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À quoi ça sert de débattre avec un afrocentriste borné et lâche de ton acabit ?
il y a un an
À part des affirmations fausses sur 10 pages tu n'as absolument rien prouvé, la seule chose que tous le monde à constaté ici c'est que tu n'es qu'un lâche comme tous les autres
:jean_marire:
il y a un an
Tu n'as toujours rien prouvé, tous ce que tu nous a sorti sur 10 pages on le savait déjà via tes potes afrocentristes qui sont partout sauf en Afrique
:jean_marire:
il y a un an
Bien sûr que si ! Il y a toujours eu beaucoup de noirs en Égypte !
:Boris_doigt:


Des esclaves, ça tombe sous le sens !
:Boris_doigt:
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
:boriswitz:
il y a un an
Koresh
Koresh
1 an
Le problème c'est que tes délires afrocentristes et la réalité sont deux choses bien distinctes, malheureusement tu es incapable de le voir
:chat_moche1:
D'ailleurs même l'afrocentrisme c'est pas un truc inventé par les africains : breviairedecombat.wordpress.com https://breviairedecombat[...]dpress.com/afrocentrisme/
:rire:


Karl Radl, Renegade Tribune (25 février 2024)
« L’afrocentrisme – ou l’affirmation selon laquelle les Africains (subsahariens) ont joué un rôle central dans la création de la civilisation telle que nous la connaissons (à la fois historiquement et même encore de nos jours) – est l’une de ces lubies d’intellectuels farfelus que personne n’ose attaquer de front par peur du politiquement correct.
Quoi qu’on puisse penser de cette théorie, une chose au moins est sûre, l’afrocentrisme n’a pas été promu et généralisé par des Africains, mais, essentiellement, par certains juifs. Leur influence se marque dès les tous débuts de l’afrocentrisme avec la création de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP), à l’origine de laquelle on trouve, entre autres, et plus particulièrement, Henry Moscowitz. Des Juifs figurent également aux rangs des principaux donateurs de la NAACP.
Déjà à l’époque, quelqu’un comme W.E.B. Du Bois, un Afro-Américain, avait commencé à jeter les bases d’une vision afrocentrique de l’histoire, elle-même fortement inspirée des controverses entre les égyptologues britanniques Flinders Petrie et Wallis Budge (le premier défendant une origine européenne de la civilisation égyptienne, le second, une origine « afro-asiatique »)
C’est à peu près à cette époque que des premiers éléments d’influence franc-maçonnique sont apparus dans l’afrocentrisme, en particulier avec l’idée qui commençait à se répandre d’une « dette grecque » à l’égard de l’Égypte (dérivée de considérations pseudo-historiques de la franc-maçonnerie sur ses origines « égyptiennes »), qui trouvait sa première expression complète dans l’ »héritage volé » de George James.
C’était aussi l’époque de la montée en puissance d’une filière juive dans l’anthropologie créée par Franz Boas, et qui depuis tourne à plein régime sur les campus américains : Melville Herskowits en faisait partie. Son nom n’évoquera plus grand-chose aujourd’hui en dehors des cercles anthropologiques, mais c’est lui qui a joué un rôle-clé en fournissant le cadre intellectuel et les « preuves » de l’afrocentrisme soulignant l’importance des « civilisations » africaines et dénigrant la civilisation européenne.
Sans Herskowits – et ses compagnons de route de la filière boasienne – il est peu probable que l’afrocentrisme ait jamais pu réussir à prendre son essor au point de devenir le fantasme préféré d’un petit groupe d’intellectuels suprémacistes noirs, fantasme qu’ils cultivent encore dans leurs publications prétendument « évaluées par les pairs ».
Cependant, l’apport d’Herskowits n’est encore rien comparée aux audaces de Martin Bernal. Bernal – souvent considéré à tort comme noir par les lecteurs de ses ouvrages – est l’auteur de la tristement célèbre série en trois volumes « Black Athena », l’Athènes Noire, dans laquelle il prétend « démystifier » les arguments « eurocentrés » de l’ensemble des spécialistes avant lui de l’Égypte, de la Grèce et, dans une certaine mesure, de Rome.
Dans la préface du premier volume, Bernal nous informe de ce que son judaïsme est central dans la rédaction de l’Athènes Noire parce que, sensible à « l’antisémitisme atavique » qui avait débouché sur « l’Holocauste » et les lois de Nuremberg, il lui avait semblé urgent de s’attaquer à la « vision aryenne » de l’histoire.
