[MUSIQUE D'AMBIANCE]
Nous étions des français, nés entre 1995 et 2000, à l'aube d'un nouveau millénaire qui nous étais destiné de conquérir, la tête remplie des idées du siècle passé.
On ne se souvient plus vraiment si on a vu le match ou pas, mais la France Black Blanc Beur de 98, on l'a vécu pendant toutes nos années de primaire, où on se foutais encore pas mal de l'origine des copains, ça, c'est venus plus tard.
Nous sommes la génération qui a eu l'enfance et l'adolescence la plus pourrie gâtée de toute l'Histoire de l'Humanité : ordinateur, console, vélo, jouet high-tech, sport extra-scolaire, vacances en été, nos parents avaient encore un pouvoir d'achat suffisant avant 2008 pour tout cela, et encore un peu après, parce que chez nous la crise a été étalée sur plusieurs années douce-amère financièrement.
Nous avons grandis avant que les tensions ethnique et religieuses n'apparaissent au grand jour, elles étaient encore camouflées sous le vivre-ensemble, 98 toussa toussa... Une adolescence sans crainte de subir un attentat ou de se faire encercler en soirée par 6 OQTF qui demandent une clope.
Nous avons découvert nos premières booms et soirée adolescentes au son de l'electro, du Dancefloor, l'apogée de la musique de masse occidentale qui savait par quelques notes, faire frémir des milliers de cœurs en rythme sur un ton optimiste, candide, aux clips musicaux gentillement provocateur et kitsch à en rêver.
Nous avons joué à toutes les générations de PlayStation, ou on était du côté obscur de la force chez Xbox ou les gentils rigolo de Nintendo. On a découvert la Wii, les parties de Counter Strike où on apprenait à éviter les russes, World of Warcraft, Dofus, Call of Duty, Battlefield, les dernières heures des jeux de stratégie à la Command and Conquer...
Nous avons apprivoisés Internet, lancer les plus grandes marques et sociétés du monde. Jamais YouTube ne serait arriver là si de par le monde, des millions de jeunes adolescents n'avaient pas eu l'idée de partager leurs quickscope sur Rust, ou n'avais pas eu envie de faire des blagues sur les profs. Nous avions tous un mur Facebook, et nous likions les mêmes pages de blagues. Passer son profil en mode "En couple" était alors le but sacré.
Jamais une génération n'avait été aussi déconnecté du monde qui l'entourait en ignorant le fossé qui se creusait petit à petit entre "nous" et "eux". Jamais une génération n'avait eu tant de plaisir à vivre, alors que tout commençait à aller si mal dehors.
Voilà pourquoi les attentats ont laissés une si grande trace chez nous, et pourquoi les générations suivantes sont en réalité bien plus aptes à affronter ce siècle. Nous avons été éduqué à la même sauce que nos parents et nos grands-parents, à la différence que nous nous sommes rendus compte dès notre arrivé à l'age adulte, que notre monde avait definitivement basculé. Cette prise de conscience nous a brisé, voilà pourquoi on nous appelle "génération anxieuse", ou "génération triste" voir "génération seule".
Quand vous verrez un mec né en 2010 dire des termes que Conversano ne renierais pas ou refreinerait presque, vous auriez naturellement, instinctivement, une réaction de refus, de tempérance ou dumoins de choc. Quand vous êtes choqués par les images d'un règlement de compte ethnique, dites-vous que ceux qui sont nés après nous on grandis là-dedans, et qu'ils n'ont pas connu la France Black Blanc Beur de la Coupe de Monde 98.
Nous sommes les derniers boomers.
Nous étions des français, nés entre 1995 et 2000, à l'aube d'un nouveau millénaire qui nous étais destiné de conquérir, la tête remplie des idées du siècle passé.
On ne se souvient plus vraiment si on a vu le match ou pas, mais la France Black Blanc Beur de 98, on l'a vécu pendant toutes nos années de primaire, où on se foutais encore pas mal de l'origine des copains, ça, c'est venus plus tard.
