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C’est comme du ferdinand louis céline sauf que ... ouais non c’est pas du ferdinand louis céline
C'est du Hugo saupoudré de mafé... Du Dembé Ugo quoi
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
il y a 4 jours
« ChatGPT : Tu vois cette vidéo PAPACITO : ENTRETIEN CHOC, copie la façon de parler de Papacito et récite moi les pages Wikipedia de Louis 11, Louis 14 »
Salut les mecs, je vous présente mon nouveau livre sur Louis 14
ALORS LOUIS 14 TU VOIS C’ÉTAIT LE JACKY TUNING DU QUARTIER MAIS VERSION EUROPE, C’ÉTAIT LE MEC QUI PIMPAIT TOUT CE QU’IL AVAIT EN PLAQUÉ OR POUR MONTRER À TOUTE LA STREET QUE C’ÉTAIT LUI QUI EN IMPOSE
Salut les mecs, je vous présente mon nouveau livre sur Louis 14
ALORS LOUIS 14 TU VOIS C’ÉTAIT LE JACKY TUNING DU QUARTIER MAIS VERSION EUROPE, C’ÉTAIT LE MEC QUI PIMPAIT TOUT CE QU’IL AVAIT EN PLAQUÉ OR POUR MONTRER À TOUTE LA STREET QUE C’ÉTAIT LUI QUI EN IMPOSE
Frérot… c’est pas une vanne. C’est pas un sketch. C’est pas une punchline.
Je me suis endormi dans mon salon, avec un casque de chantier sur la tête, une bière tiède à la main et une interview de De Villiers en fond sonore. Et là, BAM ! Je me réveille, je suis en 1244.
Pas 12h44, hein. L’an de grâce douze-cent-quarante-quatre. Moyen Âge. Toulouse. Pas le kebab du Capitole, hein. Non. Le vrai. Le sale. Le médiéval.
Je me dis direct : “frérot c’est bon, c’est mon époque.”
Des épées, des bastons, de la crasse, du fer, des types qui puent la foi et la sueur.
Je me dis : “ils vont me respecter. J’ai lu toute la série Chevaliers d’Émeraude, j’ai 3 katanas au mur, et j’ai passé 4 mois à m’entraîner en survêt’ dans mon jardin comme un templier du bitume.”
Erreur.
Je débarque en ville, la barbe bien taillée, un sweat brodé “Domination ou soumission – choisis ton camp”, et là… direct… les mecs me fixent.
Des tuniques en toile de jute, le regard torve, les cheveux gras comme un fût de saindoux. Ils parlent pas français. Ils parlent languedocien. Une langue qui sent l’hérésie et l'huile d'olive.
Moi j’arrive, j’leur dis : “je suis un croisé de la masculinité, je viens vous libérer du relativisme spirituel.”
BAM. Malentendu total.
Ils pensent que je suis un croisé, genre un vrai, un envoyé du Pape pour les rôtir.
Et là, frérot, tout bascule.
Ils me sautent dessus comme si j’étais un flic dans une ZAD. Pas le temps de lever les bras.
Je me retrouve en slip de lin, attaché sur une table en bois, les jambes écartées, pendant qu’un vieux me lit un passage de l’Évangile de Jean à l’envers. C’est pas une mise en scène. C’est une procédure d’interrogatoire médiévale.
Je crie :
“Mais j’suis d’votre côté ! J’suis là pour rétablir l’ordre et la virilité !”
Et là, un mec me regarde avec un demi-sourire et il me dit en occitan :
“Tu vas goûter au feu, croisé de pacotille.”
Frère… ils me clouent au pilori.
Ils me font boire une infusion d’écorce et de piment.
Ils me baptisent avec de la graisse de chèvre bouillante.
Et en bonus, ils m’attachent sur un bûcher, ils me traitent de suppôt de Rome alors que moi je voulais juste parler de reconquête virile.
Je crame. Mais en silence. Parce que je suis un bonhomme.
Et pendant que les flammes me lèchent les mollets, je regarde le ciel et je dis :
“Vous avez gagné cette fois, bande d’hérétiques, mais je reviendrai… en armure Kevlar, et cette fois, je ramène le Ring.”
Je me suis endormi dans mon salon, avec un casque de chantier sur la tête, une bière tiède à la main et une interview de De Villiers en fond sonore. Et là, BAM ! Je me réveille, je suis en 1244.
Pas 12h44, hein. L’an de grâce douze-cent-quarante-quatre. Moyen Âge. Toulouse. Pas le kebab du Capitole, hein. Non. Le vrai. Le sale. Le médiéval.
Je me dis direct : “frérot c’est bon, c’est mon époque.”