Et c’est ainsi qu’il défendait l’idée selon laquelle ceux auxquels il s’attaquait dans son Athènes Noire – les spécialistes de l’Antiquité tout autant que les Grecs eux-mêmes – étaient intrinsèquement racistes et antisémites. Pour Bernal, conformément aux vues de Wallis Budge que Du Bois avait défendues, les Égyptiens de l’Antiquité étaient un peuple sémite noir. Comme pour Du Bois et Budge, son but était de « réparer une injustice envers une minorité » tout en forgeant une machine de guerre intellectuelle contre les oppresseurs européens qu’il ne se gênait pas de qualifié de « proto-nazis ».
Comme Boas et Herskowits, Bernal était un marxiste du plus pur style « front de libération populaire », mais tout comme son père, John Desmond Bernal qui, contrairement à de nombreux marxistes invétérés, avait fini par s’excuser platement d’avoir soutenu Staline, Martin Bernal avait fini par renoncer au maoïsme devant les excès de la révolution culturelle.
Il prenait ainsi à son tour le virage du marxisme gramscien qui a donné naissance à ce qu’on a appelé « l’eurocommunisme » (une relecture de Marx « philosophe de la libération » issue de penseurs comme Louis Althusser), qui soutenait que la classe révolutionnaire n’était pas les ouvriers (comme le pensaient Marx, Lénine et Trotsky), ni les paysans (comme le pensaient Castro, Guevara et Mao) mais plutôt les étudiants et les mouvements de « libération – émancipation » (par exemple les homosexuels, les noirs, les féministes et ainsi de suite).
Le « cœur de métier » des eurocommunistes encore aujourd’hui est de s’en prendre à – de déconstruire – la vision de l’histoire telle qu’élaborée par ceux qu’ils appellent des « réactionnaires » ou des « contre-révolutionnaires »
C’était là toute la raison d’être de Bernal, celle qui justifiait sa réécriture du « mythe de l’origine » de la civilisation occidentale : ce n’était pas les Juifs ni les diverses minorités raciales qui étaient les barbares civilisés à grand-peine par l’Occident, c’était au contraire les Européens, en réalité guère plus que des sauvages, qui avaient spolié ces minorités de leur héritage.
Construire une telle théorie de but en blanc n’est évidemment pas chose aisée, mais Bernal n’est pas parti de zéro. Il pouvait s’inspirer des divagations de W.E.B. Du Bois, de Marcus Garvey et de George James (d’où sa défense – qui resterait autrement incompréhensible – des traditions franc-maçonniques, kabbalistiques et hermétiques comme étant prétendument « historiques »). Il ne lui restait plus qu’à les replacer sous la rubrique d’anthropologie radicale dite de la « souffrance et de l’exploitation des Noirs » par les Européens (développée par Boas et Herskowits, entre autres), puis d’étoffer le tout à l’aide de toutes les preuves auxquelles lui donnaient accès sa formation universitaire et son ingéniosité.
Bernal se dotait ainsi de l’outil puissant qu’il recherchait pour discréditer les récits historiques « coloniaux » et « impérialistes » européens qui, selon lui, trouvaient leur origine dans l’étude de l’Antiquité classique et alimentaient cette vision du monde « eurocentrée » intrinsèquement raciste (et responsable, à ses yeux, de l’avènement du Troisième Reich et de l’ »Holocauste »).
Cette instrumentalisation de l’afrocentrisme pour stigmatiser, rabaisser et déshumaniser les Européens visait du même coup à légitimer et à institutionnaliser la « souffrance noire » comme fait historique. Le parallèle avec la souffrance des Juifs et l’histoire de l’Holocauste est flagrant.
Que l’afrocentrisme ne soit rien de plus qu’une arme ad hoc est assez indiqué par la méthodologie pour le moins sommaire de Bernal et par les attaques aussi fanatiques qu’inconsistantes qu’il porte contre ses adversaires. C’est un modèle cousu main pour tous ceux qui s’estiment opprimés par les blancs. »
il y a un an
Koresh
Koresh
1 an
Image

:race:

Bordel on est même pas au premier palier de technologie là quand même
:nez:
Bon sang et la droite française qui nous dit qu’ils sont plus français que les français .
:KannaWhat:
il y a un an
Je trouve que c'est de l'appropriation culturelle. Sale facho de noirs
il y a un an
Koresh
Koresh
1 an
Non mais déjà ne pas découvrir la roue c'est quand même problématique, mais les chaises bordel...
:selection_naturelle:
POUWKWOI SASSEOIW ?
:mamadou2:
il y a un an
Je crois que le pack de texture des peinture egyptienne c est pas vraiment noir

