Ce sujet a été résolu
Des drapeaux français et des drapeaux de la France Libre ça change vraiment des drapeaux LGBTQIFLOTTE, algériens, marocains, rouges et de LFI qu'on voit dans les manifestations.
il y a 2 ans
PersoENT j'y retourne Mardi car je veux voir la suite de ce qui s'est passé vendredi
C'est des moments totalement historiques en réalité, tout le reste c'était des coups d'essai
Dans le doute, je veux pouvoir dire j'y étais, et pas être le cuck de ce que j'attends depuis longtemps.
C'est des moments totalement historiques en réalité, tout le reste c'était des coups d'essai
Dans le doute, je veux pouvoir dire j'y étais, et pas être le cuck de ce que j'attends depuis longtemps.
il y a 2 ans
Il faut juste que tu considères deux choses.
La résilience et la convergence des combats.
Macron aura réussi à éprouver la première, et provoquer la seconde.
Y'a encore 10j je pensais comme toi.
Mais vendredi dernier ce que j'ai vu et senti c'est totalement inédit.
Et il suffit de regarder le regard et le désespoir des forces de l'ordre, même au plus haut des GJ on était loin de ça, et ce sont les meilleurs signaux.
La résilience et la convergence des combats.
Macron aura réussi à éprouver la première, et provoquer la seconde.
Y'a encore 10j je pensais comme toi.
Mais vendredi dernier ce que j'ai vu et senti c'est totalement inédit.
Et il suffit de regarder le regard et le désespoir des forces de l'ordre, même au plus haut des GJ on était loin de ça, et ce sont les meilleurs signaux.
J'en ai rien à foutre, ma haine des golems dépasse largement la haine du Big Mac et son gouv
Je veux voir les golems dosés et barragistes ÉTRILLÉS en train de CHIALER de douleur au sol, à se faire marraver par 8 CRS déters
Voilà ce que je veux, ils méritent des matraques dans le cul ces PNJ
Macron doit et va TENIR tout en leur mettant bien profond et ça me plait BEAUCOUP
MÉRITÉ LES QUADRUPLES DOSÉS
Je veux voir les golems dosés et barragistes ÉTRILLÉS en train de CHIALER de douleur au sol, à se faire marraver par 8 CRS déters
Voilà ce que je veux, ils méritent des matraques dans le cul ces PNJ
Macron doit et va TENIR tout en leur mettant bien profond et ça me plait BEAUCOUP
MÉRITÉ LES QUADRUPLES DOSÉS
il y a 2 ans
J'en ai rien à foutre, ma haine des golems dépasse largement la haine du Big Mac et son gouv
Je veux voir les golems dosés et barragistes ÉTRILLÉS en train de CHIALER de douleur au sol, à se faire marraver par 8 CRS déters
Voilà ce que je veux, ils méritent des matraques dans le cul ces PNJ
Macron doit et va TENIR tout en leur mettant bien profond et ça me plait BEAUCOUP
MÉRITÉ LES QUADRUPLES DOSÉS
Je veux voir les golems dosés et barragistes ÉTRILLÉS en train de CHIALER de douleur au sol, à se faire marraver par 8 CRS déters
Voilà ce que je veux, ils méritent des matraques dans le cul ces PNJ
Macron doit et va TENIR tout en leur mettant bien profond et ça me plait BEAUCOUP
MÉRITÉ LES QUADRUPLES DOSÉS
Big Mac c'est le chef des golem.
Enfin tu vois les choses comme tu veux
Sache juste que j'ai un background qui te surprendrait beaucoup et bien plus proche de tes idées que tu le crois.
Et Macron c'est le Problème, et de loin, et désormais tout le monde le ressent, même à l' ED.
Enfin tu vois les choses comme tu veux
Sache juste que j'ai un background qui te surprendrait beaucoup et bien plus proche de tes idées que tu le crois.
Et Macron c'est le Problème, et de loin, et désormais tout le monde le ressent, même à l' ED.
il y a 2 ans
AYAOOOO khey le GUD est bien venu à ma fac
« Communiqué des étudiant·e·s présent·e·s durant l’attaque du « Waffen Assas » :
« Ce matin, samedi 25 mars, un groupe d'étudiant-es se sont rendu-es sur les campus René Cassin et Lourcine dans le but de maintenir le blocus de ces centres. En effet certain-es professeur-es avaient fait le choix de maintenir des examens, en dépit de la période de mobilisation actuelle.
