1m93-Kun m'a ghosté ajd, c'est déjà over
Une autre personne me ghoste plus ou moins depuis 3 semaines (mets 10 à 15h+ à répondre une ligne)
J'abandonne
Une autre personne me ghoste plus ou moins depuis 3 semaines (mets 10 à 15h+ à répondre une ligne)
J'abandonne
T'es pas sensé être en couple avec le mec qui vit au Portugal ?
Tu sais que tous les personnages de ce manga (Patalliro) sont des garçons ?
Je l'avais bien compris
Arrêt non desservi
Ha mais c'est jemis
j'ai fait une descente de gradient en espérant trouver un chemin en bas, j'ai trouvé un très long chemin et j'ai fini par trouver une très belle maison avec un couple d'architectes à la retraite qui m'a proposé de me reconduire ché moi
La vie en mode facile, moi on ne m'aurait pas ouvert
je vais te laver la bouche au savon de Marseille
𓍊𓋼 🌬⚛⋆༺𓆩𓆪༻⋆⛈𓇢𓆸🌫𓇼꩜ ⋆｡°✩ 𓆝 𓆟 𓆞 𓆝 𓆟 ⋆｡°✩ ꩜𓇼🌫𓇢𓆸⛈⋆༺𓆩𓆪༻⋆⚛🌬𓋼𓍊
La vie en mode facile, moi on ne m'aurait pas ouvert
Moi on aurait carrément appelé la police en pleure suppliant de m'abattre
Sisyphe 🍩
@sisyphe j'ai trouvé une idée philosophique promise à beaucoup d'avenir, il faut relier la critique herméneutique de la phénoménologie (Heidegger, Gamader, Ricoeur, Grondin) à la métaphysique catholique du XXème siècle (Lubac, von Balthasar, Przywara, Ulrich, Blondel). les premiers justifient rigoureusement l'impossibilité de différencier radicalement la philosophie de la spiritualité, la nécessité pour la pensée de fonctionner par voies analogiques et en particulier symboliques, et montrent l'inanité des doctrines de la limitation transcendantale de la pensée par elle-même, les seconds montrent que la pensée a besoin du surnaturel, que l'analogia entis pointe vers l'infini, que l'esthétique aboutit en théologie et que l'intelligence de l'homme tend intégralement vers le divin
je crois que les deux sont très compatibles et relativement faciles à relier pour faire une philosophie anagogique qui se fonde dans les considérations des premiers sur la connaissance et qui montrant que la pensée ne peut pas se réduire elle-même arrive à dire que dans les modes de connaissance qu'elle ne peut pas se refuser et dont elle ne peut pas refuser qu'ils pointent vers quelque chose de sensé, tout pointe par une sorte de communion esthétique, spirituelle, logique, harmonieuse, vers le divin au fond du mystère
ça permet d'ancrer solidement la nécessité de la spiritualité, de recentrer l'apologétique sur des considérations harmoniques, de justifier l'importance de la poésie en évitant de la dissocier de la spéculation intellectuelle et de la mystique, de ne pas immanentiser la Révélation en retirant le saut interprétatif qui la fait recevoir, de rendre ses lettres de noblesse philosophiques à l'imagination (on pourra s'inspirer de Henry Corbin) comme voie de méditation du sacré, de récupérer les thèses mystiques sur la liturgie (on peut reprendre Louis Bouyer), de justifier l'oecuménisme en conservant la crédibilité des spiritualités non catholiques tout en montrant qu'elles ont une lumière moindre, et de rendre toute son importance à la sagesse, au discernement et à la foi personnelle en prenant compte de toute la complexité du réel, et peut-être reconstituer une cosmologie mais ça j'y réfléchis c'est compliqué
je crois que les deux sont très compatibles et relativement faciles à relier pour faire une philosophie anagogique qui se fonde dans les considérations des premiers sur la connaissance et qui montrant que la pensée ne peut pas se réduire elle-même arrive à dire que dans les modes de connaissance qu'elle ne peut pas se refuser et dont elle ne peut pas refuser qu'ils pointent vers quelque chose de sensé, tout pointe par une sorte de communion esthétique, spirituelle, logique, harmonieuse, vers le divin au fond du mystère