Des épées, des bastons, de la crasse, du fer, des types qui puent la foi et la sueur.
Je me dis : “ils vont me respecter. J’ai lu toute la série Chevaliers d’Émeraude, j’ai 3 katanas au mur, et j’ai passé 4 mois à m’entraîner en survêt’ dans mon jardin comme un templier du bitume.”
Erreur.
Je débarque en ville, la barbe bien taillée, un sweat brodé “Domination ou soumission – choisis ton camp”, et là… direct… les mecs me fixent.
Des tuniques en toile de jute, le regard torve, les cheveux gras comme un fût de saindoux. Ils parlent pas français. Ils parlent languedocien. Une langue qui sent l’hérésie et l'huile d'olive.
Moi j’arrive, j’leur dis : “je suis un croisé de la masculinité, je viens vous libérer du relativisme spirituel.”
BAM. Malentendu total.
Ils pensent que je suis un croisé, genre un vrai, un envoyé du Pape pour les rôtir.
Et là, frérot, tout bascule.
Ils me sautent dessus comme si j’étais un flic dans une ZAD. Pas le temps de lever les bras.
Je me retrouve en slip de lin, attaché sur une table en bois, les jambes écartées, pendant qu’un vieux me lit un passage de l’Évangile de Jean à l’envers. C’est pas une mise en scène. C’est une procédure d’interrogatoire médiévale.
Je crie :
“Mais j’suis d’votre côté ! J’suis là pour rétablir l’ordre et la virilité !”
Et là, un mec me regarde avec un demi-sourire et il me dit en occitan :
“Tu vas goûter au feu, croisé de pacotille.”
Frère… ils me clouent au pilori.
Ils me font boire une infusion d’écorce et de piment.
Ils me baptisent avec de la graisse de chèvre bouillante.
Et en bonus, ils m’attachent sur un bûcher, ils me traitent de suppôt de Rome alors que moi je voulais juste parler de reconquête virile.
Je crame. Mais en silence. Parce que je suis un bonhomme.
Et pendant que les flammes me lèchent les mollets, je regarde le ciel et je dis :
“Vous avez gagné cette fois, bande d’hérétiques, mais je reviendrai… en armure Kevlar, et cette fois, je ramène le Ring.”
il y a 4 jours
Le type en avait marre du confort. Il vivait en Ariège tu vois. Il a vu un lit et il s'est dit
- Putain, c'est la décadence.
Alors il a pris sa grosse par la tignasse, il l'a foutu par terre et VLA VLA VLA VLA il l'enchaîne en levrette en pétant pour plus de romantisme.
C'était le moyen-âge quoi
- Putain, c'est la décadence.
Alors il a pris sa grosse par la tignasse, il l'a foutu par terre et VLA VLA VLA VLA il l'enchaîne en levrette en pétant pour plus de romantisme.
C'était le moyen-âge quoi
il y a 4 jours
Frérot… c’est pas une vanne. C’est pas un sketch. C’est pas une punchline.
Je me suis endormi dans mon salon, avec un casque de chantier sur la tête, une bière tiède à la main et une interview de De Villiers en fond sonore. Et là, BAM ! Je me réveille, je suis en 1244.
Pas 12h44, hein. L’an de grâce douze-cent-quarante-quatre. Moyen Âge. Toulouse. Pas le kebab du Capitole, hein. Non. Le vrai. Le sale. Le médiéval.
Je me dis direct : “frérot c’est bon, c’est mon époque.”
Des épées, des bastons, de la crasse, du fer, des types qui puent la foi et la sueur.
Je me dis : “ils vont me respecter. J’ai lu toute la série Chevaliers d’Émeraude, j’ai 3 katanas au mur, et j’ai passé 4 mois à m’entraîner en survêt’ dans mon jardin comme un templier du bitume.”
Erreur.
Je débarque en ville, la barbe bien taillée, un sweat brodé “Domination ou soumission – choisis ton camp”, et là… direct… les mecs me fixent.
Des tuniques en toile de jute, le regard torve, les cheveux gras comme un fût de saindoux. Ils parlent pas français. Ils parlent languedocien. Une langue qui sent l’hérésie et l'huile d'olive.
Moi j’arrive, j’leur dis : “je suis un croisé de la masculinité, je viens vous libérer du relativisme spirituel.”
BAM. Malentendu total.
Ils pensent que je suis un croisé, genre un vrai, un envoyé du Pape pour les rôtir.
