Ce sujet a été résolu
Je n'ai de toute façon ni la force d'attendre ni celle d'entamer un parcours de santé pour mon physique et mon mental
il y a 2 ans
Gonath
2 ans
Mes excuses d'avance de faire l'AW, sur JVC je me fais censuré en parlant de ce sujet je ne vois pas d'autre endroit où demander conseil ...
Les mots me manquent alors allons au plus simple: je pense au suicide chaque soir depuis quelques semaines sans qu'il n'y ait du mieux.
Le contexte j'en ai déjà parler ici il y'a quelques mois sur un précédent topic (
https://onche.org/topic/2[...]-feriez-vous-a-ma-place/1) qu'importe
Je ne supporte plus la solitude subie depuis 9 mois bientôt jour après jour ni mes peines & regrets grandissants hors de ma portée depuis une année, aujourd'hui ils sont devenus simplement insupportables à vivre. L'autre point que je ne supporte plus est le fait de passer mes journées à ne connaître que de la paperasse, des appels, des démarches sans ne connaitre autre chose.
Cette journée fût comme les précédentes à me lever pour être à la tâche et me coucher sans n'avoir vu personne, à vivre ces tâches avec ces peines insupportables. Ce week-end sera comme les précédents à rester chez moi sans sortie, sans moments heureux, sans soirée, sans rien, à trouver le sens qui n'est plus de commencer une nouvelle semaine dans cet état de fait.
Ce n'est plus une vie et je souhaite mettre fin à ce quotidien.
J'ai tout essayé, tout les onchois tout.
Le sport s'est révélé insuffisant voir inutile dans ma situation, j'ai vu un psychiatre et entamé un traitement il y'a un an sur trois mois.
Récemment j'ai arrêter de fumer le shit une énième fois, sans que cela ne change rien bien au contraire.
La cigarette elle cela fait deux ans que j'ai entamé une démarche d'arrêt via la clope électronique, sans véritable succès car je finis par les faire tomber et les casser. Maintenant arrêter la cigarette dans un tel contexte en étant seul est littéralement impossible cela me fera plonger, pourtant voilà j'ai des problèmes de santé qui se manifestent de nouveau depuis un mois ce qui pourrit un peu plus mon quotidien déjà bien difficile.
Aujourd'hui j'ai appelé le CMP afin de renouveler ma démarche entamée en Décembre dernier auprès d'une psychiatre, alors à l'époque depuis la rentrée j'étais entré en dépression suite à une déception amoureuse arrivant dans le pire des contextes. Cela n'a qu'empirer mois après mois jusqu'à aujourd'hui : J'ai tenu pour mon père malade et pour organiser/effectuer les funérailles, les démarches, le vide de l'appartement de mes parents ainsi que mon relogement. En Ete je refusais mon entrée en Master suite à une situation toujours pas stabilisée et une succession à devoir terminer (La voiture de mon père, toute une histoire entre les réparations et les contre-temps qui ne sont pas de mon fait) 5 mois sans revenus vont bientôt se clore avec mon premier versement du RSA prévu début Décembre, cela ne changera rien à la souffrance que j'éprouve jour après jour bien à l'inverse le Master m'aurait permis de voir du monde et d'avoir un quotidien complètement différent.
La mort de mon dernier parent et le refus de ce Master, je le vois comme la condamnation de mon avenir définitif
Le maximum qu'ils puissent me proposer est un rendez-vous dans 3 mois !!! Cela m'a mit une claque, la précédente fois c'était un mois. L'autre solution qu'on m'a proposé : Appeler SOS Suicide si ça va pas, c'est pas une blague. La date qui m'angoisse est celle des fêtes de fin d'année que je vivrai seul, que je ne veux pas vivre seul ... je pensais alors être pris en charge avant mais il n'en sera rien
C'est une énième mauvaise nouvelle que je connais qui ajoute du désespoir sur une situation désespérante, à vrai dire c'était ma seule lueur d'espoir qu'il me restait la seule
Aujourd'hui il me faut avoir la force que je n'ai plus pour m'occuper de la vente de la voiture & de tout ce qui tourne autour, puis avant tout la force de continuer à vivre. Depuis 9 mois mes semaines ce n'est que ça : Vivre des journées intensives sans repos ou moments heureux en connaissant en parallèle des mauvaises nouvelles ou des peines supplémentaires, j'en viens au bout de ce que j'ai pu supporté en une année.
Mon propos est complètement déconstruit je n'ai plus les mots.
