Ce sujet a été résolu
Voiture054
2 ans
Noire, elle apprend que son grand-père n'est autre que Amon Göth, un terrible nazi :
"Quatre semaines après sa naissance, Jennifer est placée dans un orphelinat, puis adoptée à sept ans. Elle ne verra plus sa mère biologique qu'une fois, à l'âge de vingt ans. Son père ? Un étudiant nigérian de passage en Bavière. Lorsqu'elle découvre à la bibliothèque de Hambourg le livre intitulé Il faut bien que j'aime mon père, non ?, subitement, tout fait sens. Les photos, les dates de naissance, les références coïncident. Le récit est bien celui de sa mère biologique, Monika Hertwig, avec laquelle elle a perdu contact. "
Photo de comparaison fille/grand-père :
Amon Göth fut incarné au cinéma dans le fameux film "La Liste de Shindler" où on le voit commettre de terribles forfaits :
femme parfaite :BLLSourire:
DVX MEA LR – EST et RESTERA
il y a 2 ans
Un "terrible nazi"
Ah il y a des nazi pas terribles ?
Ah il y a des nazi pas terribles ?
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 2 ans
Comme si Wikipédia allait dire la vérité sur ce paisible bureaucrate qui n'a jamais tué personne de sa vie.
il y a 2 ans
Vasyouioui_
2 ans
Donc sa mère est une pan
Y a vraiment pas de quoi être fier entre une daronne qui suce des bites de nègre et un grand père solide qui pazifiait des juifix
Y a vraiment pas de quoi être fier entre une daronne qui suce des bites de nègre et un grand père solide qui pazifiait des juifix
Ayaaa
il y a 2 ans
Monte_cristo
2 ans
Y'avait un billet à faire, et elle l'a fait
C'est le frisson de sa vie, elle doit aimer ça au bout du compte.
il y a 2 ans
C'est le frisson de sa vie, elle doit aimer ça au bout du compte.
+1000
déja que les métisses ont un complexe de supériorité par rapport aux autres noix
mais alors là elle doit plus se sentir
déja que les métisses ont un complexe de supériorité par rapport aux autres noix
mais alors là elle doit plus se sentir
validé par les kheyettes et toi ? https://voca.ro/1mj5MK2x5gmc
il y a 2 ans
Oui alors ça ça m'explose et me questionne, vraiment
Intéressée par la Shoah pendant ses études, elle passe cinq ans à étudier en Israël dans les années 19901 et entre en contact avec des survivants dans le cadre de son travail avec l'Institut Goethe6. Jennifer Teege étudie également l'hébreu et obtient son baccalauréat universitaire du département d'Études du Moyen-Orient et d'Afrique de l'Université de Tel Aviv1.
En 20086, alors qu'elle regarde les rayonnages d'une bibliothèque municipale de Hambourg, où elle vit, elle tombe sur un exemplaire de Ich muß doch meinen Vater lieben, oder?, un ouvrage écrit par Matthias Kessler avec sa mère biologique à propos de son père, Amon Göth7. Enfant, elle avait continué de voir sa mère et sa grand-mère biologique qui ne lui ont jamais parlé de Göth5.
En 2013, elle publie Mein Grossvater hätte Mich erschossen où elle raconte sa découverte mais aussi ses difficultés à vivre avec ce secret de famille dévoilé qui lui engendre un trouble de stress post-traumatique et la plonge dans la dépression8. Pour écrire son ouvrage, elle part en Pologne sur les traces de Göth et relit des essais sur la période9. Son ouvrage, écrit en allemand, est traduit en anglais, en français10, en portugais11, en espagnol12, en polonais13 et en hébreu8. Après la sortie, elle donne de nombreuses conférences autour du monde pour parler de son histoire14 comme au San Antonio Holocaust Memorial Museum15 ou lors de la Holocaust Educational Week 2016 à Toronto16.
Vraiment bizarre comme histoire, on pourrait presque croire à un énorme scam pour vendre des bouquins
Intéressée par la Shoah pendant ses études, elle passe cinq ans à étudier en Israël dans les années 19901 et entre en contact avec des survivants dans le cadre de son travail avec l'Institut Goethe6. Jennifer Teege étudie également l'hébreu et obtient son baccalauréat universitaire du département d'Études du Moyen-Orient et d'Afrique de l'Université de Tel Aviv1.
En 20086, alors qu'elle regarde les rayonnages d'une bibliothèque municipale de Hambourg, où elle vit, elle tombe sur un exemplaire de Ich muß doch meinen Vater lieben, oder?, un ouvrage écrit par Matthias Kessler avec sa mère biologique à propos de son père, Amon Göth7. Enfant, elle avait continué de voir sa mère et sa grand-mère biologique qui ne lui ont jamais parlé de Göth5.