Ce blocus, réalisé sans violence, rassemblait une petite dizaine d'étudiant-es devant les deux campus.
Aux alentours de 8h20 deux prétendus étudiants en droit se sont présentés devant nous, nous informant vouloir obtenir des informations sur le blocus et les examens prévus. Nous supposons fortement qu'ils étaient là pour informer de notre nombre et de notre présence devant les centres.
Vingt minutes plus tard, nous avons été interpellé-es par des cris provenant du haut de la rue Saint Hippolyte. Un premier groupe d'individus, plus tard identifié comme appartenant au GUD (Groupe Union Défense) qui se cache sous le nom de WAFFEN, se trouvait à ce moment-là au croisement de cette rue et de la rue de la Glacière, proche du campus René Cassin, tandis qu'un second groupe se tenait proche de l'entrée du campus de Lourcine.
Une quarantaine d'individus masqués voire cagoulés, se sont précipités vers nous en courant et en hurlant, adoptant une posture intimidante. Certains d'entre eux portaient avec eux des objets ayant pour objectif de blesser, comme des couteaux et des barres de fer. Surpris de cette apparition brutale et violente nous avons couru le plus vite possible en direction du boulevard Arago, à la recherche d'un endroit sécurisé. Certain-es d'entre nous ont réussi à trouver refuge dans des café et des bars, d'autre ont réussi à prendre la fuite dans le quartier.
Un camarade n'a pu échapper aux nombreux individus se dirigeant vers nous, et a été roué de nombreux coups extrêmement violents, nécessitant sa prise en charge et son transfert à l'hôpital. Le diagnostic le plus récent relève un nez et une mâchoire fracturés.
Une fois à l'abri dans les cafés et bars, l'intimidation n'a pas cessé, les individus toujours cagoulés et masqués ont continué de déambuler dans le quartier, formant une sorte de milice anti-blocus. Leur objectif était clair, réprimer violemment l'action des étudiant-es mobilisé-es, faire peur, intimider. Nous avons pu quitter nos lieux de repli respectifs seulement 45 minutes après y avoir trouvé refuge pour rejoindre le métro. Pendant ce temps-là notre camarade blessé a heureusement pu être pris en charge par les secours. Une camarade présente devant le campus de Lourcine a quant à elle confié sa version aux policiers appelés à la suite de cette agression.
Fidèle à lui-même ainsi qu'à son passé, le GUD a d'ailleurs clairement revendiqué son affiliation nazie en taguant "Waffen Assas" accompagné d'une croix celtique, sur la devanture du centre Cassin. Ce tag à caractère hautement antisémite et raciste, en ce qu'il revendique sa filiation avec la SS, doit nous alerter sur la nature même de l'extrême droite et de ses racines idéologiques ainsi que sur sa dangerosité, trop souvent banalisée au cours des derniers mois.
Cette agression traumatisante est hautement condamnable. Nos lieux d'études, même en contexte de mobilisation ne doivent en aucun cas devenir le refuge d'une extrême droite violente ou d'une extrême droite tout court. De plus, l'attaque de ce matin n'est malheureusement pas un cas isolé, le cortège de l'ENS ayant subi jeudi, lors de la manifestation intersyndicale, une agression ciblée de la part des mêmes
individus.
Ensemble, il est nécessaire et urgent de condamner ces actions et leurs auteurs. L'extrême droite n'a pas sa place dans nos universités ! »
« Communiqué des étudiant·e·s présent·e·s durant l’attaque du « Waffen Assas » :
« Ce matin, samedi 25 mars, un groupe d'étudiant-es se sont rendu-es sur les campus René Cassin et Lourcine dans le but de maintenir le blocus de ces centres. En effet certain-es professeur-es avaient fait le choix de maintenir des examens, en dépit de la période de mobilisation actuelle.
Ce blocus, réalisé sans violence, rassemblait une petite dizaine d'étudiant-es devant les deux campus.
Aux alentours de 8h20 deux prétendus étudiants en droit se sont présentés devant nous, nous informant vouloir obtenir des informations sur le blocus et les examens prévus. Nous supposons fortement qu'ils étaient là pour informer de notre nombre et de notre présence devant les centres.
Vingt minutes plus tard, nous avons été interpellé-es par des cris provenant du haut de la rue Saint Hippolyte. Un premier groupe d'individus, plus tard identifié comme appartenant au GUD (Groupe Union Défense) qui se cache sous le nom de WAFFEN, se trouvait à ce moment-là au croisement de cette rue et de la rue de la Glacière, proche du campus René Cassin, tandis qu'un second groupe se tenait proche de l'entrée du campus de Lourcine.