Et là, frérot, tout bascule.
Ils me sautent dessus comme si j’étais un flic dans une ZAD. Pas le temps de lever les bras.
Je me retrouve en slip de lin, attaché sur une table en bois, les jambes écartées, pendant qu’un vieux me lit un passage de l’Évangile de Jean à l’envers. C’est pas une mise en scène. C’est une procédure d’interrogatoire médiévale.
Je crie :
“Mais j’suis d’votre côté ! J’suis là pour rétablir l’ordre et la virilité !”
Et là, un mec me regarde avec un demi-sourire et il me dit en occitan :
“Tu vas goûter au feu, croisé de pacotille.”
Frère… ils me clouent au pilori.
Ils me font boire une infusion d’écorce et de piment.
Ils me baptisent avec de la graisse de chèvre bouillante.
Et en bonus, ils m’attachent sur un bûcher, ils me traitent de suppôt de Rome alors que moi je voulais juste parler de reconquête virile.
Je crame. Mais en silence. Parce que je suis un bonhomme.
Et pendant que les flammes me lèchent les mollets, je regarde le ciel et je dis :
“Vous avez gagné cette fois, bande d’hérétiques, mais je reviendrai… en armure Kevlar, et cette fois, je ramène le Ring.”
Je me suis endormi dans mon salon, avec un casque de chantier sur la tête, une bière tiède à la main et une interview de De Villiers en fond sonore. Et là, BAM ! Je me réveille, je suis en 1244.
Pas 12h44, hein. L’an de grâce douze-cent-quarante-quatre. Moyen Âge. Toulouse. Pas le kebab du Capitole, hein. Non. Le vrai. Le sale. Le médiéval.
Je me dis direct : “frérot c’est bon, c’est mon époque.”
Des épées, des bastons, de la crasse, du fer, des types qui puent la foi et la sueur.
Je me dis : “ils vont me respecter. J’ai lu toute la série Chevaliers d’Émeraude, j’ai 3 katanas au mur, et j’ai passé 4 mois à m’entraîner en survêt’ dans mon jardin comme un templier du bitume.”
Erreur.
Je débarque en ville, la barbe bien taillée, un sweat brodé “Domination ou soumission – choisis ton camp”, et là… direct… les mecs me fixent.
Des tuniques en toile de jute, le regard torve, les cheveux gras comme un fût de saindoux. Ils parlent pas français. Ils parlent languedocien. Une langue qui sent l’hérésie et l'huile d'olive.
Moi j’arrive, j’leur dis : “je suis un croisé de la masculinité, je viens vous libérer du relativisme spirituel.”
BAM. Malentendu total.
Ils pensent que je suis un croisé, genre un vrai, un envoyé du Pape pour les rôtir.
Et là, frérot, tout bascule.
Ils me sautent dessus comme si j’étais un flic dans une ZAD. Pas le temps de lever les bras.
Je me retrouve en slip de lin, attaché sur une table en bois, les jambes écartées, pendant qu’un vieux me lit un passage de l’Évangile de Jean à l’envers. C’est pas une mise en scène. C’est une procédure d’interrogatoire médiévale.
Je crie :
“Mais j’suis d’votre côté ! J’suis là pour rétablir l’ordre et la virilité !”
Et là, un mec me regarde avec un demi-sourire et il me dit en occitan :
“Tu vas goûter au feu, croisé de pacotille.”
Frère… ils me clouent au pilori.
Ils me font boire une infusion d’écorce et de piment.
Ils me baptisent avec de la graisse de chèvre bouillante.
Et en bonus, ils m’attachent sur un bûcher, ils me traitent de suppôt de Rome alors que moi je voulais juste parler de reconquête virile.
Je crame. Mais en silence. Parce que je suis un bonhomme.
Et pendant que les flammes me lèchent les mollets, je regarde le ciel et je dis :
“Vous avez gagné cette fois, bande d’hérétiques, mais je reviendrai… en armure Kevlar, et cette fois, je ramène le Ring.”
Absent mais je vous oublie pas les kheys
il y a 4 jours
Frérot… là c’est plus un voyage, c’est une descente en enfer. Une immersion virile non-consentie dans le XIIe siècle, version ibérique.
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”
Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”
Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”

Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”

Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
il y a 4 jours
Frérot… là c’est plus un voyage, c’est une descente en enfer. Une immersion virile non-consentie dans le XIIe siècle, version ibérique.
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”
Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”
Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”

Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”

Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
JE MEURS !!!
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
il y a 4 jours
En arrivant en devant Sanche 3 de Castille, je me dis que je suis bien tombé. Ben ouais, tu vois, le gonz ressemble à Saddam Hussein qui distribue des punchlines, ça va le faire. Je lui balance donc directement
- Hola Sancho, est-ce que t'aurais pas une grosse épée de dingue, je vais aller finir la reconquista. T'inquiète, j'ai vu tous les films de Christophe Lambert. Je gère, je suis street cred à Plaisance du Touch.
Mais là c'est le moyen-âge. Sancho n'est pas cool. Il vient de roter son douzième gigot de capibara et il me prend pour un espion à la solde du comte de Toulouse. Le con, j'ai parlé comme un Occitan. Je me rends compte de ma connerie tu vois mais on est dans le lourd moyen-âge, pas dans un rassemblement hippie. Le roi envoie ses gardes et là je pense à Conan quand il démembre un ours qui lui a volé ses myrtilles. J'allonge une droite, mais bim. Lombago con. Putain, enculé, il fallait que ça m'arrive maintenant. Et l'autre combattant mma sous stéroïde qui m'allonge sa lance dans le foie. Oh enculé, mais enculé, ça fait mal. Et là en fait je crève.
- Hola Sancho, est-ce que t'aurais pas une grosse épée de dingue, je vais aller finir la reconquista. T'inquiète, j'ai vu tous les films de Christophe Lambert. Je gère, je suis street cred à Plaisance du Touch.
Mais là c'est le moyen-âge. Sancho n'est pas cool. Il vient de roter son douzième gigot de capibara et il me prend pour un espion à la solde du comte de Toulouse. Le con, j'ai parlé comme un Occitan. Je me rends compte de ma connerie tu vois mais on est dans le lourd moyen-âge, pas dans un rassemblement hippie. Le roi envoie ses gardes et là je pense à Conan quand il démembre un ours qui lui a volé ses myrtilles. J'allonge une droite, mais bim. Lombago con. Putain, enculé, il fallait que ça m'arrive maintenant. Et l'autre combattant mma sous stéroïde qui m'allonge sa lance dans le foie. Oh enculé, mais enculé, ça fait mal. Et là en fait je crève.
il y a 4 jours
Frérot… là c’est plus un voyage, c’est une descente en enfer. Une immersion virile non-consentie dans le XIIe siècle, version ibérique.
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”
Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”
Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”

Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”

Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
Il manque juste le vocabulaire grossier et c’est parfait
« Les mecs me prennent pour un Sarassin musulman qui vient les egorger, je leur montre mes lourds tatouages street-cred du Christ qui donnent des crises de panique aux gauchistes de fac d’art plastique, et là les mecs me crient dessus comme un lourd général d’armée qui chopent deux troufions en train de s’enculer, ils crient à l’art païen démoniaque d’enculé, les mecs m’ont pris pour la tarlouze gothique qui se tatoo des symboles satanistes»

« Les mecs me prennent pour un Sarassin musulman qui vient les egorger, je leur montre mes lourds tatouages street-cred du Christ qui donnent des crises de panique aux gauchistes de fac d’art plastique, et là les mecs me crient dessus comme un lourd général d’armée qui chopent deux troufions en train de s’enculer, ils crient à l’art païen démoniaque d’enculé, les mecs m’ont pris pour la tarlouze gothique qui se tatoo des symboles satanistes»
Absent mais je vous oublie pas les kheys
il y a 4 jours
Frérot… là, on est plus dans le podcast. On est dans le survival historique.
Je suis chez moi, tranquillou, en train de monter un épisode spécial “Reconquista, Croisades et déconstruction du fragiloïde spirituel”, quand je commence à citer Bernard de Clairvaux en VO, en claquant des versets de l’Apocalypse à voix haute. Et là… lumière blanche.
Pas une lumière LED. Pas une ambiance tamisée façon bobo.
Non, une lumière divine ou démoniaque, j’sais pas. Une lumière qui sent le latin hurlé et la sueur de moine.
Paf. Espagne. 1372.
Je me réveille dans une ruelle dégueulasse de Tolède. Des croix sur tous les murs, des mendiants qui prient en latin, des chevaliers qui passent avec des lances plus longues qu’un discours de Sandrine Rousseau.
Moi, je me dis :
“Parfait. Époque bénie. Le glaive, la foi, la virilité. J’suis chez moi.”
Sauf que frérot… j’suis un peu trop bronzé, un peu trop bien taillé, un peu trop “oriental” dans mon port de tête. Et là, y’a l’Inquisition qui débarque.
Trois types. Capuches noires. Regards vides. Leur job ? Sniffer l’hérétique, torturer le mécréant, cramer tout ce qui dépasse d’une doctrine autorisée.
Moi, naïf, j’me présente :
“Je suis catholique frère, ultra-catholique même. J’ai plus de croix chez moi qu’un cimetière militaire. J’ai lu la Somme Théologique en PDF pirate. Je suis avec vous !”
Et là le chef inquisitor me regarde, il lève un sourcil, et me sort :
“Trop sûr de lui. Parle trop bien. Ça sent l’apostat. C’est un sarrasin infiltré.”
Game over.
Ils m’embarquent dans un cachot. Un truc humide, noir, plus glauque qu’un documentaire Arte sur les maladies de peau au Moyen Âge. Et là… ça commence.
On parle pas de garde à vue. On parle de torture by the book.
Vis dans les ongles, fouet, chaîne, corde, roulette — le menu complet.
Je gueule :
“Mais putain, je suis CATHO ! Je vote monarchie, je lis Chesterton, je rêve de croisades !”
Mais eux, ils répondent :
“C’est ce que dirait un mahométan malin.”
Fin de la discussion, et là, c’est le bûcher.
Ils me hissent sur une estrade, m’enduisent d’huile rance et de cire. La foule est là, en transe, en mode “vive la purification”.
Moi, je crie :
“JE SUIS AVEC VOUS, BANDE DE FOUX ! J’SUIS PAS UN INFIDÈLE, J’SUIS UNE ARME DE DIEU !”
Mais rien. Pas une oreille. Pas un moine pour douter. Les torches s’approchent. L’odeur du bois brûlé me monte au nez.
Et dans les flammes, je pense :
“Voilà ce que ça donne quand t’es trop catholique pour les modernes… mais pas assez pour l’Inquisition.” “Ironie totale. Paradoxe en feu.”
Je suis chez moi, tranquillou, en train de monter un épisode spécial “Reconquista, Croisades et déconstruction du fragiloïde spirituel”, quand je commence à citer Bernard de Clairvaux en VO, en claquant des versets de l’Apocalypse à voix haute. Et là… lumière blanche.
Pas une lumière LED. Pas une ambiance tamisée façon bobo.
Non, une lumière divine ou démoniaque, j’sais pas. Une lumière qui sent le latin hurlé et la sueur de moine.
Paf. Espagne. 1372.
Je me réveille dans une ruelle dégueulasse de Tolède. Des croix sur tous les murs, des mendiants qui prient en latin, des chevaliers qui passent avec des lances plus longues qu’un discours de Sandrine Rousseau.
Moi, je me dis :
“Parfait. Époque bénie. Le glaive, la foi, la virilité. J’suis chez moi.”
Sauf que frérot… j’suis un peu trop bronzé, un peu trop bien taillé, un peu trop “oriental” dans mon port de tête. Et là, y’a l’Inquisition qui débarque.
Trois types. Capuches noires. Regards vides. Leur job ? Sniffer l’hérétique, torturer le mécréant, cramer tout ce qui dépasse d’une doctrine autorisée.
Moi, naïf, j’me présente :
“Je suis catholique frère, ultra-catholique même. J’ai plus de croix chez moi qu’un cimetière militaire. J’ai lu la Somme Théologique en PDF pirate. Je suis avec vous !”
Et là le chef inquisitor me regarde, il lève un sourcil, et me sort :
“Trop sûr de lui. Parle trop bien. Ça sent l’apostat. C’est un sarrasin infiltré.”

