Ce sujet a été résolu
webediacaca
1 an
Begaudeau c'est vraiment un Soral raté, sachant que Soral est déjà un peu un raté
Même pas, Soral c'était autre chose quand même
Au plaisir ~
il y a un an
C'est quoi ton lien chelou là
je euh je
de toute façon c'est 2h20 de débat et ça n'apporte pas grand chose
de toute façon c'est 2h20 de débat et ça n'apporte pas grand chose
Au plaisir ~
il y a un an
je euh je
de toute façon c'est 2h20 de débat et ça n'apporte pas grand chose
de toute façon c'est 2h20 de débat et ça n'apporte pas grand chose
Ouais mais j'passe ma vie en voiture pour le taff, j'l'aurais bien écouté en vrai.
il y a un an
Même pas, Soral c'était autre chose quand même
Dans le sens comme Soral c'est un bourgeois qui critique le système et prétend le remettre en cause sauf qu'au moins Soral va au bout des choses et prend certains risques
il y a un an
Putaso
1 an
"le mot trahison fait facho "
"Rien à foutre, c'est une trahison"
PYR dit des choses moyennement intéressantes, qui sont noyées par un adversaire stupide et une journaliste amateur.
Bégaudeau ajoute les petits noeuds au grand Noeud Gordien, tandis que PYR tente de les défaire délicatement, avec soin. Il faudrait quelqu'un qui le tranche brutalement.
Au plaisir

"Rien à foutre, c'est une trahison"
PYR dit des choses moyennement intéressantes, qui sont noyées par un adversaire stupide et une journaliste amateur.
Conclusion
Bégaudeau ajoute les petits noeuds au grand Noeud Gordien, tandis que PYR tente de les défaire délicatement, avec soin. Il faudrait quelqu'un qui le tranche brutalement.
Au plaisir
Merci pour ton analyse


il y a un an
Je n'ai pas regardé ce débat, mais on a eu exactement la même chose avec le Pen au deuxième tour des présidentielles.
Suspect
Suspect
déja rien que lorsque un macroniste se met à sortir la carte " vous êtes pro russe ", la réponse qu'il devrait y avoir en retour cest que cest bien le régime macroniste qui a vendu des millions d'euro d'armes à la russie dans les années 2017
ils le font jamais
cest trés étrange oui
ils le font jamais
cest trés étrange oui
il y a un an
Très bonne analyse, PYR était mauvais mais face à un Bégaudeau arrogant et une présentatrice amateure qui avait un parti prit, difficile de faire mieux.
L'action de guerre revêt essentiellement le caractère de la contingence
il y a un an
Ce qui est intéressant, c'est que Bégaudeau, face à Houria, était dans le rôle de PYR. Pendant tout le débat avec la reine Houria, Bégaudeau n'a fait que lui cirer les pompes dans l'espoir qu'elle irait dans son sens. Je résume le débat : "Houria, dis-moi que la classe sociale est plus importante que le reste." Et elle lui répond : "Non, d'abord et avant tout, les intérêts de ma communauté."
Passage on il lui demande "gentiment" de ne pas lui monter du doigt. ( 23M18)
Encore une fois je ne suis pas là pour défendre l'extrême gauche.
Il se chie tellement dessus qu'il à oublié de qu'elle camps il est. (40mn30)
ici wissam qui lui met un coup de pression "hey hey tu laisse parler reine Houria le dhimmi". Houria qui regarde Wissam amusé de le voir se faire humilier. (39mn)
Dans d'autres passages Houria dit que la gauche est islamogauchiste; Elle reprend la réthorique d’extrême droite pour mieux humilier bégaudeau.


Il se chie tellement dessus qu'il à oublié de qu'elle camps il est. (40mn30)

Dans d'autres passages Houria dit que la gauche est islamogauchiste; Elle reprend la réthorique d’extrême droite pour mieux humilier bégaudeau.
il y a un an
Putaso
1 an
"le mot trahison fait facho "
"Rien à foutre, c'est une trahison"
PYR dit des choses moyennement intéressantes, qui sont noyées par un adversaire stupide et une journaliste amateur.
Bégaudeau ajoute les petits noeuds au grand Noeud Gordien, tandis que PYR tente de les défaire délicatement, avec soin. Il faudrait quelqu'un qui le tranche brutalement.
Au plaisir

"Rien à foutre, c'est une trahison"
PYR dit des choses moyennement intéressantes, qui sont noyées par un adversaire stupide et une journaliste amateur.
Conclusion
Bégaudeau ajoute les petits noeuds au grand Noeud Gordien, tandis que PYR tente de les défaire délicatement, avec soin. Il faudrait quelqu'un qui le tranche brutalement.
Au plaisir
L'analyse sur la forme est pas mal et révèle en creux qu'il n'y a pas eu de débat, il n'y a pas réellement eu d'argumentaires explicatifs et donc on ne peut juger d'une quelconque performance ou de contre-performance dans le domaine des idées.
Il y eut seulement un Bégaudeau qui a affirmé sa pureté idéologique, souvent au mépris de la réalité en montrant qu'il n'est effectivement qu'un anarchiste de salon, face à un Rougeyron dont l'idéologie, non la personne que peu de gens connaissent, est abrasive pour les droitards et les gauchistes parce qu'elle invalide l'existence même du clivage sociétal gauche-droite totalement dépassé par une situation économico-sociale et géopolitique catastrophique et beaucoup plus alarmante (pendant qu'on se tape entre cheveux bleus, bougnes et néo-N, les mêmes connards nous font les poches et c'est ce que dit et répète à l'envi PYR), ce faisant il annihile tout ce pourquoi se battent les maximalistes des deux camps, lesquels sont réellement des boutiquiers, eux...
Et comme Hugo le disait dans la préface de Cromwell : "la forme, c'est le fond qui remonte à la surface", PYR alignant ses intentions sur l'exemple de Gaulle a voulu se détacher des clivages partisans et c'est ce qui lui a posé problème. Il s'est montré conciliant, il a fini par être vu comme un passif ; pourtant c'est avec cette même attitude, pleine de respect pour ses interlocuteurs, qu'il est allé chez de Lesquen plusieurs années auparavant pour un débat, même chose avec Le Gallou l'européiste de droite.
Alors il a raison de ne pas se tenir dans un camp, de toute façon il ne peut être réduit à un droitard qui cherche à réaliser la droite plutôt que la France, ou à un gauchiste qui cherche à réaliser la gauche plutôt que la France ; néanmoins, il n'a pas été combattif et c'est ce que ses soutiens lui reprochent, avec beaucoup d'acrimonie. A voir comment les Patriotes et le CA vont gérer cela, il faut aussi regarder ce qu'il se dit chez les sympathisants de Bégaudeau, car il y a quelques surprises avec des gens qui ne sont pas enchantés de voir un déséquilibre flagrant qui ne sied pas à un véritable échange d'idées entre deux prétendus intellectuels. Comme quoi, il reste encore un tout petit peu de vie intelligente dans la fosse à purin qui se fait appeler "gauche"
Enfin, il y a beaucoup à dire sur l'extrait qui a été donné de la fin du débat sur ce que PYR apprécie de la France contemporaine ; le truc c'est que PYR, pour connaître son travail, a la tête dedans TOUT le temps. Rappel pour les limités et les ennemis de ce pays qui se déguisent et suivent Bégaudeau : le "potentiel de la France" dont parle PYR n'est pas quelque chose d'ancré dans le futur uniquement, c'est au contraire ce qui est présent et qui peut permettre à ce pays d'avoir une voix propre et entendue partout dans le monde, là-dessus il apprécie que parmi les étrangers, nombreux sont ceux qui voient et estiment à leur juste valeur ce qui émane de la France éternelle (le Catholicisme pré-Vatican II, la présence française sur tous les océans - je rappelle que Perspectives Libres, la revue qu'il dirige, s'est intéressée à cette question -, le maintien courageux des services publiques face aux assaut du privé, notamment étranger et des libéraux qui leur servent de courroie de transmission...).
Bégaudeau est un gauchiste qui veut montrer la France dévitalisée et jouir du désespoir des derniers patriotes, exactement comme la plupart des "natios" qui sont partis se réfugier à l'étranger
Il y eut seulement un Bégaudeau qui a affirmé sa pureté idéologique, souvent au mépris de la réalité en montrant qu'il n'est effectivement qu'un anarchiste de salon, face à un Rougeyron dont l'idéologie, non la personne que peu de gens connaissent, est abrasive pour les droitards et les gauchistes parce qu'elle invalide l'existence même du clivage sociétal gauche-droite totalement dépassé par une situation économico-sociale et géopolitique catastrophique et beaucoup plus alarmante (pendant qu'on se tape entre cheveux bleus, bougnes et néo-N, les mêmes connards nous font les poches et c'est ce que dit et répète à l'envi PYR), ce faisant il annihile tout ce pourquoi se battent les maximalistes des deux camps, lesquels sont réellement des boutiquiers, eux...