Une quarantaine d'individus masqués voire cagoulés, se sont précipités vers nous en courant et en hurlant, adoptant une posture intimidante. Certains d'entre eux portaient avec eux des objets ayant pour objectif de blesser, comme des couteaux et des barres de fer. Surpris de cette apparition brutale et violente nous avons couru le plus vite possible en direction du boulevard Arago, à la recherche d'un endroit sécurisé. Certain-es d'entre nous ont réussi à trouver refuge dans des café et des bars, d'autre ont réussi à prendre la fuite dans le quartier.
Un camarade n'a pu échapper aux nombreux individus se dirigeant vers nous, et a été roué de nombreux coups extrêmement violents, nécessitant sa prise en charge et son transfert à l'hôpital. Le diagnostic le plus récent relève un nez et une mâchoire fracturés.
Une fois à l'abri dans les cafés et bars, l'intimidation n'a pas cessé, les individus toujours cagoulés et masqués ont continué de déambuler dans le quartier, formant une sorte de milice anti-blocus. Leur objectif était clair, réprimer violemment l'action des étudiant-es mobilisé-es, faire peur, intimider. Nous avons pu quitter nos lieux de repli respectifs seulement 45 minutes après y avoir trouvé refuge pour rejoindre le métro. Pendant ce temps-là notre camarade blessé a heureusement pu être pris en charge par les secours. Une camarade présente devant le campus de Lourcine a quant à elle confié sa version aux policiers appelés à la suite de cette agression.
Fidèle à lui-même ainsi qu'à son passé, le GUD a d'ailleurs clairement revendiqué son affiliation nazie en taguant "Waffen Assas" accompagné d'une croix celtique, sur la devanture du centre Cassin. Ce tag à caractère hautement antisémite et raciste, en ce qu'il revendique sa filiation avec la SS, doit nous alerter sur la nature même de l'extrême droite et de ses racines idéologiques ainsi que sur sa dangerosité, trop souvent banalisée au cours des derniers mois.
Cette agression traumatisante est hautement condamnable. Nos lieux d'études, même en contexte de mobilisation ne doivent en aucun cas devenir le refuge d'une extrême droite violente ou d'une extrême droite tout court. De plus, l'attaque de ce matin n'est malheureusement pas un cas isolé, le cortège de l'ENS ayant subi jeudi, lors de la manifestation intersyndicale, une agression ciblée de la part des mêmes
individus.
Ensemble, il est nécessaire et urgent de condamner ces actions et leurs auteurs. L'extrême droite n'a pas sa place dans nos universités ! »
il y a 2 ans
Big Mac c'est le chef des golem.
Enfin tu vois les choses comme tu veux
Sache juste que j'ai un background qui te surprendrait beaucoup et bien plus proche de tes idées que tu le crois.
Et Macron c'est le Problème, et de loin, et désormais tout le monde le ressent, même à l' ED.
Enfin tu vois les choses comme tu veux
Sache juste que j'ai un background qui te surprendrait beaucoup et bien plus proche de tes idées que tu le crois.
Et Macron c'est le Problème, et de loin, et désormais tout le monde le ressent, même à l' ED.
Macron est un lieutenant du NWO c'est pas un golem du tout
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
il y a 2 ans
Macron est un lieutenant du NWO c'est pas un golem du tout
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
J'ai pas dit que c'était un golem.
J'ai dit que c'était leur chef, ils les contrôlent de A à Z, si tu enlèves le chef, le dentifrice sort du tube, et le golem peut enfin entrevoir un peu de lumière..
La suite c'est autre chose, mais peut on faire pire ?
J'ai dit que c'était leur chef, ils les contrôlent de A à Z, si tu enlèves le chef, le dentifrice sort du tube, et le golem peut enfin entrevoir un peu de lumière..
La suite c'est autre chose, mais peut on faire pire ?
il y a 2 ans
IamConsomateur
2 ans
AYAOOOO khey le GUD est bien venu à ma fac
« Communiqué des étudiant·e·s présent·e·s durant l’attaque du « Waffen Assas » :
« Ce matin, samedi 25 mars, un groupe d'étudiant-es se sont rendu-es sur les campus René Cassin et Lourcine dans le but de maintenir le blocus de ces centres. En effet certain-es professeur-es avaient fait le choix de maintenir des examens, en dépit de la période de mobilisation actuelle.