Game over.
Ils m’embarquent dans un cachot. Un truc humide, noir, plus glauque qu’un documentaire Arte sur les maladies de peau au Moyen Âge. Et là… ça commence.
On parle pas de garde à vue. On parle de torture by the book.
Vis dans les ongles, fouet, chaîne, corde, roulette — le menu complet.
Je gueule :
“Mais putain, je suis CATHO ! Je vote monarchie, je lis Chesterton, je rêve de croisades !”
Mais eux, ils répondent :
“C’est ce que dirait un mahométan malin.”

Fin de la discussion, et là, c’est le bûcher.
Ils me hissent sur une estrade, m’enduisent d’huile rance et de cire. La foule est là, en transe, en mode “vive la purification”.
Moi, je crie :
“JE SUIS AVEC VOUS, BANDE DE FOUX ! J’SUIS PAS UN INFIDÈLE, J’SUIS UNE ARME DE DIEU !”

Mais rien. Pas une oreille. Pas un moine pour douter. Les torches s’approchent. L’odeur du bois brûlé me monte au nez.
Et dans les flammes, je pense :
“Voilà ce que ça donne quand t’es trop catholique pour les modernes… mais pas assez pour l’Inquisition.” “Ironie totale. Paradoxe en feu.”

il y a 4 jours
Ses livres c'est littéralement des vidéos couchées sur papier, avec quelques instants de fulgurance où c'est joliment écrit
Attention, lisez les livres avec une photo de Papacito en face de vous et imitez-le en lisant, c'est bien plus drôle ainsi
Attention, lisez les livres avec une photo de Papacito en face de vous et imitez-le en lisant, c'est bien plus drôle ainsi
Khey certifié depuis 2017 - Topic de ma [FIC] : https://onche.org/topic/8[...]-o-m-e-la-mort-a-un-coeur
il y a 4 jours
Il manque juste le vocabulaire grossier et c’est parfait
« Les mecs me prennent pour un Sarassin musulman qui vient les egorger, je leur montre mes lourds tatouages street-cred du Christ qui donnent des crises de panique aux gauchistes de fac d’art plastique, et là les mecs me crient dessus comme un lourd général d’armée qui chopent deux troufions en train de s’enculer, ils crient à l’art païen démoniaque d’enculé, les mecs m’ont pris pour la tarlouze gothique qui se tatoo des symboles satanistes»

