Ce sujet a été résolu
Bon on se capte après mon bain, faites de même pour certain(e)s

𝓥𝓪𝓻𝓲𝓮 𝓮𝓷 𝓭𝓸𝓾𝓵𝓮𝓾𝓻𝓼 𝓼𝓮𝓵𝓸𝓷 𝓵𝓮𝓼 𝓮́𝓺𝓾𝓲𝓷𝓸𝔁𝓮𝓼
il y a un an
2m² mais arachides à volonté, tu as le droit à une araignée de compagnie
Pfffffffffffffffffffffffffffff
il y a un an
Y'a même une des gargouilles qui a uje relation amoureuse avec la chèvre d'Esmeralda



Je suis le donut du forum
il y a un an
Quasimodo était né borgne, bossu, boiteux. C’est à grande peine et à grande patience que Claude Frollo était parvenu à lui apprendre à parler. Mais une fatalité était attachée au pauvre enfant trouvé. Sonneur de Notre-Dame à quatorze ans, une nouvelle infirmité était venue le parfaire ; les cloches lui avaient brisé le tympan, il était devenu sourd. La seule porte que la nature lui eût laissée toute grande ouverte sur le monde s’était brusquement fermée à jamais.
En se fermant, elle intercepta l’unique rayon de joie et de lumière, qui pénétrât encore dans l’âme de Quasimodo. Cette âme tomba dans une nuit profonde. La mélancolie du misérable devint incurable et complète comme sa difformité. Ajoutons que sa surdité le rendit en quelque façon muet. Car, pour ne pas donner à rire aux autres, du moment où il se vit sourd, il se détermina résolument à un silence qu’il ne rompait guère que lorsqu’il était seul. Il lia volontairement cette langue que Claude Frollo avait eu tant de peine à délier. De là il advenait que, quand la nécessité le contraignait de parler, sa langue était engourdie, maladroite, et comme une porte dont les gonds sont rouillés.
Il est certain que l’esprit s’atrophie dans un corps manqué. Quasimodo sentait à peine se mouvoir aveuglément au dedans de lui une âme faite à son image. Les impressions des objets subissaient une réfraction considérable avant d’arriver à sa pensée. Son cerveau était un milieu particulier ; les idées qui le traversaient en sortaient toutes tordues. La réflexion qui provenait de cette réfraction était nécessairement divergente et déviée.
De là mille illusions d’optique, mille aberrations de jugement, mille écarts où divaguait sa pensée, tantôt folle, tantôt idiote.
Le premier effet de cette fatale organisation, c’était de troubler le regard qu’il jetait sur les choses. Il n’en recevait presque aucune perception immédiate. Le monde extérieur lui semblait beaucoup plus loin qu’à nous.
Le second effet de son malheur, c’était de le rendre méchant.
Il était méchant en effet, parce qu’il était sauvage ; il était sauvage parce qu’il était laid. Il y avait une logique dans sa nature comme dans la nôtre.
Sa force, si extraordinairement développée, était une cause de plus de méchanceté. Malus puer robustus, dit Hobbes.
vous en thinkez what ?

il y a un an
"Bien qu’elle affiche depuis le début un dégoût certain pour La Rocaille, Djali fait finalement le choix de céder à ses avances. À la cinquante-septième minute, la gargouille retente une nouvelle fois sa chance en offrant une rose à la chèvre. Dévorant la fleur, celle-ci fait les yeux doux à son courtisan à qui elle fait une petite léchouille sur la joue. En partant du principe que, dans la version originale, Djali est un bouc, le personnage affiche ainsi son amour pour La Rocaille et, de fait, révèle son homosexualité."
https://www.chroniquedisn[...]y.fr/perso/1996-djali.htm

Je suis le donut du forum
il y a un an
Le nombre de visage d'ange que je connais qui trompent leur meufs sans vergogne et ont toujours le pass "visage d'ange" malgré tout...
il y a un an