Ce sujet a été résolu
Je thinkent
Avec les engrenages dans la tête qui tournent et tout ou alors les nuages ?
il y a 2 heures
Avec les engrenages dans la tête qui tournent et tout ou alors les nuages ?
Ni l'un ni l'autre, juste ça


il y a 2 heures
Ni l'un ni l'autre, juste ça


J'ai le son qui s'est spam dans ma tête du coup ahi
Tu think à toutes tes erreurs ?
Tu think à toutes tes erreurs ?
il y a 2 heures
J'ai le son qui s'est spam dans ma tête du coup ahi
Tu think à toutes tes erreurs ?
Tu think à toutes tes erreurs ?
Nan je thinkent à des trucs qui finissent en erreur car je ne connais pas la réponse
il y a 2 heures
je suis contente que tu aies été joyeux en sortant ! j'espère que ce sentiment va t'inspirer beaucoup de bonnes initiatives. je sais que je te l'ai déjà dit plusieurs fois mais je crois qu'en plus de la vertu spirituelle il y a une sorte de vertu sanitaire et somatique à l'ascèse et à la joie, tu devrais vraiment essayer de voyager un peu, d'égayer et d'éclairer ton esprit, d'abandonner les lectures perverses. l'équilibre du corps et la capacité d'élévation de l'esprit vont de pair, plonger son esprit dans des oeuvres malsaines est mauvais pour la santé, et avoir un mode de vie claustral abime l'âme. si tu te contentes de compter sur la chimie, les biens que tu peux en tirer momentanément vont passer, car nous vivons dans un monde où les corps sont périssables, mais l'âme est éternelle et touche à l'infinie, si la chimie sert de piédestal, c'est bien, mais il faut passer le pas et se vouer à l'amour de la clarté
Je n'avais pas répondu sur le fond.
Je sais qu'il faut m'échapper de la prison où depuis toute ma vie d'homme j'ai rongé mon frein et serré mes poings. J'ai rêvé de lointaine Pampa, de glaciers et toundras couverts des lychens rougeâtres, parsemés d'os de monstrueuses bêtes blanchis par les siècles, j'ai vu ces rares fleurs porteuses d'espoir dans ces terres mortes. J'ai rêvé des temples impossibles et monstrueux des Borobudur et des Birmanies perdues dans des jungles épaisses. J'ai vu enfin les foyers des anges et des dieux sur toute l'Italie et la Grêce.
J'ai voyagé souvent autour des quatre murs jaunis de ma chambre de bonne, et j'ai vu par ma petite fenêtre à droite des vagues maisons bigarrées qui s'étendent jusqu'aux forêts. J'ai vu rassuré ma porte verrouillée et sécure à ma gauche. Tout va bien dans mon paradis, les amas de livres étouffent les bruits du dehors, seuls les clapottis paisibles des averses résonnent quelques fois sur mon toit en ardoise. Je ne sais au juste, quelques fois, s'il fait jour ou nuit, si c'est l'hiver ou l'été, si c'est bien moi dans cette chambre ou un automate qui m'aurait remplacé dans une bizarre imposture.
Dans mes rêves seulement, parfois, j'aperçois ces monts, ces temples, ces peuples, îles, océans, amis, vies qui n'existent plus, quand l'oeil lourd j'émerge de ces voyages des longs sommeils.
Je sais, Sainte, tu m'as vu, cet homme en sa cellule en pénitence insensée, priant et espérant ardemment une félicité d'un Dieu auquel il ne croit pas et dont tristement il ricane au milieu de ses vanités.
Je sais l'urgence du mal qui m'attends. Si je continue à l'ignorer, des herbes mauvaises et follâtres étendront leurs racines dans les restes fatigués et putréfiés de mes dendrites. Mon âme un jour s'hérissera de ces funestes fruits des lothophages. Le reste de ma vie sera une plongée dans l'oubli. Je vivrai comme si j'étais au milieu d'une lente et agréable mort.
Pour enherber enfin cette âme, pour que les saines semailles germent, je dois sortir et je dois vivre. Mais j'ai peur encore, le confort si normal pour les autres de sortir sans se sentir pourchassé à mort par d'invisibles menaces est tout nouveau, instable, fébrile et imprévisible encore. Lorsque j'aurai pris l'habitude que je souhaite profondément de ne plus sentir le monde extérieur comme un enfer pour moi, que j'aurai planté fermement en moi les premiers ferments de la confiance normale de tout être humain en l'existence hors de soi, alors oui, je suivrai la voie que tu m'indiques de ta main bénévolente.
