Ce sujet a été résolu
Je ne vois pas pourquoi la bonté serait un trait purement humain, je comprends le Bien comme un principe absolu, transcendant et objectif, et même Platon qu'on ne peut pas accuser de christianisme l'avait senti (j'envoie ce papier à tout le monde en ce moment
https://www.erudit.org/fr[...]2-n2-ltp1452/014280ar.pdf). Le Bien se situe au même niveau que le Vrai, le Beau et le Sens, dans l'ordre des principes absolus, ça n'a pas plus de sens de dire que prétendre Dieu bon c'est l'anthropomorphiser que de dire que prétendre que Dieu est l'Être c'est l'anthropomorphiser
Oui Platon que vous avez plagié est d'accord avec vous, j'en suis stupéfait
Hors blague j'ai un exemple simple : tu connais la trimurti non ? Elle indique 3 types de dieux (création, préservation, destruction) qui ensemble forment brahma, l'absolu ultime non-duel. Ici est directement placé ce que tu appellerais mal (la destruction) que même rang que les deux autres. Il n'y a pas de bien universel, car le bien est un concept que l'on doit mesurer en fonction de quel yuga on se trouve. Les méthodes d'ascension spirituelles fluctuent aussi même si le principe visé reste le même.
Le christianisme ne fait pas ça. Dieu est bon et il ne peut pas être autrement. Même cas pour les méthodes : la voie de la main gauche est rejetée
Hors blague j'ai un exemple simple : tu connais la trimurti non ? Elle indique 3 types de dieux (création, préservation, destruction) qui ensemble forment brahma, l'absolu ultime non-duel. Ici est directement placé ce que tu appellerais mal (la destruction) que même rang que les deux autres. Il n'y a pas de bien universel, car le bien est un concept que l'on doit mesurer en fonction de quel yuga on se trouve. Les méthodes d'ascension spirituelles fluctuent aussi même si le principe visé reste le même.
Le christianisme ne fait pas ça. Dieu est bon et il ne peut pas être autrement. Même cas pour les méthodes : la voie de la main gauche est rejetée
il y a 2 ans
Oui Platon que vous avez plagié est d'accord avec vous, j'en suis stupéfait
Hors blague j'ai un exemple simple : tu connais la trimurti non ? Elle indique 3 types de dieux (création, préservation, destruction) qui ensemble forment brahma, l'absolu ultime non-duel. Ici est directement placé ce que tu appellerais mal (la destruction) que même rang que les deux autres. Il n'y a pas de bien universel, car le bien est un concept que l'on doit mesurer en fonction de quel yuga on se trouve. Les méthodes d'ascension spirituelles fluctuent aussi même si le principe visé reste le même.
Le christianisme ne fait pas ça. Dieu est bon et il ne peut pas être autrement. Même cas pour les méthodes : la voie de la main gauche est rejetée
Hors blague j'ai un exemple simple : tu connais la trimurti non ? Elle indique 3 types de dieux (création, préservation, destruction) qui ensemble forment brahma, l'absolu ultime non-duel. Ici est directement placé ce que tu appellerais mal (la destruction) que même rang que les deux autres. Il n'y a pas de bien universel, car le bien est un concept que l'on doit mesurer en fonction de quel yuga on se trouve. Les méthodes d'ascension spirituelles fluctuent aussi même si le principe visé reste le même.
Le christianisme ne fait pas ça. Dieu est bon et il ne peut pas être autrement. Même cas pour les méthodes : la voie de la main gauche est rejetée
Il ne peut pas en être autrement parce que le Bien c'est l'Être même. Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
il y a 2 ans
Je n'aurais pas dû employer le terme anthropomorphiser néanmoins, je veux bien te le concéder
il y a 2 ans
Il ne peut pas en être autrement parce que le Bien c'est l'Être même. Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
>Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien et du Mal ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
il y a 2 ans
Il ne peut pas en être autrement parce que le Bien c'est l'Être même. Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
Pour qu'il y ait un bien particulier il faut qu'il y ait un Bien en Soi, ce qui n'implique pas que toutes les manifestations particulières du Bien soient identiques, ce qui les relie c'est simplement qu'elles se comprennent relativement à leur principe absolu
Je ne suis pas non plus contre l'idée d'un bien en soi, tant que tu admets que son opposé bénéficie de la même importance
il y a 2 ans
>Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien et du Mal ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
Le mal n'est pas un principe, c'est une absence de principe. Il n'y a pas de mal en soi, tout possède sa parcelle d'Être
il y a 2 ans
>Un Dieu qui ne serait pas le Souverain Bien et du Mal ne mériterait pas le nom de Dieu parce qu'il ne serait pas le principe absolu et transcendant et la finalité absolue et transcendante de toute chose.