Ce blocus, réalisé sans violence, rassemblait une petite dizaine d'étudiant-es devant les deux campus.
Aux alentours de 8h20 deux prétendus étudiants en droit se sont présentés devant nous, nous informant vouloir obtenir des informations sur le blocus et les examens prévus. Nous supposons fortement qu'ils étaient là pour informer de notre nombre et de notre présence devant les centres.
Vingt minutes plus tard, nous avons été interpellé-es par des cris provenant du haut de la rue Saint Hippolyte. Un premier groupe d'individus, plus tard identifié comme appartenant au GUD (Groupe Union Défense) qui se cache sous le nom de WAFFEN, se trouvait à ce moment-là au croisement de cette rue et de la rue de la Glacière, proche du campus René Cassin, tandis qu'un second groupe se tenait proche de l'entrée du campus de Lourcine.
Une quarantaine d'individus masqués voire cagoulés, se sont précipités vers nous en courant et en hurlant, adoptant une posture intimidante. Certains d'entre eux portaient avec eux des objets ayant pour objectif de blesser, comme des couteaux et des barres de fer. Surpris de cette apparition brutale et violente nous avons couru le plus vite possible en direction du boulevard Arago, à la recherche d'un endroit sécurisé. Certain-es d'entre nous ont réussi à trouver refuge dans des café et des bars, d'autre ont réussi à prendre la fuite dans le quartier.
Un camarade n'a pu échapper aux nombreux individus se dirigeant vers nous, et a été roué de nombreux coups extrêmement violents, nécessitant sa prise en charge et son transfert à l'hôpital. Le diagnostic le plus récent relève un nez et une mâchoire fracturés.
Une fois à l'abri dans les cafés et bars, l'intimidation n'a pas cessé, les individus toujours cagoulés et masqués ont continué de déambuler dans le quartier, formant une sorte de milice anti-blocus. Leur objectif était clair, réprimer violemment l'action des étudiant-es mobilisé-es, faire peur, intimider. Nous avons pu quitter nos lieux de repli respectifs seulement 45 minutes après y avoir trouvé refuge pour rejoindre le métro. Pendant ce temps-là notre camarade blessé a heureusement pu être pris en charge par les secours. Une camarade présente devant le campus de Lourcine a quant à elle confié sa version aux policiers appelés à la suite de cette agression.
Fidèle à lui-même ainsi qu'à son passé, le GUD a d'ailleurs clairement revendiqué son affiliation nazie en taguant "Waffen Assas" accompagné d'une croix celtique, sur la devanture du centre Cassin. Ce tag à caractère hautement antisémite et raciste, en ce qu'il revendique sa filiation avec la SS, doit nous alerter sur la nature même de l'extrême droite et de ses racines idéologiques ainsi que sur sa dangerosité, trop souvent banalisée au cours des derniers mois.
Cette agression traumatisante est hautement condamnable. Nos lieux d'études, même en contexte de mobilisation ne doivent en aucun cas devenir le refuge d'une extrême droite violente ou d'une extrême droite tout court. De plus, l'attaque de ce matin n'est malheureusement pas un cas isolé, le cortège de l'ENS ayant subi jeudi, lors de la manifestation intersyndicale, une agression ciblée de la part des mêmes
individus.
Ensemble, il est nécessaire et urgent de condamner ces actions et leurs auteurs. L'extrême droite n'a pas sa place dans nos universités ! »
« Communiqué des étudiant·e·s présent·e·s durant l’attaque du « Waffen Assas » :
« Ce matin, samedi 25 mars, un groupe d'étudiant-es se sont rendu-es sur les campus René Cassin et Lourcine dans le but de maintenir le blocus de ces centres. En effet certain-es professeur-es avaient fait le choix de maintenir des examens, en dépit de la période de mobilisation actuelle.
Ce blocus, réalisé sans violence, rassemblait une petite dizaine d'étudiant-es devant les deux campus.
Aux alentours de 8h20 deux prétendus étudiants en droit se sont présentés devant nous, nous informant vouloir obtenir des informations sur le blocus et les examens prévus. Nous supposons fortement qu'ils étaient là pour informer de notre nombre et de notre présence devant les centres.
Vingt minutes plus tard, nous avons été interpellé-es par des cris provenant du haut de la rue Saint Hippolyte. Un premier groupe d'individus, plus tard identifié comme appartenant au GUD (Groupe Union Défense) qui se cache sous le nom de WAFFEN, se trouvait à ce moment-là au croisement de cette rue et de la rue de la Glacière, proche du campus René Cassin, tandis qu'un second groupe se tenait proche de l'entrée du campus de Lourcine.