Et comme Hugo le disait dans la préface de Cromwell : "la forme, c'est le fond qui remonte à la surface", PYR alignant ses intentions sur l'exemple de Gaulle a voulu se détacher des clivages partisans et c'est ce qui lui a posé problème. Il s'est montré conciliant, il a fini par être vu comme un passif ; pourtant c'est avec cette même attitude, pleine de respect pour ses interlocuteurs, qu'il est allé chez de Lesquen plusieurs années auparavant pour un débat, même chose avec Le Gallou l'européiste de droite.

Alors il a raison de ne pas se tenir dans un camp, de toute façon il ne peut être réduit à un droitard qui cherche à réaliser la droite plutôt que la France, ou à un gauchiste qui cherche à réaliser la gauche plutôt que la France ; néanmoins, il n'a pas été combattif et c'est ce que ses soutiens lui reprochent, avec beaucoup d'acrimonie. A voir comment les Patriotes et le CA vont gérer cela, il faut aussi regarder ce qu'il se dit chez les sympathisants de Bégaudeau, car il y a quelques surprises avec des gens qui ne sont pas enchantés de voir un déséquilibre flagrant qui ne sied pas à un véritable échange d'idées entre deux prétendus intellectuels. Comme quoi, il reste encore un tout petit peu de vie intelligente dans la fosse à purin qui se fait appeler "gauche"

Enfin, il y a beaucoup à dire sur l'extrait qui a été donné de la fin du débat sur ce que PYR apprécie de la France contemporaine ; le truc c'est que PYR, pour connaître son travail, a la tête dedans TOUT le temps. Rappel pour les limités et les ennemis de ce pays qui se déguisent et suivent Bégaudeau : le "potentiel de la France" dont parle PYR n'est pas quelque chose d'ancré dans le futur uniquement, c'est au contraire ce qui est présent et qui peut permettre à ce pays d'avoir une voix propre et entendue partout dans le monde, là-dessus il apprécie que parmi les étrangers, nombreux sont ceux qui voient et estiment à leur juste valeur ce qui émane de la France éternelle (le Catholicisme pré-Vatican II, la présence française sur tous les océans - je rappelle que Perspectives Libres, la revue qu'il dirige, s'est intéressée à cette question -, le maintien courageux des services publiques face aux assaut du privé, notamment étranger et des libéraux qui leur servent de courroie de transmission...).
Bégaudeau est un gauchiste qui veut montrer la France dévitalisée et jouir du désespoir des derniers patriotes, exactement comme la plupart des "natios" qui sont partis se réfugier à l'étranger
(même si je ne fais ce procès à BLL parce qu'il faut dire que sa contribution permet d'avoir une compensation là où les souverainistes sont en échec et c'est trare)
il y a un an
L'analyse sur la forme est pas mal et révèle en creux qu'il n'y a pas eu de débat, il n'y a pas réellement eu d'argumentaires explicatifs et donc on ne peut juger d'une quelconque performance ou de contre-performance dans le domaine des idées.
Il y eut seulement un Bégaudeau qui a affirmé sa pureté idéologique, souvent au mépris de la réalité en montrant qu'il n'est effectivement qu'un anarchiste de salon, face à un Rougeyron dont l'idéologie, non la personne que peu de gens connaissent, est abrasive pour les droitards et les gauchistes parce qu'elle invalide l'existence même du clivage sociétal gauche-droite totalement dépassé par une situation économico-sociale et géopolitique catastrophique et beaucoup plus alarmante (pendant qu'on se tape entre cheveux bleus, bougnes et néo-N, les mêmes connards nous font les poches et c'est ce que dit et répète à l'envi PYR), ce faisant il annihile tout ce pourquoi se battent les maximalistes des deux camps, lesquels sont réellement des boutiquiers, eux...
Et comme Hugo le disait dans la préface de Cromwell : "la forme, c'est le fond qui remonte à la surface", PYR alignant ses intentions sur l'exemple de Gaulle a voulu se détacher des clivages partisans et c'est ce qui lui a posé problème. Il s'est montré conciliant, il a fini par être vu comme un passif ; pourtant c'est avec cette même attitude, pleine de respect pour ses interlocuteurs, qu'il est allé chez de Lesquen plusieurs années auparavant pour un débat, même chose avec Le Gallou l'européiste de droite.
Alors il a raison de ne pas se tenir dans un camp, de toute façon il ne peut être réduit à un droitard qui cherche à réaliser la droite plutôt que la France, ou à un gauchiste qui cherche à réaliser la gauche plutôt que la France ; néanmoins, il n'a pas été combattif et c'est ce que ses soutiens lui reprochent, avec beaucoup d'acrimonie. A voir comment les Patriotes et le CA vont gérer cela, il faut aussi regarder ce qu'il se dit chez les sympathisants de Bégaudeau, car il y a quelques surprises avec des gens qui ne sont pas enchantés de voir un déséquilibre flagrant qui ne sied pas à un véritable échange d'idées entre deux prétendus intellectuels. Comme quoi, il reste encore un tout petit peu de vie intelligente dans la fosse à purin qui se fait appeler "gauche"
Enfin, il y a beaucoup à dire sur l'extrait qui a été donné de la fin du débat sur ce que PYR apprécie de la France contemporaine ; le truc c'est que PYR, pour connaître son travail, a la tête dedans TOUT le temps. Rappel pour les limités et les ennemis de ce pays qui se déguisent et suivent Bégaudeau : le "potentiel de la France" dont parle PYR n'est pas quelque chose d'ancré dans le futur uniquement, c'est au contraire ce qui est présent et qui peut permettre à ce pays d'avoir une voix propre et entendue partout dans le monde, là-dessus il apprécie que parmi les étrangers, nombreux sont ceux qui voient et estiment à leur juste valeur ce qui émane de la France éternelle (le Catholicisme pré-Vatican II, la présence française sur tous les océans - je rappelle que Perspectives Libres, la revue qu'il dirige, s'est intéressée à cette question -, le maintien courageux des services publiques face aux assaut du privé, notamment étranger et des libéraux qui leur servent de courroie de transmission...).
Bégaudeau est un gauchiste qui veut montrer la France dévitalisée et jouir du désespoir des derniers patriotes, exactement comme la plupart des "natios" qui sont partis se réfugier à l'étranger
Il y eut seulement un Bégaudeau qui a affirmé sa pureté idéologique, souvent au mépris de la réalité en montrant qu'il n'est effectivement qu'un anarchiste de salon, face à un Rougeyron dont l'idéologie, non la personne que peu de gens connaissent, est abrasive pour les droitards et les gauchistes parce qu'elle invalide l'existence même du clivage sociétal gauche-droite totalement dépassé par une situation économico-sociale et géopolitique catastrophique et beaucoup plus alarmante (pendant qu'on se tape entre cheveux bleus, bougnes et néo-N, les mêmes connards nous font les poches et c'est ce que dit et répète à l'envi PYR), ce faisant il annihile tout ce pourquoi se battent les maximalistes des deux camps, lesquels sont réellement des boutiquiers, eux...