Nous sommes la génération qui a eu l'enfance et l'adolescence la plus pourrie gâtée de toute l'Histoire de l'Humanité : ordinateur, console, vélo, jouet high-tech, sport extra-scolaire, vacances en été, nos parents avaient encore un pouvoir d'achat suffisant avant 2008 pour tout cela, et encore un peu après, parce que chez nous la crise a été étalée sur plusieurs années douce-amère financièrement.
Nous avons grandis avant que les tensions ethnique et religieuses n'apparaissent au grand jour, elles étaient encore camouflées sous le vivre-ensemble, 98 toussa toussa... Une adolescence sans crainte de subir un attentat ou de se faire encercler en soirée par 6 OQTF qui demandent une clope.
Nous avons découvert nos premières booms et soirée adolescentes au son de l'electro, du Dancefloor, l'apogée de la musique de masse occidentale qui savait par quelques notes, faire frémir des milliers de cœurs en rythme sur un ton optimiste, candide, aux clips musicaux gentillement provocateur et kitsch à en rêver.
Nous avons joué à toutes les générations de PlayStation, ou on était du côté obscur de la force chez Xbox ou les gentils rigolo de Nintendo. On a découvert la Wii, les parties de Counter Strike où on apprenait à éviter les russes, World of Warcraft, Dofus, Call of Duty, Battlefield, les dernières heures des jeux de stratégie à la Command and Conquer...
Nous avons apprivoisés Internet, lancer les plus grandes marques et sociétés du monde. Jamais YouTube ne serait arriver là si de par le monde, des millions de jeunes adolescents n'avaient pas eu l'idée de partager leurs quickscope sur Rust, ou n'avais pas eu envie de faire des blagues sur les profs. Nous avions tous un mur Facebook, et nous likions les mêmes pages de blagues. Passer son profil en mode "En couple" était alors le but sacré.
Jamais une génération n'avait été aussi déconnecté du monde qui l'entourait en ignorant le fossé qui se creusait petit à petit entre "nous" et "eux". Jamais une génération n'avait eu tant de plaisir à vivre, alors que tout commençait à aller si mal dehors.
Voilà pourquoi les attentats ont laissés une si grande trace chez nous, et pourquoi les générations suivantes sont en réalité bien plus aptes à affronter ce siècle. Nous avons été éduqué à la même sauce que nos parents et nos grands-parents, à la différence que nous nous sommes rendus compte dès notre arrivé à l'age adulte, que notre monde avait definitivement basculé. Cette prise de conscience nous a brisé, voilà pourquoi on nous appelle "génération anxieuse", ou "génération triste" voir "génération seule".
Quand vous verrez un mec né en 2010 dire des termes que Conversano ne renierais pas ou refreinerait presque, vous auriez naturellement, instinctivement, une réaction de refus, de tempérance ou dumoins de choc. Quand vous êtes choqués par les images d'un règlement de compte ethnique, dites-vous que ceux qui sont nés après nous on grandis là-dedans, et qu'ils n'ont pas connu la France Black Blanc Beur de la Coupe de Monde 98.
Nous sommes les derniers boomers.
Autre topic intéressant sur le dérèglement du cycle générationnel : 
https://onche.org/topic/8[...]nt-du-cycle-generationnel
C'est beau ce que tu racontes.
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
C'est beau ce que tu racontes.
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
[MUSIQUE D'AMBIANCE]
Nous étions des français, nés entre 1995 et 2000, à l'aube d'un nouveau millénaire qui nous étais destiné de conquérir, la tête remplie des idées du siècle passé.
On ne se souvient plus vraiment si on a vu le match ou pas, mais la France Black Blanc Beur de 98, on l'a vécu pendant toutes nos années de primaire, où on se foutais encore pas mal de l'origine des copains, ça, c'est venus plus tard.
Nous sommes la génération qui a eu l'enfance et l'adolescence la plus pourrie gâtée de toute l'Histoire de l'Humanité : ordinateur, console, vélo, jouet high-tech, sport extra-scolaire, vacances en été, nos parents avaient encore un pouvoir d'achat suffisant avant 2008 pour tout cela, et encore un peu après, parce que chez nous la crise a été étalée sur plusieurs années douce-amère financièrement.