Une quarantaine d'individus masqués voire cagoulés, se sont précipités vers nous en courant et en hurlant, adoptant une posture intimidante. Certains d'entre eux portaient avec eux des objets ayant pour objectif de blesser, comme des couteaux et des barres de fer. Surpris de cette apparition brutale et violente nous avons couru le plus vite possible en direction du boulevard Arago, à la recherche d'un endroit sécurisé. Certain-es d'entre nous ont réussi à trouver refuge dans des café et des bars, d'autre ont réussi à prendre la fuite dans le quartier.
Un camarade n'a pu échapper aux nombreux individus se dirigeant vers nous, et a été roué de nombreux coups extrêmement violents, nécessitant sa prise en charge et son transfert à l'hôpital. Le diagnostic le plus récent relève un nez et une mâchoire fracturés.
Une fois à l'abri dans les cafés et bars, l'intimidation n'a pas cessé, les individus toujours cagoulés et masqués ont continué de déambuler dans le quartier, formant une sorte de milice anti-blocus. Leur objectif était clair, réprimer violemment l'action des étudiant-es mobilisé-es, faire peur, intimider. Nous avons pu quitter nos lieux de repli respectifs seulement 45 minutes après y avoir trouvé refuge pour rejoindre le métro. Pendant ce temps-là notre camarade blessé a heureusement pu être pris en charge par les secours. Une camarade présente devant le campus de Lourcine a quant à elle confié sa version aux policiers appelés à la suite de cette agression.
Fidèle à lui-même ainsi qu'à son passé, le GUD a d'ailleurs clairement revendiqué son affiliation nazie en taguant "Waffen Assas" accompagné d'une croix celtique, sur la devanture du centre Cassin. Ce tag à caractère hautement antisémite et raciste, en ce qu'il revendique sa filiation avec la SS, doit nous alerter sur la nature même de l'extrême droite et de ses racines idéologiques ainsi que sur sa dangerosité, trop souvent banalisée au cours des derniers mois.
Cette agression traumatisante est hautement condamnable. Nos lieux d'études, même en contexte de mobilisation ne doivent en aucun cas devenir le refuge d'une extrême droite violente ou d'une extrême droite tout court. De plus, l'attaque de ce matin n'est malheureusement pas un cas isolé, le cortège de l'ENS ayant subi jeudi, lors de la manifestation intersyndicale, une agression ciblée de la part des mêmes
individus.
Ensemble, il est nécessaire et urgent de condamner ces actions et leurs auteurs. L'extrême droite n'a pas sa place dans nos universités ! »
AYOOOOOOO bah voilà t'attends quoi pour les rejoindre, leur insta est actif de nouveau en plus GO GO GO va casser de l'antifa fais-toi plaisir
il y a 2 ans
J'ai pas dit que c'était un golem.
J'ai dit que c'était leur chef, ils les contrôlent de A à Z, si tu enlèves le chef, le dentifrice sort du tube, et le golem peut enfin entrevoir un peu de lumière..
La suite c'est autre chose, mais peut on faire pire ?
J'ai dit que c'était leur chef, ils les contrôlent de A à Z, si tu enlèves le chef, le dentifrice sort du tube, et le golem peut enfin entrevoir un peu de lumière..
La suite c'est autre chose, mais peut on faire pire ?
Peut-on faire pire que le Système actuel ? Eh oui malheureusement c'est ça le problème
C'est pour cela qu'il faut faire attention à QUI mène la "révolution"
Si c'est des marxistes puants vaut limite mieux s'aligner côté gouv, façon Freikorps 1919
C'est pour cela qu'il faut faire attention à QUI mène la "révolution"
Si c'est des marxistes puants vaut limite mieux s'aligner côté gouv, façon Freikorps 1919
il y a 2 ans
« Chères étudiantes, chers étudiants,
Je constate, en même temps que vous, que je vous ai menti.
Mon « Merci. » d’il y a quelques jours ne restera pas comme mon dernier courriel sur cette liste de diffusion. L’ignominie en a, ce matin, décidé autrement.
Nous avons, en effet, eu l’immense amertume d’apprendre, au réveil, l'incident survernu, ce jour, avant 09h, aux abords du centre René Cassin.