Je sais qu'il faut m'échapper de la prison où depuis toute ma vie d'homme j'ai rongé mon frein et serré mes poings. J'ai rêvé de lointaine Pampa, de glaciers et toundras couverts des lychens rougeâtres, parsemés d'os de monstrueuses bêtes blanchis par les siècles, j'ai vu ces rares fleurs porteuses d'espoir dans ces terres mortes. J'ai rêvé des temples impossibles et monstrueux des Borobudur et des Birmanies perdues dans des jungles épaisses. J'ai vu enfin les foyers des anges et des dieux sur toute l'Italie et la Grêce.
J'ai voyagé souvent autour des quatre murs jaunis de ma chambre de bonne, et j'ai vu par ma petite fenêtre à droite des vagues maisons bigarrées qui s'étendent jusqu'aux forêts. J'ai vu rassuré ma porte verrouillée et sécure à ma gauche. Tout va bien dans mon paradis, les amas de livres étouffent les bruits du dehors, seuls les clapottis paisibles des averses résonnent quelques fois sur mon toit en ardoise. Je ne sais au juste, quelques fois, s'il fait jour ou nuit, si c'est l'hiver ou l'été, si c'est bien moi dans cette chambre ou un automate qui m'aurait remplacé dans une bizarre imposture.
Dans mes rêves seulement, parfois, j'aperçois ces monts, ces temples, ces peuples, îles, océans, amis, vies qui n'existent plus, quand l'oeil lourd j'émerge de ces voyages des longs sommeils.
Je sais, Sainte, tu m'as vu, cet homme en sa cellule en pénitence insensée, priant et espérant ardemment une félicité d'un Dieu auquel il ne croit pas et dont tristement il ricane au milieu de ses vanités.
Je sais l'urgence du mal qui m'attends. Si je continue à l'ignorer, des herbes mauvaises et follâtres étendront leurs racines dans les restes fatigués et putréfiés de mes dendrites. Mon âme un jour s'hérissera de ces funestes fruits des lothophages. Le reste de ma vie sera une plongée dans l'oubli. Je vivrai comme si j'étais au milieu d'une lente et agréable mort.
Pour enherber enfin cette âme, pour que les saines semailles germent, je dois sortir et je dois vivre. Mais j'ai peur encore, le confort si normal pour les autres de sortir sans se sentir pourchassé à mort par d'invisibles menaces est tout nouveau, instable, fébrile et imprévisible encore. Lorsque j'aurai pris l'habitude que je souhaite profondément de ne plus sentir le monde extérieur comme un enfer pour moi, que j'aurai planté fermement en moi les premiers ferments de la confiance normale de tout être humain en l'existence hors de soi, alors oui, je suivrai la voie que tu m'indiques de ta main bénévolente.
il y a 2 heures
j'écrivais un pavax poétique
toi tu dois dormir maintenant, les paupières fermées sur tes yeux mouillés d'eau de perle
toi tu dois dormir maintenant, les paupières fermées sur tes yeux mouillés d'eau de perle
il y a 2 heures
Ayaa comment il lui parle, stylé les dents, la canne, le manteau long en cuir
sexemodel c'etait mieux avant je remarque
sexemodel c'etait mieux avant je remarque
T'as vu sa classe et son aura immense ? Et Catherine Deneuve en bourgeoise innocente et hypnotisée par l'indicible désir. Dans le film elle est mariée à un très beau et gentil médecin, mais qui l'ennuie... elle tombe par hasard sur un bordel proche de chez elle, une pulsion la saisit et elle y entre. Il y a une relation ambigüe lesbienne avec la Madame, tenancière, etc. etc.
il y a 2 heures
RoiSage
4h
ou trouver un menteau en laine qui descende en dessous des genoux ?
vinted en connaissant les bonnes marques, en demandant à tes cousins stylax
il y a 2 heures
Les marques luxes les parisix intellos portent tous ces manteaux en hiver
Faut essayer aussi et connaître vite fait ton tour d'épaule et de poitrine
Faut essayer aussi et connaître vite fait ton tour d'épaule et de poitrine
il y a 2 heures