Nous avons grandis avant que les tensions ethnique et religieuses n'apparaissent au grand jour, elles étaient encore camouflées sous le vivre-ensemble, 98 toussa toussa... Une adolescence sans crainte de subir un attentat ou de se faire encercler en soirée par 6 OQTF qui demandent une clope.
Nous avons découvert nos premières booms et soirée adolescentes au son de l'electro, du Dancefloor, l'apogée de la musique de masse occidentale qui savait par quelques notes, faire frémir des milliers de cœurs en rythme sur un ton optimiste, candide, aux clips musicaux gentillement provocateur et kitsch à en rêver.
Nous avons joué à toutes les générations de PlayStation, ou on était du côté obscur de la force chez Xbox ou les gentils rigolo de Nintendo. On a découvert la Wii, les parties de Counter Strike où on apprenait à éviter les russes, World of Warcraft, Dofus, Call of Duty, Battlefield, les dernières heures des jeux de stratégie à la Command and Conquer...
Nous avons apprivoisés Internet, lancer les plus grandes marques et sociétés du monde. Jamais YouTube ne serait arriver là si de par le monde, des millions de jeunes adolescents n'avaient pas eu l'idée de partager leurs quickscope sur Rust, ou n'avais pas eu envie de faire des blagues sur les profs. Nous avions tous un mur Facebook, et nous likions les mêmes pages de blagues. Passer son profil en mode "En couple" était alors le but sacré.
Jamais une génération n'avait été aussi déconnecté du monde qui l'entourait en ignorant le fossé qui se creusait petit à petit entre "nous" et "eux". Jamais une génération n'avait eu tant de plaisir à vivre, alors que tout commençait à aller si mal dehors.
Voilà pourquoi les attentats ont laissés une si grande trace chez nous, et pourquoi les générations suivantes sont en réalité bien plus aptes à affronter ce siècle. Nous avons été éduqué à la même sauce que nos parents et nos grands-parents, à la différence que nous nous sommes rendus compte dès notre arrivé à l'age adulte, que notre monde avait definitivement basculé. Cette prise de conscience nous a brisé, voilà pourquoi on nous appelle "génération anxieuse", ou "génération triste" voir "génération seule".
Quand vous verrez un mec né en 2010 dire des termes que Conversano ne renierais pas ou refreinerait presque, vous auriez naturellement, instinctivement, une réaction de refus, de tempérance ou dumoins de choc. Quand vous êtes choqués par les images d'un règlement de compte ethnique, dites-vous que ceux qui sont nés après nous on grandis là-dedans, et qu'ils n'ont pas connu la France Black Blanc Beur de la Coupe de Monde 98.
Nous sommes les derniers boomers.
Nous étions des français, nés entre 1995 et 2000, à l'aube d'un nouveau millénaire qui nous étais destiné de conquérir, la tête remplie des idées du siècle passé.
On ne se souvient plus vraiment si on a vu le match ou pas, mais la France Black Blanc Beur de 98, on l'a vécu pendant toutes nos années de primaire, où on se foutais encore pas mal de l'origine des copains, ça, c'est venus plus tard.
Nous sommes la génération qui a eu l'enfance et l'adolescence la plus pourrie gâtée de toute l'Histoire de l'Humanité : ordinateur, console, vélo, jouet high-tech, sport extra-scolaire, vacances en été, nos parents avaient encore un pouvoir d'achat suffisant avant 2008 pour tout cela, et encore un peu après, parce que chez nous la crise a été étalée sur plusieurs années douce-amère financièrement.
Nous avons grandis avant que les tensions ethnique et religieuses n'apparaissent au grand jour, elles étaient encore camouflées sous le vivre-ensemble, 98 toussa toussa... Une adolescence sans crainte de subir un attentat ou de se faire encercler en soirée par 6 OQTF qui demandent une clope.
Nous avons découvert nos premières booms et soirée adolescentes au son de l'electro, du Dancefloor, l'apogée de la musique de masse occidentale qui savait par quelques notes, faire frémir des milliers de cœurs en rythme sur un ton optimiste, candide, aux clips musicaux gentillement provocateur et kitsch à en rêver.
Nous avons joué à toutes les générations de PlayStation, ou on était du côté obscur de la force chez Xbox ou les gentils rigolo de Nintendo. On a découvert la Wii, les parties de Counter Strike où on apprenait à éviter les russes, World of Warcraft, Dofus, Call of Duty, Battlefield, les dernières heures des jeux de stratégie à la Command and Conquer...