ça permet d'ancrer solidement la nécessité de la spiritualité, de recentrer l'apologétique sur des considérations harmoniques, de justifier l'importance de la poésie en évitant de la dissocier de la spéculation intellectuelle et de la mystique, de ne pas immanentiser la Révélation en retirant le saut interprétatif qui la fait recevoir, de rendre ses lettres de noblesse philosophiques à l'imagination (on pourra s'inspirer de Henry Corbin) comme voie de méditation du sacré, de récupérer les thèses mystiques sur la liturgie (on peut reprendre Louis Bouyer), de justifier l'oecuménisme en conservant la crédibilité des spiritualités non catholiques tout en montrant qu'elles ont une lumière moindre, et de rendre toute son importance à la sagesse, au discernement et à la foi personnelle en prenant compte de toute la complexité du réel, et peut-être reconstituer une cosmologie mais ça j'y réfléchis c'est compliqué
Je manque de recul critique donc je ne vais pas m'avancer plus que ça mais je m'interroge sur la méthode. La synthèse est si ample, je me demande comment peut-on articuler et structurer ça sans être allusif voire élusif
Je voulais aussi anoblir l'imagination pour la sauver des mutilations de la philo moderne, j'étais tombé sur la notion d'imaginal. je n'ai lu ni corbin ni ibn 'arabi, mais à l'époque je m'étais approprié le mot comme un sagouin pour penser un espace dialogal où pouvait se déployer une communion (cad Dieu qui se regarde en l'imagination, et celle-ci voit par Son regard), de sorte à donner à une forme d'imagination une dimension noétique. Je voyais l'imaginal comme un seuil intra-sensible et supra-rationnel où se refletait la double présence de Dieu, qui nous est à la fois intime et transcendant. Un plan à la fois idéel, intérieur et réel, où la grâce informe l’imagination, où l’image devient transparence du Verbe. Il ne s'agit pas d'une projection subjective mais d'un accueil, le sujet se met au service de ce qui se révèle. Ça me permettait de penser un cadre plus élevé où pouvaient se concerter aisthesis, l’action de percevoir véritablement, et aistheton, ce qui a été véritablement perçu, et de quitter les sentiers restrictifs des acceptions modernes de l'imagination. on m'a dit que c'était nul alors j'ai bandonné pour laisser ça aux autres
Je voulais aussi anoblir l'imagination pour la sauver des mutilations de la philo moderne, j'étais tombé sur la notion d'imaginal. je n'ai lu ni corbin ni ibn 'arabi, mais à l'époque je m'étais approprié le mot comme un sagouin pour penser un espace dialogal où pouvait se déployer une communion (cad Dieu qui se regarde en l'imagination, et celle-ci voit par Son regard), de sorte à donner à une forme d'imagination une dimension noétique. Je voyais l'imaginal comme un seuil intra-sensible et supra-rationnel où se refletait la double présence de Dieu, qui nous est à la fois intime et transcendant. Un plan à la fois idéel, intérieur et réel, où la grâce informe l’imagination, où l’image devient transparence du Verbe. Il ne s'agit pas d'une projection subjective mais d'un accueil, le sujet se met au service de ce qui se révèle. Ça me permettait de penser un cadre plus élevé où pouvaient se concerter aisthesis, l’action de percevoir véritablement, et aistheton, ce qui a été véritablement perçu, et de quitter les sentiers restrictifs des acceptions modernes de l'imagination. on m'a dit que c'était nul alors j'ai bandonné pour laisser ça aux autres
@sisyphe j'ai trouvé une idée philosophique promise à beaucoup d'avenir, il faut relier la critique herméneutique de la phénoménologie (Heidegger, Gamader, Ricoeur, Grondin) à la métaphysique catholique du XXème siècle (Lubac, von Balthasar, Przywara, Ulrich, Blondel). les premiers justifient rigoureusement l'impossibilité de différencier radicalement la philosophie de la spiritualité, la nécessité pour la pensée de fonctionner par voies analogiques et en particulier symboliques, et montrent l'inanité des doctrines de la limitation transcendantale de la pensée par elle-même, les seconds montrent que la pensée a besoin du surnaturel, que l'analogia entis pointe vers l'infini, que l'esthétique aboutit en théologie et que l'intelligence de l'homme tend intégralement vers le divin
