Ce sujet a été résolu
ColRoulin
1 an
Nous allons présentement énumérer plusieurs points tendant à montrer combien la messe Paul VI, issue de Vatican II, est supérieure aux bredouillements progressistes et antitraditionnels de la messe Pie V dite tridentine. Que de vilaines choses sont colportées sur la première par les bouches menteuses sédécandaulistes !
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
https://fr.wikipedia.org/[...]se_de_Paul_VI#cite_ref-26
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
Jésus parlait araméen
Donc quitte à vouloir être dans la "tradition
" les intégristes devraient faire la messe en araméen, appeler Jésus Yeshua et Dieu allaha
Donc quitte à vouloir être dans la "tradition


Longue vie au grand parti Baas
https://youtu.be/_7P5RUKI[...]GneHMx8jlr17UC0_&t=62
il y a un an
On sait que le concile a été fait avec la participation de 6 protestants donc il n'est pas étonnant que la matière de la messe ait autant changé. Luther aussi le voulait :
Martin Luther, Contra Henrichum regem Angliae (Page 220)
« Quand la messe sera renversée, je pense que nous aurons renversé la papauté ! Car c’est sur la messe comme sur un rocher que s’appuie la papauté tout entière, avec ses monastères, ses collèges, ses autels, ses ministres et sa doctrine. Tout s’écroulera quand s’écroulera la messe sacrilège et abominable. »
Après moi ça ne me dérange pas, il ne faut juste plus appeler ça une messe catholique, simplement.
Martin Luther, Contra Henrichum regem Angliae (Page 220)
« Quand la messe sera renversée, je pense que nous aurons renversé la papauté ! Car c’est sur la messe comme sur un rocher que s’appuie la papauté tout entière, avec ses monastères, ses collèges, ses autels, ses ministres et sa doctrine. Tout s’écroulera quand s’écroulera la messe sacrilège et abominable. »
Après moi ça ne me dérange pas, il ne faut juste plus appeler ça une messe catholique, simplement.
Puree ta citation m'a donné envie de lire la controverse, je vais me essayer de me trouver les bouquins je pense
Défense des sept sacrements, du roi Henri VIII
Contre Henry le roi des anglais de Martin Luther
Et Contre Luther de Thomas Moore
Défense des sept sacrements, du roi Henri VIII
Contre Henry le roi des anglais de Martin Luther
Et Contre Luther de Thomas Moore
il y a un an
On sait que le concile a été fait avec la participation de 6 protestants donc il n'est pas étonnant que la matière de la messe ait autant changé. Luther aussi le voulait :
Martin Luther, Contra Henrichum regem Angliae (Page 220)
« Quand la messe sera renversée, je pense que nous aurons renversé la papauté ! Car c’est sur la messe comme sur un rocher que s’appuie la papauté tout entière, avec ses monastères, ses collèges, ses autels, ses ministres et sa doctrine. Tout s’écroulera quand s’écroulera la messe sacrilège et abominable. »
Après moi ça ne me dérange pas, il ne faut juste plus appeler ça une messe catholique, simplement.
Martin Luther, Contra Henrichum regem Angliae (Page 220)
« Quand la messe sera renversée, je pense que nous aurons renversé la papauté ! Car c’est sur la messe comme sur un rocher que s’appuie la papauté tout entière, avec ses monastères, ses collèges, ses autels, ses ministres et sa doctrine. Tout s’écroulera quand s’écroulera la messe sacrilège et abominable. »
Après moi ça ne me dérange pas, il ne faut juste plus appeler ça une messe catholique, simplement.
Luther était déjà mort lorsque le concile de Trente a sanctionné la messe saint Pie V, la nouvelle messe « sacrilège et abominable » qui a suivi Luther est donc littéralement la tridentine
il y a un an
Luther était déjà mort lorsque le concile de Trente a sanctionné la messe saint Pie V, la nouvelle messe « sacrilège et abominable » qui a suivi Luther est donc littéralement la tridentine
Il parlait d'un but à suivre et à accomplir, ça s'est juste fait quelques siècles après sa mort, au moment de Vatican II.
il y a un an
ColRoulin
1 an
Nous allons présentement énumérer plusieurs points tendant à montrer combien la messe Paul VI, issue de Vatican II, est supérieure aux bredouillements progressistes et antitraditionnels de la messe Pie V dite tridentine. Que de vilaines choses sont colportées sur la première par les bouches menteuses sédécandaulistes !