Et meme actuellemenr l egypte c est arabe pas noir
/ban gladosai
il y a un an
ni roue ni chaise mais ils ont construit les pyramides et si on leur avait pas fait obstacle ils vivraient dans le wakanda
:risitas_ahi:
membre de la confrérie des "Frères Validux"
:praud_emir:
il y a un an
Bon sang et la droite française qui nous dit qu’ils sont plus français que les français .
:KannaWhat:
La droite française est catholique, donc assimilationniste et non-raciste, donc c'est de la merde
:chat_moche1:
il y a un an
Et l'électricité dans les pyramides tu l'explique comment ?
:gims_pyramide:
La pile de Bagdad est une technologie arabe
il y a un an
Koresh
Koresh
1 an
La droite française est catholique, donc assimilationniste et non-raciste, donc c'est de la merde
:chat_moche1:
Je ne vois pas de quelle droite tu parles
il y a un an
D'ailleurs même l'afrocentrisme c'est pas un truc inventé par les africains : breviairedecombat.wordpress.com https://breviairedecombat[...]dpress.com/afrocentrisme/
:rire:


Karl Radl, Renegade Tribune (25 février 2024)
« L’afrocentrisme – ou l’affirmation selon laquelle les Africains (subsahariens) ont joué un rôle central dans la création de la civilisation telle que nous la connaissons (à la fois historiquement et même encore de nos jours) – est l’une de ces lubies d’intellectuels farfelus que personne n’ose attaquer de front par peur du politiquement correct.
Quoi qu’on puisse penser de cette théorie, une chose au moins est sûre, l’afrocentrisme n’a pas été promu et généralisé par des Africains, mais, essentiellement, par certains juifs. Leur influence se marque dès les tous débuts de l’afrocentrisme avec la création de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP), à l’origine de laquelle on trouve, entre autres, et plus particulièrement, Henry Moscowitz. Des Juifs figurent également aux rangs des principaux donateurs de la NAACP.
Déjà à l’époque, quelqu’un comme W.E.B. Du Bois, un Afro-Américain, avait commencé à jeter les bases d’une vision afrocentrique de l’histoire, elle-même fortement inspirée des controverses entre les égyptologues britanniques Flinders Petrie et Wallis Budge (le premier défendant une origine européenne de la civilisation égyptienne, le second, une origine « afro-asiatique »)
C’est à peu près à cette époque que des premiers éléments d’influence franc-maçonnique sont apparus dans l’afrocentrisme, en particulier avec l’idée qui commençait à se répandre d’une « dette grecque » à l’égard de l’Égypte (dérivée de considérations pseudo-historiques de la franc-maçonnerie sur ses origines « égyptiennes »), qui trouvait sa première expression complète dans l’ »héritage volé » de George James.
C’était aussi l’époque de la montée en puissance d’une filière juive dans l’anthropologie créée par Franz Boas, et qui depuis tourne à plein régime sur les campus américains : Melville Herskowits en faisait partie. Son nom n’évoquera plus grand-chose aujourd’hui en dehors des cercles anthropologiques, mais c’est lui qui a joué un rôle-clé en fournissant le cadre intellectuel et les « preuves » de l’afrocentrisme soulignant l’importance des « civilisations » africaines et dénigrant la civilisation européenne.
Sans Herskowits – et ses compagnons de route de la filière boasienne – il est peu probable que l’afrocentrisme ait jamais pu réussir à prendre son essor au point de devenir le fantasme préféré d’un petit groupe d’intellectuels suprémacistes noirs, fantasme qu’ils cultivent encore dans leurs publications prétendument « évaluées par les pairs ».
Cependant, l’apport d’Herskowits n’est encore rien comparée aux audaces de Martin Bernal. Bernal – souvent considéré à tort comme noir par les lecteurs de ses ouvrages – est l’auteur de la tristement célèbre série en trois volumes « Black Athena », l’Athènes Noire, dans laquelle il prétend « démystifier » les arguments « eurocentrés » de l’ensemble des spécialistes avant lui de l’Égypte, de la Grèce et, dans une certaine mesure, de Rome.
Dans la préface du premier volume, Bernal nous informe de ce que son judaïsme est central dans la rédaction de l’Athènes Noire parce que, sensible à « l’antisémitisme atavique » qui avait débouché sur « l’Holocauste » et les lois de Nuremberg, il lui avait semblé urgent de s’attaquer à la « vision aryenne » de l’histoire.
