Ce sujet a été résolu
Torquemada
6 mois
J. R. R. Tolkien, Lettres (Pages 473-474)
« Il faut une volonté extraordinaire de ne pas croire pour imaginer que Jésus n’a jamais réellement existé, et encore davantage pour imaginer qu’il n’a pas dit les paroles qu’on a conservées de lui, qui ne sauraient le moins du monde avoir été « inventées » par quiconque vivant sur la terre à cette époque-là. »
« Il faut une volonté extraordinaire de ne pas croire pour imaginer que Jésus n’a jamais réellement existé, et encore davantage pour imaginer qu’il n’a pas dit les paroles qu’on a conservées de lui, qui ne sauraient le moins du monde avoir été « inventées » par quiconque vivant sur la terre à cette époque-là. »
Des kheys aussi peuvent très bien dire ça sans même voir cette phrase au final
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
Si le consensus des historiens ne te convainc pas. Rien ne peut.
On parle quand-même de jesus merde
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
Des kheys aussi peuvent très bien dire ça sans même voir cette phrase au final
Oui Tolkien c'était le khey moyen sans culture.
Bon j'ai été con de penser que tu l'étais pas, reste sur l'autre citation du dessus, la première, y'a plus de source et y'a moins besoin de réfléchir.
Bon j'ai été con de penser que tu l'étais pas, reste sur l'autre citation du dessus, la première, y'a plus de source et y'a moins besoin de réfléchir.
il y a 6 mois
On en parle dans tous les livres saints, donc que ses miracles soient vrais ou non, il y en a un qui a foutu un sacré seum aux juifs il y a 2000 ans
J'aimerais bien te faire un cunni mais je ne peux pas sortir avec du rouge à lèvre en boite
il y a 6 mois
Oui Tolkien c'était le khey moyen sans culture.
Bon j'ai été con de penser que tu l'étais pas, reste sur l'autre citation du dessus, la première, y'a plus de source et y'a moins besoin de réfléchir.
Bon j'ai été con de penser que tu l'étais pas, reste sur l'autre citation du dessus, la première, y'a plus de source et y'a moins besoin de réfléchir.
Déjà les gens à l'époque ne parlent pas comme ça. C'est sûrement une traduction du coup. C'est quoi la phrase originale ?
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
C'était pas son visage mais le visage d'un palestinien moyen en Galilée. Je te laisse te documenter sur QUI a fait ce documentaire.
En vrai, je me ballecouilles de savoir qui a fait ce documentaire. Tout comme je me ballecouilles qu'il était oriental ou non.
Juste , que cet épisode était marrant au vu des réactions.
En tout cas les représentations qu'on a de lui sont factuellement idéalisées.
Juste , que cet épisode était marrant au vu des réactions.
En tout cas les représentations qu'on a de lui sont factuellement idéalisées.
Je ne crois en rien, j'observe juste 👀 + 🐺 bc:23, direct~():10 < No 💉 + INTJ-A. + 🛡(100% Hétéro)🛡
il y a 6 mois
Déjà les gens à l'époque ne parlent pas comme ça. C'est sûrement une traduction du coup. C'est quoi la phrase originale ?
Ok tu fais l'idiot, ça ne m'intéresse pas.
il y a 6 mois
Alors, comme ça on me lance des cacahuètes infidèle ?
Chaque rejet me rend plus fort
il y a 6 mois
Il y a déjà du sticker de ce film ?
oui je l'ai bien aimé ce film
des zinzins fruités
il y a 6 mois
Ok tu fais l'idiot, ça ne m'intéresse pas.
C'est vrai
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
Alors, comme ça on me lance des cacahuètes infidèle ?
C'est important de nourrir les singes
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
jéssé pas
Pareil
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 6 mois
En vrai, je me ballecouilles de savoir qui a fait ce documentaire. Tout comme je me ballecouilles qu'il était oriental ou non.
Juste , que cet épisode était marrant au vu des réactions.
En tout cas les représentations qu'on a de lui sont factuellement idéalisées.
Juste , que cet épisode était marrant au vu des réactions.
En tout cas les représentations qu'on a de lui sont factuellement idéalisées.