« Les mecs me prennent pour un Sarassin musulman qui vient les egorger, je leur montre mes lourds tatouages street-cred du Christ qui donnent des crises de panique aux gauchistes de fac d’art plastique, et là les mecs me crient dessus comme un lourd général d’armée qui chopent deux troufions en train de s’enculer, ils crient à l’art païen démoniaque d’enculé, les mecs m’ont pris pour la tarlouze gothique qui se tatoo des symboles satanistes»
J'arrive pas à trouver le prompt exact pour le rendre grossier et lui mettre des "lourd" dans tout ce qu'il dit
En prompt j'ai mis "Tu vois cette vidéo PAPACITO : ENTRETIEN CHOC et les podcasts BURGER RING de Papacito, copie la façon de parler de Papacito et imagine qu'il voyage dans le temps dans [pays] du [siècle] et après j'écris le scénario

En prompt j'ai mis "Tu vois cette vidéo PAPACITO : ENTRETIEN CHOC et les podcasts BURGER RING de Papacito, copie la façon de parler de Papacito et imagine qu'il voyage dans le temps dans [pays] du [siècle] et après j'écris le scénario

il y a 4 jours
Papacito le jour où il a vu les Visiteurs avec Jean Reno 

Nofake je me souviens d’une video ou d’un live où il recommandait de regarder les visiteurs comme une critique de l’époque moderne
Absent mais je vous oublie pas les kheys
il y a 4 jours
Brennus
4j
Si vos profs d'histoire vous avaient parlé de l'histoire de nos rois de cette manière, peut-être que vous auriez écouté...
Alors chéri qu’est-ce que tu as appris à l’école aujourd’hui
Alors écoute moi bien la cagole, je vais t’apprendre ce que c’était un lourd roi du moyen-âge, déjà c’était pas des mecs que leur mère les faisaient chier à leur dire de bouffer des brocolis, non c’était des mecs qui bouffaient 3 tourtes aux sangliers et leur daronne fermait leur gueule car les femmes à cette époque street-cred elles étaient à leur vraie place que Dieu leur a donné, càd qu’elle servait à faire la bouffe et des gosses
Alors écoute moi bien la cagole, je vais t’apprendre ce que c’était un lourd roi du moyen-âge, déjà c’était pas des mecs que leur mère les faisaient chier à leur dire de bouffer des brocolis, non c’était des mecs qui bouffaient 3 tourtes aux sangliers et leur daronne fermait leur gueule car les femmes à cette époque street-cred elles étaient à leur vraie place que Dieu leur a donné, càd qu’elle servait à faire la bouffe et des gosses
Absent mais je vous oublie pas les kheys
il y a 4 jours
J'arrive pas à trouver le prompt exact pour le rendre grossier et lui mettre des "lourd" dans tout ce qu'il dit
En prompt j'ai mis "Tu vois cette vidéo PAPACITO : ENTRETIEN CHOC et les podcasts BURGER RING de Papacito, copie la façon de parler de Papacito et imagine qu'il voyage dans le temps dans [pays] du [siècle] et après j'écris le scénario

En prompt j'ai mis "Tu vois cette vidéo PAPACITO : ENTRETIEN CHOC et les podcasts BURGER RING de Papacito, copie la façon de parler de Papacito et imagine qu'il voyage dans le temps dans [pays] du [siècle] et après j'écris le scénario

Je sais pq, c’est parce que ChatGPT c’est full censure dans son langage, tu peux pas lui faire dire d’insultes ou de propos méchants, c’est pour ça
Même des trucs softs genre « l’obèse du coin qui passe son temps à bouffer » il trouve ça trop méchant
Même des trucs softs genre « l’obèse du coin qui passe son temps à bouffer » il trouve ça trop méchant
Absent mais je vous oublie pas les kheys
il y a 4 jours
Putain j entend sa voix en lisant
je m attend presque à un petit " j'suis venu ici pour honnorer et j suis venu pour sanctionner, mais d abord j'avais honorer "
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
il y a 4 jours