Nous avons apprivoisés Internet, lancer les plus grandes marques et sociétés du monde. Jamais YouTube ne serait arriver là si de par le monde, des millions de jeunes adolescents n'avaient pas eu l'idée de partager leurs quickscope sur Rust, ou n'avais pas eu envie de faire des blagues sur les profs. Nous avions tous un mur Facebook, et nous likions les mêmes pages de blagues. Passer son profil en mode "En couple" était alors le but sacré.
Jamais une génération n'avait été aussi déconnecté du monde qui l'entourait en ignorant le fossé qui se creusait petit à petit entre "nous" et "eux". Jamais une génération n'avait eu tant de plaisir à vivre, alors que tout commençait à aller si mal dehors.
Voilà pourquoi les attentats ont laissés une si grande trace chez nous, et pourquoi les générations suivantes sont en réalité bien plus aptes à affronter ce siècle. Nous avons été éduqué à la même sauce que nos parents et nos grands-parents, à la différence que nous nous sommes rendus compte dès notre arrivé à l'age adulte, que notre monde avait definitivement basculé. Cette prise de conscience nous a brisé, voilà pourquoi on nous appelle "génération anxieuse", ou "génération triste" voir "génération seule".
Quand vous verrez un mec né en 2010 dire des termes que Conversano ne renierais pas ou refreinerait presque, vous auriez naturellement, instinctivement, une réaction de refus, de tempérance ou dumoins de choc. Quand vous êtes choqués par les images d'un règlement de compte ethnique, dites-vous que ceux qui sont nés après nous on grandis là-dedans, et qu'ils n'ont pas connu la France Black Blanc Beur de la Coupe de Monde 98.
Nous sommes les derniers boomers.
Autre topic intéressant sur le dérèglement du cycle générationnel : https://onche.org/topic/8[...]nt-du-cycle-generationnel
Sgt Barnes
i was there
J'ai le BUG ONCHE
Il a 21 ans c'est plus un pyj'
C'est beau ce que tu racontes.
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
Mais je suis un 2004 et j'en ai rien à foutre
Enfance sous influence des années 90-début 2000, adolescence débuté à 11 ans avec le Bataclan
J'ai raison
J'ai raison
je suis du début des années 2000 et je connais tous les sons de la playlist
96
C'est beau ce que t'écris putain
Et je dis ça en tant que sale 2005
Et je dis ça en tant que sale 2005
en tant que 97 je suis d'accord
on est les plus sacrifiés de tous
on est les plus sacrifiés de tous
j'ai remarqué que les groupes générationnelles ne prennent pas en compte les frères et soeurs
un enfant qui est un 2007 qui nait dans une famille avec un frère de 1997, il aura pas la meme enfance que s'il était seul. son frère plus âgé va lui transmettre les meme jouets , consoles de sa propre enfance, ils auront les memes references niveau culture populaire
un enfant qui est un 2007 qui nait dans une famille avec un frère de 1997, il aura pas la meme enfance que s'il était seul. son frère plus âgé va lui transmettre les meme jouets , consoles de sa propre enfance, ils auront les memes references niveau culture populaire
Maybe I just want to maybe...
je suis du début des années 2000 et je connais tous les sons de la playlist
Niveau culturel, comme la musique c'est pas étonnant, je connais aussi le répertoire des années 90/début 2000.
Mais dans la construction d'un individu, l'enfance et l'adolescence sont d'une importance incommensurable sur le reste de ta vie et comment tu vois le monde.
Si tu est né ne serais-ce qu'en 2002, nous avons 6 ans de différence et j'avais 16 ans quand tu en avais 10. La construction n'est pas la même face à deux monde de 6 ans d'intervalle
Mais dans la construction d'un individu, l'enfance et l'adolescence sont d'une importance incommensurable sur le reste de ta vie et comment tu vois le monde.
