Heu, non. C'était suffisant pour ton commentaire, clé.
J'ai préféré clarifier.
Non, Jephtah n’a pas sacrifié sa fille en la mettant à mort. Il l’a vouée au service exclusif de Jéhovah au sanctuaire, ce qui expliquait sa virginité perpétuelle et l’absence de descendance. Le texte biblique souligne qu'elle demeura vierge après l'accomplissement du vœu, ce qui indique un dévouement spirituel plutôt qu’un sacrifice humain.
L'expression "offerte en holocauste" dans le vœu de Jephtah est symbolique, pour désigner un dévouement total à Dieu plutôt qu'une mise à mort.
Comme dans d'autres cas bibliques (par exemple Samuel ou Samson), être "offert" signifiait être consacré au service du sanctuaire. Ainsi, l'holocauste véritablement accompli fut probablement un animal, tandis que sa fille fut consacrée à une vie de service et de virginité.
Non, Jephtah n’a pas sacrifié sa fille en la mettant à mort. Il l’a vouée au service exclusif de Jéhovah au sanctuaire, ce qui expliquait sa virginité perpétuelle et l’absence de descendance. Le texte biblique souligne qu'elle demeura vierge après l'accomplissement du vœu, ce qui indique un dévouement spirituel plutôt qu’un sacrifice humain.
L'expression "offerte en holocauste" dans le vœu de Jephtah est symbolique, pour désigner un dévouement total à Dieu plutôt qu'une mise à mort.
Comme dans d'autres cas bibliques (par exemple Samuel ou Samson), être "offert" signifiait être consacré au service du sanctuaire. Ainsi, l'holocauste véritablement accompli fut probablement un animal, tandis que sa fille fut consacrée à une vie de service et de virginité.
Si c’était un homme qui était sorti le premier de la maison, il aurait été, lui aussi, voué à Jéhovah, probablement pour un service lié au sanctuaire ou sous forme de naziréat, selon les possibilités prévues par la Loi. Le vœu de Jephtah impliquait un engagement total envers Dieu, mais pas un sacrifice sanglant — c’était un don de la personne à Dieu pour une vie de service consacré.
Heu, non. C'était suffisant pour ton commentaire, clé.
Les témoins de Jéhovah sont guidés par l'esprit saint pour interpréter correctement les Ecritures
Si c’était un homme qui était sorti le premier de la maison, il aurait été, lui aussi, voué à Jéhovah, probablement pour un service lié au sanctuaire ou sous forme de naziréat, selon les possibilités prévues par la Loi. Le vœu de Jephtah impliquait un engagement total envers Dieu, mais pas un sacrifice sanglant — c’était un don de la personne à Dieu pour une vie de service consacré.
Les témoins de Jéhovah sont guidés par l'esprit saint pour interpréter correctement les Ecritures
Tellement guidé par l’esprit saint qu'ils se sont trompes plusieurs fois en précisant la fin du monde
Jephtah était attristé parce que c’est sa fille, son unique enfant, qui est sortie à sa rencontre, ce qui signifiait qu’il n’aurait plus de descendance. En Israël, avoir une postérité était très important pour la transmission du nom et de l’héritage familial.
Le sacrifice n’était pas sa mort, mais le renoncement à la vie conjugale et à la maternité, ce qui représentait une perte immense pour eux deux.
Si tu as d'autres questions n'hésite pas !
Le sacrifice n’était pas sa mort, mais le renoncement à la vie conjugale et à la maternité, ce qui représentait une perte immense pour eux deux.
Si tu as d'autres questions n'hésite pas !
Tellement guidé par l’esprit saint qu'ils se sont trompes plusieurs fois en précisant la fin du monde
« Ce jour-là et cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges du ciel ni le Fils, mais seulement le Père » (Matthieu 24:36, 42).
Nous ne connaissons pas la date, mais Jéhovah oui.
Nous ne connaissons pas la date, mais Jéhovah oui.
Si c’était un homme qui était sorti le premier de la maison, il aurait été, lui aussi, voué à Jéhovah, probablement pour un service lié au sanctuaire ou sous forme de naziréat, selon les possibilités prévues par la Loi. Le vœu de Jephtah impliquait un engagement total envers Dieu, mais pas un sacrifice sanglant — c’était un don de la personne à Dieu pour une vie de service consacré.
J'ai préféré clarifier.