Pour nuancer j'aimerais apporter une touche de positif, c'est que j'ai connu quelques moments plus heureux que je peux certes compter sur les doigts de mes deux mains mais qui m'ont été essentiels pour tenir jusqu'alors : Mes amis je ne peux les voir souvent alors c'est toujours un plaisir que de les revoir. J'ai tout autant apprécié revoir le père d'un ami que je n'avais plus vu depuis 5 ans le temps d'une soirée avec eux, louant mon courage & mon combat ... tout comme la mère d'un autre ami récemment : Ces paroles ont été très rares en 9 mois IRL, ces moments ont été trop rares.
Mon propos est complètement déconstruit je m'en excuse, je n'ai plus les mots ni la force d'écrire seule demeure l'envie de mettre fin à ce calvaire qui a duré trop de mois supplémentaires
Vous pouvez me poser des questions si vous le souhaitez ou si vous ne comprenez pas tout.
J'ai conscience qu'en parler ici n'est pas la meilleure des idées et que vous n'êtes pas en situation de m'aider, simplement c'est tout ce qu'il me reste à ma portée aujourd'hui.
Peut-être que certains ici sont passés par ce que je vis en ce-moment ? Peut-être que certains ont un bon tips à donner ou un produit à conseiller pour tout oublier ? Je me sens impuissant
Les mots me manquent alors allons au plus simple: je pense au suicide chaque soir depuis quelques semaines sans qu'il n'y ait du mieux.
Le contexte j'en ai déjà parler ici il y'a quelques mois sur un précédent topic (
Je ne supporte plus la solitude subie depuis 9 mois bientôt jour après jour ni mes peines & regrets grandissants hors de ma portée depuis une année, aujourd'hui ils sont devenus simplement insupportables à vivre. L'autre point que je ne supporte plus est le fait de passer mes journées à ne connaître que de la paperasse, des appels, des démarches sans ne connaitre autre chose.
Cette journée fût comme les précédentes à me lever pour être à la tâche et me coucher sans n'avoir vu personne, à vivre ces tâches avec ces peines insupportables. Ce week-end sera comme les précédents à rester chez moi sans sortie, sans moments heureux, sans soirée, sans rien, à trouver le sens qui n'est plus de commencer une nouvelle semaine dans cet état de fait.
Ce n'est plus une vie et je souhaite mettre fin à ce quotidien.
J'ai tout essayé, tout les onchois tout.
Le sport s'est révélé insuffisant voir inutile dans ma situation, j'ai vu un psychiatre et entamé un traitement il y'a un an sur trois mois.
Récemment j'ai arrêter de fumer le shit une énième fois, sans que cela ne change rien bien au contraire.
La cigarette elle cela fait deux ans que j'ai entamé une démarche d'arrêt via la clope électronique, sans véritable succès car je finis par les faire tomber et les casser. Maintenant arrêter la cigarette dans un tel contexte en étant seul est littéralement impossible cela me fera plonger, pourtant voilà j'ai des problèmes de santé qui se manifestent de nouveau depuis un mois ce qui pourrit un peu plus mon quotidien déjà bien difficile.
Aujourd'hui j'ai appelé le CMP afin de renouveler ma démarche entamée en Décembre dernier auprès d'une psychiatre, alors à l'époque depuis la rentrée j'étais entré en dépression suite à une déception amoureuse arrivant dans le pire des contextes. Cela n'a qu'empirer mois après mois jusqu'à aujourd'hui : J'ai tenu pour mon père malade et pour organiser/effectuer les funérailles, les démarches, le vide de l'appartement de mes parents ainsi que mon relogement. En Ete je refusais mon entrée en Master suite à une situation toujours pas stabilisée et une succession à devoir terminer (La voiture de mon père, toute une histoire entre les réparations et les contre-temps qui ne sont pas de mon fait) 5 mois sans revenus vont bientôt se clore avec mon premier versement du RSA prévu début Décembre, cela ne changera rien à la souffrance que j'éprouve jour après jour bien à l'inverse le Master m'aurait permis de voir du monde et d'avoir un quotidien complètement différent.
La mort de mon dernier parent et le refus de ce Master, je le vois comme la condamnation de mon avenir définitif

C'est une énième mauvaise nouvelle que je connais qui ajoute du désespoir sur une situation désespérante, à vrai dire c'était ma seule lueur d'espoir qu'il me restait la seule
Aujourd'hui il me faut avoir la force que je n'ai plus pour m'occuper de la vente de la voiture & de tout ce qui tourne autour, puis avant tout la force de continuer à vivre. Depuis 9 mois mes semaines ce n'est que ça : Vivre des journées intensives sans repos ou moments heureux en connaissant en parallèle des mauvaises nouvelles ou des peines supplémentaires, j'en viens au bout de ce que j'ai pu supporté en une année.
Mon propos est complètement déconstruit je n'ai plus les mots.
Pour nuancer j'aimerais apporter une touche de positif, c'est que j'ai connu quelques moments plus heureux que je peux certes compter sur les doigts de mes deux mains mais qui m'ont été essentiels pour tenir jusqu'alors : Mes amis je ne peux les voir souvent alors c'est toujours un plaisir que de les revoir. J'ai tout autant apprécié revoir le père d'un ami que je n'avais plus vu depuis 5 ans le temps d'une soirée avec eux, louant mon courage & mon combat ... tout comme la mère d'un autre ami récemment : Ces paroles ont été très rares en 9 mois IRL, ces moments ont été trop rares.
Mon propos est complètement déconstruit je m'en excuse, je n'ai plus les mots ni la force d'écrire seule demeure l'envie de mettre fin à ce calvaire qui a duré trop de mois supplémentaires

Vous pouvez me poser des questions si vous le souhaitez ou si vous ne comprenez pas tout.
J'ai conscience qu'en parler ici n'est pas la meilleure des idées et que vous n'êtes pas en situation de m'aider, simplement c'est tout ce qu'il me reste à ma portée aujourd'hui.
Peut-être que certains ici sont passés par ce que je vis en ce-moment ? Peut-être que certains ont un bon tips à donner ou un produit à conseiller pour tout oublier ? Je me sens impuissant
Khey franchement j'avais je t'avais déjà dis mais va consulter ya rien de mal et il t'aidera peut être
il y a 2 ans
Khey franchement j'avais je t'avais déjà dis mais va consulter ya rien de mal et il t'aidera peut être
Je n'ai plus la force d'attendre 3 mois dans ces conditions c'est trop loin beaucoup trop loin
il y a 2 ans
Je n'ai plus la force d'attendre 3 mois dans ces conditions c'est trop loin beaucoup trop loin
il y a 2 ans
T envisage de faire quoi ?
Me foutre en l'air que me reste-il d'autre ?
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Je n'étais pas prêt à vivre mon anniversaire seul dans ce contexte et je ne le suis toujours pas pour les fêtes de fin d'années qui s’annoncent : Dans quel état serai-je à faire le bilan de cette année et à me projeter dans la suivante ? Je le sais bien.
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?

Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
il y a 2 ans
Me foutre en l'air que me reste-il d'autre ?
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?
Je n'étais pas prêt à vivre mon anniversaire seul dans ce contexte et je ne le suis toujours pas pour les fêtes de fin d'années qui s’annoncent : Dans quel état serai-je à faire le bilan de cette année et à me projeter dans la suivante ? Je le sais bien.
Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
Vous le dites bien parfois on ne peut rien y faire, moi non plus en fait.
Le décès de mon père aussi triste que cela soit aussi difficile qu'il soit à accepter aussi lourds en conséquences qu'il soit c'était une échéance inévitable à laquelle je n'ai eu d'autres choix que de me préparer.
Je l'ai vécu 11 onze avant je savais ce que c'était j'étais donc prêt à le revivre, prêt à le soutenir, prêt à gérer tout le post-mortem, prêt à devoir me reloger, prêt à devoir faire face à une montagne de dépenses. Je n'ai pas choisi ma formation au hasard ma bourse d'étude m'a été utile pour payer mes loyers là-bas, pour me nourrir, etc ...
