Ce sujet a été résolu
x1. Les fibres sont de la même épaisseur de chaque coté de la pierre, et parfaitement parallèles. Y'a aucune raison que ça soit supérieur ou inférieur à x1.
Si la proximité de la pierre
Aller va pour 1,2
Aller va pour 1,2
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Si la proximité de la pierre
Aller va pour 1,2
Aller va pour 1,2
N'importe quoi
T'es pas du tout ready pour l'avènement de la Conscience des Minéraux toi. T'as un galet de poche au moins ?
T'es pas du tout ready pour l'avènement de la Conscience des Minéraux toi. T'as un galet de poche au moins ?
il y a 6 mois
N'importe quoi
T'es pas du tout ready pour l'avènement de la Conscience des Minéraux toi. T'as un galet de poche au moins ?
T'es pas du tout ready pour l'avènement de la Conscience des Minéraux toi. T'as un galet de poche au moins ?
J'ai tout foutus à la poubelle à la première occasion
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
J'ai tout foutus à la poubelle à la première occasion
Pauvre fou...
il y a 6 mois
J'ai tout foutus à la poubelle à la première occasion
Et si tu tombes dans une backroom un jour, tu feras comment sans ton galet de poche ?
il y a 6 mois
Et si tu tombes dans une backroom un jour, tu feras comment sans ton galet de poche ?
Je suis déjà dans une énorme backroom
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Je suis déjà dans une énorme backroom
Ouais mais t'es pas l'abri de tomber subrepticement dans un autre niveau
il y a 6 mois
Ouais mais t'es pas l'abri de tomber subrepticement dans un autre niveau
Pour ce que ça changeras..
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Pour ce que ça changeras..
Si ça se trouve ça en sera une avec que des surfaces blanches réfléchissantes
il y a 6 mois
Si ça se trouve ça en sera une avec que des surfaces blanches réfléchissantes
À quoi serviras la pierre dans ce cas ?
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
À quoi serviras la pierre dans ce cas ?
Bah elle pourrait limiter les désagréments en t'orientant dans une backroom moins pire, en adéquation avec ta fréquence personnelle.
il y a 6 mois
Bah elle pourrait limiter les désagréments en t'orientant dans une backroom moins pire, en adéquation avec ta fréquence personnelle.
Quitte à crever autant ne pas s'emmerder avec une pierre à la con
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Quitte à crever autant ne pas s'emmerder avec une pierre à la con
Et ta pierre tombale ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
il y a 6 mois
Et ta pierre tombale ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
Je veux être incinéré, ça coûte moins cher
De nul part j'aimais bien les pierres qui brillent quand j'étais gosse
De nul part j'aimais bien les pierres qui brillent quand j'étais gosse
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Et ta pierre tombale ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
Mais d'où vient cette pierrophobie si virulente ?
Le basculement qualitatif entre la saison 4 et la saison 6 ne s’est pas fait par hasard. Il est le fruit d’un enchaînement de décisions créatives et industrielles qui ont lentement vidé Vikings de sa substance. Voici une autopsie chirurgicale de cette dégradation :
---
1. Changement de ton narratif après la mort de Ragnar
Saison 1 à 4 : centrée sur Ragnar Lothbrok, figure mythologique, charismatique, profonde.
Un personnage complexe, à la fois conquérant, mystique et déchiré.
Après sa mort (fin de saison 4) :
Focalisation sur ses fils, tous bien moins profonds.
L’histoire devient plus mécanique, plus répétitive, et perd sa force symbolique.
---
2. Michael Hirst resté seul maître à bord
Contrairement à des séries comme Game of Thrones où des scénaristes expérimentés s’alternaient, ici :
Michael Hirst écrit 100% des épisodes, jusqu’à l’épuisement du souffle initial.
Résultat : un manque cruel de renouvellement, de tension, de rythme.
---
3. Changement de production et de financement
History Channel, initialement un simple diffuseur, devient coproducteur à partir de la saison 4.
