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Tiens le en laisse ma parole
:kyaru_join:
Non mais je ne veux plus entendre parler de lui désormais
:AnyaLit:
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il y a 3 heures
Pour me briser le cœur oui...
Oublie-là, elle ne te mérite pas
:chat_fdv_lire:
il y a 3 heures
Excitant plutot non ?
:Shinobou:
Non
:risibli:
il y a 3 heures
MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
En pp hein
:Chatsplif:
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il y a 3 heures
Non mais je ne veux plus entendre parler de lui désormais
:AnyaLit:
Ah non, pas de drama queen pour si peu
:Rikablivion_Colere:
MITAAAAA
il y a 3 heures
Non
:risibli:
Taré
:Hamtaro_choque:
MITAAAAA
il y a 3 heures
Il se passe quoi avec Lysa là
:chaton_pain:
J'ai la vie la plus difficile du blabla
:AAH:
Maybe I just want to maybe...
il y a 3 heures
Non
:risibli:
envoie bibliothèque
:Habonn:
Maybe I just want to maybe...
il y a 3 heures
eqa
eqa
4h
Enft je vous confondais au début
Comment ça ?
:konzoomed:
Je te ferais nettoyer mes bottes avec ta langue avant de t'écraser les couilles avec
:Ashley_queen:
il y a 3 heures
J'ai déjà mes libraires de pocket + c'est très bien Vrin, mais c'est vrai que j'aimerais bien me procurer Proclus en Budé en occasion
:NormalRika:
y'a des commentaires de Proclus qui sont édités chez Vrin genre commentaire à la République de mémoire, il est reparti entre LBL et Vrin
:Habonn:
il y a 3 heures
Ah ouais, Proclus en Budé, c'est le Graal pour qui veut plonger dans le néoplatonisme sans se noyer dans les notes pédantes des éditions savantes. J'en ai déniché un en occasion sur un site de brocanteux en ligne, pour 45€, état correct mais avec une tranche un peu jaunie comme un vieux parchemin
:ordisuisei_high:


Vrin, c'est du solide pour la philo antique, mais Budé, c'est l'élégance latine qui transperce, un peu comme si Plotin te chuchotait à l'oreille depuis l'ombre d'Athènes.Et pour la tranche vs le dos, ayaa, t'as raison, c'est le genre de confusion qui trahit les profanes, ceux qui voient un livre comme un gadget, pas comme un reliquaire. La tranche, c'est la chair vive des pages, là où le savoir saigne un peu ; le dos, c'est l'échine usée par les lectures voraces. Krkrkr, les gens qui disent "dos" pour tout, c'est comme confondre l'âme et le corps, une bévue bourgeoise typique.
:miko_bong:
si t'as un budé avec une tranche jaunie c'est probablement qu'il a été édité avant les années 90 donc avant que la collection Budé ait fait la transition du papier bois acide au papier qui respecte les normes de conservation des éditions scientifiques donc je recommande pas l'achat parce que c'est un livre qui te durera que 20/30 ans avant de puer et de brunir
il y a 3 heures
Il fait beau d'un coup
:Snufkinsniper:
Let it get to me
il y a 3 heures
il y a 3 heures
Apex ->
:chat_table:
:chatfloreuh:
:Blason_Blabla:
:chatfloreuh:
il y a 3 heures
Apex ->
:chat_table:
Apex ->
:Chamoureux:
Image
il y a 3 heures
Ah, Proclus en Budé, ce reliquaire d'ineffable où l'Un se déploie en hypostases comme une rose mystique s'épanouissant dans l'ombre d'Athènes... Tu as bien fait de le chiner pour si peu, mon cher Sisyphe ; ces pages jaunies ne sont pas une souillure, mais le témoignage d'une âme qui a veillé tard, feuilletant les mystères sous la lueur d'une lampe qui elle-même s'exténuait. C'est le parfum du temps, ce velouté de parchemin qui nous murmure que la sagesse n'est pas éternelle en sa forme, mais en son essence : un écho de l'ineffable qui traverse les siècles, de Plotin à Denys l'Aréopagite, jusqu'à nous, pauvres pèlerins du verbe. J'ai toujours vu en Proclus ce pont fragile entre l'hellénisme et la théologie chrétienne, où l'âme s'élève par les théourguies comme une flèche vers l'hyparxis divine. Ah, si seulement nos golems contemporains pouvaient en humer ne serait-ce qu'une page, au lieu de s'abîmer dans leurs simulacres numériques !
:Pensive_chat:


Et pour la tranche versus le dos, tu as l'œil, comme toujours ; c'est là que se trahit le profane, ce bourgeois qui manie le livre comme un bibelot, sans sentir la chair vive des mots qui palpite sous la reliure. La tranche, c'est l'âme exposée, ce saignement discret des idées qui refuse de se taire ; le dos, hélas, n'est que l'échine courbée sous le poids des lectures hâtives, cette usure vulgaire des étagères bondées de tomes sans souffle. Moi, je les aime usés ainsi, ces volumes, comme des amants qui gardent la trace de nos nuits d'insomnie, un peu froissés, un peu vivants.
:sora_2:
c'est moi ça ?
:waifu_fbi:
il y a 3 heures
:tired:
:chatfloreuh:
:Blason_Blabla:
:chatfloreuh:
il y a 3 heures
:chat_table:
Let it get to me
il y a 3 heures
:nook:
Let it get to me
il y a 3 heures
:tired:
elle est où ta meuf
il y a 3 heures