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La France contre les robots de Bernanos. 80 pages de redpill écrites en 45.
Sinon Imperium de Parker Yockey, mais il coûte cher et elle ira jamais au bout.
Sinon Imperium de Parker Yockey, mais il coûte cher et elle ira jamais au bout.
il y a 2 ans
Les Deux Étendards de Lucien Rebatet, par exemple ?
Tu l'as lu ? C'est bien ? C'est quoi les intuitions profondes de Rebatet dans ce roman ?
il y a 2 ans
Fantasio
2 ans
La France contre les robots de Bernanos. 80 pages de redpill écrites en 45.
Sinon Imperium de Parker Yockey, mais il coûte cher et elle ira jamais au bout.
Sinon Imperium de Parker Yockey, mais il coûte cher et elle ira jamais au bout.
La France contre les robots ça a l'air ouf, les extraits sur wiki sont god tier
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Tu l'as lu ? C'est bien ? C'est quoi les intuitions profondes de Rebatet dans ce roman ?
Pas lu je préfère les allemands. Mais je l'ai cité parce qu'il y a une opposition claire entre catholique et (), des questions surement très intéressantes sont posées dans le livre malgré le fait que l'auteur ne soit pas pro chrétien. Et ce n'est pas un livre à charge, donc ok pour une nana paumée. (Par contre il faudrait éviter qu'elle tape son nom sur google)
il y a 2 ans
Pas lu je préfère les allemands. Mais je l'ai cité parce qu'il y a une opposition claire entre catholique et (), des questions surement très intéressantes sont posées dans le livre malgré le fait que l'auteur ne soit pas pro chrétien. Et ce n'est pas un livre à charge, donc ok pour une nana paumée. (Par contre il faudrait éviter qu'elle tape son nom sur google)
Faut arrêter avec les allemands c'est pas si bien que ça
il y a 2 ans
Faut arrêter avec les allemands c'est pas si bien que ça
Wie bitte ?
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
La France contre les robots ça a l'air ouf, les extraits sur wiki sont god tier
"Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats.
Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte.
« Que risquez-vous ? Que vous importe d’être instantanément reconnu, grâce au moyen le plus simple et le plus infaillible ? Le criminel seul trouve avantage à se cacher… »
En ce temps-là, le procédé […] n’était en effet redoutable qu’au criminel, et il en est de même encore maintenant. C’est le mot de criminel dont le sens s’est prodigieusement élargi, jusqu’à désigner tout citoyen peu favorable au Régime, au Système, au Parti, ou à l’homme qui les incarne.
L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne.
Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée."
"[…] nous supporterions volontiers d’être esclaves, pourvu que personne ne puisse se vanter de l’être moins que nous. Les privilèges nous font peur, parce qu’il en est de plus ou moins précieux. Mais l’homme d’autrefois les eût volontiers comparés aux vêtements qui nous préservent du froid. Chaque privilège était une protection contre l’État. Un vêtement peut être plus ou moins élégant, plus ou moins chaud, mais il est encore préférable d’être vêtu de haillons que d’aller tout nu. Le citoyen moderne, lorsque ses privilèges auront été confisqués jusqu’au dernier, y compris le plus bas, le plus vulgaire, le moins utile de tous, celui de l’argent, ira tout nu devant ses maîtres. "
"Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. Car, en dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. La Barbarie, d’ailleurs, multipliant les ruines qu’elle était incapable de réparer, le désordre finissait par s’arrêter de lui-même, faute d’aliment, ainsi qu’un gigantesque incendie. Au lieu que la civilisation actuelle est parfaitement capable de reconstruire à mesure tout ce qu’elle jette par terre, et avec une rapidité croissante. Elle est donc sûre de poursuivre presque indéfiniment ses expériences et ses expériences se feront de plus en plus monstrueuses…"
Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte.
« Que risquez-vous ? Que vous importe d’être instantanément reconnu, grâce au moyen le plus simple et le plus infaillible ? Le criminel seul trouve avantage à se cacher… »
En ce temps-là, le procédé […] n’était en effet redoutable qu’au criminel, et il en est de même encore maintenant. C’est le mot de criminel dont le sens s’est prodigieusement élargi, jusqu’à désigner tout citoyen peu favorable au Régime, au Système, au Parti, ou à l’homme qui les incarne.
L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne.
Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée."