Selon les informations dont nous disposons pour l’heure, alors que des étudiants s’attelaient au blocage du centre, des individus masqués et agressifs sont venus tenter de démanteler les poubelles qui en obstruaient l’accès.
En guise de paraphe de leur forfait, ils inscrivaient « Waffen Assas », adjoint d’une croix celtique, symbole trop bien connu des milieux suprémacistes et xénophobes.
Une simple recherche sur internet permet d'appréhender davantage les idéologies de ce mouvement.
Nous nous sommes rendus sur place afin que chacun puisse mesurer la teneur de cette inscription, et pour nous assurer, en notre qualité d'élus de l'EDS, de la sécurité des agents de l'administration présents.
Il est intolérable, de voir fleurir, sur une façade universitaire, une telle référence à l’idéologie nazie. La lâcheté des auteurs de cette dégradation n’a d’égale que leur vilénie.
Il fallait finalement que l’obscurantisme en arrive à ce degré suprême d’indécence où, conjugué à la bêtise, il accepte de tout confondre, de tout manipuler fallacieusement, faisant délibérément fi des frontières que l’Histoire nous impose.
Si le blocage des espaces universitaires - pour lutter contre une mesure nationale - est un moyen d’action qui peut être débattu, nulle violence ne saurait être légitimée.
Ainsi toutes nos pensées vont à l'endroit des étudiants qui ont été blessés dans le cadre de cette attaque.
L’université est un lieu sacré. Un lieu de savoir, de transmission et de construction idéologique. Cette marque abjecte renvoyant aux sombres heures du siècle passé en est aux antipodes. À travers le monde, la Sorbonne est le symbole de la liberté à la française, elle doit, plus que jamais, le demeurer.
« Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde ». Cette phrase, erronément attribuée à Bertolt Brecht, est d’une triste actualité. Notre devoir absolu est d’empêcher tout parallèle perfide que l'indigence intellectuelle disputerait au plus grand des dangers.
Alors il est des situations que l’on ne pourra jamais confondre, il est des liens que l’on ne pourra jamais faire.
À nous de demeurer les garants de l’esprit des Lumières, qui irrigue nos valeurs universitaires.
À nous de veiller, chaque instant, au respect des lois
Aux assassins de l’Histoire, que la République se souvienne à jamais de vos gesticulations nauséabondes, puisse-t-elle se renforcer à vos dépens.
Ensemble, plus que jamais.
Ilan Volson-Derabours »
Ferme ta gueule Ilan
Je constate, en même temps que vous, que je vous ai menti.
Mon « Merci. » d’il y a quelques jours ne restera pas comme mon dernier courriel sur cette liste de diffusion. L’ignominie en a, ce matin, décidé autrement.
Nous avons, en effet, eu l’immense amertume d’apprendre, au réveil, l'incident survernu, ce jour, avant 09h, aux abords du centre René Cassin.
Selon les informations dont nous disposons pour l’heure, alors que des étudiants s’attelaient au blocage du centre, des individus masqués et agressifs sont venus tenter de démanteler les poubelles qui en obstruaient l’accès.
En guise de paraphe de leur forfait, ils inscrivaient « Waffen Assas », adjoint d’une croix celtique, symbole trop bien connu des milieux suprémacistes et xénophobes.
Une simple recherche sur internet permet d'appréhender davantage les idéologies de ce mouvement.
Nous nous sommes rendus sur place afin que chacun puisse mesurer la teneur de cette inscription, et pour nous assurer, en notre qualité d'élus de l'EDS, de la sécurité des agents de l'administration présents.
Il est intolérable, de voir fleurir, sur une façade universitaire, une telle référence à l’idéologie nazie. La lâcheté des auteurs de cette dégradation n’a d’égale que leur vilénie.
Il fallait finalement que l’obscurantisme en arrive à ce degré suprême d’indécence où, conjugué à la bêtise, il accepte de tout confondre, de tout manipuler fallacieusement, faisant délibérément fi des frontières que l’Histoire nous impose.
Si le blocage des espaces universitaires - pour lutter contre une mesure nationale - est un moyen d’action qui peut être débattu, nulle violence ne saurait être légitimée.
Ainsi toutes nos pensées vont à l'endroit des étudiants qui ont été blessés dans le cadre de cette attaque.
L’université est un lieu sacré. Un lieu de savoir, de transmission et de construction idéologique. Cette marque abjecte renvoyant aux sombres heures du siècle passé en est aux antipodes. À travers le monde, la Sorbonne est le symbole de la liberté à la française, elle doit, plus que jamais, le demeurer.
« Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde ». Cette phrase, erronément attribuée à Bertolt Brecht, est d’une triste actualité. Notre devoir absolu est d’empêcher tout parallèle perfide que l'indigence intellectuelle disputerait au plus grand des dangers.
Alors il est des situations que l’on ne pourra jamais confondre, il est des liens que l’on ne pourra jamais faire.
À nous de demeurer les garants de l’esprit des Lumières, qui irrigue nos valeurs universitaires.
À nous de veiller, chaque instant, au respect des lois
Aux assassins de l’Histoire, que la République se souvienne à jamais de vos gesticulations nauséabondes, puisse-t-elle se renforcer à vos dépens.
Ensemble, plus que jamais.
Ilan Volson-Derabours »
Ferme ta gueule Ilan
il y a 2 ans
Macron est un lieutenant du NWO c'est pas un golem du tout
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
Il a le mérite de bien les faire rager et ça me plaît
Ils l'ont voté deux fois ces sales merdes, ils vont voir maintenant
Ok, mais le golem par définition il est golem, il va rien voir du tout, il va continuer, c'est ça que tu dois comprendre.
Ex: si t'as une secte, tu peux les laisser souffrir autant que tu veux, tant que le gourou est en place, il va rien se passer.
Par contre a la disparition du gourou, y'a un vide, et ça peut les faire réfléchir, mais surtout ça permet aux autres de leur passer des messages.
Ex: si t'as une secte, tu peux les laisser souffrir autant que tu veux, tant que le gourou est en place, il va rien se passer.
Par contre a la disparition du gourou, y'a un vide, et ça peut les faire réfléchir, mais surtout ça permet aux autres de leur passer des messages.
il y a 2 ans
IamConsomateur
2 ans
« Chères étudiantes, chers étudiants,
Je constate, en même temps que vous, que je vous ai menti.
Mon « Merci. » d’il y a quelques jours ne restera pas comme mon dernier courriel sur cette liste de diffusion. L’ignominie en a, ce matin, décidé autrement.
Nous avons, en effet, eu l’immense amertume d’apprendre, au réveil, l'incident survernu, ce jour, avant 09h, aux abords du centre René Cassin.
Selon les informations dont nous disposons pour l’heure, alors que des étudiants s’attelaient au blocage du centre, des individus masqués et agressifs sont venus tenter de démanteler les poubelles qui en obstruaient l’accès.
En guise de paraphe de leur forfait, ils inscrivaient « Waffen Assas », adjoint d’une croix celtique, symbole trop bien connu des milieux suprémacistes et xénophobes.
Une simple recherche sur internet permet d'appréhender davantage les idéologies de ce mouvement.
Nous nous sommes rendus sur place afin que chacun puisse mesurer la teneur de cette inscription, et pour nous assurer, en notre qualité d'élus de l'EDS, de la sécurité des agents de l'administration présents.
Il est intolérable, de voir fleurir, sur une façade universitaire, une telle référence à l’idéologie nazie. La lâcheté des auteurs de cette dégradation n’a d’égale que leur vilénie.
Il fallait finalement que l’obscurantisme en arrive à ce degré suprême d’indécence où, conjugué à la bêtise, il accepte de tout confondre, de tout manipuler fallacieusement, faisant délibérément fi des frontières que l’Histoire nous impose.
Si le blocage des espaces universitaires - pour lutter contre une mesure nationale - est un moyen d’action qui peut être débattu, nulle violence ne saurait être légitimée.
Ainsi toutes nos pensées vont à l'endroit des étudiants qui ont été blessés dans le cadre de cette attaque.
L’université est un lieu sacré. Un lieu de savoir, de transmission et de construction idéologique. Cette marque abjecte renvoyant aux sombres heures du siècle passé en est aux antipodes. À travers le monde, la Sorbonne est le symbole de la liberté à la française, elle doit, plus que jamais, le demeurer.
« Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde ». Cette phrase, erronément attribuée à Bertolt Brecht, est d’une triste actualité. Notre devoir absolu est d’empêcher tout parallèle perfide que l'indigence intellectuelle disputerait au plus grand des dangers.
Alors il est des situations que l’on ne pourra jamais confondre, il est des liens que l’on ne pourra jamais faire.
À nous de demeurer les garants de l’esprit des Lumières, qui irrigue nos valeurs universitaires.
À nous de veiller, chaque instant, au respect des lois
Aux assassins de l’Histoire, que la République se souvienne à jamais de vos gesticulations nauséabondes, puisse-t-elle se renforcer à vos dépens.
