Des kheys pratiquant la CALISTHENIE/street WORKOUT ?

Commence déjà par parler français, starfoullah !

oui bébou

putain les joies de vivre en ville et de pas vivre chez soi ...

Death Stranding : une œuvre hybride entre jeu vidéo, film et manifeste philosophique

Introduction

Sorti en novembre 2019 sur PlayStation 4, puis porté sur PC en 2020 et sur PS5 en 2021 avec une version Director’s Cut, Death Stranding est une œuvre singulière conçue par Hideo Kojima, le créateur de la saga légendaire Metal Gear Solid. Développé par Kojima Productions, il s’agit de leur premier jeu indépendant depuis la séparation avec Konami. Avec Death Stranding, Kojima signe une proposition à la fois ambitieuse, déroutante, et intensément personnelle qui a profondément divisé les joueurs. Certains y voient un chef-d’œuvre visionnaire, d’autres une expérience trop contemplative et abstraite. Mais tous s’accordent à dire que Death Stranding ne laisse personne indifférent.

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Synopsis : la reconstruction d’un monde brisé

Death Stranding se déroule dans un futur post-apocalyptique aux États-Unis, désormais fragmentés et ravagés par un cataclysme surnaturel : le Death Stranding. Ce phénomène a ouvert la frontière entre le monde des vivants et celui des morts, provoquant des pluies accélérant le vieillissement (la Timefall), l’apparition de créatures appelées échoués (ou BTs, pour “Beached Things”) et des explosions massives appelées Voidouts.

Dans ce monde effondré, la population vit isolée dans des bunkers souterrains. Le joueur incarne Sam Porter Bridges (joué par Norman Reedus), un “livreur” chargé de reconnecter les différentes villes en reliant leurs terminaux à un réseau appelé Chiral Network, afin de reformer une société unifiée : les United Cities of America (UCA).

Mais la mission de Sam est aussi profondément personnelle. Il transporte un BB (Bridge Baby), un fœtus dans une capsule, qui lui permet de percevoir les échoués, et cherche à retrouver sa sœur adoptive Amelie, qui semble retenue prisonnière par une entité mystérieuse nommée Higgs.

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Gameplay : marcher, connecter, survivre

À première vue, Death Stranding pourrait sembler réductible à une “simulation de livraison”. Et c’est vrai que la majeure partie du gameplay consiste à transporter des colis d’un point A à un point B. Mais cette réduction serait injuste. Le gameplay repose sur une mécanique de gestion de l’équilibre, du poids, et du terrain. Le joueur doit choisir son équipement, planifier son itinéraire, éviter les rivières dangereuses, les pentes abruptes, la météo capricieuse, les BTs invisibles et les MULEs (des voleurs de colis devenus fous).

Ce gameplay lent, contemplatif et exigeant, parfois qualifié de “strand game” (un nouveau genre selon Kojima), est renforcé par un système de coopération indirecte : les joueurs peuvent laisser derrière eux des structures (ponts, cordes, routes, abris) visibles par les autres joueurs du monde entier, sans jamais croiser qui que ce soit. Cela crée un sentiment de solidarité silencieuse : une humanité reconstruite à travers les traces des autres.

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Thématiques : solitude, lien, deuil, renaissance

Death Stranding est profondément traversé par des thèmes existentiels et philosophiques. Kojima y explore :
• La solitude moderne : chaque être humain est isolé, coupé du monde, reclus dans son bunker. Le jeu critique indirectement notre société ultra-connectée mais déshumanisée.
• Le lien (le “strand”) : Sam, personnage introverti refusant tout contact physique, est forcé d’établir des connexions. Le lien devient la clé du salut.
• Le deuil et la mort : dans cet univers, la mort n’est pas une fin. Elle laisse des traces, des cicatrices, des fantômes. Sam est un “repatrié”, capable de revenir à la vie. Le joueur expérimente donc le cycle mort/renaissance à répétition.
• La parentalité : le lien entre Sam et le BB, d’abord purement fonctionnel, devient une relation père/enfant chargée d’émotion. Le BB devient presque un personnage à part entière.

J'peux faire ses ersatz de pompes c'est tout

Bien sûr

Ui

A l armée on en faisait un peu

Pas faux même si toutes les morphologies peuvent progresser

Lol trouve un parc ou un arbre ! Moi quand je vivais en ville je courais au parc le plus proche, je faisais mes tractions aux balançoires (ces ploucs avaient 0 agrées)

c'est quoi ces moeurs de galérien , j'ai bien quelque truc sur lesquels faire sur mon terrain ,mais c'est opti ,je vais me bousiller les mains et le truc va lacher (si branche d'arbre)

foskifo, moi j'ai appris sur un prunier dans mon jardin quand j'avais 16 ans

Ca te fera les mains

Y a le hand stand aussi.

Mdrrr en soit oui ça joue mais le plus important c’est d’avoir de la force dans les épaules pecs c’est ça le “secret”, 90% du taff c’est ton haut du corps qui le fait pas les abdos

Non, j'en fait juste pour maintenir un physique décent, pas pour faire ce genre de perf'

Excuse/10

c'est pas une escuse kheyon je fais des muscles up a 100kg

regardes tout les champion du monde, y'en a pas un qui dépasse 1m68

c'est logique d'ailleurs

Personne te demande d’être champion du monde

Avec de l’entraînement ça reste largement réalisable

plus depuis que je me suis blessé à l'épaule

fais chier les épaules, c la pire articulation de merde du corps humain

je préfèrerais qu'on soit tout bloqué tout droit comme ça sans épaules