Et comme Hugo le disait dans la préface de Cromwell : "la forme, c'est le fond qui remonte à la surface", PYR alignant ses intentions sur l'exemple de Gaulle a voulu se détacher des clivages partisans et c'est ce qui lui a posé problème. Il s'est montré conciliant, il a fini par être vu comme un passif ; pourtant c'est avec cette même attitude, pleine de respect pour ses interlocuteurs, qu'il est allé chez de Lesquen plusieurs années auparavant pour un débat, même chose avec Le Gallou l'européiste de droite.

Alors il a raison de ne pas se tenir dans un camp, de toute façon il ne peut être réduit à un droitard qui cherche à réaliser la droite plutôt que la France, ou à un gauchiste qui cherche à réaliser la gauche plutôt que la France ; néanmoins, il n'a pas été combattif et c'est ce que ses soutiens lui reprochent, avec beaucoup d'acrimonie. A voir comment les Patriotes et le CA vont gérer cela, il faut aussi regarder ce qu'il se dit chez les sympathisants de Bégaudeau, car il y a quelques surprises avec des gens qui ne sont pas enchantés de voir un déséquilibre flagrant qui ne sied pas à un véritable échange d'idées entre deux prétendus intellectuels. Comme quoi, il reste encore un tout petit peu de vie intelligente dans la fosse à purin qui se fait appeler "gauche"

Enfin, il y a beaucoup à dire sur l'extrait qui a été donné de la fin du débat sur ce que PYR apprécie de la France contemporaine ; le truc c'est que PYR, pour connaître son travail, a la tête dedans TOUT le temps. Rappel pour les limités et les ennemis de ce pays qui se déguisent et suivent Bégaudeau : le "potentiel de la France" dont parle PYR n'est pas quelque chose d'ancré dans le futur uniquement, c'est au contraire ce qui est présent et qui peut permettre à ce pays d'avoir une voix propre et entendue partout dans le monde, là-dessus il apprécie que parmi les étrangers, nombreux sont ceux qui voient et estiment à leur juste valeur ce qui émane de la France éternelle (le Catholicisme pré-Vatican II, la présence française sur tous les océans - je rappelle que Perspectives Libres, la revue qu'il dirige, s'est intéressée à cette question -, le maintien courageux des services publiques face aux assaut du privé, notamment étranger et des libéraux qui leur servent de courroie de transmission...).
Bégaudeau est un gauchiste qui veut montrer la France dévitalisée et jouir du désespoir des derniers patriotes, exactement comme la plupart des "natios" qui sont partis se réfugier à l'étranger
(même si je ne fais ce procès à BLL parce qu'il faut dire que sa contribution permet d'avoir une compensation là où les souverainistes sont en échec et c'est trare)
La dernière question était la pire performance de PYR en effet, celle sur la culture. C'est évident que PYR adore la France et ce qu'elle a à offrir, la question est tellement idiote que PYR essaye naturellement d'élever le débat, de parler des potentialités de la France (quelque chose a du potentiel si la matière de base est solide, donc il ne parlait pas seulement de l'avenir). Mais Bégaudeau voulait une réponse du type "j'aime les éclairs au chocolat", parce que c'est son niveau : un niveau de collégien.
Et oui, j'espère que les sympathisants de Bégaudeau qui sont sceptiques donnent une chance à Pierre Yves après ça
Et oui, j'espère que les sympathisants de Bégaudeau qui sont sceptiques donnent une chance à Pierre Yves après ça

Au plaisir ~
il y a un an
jeanmonnaie
1 an
Ce qui est intéressant, c'est que Bégaudeau, face à Houria, était dans le rôle de PYR. Pendant tout le débat avec la reine Houria, Bégaudeau n'a fait que lui cirer les pompes dans l'espoir qu'elle irait dans son sens. Je résume le débat : "Houria, dis-moi que la classe sociale est plus importante que le reste." Et elle lui répond : "Non, d'abord et avant tout, les intérêts de ma communauté."
Passage on il lui demande "gentiment" de ne pas lui monter du doigt. ( 23M18)
Encore une fois je ne suis pas là pour défendre l'extrême gauche.
Il se chie tellement dessus qu'il à oublié de qu'elle camps il est. (40mn30)
ici wissam qui lui met un coup de pression "hey hey tu laisse parler reine Houria le dhimmi". Houria qui regarde Wissam amusé de le voir se faire humilier. (39mn)
Dans d'autres passages Houria dit que la gauche est islamogauchiste; Elle reprend la réthorique d’extrême droite pour mieux humilier bégaudeau.


