Ce sujet a été résolu
FAUX-
3 mois
Tier S : Boubou, popa, pastek, pegreverte, sucrey, fragi, vanhout, rine, chak, bdt, ardraos, 2sur10, apex, orsik (chill version)
Tier A : Birate, délit, sainte
...
Tier bien guez : xoxo
Tier A : Birate, délit, sainte
...
Tier bien guez : xoxo
Tu m'as un p'tit peu oublié
il y a 3 mois
Tu m'as un p'tit peu oublié
il y a 3 mois
il y a 3 mois
Tu m'as un p'tit peu oublié
Iel m'a beaucoup oublié
Arrêt non desservi
il y a 3 mois
Je suis la bergine je répond vos question
il y a 3 mois
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

Ayaa ce pavé, tu m'as donné envie d'aller le voir
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 3 mois
Ayaa ce pavé, tu m'as donné envie d'aller le voir
Attends d'avoir vu le 2ème
il y a 3 mois
Un petit peu mais pas tout, je viens de finir dragon ball, dragon ball z et gt en peu de temps
D'ailleurs j'aime bien t'as pdp avec krilin dans les premiers dragon ball
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
D'ailleurs j'aime bien t'as pdp avec krilin dans les premiers dragon ball
il y a 3 mois
Attends d'avoir vu le 2ème
Un deuxième pavé ayaa tarax
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 3 mois