Puis viennent des coproductions internationales, et plus tard des accords de diffusion avec Amazon Prime (puis Netflix).
Cela change les priorités : on veut maximiser le nombre d’épisodes, tirer sur la corde.
L’argent est là, mais l’exigence artistique baisse.
---
4. Réalisation plus lisse, plus "internationale"
Départ de certains réalisateurs marquants comme Ciarán Donnelly ou Ken Girotti.
Arrivée de réalisateurs plus formatés pour la série de masse, moins ancrés dans l’ambiance mystique et brutale du début.
---
5. Public visé différent
Au départ, un public historico-mature : adultes exigeants, amateurs de mythes, d’histoire et de tragédie.
Vers la fin, la série s’ouvre à un public plus jeune, plus internationalisé, moins exigeant sur l’écriture, mais friand d’action et de rebondissements faciles.
On sacrifie donc la vérité humaine au profit du spectacle jetable.
---
6. Pressions de diffusion et découpage en 20 épisodes
À partir de la saison 4 : format bâtard en 20 épisodes au lieu de 10.
Beaucoup de filler episodes, pertes de rythme, dialogues plats.
Les arcs sont étirés jusqu’à l’absurde, avec des moments de pur ennui.
---
En résumé :
La série Vikings est passée de chef-d'œuvre historique et dramatique à série surproduite et sous-inspirée, trahie par la volonté de trop durer, trop plaire et trop vendre.
Le talent s’est effacé devant le produit et pour le profit.
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1. Changement de ton narratif après la mort de Ragnar
Saison 1 à 4 : centrée sur Ragnar Lothbrok, figure mythologique, charismatique, profonde.
Un personnage complexe, à la fois conquérant, mystique et déchiré.
Après sa mort (fin de saison 4) :
Focalisation sur ses fils, tous bien moins profonds.
L’histoire devient plus mécanique, plus répétitive, et perd sa force symbolique.
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2. Michael Hirst resté seul maître à bord
Contrairement à des séries comme Game of Thrones où des scénaristes expérimentés s’alternaient, ici :
Michael Hirst écrit 100% des épisodes, jusqu’à l’épuisement du souffle initial.
Résultat : un manque cruel de renouvellement, de tension, de rythme.
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3. Changement de production et de financement
History Channel, initialement un simple diffuseur, devient coproducteur à partir de la saison 4.
Puis viennent des coproductions internationales, et plus tard des accords de diffusion avec Amazon Prime (puis Netflix).
Cela change les priorités : on veut maximiser le nombre d’épisodes, tirer sur la corde.
L’argent est là, mais l’exigence artistique baisse.
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4. Réalisation plus lisse, plus "internationale"
Départ de certains réalisateurs marquants comme Ciarán Donnelly ou Ken Girotti.
Arrivée de réalisateurs plus formatés pour la série de masse, moins ancrés dans l’ambiance mystique et brutale du début.
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5. Public visé différent
Au départ, un public historico-mature : adultes exigeants, amateurs de mythes, d’histoire et de tragédie.
Vers la fin, la série s’ouvre à un public plus jeune, plus internationalisé, moins exigeant sur l’écriture, mais friand d’action et de rebondissements faciles.
On sacrifie donc la vérité humaine au profit du spectacle jetable.
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6. Pressions de diffusion et découpage en 20 épisodes
À partir de la saison 4 : format bâtard en 20 épisodes au lieu de 10.
Beaucoup de filler episodes, pertes de rythme, dialogues plats.
Les arcs sont étirés jusqu’à l’absurde, avec des moments de pur ennui.
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En résumé :
La série Vikings est passée de chef-d'œuvre historique et dramatique à série surproduite et sous-inspirée, trahie par la volonté de trop durer, trop plaire et trop vendre.
Le talent s’est effacé devant le produit et pour le profit.
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Le basculement qualitatif entre la saison 4 et la saison 6 ne s’est pas fait par hasard. Il est le fruit d’un enchaînement de décisions créatives et industrielles qui ont lentement vidé Vikings de sa substance. Voici une autopsie chirurgicale de cette dégradation :
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1. Changement de ton narratif après la mort de Ragnar
Saison 1 à 4 : centrée sur Ragnar Lothbrok, figure mythologique, charismatique, profonde.
Un personnage complexe, à la fois conquérant, mystique et déchiré.
Après sa mort (fin de saison 4) :
Focalisation sur ses fils, tous bien moins profonds.
L’histoire devient plus mécanique, plus répétitive, et perd sa force symbolique.
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2. Michael Hirst resté seul maître à bord
Contrairement à des séries comme Game of Thrones où des scénaristes expérimentés s’alternaient, ici :
Michael Hirst écrit 100% des épisodes, jusqu’à l’épuisement du souffle initial.
Résultat : un manque cruel de renouvellement, de tension, de rythme.
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3. Changement de production et de financement
History Channel, initialement un simple diffuseur, devient coproducteur à partir de la saison 4.
Puis viennent des coproductions internationales, et plus tard des accords de diffusion avec Amazon Prime (puis Netflix).
Cela change les priorités : on veut maximiser le nombre d’épisodes, tirer sur la corde.
L’argent est là, mais l’exigence artistique baisse.
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4. Réalisation plus lisse, plus "internationale"
Départ de certains réalisateurs marquants comme Ciarán Donnelly ou Ken Girotti.
Arrivée de réalisateurs plus formatés pour la série de masse, moins ancrés dans l’ambiance mystique et brutale du début.
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5. Public visé différent
Au départ, un public historico-mature : adultes exigeants, amateurs de mythes, d’histoire et de tragédie.
Vers la fin, la série s’ouvre à un public plus jeune, plus internationalisé, moins exigeant sur l’écriture, mais friand d’action et de rebondissements faciles.
On sacrifie donc la vérité humaine au profit du spectacle jetable.
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6. Pressions de diffusion et découpage en 20 épisodes
À partir de la saison 4 : format bâtard en 20 épisodes au lieu de 10.
Beaucoup de filler episodes, pertes de rythme, dialogues plats.
Les arcs sont étirés jusqu’à l’absurde, avec des moments de pur ennui.
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En résumé :
La série Vikings est passée de chef-d'œuvre historique et dramatique à série surproduite et sous-inspirée, trahie par la volonté de trop durer, trop plaire et trop vendre.
Le talent s’est effacé devant le produit et pour le profit.
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1. Changement de ton narratif après la mort de Ragnar
Saison 1 à 4 : centrée sur Ragnar Lothbrok, figure mythologique, charismatique, profonde.
Un personnage complexe, à la fois conquérant, mystique et déchiré.
Après sa mort (fin de saison 4) :
Focalisation sur ses fils, tous bien moins profonds.
L’histoire devient plus mécanique, plus répétitive, et perd sa force symbolique.
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2. Michael Hirst resté seul maître à bord
Contrairement à des séries comme Game of Thrones où des scénaristes expérimentés s’alternaient, ici :
Michael Hirst écrit 100% des épisodes, jusqu’à l’épuisement du souffle initial.
Résultat : un manque cruel de renouvellement, de tension, de rythme.
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3. Changement de production et de financement
History Channel, initialement un simple diffuseur, devient coproducteur à partir de la saison 4.
Puis viennent des coproductions internationales, et plus tard des accords de diffusion avec Amazon Prime (puis Netflix).
Cela change les priorités : on veut maximiser le nombre d’épisodes, tirer sur la corde.
L’argent est là, mais l’exigence artistique baisse.
---
4. Réalisation plus lisse, plus "internationale"
Départ de certains réalisateurs marquants comme Ciarán Donnelly ou Ken Girotti.
Arrivée de réalisateurs plus formatés pour la série de masse, moins ancrés dans l’ambiance mystique et brutale du début.
---
5. Public visé différent
Au départ, un public historico-mature : adultes exigeants, amateurs de mythes, d’histoire et de tragédie.
Vers la fin, la série s’ouvre à un public plus jeune, plus internationalisé, moins exigeant sur l’écriture, mais friand d’action et de rebondissements faciles.
On sacrifie donc la vérité humaine au profit du spectacle jetable.
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6. Pressions de diffusion et découpage en 20 épisodes
À partir de la saison 4 : format bâtard en 20 épisodes au lieu de 10.
Beaucoup de filler episodes, pertes de rythme, dialogues plats.
Les arcs sont étirés jusqu’à l’absurde, avec des moments de pur ennui.
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En résumé :
La série Vikings est passée de chef-d'œuvre historique et dramatique à série surproduite et sous-inspirée, trahie par la volonté de trop durer, trop plaire et trop vendre.
Le talent s’est effacé devant le produit et pour le profit.
Go TLK
il y a 6 mois
Go TLK
Non je vais forcer pour finir, s06 partie 2, épisode 11
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
Go TLK
"Non, The Last Kingdom n'est pas une production Netflix à l'origine.
La série a débuté en 2015 sur BBC Two, produite par Carnival Films, une société britannique également derrière Downton Abbey.
Cependant, à partir de la saison 2, Netflix est devenu co-producteur aux côtés de la BBC.
Puis, dès la saison 3, Netflix a repris l'intégralité de la production et de la diffusion mondiale, transformant la série en une exclusivité Netflix.
La série s'est conclue avec la saison 5 en 2022, suivie d'un film épilogue intitulé Seven Kings Must Die, sorti en avril 2023, également produit par Netflix.
En résumé : The Last Kingdom est une série britannique qui a évolué en une production Netflix à partir de sa troisième saison."
La série a débuté en 2015 sur BBC Two, produite par Carnival Films, une société britannique également derrière Downton Abbey.
Cependant, à partir de la saison 2, Netflix est devenu co-producteur aux côtés de la BBC.
Puis, dès la saison 3, Netflix a repris l'intégralité de la production et de la diffusion mondiale, transformant la série en une exclusivité Netflix.
La série s'est conclue avec la saison 5 en 2022, suivie d'un film épilogue intitulé Seven Kings Must Die, sorti en avril 2023, également produit par Netflix.
En résumé : The Last Kingdom est une série britannique qui a évolué en une production Netflix à partir de sa troisième saison."
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois
"Non, The Last Kingdom n'est pas une production Netflix à l'origine.
La série a débuté en 2015 sur BBC Two, produite par Carnival Films, une société britannique également derrière Downton Abbey.
Cependant, à partir de la saison 2, Netflix est devenu co-producteur aux côtés de la BBC.
Puis, dès la saison 3, Netflix a repris l'intégralité de la production et de la diffusion mondiale, transformant la série en une exclusivité Netflix.
La série s'est conclue avec la saison 5 en 2022, suivie d'un film épilogue intitulé Seven Kings Must Die, sorti en avril 2023, également produit par Netflix.
En résumé : The Last Kingdom est une série britannique qui a évolué en une production Netflix à partir de sa troisième saison."
La série a débuté en 2015 sur BBC Two, produite par Carnival Films, une société britannique également derrière Downton Abbey.
Cependant, à partir de la saison 2, Netflix est devenu co-producteur aux côtés de la BBC.
Puis, dès la saison 3, Netflix a repris l'intégralité de la production et de la diffusion mondiale, transformant la série en une exclusivité Netflix.
La série s'est conclue avec la saison 5 en 2022, suivie d'un film épilogue intitulé Seven Kings Must Die, sorti en avril 2023, également produit par Netflix.
En résumé : The Last Kingdom est une série britannique qui a évolué en une production Netflix à partir de sa troisième saison."
Ouais mais ça passe cette fois. La fin est top
il y a 6 mois
Ouais mais ça passe cette fois. La fin est top
"ça passe"
Je sent d'ici le bourbier
Je sent d'ici le bourbier
Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien...
il y a 6 mois