Il se chie tellement dessus qu'il à oublié de qu'elle camps il est. (40mn30)

Dans d'autres passages Houria dit que la gauche est islamogauchiste; Elle reprend la réthorique d’extrême droite pour mieux humilier bégaudeau.
Merci pour ces extraits, c'est délicieux de le voir pris à son propre jeu
"je ne suis pas là pour défendre l'extrême gauche" AYAA
"je ne suis pas là pour défendre l'extrême gauche" AYAA
Au plaisir ~
il y a un an
Il a beaucoup bégayé c'est vrai. C'est dommage, pour un type qui n'est pas con
Au plaisir ~
il y a un an
Un topic intéressant, avec des réponses intéressantes.
Je n'ai pas vu le débat, je ne pourrai donc pas m'exprimer sur le sujet, par contre il y a quelques questions qu'on peut poser sur la table.
Par exemple: qu'est-ce qui fait qu'on gagne un débat ? Une réponse de rhéteur serait la suivante: celui qui gagne l'approbation du public a gagné le débat, peu importe qu'il ait tort ou raison sur le fond. Si le public est acquis, le débat est gagné.
Ce serait cependant considérer "le public" comme un bloc monolithique. Parmis les auditeurs du débat il y a beaucoup de gens très différent, certains peuvent donc être convaincu là où d'autres ne le seront pas. Si j'ai bien lu le topic il semblerait que Bégaudeau n'ait pas réussi à convaincre les intellectuels, ceux qui réfléchissent. Il aura au mieux réussi à remporter l'adhésion de ceux qui n'écoutent les débats que pour entendre des punchline, les spectateurs de l'arène qui veulent du sang et rien d'autre.
Peut-on considérer cela comme une victoire politique ou idéologique ? Je ne pense pas. Convaincre ce genre d'auditoire ne lui rapportera rien, pas d'argent, pas de soutiens, pas de votes pour son camp non plus. Il aura réussi à divertir un public particulier, les spectateurs de MMA-intellectuelle, mais les vrais intellos il ne les aura pas eu, quand au peuple je n'en parle même pas: il est de gauche en 2024 donc c'est exclu d'avance, la gauche a perdu le peuple depuis longtemps.
Du reste, si la gauche a délaissé le prolétariat blanc pour se concentrer sur les néo-esclaves musulmans, il va de soi que ce public de cité ne constituera pas la majeure partie de l'auditoire, donc là non plus Bégaudeau ne gagne pas. Son public "diversifié" n'est pas là, il est sur tik tok.
On pourrait donc dire que Bégaudeau à réussi à gagner un débat
-sans séduire les plus forts (les intellectuels)
-sans convertir ses adversaires à sa cause (les soutiens de PYR)
-sans rallier à sa cause les brebies perdues de la gauche (prolétariat blanc)
-sans même que l'électorat majoritaire de la gauche, les musulmans, se rendent compte qu'il y ait eu un débat
Au mieux Bégaudeau aura réussi à
-se conforter lui-même dans l'idée qu'il avait raison depuis le début et qu'il n'a pas à se remettre en question
-conforter dans leurs idées les spectateurs bobo qui sont exactement comme lui
D'un point de vue argumentatif c'est un échec retentissant qui se donne des allures de victoire.
Ici on trouve donc un trait caractéristique de la gauche moderne: la capacité d'auto-persuation par le débat. Ceci amène la gauche au paradoxe suivant
à force de gagner les débats, ils vont réussir à perdre toutes les élections.
Pourquoi ? Parce que la gauche ne sait tout simplement pas ce que veut dire argumenter. Ils ne maitrisent pas la science du débat, de l'art oratoire et de la rhétorique.
Je m'explique: le gauchiste est une sorte de chrétien qui s'ignore, il croit à la "vérité". En débat ce genre de personne croit sincèrement qu'il suffit de démontrer qu'on a raison pour marquer des points. Or il n'y a rien de plus faux. Le débat n'est jamais une démonstration scientifique.
Je donne un exemple d'une erreur très commune qu'on peut trouver sur le net à ce sujet: la pyramide des arguments.
Cette pyramide est un des plus gigantesque contresens de ce qu'on peut trouver en matière d'argumentation, pour ainsi dire tout est faux sur cette image.
Pourquoi ?
Parce qu'elle suppose qu'il y a une hiérarchie des arguments. Que par exemple la réfutation de l'idée principale à plus de valeur qu'une attaque ad-hominem, ce qui est faux.
En argumentation la seule chose qui a de la valeur c'est ce qui arrive à convaincre l'auditoire auquel on s'adresse. Si donc votre objectif est de convaincre des wesh de cité de voter pour vous, alors une punchline bien sentie aura mille fois plus de valeur qu'une démonstration aristotélicienne.
Mais si votre objectif est de convaincre l'académie française de voter pour vous, alors vous devrez mettre de coté les punchlines et composer un discours très différent.
Le problème de Bégaudeau c'est qu'il ne cherche pas à convaincre les wesh ni les académiciens, la seule chose qui lui importe c'est de se convaincre lui-même, de se persuader lui-même qu'il a raison. Mais il ne veut pas le savoir, si vous lui dites ça en face il vous dira que c'est faux, qu'il ne cherche pas à s'auto-persuader, alors que si.
A lui seul Bégaudeau suffit à montrer ce qu'est la gauche aujourd'hui: des gens qui perdent 100 000 électeurs à chaque fois qu'ils font semblant de gagner un débat.
Cela dit je n'ai pas vu le débat donc je peux me tromper, pour ma part j'estime que ce n'est même pas la peine de regarder. Je connais les gens comme Bégaudeau et je sais qu'il n'y a vraiment rien à en attendre, je me suis donc basé uniquement sur les réponses du topic pour me faire un jugement.
edit: j'ai regardé UNE MINUTE de débat sur un extrait youtube, j'ai failli m'évanouir de malaise. Entre cet imbécile de Bégaudeau qui s'autorise à poser des questions comme s'il était professeur de jury et l'autre con de PYR qui rentre dans son jeu et qui se met à bégayer au lieu de l'enculer, j'ai pas pu tenir.
Je n'ai pas vu le débat, je ne pourrai donc pas m'exprimer sur le sujet, par contre il y a quelques questions qu'on peut poser sur la table.
Par exemple: qu'est-ce qui fait qu'on gagne un débat ? Une réponse de rhéteur serait la suivante: celui qui gagne l'approbation du public a gagné le débat, peu importe qu'il ait tort ou raison sur le fond. Si le public est acquis, le débat est gagné.
Ce serait cependant considérer "le public" comme un bloc monolithique. Parmis les auditeurs du débat il y a beaucoup de gens très différent, certains peuvent donc être convaincu là où d'autres ne le seront pas. Si j'ai bien lu le topic il semblerait que Bégaudeau n'ait pas réussi à convaincre les intellectuels, ceux qui réfléchissent. Il aura au mieux réussi à remporter l'adhésion de ceux qui n'écoutent les débats que pour entendre des punchline, les spectateurs de l'arène qui veulent du sang et rien d'autre.
Peut-on considérer cela comme une victoire politique ou idéologique ? Je ne pense pas. Convaincre ce genre d'auditoire ne lui rapportera rien, pas d'argent, pas de soutiens, pas de votes pour son camp non plus. Il aura réussi à divertir un public particulier, les spectateurs de MMA-intellectuelle, mais les vrais intellos il ne les aura pas eu, quand au peuple je n'en parle même pas: il est de gauche en 2024 donc c'est exclu d'avance, la gauche a perdu le peuple depuis longtemps.
Du reste, si la gauche a délaissé le prolétariat blanc pour se concentrer sur les néo-esclaves musulmans, il va de soi que ce public de cité ne constituera pas la majeure partie de l'auditoire, donc là non plus Bégaudeau ne gagne pas. Son public "diversifié" n'est pas là, il est sur tik tok.
On pourrait donc dire que Bégaudeau à réussi à gagner un débat
-sans séduire les plus forts (les intellectuels)
-sans convertir ses adversaires à sa cause (les soutiens de PYR)
-sans rallier à sa cause les brebies perdues de la gauche (prolétariat blanc)
-sans même que l'électorat majoritaire de la gauche, les musulmans, se rendent compte qu'il y ait eu un débat
Au mieux Bégaudeau aura réussi à
-se conforter lui-même dans l'idée qu'il avait raison depuis le début et qu'il n'a pas à se remettre en question
-conforter dans leurs idées les spectateurs bobo qui sont exactement comme lui
D'un point de vue argumentatif c'est un échec retentissant qui se donne des allures de victoire.
Ici on trouve donc un trait caractéristique de la gauche moderne: la capacité d'auto-persuation par le débat. Ceci amène la gauche au paradoxe suivant