Si tu est né ne serais-ce qu'en 2002, nous avons 6 ans de différence et j'avais 16 ans quand tu en avais 10. La construction n'est pas la même face à deux monde de 6 ans d'intervalle
j'ai remarqué que les groupes générationnelles ne prennent pas en compte les frères et soeurs
un enfant qui est un 2007 qui nait dans une famille avec un frère de 1997, il aura pas la meme enfance que s'il était seul. son frère plus âgé va lui transmettre les meme jouets , consoles de sa propre enfance, ils auront les memes references niveau culture populaire
un enfant qui est un 2007 qui nait dans une famille avec un frère de 1997, il aura pas la meme enfance que s'il était seul. son frère plus âgé va lui transmettre les meme jouets , consoles de sa propre enfance, ils auront les memes references niveau culture populaire
Trop dur à prendre en compte dans une étude, surtout qu'il faut prendre en compte les familles recomposées, et autres situations...
Mais pour répondre à ton post plus haut, c'est moins une ode qu'un constat, j'ai vraiment peur que dans 50 ans nous ayons les mêmes reproches que les boomers que nous aimons détester en oubliant que ce sont nos grands-parents.
Mais pour répondre à ton post plus haut, c'est moins une ode qu'un constat, j'ai vraiment peur que dans 50 ans nous ayons les mêmes reproches que les boomers que nous aimons détester en oubliant que ce sont nos grands-parents.
Je suis officiellement un BOOMER et J'EXIGE plus de réponses à mon topic
Chaud
Trop dur à prendre en compte dans une étude, surtout qu'il faut prendre en compte les familles recomposées, et autres situations...
Mais pour répondre à ton post plus haut, c'est moins une ode qu'un constat, j'ai vraiment peur que dans 50 ans nous ayons les mêmes reproches que les boomers que nous aimons détester en oubliant que ce sont nos grands-parents.
Mais pour répondre à ton post plus haut, c'est moins une ode qu'un constat, j'ai vraiment peur que dans 50 ans nous ayons les mêmes reproches que les boomers que nous aimons détester en oubliant que ce sont nos grands-parents.
non et je penses que la raison c'est :
internet
moi je suis aussi zoomer de 98 et les différences avec un gen alpha elles sont tellement minimes car gommées par internet
même l'ia tout les progrès technologiques on est pas dépassées comme le sont nos parents et les boomers
on va être la première génération de zinzin à troller et faire des meme jusqu'à la tombe et les jeunes de 15 ans en 2090 ils trouveront ça peut-être cringe mais ils feront pareil
internet
moi je suis aussi zoomer de 98 et les différences avec un gen alpha elles sont tellement minimes car gommées par internet
même l'ia tout les progrès technologiques on est pas dépassées comme le sont nos parents et les boomers
on va être la première génération de zinzin à troller et faire des meme jusqu'à la tombe et les jeunes de 15 ans en 2090 ils trouveront ça peut-être cringe mais ils feront pareil
Maybe I just want to maybe...
non et je penses que la raison c'est :
internet
moi je suis aussi zoomer de 98 et les différences avec un gen alpha elles sont tellement minimes car gommées par internet
même l'ia tout les progrès technologiques on est pas dépassées comme le sont nos parents et les boomers
on va être la première génération de zinzin à troller et faire des meme jusqu'à la tombe et les jeunes de 15 ans en 2090 ils trouveront ça peut-être cringe mais ils feront pareil
internet
moi je suis aussi zoomer de 98 et les différences avec un gen alpha elles sont tellement minimes car gommées par internet
même l'ia tout les progrès technologiques on est pas dépassées comme le sont nos parents et les boomers
on va être la première génération de zinzin à troller et faire des meme jusqu'à la tombe et les jeunes de 15 ans en 2090 ils trouveront ça peut-être cringe mais ils feront pareil
C'est pas faux, en espérant que Internet tienne jusque là, qu'on ne soit pas dépassé par une autre technologie de communication qui viendrait plus tard
Mais tout mon propos ne tiens pas tant au vécu entier de l'individu qu'à sa construction en tant qu'enfant et adolescent, on est l'enfant de son époque et on le reste toute sa vie quelque part.
Mais tout mon propos ne tiens pas tant au vécu entier de l'individu qu'à sa construction en tant qu'enfant et adolescent, on est l'enfant de son époque et on le reste toute sa vie quelque part.