Non, Jephtah n’a pas sacrifié sa fille en la mettant à mort. Il l’a vouée au service exclusif de Jéhovah au sanctuaire, ce qui expliquait sa virginité perpétuelle et l’absence de descendance. Le texte biblique souligne qu'elle demeura vierge après l'accomplissement du vœu, ce qui indique un dévouement spirituel plutôt qu’un sacrifice humain.
L'expression "offerte en holocauste" dans le vœu de Jephtah est symbolique, pour désigner un dévouement total à Dieu plutôt qu'une mise à mort.
Comme dans d'autres cas bibliques (par exemple Samuel ou Samson), être "offert" signifiait être consacré au service du sanctuaire. Ainsi, l'holocauste véritablement accompli fut probablement un animal, tandis que sa fille fut consacrée à une vie de service et de virginité.
Non, Jephtah n’a pas sacrifié sa fille en la mettant à mort. Il l’a vouée au service exclusif de Jéhovah au sanctuaire, ce qui expliquait sa virginité perpétuelle et l’absence de descendance. Le texte biblique souligne qu'elle demeura vierge après l'accomplissement du vœu, ce qui indique un dévouement spirituel plutôt qu’un sacrifice humain.
L'expression "offerte en holocauste" dans le vœu de Jephtah est symbolique, pour désigner un dévouement total à Dieu plutôt qu'une mise à mort.
Comme dans d'autres cas bibliques (par exemple Samuel ou Samson), être "offert" signifiait être consacré au service du sanctuaire. Ainsi, l'holocauste véritablement accompli fut probablement un animal, tandis que sa fille fut consacrée à une vie de service et de virginité.
Après, c'est le Tanakh, donc bon. C'est certain que tu as des nuances selon tel dogme, mais si on parle l'original. Je sais que tu suis un certain dogme, comme on peut en trouver ailleurs. le texte biblique original (hébreu massorétique).
L'op te dit simplement que le texte parle explicitement d'holocauste. Olah = sacrifice consumé par le feu (holocauste). Ce terme n’est jamais utilisé pour un simple dévouement symbolique ou service au Temple.
Le récit insiste sur l’accomplissement du vœu. Juges 11:39 : Au bout de deux mois, elle revint vers son père, et il accomplit sur elle le vœu qu’il avait fait. Elle n’avait point connu d’homme. Le texte conclut par l’accomplissement du vœu, pas par une substitution animale ni par un service cultuel, la mention de sa virginité.
Le texte dit : elle n’avait point connu d’homme, cela souligne la cruauté du vœu (elle mourut sans descendance, un drame en Israël). Mais cela ne signifie pas qu’elle a juste "servi au Temple". Cela rappelle surtout que sa lignée s’est éteinte. Pas de mention d’une substitution, contrairement à Genèse 22 (Abraham/Isaac), où Yahvé fournit un bélier pour éviter le sacrifice humain, ici il n’y a aucun substitut.
L’auteur veut choquer le lecteur : un juge d’Israël, influencé par des pratiques païennes, sacrifie sa propre fille, tradition juive et chrétienne ancienne. Les rabbins du Talmud, les Pères de l’Église, ainsi que Flavius Josèphe, comprennent le texte comme un sacrifice humain réel. L’interprétation elle a seulement été consacrée est une lecture moderne pour adoucir un texte difficile.
Il faut dire que si tu respectes le sens original de la Torah, tu auras des règles précises et assumées, tandis que des dogmes qui viennent plus tard vont chercher à adapter le texte pour le rendre moins polémique, mais bon, c'est comme du temps de Maïmonide, il a changé la nature divine, il passe du dieu colérique et temporel à un dieu distant, parfait, on sait tous en lisant la Torah que le dieu revient sur des décisions, agit, etc.
L'op te dit simplement que le texte parle explicitement d'holocauste. Olah = sacrifice consumé par le feu (holocauste). Ce terme n’est jamais utilisé pour un simple dévouement symbolique ou service au Temple.
Le récit insiste sur l’accomplissement du vœu. Juges 11:39 : Au bout de deux mois, elle revint vers son père, et il accomplit sur elle le vœu qu’il avait fait. Elle n’avait point connu d’homme. Le texte conclut par l’accomplissement du vœu, pas par une substitution animale ni par un service cultuel, la mention de sa virginité.