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
https://fr.wikipedia.org/[...]se_de_Paul_VI#cite_ref-26
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
tu es difficile, je sais que tu ne le penses pas au fond, mais tu exagères en prétendant qu'une liturgie est supérieure à l'autre, les deux sont tout à fait capables de porter un cœur à Dieu, et aussi bien à travers la richesse symbolique de la forme extraordinaire et à la beauté du grégorien (car au fond ce sont toujours les symboles et la beauté qui convertissent les cœurs) que par la simplicité évangélique de la forme ordinaire. pour ma part je sais apprécier les deux, et je pense que les deux correspondent à des sensibilités différentes mais dont l'une ne vaut pas moins que l'autre, et que selon le croyant, chacune des deux est susceptible d'être plus sanctifiante que l'autre
il y a un an
ColRoulin
1 an
Nous allons présentement énumérer plusieurs points tendant à montrer combien la messe Paul VI, issue de Vatican II, est supérieure aux bredouillements progressistes et antitraditionnels de la messe Pie V dite tridentine. Que de vilaines choses sont colportées sur la première par les bouches menteuses sédécandaulistes !
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
https://fr.wikipedia.org/[...]se_de_Paul_VI#cite_ref-26
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
La Constitution Sacrosanctum Concilium dans le Concile Vatican II
Pour de nombreux fidèles traditionalistes attachés de façon quasi inconditionnelle à la forme "extraordinaire" du rite romain (forme que certains d'entre eux persistent à vouloir abusivement appeler "traditionnelle"), le concile Vatican II serait à l'origine des horreurs liturgiques que l'on voit depuis plus de 40 ans dans la presque totalité des églises paroissiales. Les fidèles traditionalistes sont libres de voir les choses de cette façon. Pour autant, ce n'est pas la vérité. Car la vérité n'est pas dans l'imagination des fidèles : elle est dans les textes qui font autorité dans l'Eglise.
Le Concile a-t-il autorisé les prêtres à "bidouiller" la liturgie comme ils le font habituellement ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne qu' « absolument personne d'autre [que le Siège apostolique], même prêtre, ne peut, de son propre chef, ajouter, enlever ou changer quoi que ce soit dans la liturgie ». (Cf. n.22) La Constitution précise encore qu'il faudra veiller à ce « qu'il n'y ait pas de notables différences rituelles d'une région à l'autre » (Cf. n.23). A plus forte raison d'une église à l'autre, d'une messe à l'autre ! Le Concile a-t-il encouragé l'introduction de chansonnettes sans valeur dans la liturgie ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne que « le trésor de la musique sacrée sera conservé et cultivé avec la plus grande sollicitude. [Que] les scholae cantorum seront assidûment développées, surtout auprès des églises cathédrales. (...) [Qu'] on accordera une grande importance à l'enseignement et à la pratique de la musique dans les séminaires, les noviciats de religieux des deux sexes et leurs maisons d'études, et aussi dans les autres institutions et écoles catholiques. [Que] pour assurer cette éducation, les maîtres chargés d'enseigner la musique sacrée seront formés avec soin ». (Cf. n.114-115) Le Concile a-t-il encouragé la suppression du latin et du chant grégorien ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne que « l'usage de la langue latine sera conservé dans les rites latins » (Cf. n.36) et que « le chant grégorien doit occuper la première place dans les actions liturgiques ». (Cf. n.116) La Constitution demande même que soit édité un ouvrage « contenant des mélodies grégoriennes plus simples à l'usage des petites églises. » (Cf. n.117) Le Concile a-t-il encouragé l'introduction intempestive de nouveautés dans la liturgie dans le but de rompre avec des pratiques