A l'inverse je n'étais pas prêt à être seul chez-moi le soir le premier jour où mon père est parti après +24 heures à l'hôpital, je pensais que l'une de mes sœurs serait rester avec moi mais elles sont reparties chez elle se consoler avec leur copain (ce que je comprends au fond). A partir de ce jour j'ai du batailler seul dans mon appartement familial, dans ces ruines, dans une situation dès plus angoissantes dans une vie sans ne savoir de quoi serait fait demain sans un seul sou. Je pensais qu'à l'enterrement quelqu'un me serrerait dans ses bras mais c'est mes sœurs qui étaient dans les bras de leur copain, mes tantes qui étaient dans les bras de leur mari donc oui j'ai retenu mes larmes. Au repas qui a suivi je pensais encore que quelqu'un resterait avec moi le soir mais chaque invité est parti un à un jusqu'à que je sois de nouveau seul avec mon chat dans ces ruines
A l'heure actuelle j'aurais dû réussir mon concours et être en coloc' avec mon ami à Lille, revoir mes connaissances de la Prépa, faire des soirées tisser des liens pour le futur. Le but était de traverser cette épreuve tout en m'assurant une porte de sortie désormais définitivement close. Cela se voyait venir que j'allais échouer à la vue de l'année que j'ai passé, d'autant plus lorsque mon père est parti 20 jours avant mon concours c'était perdu d'avance et en ce-sens je comprends enfin les dernières paroles de mon père : Même si je l'aurais réussi, ce concours, je n'aurais pu partir avec la succession.
Restait alors mon Master auquel j'étais accepté, ma seconde chance ... qui n'est plus et qui se révélait impossible pour les mêmes raisons. Je n'étais pas prêt à vivre 5 mois sans revenus sans que cela ne soit de mon fait je tiens à le préciser et en ce sens heureusement que mon père fût prévoyant, toucher le RSA ne changera rien à mon chagrin.
Je n'étais pas prêt à être seul plus longtemps. Cela fait 9 mois que c'est comme ça, n'est-ce pas normal que je n'en peuve plus d'être seul du matin jusqu'au soir à être à la tâche depuis lors sans ne pouvoir connaitre de moments heureux en compagnie ?

Ce que je vis aujourd'hui ce n'était pas prévu et je n'étais pas prêt
Je n'étais pas non plus prêt à devoir traverser de nouvelles peines dont je ne suis pas l'auteur, pas prêt à connaitre autant de galères supplémentaires suite à mon emménagement. Ce n'est pas ma liberté, ce n'est pas la conséquence de choix de vies que j'aurais fait par le passé, ce n'est pas de mon fait cette situation et pourtant il me faut la vivre si intensément dans la tristesse sans ne jamais devoir abandonner sinon c'est la fin car je n'ai plus mes parents et que je suis désormais seul sur le navire de ma vie
Cette tristesse m'empêche de prendre plaisir dans quoi que ce soit quel que soit l'activité j'ai tout essayé tout. Je ne veux pas devenir alcoolique, je ne veux pas continuer à m'acheter des plaquettes, je ne veux pas continuer à fumer la cigarette, je veux vivre serein dans une situation stable en bonne santé c'est tout
La seule liberté qu'il me reste est d'y mettre fin une bonne fois pour toutes, c'est le seul choix qu'il m'est possible et la seule solution que je vois pour mettre un terme à ce cauchemar :/ Mais voilà j'en ai pas le courage.
il y a 2 ans
Courage et ta règle ton problème de harcèlement ?
Merci khey pour ton soutien ça me fait du bien.
Comme vous m'avez conseiller j'ai ignoré ses messages depuis et en effet je m'en porte mieux.
Je compte toujours porter plainte nonobstant il est hors de question de me laisser trainer dans la boue !
Ça va prendre du temps de tout réunir, d'autres urgences plus importantes ont prit mon temps comme ma mutuelle, mes assurances, la succession de la voiture, mon dentiste, ma santé, mon revenu. Mon moral ...
Comme vous m'avez conseiller j'ai ignoré ses messages depuis et en effet je m'en porte mieux.
Je compte toujours porter plainte nonobstant il est hors de question de me laisser trainer dans la boue !

il y a 2 ans
Non j'ai trouvé le courage pour tout ça je trouverais bien le courage pour vivre le quart de ce que mon père a vécu, avant ça ma mère.
Comme je l'ai dit quelques secondes de souffrances ne vaudront rien face à ces mois de douleur, c'est peut-être pêché mais si ton Dieu n'est pas capable de le comprendre alors il n'est pas omnipotent
Comme je l'ai dit quelques secondes de souffrances ne vaudront rien face à ces mois de douleur, c'est peut-être pêché mais si ton Dieu n'est pas capable de le comprendre alors il n'est pas omnipotent
il y a 2 ans
Je suis prêt pour la final boss
N'est-ce pas le libre-arbitre que vous promouvez ?

N'est-ce pas le libre-arbitre que vous promouvez ?
il y a 2 ans
Cauchemar sur cauchemar avant de me réveiller trop tôt même dormir est devenu difficile :/
il y a 2 ans