Ce sujet a été résolu
Non c'est toujours la même logique de refuser leur identité
il y a un an
Non c'est justement pour les invisibiliser et les exclure
Longtemps on a interdit aux femmes de concourir à des sports
Longtemps on a interdit aux femmes de concourir à des sports
Bah si on supprime les catogories par sexe y'aura beaucoup moins de femmes qui auront des médailles dans le sport de haut niveau.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
Je suis le donut du forum
il y a un an
Si si c'est bien le rapport mais toi de toute façon les gens pourraient te chier dessus que tu serais d'accord
il y a un an
Bah si on supprime les catogories par sexe y'aura beaucoup moins de femmes qui auront des médailles dans le sport de haut niveau.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
Je me demande quelle connerie il va trouver à redire à ça
il y a un an
ah mes ancetres sont gallos romains , et du côté de ma mère, ça rigole pas du tout niveau école et éducation en côte d'ivoire , c'est niveau reglement du lycée stanislas las bas, d'ailleurs j'ai un cousin qui est maintenant au canada ; c'est pas le niveau des lycée public français, et non c'est pas tismey sucré
si ma coloc ferait le quart de ce qu'elle fait ici , elle se ferait détruire, non mais on parle d'une personne qui salit tellement un évier que des taches noires en sont incrustés et qui brule des casseroles
par contre pour stocker ses sachets de feuilles de je ne sais quoi qui puent dans le frigo la y'a du monde

si ma coloc ferait le quart de ce qu'elle fait ici , elle se ferait détruire, non mais on parle d'une personne qui salit tellement un évier que des taches noires en sont incrustés et qui brule des casseroles

par contre pour stocker ses sachets de feuilles de je ne sais quoi qui puent dans le frigo la y'a du monde

