Ce sujet a été résolu
oui je l'ai bien aimé ce film
J'ai adoré. Pour moi c'est son meilleur !
il y a un mois
Alors, comme ça on me lance des cacahuètes infidèle ?
Silence, la racaille + pas les mamans
il y a un mois
J'ai adoré. Pour moi c'est son meilleur !
ouai, les dialogues, les mises en scène, les running-gags de ouf, l'adventure pulp
je le regarderai pleins de fois encore et encore
je le regarderai pleins de fois encore et encore
des zinzins fruités
il y a un mois
Silence, la racaille + pas les mamans
C'est si bon les mamans
Chaque rejet me rend plus fort
il y a un mois
Torquemada
1 mois
Boucle :
https://breviairedecombat.wordpress.com/mythisme/
Abbé Louis Ott, Précis de théologie dogmatique (Pages 184-185)
« L’existence historique de Jésus est attestée de façon certaine non seulement par les écrivains chrétiens, mais aussi par des auteurs non-chrétiens, qui ne sauraient être soupçonnés de falsification.
1. Écrivains païens
a) Tacite rapporte dans ses Annales (vers 116) la cruelle persécution des chrétiens de Rome par l’empereur Néron et fait cette remarque sur le fondateur de la religion chrétienne : Auctor nominis ejus Christus Tiberio imperitante per procuratorcm Pontium Pilatum supplicio adfectus erat (Annales, xv, 44).
b) Suétone raconte (vers 120) que l’empereur Claude expulsa de Rome les Juifs, qui fomentaient constamment des troubles sur les intrigues d’un Chrestus : Judaeos impulsorc Chresto assidue tumultuantcs Roma expulit (Vita Claudii, xxv, 4). À la base de ce témoignage déformé se trouve un noyau historique, le fait que dans la communauté juive de Rome s’étaient élevées de violentes discussions au sujet du Christ (cfr Actes, Xvm, 2).
c) Pline le Jeune, gouverneur de Bithynie, écrit (111-113) dans une lettre, à l’empereur Trajan, que les chrétiens « se rassemblent à jour fixe, avant le lever du soleil et chantent une hymne au Christ comme à un dieu » : stato die ante lucem convenire carmenque Christo quasi deo dicere (Lettres, X, 96).
d) Le Syrien Mara Bar Serapion, adhérent de la philosophie stoïcienne, écrit dans une lettre à son fils Sérapion au sujet de Jésus : « Quel profit les Juifs ont-ils tiré de l’exécution de leur sage monarque, attendu que, dès cette époque, ils furent privés de leur royaume?… Les Juifs furent mis à mort et bannis de leur pays, ils vivent dispersés un peu partout… Leur sage roi n’est pas mort, à cause des nouvelles lois qu’il a données. » Cette lettre a été écrite après 70 ; le terminus ad quem est toutefois incertain (IIème au IVème siècle).
2. Écrivains juifs
a) L’écrivain juif Flavius Josèphe rappelle, dans ses Antiquités (achevées en 93-94), que le grand prêtre Anan « traduisit devant un sanhédrin Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la loi, et il les fit lapider » (Antiquités, xx, 9, 1). Un autre passage, dont l’authenticité est toutefois fortement mise en doute, est encore plus explicite : « Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité. Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et, lorsque, sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après, ressuscité, alors que les prophètes de Dieu avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après son nom celui des chrétiens n’a pas encore disparu » (Antiquités, xvm, 3, 3). Apparemment il y a, à la base de ce passage, un noyau authentique, mais remanié par une main chrétienne.
La version, en vieux-slavon, de l’ouvrage de Josèphe La guerre juive contient un témoignage sur le Christ en partie semblable ; mais ce passage manque dans le texte grec et dans la version latine. Il semble qu’il s’agisse d’une addition postérieure et légendaire. On doit regarder comme entièrement gratuite la théorie de Robert Eisler, basée sur ce passage, d’après laquelle Jésus aurait été le chef d’un mouvement national révolutionnaire et aurait été à ce titre exécuté par l’autorité romaine.
b) Les quelques allusions à la personne de Jésus que l’on rencontre dans le Talmud supposent son existence historique. Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère et comme le fondateur d’une secte impie ; mais il n’a jamais douté de son historicité (cf Les traités du Talmud Synedrin, f. 43 a; f. 67 a. S. Justin, Dialogue, xvii, 108). »
Abbé Louis Ott, Précis de théologie dogmatique (Pages 184-185)
« L’existence historique de Jésus est attestée de façon certaine non seulement par les écrivains chrétiens, mais aussi par des auteurs non-chrétiens, qui ne sauraient être soupçonnés de falsification.
1. Écrivains païens
a) Tacite rapporte dans ses Annales (vers 116) la cruelle persécution des chrétiens de Rome par l’empereur Néron et fait cette remarque sur le fondateur de la religion chrétienne : Auctor nominis ejus Christus Tiberio imperitante per procuratorcm Pontium Pilatum supplicio adfectus erat (Annales, xv, 44).
b) Suétone raconte (vers 120) que l’empereur Claude expulsa de Rome les Juifs, qui fomentaient constamment des troubles sur les intrigues d’un Chrestus : Judaeos impulsorc Chresto assidue tumultuantcs Roma expulit (Vita Claudii, xxv, 4). À la base de ce témoignage déformé se trouve un noyau historique, le fait que dans la communauté juive de Rome s’étaient élevées de violentes discussions au sujet du Christ (cfr Actes, Xvm, 2).
c) Pline le Jeune, gouverneur de Bithynie, écrit (111-113) dans une lettre, à l’empereur Trajan, que les chrétiens « se rassemblent à jour fixe, avant le lever du soleil et chantent une hymne au Christ comme à un dieu » : stato die ante lucem convenire carmenque Christo quasi deo dicere (Lettres, X, 96).
d) Le Syrien Mara Bar Serapion, adhérent de la philosophie stoïcienne, écrit dans une lettre à son fils Sérapion au sujet de Jésus : « Quel profit les Juifs ont-ils tiré de l’exécution de leur sage monarque, attendu que, dès cette époque, ils furent privés de leur royaume?… Les Juifs furent mis à mort et bannis de leur pays, ils vivent dispersés un peu partout… Leur sage roi n’est pas mort, à cause des nouvelles lois qu’il a données. » Cette lettre a été écrite après 70 ; le terminus ad quem est toutefois incertain (IIème au IVème siècle).
