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AAYYYAAAAA LE MEC QUI SENTRAINE EN VR SUR KINGDOM COME DELIVERANCE II
LE MEC QUI ARRIVE DEVANT LE RUISSEAU : RUISSEAU DU RUISSEAU
LE VIEIL ARBRE TOUCHE PAR LA FOUDRE : PLACE PUBLIQUE
LA CABANE EN BOIS FAITE AVEC DES BRANCHES ET DES FEUILLES POUR LE TOIT : MAIRIE DE SAINTE-FORET-SUR-GENEVIEVE
LE MEC QUI ARRIVE DEVANT LE RUISSEAU : RUISSEAU DU RUISSEAU
LE VIEIL ARBRE TOUCHE PAR LA FOUDRE : PLACE PUBLIQUE
LA CABANE EN BOIS FAITE AVEC DES BRANCHES ET DES FEUILLES POUR LE TOIT : MAIRIE DE SAINTE-FORET-SUR-GENEVIEVE
LE MEC A LEAK MON ADRESSE COMME CA ENFT
il y a 3 mois
Anti-amour...
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
Image Image
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
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il y a 3 mois
Ca doit pouvoir se faire sans avec de la volonté mon druidouni
Bah vraiment si quelqu'un connait un secteur un peu original je suis prenneur, parce qu'a part le btp . . .
il y a 3 mois
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
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Gto ne t'avais pas changé la vie
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 3 mois
Bah vraiment si quelqu'un connait un secteur un peu original je suis prenneur, parce qu'a part le btp . . .
Ebeniste . . .
il y a 3 mois
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Image Image, je te crois alors
le GOAT
il y a 3 mois
Gto ne t'avais pas changé la vie
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

il y a 3 mois
Image Image, je te crois alors
. . . je peux tout expliquer . . .
https://onche.org/topic/7[...]r-de-2019-a-change-ma-vie
il y a 3 mois
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.


Je suis la reine des mouches
il y a 3 mois
. . . je peux tout expliquer . . .
https://onche.org/topic/7[...]r-de-2019-a-change-ma-vie
Ca ne crédite pas ses sources ? On peut m'expliquer ?
le GOAT
il y a 3 mois
Ca ne crédite pas ses sources ? On peut m'expliquer ?
Faut demander à l'op du topic Le film Joker de 2019 a changé ma vie
il y a 3 mois
Musique d'ambiance :
Le manga Great Teacher Onizuka a changé ma vie…
Depuis, mon regard sur l’éducation et la société a complètement basculé. Avant, je pensais que la réussite se mesurait aux diplômes, à la conformité, aux bonnes manières dictées par des gens qui ont oublié ce que c’est que de rêver. Mais maintenant, je sais que la vraie force, c’est d’être libre. D’être soi-même, quoi qu’en disent les autres.
Cette société me rend fou. Tout est codifié, tout est prévu, et gare à celui qui ose sortir du cadre. Je vois des gens s’éteindre sous le poids des responsabilités, renier leurs envies juste pour entrer dans les cases. Moi, je refuse ce destin. Comme Onizuka, je veux vivre à fond, sans me soucier du regard des autres.
Il m’arrive de fixer le plafond pendant des heures, en repensant aux leçons de ce prof pas comme les autres. Pas des leçons qu’on apprend dans les livres, mais celles qui forgent un homme : l’audace, la loyauté, la détermination. Onizuka, c’est un rêveur qui refuse de grandir, un sale gosse dans un monde trop sérieux, un rebelle avec un cœur plus grand que n’importe quel système.
Onizuka, c’est la réalité avec un sourire insolent. Onizuka, c’est celui qui a toujours refusé de plier devant l’injustice, qui préfère risquer sa peau plutôt que de laisser quelqu’un sombrer. Onizuka, c’est nous.
Aujourd’hui, je ne peux plus me cacher derrière les règles absurdes et les attentes des autres. Ce monde a besoin de changement. Ce monde a besoin d’un Great Teacher.
Le manga Great Teacher Onizuka a changé ma vie…

Depuis, mon regard sur l’éducation et la société a complètement basculé. Avant, je pensais que la réussite se mesurait aux diplômes, à la conformité, aux bonnes manières dictées par des gens qui ont oublié ce que c’est que de rêver. Mais maintenant, je sais que la vraie force, c’est d’être libre. D’être soi-même, quoi qu’en disent les autres.

Cette société me rend fou. Tout est codifié, tout est prévu, et gare à celui qui ose sortir du cadre. Je vois des gens s’éteindre sous le poids des responsabilités, renier leurs envies juste pour entrer dans les cases. Moi, je refuse ce destin. Comme Onizuka, je veux vivre à fond, sans me soucier du regard des autres.

Il m’arrive de fixer le plafond pendant des heures, en repensant aux leçons de ce prof pas comme les autres. Pas des leçons qu’on apprend dans les livres, mais celles qui forgent un homme : l’audace, la loyauté, la détermination. Onizuka, c’est un rêveur qui refuse de grandir, un sale gosse dans un monde trop sérieux, un rebelle avec un cœur plus grand que n’importe quel système.

Onizuka, c’est la réalité avec un sourire insolent. Onizuka, c’est celui qui a toujours refusé de plier devant l’injustice, qui préfère risquer sa peau plutôt que de laisser quelqu’un sombrer. Onizuka, c’est nous.

Aujourd’hui, je ne peux plus me cacher derrière les règles absurdes et les attentes des autres. Ce monde a besoin de changement. Ce monde a besoin d’un Great Teacher.

il y a 3 mois
Immense banger de fou putain, merci le Japon et pardon pour les 2 bombes nucléaires mais c'était un mal pour le meilleur des mondes 

il y a 3 mois
Tier S : Boubou, popa, pastek, pegreverte, sucrey, fragi, vanhout, rine, chak, bdt, ardraos, 2sur10, apex, orsik (chill version)
Tier A : Birate, délit, sainte
...
Tier bien guez : xoxo
Tier A : Birate, délit, sainte
...
Tier bien guez : xoxo
quand les cœurs s'embrasent
il y a 3 mois