traditionnelles ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne qu' « on ne fera des innovations que si l'utilité de l'Eglise les exige vraiment et certainement, et après s'être bien assuré que les formes nouvelles sortent des formes déjà existantes par un développement en quelque sorte organique ». (Cf. n.23) Le Concile a-t-il demandé que la liturgie soit systématiquement célébrée "face au peuple" ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium ne parle nulle part de l'orientation de l'autel. Quant au Missel romain actuel, il laisse clairement voir que la liturgie restaurée à la suite de Vatican II est prévue pour être célébrée versus orientem. Le Concile a-t-il demandé que l'on fasse moins attention à la beauté des sanctuaires ? Non. La Constitution sur la liturgie consacre même tout un chapitre - le VII - à la question de l'art sacré et à celle du matériel du culte. Extrait : « Parmi les plus nobles activités de l'esprit humain, on compte à très bon droit les beaux-arts, mais surtout l'art religieux et ce qui en est le sommet, l'art sacré. Par nature, ils visent à exprimer de quelque façon dans les oeuvres humaines la beauté infinie de Dieu, et ils se consacrent d'autant plus à accroître sa louange et sa gloire qu'ils n'ont pas d'autre propos que de contribuer le plus possible, par leurs oeuvres, à tourner les âmes humaines vers Dieu ». Pour cette raison, l'Eglise demande « que les objets servant au culte soient vraiment dignes, harmonieux et beaux, pour signifier et symboliser les réalités célestes » et « que les objets sacrés contribuent de façon digne et belle à l'éclat du culte » (Cf. n.122). Le texte conciliaire demande même que les évêques veillent à « favoriser un art véritablement sacré » et « aient en vue une noble beauté plutôt que la seule somptuosité. Ce que l'on doit entendre aussi des vêtements et des ornements sacrés ». Ils devront aussi veiller « à ce que les oeuvres artistiques qui sont inconciliables avec la foi et les moeurs ainsi qu'avec la piété chrétienne, qui blessent le sens vraiment religieux, ou par la dépravation des formes, ou par l'insuffisance, la médiocrité ou le mensonge de leur art, soient soigneusement écartées des maisons de Dieu et des autres lieux sacrés ». (Cf. n.123-124)
Conclusion : les pagailles liturgiques qui massacrent la liturgie depuis plus de 40 ans n'ont pas pour origine le Concile Vatican II. Ce sont uniquement le fait de clercs - les évêques en premier lieu - qui ne cessent de nous parler du Concile tout en veillant à ne pas l'appliquer, tout en interdisant même qu'il soit appliqué. Benoît XVI ne dit d'ailleurs pas autre chose : jamais on ne l'a entendu critiquer le Concile. Par contre, il a toujours regretté que le Concile - plus particulièrement la Constitution sur la liturgie - soit trahi sans vergogne par ceux qui ont toujours cherché à faire croire qu'ils l'appliquaient. Ne nous trompons pas de cible : nos critiques doivent être dirigées contre les pasteurs qui désobéissent et non contre la forme ordinaire de la liturgie romaine qui, telle qu'elle se présente dans la majorité des paroisses, n'a strictement rien à voir avec ce qu'a voulu le Concile.
Lien de l'article :
http://notredamedesneiges[...]20concile%20vatican%20ii/
(avec références cliquables)
Pour de nombreux fidèles traditionalistes attachés de façon quasi inconditionnelle à la forme "extraordinaire" du rite romain (forme que certains d'entre eux persistent à vouloir abusivement appeler "traditionnelle"), le concile Vatican II serait à l'origine des horreurs liturgiques que l'on voit depuis plus de 40 ans dans la presque totalité des églises paroissiales. Les fidèles traditionalistes sont libres de voir les choses de cette façon. Pour autant, ce n'est pas la vérité. Car la vérité n'est pas dans l'imagination des fidèles : elle est dans les textes qui font autorité dans l'Eglise.