2. Écrivains juifs
a) L’écrivain juif Flavius Josèphe rappelle, dans ses Antiquités (achevées en 93-94), que le grand prêtre Anan « traduisit devant un sanhédrin Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la loi, et il les fit lapider » (Antiquités, xx, 9, 1). Un autre passage, dont l’authenticité est toutefois fortement mise en doute, est encore plus explicite : « Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité. Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et, lorsque, sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après, ressuscité, alors que les prophètes de Dieu avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après son nom celui des chrétiens n’a pas encore disparu » (Antiquités, xvm, 3, 3). Apparemment il y a, à la base de ce passage, un noyau authentique, mais remanié par une main chrétienne.
La version, en vieux-slavon, de l’ouvrage de Josèphe La guerre juive contient un témoignage sur le Christ en partie semblable ; mais ce passage manque dans le texte grec et dans la version latine. Il semble qu’il s’agisse d’une addition postérieure et légendaire. On doit regarder comme entièrement gratuite la théorie de Robert Eisler, basée sur ce passage, d’après laquelle Jésus aurait été le chef d’un mouvement national révolutionnaire et aurait été à ce titre exécuté par l’autorité romaine.
b) Les quelques allusions à la personne de Jésus que l’on rencontre dans le Talmud supposent son existence historique. Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère et comme le fondateur d’une secte impie ; mais il n’a jamais douté de son historicité (cf Les traités du Talmud Synedrin, f. 43 a; f. 67 a. S. Justin, Dialogue, xvii, 108). »
"Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère"
En même temps une femme qui tombe enceinte comme par magie sans jamais avoir eu de rapports sexuels c'est un peu gros
En même temps une femme qui tombe enceinte comme par magie sans jamais avoir eu de rapports sexuels c'est un peu gros
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a un mois
Gary
1 mois
Il a existé par contre les miracles, je pense que c'est inventé ou très exagérer
Et son origine aussi
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a un mois
Ananas
1 mois
Je me pose la question, soit il a vraiment exister et c'était un bon gars, soit c'est une invention pour manipuler les masses à l'époque
Historiquement oui il a existé.
Pour le reste c'est à la libre interprétation des récits donnés par les apôtres : on y croit ou on n'y croit pas.
Pour le reste c'est à la libre interprétation des récits donnés par les apôtres : on y croit ou on n'y croit pas.
Les rues de France la nuit https://voca.ro/1dh8DMB26n19
il y a un mois
Et son origine aussi
Effectivement, beaucoup de calomnie et d'exagération dans cette histoire
What we're looking for... it's not here
il y a un mois
Et son origine aussi
Bah elle a..
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a un mois
Effectivement, beaucoup de calomnie et d'exagération dans cette histoire
T'es un homme ? "Oui je marche pas sur l'eau en 2025
"
Chaud
Chaud
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a un mois
Pep
1 mois
Jesus Christ, Harry Potter et le père Noël n'ont jamais existé
Source pour le père Noël ?
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a un mois
Les Romains écrivaient énormément, si Jésus avait été vu comme quelqu'un de significatif lors de son exécution nous aurions des écrits.
Hors il n'est mentionné nulle part et son exécution était un non événement, c'était juste un leader random d'une secte random qui serait tombé totalement dans l'oubli (comme beaucoup des sectes de Judée de l'époque) si ses disciples n'avaient pas tant réussi à propager sa secte.
Hors il n'est mentionné nulle part et son exécution était un non événement, c'était juste un leader random d'une secte random qui serait tombé totalement dans l'oubli (comme beaucoup des sectes de Judée de l'époque) si ses disciples n'avaient pas tant réussi à propager sa secte.
il y a un mois
N'empêche c'est pas si loin 2000 ans.
Y'a certains humains qui vivent 100 ans, 2000 ans ça fait juste 20 fois 100 ans.
Y'a certains humains qui vivent 100 ans, 2000 ans ça fait juste 20 fois 100 ans.
il y a un mois
Ben ça dépend de quel Jésus on parle.
Celui décrit dans les évangiles est une invention littéraire de A à Z, basée sur une réinterprétation apocalyptique des pseudos prophéties et parallèles bidons de la bible hébraïque. J'invite les non-chrétiens intéressés à se pencher sur l'exégese historico-critique de la Bible.
Par contre si on le considère comme un simple rabbin fondateur d'une secte apocalyptique, c'est possible mais on a aucune info dessus.
Celui décrit dans les évangiles est une invention littéraire de A à Z, basée sur une réinterprétation apocalyptique des pseudos prophéties et parallèles bidons de la bible hébraïque. J'invite les non-chrétiens intéressés à se pencher sur l'exégese historico-critique de la Bible.
Par contre si on le considère comme un simple rabbin fondateur d'une secte apocalyptique, c'est possible mais on a aucune info dessus.
il y a un mois