Pourquoi ? Parce que la gauche ne sait tout simplement pas ce que veut dire argumenter. Ils ne maitrisent pas la science du débat, de l'art oratoire et de la rhétorique.
Je m'explique: le gauchiste est une sorte de chrétien qui s'ignore, il croit à la "vérité". En débat ce genre de personne croit sincèrement qu'il suffit de démontrer qu'on a raison pour marquer des points. Or il n'y a rien de plus faux. Le débat n'est jamais une démonstration scientifique.
Je donne un exemple d'une erreur très commune qu'on peut trouver sur le net à ce sujet: la pyramide des arguments.
Cette pyramide est un des plus gigantesque contresens de ce qu'on peut trouver en matière d'argumentation, pour ainsi dire tout est faux sur cette image.
Pourquoi ?
Parce qu'elle suppose qu'il y a une hiérarchie des arguments. Que par exemple la réfutation de l'idée principale à plus de valeur qu'une attaque ad-hominem, ce qui est faux.
En argumentation la seule chose qui a de la valeur c'est ce qui arrive à convaincre l'auditoire auquel on s'adresse. Si donc votre objectif est de convaincre des wesh de cité de voter pour vous, alors une punchline bien sentie aura mille fois plus de valeur qu'une démonstration aristotélicienne.
Mais si votre objectif est de convaincre l'académie française de voter pour vous, alors vous devrez mettre de coté les punchlines et composer un discours très différent.
Le problème de Bégaudeau c'est qu'il ne cherche pas à convaincre les wesh ni les académiciens, la seule chose qui lui importe c'est de se convaincre lui-même, de se persuader lui-même qu'il a raison. Mais il ne veut pas le savoir, si vous lui dites ça en face il vous dira que c'est faux, qu'il ne cherche pas à s'auto-persuader, alors que si.
A lui seul Bégaudeau suffit à montrer ce qu'est la gauche aujourd'hui: des gens qui perdent 100 000 électeurs à chaque fois qu'ils font semblant de gagner un débat.
Cela dit je n'ai pas vu le débat donc je peux me tromper, pour ma part j'estime que ce n'est même pas la peine de regarder. Je connais les gens comme Bégaudeau et je sais qu'il n'y a vraiment rien à en attendre, je me suis donc basé uniquement sur les réponses du topic pour me faire un jugement.
edit: j'ai regardé UNE MINUTE de débat sur un extrait youtube, j'ai failli m'évanouir de malaise. Entre cet imbécile de Bégaudeau qui s'autorise à poser des questions comme s'il était professeur de jury et l'autre con de PYR qui rentre dans son jeu et qui se met à bégayer au lieu de l'enculer, j'ai pas pu tenir.
il y a un an
Morgoth
1 an
Un topic intéressant, avec des réponses intéressantes.
Je n'ai pas vu le débat, je ne pourrai donc pas m'exprimer sur le sujet, par contre il y a quelques questions qu'on peut poser sur la table.
Par exemple: qu'est-ce qui fait qu'on gagne un débat ? Une réponse de rhéteur serait la suivante: celui qui gagne l'approbation du public a gagné le débat, peu importe qu'il ait tort ou raison sur le fond. Si le public est acquis, le débat est gagné.
Ce serait cependant considérer "le public" comme un bloc monolithique. Parmis les auditeurs du débat il y a beaucoup de gens très différent, certains peuvent donc être convaincu là où d'autres ne le seront pas. Si j'ai bien lu le topic il semblerait que Bégaudeau n'ait pas réussi à convaincre les intellectuels, ceux qui réfléchissent. Il aura au mieux réussi à remporter l'adhésion de ceux qui n'écoutent les débats que pour entendre des punchline, les spectateurs de l'arène qui veulent du sang et rien d'autre.
Peut-on considérer cela comme une victoire politique ou idéologique ? Je ne pense pas. Convaincre ce genre d'auditoire ne lui rapportera rien, pas d'argent, pas de soutiens, pas de votes pour son camp non plus. Il aura réussi à divertir un public particulier, les spectateurs de MMA-intellectuelle, mais les vrais intellos il ne les aura pas eu, quand au peuple je n'en parle même pas: il est de gauche en 2024 donc c'est exclu d'avance, la gauche a perdu le peuple depuis longtemps.
Du reste, si la gauche a délaissé le prolétariat blanc pour se concentrer sur les néo-esclaves musulmans, il va de soi que ce public de cité ne constituera pas la majeure partie de l'auditoire, donc là non plus Bégaudeau ne gagne pas. Son public "diversifié" n'est pas là, il est sur tik tok.
On pourrait donc dire que Bégaudeau à réussi à gagner un débat
-sans séduire les plus forts (les intellectuels)
-sans convertir ses adversaires à sa cause (les soutiens de PYR)
-sans rallier à sa cause les brebies perdues de la gauche (prolétariat blanc)
-sans même que l'électorat majoritaire de la gauche, les musulmans, se rendent compte qu'il y ait eu un débat
Au mieux Bégaudeau aura réussi à
-se conforter lui-même dans l'idée qu'il avait raison depuis le début et qu'il n'a pas à se remettre en question
-conforter dans leurs idées les spectateurs bobo qui sont exactement comme lui
D'un point de vue argumentatif c'est un échec retentissant qui se donne des allures de victoire.
Ici on trouve donc un trait caractéristique de la gauche moderne: la capacité d'auto-persuation par le débat. Ceci amène la gauche au paradoxe suivant
à force de gagner les débats, ils vont réussir à perdre toutes les élections.
Pourquoi ? Parce que la gauche ne sait tout simplement pas ce que veut dire argumenter. Ils ne maitrisent pas la science du débat, de l'art oratoire et de la rhétorique.
Je m'explique: le gauchiste est une sorte de chrétien qui s'ignore, il croit à la "vérité". En débat ce genre de personne croit sincèrement qu'il suffit de démontrer qu'on a raison pour marquer des points. Or il n'y a rien de plus faux. Le débat n'est jamais une démonstration scientifique.
Je donne un exemple d'une erreur très commune qu'on peut trouver sur le net à ce sujet: la pyramide des arguments.
Cette pyramide est un des plus gigantesque contresens de ce qu'on peut trouver en matière d'argumentation, pour ainsi dire tout est faux sur cette image.
Pourquoi ?
Parce qu'elle suppose qu'il y a une hiérarchie des arguments. Que par exemple la réfutation de l'idée principale à plus de valeur qu'une attaque ad-hominem, ce qui est faux.
En argumentation la seule chose qui a de la valeur c'est ce qui arrive à convaincre l'auditoire auquel on s'adresse. Si donc votre objectif est de convaincre des wesh de cité de voter pour vous, alors une punchline bien sentie aura mille fois plus de valeur qu'une démonstration aristotélicienne.
Mais si votre objectif est de convaincre l'académie française de voter pour vous, alors vous devrez mettre de coté les punchlines et composer un discours très différent.
Le problème de Bégaudeau c'est qu'il ne cherche pas à convaincre les wesh ni les académiciens, la seule chose qui lui importe c'est de se convaincre lui-même, de se persuader lui-même qu'il a raison. Mais il ne veut pas le savoir, si vous lui dites ça en face il vous dira que c'est faux, qu'il ne cherche pas à s'auto-persuader, alors que si.
A lui seul Bégaudeau suffit à montrer ce qu'est la gauche aujourd'hui: des gens qui perdent 100 000 électeurs à chaque fois qu'ils font semblant de gagner un débat.
Cela dit je n'ai pas vu le débat donc je peux me tromper, pour ma part j'estime que ce n'est même pas la peine de regarder. Je connais les gens comme Bégaudeau et je sais qu'il n'y a vraiment rien à en attendre, je me suis donc basé uniquement sur les réponses du topic pour me faire un jugement.
edit: j'ai regardé UNE MINUTE de débat sur un extrait youtube, j'ai failli m'évanouir de malaise. Entre cet imbécile de Bégaudeau qui s'autorise à poser des questions comme s'il était professeur de jury et l'autre con de PYR qui rentre dans son jeu et qui se met à bégayer au lieu de l'enculer, j'ai pas pu tenir.
Je n'ai pas vu le débat, je ne pourrai donc pas m'exprimer sur le sujet, par contre il y a quelques questions qu'on peut poser sur la table.
Par exemple: qu'est-ce qui fait qu'on gagne un débat ? Une réponse de rhéteur serait la suivante: celui qui gagne l'approbation du public a gagné le débat, peu importe qu'il ait tort ou raison sur le fond. Si le public est acquis, le débat est gagné.
Ce serait cependant considérer "le public" comme un bloc monolithique. Parmis les auditeurs du débat il y a beaucoup de gens très différent, certains peuvent donc être convaincu là où d'autres ne le seront pas. Si j'ai bien lu le topic il semblerait que Bégaudeau n'ait pas réussi à convaincre les intellectuels, ceux qui réfléchissent. Il aura au mieux réussi à remporter l'adhésion de ceux qui n'écoutent les débats que pour entendre des punchline, les spectateurs de l'arène qui veulent du sang et rien d'autre.
Peut-on considérer cela comme une victoire politique ou idéologique ? Je ne pense pas. Convaincre ce genre d'auditoire ne lui rapportera rien, pas d'argent, pas de soutiens, pas de votes pour son camp non plus. Il aura réussi à divertir un public particulier, les spectateurs de MMA-intellectuelle, mais les vrais intellos il ne les aura pas eu, quand au peuple je n'en parle même pas: il est de gauche en 2024 donc c'est exclu d'avance, la gauche a perdu le peuple depuis longtemps.
Du reste, si la gauche a délaissé le prolétariat blanc pour se concentrer sur les néo-esclaves musulmans, il va de soi que ce public de cité ne constituera pas la majeure partie de l'auditoire, donc là non plus Bégaudeau ne gagne pas. Son public "diversifié" n'est pas là, il est sur tik tok.
On pourrait donc dire que Bégaudeau à réussi à gagner un débat
-sans séduire les plus forts (les intellectuels)
-sans convertir ses adversaires à sa cause (les soutiens de PYR)
-sans rallier à sa cause les brebies perdues de la gauche (prolétariat blanc)
-sans même que l'électorat majoritaire de la gauche, les musulmans, se rendent compte qu'il y ait eu un débat
Au mieux Bégaudeau aura réussi à
-se conforter lui-même dans l'idée qu'il avait raison depuis le début et qu'il n'a pas à se remettre en question
-conforter dans leurs idées les spectateurs bobo qui sont exactement comme lui
D'un point de vue argumentatif c'est un échec retentissant qui se donne des allures de victoire.
Ici on trouve donc un trait caractéristique de la gauche moderne: la capacité d'auto-persuation par le débat. Ceci amène la gauche au paradoxe suivant

