[Officiel] Le blabla des Onchois et des Sardinonches

Je n'aboie pas et à vrai dire je ne suis même pas dans le rapport de force. J'essaie simplement de t'expliquer qu'on est tous différent et que si Narbonneau est plus fragile ou susceptible que la moyenne ce n'est pas une raison pour enfoncer le clou. Inutile d'être sur la défensive

non mais c'est vrai pardon désolé il vaut mieux continuer de rester dans la bienveillance tout en étant le plus gentil et hypocrite possible puis c'est bien mieux de se plaindre et de se complaire dans la médiocrité comme une fiotte sans avoir la moindre once de second degrés

Ça pue le cul le comté ou pas ? M'en rappelle plus

Et le fromage de bitent ?

ok pardon désolé

Oh oui s'il te plaît insulte moi de grosse fiotte anxieuse PITIÉ

Et que ça ne se reproduise plus

(Je plaisante si jamais)

Oh tu sais parfois certains arrivent à s’auto détruire juste en postant

Toi tu l'es pas du tout hypocrite l'homme rayon ou alors tu caches très bien ton jeu

non tu as raison je me suis emporté c'est mon côté harceleur je dois me battre contre moi même pour réussir à le contrôler

c'est fragi sous secondaire

Non mais il est odorant ou pas ? m'en souvient plus

alors ça c'est super secret hihihihi

enfin les bonnes questions

un petit peu sinon tu ne ferais pas ce genre de post

Cette question de Fujoshi.... Chaud en vrai

Aimer ou ne pas aimer des pseudos sur un forum...

sinon on va jouer à un petit jeu, si je poste cette photo (comprendra qui pourra), vous pensez que je fais ça parce que je suis un énorme fils de pute d'harceleur ou que je veux essayer de faire comprendre quelque chose à quelqu'un que j'apprécie dans l'ensemble

Au cas où tu n'aurais pas vu, derrière le pseudo, il y a aussi un homme... Un homme... Comme les autres...
Le pseudo, n'a t'il pas des yeux?
Le pseudo, n'a t'il pas des mains?...

Et si vous nous piquez, ne saignons nous pas? Et si vous nous chatouillez, ne rions nous pas?

Et si vous nous empoisonnez... NE MOURRONS NOUS PAAAAAAAAAS

Ce quelqu'un on est d'accord que c'est pas moi j'espère . . . . . .