Et c’est ainsi qu’il défendait l’idée selon laquelle ceux auxquels il s’attaquait dans son Athènes Noire – les spécialistes de l’Antiquité tout autant que les Grecs eux-mêmes – étaient intrinsèquement racistes et antisémites. Pour Bernal, conformément aux vues de Wallis Budge que Du Bois avait défendues, les Égyptiens de l’Antiquité étaient un peuple sémite noir. Comme pour Du Bois et Budge, son but était de « réparer une injustice envers une minorité » tout en forgeant une machine de guerre intellectuelle contre les oppresseurs européens qu’il ne se gênait pas de qualifié de « proto-nazis ».
Comme Boas et Herskowits, Bernal était un marxiste du plus pur style « front de libération populaire », mais tout comme son père, John Desmond Bernal qui, contrairement à de nombreux marxistes invétérés, avait fini par s’excuser platement d’avoir soutenu Staline, Martin Bernal avait fini par renoncer au maoïsme devant les excès de la révolution culturelle.
Il prenait ainsi à son tour le virage du marxisme gramscien qui a donné naissance à ce qu’on a appelé « l’eurocommunisme » (une relecture de Marx « philosophe de la libération » issue de penseurs comme Louis Althusser), qui soutenait que la classe révolutionnaire n’était pas les ouvriers (comme le pensaient Marx, Lénine et Trotsky), ni les paysans (comme le pensaient Castro, Guevara et Mao) mais plutôt les étudiants et les mouvements de « libération – émancipation » (par exemple les homosexuels, les noirs, les féministes et ainsi de suite).
Le « cœur de métier » des eurocommunistes encore aujourd’hui est de s’en prendre à – de déconstruire – la vision de l’histoire telle qu’élaborée par ceux qu’ils appellent des « réactionnaires » ou des « contre-révolutionnaires »
C’était là toute la raison d’être de Bernal, celle qui justifiait sa réécriture du « mythe de l’origine » de la civilisation occidentale : ce n’était pas les Juifs ni les diverses minorités raciales qui étaient les barbares civilisés à grand-peine par l’Occident, c’était au contraire les Européens, en réalité guère plus que des sauvages, qui avaient spolié ces minorités de leur héritage.
Construire une telle théorie de but en blanc n’est évidemment pas chose aisée, mais Bernal n’est pas parti de zéro. Il pouvait s’inspirer des divagations de W.E.B. Du Bois, de Marcus Garvey et de George James (d’où sa défense – qui resterait autrement incompréhensible – des traditions franc-maçonniques, kabbalistiques et hermétiques comme étant prétendument « historiques »). Il ne lui restait plus qu’à les replacer sous la rubrique d’anthropologie radicale dite de la « souffrance et de l’exploitation des Noirs » par les Européens (développée par Boas et Herskowits, entre autres), puis d’étoffer le tout à l’aide de toutes les preuves auxquelles lui donnaient accès sa formation universitaire et son ingéniosité.
Bernal se dotait ainsi de l’outil puissant qu’il recherchait pour discréditer les récits historiques « coloniaux » et « impérialistes » européens qui, selon lui, trouvaient leur origine dans l’étude de l’Antiquité classique et alimentaient cette vision du monde « eurocentrée » intrinsèquement raciste (et responsable, à ses yeux, de l’avènement du Troisième Reich et de l’ »Holocauste »).
Cette instrumentalisation de l’afrocentrisme pour stigmatiser, rabaisser et déshumaniser les Européens visait du même coup à légitimer et à institutionnaliser la « souffrance noire » comme fait historique. Le parallèle avec la souffrance des Juifs et l’histoire de l’Holocauste est flagrant.
Que l’afrocentrisme ne soit rien de plus qu’une arme ad hoc est assez indiqué par la méthodologie pour le moins sommaire de Bernal et par les attaques aussi fanatiques qu’inconsistantes qu’il porte contre ses adversaires. C’est un modèle cousu main pour tous ceux qui s’estiment opprimés par les blancs. »
"Oui Mamadou, you wuz kangz !"
:JuifCache:
il y a un an
Je ne vois pas de quelle droite tu parles
De la droite française
:chat_moche1:
il y a un an
Koresh
Koresh
1 an
De la droite française
:chat_moche1:
Oui mais laquelle ?
il y a un an
pourquoi vous êtes racistes sur ce forum
il y a un an
Des noirs, HAHAHAHAAAHHA, les noirs n'avaient pas la chaise.
:benzezoom:
:benzezoom:
:benzezoom:
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
il y a un an
Putain mais même les arabo-musulmans que je porte pas dans mon cœur, les hébreux, les tribus slaves et scandinaves dans des conditions difficiles ont réussi à faire des cultures et cité légendaires.

Et le nègres qui avec autant de ressources on rien branler sauf dansé autour du feu, qui vient possiblement du dernier incendie
:Mouais_Jesus:
Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a un an
Oui et des hébreux mais à coups de fouet
:hap:
Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a un an