la pensée peut-elle influencer le causal ?

Vous avez surement des exemples qui vont dans ce sens

Non ? Vous en avez marre de moi ?

Il y a quelques mois j’ai formulé une théorie (intuition obtenue en dessinant):

L’espace, le temps et la conscience sont imbriqués.

C’est à dire qu’au lieu de parler d’espace-temps (einstein), il faudrait parler d’espace-temps-conscience (moi lol) et que mathématiquement (ou physiquement, biologiquement) la pensée présente un sens.

Philosophiquement ça a déjà intrigué certains penseurs.
Je crois dur comme fer que la psyché dérive de la conscience universelle et que celle-ci au sein de l’univers est régie par des lois telles que l’amour avec un A majuscule.

Peut-être que la conscience humaine ou non - au niveau des particules et des interactions invisibles - a un rôle moteur et générateur de chaos sur le karma (si on le définit par la causalité externe des chaînes d’événements)

Oui elle peut, car en restant dans le fond de tes actions, tu la dissémines petit à petit.

Donc je pense qu'au bout d'un moment, si tu es constant, alors la pensée aura influencée le résultat.

Quand tu parles d'amour avec un grand A c'est quoi ? Un lien ?

Comme un électron est lié à son atome ?

Ou vraiment l'amour dans le sens d'aimer quelqu'un ?

C'est une idée intéressante, mais ça impliquerait une relativité de l'espace et de la conscience, hors celle entre le temps et la conscience est clairement identifiable, mais pas celle avec l'espace.

Bah ma théorie c’est :

1) La conscience (ou l’âme) est directement relié (imbriqué) à l’espace-temps

2) on peut la trouver à travers certaines lois
J’ai décrit l’Amour comme condition nécessaire de la Vie (sans amour pas de vie)
Donc d’accord avec toute ta réponse (lien d’un individu ou d’un electron avec son objet d’attachement)

3) Elle forme un Tout (incarné par le caractère durement scientifique de l’âme). En fait j’ai été atteint de maladie mentale et un de mes axes de rémission était la recherche physique du bonheur.

4) on peut l’étudier via les mathématiques que l’on exprimerait sous forme de principes écrits (on calculerair des mots et non des chiffres)

5) de même en biologie / chimie il conviendrair de démontrer sa substance

6) physiquement il s’agirait selon moi de la clé suprême, un des fondements de là réunification des modèles relativistes (macroscopique) et quantiques (microscopique) actuellement non reliés

Bah les relations temps-espace-conscience

Pour moi la conscience est créatrice de matière et cette dernière voit ses propriétés se transformer à son contact. Il y a une Âme et cette dernière au même titre que le temps est immatérielle.

Il s’agirait de la démontrer (son existence, sa vérité, sa vitalité) et ce faisant de faire apparaître ses actions sur la Matière (et réciproquement bien entendu).

Je parle de la conscience au sens large
Celle de l’univers des plantes des animaux même des cailloux tout a une conscience celle du grand Tout

Par contre l’espace temps est local je vois ce que ça vient foutre

Lis berserk

Qu’elle soit le corollaire de la perception de chacun au contraire ça change absolument tout puisque l’univers de chacun différerait d’un monde commun et abstrait

Le monde dans lequel selon que l’on soit une ortie un aigle borgne un panda musclé une reine fourmi un champion sportif un nain savant etc c’est complètement relatif

L’hypothèse d’un monde universel et le même pour tous est caduque puisque mes sens diffèrent selon la nature de ma propre conscience
Pour une même donnée objective la conscience ne sera absolument pas la même

Je suis désolé c’est proprement instinctif donc je peux pas l’étayer

Je parle d’un monde immatériel

Considérer qu’on est séparé est complètement faux

Merci à ceux qui rebondissent
Ça me permet franchement d’éclaircir et de rendre plus intelligible ma pensée

Donne nous le fond de ton subjectivisme

Attends attends, j'avais pas vu toutes vos réponses. Je vous félicite en tout cas ça fait plaisir.

Déjà fait

La conscience est précisément ce qui sépare l'espace du temps.

Sans elle ce continuum est sans distinction.

Le temps n'étant que la transformation de l'espace par la conscience, qui lui impute un début et une fin.