D'accord la renoi
il y a un an
Bah si on supprime les catogories par sexe y'aura beaucoup moins de femmes qui auront des médailles dans le sport de haut niveau.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
Parce qu'à part des sports où la force musculaire n'est un facteur critique comme le tir à l'arc, le tir, la voile, l'équitation j'ai peur qu'elles n'aient plus beaucoup de visibilité.
Et y'a des sports comme la gymnastique artistique(agrès différents) où les épreuves sont différentes selon qu'elles sont masculines ou féminines.
T'as peur de rien tu veux juste chier sur les trans
il y a un an
C'est pas une réponse quand elle lui demande de préciser il dit je sais pas
il y a un an
Pareil du coup j ai regardé plusieurs sources et elle a bien été interdite aux mondiaux de boxe car "possède des chromosomes XY"
Une femme peut dans des cas exceptionnels avoir un caryotype XY (dysgénésie gonadique, syndrome d'insensibilité total aux androgenes...), tu peux avoir une petite fille à la naissance (avec une vulve d'aspect "normal") mais à la puberté tu te rends compte qu'il y'a un souci (absence de règles et parfois de développement des caractères sexuels secondaires féminins).
Y'a aussi le déficit en 5-alpha réducteur qui empêche la conversion de la testostérone en dihydrotestosterone ( cette hormone permet la masculinisation des organes génitaux externes) donc ça fait un aspect de fille à la naissance mais à la puberté ça "devient un garçon spontanément " ce qu'on appelle "Guevedoce" en République dominicaine où le cas est fréquent (y'a le romann "Middlesex" où le personage principal a ça si ça t'intéresse).
Donc y'a des cas comme ça qui ne sont pas des femmes trans et il peut y'avoir dans le sport de haut niveau féminin parce qu'il peut y'avoir de très bonnes performances sportives dans ce genre de cas (notamment chez celles qui ont une hyperandrogénie comme Caster Semenya).
Y'a aussi le déficit en 5-alpha réducteur qui empêche la conversion de la testostérone en dihydrotestosterone ( cette hormone permet la masculinisation des organes génitaux externes) donc ça fait un aspect de fille à la naissance mais à la puberté ça "devient un garçon spontanément " ce qu'on appelle "Guevedoce" en République dominicaine où le cas est fréquent (y'a le romann "Middlesex" où le personage principal a ça si ça t'intéresse).
Donc y'a des cas comme ça qui ne sont pas des femmes trans et il peut y'avoir dans le sport de haut niveau féminin parce qu'il peut y'avoir de très bonnes performances sportives dans ce genre de cas (notamment chez celles qui ont une hyperandrogénie comme Caster Semenya).
Je suis le donut du forum
il y a un an
T'as peur de rien tu veux juste chier sur les trans
Bah non mais la question mérite de se poser au regard des différences de performances sportives entre hommes et femmes biologiques.
Je suis le donut du forum
il y a un an
Litaire qui écrit des pavés etc alors qu'au final c'est juste que les hommes sont des hommes, trans ou pas et que tout le reste n'est que maladie mentale de dégénéré
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais car même après 4 mois je reste le KING
il y a un an
Bah non mais la question mérite de se poser au regard des différences de performances sportives entre hommes et femmes biologiques.
Bah si lis cet article sur l'histoire des femmes dans les jo et el famoso test de féminité tu verras
https://usbeketrica.com/f[...]-categories-hommes-femmes
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
il y a un an
Jouhn_Ingroum
1 an
Litaire qui écrit des pavés etc alors qu'au final c'est juste que les hommes sont des hommes, trans ou pas et que tout le reste n'est que maladie mentale de dégénéré
C'est ça que tu penses litaire ?
il y a un an
En 1966, pour calmer les « soupçons » des médias et des dirigeants, le comité de la Fédération internationale d’athlétisme décide l’instauration d’un « test de féminité » dit test de Barr, du nom du généticien canadien M. L. Barr (1908–1995). Pratiqué sous l’égide des médecins, il est destiné à identifier les « vraies femmes » et, par là même, à exclure les athlètes qui ne seraient pas conformes à certains critères d’appartenance de sexe. Comme le souligne Le Monde à l’époque, ce test consiste à prélever, par frottements, les cellules de la région postérieure de la muqueuse buccale. « Ces cellules, lorsqu’elles proviennent d’un organisme (…) XX contiennent normalement des corpuscules particuliers, les corpuscules de Barr, que l’on peut facilement mettre en évidence par une coloration spéciale », écrit le quotidien en 1968.
Paradoxe qui ne manque pas de sel, grâce à ce dispositif supposé « neutre », certaines athlètes au physique considéré comme « masculin » obtiennent un certificat de féminité en bonne et due forme. À l’inverse, « d’autres athlètes répondant apparemment à tous les critères phénoménaux de la féminité sont (…) exclues de la compétition et doivent arrêter brutalement leur carrière, alors même que ce prétendu sexe authentique ne leur donne aucun avantage physique », apprend-on dans Catégorie dames. Critiqué pour son réductionnisme et sa faible fiabilité, le test est finalement abandonné en 1992
À partir des années 2000, il revient aux dosages hormonaux de trancher en cas de doute sur l’identité sexuée d’une concurrente. En 2009, la Fédération sud-africaine dépêche, sur ordre de l’IAAF, un gynécologue pour un prélèvement sanguin et un examen des parties génitales de la Caster Semenya, dont l’apparence est jugée « douteuse ». Après sa démonstration aux Mondiaux d’athlétisme de Berlin, l’IAAF ira jusqu’à conduire la Sud-Africaine dans un hôpital allemand pour un autre test de féminité plus poussé. Là encore sans fondement scientifique, comme l’a démontré, entre autres, Sheree Bekker, maître de conférences en santé au sein de l’université de Bath, en Angleterre.
« L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes, qui détermine si le corps d’une personne peut ou non utiliser cette testostérone », nous explique la co-directrice du groupe de réflexion Feminist Sport Lab, qui publiera un livre sur le sujet en 2025. Dit autrement : à ce jour, aucun consensus scientifique international sur les effets de la testostérone ou de l’hormonothérapie sur les performances n’a été établi.
Paradoxe qui ne manque pas de sel, grâce à ce dispositif supposé « neutre », certaines athlètes au physique considéré comme « masculin » obtiennent un certificat de féminité en bonne et due forme. À l’inverse, « d’autres athlètes répondant apparemment à tous les critères phénoménaux de la féminité sont (…) exclues de la compétition et doivent arrêter brutalement leur carrière, alors même que ce prétendu sexe authentique ne leur donne aucun avantage physique », apprend-on dans Catégorie dames. Critiqué pour son réductionnisme et sa faible fiabilité, le test est finalement abandonné en 1992
À partir des années 2000, il revient aux dosages hormonaux de trancher en cas de doute sur l’identité sexuée d’une concurrente. En 2009, la Fédération sud-africaine dépêche, sur ordre de l’IAAF, un gynécologue pour un prélèvement sanguin et un examen des parties génitales de la Caster Semenya, dont l’apparence est jugée « douteuse ». Après sa démonstration aux Mondiaux d’athlétisme de Berlin, l’IAAF ira jusqu’à conduire la Sud-Africaine dans un hôpital allemand pour un autre test de féminité plus poussé. Là encore sans fondement scientifique, comme l’a démontré, entre autres, Sheree Bekker, maître de conférences en santé au sein de l’université de Bath, en Angleterre.
« L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes, qui détermine si le corps d’une personne peut ou non utiliser cette testostérone », nous explique la co-directrice du groupe de réflexion Feminist Sport Lab, qui publiera un livre sur le sujet en 2025. Dit autrement : à ce jour, aucun consensus scientifique international sur les effets de la testostérone ou de l’hormonothérapie sur les performances n’a été établi.
il y a un an
C'est pas une réponse quand elle lui demande de préciser il dit je sais pas
si il dit "any jobs"
Maybe I just want to maybe...
il y a un an
si il dit "any jobs"
Oui oui c'est ça c'est toujours pas une réponse les journalistes se sont foutus de sa gueule
il y a un an
L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes
il y a un an






