Oui, forcément.
il y a 6 mois
oui je l'ai bien aimé ce film
J'ai adoré. Pour moi c'est son meilleur !
il y a 6 mois
J'ai adoré. Pour moi c'est son meilleur !
ouai, les dialogues, les mises en scène, les running-gags de ouf, l'adventure pulp
je le regarderai pleins de fois encore et encore
je le regarderai pleins de fois encore et encore
des zinzins fruités
il y a 6 mois
Torquemada
6 mois
Boucle :
https://breviairedecombat.wordpress.com/mythisme/
Abbé Louis Ott, Précis de théologie dogmatique (Pages 184-185)
« L’existence historique de Jésus est attestée de façon certaine non seulement par les écrivains chrétiens, mais aussi par des auteurs non-chrétiens, qui ne sauraient être soupçonnés de falsification.
1. Écrivains païens
a) Tacite rapporte dans ses Annales (vers 116) la cruelle persécution des chrétiens de Rome par l’empereur Néron et fait cette remarque sur le fondateur de la religion chrétienne : Auctor nominis ejus Christus Tiberio imperitante per procuratorcm Pontium Pilatum supplicio adfectus erat (Annales, xv, 44).
b) Suétone raconte (vers 120) que l’empereur Claude expulsa de Rome les Juifs, qui fomentaient constamment des troubles sur les intrigues d’un Chrestus : Judaeos impulsorc Chresto assidue tumultuantcs Roma expulit (Vita Claudii, xxv, 4). À la base de ce témoignage déformé se trouve un noyau historique, le fait que dans la communauté juive de Rome s’étaient élevées de violentes discussions au sujet du Christ (cfr Actes, Xvm, 2).
c) Pline le Jeune, gouverneur de Bithynie, écrit (111-113) dans une lettre, à l’empereur Trajan, que les chrétiens « se rassemblent à jour fixe, avant le lever du soleil et chantent une hymne au Christ comme à un dieu » : stato die ante lucem convenire carmenque Christo quasi deo dicere (Lettres, X, 96).
d) Le Syrien Mara Bar Serapion, adhérent de la philosophie stoïcienne, écrit dans une lettre à son fils Sérapion au sujet de Jésus : « Quel profit les Juifs ont-ils tiré de l’exécution de leur sage monarque, attendu que, dès cette époque, ils furent privés de leur royaume?… Les Juifs furent mis à mort et bannis de leur pays, ils vivent dispersés un peu partout… Leur sage roi n’est pas mort, à cause des nouvelles lois qu’il a données. » Cette lettre a été écrite après 70 ; le terminus ad quem est toutefois incertain (IIème au IVème siècle).
2. Écrivains juifs
a) L’écrivain juif Flavius Josèphe rappelle, dans ses Antiquités (achevées en 93-94), que le grand prêtre Anan « traduisit devant un sanhédrin Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la loi, et il les fit lapider » (Antiquités, xx, 9, 1). Un autre passage, dont l’authenticité est toutefois fortement mise en doute, est encore plus explicite : « Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité. Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et, lorsque, sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après, ressuscité, alors que les prophètes de Dieu avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après son nom celui des chrétiens n’a pas encore disparu » (Antiquités, xvm, 3, 3). Apparemment il y a, à la base de ce passage, un noyau authentique, mais remanié par une main chrétienne.
La version, en vieux-slavon, de l’ouvrage de Josèphe La guerre juive contient un témoignage sur le Christ en partie semblable ; mais ce passage manque dans le texte grec et dans la version latine. Il semble qu’il s’agisse d’une addition postérieure et légendaire. On doit regarder comme entièrement gratuite la théorie de Robert Eisler, basée sur ce passage, d’après laquelle Jésus aurait été le chef d’un mouvement national révolutionnaire et aurait été à ce titre exécuté par l’autorité romaine.
b) Les quelques allusions à la personne de Jésus que l’on rencontre dans le Talmud supposent son existence historique. Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère et comme le fondateur d’une secte impie ; mais il n’a jamais douté de son historicité (cf Les traités du Talmud Synedrin, f. 43 a; f. 67 a. S. Justin, Dialogue, xvii, 108). »
Abbé Louis Ott, Précis de théologie dogmatique (Pages 184-185)
« L’existence historique de Jésus est attestée de façon certaine non seulement par les écrivains chrétiens, mais aussi par des auteurs non-chrétiens, qui ne sauraient être soupçonnés de falsification.