Pourquoi ? Parce que la gauche ne sait tout simplement pas ce que veut dire argumenter. Ils ne maitrisent pas la science du débat, de l'art oratoire et de la rhétorique.
Je m'explique: le gauchiste est une sorte de chrétien qui s'ignore, il croit à la "vérité". En débat ce genre de personne croit sincèrement qu'il suffit de démontrer qu'on a raison pour marquer des points. Or il n'y a rien de plus faux. Le débat n'est jamais une démonstration scientifique.
Je donne un exemple d'une erreur très commune qu'on peut trouver sur le net à ce sujet: la pyramide des arguments.
Cette pyramide est un des plus gigantesque contresens de ce qu'on peut trouver en matière d'argumentation, pour ainsi dire tout est faux sur cette image.
Pourquoi ?
Parce qu'elle suppose qu'il y a une hiérarchie des arguments. Que par exemple la réfutation de l'idée principale à plus de valeur qu'une attaque ad-hominem, ce qui est faux.
En argumentation la seule chose qui a de la valeur c'est ce qui arrive à convaincre l'auditoire auquel on s'adresse. Si donc votre objectif est de convaincre des wesh de cité de voter pour vous, alors une punchline bien sentie aura mille fois plus de valeur qu'une démonstration aristotélicienne.
Mais si votre objectif est de convaincre l'académie française de voter pour vous, alors vous devrez mettre de coté les punchlines et composer un discours très différent.
Le problème de Bégaudeau c'est qu'il ne cherche pas à convaincre les wesh ni les académiciens, la seule chose qui lui importe c'est de se convaincre lui-même, de se persuader lui-même qu'il a raison. Mais il ne veut pas le savoir, si vous lui dites ça en face il vous dira que c'est faux, qu'il ne cherche pas à s'auto-persuader, alors que si.
A lui seul Bégaudeau suffit à montrer ce qu'est la gauche aujourd'hui: des gens qui perdent 100 000 électeurs à chaque fois qu'ils font semblant de gagner un débat.
Cela dit je n'ai pas vu le débat donc je peux me tromper, pour ma part j'estime que ce n'est même pas la peine de regarder. Je connais les gens comme Bégaudeau et je sais qu'il n'y a vraiment rien à en attendre, je me suis donc basé uniquement sur les réponses du topic pour me faire un jugement.
edit: j'ai regardé UNE MINUTE de débat sur un extrait youtube, j'ai failli m'évanouir de malaise. Entre cet imbécile de Bégaudeau qui s'autorise à poser des questions comme s'il était professeur de jury et l'autre con de PYR qui rentre dans son jeu et qui se met à bégayer au lieu de l'enculer, j'ai pas pu tenir.
Très beau post.
Sur la fin de ton post : Je crois que PYR a trop pris à coeur le
Parfois IL FAUT ENCULER, surtout Bégaudeau. Perso je me suis tapé TOUT LE DEBAT, tu comprendras mon irritation dans le post initial
Ton post m'a fait penser à une chose : on peut critiquer Zemmour tout ce que l'on veut - il le mérite - mais il y a un point à sa faveur je pense : il est bon en débat, en argumentation. Il ne bégaye pas, il dit ce qu'il a à dire, il encule quand il faut enculer.
Je pense que la grande erreur de pyr c'est justement une vision erronnée de ce qu'est le débat. On peut imaginer que PYR adhèrerait à la pyramide en question par exemple.
Il croyait qu'il allait gagner le débat en exposant les idées les plus rationnelles, les plus justes. En réalité il a juste raté une énorme opportunité de mettre des tartes bien méritées à Bégaudeau - parce que PYR a la capacité intellectuelle de mettre des tartes, il n'est pas bête et il a un peu le sens de la formule (la journaliste ressort une phrase qu'il avait dite à propos d'Israel - Palestine, il avait dit un truc du genre "il ne faut pas se mêler de ce bourbier de clodos" ou un truc du genre)
Au passage : C'est exactement ce qu'à fait Marine le Pen au deuxième tour des présidentielles, et paraît que c'est AUSSI ce qu'à faitEl Italiano Bardella face à Attal, je n'ai pas vu ce débat mais paraît qu'il s'est fait baiser aussi. Alors que putain, ATTAL quoi, y'a matière à enculer et il aime ça en plus
On peut se dire que c'est juste de l'opposition contrôlée et qu'ils font exprès de se faire baiser en débat. Mais après ce débat Bég - PYR j'ai le doute. Il est possible qu'ils soient vraiment cons à ce point
Sur la fin de ton post : Je crois que PYR a trop pris à coeur le
Parfois IL FAUT ENCULER, surtout Bégaudeau. Perso je me suis tapé TOUT LE DEBAT, tu comprendras mon irritation dans le post initial
Ton post m'a fait penser à une chose : on peut critiquer Zemmour tout ce que l'on veut - il le mérite - mais il y a un point à sa faveur je pense : il est bon en débat, en argumentation. Il ne bégaye pas, il dit ce qu'il a à dire, il encule quand il faut enculer.
Je pense que la grande erreur de pyr c'est justement une vision erronnée de ce qu'est le débat. On peut imaginer que PYR adhèrerait à la pyramide en question par exemple.
Il croyait qu'il allait gagner le débat en exposant les idées les plus rationnelles, les plus justes. En réalité il a juste raté une énorme opportunité de mettre des tartes bien méritées à Bégaudeau - parce que PYR a la capacité intellectuelle de mettre des tartes, il n'est pas bête et il a un peu le sens de la formule (la journaliste ressort une phrase qu'il avait dite à propos d'Israel - Palestine, il avait dit un truc du genre "il ne faut pas se mêler de ce bourbier de clodos" ou un truc du genre)
Au passage : C'est exactement ce qu'à fait Marine le Pen au deuxième tour des présidentielles, et paraît que c'est AUSSI ce qu'à fait
On peut se dire que c'est juste de l'opposition contrôlée et qu'ils font exprès de se faire baiser en débat. Mais après ce débat Bég - PYR j'ai le doute. Il est possible qu'ils soient vraiment cons à ce point

