droit pire que dans l'islam c'était pas beau a voir et le voile arabe était le pire voile existant.
pire que le voile assyrien etc.
son délire va partir trop et détruire 60% des civilisations anciennes.
Parce que en vrai mahomet a fait des choses bien pour les sales "arabes" c'était encore pluus le bordel dans les tribus barbares arabes.
le viol de masse l'esclavage intensif les femmes qui n'avaient 0 droit pire que dans l'islam c'était pas beau a voir et le voile arabe était le pire voile existant.
pire que le voile assyrien etc.
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il y a 2 jours
Reste y surtout dans ton pays de consanguin
J'ai moins de sang consanguin que toi
Et j'ai une meilleure vie en tout point. T'es un sous-homme tandis que je suis un être supérieur à toi
Et j'ai une meilleure vie en tout point. T'es un sous-homme tandis que je suis un être supérieur à toi
I know what you did last summer
il y a 2 jours
Non je suis juste algérien musulman. Lui il est musulman mais pas maghrébin
traitre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dihya
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il y a 2 jours
Oui et c'est drôle les islamophobe qui insulte le 7eme siècle a cause de l'islam qui partout dans le monde méditerranéen avait de grande civilisation sauf en Arabie ou Mahomet naquis et essaye de civiliser les arabes a sa sauce.
son délire va partir trop et détruire 60% des civilisations anciennes.
Parce que en vrai mahomet a fait des choses bien pour les sales "arabes" c'était encore pluus le bordel dans les tribus barbares arabes.
le viol de masse l'esclavage intensif les femmes qui n'avaient 0 droit pire que dans l'islam c'était pas beau a voir et le voile arabe était le pire voile existant.
pire que le voile assyrien etc.
son délire va partir trop et détruire 60% des civilisations anciennes.
Parce que en vrai mahomet a fait des choses bien pour les sales "arabes" c'était encore pluus le bordel dans les tribus barbares arabes.
le viol de masse l'esclavage intensif les femmes qui n'avaient 0 droit pire que dans l'islam c'était pas beau a voir et le voile arabe était le pire voile existant.
pire que le voile assyrien etc.
L'islam est la seule religion qui a instauré des droits pour les femmes, des droits pour les prisonniers de guerre et la seule religion qui a permis la fin de l'esclavage
I know what you did last summer
il y a 2 jours
wii
2j
Dans les rues d'Alep, des jeunes Syriennes décrivent une réalité marquée par l'influence croissante des normes islamiques. Les autorités assurent que la restriction des libertés des femmes n'est pas leur priorité.
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Fatma, Rima et Bayan, sont respectivement professeure, dentiste et architecte. Ces trois jeunes Syriennes, qui habitent Alep, témoignent auprès de France 2 d'un quotidien marqué par de nouvelles réalités sociales et politiques depuis l'arrivée au pouvoir des autorités islamistes. Autour d'elles, des femmes en niqab, le voile intégral, reflètent un changement d'ambiance dans cette ville syrienne où, avant la chute de Bachar al-Assad, cette image était rare.
Les jeunes femmes reconnaissent que la présence de ces pratiquantes d'un islam rigoriste s'est accentuée depuis la chute du dictateur. Elles évoquent leurs propres ressentis : "C'est vrai, on voit plus de femmes en niqab. Chacune a sa façon de faire, c'est leur droit. Est-ce que cela nous dérange ? Oui, au début, ça nous a dérangés beaucoup, mais ça va mieux", confie Fatma. "En vérité, ce qui nous inquiète, c'est que ça devienne obligatoire", réagit Rima. "Il ne faut pas que notre liberté soit limitée."
Ça alors ??????
il y a 2 jours