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Oui, et tu sembles être le seul d'un avis contraire alors explique moi comment tu fais pour te sentir bien dans une maison douillette ?
Parce que je me sens mal quand il fais 40° dehors et que j'ai pas la clim, c'est purement physiologique
:Lainbrise:
il y a 2 ans
Parce que je me sens mal quand il fais 40° dehors et que j'ai pas la clim, c'est purement physiologique
:Lainbrise:
Oui mais au moins tu te sens. T'as pas l'impression de ne plus rien sentir à long terme à force de t'isoler des aléas ?
il y a 2 ans
Quand t'as lu 2 lignes
il y a 2 ans
Schwab voudrait donc notre bien
:baek_circonspecte:
il y a 2 ans
Freya
Freya
2 ans
Schwab voudrait donc notre bien
:baek_circonspecte:
À quoi il aspire ?
il y a 2 ans
À quoi il aspire ?
"Vous ne posséderez rien et vous serez heureux"
:ahy3:
il y a 2 ans
Tu me sembles dépasser par les événements. La liberté n'est jamais un problème, surtout que c'est grâce à elle qu'on s'impose contraintes et discipline
il y a 2 ans
Freya
Freya
2 ans
"Vous ne posséderez rien et vous serez heureux"
:ahy3:
Jésus le disait aussi
il y a 2 ans
La contrainte est créative. Quand elle est imposée, il faut de la discipline, quand elle n'existe plus, il faut la choisir. À notre époque, nous n'avons plus de contraintes. Alors t'as beau vouloir être discipliné, moi Je finis par vaciller et m'endormir. Car il me faut des contraintes, que je trouve en vivant dehors
il y a 2 ans
Oui mais au moins tu te sens. T'as pas l'impression de ne plus rien sentir à long terme à force de t'isoler des aléas ?
Non je déteste ça, j'ai mal partout je transpire je suis fatigué etc
:Lainbrise:

T'aimes souffrir ? Ou te sentir comme tu dis
:hannahdroite:
il y a 2 ans
Non je déteste ça, j'ai mal partout je transpire je suis fatigué etc
:Lainbrise:

T'aimes souffrir ? Ou te sentir comme tu dis
:hannahdroite:
Oui. Je me sens vivant. Marcher sous la cagnard à la montagne, s'écrouler au bord de l'evanouissement au sommet du col, à l'ombre, crever la dalle et manger ses pâtes nature avec avidité, franchement je retrouve tellement d'intensité chaque jour, ça me rend si heureux
il y a 2 ans
Être vivant c'est sentir le sacré avant tout, pour certains ça passe par l'exploration, pour d'autres par le cloître. Le confort n'est un ennemi que tant qu'il n'est pas un ami, si tu deviens père tu seras content d'avoir une assurance de stabilité
:licker2feet_1:
il y a 2 ans
On a grandi la dedans, c'est pas possible de faire marche arrière.
En Afrique et dans les pays pauvre, ils savent pas ce que c'est le confort donc ça peut pas leur manquer.
il y a 2 ans
Moué

Après un weekend enter à m'agiter physiquement 6h par jour j'apprécie ma douche chaude.

Confort = repos, réparation, progrès du corps et de l'esprit. C'est le level up.

Le confort est l'ennemi des gens qui ne savent pas se discipliner.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
Sainte
Sainte
2 ans
Être vivant c'est sentir le sacré avant tout, pour certains ça passe par l'exploration, pour d'autres par le cloître. Le confort n'est un ennemi que tant qu'il n'est pas un ami, si tu deviens père tu seras content d'avoir une assurance de stabilité
:licker2feet_1:
Sainte, tu es la future mère de famille fidèle et religieuse, rationnelle, bien droite, bien de droite, un système intellectuel rigoureux. Moi je suis le futur clochard parfaitement chaotique, sans famille, blasphemateur qui couche avec quelques femmes ici et là, en transe sous la pluie devant une idée inconsciente et contradictoire
:Mouais_Jesus:


Jamais deux individus n'ont été plus opposés
:Mouais_Jesus:
il y a 2 ans
Avoir l'eau à volonté, l'eau chaude, la clim, des isolations, le chauffage, des canapés, des matelas, des divertissements, de la bouffe à volonté à 5 minutes à pied

Ça nous endort. Ça nous isole. Et vous en rêvez tous. Personne n'aspire à moins de confort. Moi, je ne sais pas vivre avec. Vivre deviens un effort. Vivre deviens un fardeau. Il faut à chaque instant faire l'effort de s'arracher au confort, au divertissement. Un combat épuisant. Faire du sport, de la musique, lire, sortir, voir du monde, écrire, ressentir, c'est tellement plus dur quand on est isolé dans une chambre coquette.

Je n'arrive à vivre que dehors. Tous les soirs, il n'y a plus que ma tente et un bivouac rudimentaire. Alors, je redécouvre le vent, la nuit, la vulnérabilité, je redeviens alerte. Le jour, je dois me repérer, avancer, il fait chaud, froid, il pleut. Des gens me parlent. Des visages me regardent. Je dois trouver de l'eau, de l'electricité et de la nourriture

C'est à ce moment là que je ne sens plus l'effort de vivre, quand je sors du confort pour le mettre dans le besoin comme un animal. La force de l'instinct se réveille, et je ressens de nouveau le monde. J'ai soif, j'ai faim, le paysage est magnifique. Le soleil décline, je n'y prêtais plus attention autrefois.

Dans le confort, je suis autosuffisant, je n'ai besoin de rien et de personne. Ça endort mon corps et mon esprit. Ça me rend malheureux. Fuir le confort est pour moi une nécessité. Quand je sens ma volonté faiblir tandis que je suis dans une situation confortable, je dors sur le sol ou bien sur la terrasse pour ressentir un sursaut d'inconfort. M'imposer des contraintes, ça me maintien en vie.

Je ne suis jamais autant vivant, sociable et exalté que lorsque je suis dehors, à marcher et faire du stop pour explorer du pays. Moins je possède, plus je suis heureux. Voyager en vélo m'a davantage isolé qu'à pied. Trop rapide, trop méfiant, trop encombrant, je n'étais pas tout à fait à mon aise

Comment arrivez vous à vivre dans le confort ?
"2. Conception spiritualiste

Aussi bien ne comprendrait-on pas le fascisme dans beaucoup de ses manifestations pratiques, soit comme organisation de parti, soit comme système d’éducation, soit comme discipline, si on ne le considérait en fonction de sa conception générale de la vie. Cette conception est spiritualiste (3). Pour le fascisme, le monde n’est pas ce monde matériel qui apparaît à la surface, où l’homme est un individu isolé de tous les autres, existant en soi et gouverné par une loi naturelle qui, instinctivement, le pousse à vivre une vie de plaisir égoïste et momentané. Dans ce qu’on appelle l’homme, le fascisme considère la nation et la patrie, les individus et les générations se trouvant unis, dans une même tradition et dans une même mission, par une loi morale qui supprime l’instinct de la vie maintenu dans le cercle étroit du plaisir, pour instaurer dans le devoir une vie supérieure, libérée des limites du temps et de l’espace : une vie où l’individu, par l’abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur d’homme."

"3. Conception positive de la Vie comme Lutte

Nous avons là une conception spiritualiste, née de la réaction générale du siècle présent contre le positivisme matérialiste et dégénéré du xixe siècle. Une telle conception est antipositiviste, mais positive : ni sceptique, ni agnostique, ni pessimiste, ni passivement optimiste, comme le sont généralement les doctrines (toutes négatives) qui placent le centre de la vie en dehors de l’homme qui, par sa libre volonté, peut et doit créer son monde. Le fascisme veut que l’homme soit actif et engagé dans l’action avec toutes ses énergies : virilement conscient des difficultés réelles et prêt à les braver. Il conçoit la vie comme une lutte (...)"