En 2013, elle publie Mein Grossvater hätte Mich erschossen où elle raconte sa découverte mais aussi ses difficultés à vivre avec ce secret de famille dévoilé qui lui engendre un trouble de stress post-traumatique et la plonge dans la dépression8. Pour écrire son ouvrage, elle part en Pologne sur les traces de Göth et relit des essais sur la période9. Son ouvrage, écrit en allemand, est traduit en anglais, en français10, en portugais11, en espagnol12, en polonais13 et en hébreu8. Après la sortie, elle donne de nombreuses conférences autour du monde pour parler de son histoire14 comme au San Antonio Holocaust Memorial Museum15 ou lors de la Holocaust Educational Week 2016 à Toronto16.
Vraiment bizarre comme histoire, on pourrait presque croire à un énorme scam pour vendre des bouquins
https://youtu.be/eRDRG5d3tNc?t=115
il y a 2 ans
Oui alors ça ça m'explose et me questionne, vraiment
Intéressée par la Shoah pendant ses études, elle passe cinq ans à étudier en Israël dans les années 19901 et entre en contact avec des survivants dans le cadre de son travail avec l'Institut Goethe6. Jennifer Teege étudie également l'hébreu et obtient son baccalauréat universitaire du département d'Études du Moyen-Orient et d'Afrique de l'Université de Tel Aviv1.
En 20086, alors qu'elle regarde les rayonnages d'une bibliothèque municipale de Hambourg, où elle vit, elle tombe sur un exemplaire de Ich muß doch meinen Vater lieben, oder?, un ouvrage écrit par Matthias Kessler avec sa mère biologique à propos de son père, Amon Göth7. Enfant, elle avait continué de voir sa mère et sa grand-mère biologique qui ne lui ont jamais parlé de Göth5.
En 2013, elle publie Mein Grossvater hätte Mich erschossen où elle raconte sa découverte mais aussi ses difficultés à vivre avec ce secret de famille dévoilé qui lui engendre un trouble de stress post-traumatique et la plonge dans la dépression8. Pour écrire son ouvrage, elle part en Pologne sur les traces de Göth et relit des essais sur la période9. Son ouvrage, écrit en allemand, est traduit en anglais, en français10, en portugais11, en espagnol12, en polonais13 et en hébreu8. Après la sortie, elle donne de nombreuses conférences autour du monde pour parler de son histoire14 comme au San Antonio Holocaust Memorial Museum15 ou lors de la Holocaust Educational Week 2016 à Toronto16.
Vraiment bizarre comme histoire, on pourrait presque croire à un énorme scam pour vendre des bouquins
Intéressée par la Shoah pendant ses études, elle passe cinq ans à étudier en Israël dans les années 19901 et entre en contact avec des survivants dans le cadre de son travail avec l'Institut Goethe6. Jennifer Teege étudie également l'hébreu et obtient son baccalauréat universitaire du département d'Études du Moyen-Orient et d'Afrique de l'Université de Tel Aviv1.
En 20086, alors qu'elle regarde les rayonnages d'une bibliothèque municipale de Hambourg, où elle vit, elle tombe sur un exemplaire de Ich muß doch meinen Vater lieben, oder?, un ouvrage écrit par Matthias Kessler avec sa mère biologique à propos de son père, Amon Göth7. Enfant, elle avait continué de voir sa mère et sa grand-mère biologique qui ne lui ont jamais parlé de Göth5.
En 2013, elle publie Mein Grossvater hätte Mich erschossen où elle raconte sa découverte mais aussi ses difficultés à vivre avec ce secret de famille dévoilé qui lui engendre un trouble de stress post-traumatique et la plonge dans la dépression8. Pour écrire son ouvrage, elle part en Pologne sur les traces de Göth et relit des essais sur la période9. Son ouvrage, écrit en allemand, est traduit en anglais, en français10, en portugais11, en espagnol12, en polonais13 et en hébreu8. Après la sortie, elle donne de nombreuses conférences autour du monde pour parler de son histoire14 comme au San Antonio Holocaust Memorial Museum15 ou lors de la Holocaust Educational Week 2016 à Toronto16.
Vraiment bizarre comme histoire, on pourrait presque croire à un énorme scam pour vendre des bouquins
J'ai découvert que je descendais de Mobutu, pas prêts.
il y a 2 ans
aya putain s'il savait comme ses connards d'enfants ont détruit tout le patrimoine génétique de la famille
il y a 2 ans
BartaJeTaime_
2 ans
un brun aux yeux marrons :Benze_Narquois:
comme goebbles
hitler
et comme bon nombre de généraux SS
curieux je trouve
comme goebbles
hitler
et comme bon nombre de généraux SS
curieux je trouve
les rois de France avaient en majorité les yeux marron et cheveux foncé aussi
il y a un an
L’âme de l’aryen torturée et hantant le hall d’Asgard en apprenant que sa fille a envoyé chier sa génétique en copulant avec un putain d’africain.
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
il y a un an
Saka
1 an
L’âme de l’aryen torturée et hantant le hall d’Asgard en apprenant que sa fille a envoyé chier sa génétique en copulant avec un putain d’africain.
il y a un an
Le pauvre Amon, il ne méritait pas ça
Ce post a été rédigé par mon alter chèvre, je n'en suis pas responsable
il y a un an