Ce sujet a été résolu
Je met ses crottes dans mes narines et je renifle jusqu'à mourir d'asphyxie
Je bouffe sa merde, je la chie et je la remange indéfiniment
Surhomme
il y a 3 heures
Non pas du tout, j'ai toujours été athée et ce sur tous les sujets, j'ai jamais eu la moindre croyance c'est un concept étranger pour moi.
Si je ne sais pas alors je sais pas j'ai pas besoin d'un dieu, d'esprits, des astres, de la divination ou du père Noël pour expliquer les inconnus de l'existence j'accepte juste ne pas savoir et c'est tout
Si je ne sais pas alors je sais pas j'ai pas besoin d'un dieu, d'esprits, des astres, de la divination ou du père Noël pour expliquer les inconnus de l'existence j'accepte juste ne pas savoir et c'est tout
Personne n'échappe à la croyance
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
il y a 3 heures
Personne n'échappe à la croyance
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Je crois surtout que tu vas t'asseoir sur ma gueule pour que je nettoie ta petite rondelle toute rose avec ma langue
Surhomme
il y a 3 heures
Personne n'échappe à la croyance
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel

il y a 3 heures
Personne n'échappe à la croyance
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Moi aussi j'accepte de ne pas savoir, je suis un partisan du mystère, du flou, de l'apophatisme, de la docte ignorance. C'est précisément cette inconnaissabilité qui pousse à la contemplation et à l'humilité
Et cette contemplation, c'est justement elle qui nous permet d'éprouver le sentiment de l'infini, de le vivre dans notre conscience finie. L’infini ne se pense pas en tant qu’objet mais se laisse éprouver à la lisière du vécu, il est ce qui force l’ouverture de la subjectivité à un toujours-plus, forme la finitude et la dévoile au sujet pensant. Tu le sens ça, non ? C'est comme un appel
Je comprend rien quand tu me parle
j'vais me coucher
il y a 2 heures
Je vais le lire hein mais t'abuses un peu
pfff moi quand j'écris à peu près pareil vous lisez même pas
il y a 42 minutes
pfff moi quand j'écris à peu près pareil vous lisez même pas
il y a 41 minutes
Désolé on est tous amoureux de Sisyphe
il y a 37 minutes