"[…] nous supporterions volontiers d’être esclaves, pourvu que personne ne puisse se vanter de l’être moins que nous. Les privilèges nous font peur, parce qu’il en est de plus ou moins précieux. Mais l’homme d’autrefois les eût volontiers comparés aux vêtements qui nous préservent du froid. Chaque privilège était une protection contre l’État. Un vêtement peut être plus ou moins élégant, plus ou moins chaud, mais il est encore préférable d’être vêtu de haillons que d’aller tout nu. Le citoyen moderne, lorsque ses privilèges auront été confisqués jusqu’au dernier, y compris le plus bas, le plus vulgaire, le moins utile de tous, celui de l’argent, ira tout nu devant ses maîtres. "
"Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. Car, en dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. La Barbarie, d’ailleurs, multipliant les ruines qu’elle était incapable de réparer, le désordre finissait par s’arrêter de lui-même, faute d’aliment, ainsi qu’un gigantesque incendie. Au lieu que la civilisation actuelle est parfaitement capable de reconstruire à mesure tout ce qu’elle jette par terre, et avec une rapidité croissante. Elle est donc sûre de poursuivre presque indéfiniment ses expériences et ses expériences se feront de plus en plus monstrueuses…"
il y a 2 ans
Wie bitte ?
Sainte a gardé le vieux nationalisme franchouillard dépassé depuis un siècle
il y a 2 ans
Wie bitte ?
Sinon je recommande le grand classique Les deux patries de Jean de Viguerie que tout le monde devrait avoir lu
(ici en pdf :
https://archive.org/detai[...]n-de-les-deux-patries-pdf (ne vous fiez pas à la quatrième de couverture le contenu est beaucoup plus intéressant))
(ici en pdf :
il y a 2 ans
"Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats.
Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte.
« Que risquez-vous ? Que vous importe d’être instantanément reconnu, grâce au moyen le plus simple et le plus infaillible ? Le criminel seul trouve avantage à se cacher… »
En ce temps-là, le procédé […] n’était en effet redoutable qu’au criminel, et il en est de même encore maintenant. C’est le mot de criminel dont le sens s’est prodigieusement élargi, jusqu’à désigner tout citoyen peu favorable au Régime, au Système, au Parti, ou à l’homme qui les incarne.
L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne.
Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée."
"[…] nous supporterions volontiers d’être esclaves, pourvu que personne ne puisse se vanter de l’être moins que nous. Les privilèges nous font peur, parce qu’il en est de plus ou moins précieux. Mais l’homme d’autrefois les eût volontiers comparés aux vêtements qui nous préservent du froid. Chaque privilège était une protection contre l’État. Un vêtement peut être plus ou moins élégant, plus ou moins chaud, mais il est encore préférable d’être vêtu de haillons que d’aller tout nu. Le citoyen moderne, lorsque ses privilèges auront été confisqués jusqu’au dernier, y compris le plus bas, le plus vulgaire, le moins utile de tous, celui de l’argent, ira tout nu devant ses maîtres. "
"Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. Car, en dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. La Barbarie, d’ailleurs, multipliant les ruines qu’elle était incapable de réparer, le désordre finissait par s’arrêter de lui-même, faute d’aliment, ainsi qu’un gigantesque incendie. Au lieu que la civilisation actuelle est parfaitement capable de reconstruire à mesure tout ce qu’elle jette par terre, et avec une rapidité croissante. Elle est donc sûre de poursuivre presque indéfiniment ses expériences et ses expériences se feront de plus en plus monstrueuses…"
Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte.
« Que risquez-vous ? Que vous importe d’être instantanément reconnu, grâce au moyen le plus simple et le plus infaillible ? Le criminel seul trouve avantage à se cacher… »
En ce temps-là, le procédé […] n’était en effet redoutable qu’au criminel, et il en est de même encore maintenant. C’est le mot de criminel dont le sens s’est prodigieusement élargi, jusqu’à désigner tout citoyen peu favorable au Régime, au Système, au Parti, ou à l’homme qui les incarne.
L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne.
Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée."