"4. Conception morale

Cette conception positive de la vie est évidemment une conception éthique. Elle englobe toute la réalité, aussi bien que l’activité humaine qui la domine. Aucune action n’échappe au jugement moral ; rien au monde ne peut être privé de la valeur qu’ont toutes choses en fonction des fins morales. La vie, par conséquent, telle que la conçoit le fasciste, est grave, austère, religieuse : elle est vécue tout entière dans un monde que soutiennent les forces morales et responsables de l’esprit. Le fasciste méprise la vie commode."

BENITO MUSSOLINI et Giovanni Gentile La Doctrine du Fascisme, IIIe ÉDITION, Firenze, 1938 XVI — Stab. Grafici A. Vallecchi, Viale del Mille, 72.
il y a 2 ans
Oui j’essaye de me renforcer petit à petit
il y a 2 ans
Moué

Après un weekend enter à m'agiter physiquement 6h par jour j'apprécie ma douche chaude.

Confort = repos, réparation, progrès du corps et de l'esprit. C'est le level up.

Le confort est l'ennemi des gens qui ne savent pas se discipliner.
J'entends beaucoup de marcheurs penser comme toi. Après 30 bornes et un sommet, ils sont bien contents de rentrer au chalet. Si j'avais eu un chalet, je n'en serais sorti qu'à reculons. Non, assurément, je suis bien content d'être sale sous ma tente après m'être vaguement baigné dans l'eau froide

En effet, le confort et l'indiscipline sont incompatibles
il y a 2 ans
Oui et non.

Tu peux avoir le confort est pas être faible/légume.
C’est pourquoi avec un foyer confortable en campagne c’est mieux je pense.
Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a 2 ans
"2. Conception spiritualiste

Aussi bien ne comprendrait-on pas le fascisme dans beaucoup de ses manifestations pratiques, soit comme organisation de parti, soit comme système d’éducation, soit comme discipline, si on ne le considérait en fonction de sa conception générale de la vie. Cette conception est spiritualiste (3). Pour le fascisme, le monde n’est pas ce monde matériel qui apparaît à la surface, où l’homme est un individu isolé de tous les autres, existant en soi et gouverné par une loi naturelle qui, instinctivement, le pousse à vivre une vie de plaisir égoïste et momentané. Dans ce qu’on appelle l’homme, le fascisme considère la nation et la patrie, les individus et les générations se trouvant unis, dans une même tradition et dans une même mission, par une loi morale qui supprime l’instinct de la vie maintenu dans le cercle étroit du plaisir, pour instaurer dans le devoir une vie supérieure, libérée des limites du temps et de l’espace : une vie où l’individu, par l’abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur d’homme."

"3. Conception positive de la Vie comme Lutte

Nous avons là une conception spiritualiste, née de la réaction générale du siècle présent contre le positivisme matérialiste et dégénéré du xixe siècle. Une telle conception est antipositiviste, mais positive : ni sceptique, ni agnostique, ni pessimiste, ni passivement optimiste, comme le sont généralement les doctrines (toutes négatives) qui placent le centre de la vie en dehors de l’homme qui, par sa libre volonté, peut et doit créer son monde. Le fascisme veut que l’homme soit actif et engagé dans l’action avec toutes ses énergies : virilement conscient des difficultés réelles et prêt à les braver. Il conçoit la vie comme une lutte (...)"

"4. Conception morale

Cette conception positive de la vie est évidemment une conception éthique. Elle englobe toute la réalité, aussi bien que l’activité humaine qui la domine. Aucune action n’échappe au jugement moral ; rien au monde ne peut être privé de la valeur qu’ont toutes choses en fonction des fins morales. La vie, par conséquent, telle que la conçoit le fasciste, est grave, austère, religieuse : elle est vécue tout entière dans un monde que soutiennent les forces morales et responsables de l’esprit. Le fasciste méprise la vie commode."

BENITO MUSSOLINI et Giovanni Gentile La Doctrine du Fascisme, IIIe ÉDITION, Firenze, 1938 XVI — Stab. Grafici A. Vallecchi, Viale del Mille, 72.
:malade:
il y a 2 ans