1. Écrivains païens
a) Tacite rapporte dans ses Annales (vers 116) la cruelle persécution des chrétiens de Rome par l’empereur Néron et fait cette remarque sur le fondateur de la religion chrétienne : Auctor nominis ejus Christus Tiberio imperitante per procuratorcm Pontium Pilatum supplicio adfectus erat (Annales, xv, 44).
b) Suétone raconte (vers 120) que l’empereur Claude expulsa de Rome les Juifs, qui fomentaient constamment des troubles sur les intrigues d’un Chrestus : Judaeos impulsorc Chresto assidue tumultuantcs Roma expulit (Vita Claudii, xxv, 4). À la base de ce témoignage déformé se trouve un noyau historique, le fait que dans la communauté juive de Rome s’étaient élevées de violentes discussions au sujet du Christ (cfr Actes, Xvm, 2).
c) Pline le Jeune, gouverneur de Bithynie, écrit (111-113) dans une lettre, à l’empereur Trajan, que les chrétiens « se rassemblent à jour fixe, avant le lever du soleil et chantent une hymne au Christ comme à un dieu » : stato die ante lucem convenire carmenque Christo quasi deo dicere (Lettres, X, 96).
d) Le Syrien Mara Bar Serapion, adhérent de la philosophie stoïcienne, écrit dans une lettre à son fils Sérapion au sujet de Jésus : « Quel profit les Juifs ont-ils tiré de l’exécution de leur sage monarque, attendu que, dès cette époque, ils furent privés de leur royaume?… Les Juifs furent mis à mort et bannis de leur pays, ils vivent dispersés un peu partout… Leur sage roi n’est pas mort, à cause des nouvelles lois qu’il a données. » Cette lettre a été écrite après 70 ; le terminus ad quem est toutefois incertain (IIème au IVème siècle).
2. Écrivains juifs
a) L’écrivain juif Flavius Josèphe rappelle, dans ses Antiquités (achevées en 93-94), que le grand prêtre Anan « traduisit devant un sanhédrin Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la loi, et il les fit lapider » (Antiquités, xx, 9, 1). Un autre passage, dont l’authenticité est toutefois fortement mise en doute, est encore plus explicite : « Vers le même temps vint Jésus, homme sage, si toutefois il faut l’appeler un homme. Car il était un faiseur de miracles et le maître des hommes qui reçoivent avec joie la vérité. Et il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Grecs. C’était le Christ. Et, lorsque, sur la dénonciation de nos premiers citoyens, Pilate l’eut condamné à la crucifixion, ceux qui l’avaient d’abord chéri ne cessèrent pas de le faire, car il leur apparut trois jours après, ressuscité, alors que les prophètes de Dieu avaient annoncé cela et mille autres merveilles à son sujet. Et le groupe appelé d’après son nom celui des chrétiens n’a pas encore disparu » (Antiquités, xvm, 3, 3). Apparemment il y a, à la base de ce passage, un noyau authentique, mais remanié par une main chrétienne.
La version, en vieux-slavon, de l’ouvrage de Josèphe La guerre juive contient un témoignage sur le Christ en partie semblable ; mais ce passage manque dans le texte grec et dans la version latine. Il semble qu’il s’agisse d’une addition postérieure et légendaire. On doit regarder comme entièrement gratuite la théorie de Robert Eisler, basée sur ce passage, d’après laquelle Jésus aurait été le chef d’un mouvement national révolutionnaire et aurait été à ce titre exécuté par l’autorité romaine.
b) Les quelques allusions à la personne de Jésus que l’on rencontre dans le Talmud supposent son existence historique. Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère et comme le fondateur d’une secte impie ; mais il n’a jamais douté de son historicité (cf Les traités du Talmud Synedrin, f. 43 a; f. 67 a. S. Justin, Dialogue, xvii, 108). »
"Le judaïsme a haineusement défiguré l’image du Christ, en le présentant comme le fils d’une femme adultère"
En même temps une femme qui tombe enceinte comme par magie sans jamais avoir eu de rapports sexuels c'est un peu gros
En même temps une femme qui tombe enceinte comme par magie sans jamais avoir eu de rapports sexuels c'est un peu gros
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a 6 mois

