Le texte dit : elle n’avait point connu d’homme, cela souligne la cruauté du vœu (elle mourut sans descendance, un drame en Israël). Mais cela ne signifie pas qu’elle a juste "servi au Temple". Cela rappelle surtout que sa lignée s’est éteinte. Pas de mention d’une substitution, contrairement à Genèse 22 (Abraham/Isaac), où Yahvé fournit un bélier pour éviter le sacrifice humain, ici il n’y a aucun substitut.
L’auteur veut choquer le lecteur : un juge d’Israël, influencé par des pratiques païennes, sacrifie sa propre fille, tradition juive et chrétienne ancienne. Les rabbins du Talmud, les Pères de l’Église, ainsi que Flavius Josèphe, comprennent le texte comme un sacrifice humain réel. L’interprétation elle a seulement été consacrée est une lecture moderne pour adoucir un texte difficile.
Il faut dire que si tu respectes le sens original de la Torah, tu auras des règles précises et assumées, tandis que des dogmes qui viennent plus tard vont chercher à adapter le texte pour le rendre moins polémique, mais bon, c'est comme du temps de Maïmonide, il a changé la nature divine, il passe du dieu colérique et temporel à un dieu distant, parfait, on sait tous en lisant la Torah que le dieu revient sur des décisions, agit, etc.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
« Ce jour-là et cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges du ciel ni le Fils, mais seulement le Père » (Matthieu 24:36, 42).
Nous ne connaissons pas la date, mais Jéhovah oui.
Nous ne connaissons pas la date, mais Jéhovah oui.
Cela n'est pas exacte. L'analyse sérieuse montre que le vœu de Jephté n’impliquait pas un sacrifice humain, mais une consécration.
L'objectif des courants plus récents, dont les juifs en majorité à nos jours suivant le Talmud et la Kabbale, c'est de faire croire que leur divinité était soi-disant celle décrite par les concepts grecs repris des chrétiens pour faire leur dogme à l'époque, donc avant le Talmud de Babylone.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
Magazine de 1967:
“Que dire de l’année 1975 ? Quelle signification aura-t-elle ? Devons-nous croire qu’en 1975 Harmaguédon aura pris fin et que Satan aura été lié ? Cela se peut ! Oui, cela se peut ! Toutes choses sont possibles à Dieu. Faut-il entendre que d’ici cette date Babylone la Grande aura alors disparu ? Cela se peut ! Cela veut-il dire que Gog de Magog est sur le point de déclencher son attaque contre les témoins de Jéhovah dans le but de les exterminer, et qu’il sera alors mis hors d’état de nuire ? Cela se peut ! Mais nous n’affirmons rien. Tout est possible à Dieu. Mais nous n’affirmons rien. Et que nul d’entre vous ne se révèle dogmatique en parlant de ce qui va se passer d’ici 1975.
https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1966763
Si tu as d'autres questions n'hésite pas !
“Que dire de l’année 1975 ? Quelle signification aura-t-elle ? Devons-nous croire qu’en 1975 Harmaguédon aura pris fin et que Satan aura été lié ? Cela se peut ! Oui, cela se peut ! Toutes choses sont possibles à Dieu. Faut-il entendre que d’ici cette date Babylone la Grande aura alors disparu ? Cela se peut ! Cela veut-il dire que Gog de Magog est sur le point de déclencher son attaque contre les témoins de Jéhovah dans le but de les exterminer, et qu’il sera alors mis hors d’état de nuire ? Cela se peut ! Mais nous n’affirmons rien. Tout est possible à Dieu. Mais nous n’affirmons rien. Et que nul d’entre vous ne se révèle dogmatique en parlant de ce qui va se passer d’ici 1975.
Si tu as d'autres questions n'hésite pas !
Après, c'est le Tanakh, donc bon. C'est certain que tu as des nuances selon tel dogme, mais si on parle l'original. Je sais que tu suis un certain dogme, comme on peut en trouver ailleurs. le texte biblique original (hébreu massorétique).
L'op te dit simplement que le texte parle explicitement d'holocauste. Olah = sacrifice consumé par le feu (holocauste). Ce terme n’est jamais utilisé pour un simple dévouement symbolique ou service au Temple.
Le récit insiste sur l’accomplissement du vœu. Juges 11:39 : Au bout de deux mois, elle revint vers son père, et il accomplit sur elle le vœu qu’il avait fait. Elle n’avait point connu d’homme. Le texte conclut par l’accomplissement du vœu, pas par une substitution animale ni par un service cultuel, la mention de sa virginité.