"[…] nous supporterions volontiers d’être esclaves, pourvu que personne ne puisse se vanter de l’être moins que nous. Les privilèges nous font peur, parce qu’il en est de plus ou moins précieux. Mais l’homme d’autrefois les eût volontiers comparés aux vêtements qui nous préservent du froid. Chaque privilège était une protection contre l’État. Un vêtement peut être plus ou moins élégant, plus ou moins chaud, mais il est encore préférable d’être vêtu de haillons que d’aller tout nu. Le citoyen moderne, lorsque ses privilèges auront été confisqués jusqu’au dernier, y compris le plus bas, le plus vulgaire, le moins utile de tous, celui de l’argent, ira tout nu devant ses maîtres. "
"Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. Car, en dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. La Barbarie, d’ailleurs, multipliant les ruines qu’elle était incapable de réparer, le désordre finissait par s’arrêter de lui-même, faute d’aliment, ainsi qu’un gigantesque incendie. Au lieu que la civilisation actuelle est parfaitement capable de reconstruire à mesure tout ce qu’elle jette par terre, et avec une rapidité croissante. Elle est donc sûre de poursuivre presque indéfiniment ses expériences et ses expériences se feront de plus en plus monstrueuses…"
Mais c'est que ça part directement dans ma liste de lectures ça mon bon monsieur
Si t'as d'autres ref de cette qualitax sur n'importe quel sujet je suis preneur kheyou
Si t'as d'autres ref de cette qualitax sur n'importe quel sujet je suis preneur kheyou
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Mais c'est que ça part directement dans ma liste de lectures ça mon bon monsieur
Si t'as d'autres ref de cette qualitax sur n'importe quel sujet je suis preneur kheyou
Si t'as d'autres ref de cette qualitax sur n'importe quel sujet je suis preneur kheyou
C'était ma meilleure suggestion.
il y a 2 ans
C'était ma meilleure suggestion.
Imperium je viens de voir que c'était la suite de Spengler, que j'ai lu et adoré
Il a l'air trop bien aussi
Il a l'air trop bien aussi
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Sinon je recommande le grand classique Les deux patries de Jean de Viguerie que tout le monde devrait avoir lu
(ici en pdf :
https://archive.org/detai[...]n-de-les-deux-patries-pdf (ne vous fiez pas à la quatrième de couverture le contenu est beaucoup plus intéressant))
(ici en pdf :
Tu peux détailler un peu ?
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Tu peux détailler un peu ?
Jean de Viguerie fait une sociologie de la "modernité" politique à travers l'évolution de le notion de patrie et ce qu'elle implique anthropologiquement et socialement. Il fait débuter la centralisation du pouvoir vers l'absolutisme à Philippe le Bel qui commence à organiser le royaume contre la féodalité traditionnelle, et de là il étudie le cosmopolitisme, le rapport du politique au religieux, le jacobinisme, la guerre moderne, le statut de l'individu et plein d'autres choses sous ce prisme
il y a 2 ans
Jean de Viguerie fait une sociologie de la "modernité" politique à travers l'évolution de le notion de patrie et ce qu'elle implique anthropologiquement et socialement. Il fait débuter la centralisation du pouvoir vers l'absolutisme à Philippe le Bel qui commence à organiser le royaume contre la féodalité traditionnelle, et de là il étudie le cosmopolitisme, le rapport du politique au religieux, le jacobinisme, la guerre moderne, le statut de l'individu et plein d'autres choses sous ce prisme
ça a l'air pas mal
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
ça a l'air pas mal
Pour toi oui, mais la femme en question va y comprendre quelque chose ?
il y a 2 ans
ça a l'air pas mal
Quand on l'a lu on commence à reculer indéfiniment loin le début de la modernité, y'a celui un peu naïf qui a pris un petite redpill et qui la fait commencer au XXème siècle, celui qui a lu un peu d'histoire et qui la fait remonter à 1789, celui qui la fait remonter à Descartes, celui qui la fait remonter à Philippe le Bel, celui qui la fait remonter à saint Thomas d'Aquin, celui qui la fait remonter à la réforme grégorienne, celui qui la fait remonter à la chute de l'empire romain, celui qui la fait remonter à Aristote et celui qui dit qu'elle est inscrite depuis toujours dans la pensée et le société humaines
il y a 2 ans
Pour toi oui, mais la femme en question va y comprendre quelque chose ?
Aucune idée
Y'a qu'un seul moyen de savoir
Y'a qu'un seul moyen de savoir
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Quand on l'a lu on commence à reculer indéfiniment loin le début de la modernité, y'a celui un peu naïf qui a pris un petite redpill et qui la fait commencer au XXème siècle, celui qui a lu un peu d'histoire et qui la fait remonter à 1789, celui qui la fait remonter à Descartes, celui qui la fait remonter à Philippe le Bel, celui qui la fait remonter à saint Thomas d'Aquin, celui qui la fait remonter à la réforme grégorienne, celui qui la fait remonter à la chute de l'empire romain, celui qui la fait remonter à Aristote et celui qui dit qu'elle est inscrite depuis toujours dans la pensée et le société humaines
J'en étais à philippe le bel perso
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans