Ce sujet a été résolu
T envisage de faire quoi ?
Me foutre en l'air que me reste-il d'autre ?
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Je n'étais pas prêt à vivre mon anniversaire seul dans ce contexte et je ne le suis toujours pas pour les fêtes de fin d'années qui s’annoncent : Dans quel état serai-je à faire le bilan de cette année et à me projeter dans la suivante ? Je le sais bien.
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
il y a 2 ans
Me foutre en l'air que me reste-il d'autre ?
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Je n'étais pas prêt à vivre mon anniversaire seul dans ce contexte et je ne le suis toujours pas pour les fêtes de fin d'années qui s’annoncent : Dans quel état serai-je à faire le bilan de cette année et à me projeter dans la suivante ? Je le sais bien.
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
il y a 2 ans
Courage et ta règle ton problème de harcèlement ?
Merci khey pour ton soutien ça me fait du bien.
Comme vous m'avez conseiller j'ai ignoré ses messages depuis et en effet je m'en porte mieux.
Je compte toujours porter plainte nonobstant il est hors de question de me laisser trainer dans la boue !
Ça va prendre du temps de tout réunir, d'autres urgences plus importantes ont prit mon temps comme ma mutuelle, mes assurances, la succession de la voiture, mon dentiste, ma santé, mon revenu. Mon moral ...
Comme vous m'avez conseiller j'ai ignoré ses messages depuis et en effet je m'en porte mieux.
Je compte toujours porter plainte nonobstant il est hors de question de me laisser trainer dans la boue !
il y a 2 ans
Non j'ai trouvé le courage pour tout ça je trouverais bien le courage pour vivre le quart de ce que mon père a vécu, avant ça ma mère.
Comme je l'ai dit quelques secondes de souffrances ne vaudront rien face à ces mois de douleur, c'est peut-être pêché mais si ton Dieu n'est pas capable de le comprendre alors il n'est pas omnipotent
Comme je l'ai dit quelques secondes de souffrances ne vaudront rien face à ces mois de douleur, c'est peut-être pêché mais si ton Dieu n'est pas capable de le comprendre alors il n'est pas omnipotent
il y a 2 ans
Je suis prêt pour la final boss
N'est-ce pas le libre-arbitre que vous promouvez ?

N'est-ce pas le libre-arbitre que vous promouvez ?
il y a 2 ans
Cauchemar sur cauchemar avant de me réveiller trop tôt même dormir est devenu difficile :/
il y a 2 ans