Le texte dit : elle n’avait point connu d’homme, cela souligne la cruauté du vœu (elle mourut sans descendance, un drame en Israël). Mais cela ne signifie pas qu’elle a juste "servi au Temple". Cela rappelle surtout que sa lignée s’est éteinte. Pas de mention d’une substitution, contrairement à Genèse 22 (Abraham/Isaac), où Yahvé fournit un bélier pour éviter le sacrifice humain, ici il n’y a aucun substitut.
L’auteur veut choquer le lecteur : un juge d’Israël, influencé par des pratiques païennes, sacrifie sa propre fille, tradition juive et chrétienne ancienne. Les rabbins du Talmud, les Pères de l’Église, ainsi que Flavius Josèphe, comprennent le texte comme un sacrifice humain réel. L’interprétation elle a seulement été consacrée est une lecture moderne pour adoucir un texte difficile.
Il faut dire que si tu respectes le sens original de la Torah, tu auras des règles précises et assumées, tandis que des dogmes qui viennent plus tard vont chercher à adapter le texte pour le rendre moins polémique, mais bon, c'est comme du temps de Maïmonide, il a changé la nature divine, il passe du dieu colérique et temporel à un dieu distant, parfait, on sait tous en lisant la Torah que le dieu revient sur des décisions, agit, etc.
L'op te dit simplement que le texte parle explicitement d'holocauste. Olah = sacrifice consumé par le feu (holocauste). Ce terme n’est jamais utilisé pour un simple dévouement symbolique ou service au Temple.
Le récit insiste sur l’accomplissement du vœu. Juges 11:39 : Au bout de deux mois, elle revint vers son père, et il accomplit sur elle le vœu qu’il avait fait. Elle n’avait point connu d’homme. Le texte conclut par l’accomplissement du vœu, pas par une substitution animale ni par un service cultuel, la mention de sa virginité.
Le texte dit : elle n’avait point connu d’homme, cela souligne la cruauté du vœu (elle mourut sans descendance, un drame en Israël). Mais cela ne signifie pas qu’elle a juste "servi au Temple". Cela rappelle surtout que sa lignée s’est éteinte. Pas de mention d’une substitution, contrairement à Genèse 22 (Abraham/Isaac), où Yahvé fournit un bélier pour éviter le sacrifice humain, ici il n’y a aucun substitut.
L’auteur veut choquer le lecteur : un juge d’Israël, influencé par des pratiques païennes, sacrifie sa propre fille, tradition juive et chrétienne ancienne. Les rabbins du Talmud, les Pères de l’Église, ainsi que Flavius Josèphe, comprennent le texte comme un sacrifice humain réel. L’interprétation elle a seulement été consacrée est une lecture moderne pour adoucir un texte difficile.
Il faut dire que si tu respectes le sens original de la Torah, tu auras des règles précises et assumées, tandis que des dogmes qui viennent plus tard vont chercher à adapter le texte pour le rendre moins polémique, mais bon, c'est comme du temps de Maïmonide, il a changé la nature divine, il passe du dieu colérique et temporel à un dieu distant, parfait, on sait tous en lisant la Torah que le dieu revient sur des décisions, agit, etc.
L'esprit de Jéhovah guide notre congrégation pour interpréter fidèlement le texte
Il y a le faux et le vrai dieu
L'esprit de Jéhovah guide notre congrégation pour interpréter fidèlement le texte
Il y a le faux et le vrai dieu
Jean 17:3 ►
Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.
Le Père, Jéhovah, est le Seul Vrai Dieu. Et Jésus est son messager.
Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.
Le Père, Jéhovah, est le Seul Vrai Dieu. Et Jésus est son messager.
Cela n'est pas exacte. L'analyse sérieuse montre que le vœu de Jephté n’impliquait pas un sacrifice humain, mais une consécration.
Tu es encore en train de mentir
30 Et Jephté fit un vœug à Jéhovah et dit : « Si tu m’accordes la victoire sur les Ammonites, 31 alors, quand je reviendrai en paix de chez les Ammonites, quelle que soit la personne qui passera la porte de ma maison pour venir à ma rencontre, cette personne appartiendra à Jéhovahh, et je l’offrirai en holocaustei. »
30 Et Jephté fit un vœug à Jéhovah et dit : « Si tu m’accordes la victoire sur les Ammonites, 31 alors, quand je reviendrai en paix de chez les Ammonites, quelle que soit la personne qui passera la porte de ma maison pour venir à ma rencontre, cette personne appartiendra à Jéhovahh, et je l’offrirai en holocaustei. »