je crois que les deux sont très compatibles et relativement faciles à relier pour faire une philosophie anagogique qui se fonde dans les considérations des premiers sur la connaissance et qui montrant que la pensée ne peut pas se réduire elle-même arrive à dire que dans les modes de connaissance qu'elle ne peut pas se refuser et dont elle ne peut pas refuser qu'ils pointent vers quelque chose de sensé, tout pointe par une sorte de communion esthétique, spirituelle, logique, harmonieuse, vers le divin au fond du mystère
ça permet d'ancrer solidement la nécessité de la spiritualité, de recentrer l'apologétique sur des considérations harmoniques, de justifier l'importance de la poésie en évitant de la dissocier de la spéculation intellectuelle et de la mystique, de ne pas immanentiser la Révélation en retirant le saut interprétatif qui la fait recevoir, de rendre ses lettres de noblesse philosophiques à l'imagination (on pourra s'inspirer de Henry Corbin) comme voie de méditation du sacré, de récupérer les thèses mystiques sur la liturgie (on peut reprendre Louis Bouyer), de justifier l'oecuménisme en conservant la crédibilité des spiritualités non catholiques tout en montrant qu'elles ont une lumière moindre, et de rendre toute son importance à la sagesse, au discernement et à la foi personnelle en prenant compte de toute la complexité du réel, et peut-être reconstituer une cosmologie mais ça j'y réfléchis c'est compliqué
je crois que les deux sont très compatibles et relativement faciles à relier pour faire une philosophie anagogique qui se fonde dans les considérations des premiers sur la connaissance et qui montrant que la pensée ne peut pas se réduire elle-même arrive à dire que dans les modes de connaissance qu'elle ne peut pas se refuser et dont elle ne peut pas refuser qu'ils pointent vers quelque chose de sensé, tout pointe par une sorte de communion esthétique, spirituelle, logique, harmonieuse, vers le divin au fond du mystère
ça permet d'ancrer solidement la nécessité de la spiritualité, de recentrer l'apologétique sur des considérations harmoniques, de justifier l'importance de la poésie en évitant de la dissocier de la spéculation intellectuelle et de la mystique, de ne pas immanentiser la Révélation en retirant le saut interprétatif qui la fait recevoir, de rendre ses lettres de noblesse philosophiques à l'imagination (on pourra s'inspirer de Henry Corbin) comme voie de méditation du sacré, de récupérer les thèses mystiques sur la liturgie (on peut reprendre Louis Bouyer), de justifier l'oecuménisme en conservant la crédibilité des spiritualités non catholiques tout en montrant qu'elles ont une lumière moindre, et de rendre toute son importance à la sagesse, au discernement et à la foi personnelle en prenant compte de toute la complexité du réel, et peut-être reconstituer une cosmologie mais ça j'y réfléchis c'est compliqué
En bref, j'essayais seulement de mettre en relation l'inspiré et l'Inspirateur à travers un espace communicatif et participatif dans lequel les réalités spirituelles se corporalisent et inversement. Je crois que l'art est théonomique et il me fallait bien un tertium quid pour articuler ma pensée. C'est germinal, imprécis et décousu, mais bon, je te le partage komeme
Plus largement, c'est la relation organique entre le voir, le langage et la pensée qui m'intéresse
Plus largement, c'est la relation organique entre le voir, le langage et la pensée qui m'intéresse
Sinon je t'en parlerai une autre fois, mais j'enchaîne les échecs avec mes parents, ils semblent imperméables à toutes mes tentatives
Sisyphe a gagné
Je vous jure je vais vraiment mourir
Je vous jure je vais vraiment mourir
J'ai commencé à 8h je finis à 19h
Je vous jure je vais vraiment mourir