Au plaisir ~
il y a un an
Très beau post.
Sur la fin de ton post : Je crois que PYR a trop pris à coeur le
Parfois IL FAUT ENCULER, surtout Bégaudeau. Perso je me suis tapé TOUT LE DEBAT, tu comprendras mon irritation dans le post initial
Ton post m'a fait penser à une chose : on peut critiquer Zemmour tout ce que l'on veut - il le mérite - mais il y a un point à sa faveur je pense : il est bon en débat, en argumentation. Il ne bégaye pas, il dit ce qu'il a à dire, il encule quand il faut enculer.
Je pense que la grande erreur de pyr c'est justement une vision erronnée de ce qu'est le débat. On peut imaginer que PYR adhèrerait à la pyramide en question par exemple.
Il croyait qu'il allait gagner le débat en exposant les idées les plus rationnelles, les plus justes. En réalité il a juste raté une énorme opportunité de mettre des tartes bien méritées à Bégaudeau - parce que PYR a la capacité intellectuelle de mettre des tartes, il n'est pas bête et il a un peu le sens de la formule (la journaliste ressort une phrase qu'il avait dite à propos d'Israel - Palestine, il avait dit un truc du genre "il ne faut pas se mêler de ce bourbier de clodos" ou un truc du genre)
Au passage : C'est exactement ce qu'à fait Marine le Pen au deuxième tour des présidentielles, et paraît que c'est AUSSI ce qu'à faitEl Italiano Bardella face à Attal, je n'ai pas vu ce débat mais paraît qu'il s'est fait baiser aussi. Alors que putain, ATTAL quoi, y'a matière à enculer et il aime ça en plus
On peut se dire que c'est juste de l'opposition contrôlée et qu'ils font exprès de se faire baiser en débat. Mais après ce débat Bég - PYR j'ai le doute. Il est possible qu'ils soient vraiment cons à ce point
Sur la fin de ton post : Je crois que PYR a trop pris à coeur le
Parfois IL FAUT ENCULER, surtout Bégaudeau. Perso je me suis tapé TOUT LE DEBAT, tu comprendras mon irritation dans le post initial
Ton post m'a fait penser à une chose : on peut critiquer Zemmour tout ce que l'on veut - il le mérite - mais il y a un point à sa faveur je pense : il est bon en débat, en argumentation. Il ne bégaye pas, il dit ce qu'il a à dire, il encule quand il faut enculer.
Je pense que la grande erreur de pyr c'est justement une vision erronnée de ce qu'est le débat. On peut imaginer que PYR adhèrerait à la pyramide en question par exemple.
Il croyait qu'il allait gagner le débat en exposant les idées les plus rationnelles, les plus justes. En réalité il a juste raté une énorme opportunité de mettre des tartes bien méritées à Bégaudeau - parce que PYR a la capacité intellectuelle de mettre des tartes, il n'est pas bête et il a un peu le sens de la formule (la journaliste ressort une phrase qu'il avait dite à propos d'Israel - Palestine, il avait dit un truc du genre "il ne faut pas se mêler de ce bourbier de clodos" ou un truc du genre)
Au passage : C'est exactement ce qu'à fait Marine le Pen au deuxième tour des présidentielles, et paraît que c'est AUSSI ce qu'à fait
On peut se dire que c'est juste de l'opposition contrôlée et qu'ils font exprès de se faire baiser en débat. Mais après ce débat Bég - PYR j'ai le doute. Il est possible qu'ils soient vraiment cons à ce point

