Ce sujet a été résolu
Pep
7 mois
L'imitation m'a l'air réussie
il y a 7 mois
C'est ton commentaire qu'on arrive pas à lire
il y a 7 mois
Je vais pas faire genre, je sait pas non plus ce que ça veux dire "ontologique"
On lit pas trop de livres par chez nous
On lit pas trop de livres par chez nous
il y a 7 mois
C'est ton commentaire qu'on arrive pas à lire
j'ai un peu bu
free lebosslelite
il y a 7 mois
C'est ton commentaire qu'on arrive pas à lire
J'ai trop bu bordel*
free lebosslelite
il y a 7 mois
Itsoktocoom
7 mois
Je vais pas faire genre, je sait pas non plus ce que ça veux dire "ontologique"
On lit pas trop de livres par chez nous
On lit pas trop de livres par chez nous
Si toi tu ne sais pas, imagine un nègre random essayer de comprendre
free lebosslelite
il y a 7 mois
Paris VIII est une bonne fac de psycho franchement Rennes 2 c'est bien pire par exemple !
il y a 7 mois
Macedoine-62
7 mois
Paris VIII est une bonne fac de psycho franchement Rennes 2 c'est bien pire par exemple !
awabongma hiiiii Rennes 2 PAN yamamonda azaziwa
free lebosslelite
il y a 7 mois
C'est pour bizuter les première année ?
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il y a 7 mois
C'est pour bizuter les première année ?
C'est Joseph Mérel. Un des seuls penseurs français intéressant post 2000
+ Faut pas faire d'étude de philo pour comprendre je crois
+ Faut pas faire d'étude de philo pour comprendre je crois
free lebosslelite
il y a 7 mois
ChefMichelDumas
7 mois
Je connais pas le mot ontologie
C'est un des domaines les compliqués de la philo, tu dois connaitre au moins la définition.
Sinon on te retire ta carte de blanc
Sinon on te retire ta carte de blanc
free lebosslelite
il y a 7 mois
Un être devient actif en réalisant son potentiel je vois pas ce qu'il y a de compliqué la dedans. C'est pas des maths non plus.
il y a 7 mois
Un être devient actif en réalisant son potentiel je vois pas ce qu'il y a de compliqué la dedans. C'est pas des maths non plus.
Il faut lire Saint Thomas d'Aquin, Hegel, peut-être Gentile, avant d'aborder ce livre pour comprendre son génie. (+ Il y a la suite du développement sur plusieurs pages suivantes)
free lebosslelite
il y a 7 mois
C'est Joseph Mérel. Un des seuls penseurs français intéressant post 2000
+ Faut pas faire d'étude de philo pour comprendre je crois
+ Faut pas faire d'étude de philo pour comprendre je crois
Son cerveau est exposé au pavillon de Breteuil, à côté du mètre étalon
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il y a 7 mois
Son cerveau est exposé au pavillon de Breteuil, à côté du mètre étalon
Arrête de te foutre de ma gueule enculé, il est bon
Tu préfères le génial livre d'Agenla Merkel "Liberté" ?
Tu préfères le génial livre d'Agenla Merkel "Liberté" ?
free lebosslelite
il y a 7 mois
Un être devient actif en réalisant son potentiel je vois pas ce qu'il y a de compliqué la dedans. C'est pas des maths non plus.
Ça s'appelle un développement
"L’acte de vivre est le caractère d’un être spirituel auquel il revient de se mouvoir par soi, d’un mouvement spontané quant à son origine et immanent quant à son terme ; il y autant de degrés de vie que de degrés d’immanence ; le mouvement peut être local, qualitatif, quantitatif, et substantiel (passage du non-être à l’être, au rebours des autres mouvements qui sont passages d’une manière d’être à une autre).
Le propre du vivant est donc d’avoir en lo posant, en lui-même, le « terminus a quo » du « terminus ad quem » qu’il et pour lui-même, en tant que résultat de sa propre activité ; mais le mouvement est aussi un passage d’un contraire à un autre ; aussi, étant résultat de sa propre activité (telle une machine — qu’il n’est pas — qui monterait ses propres ressorts), ce qui vit est tel que, le vivant étant « terminus ad quem » de son acte, il a en lui-même — jusqu’à un certain point — l’autre de la vie, ce non-vivre — cette mort — à partir duquel le vivant se fait vivre et dont il se fait ainsi procéder en s’anticipant en lui ; comme l’enseignait Bichat, relèvent de la vie les activités qui résistent à la mort, tout vivant a la forme d’une victoire — plus ou moins parfaite — sur la mort : Celui qui est la Vie est aussi Résurrection éternelle victoire sur le non-être. Dès lors, il est définitionnel du vivant d’entretenir sa vitalité en luttant contre l’agression, interne ou externe.