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
Là je serais d'accord avec toi Sainte
Le seigneur des deux natures
Dieu c'est le bien, le mal c'est s'éloigner de Dieu. Seul le bien est substantiel
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Dieu c'est le bien, le mal c'est s'éloigner de Dieu. Seul le bien est substantiel
Exactement tu as dit le bon mot : il n'y a pas de substance du mal
il y a 2 ans
Le mal n'est pas un principe, c'est une absence de principe. Il n'y a pas de mal en soi, tout possède sa parcelle d'Être
Le mal et le bien sont tous deux des possibilités pour l'être de faire sa manifestation. Heidegger a changé sa graphie pour Seyn afin justement d'échapper à ce jeu tordu qui nous enferme dans la dualité être/non-être
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
il y a 2 ans
Le mal et le bien sont tous deux des possibilités pour l'être de faire sa manifestation. Heidegger a changé sa graphie pour Seyn afin justement d'échapper à ce jeu tordu qui nous enferme dans la dualité être/non-être
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
Pour moi le mal n'est pas une manifestation de l'Être, et je ne vois pas où est le problème là-dedans, d'un point de vue principiel ça me parait de bon sens
Heidegger à force de réduire la structure de la manifestation à néant se contente de rendre l'Être pulvérulent et vide de sens, pour sauver le sens il faut qu'il y ait un principe unique et transcendant du sacré qui ne se sape pas en contenant en lui-même toute opposition
Heidegger à force de réduire la structure de la manifestation à néant se contente de rendre l'Être pulvérulent et vide de sens, pour sauver le sens il faut qu'il y ait un principe unique et transcendant du sacré qui ne se sape pas en contenant en lui-même toute opposition
il y a 2 ans
Le mal et le bien sont tous deux des possibilités pour l'être de faire sa manifestation. Heidegger a changé sa graphie pour Seyn afin justement d'échapper à ce jeu tordu qui nous enferme dans la dualité être/non-être
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
même cas pour sacré/profane ---> Heilige
La lumière c'est un photon. C'est quelque chose. Les ténèbres c'est l'absence de photon. Ce n'est pas un être mais un non être. Ce n'est pas une substance. Le bien et le mal c'est pareil
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
Pour moi le mal n'est pas une manifestation de l'Être, et je ne vois pas où est le problème là-dedans, d'un point de vue principiel ça me parait de bon sens
Heidegger à force de réduire la structure de la manifestation à néant se contente de rendre l'Être pulvérulent et vide de sens, pour sauver le sens il faut qu'il y ait un principe unique et transcendant du sacré qui ne se sape pas en contenant en lui-même toute opposition
Heidegger à force de réduire la structure de la manifestation à néant se contente de rendre l'Être pulvérulent et vide de sens, pour sauver le sens il faut qu'il y ait un principe unique et transcendant du sacré qui ne se sape pas en contenant en lui-même toute opposition
Le bon sens est l'argument des sophistes
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
il y a 2 ans
Le bon sens est l'argument des sophistes
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
Le grand tout cosmique en dépasse certains plus que d'autres
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans
La lumière c'est un photon. C'est quelque chose. Les ténèbres c'est l'absence de photon. Ce n'est pas un être mais un non être. Ce n'est pas une substance. Le bien et le mal c'est pareil
J'usais de la même métaphore du temps où je regardais beyblade métal fusion à la tv
il y a 2 ans
Le grand tout cosmique en dépasse certains plus que d'autres
J'ai pas compris ce que tu insinues
il y a 2 ans
Le bon sens est l'argument des sophistes
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
En bref : tu places le bien et l'être à égalité parce que ta conception de Dieu vient de la religion chrétienne qui le conçoit comme amour, tandis que me concernant je place le bien et le mal (qui ne sont que relatifs) comme des possibilités que seulement nous humains interprétons comme tel alors qu'en réalité cela fait partie du grand tout cosmique qui nous dépasse
J'identifie le Bien et l'Être parce que l'identification des deux en un principe transcendant me parait nécessaire pour conserver le Sens que je trouve évident. Si j'absorbe toute la potentialité universelle dans un même principe ultime, quelque part, je rend tout isotrope et je prive tout de la possibilité même d'une axiologie, d'une téléologie, et donc d'un Sens. Je transforme l'Être en poussière
il y a 2 ans
J'ai pas compris ce que tu insinues
Et ce faisant tu tends à confirmer mes propos
Je dis ça en toute amitié bien sûr
Je dis ça en toute amitié bien sûr
Celui qui prétend être dans la lumière tout en haïssant son frère est encore dans les ténèbres
il y a 2 ans