Je pense que ce ne sont ni des cons, ni de l'opposition contrôlée, ce sont des tièdes.
Face à Bégaudeau il y a deux solutions
- ne pas feed , auquel cas on ne vas tout simplement pas débattre avec lui (choix du mépris complet)
- Accepter le débat, auquel cas il faut venir pour l'éclater à toutes les phrases (choix de l'affrontement)
Ces deux choix sont bons.
Prenons maintenant le cas contraire: quelles sont les mauvaises options ?
- ne pas l'affronter en débat et lui chier dans le dos (lâcheté)
- venir en débat, et ne pas se battre (soumission)
PYR a choisi la deuxième option. Tant pis pour lui.
C'était un choix de tiède, le choix de quelqu'un qui fait les choses à moitié. Si on méprise on méprise vraiment, complètement et parfaitement: On ne va même pas en débat.
Le choix du mépris complet est parfaitement acceptable dans certain cas. Par exemple il est justifié en face de la gauche, parce que les gauchistes sont vraiment en dessous de tout, ils ne méritent pas qu'on les prenne au sérieux. De mon point de vue c'est le meilleur choix. Mais un tel choix doit être fait jusqu'au bout, si on choisit de les mépriser, il est exclu de débattre avec eux.
Face à Bégaudeau il y a deux solutions
- ne pas feed , auquel cas on ne vas tout simplement pas débattre avec lui (choix du mépris complet)
- Accepter le débat, auquel cas il faut venir pour l'éclater à toutes les phrases (choix de l'affrontement)
Ces deux choix sont bons.
Prenons maintenant le cas contraire: quelles sont les mauvaises options ?
- ne pas l'affronter en débat et lui chier dans le dos (lâcheté)
- venir en débat, et ne pas se battre (soumission)
PYR a choisi la deuxième option. Tant pis pour lui.
C'était un choix de tiède, le choix de quelqu'un qui fait les choses à moitié. Si on méprise on méprise vraiment, complètement et parfaitement: On ne va même pas en débat.
Le choix du mépris complet est parfaitement acceptable dans certain cas. Par exemple il est justifié en face de la gauche, parce que les gauchistes sont vraiment en dessous de tout, ils ne méritent pas qu'on les prenne au sérieux. De mon point de vue c'est le meilleur choix. Mais un tel choix doit être fait jusqu'au bout, si on choisit de les mépriser, il est exclu de débattre avec eux.
il y a un an
Je pense que ce ne sont ni des cons, ni de l'opposition contrôlée, ce sont des tièdes.
Face à Bégaudeau il y a deux solutions
- ne pas feed , auquel cas on ne vas tout simplement pas débattre avec lui (choix du mépris complet)
- Accepter le débat, auquel cas il faut venir pour l'éclater à toutes les phrases (choix de l'affrontement)
Ces deux choix sont bons.
Prenons maintenant le cas contraire: quelles sont les mauvaises options ?
- ne pas l'affronter en débat et lui chier dans le dos (lâcheté)
- venir en débat, et ne pas se battre (soumission)
PYR a choisi la deuxième option. Tant pis pour lui.
C'était un choix de tiède, le choix de quelqu'un qui fait les choses à moitié. Si on méprise on méprise vraiment, complètement et parfaitement: On ne va même pas en débat.
Le choix du mépris complet est parfaitement acceptable dans certain cas. Par exemple il est justifié en face de la gauche, parce que les gauchistes sont vraiment en dessous de tout, ils ne méritent pas qu'on les prenne au sérieux. De mon point de vue c'est le meilleur choix. Mais un tel choix doit être fait jusqu'au bout, si on choisit de les mépriser, il est exclu de débattre avec eux.
Face à Bégaudeau il y a deux solutions
- ne pas feed , auquel cas on ne vas tout simplement pas débattre avec lui (choix du mépris complet)
- Accepter le débat, auquel cas il faut venir pour l'éclater à toutes les phrases (choix de l'affrontement)
Ces deux choix sont bons.
Prenons maintenant le cas contraire: quelles sont les mauvaises options ?
- ne pas l'affronter en débat et lui chier dans le dos (lâcheté)
- venir en débat, et ne pas se battre (soumission)
PYR a choisi la deuxième option. Tant pis pour lui.
C'était un choix de tiède, le choix de quelqu'un qui fait les choses à moitié. Si on méprise on méprise vraiment, complètement et parfaitement: On ne va même pas en débat.
Le choix du mépris complet est parfaitement acceptable dans certain cas. Par exemple il est justifié en face de la gauche, parce que les gauchistes sont vraiment en dessous de tout, ils ne méritent pas qu'on les prenne au sérieux. De mon point de vue c'est le meilleur choix. Mais un tel choix doit être fait jusqu'au bout, si on choisit de les mépriser, il est exclu de débattre avec eux.
Coucou Bardella, j'espère que tu lis attentivement mon vdd
Au plaisir ~
il y a un an
J'ai vu le débat, le problème est que PYR n assume aucunes idées venu de la droite que dans d'autres interviews il soutient : grand remplacement, wokisme etc. Voir il attaque carrément ces idées !
Et a chaque fois que Begaudeau donnait son avis il était d'accord avec lui.
PYR n a pas sa place à droite, à moins qu'il ait le syndrome de Stockholm
Et a chaque fois que Begaudeau donnait son avis il était d'accord avec lui.
PYR n a pas sa place à droite, à moins qu'il ait le syndrome de Stockholm
il y a un an
Valles
1 an
J'ai vu le débat, le problème est que PYR n assume aucunes idées venu de la droite que dans d'autres interviews il soutient : grand remplacement, wokisme etc. Voir il attaque carrément ces idées !
Et a chaque fois que Begaudeau donnait son avis il était d'accord avec lui.
PYR n a pas sa place à droite, à moins qu'il ait le syndrome de Stockholm
Et a chaque fois que Begaudeau donnait son avis il était d'accord avec lui.
PYR n a pas sa place à droite, à moins qu'il ait le syndrome de Stockholm
Il essaye de dépasser le clivage gauche-droite. Mais il reste quand même à droite, parce qu'il a des idées incompatibles avec le dogmatisme de la gauche. Il dit le mot "trahison" par exemple
Au plaisir ~
il y a un an