Le Concile a-t-il autorisé les prêtres à "bidouiller" la liturgie comme ils le font habituellement ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne qu' « absolument personne d'autre [que le Siège apostolique], même prêtre, ne peut, de son propre chef, ajouter, enlever ou changer quoi que ce soit dans la liturgie ». (Cf. n.22) La Constitution précise encore qu'il faudra veiller à ce « qu'il n'y ait pas de notables différences rituelles d'une région à l'autre » (Cf. n.23). A plus forte raison d'une église à l'autre, d'une messe à l'autre ! Le Concile a-t-il encouragé l'introduction de chansonnettes sans valeur dans la liturgie ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne que « le trésor de la musique sacrée sera conservé et cultivé avec la plus grande sollicitude. [Que] les scholae cantorum seront assidûment développées, surtout auprès des églises cathédrales. (...) [Qu'] on accordera une grande importance à l'enseignement et à la pratique de la musique dans les séminaires, les noviciats de religieux des deux sexes et leurs maisons d'études, et aussi dans les autres institutions et écoles catholiques. [Que] pour assurer cette éducation, les maîtres chargés d'enseigner la musique sacrée seront formés avec soin ». (Cf. n.114-115) Le Concile a-t-il encouragé la suppression du latin et du chant grégorien ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne que « l'usage de la langue latine sera conservé dans les rites latins » (Cf. n.36) et que « le chant grégorien doit occuper la première place dans les actions liturgiques ». (Cf. n.116) La Constitution demande même que soit édité un ouvrage « contenant des mélodies grégoriennes plus simples à l'usage des petites églises. » (Cf. n.117) Le Concile a-t-il encouragé l'introduction intempestive de nouveautés dans la liturgie dans le but de rompre avec des pratiques traditionnelles ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium enseigne qu' « on ne fera des innovations que si l'utilité de l'Eglise les exige vraiment et certainement, et après s'être bien assuré que les formes nouvelles sortent des formes déjà existantes par un développement en quelque sorte organique ». (Cf. n.23) Le Concile a-t-il demandé que la liturgie soit systématiquement célébrée "face au peuple" ? Non. La Constitution Sacrosanctum Concilium ne parle nulle part de l'orientation de l'autel. Quant au Missel romain actuel, il laisse clairement voir que la liturgie restaurée à la suite de Vatican II est prévue pour être célébrée versus orientem. Le Concile a-t-il demandé que l'on fasse moins attention à la beauté des sanctuaires ? Non. La Constitution sur la liturgie consacre même tout un chapitre - le VII - à la question de l'art sacré et à celle du matériel du culte. Extrait : « Parmi les plus nobles activités de l'esprit humain, on compte à très bon droit les beaux-arts, mais surtout l'art religieux et ce qui en est le sommet, l'art sacré. Par nature, ils visent à exprimer de quelque façon dans les oeuvres humaines la beauté infinie de Dieu, et ils se consacrent d'autant plus à accroître sa louange et sa gloire qu'ils n'ont pas d'autre propos que de contribuer le plus possible, par leurs oeuvres, à tourner les âmes humaines vers Dieu ». Pour cette raison, l'Eglise demande « que les objets servant au culte soient vraiment dignes, harmonieux et beaux, pour signifier et symboliser les réalités célestes » et « que les objets sacrés contribuent de façon digne et belle à l'éclat du culte » (Cf. n.122). Le texte conciliaire demande même que les évêques veillent à « favoriser un art véritablement sacré » et « aient en vue une noble beauté plutôt que la seule somptuosité. Ce que l'on doit entendre aussi des vêtements et des ornements sacrés ». Ils devront aussi veiller « à ce que les oeuvres artistiques qui sont inconciliables avec la foi et les moeurs ainsi qu'avec la piété chrétienne, qui blessent le sens vraiment religieux, ou par la dépravation des formes, ou par l'insuffisance, la médiocrité ou le mensonge de leur art, soient soigneusement écartées des maisons de Dieu et des autres lieux sacrés ». (Cf. n.123-124)
Conclusion : les pagailles liturgiques qui massacrent la liturgie depuis plus de 40 ans n'ont pas pour origine le Concile Vatican II. Ce sont uniquement le fait de clercs - les évêques en premier lieu - qui ne cessent de nous parler du Concile tout en veillant à ne pas l'appliquer, tout en interdisant même qu'il soit appliqué. Benoît XVI ne dit d'ailleurs pas autre chose : jamais on ne l'a entendu critiquer le Concile. Par contre, il a toujours regretté que le Concile - plus particulièrement la Constitution sur la liturgie - soit trahi sans vergogne par ceux qui ont toujours cherché à faire croire qu'ils l'appliquaient. Ne nous trompons pas de cible : nos critiques doivent être dirigées contre les pasteurs qui désobéissent et non contre la forme ordinaire de la liturgie romaine qui, telle qu'elle se présente dans la majorité des paroisses, n'a strictement rien à voir avec ce qu'a voulu le Concile.
Lien de l'article :
http://notredamedesneiges[...]20concile%20vatican%20ii/
(avec références cliquables)
il y a un an
tu es difficile, je sais que tu ne le penses pas au fond, mais tu exagères en prétendant qu'une liturgie est supérieure à l'autre, les deux sont tout à fait capables de porter un cœur à Dieu, et aussi bien à travers la richesse symbolique de la forme extraordinaire et à la beauté du grégorien (car au fond ce sont toujours les symboles et la beauté qui convertissent les cœurs) que par la simplicité évangélique de la forme ordinaire. pour ma part je sais apprécier les deux, et je pense que les deux correspondent à des sensibilités différentes mais dont l'une ne vaut pas moins que l'autre, et que selon le croyant, chacune des deux est susceptible d'être plus sanctifiante que l'autre
En effet je ne le pense pas, ce n'est qu'un exercice cathartique consistant à s'approprier la mauvaise foi d'un sédévacantiste. J'ai fréquenté les deux rites avec une égale dévotion et je garde un bon souvenir de mes jeunes années tridentines.
il y a un an
Il parlait d'un but à suivre et à accomplir, ça s'est juste fait quelques siècles après sa mort, au moment de Vatican II.
Schismatique interprète schismatique. Abyssus abyssum invocat.
il y a un an
il y a un an
This
Le christianisme est d'ailleurs arrivé en Ethiopie avant d'arriver à Rome, il n'y a aucune raison historique de faire la messe en latin

Le christianisme est d'ailleurs arrivé en Ethiopie avant d'arriver à Rome, il n'y a aucune raison historique de faire la messe en latin

il y a un an
Les juifs c'est pas mal, sinon on sait que dans l'éducation national laïc c'est beaucoup plus que dans l'église également.
il y a un an
On lisait pas l'ancien testament car c'est un texte juif satanique génocidaire matérialiste et immoral
il y a un an
webediacaca
1 an
On lisait pas l'ancien testament car c'est un texte juif satanique génocidaire matérialiste et immoral
Hérésie gnostique.
il y a un an
Les Églises catholiques orientales ont leurs propres rites et ne sont pas sujettes au rite latin, attardé
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rite_gu%C3%A8ze
il y a un an
webediacaca
1 an
La messe devrait être en grecque.
Vous ne maîtrisez déjà pas la langue de vos pères et vous voulez aborder l'optatif oblique ou le subjonctif aoriste ?
il y a un an
Pourquoi ??
Car le gnosticisme met en opposition l'Ancien et le Nouveau Testament, là où le christianisme considère que le Nouveau Testament est l'aboutissement de l'Ancien (car c'est une Révélation qui s'est faîte progressivement, jusqu'à l'arrivée du Messie).
Jésus disait lui même n'être pas venu abolir la loi et les prophète, mais l'accomplir.
Jésus disait lui même n'être pas venu abolir la loi et les prophète, mais l'accomplir.
il y a un an
ColRoulin
1 an
Nous allons présentement énumérer plusieurs points tendant à montrer combien la messe Paul VI, issue de Vatican II, est supérieure aux bredouillements progressistes et antitraditionnels de la messe Pie V dite tridentine. Que de vilaines choses sont colportées sur la première par les bouches menteuses sédécandaulistes !
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
https://fr.wikipedia.org/[...]se_de_Paul_VI#cite_ref-26
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
1) Les saintes Écritures
Là où les eaux croupies du vetus ordo ne donnaient qu'un aperçu médiocre de la parole de Dieu et contraignaient leurs ouailles à nasiller pompeusement quelques formules convenues, la sainte lumière du concile Vatican II illumine la célébration eucharistique de la prédication apostolique en rétablissant une vraie lectio divina conformément à l'usage des premiers siècles.
À cet égard, les chiffres parlent d'eux-mêmes : dans l'ancien rite, on lisait, sur un cycle liturgique, 1% de l'Ancien testament et 16,5% du Nouveau ; dans le nouveau rite, on lit 13,5% de l'Ancien testament et 71,5% du Nouveau.
Méchante messe qui instruit les fidèles et les repaît du Ciel ! Les chrétiens d'autrefois avaient une connaissance de l'histoire sainte que les modernes n'ont plus : et voici que les progressistes tridentins voudraient les en priver !
2)Le Sermon
Le sermon n'est PAS (!) présent dans l'ordinaire tridentin, le clergé du XVIe siècle étant sans doute occupé à subventionner des artistes lubriques pour peindre des gens tout nus. Le glorieux concile du Très-Haut, Vatican II, sous la divine supervision de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de tous les saints anges, répare cet affront : comment le célébrant pourrait-il enseigner, reprendre et corriger le peuple de Dieu sans cet instant sanctionné ?