Ensemble, plus que jamais.
Ilan Volson-Derabours »
Ferme ta gueule Ilan
Je constate, en même temps que vous, que je vous ai menti.
Mon « Merci. » d’il y a quelques jours ne restera pas comme mon dernier courriel sur cette liste de diffusion. L’ignominie en a, ce matin, décidé autrement.
Nous avons, en effet, eu l’immense amertume d’apprendre, au réveil, l'incident survernu, ce jour, avant 09h, aux abords du centre René Cassin.
Selon les informations dont nous disposons pour l’heure, alors que des étudiants s’attelaient au blocage du centre, des individus masqués et agressifs sont venus tenter de démanteler les poubelles qui en obstruaient l’accès.
En guise de paraphe de leur forfait, ils inscrivaient « Waffen Assas », adjoint d’une croix celtique, symbole trop bien connu des milieux suprémacistes et xénophobes.
Une simple recherche sur internet permet d'appréhender davantage les idéologies de ce mouvement.
Nous nous sommes rendus sur place afin que chacun puisse mesurer la teneur de cette inscription, et pour nous assurer, en notre qualité d'élus de l'EDS, de la sécurité des agents de l'administration présents.
Il est intolérable, de voir fleurir, sur une façade universitaire, une telle référence à l’idéologie nazie. La lâcheté des auteurs de cette dégradation n’a d’égale que leur vilénie.
Il fallait finalement que l’obscurantisme en arrive à ce degré suprême d’indécence où, conjugué à la bêtise, il accepte de tout confondre, de tout manipuler fallacieusement, faisant délibérément fi des frontières que l’Histoire nous impose.
Si le blocage des espaces universitaires - pour lutter contre une mesure nationale - est un moyen d’action qui peut être débattu, nulle violence ne saurait être légitimée.
Ainsi toutes nos pensées vont à l'endroit des étudiants qui ont été blessés dans le cadre de cette attaque.
L’université est un lieu sacré. Un lieu de savoir, de transmission et de construction idéologique. Cette marque abjecte renvoyant aux sombres heures du siècle passé en est aux antipodes. À travers le monde, la Sorbonne est le symbole de la liberté à la française, elle doit, plus que jamais, le demeurer.
« Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde ». Cette phrase, erronément attribuée à Bertolt Brecht, est d’une triste actualité. Notre devoir absolu est d’empêcher tout parallèle perfide que l'indigence intellectuelle disputerait au plus grand des dangers.
Alors il est des situations que l’on ne pourra jamais confondre, il est des liens que l’on ne pourra jamais faire.
À nous de demeurer les garants de l’esprit des Lumières, qui irrigue nos valeurs universitaires.
À nous de veiller, chaque instant, au respect des lois
Aux assassins de l’Histoire, que la République se souvienne à jamais de vos gesticulations nauséabondes, puisse-t-elle se renforcer à vos dépens.
Ensemble, plus que jamais.
Ilan Volson-Derabours »
Ferme ta gueule Ilan
"Gngngngn l'idéoloji naziiii looooo"
"Cé la bét imonde looooo"
"Oh boh BOUGNADEEEEEERE"
"Cé la bét imonde looooo"
"Oh boh BOUGNADEEEEEERE"
il y a 2 ans
Peut-on faire pire que le Système actuel ? Eh oui malheureusement c'est ça le problème
C'est pour cela qu'il faut faire attention à QUI mène la "révolution"
Si c'est des marxistes puants vaut limite mieux s'aligner côté gouv, façon Freikorps 1919
C'est pour cela qu'il faut faire attention à QUI mène la "révolution"
Si c'est des marxistes puants vaut limite mieux s'aligner côté gouv, façon Freikorps 1919
Si tu anticipes l'après avant de faire les choses, sache que tu feras jamais rien, c'est de la branlette.
Et c'est comme ça en toutes choses.
Et c'est comme ça en toutes choses.
il y a 2 ans
"Gngngngn l'idéoloji naziiii looooo"
"Cé la bét imonde looooo"
"Oh boh BOUGNADEEEEEERE"
"Cé la bét imonde looooo"
"Oh boh BOUGNADEEEEEERE"
il y a 2 ans
Y'a que des gros bougnoules sur ta photo igoent
C'est les potes à Ptit Bat' hein
il y a 2 ans
Le jeu de mot est bien trouvé quand même, faut reconnaître
il y a 2 ans