Ce ne sont pas les microbes qui tuent, c’est l’impuissance à leur résister. De même qu’un corps sain n’est pas un corps sans déchets, mais un corps qui sait les éliminer, de même le vivant n’est pas ce qui est étranger à la mort, mais ce qui sait l’affronter et la dominer.
S’il est vrai qu’un société est analogiquement vivante, toute société a toujours été menacée par des agressions internes ou externes, elle vit même de ce qui la conteste et qui lui enjoint d’exercer son acte polémique de vivre ; « oportet haereses esse » ; la leçon vaut non seulement pour les controverses religieuses, mais aussi pour les dissensions philosophico-politiques.
La cause première des décadences n’est ni plus le saprophyte judaïque ni la trichine maçonnique ; comme l’enseignait saint Pie X, la force des méchants est la faiblesse des bons.
Une société, une religion, une culture ne meurt que parce qu’elle renonce à vivre. Ne perd ses raisons de vivre que ce qui a renoncé à les fonder en raison, ou qui n’a pas su comprendre qu’elles n’étaient pas encore invinciblement fondées. Et tous les artifices du Tentateur ne peuvent que disposer au péché, ils sont bien incapables de contraindre le libre arbitre du pécheur, qui demeure cause première."
pute
"L’acte de vivre est le caractère d’un être spirituel auquel il revient de se mouvoir par soi, d’un mouvement spontané quant à son origine et immanent quant à son terme ; il y autant de degrés de vie que de degrés d’immanence ; le mouvement peut être local, qualitatif, quantitatif, et substantiel (passage du non-être à l’être, au rebours des autres mouvements qui sont passages d’une manière d’être à une autre).
Le propre du vivant est donc d’avoir en lo posant, en lui-même, le « terminus a quo » du « terminus ad quem » qu’il et pour lui-même, en tant que résultat de sa propre activité ; mais le mouvement est aussi un passage d’un contraire à un autre ; aussi, étant résultat de sa propre activité (telle une machine — qu’il n’est pas — qui monterait ses propres ressorts), ce qui vit est tel que, le vivant étant « terminus ad quem » de son acte, il a en lui-même — jusqu’à un certain point — l’autre de la vie, ce non-vivre — cette mort — à partir duquel le vivant se fait vivre et dont il se fait ainsi procéder en s’anticipant en lui ; comme l’enseignait Bichat, relèvent de la vie les activités qui résistent à la mort, tout vivant a la forme d’une victoire — plus ou moins parfaite — sur la mort : Celui qui est la Vie est aussi Résurrection éternelle victoire sur le non-être. Dès lors, il est définitionnel du vivant d’entretenir sa vitalité en luttant contre l’agression, interne ou externe.
Ce ne sont pas les microbes qui tuent, c’est l’impuissance à leur résister. De même qu’un corps sain n’est pas un corps sans déchets, mais un corps qui sait les éliminer, de même le vivant n’est pas ce qui est étranger à la mort, mais ce qui sait l’affronter et la dominer.
S’il est vrai qu’un société est analogiquement vivante, toute société a toujours été menacée par des agressions internes ou externes, elle vit même de ce qui la conteste et qui lui enjoint d’exercer son acte polémique de vivre ; « oportet haereses esse » ; la leçon vaut non seulement pour les controverses religieuses, mais aussi pour les dissensions philosophico-politiques.
La cause première des décadences n’est ni plus le saprophyte judaïque ni la trichine maçonnique ; comme l’enseignait saint Pie X, la force des méchants est la faiblesse des bons.
Une société, une religion, une culture ne meurt que parce qu’elle renonce à vivre. Ne perd ses raisons de vivre que ce qui a renoncé à les fonder en raison, ou qui n’a pas su comprendre qu’elles n’étaient pas encore invinciblement fondées. Et tous les artifices du Tentateur ne peuvent que disposer au péché, ils sont bien incapables de contraindre le libre arbitre du pécheur, qui demeure cause première."
free lebosslelite
il y a 7 mois