3) Les chants
Jadis, les dinosaures de saint Pie V pouvaient roupiller une heure et demi, engloutir le Pain de vie et aller, contents, déjeuner chez belle-maman. Fort heureusement, la messe Paul VI restaure la dignité des membres du Corps du Christ en leur faisant prendre une part active à la célébration. Ce sont désormais toutes les voix de l'Église militante qui s'élèvent pour chanter la louange du Dieu des armées pendant qu'Églantine de Bellecouille, bourgeoise sédécandauliste au vagin et au cœur secs, se contentera d'aiguiser son ré mineur sur l'Asperges me.
4) La langue
Avis de décès : le latin est mort dans les corps et dans les cœurs. Cette triste nouvelle qui n'en est pas une et que je déplore autant que vous n'est qu'un constat — soit dit en passant, je n'ai jamais croisé un sédécandauliste puant qui avait fait ses humanités.
Malgré tout, le saint concile Vatican II, avisé et assisté du Saint-Esprit, maintient pleinement l'usage de la langue latine dans la liturgie, aussi trouvons-nous toujours dans nos diocèses des chants animés par la langue de Virgile. Néanmoins, dans sa sagesse, le saint concile a également approuvé l'usage des langues vulgaires selon les territoires pour ne pas figer la liturgie dans un carcan anachronique et ne pas frustrer les enfants du bon Dieu dans leur pratique cultuelle. Ce bon sens de chrétien échappe aux progressistes tridentins.
Le sédécandauliste, lui, se moque de rendre grâce à Dieu. Une main sur son missel cuiré et l'autre sous la jupe d'Églantine (je plaisante, ces gens ne baisent pas), il se sent exister en écoutant des chants qui le dépassent comme la moindre petite pute instagrameuse écoute un morceau d'Imagine dragons. Il ressent, il éprouve, il frétille. Les sublimes vocalisations grégoriennes lui soulèvent des papillons dans le ventre sous les voûtes consacrées et lui, le sédévacantiste, le rebelle, le solitaire, le délaissé, vit. Or, ce ne sont là que les stimuli trompeurs d'un cœur licencieux.
5) La communion
Il y a ceux qui, désireux de s'unir activement aux douleurs du Seigneur dans la perpétuation de son saint sacrifice, reçoivent l'eucharistie dans la main avec un esprit d'humilité et d'adoration ; et il y a les autres. Bois mort de spiritualité, plus embrasé par les flammes de l'enfer que le feu de l'Esprit saint, le sédécandauliste végète et barbote passivement dans sa soupe de schisme pour recevoir les saintes espèces. Ce serait bien là son droit s'il ne venait à faire des procès d'intention à autrui. Les deux manières de communier sont pourtant amenées à « coexister sans difficulté dans la même action liturgique. »
Il est d'ailleurs important de noter que la Sacrée Congrégation pour le Culte divin n'a jamais demandé de communier avec les mains (« La nouvelle manière de communier ne devra pas être imposée d’une manière qui exclurait l’usage traditionnel », lettre Memoriale Domini et instruction Redemptionis sacramentum), et qu'elle y a même imposé des conditions très claires. Ce sont les laïcs qui, comme les premiers chrétiens, se sont tournés vers cet usage, contrairement aux progressistes tridentins.
Bénie soit la grande restauration opérée par la messe saint Paul VI
Miesko béni au vatican par St Antoine quand il avais 13ans.... voyage avec ma grand mere.... rip mamie... ❤️
il y a un an
Car le gnosticisme met en opposition l'Ancien et le Nouveau Testament, là où le christianisme considère que le Nouveau Testament est l'aboutissement de l'Ancien (car c'est une Révélation qui s'est faîte progressivement, jusqu'à l'arrivée du Messie).
Jésus disait lui même n'être pas venu abolir la loi et les prophète, mais l'accomplir.
Jésus disait lui même n'être pas venu abolir la loi et les prophète, mais l'accomplir.
Alors je suis gnostique si tu veux.
L'ancien testament est immoral c'est tout. Le cautionner c'est cautionner toute la domination juive moderne.
L'ancien testament est immoral c'est tout. Le cautionner c'est cautionner toute la domination juive moderne.
il y a un an