Ce sujet a été résolu
C'est votre problème si avec tous les outils que vous avez vous ne vous cultivez pas, perso je suis 100* plus instruits que je ne l'aurai été au moyen-âge
Difficile à dire pour le coup.
Il y avait deux types d'exercice typiques dans les facultés. C'est à dire qu'il y avait d'abord la leçon, c'est à dire lectio. Ensuite il y avait la dispute, soit la disputatio. Dans le premier cas il s'agissait de faire savoir les références que l'étudiant devait connaître.et pour que l'étudiant maîtrise la discipline étudiée. Pour ce qui est de la seconde. il s'agissait d'abord pour le professeur d'approfondir des questions de manière plus libres dans le cadre d'un commentaire de texte. Et bien sûr pour l'étudiant c'était le moment de montrer ses capacités en dialectique et sa capacité de raisonnement. Pour ce qui était des leçons, il y avait une distinction entre les leçons ordinaires et extraordinaires. Les leçons ordinaires étaient faites par les maîtres sur les livres parmi les plus importants du programme en début de matinée. Ensuite, en fin de matinée, il y avait les leçons dites extraordinaires effectuées par les bacheliers. Ou alors durant l'après midi. Il s'agissait pour le professeur de lire le texte à expliquer. Durant sa lecture, il s'interrompait parfois pour faire un commentaire explicatif. Pendant ce temps, les étudiants prenaient des notes ou suivaient sur leur propre exemplaire. Les disputes constituaient des exercices originaux et s'apparentant plus à la méthode scolastique. Les meilleurs professeurs se sont souvent consacrés aux disputes aux lieu des cours qu'ils laissent aux bacheliers. Ce n'est pas pour rien que Saint Thomas avait organisé 518 séjours, ce qui veut dire 2 par semaine environ.
Il y avait deux types d'exercice typiques dans les facultés. C'est à dire qu'il y avait d'abord la leçon, c'est à dire lectio. Ensuite il y avait la dispute, soit la disputatio. Dans le premier cas il s'agissait de faire savoir les références que l'étudiant devait connaître.et pour que l'étudiant maîtrise la discipline étudiée. Pour ce qui est de la seconde. il s'agissait d'abord pour le professeur d'approfondir des questions de manière plus libres dans le cadre d'un commentaire de texte. Et bien sûr pour l'étudiant c'était le moment de montrer ses capacités en dialectique et sa capacité de raisonnement. Pour ce qui était des leçons, il y avait une distinction entre les leçons ordinaires et extraordinaires. Les leçons ordinaires étaient faites par les maîtres sur les livres parmi les plus importants du programme en début de matinée. Ensuite, en fin de matinée, il y avait les leçons dites extraordinaires effectuées par les bacheliers. Ou alors durant l'après midi. Il s'agissait pour le professeur de lire le texte à expliquer. Durant sa lecture, il s'interrompait parfois pour faire un commentaire explicatif. Pendant ce temps, les étudiants prenaient des notes ou suivaient sur leur propre exemplaire. Les disputes constituaient des exercices originaux et s'apparentant plus à la méthode scolastique. Les meilleurs professeurs se sont souvent consacrés aux disputes aux lieu des cours qu'ils laissent aux bacheliers. Ce n'est pas pour rien que Saint Thomas avait organisé 518 séjours, ce qui veut dire 2 par semaine environ.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
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Il s'agissait le plus souvent de disputes ordinaires. Le maître choisissait le thème, c'est à dire le quaestio. Il changeait un de ses bacheliers de présenter la question et de répondre aux objections des auditeurs, même s'il faut l'aider ou le reprendre s'il le faut. C'est le lendemain de la dispute que le maître déterminait la synthèse de la discussion et exposait sa propre thèse. En plus de cela, une dispute de quolibet devait être organisé entre une et deux fois par an. Tous les membres de la faculté y assistaient. Cela ressemblait presque à une conférence de presse moderne. Durant le XIIIème siècle, des quolibets avaient porté sur des questions ecclésiologiques ou encore des politiques d'actualité avant que l'exercice ne deviennent davantage de la virtuosité formelle. Tout comme dans une dispute ordinaire, un des bacheliers et le maîtres répondaient aux questions des auditeurs et tentaient de défendre leurs thèses contre toute objection du public. Ensuite, encore le lendemain, le maître donnait de cette discussion libre une determinatio cohérence. Les exercices étaient justement ceux qui étaient effectué au sein de la faculté de théologie de Paris. Même les facultés d'arts en usaient. Ou plutôt des variantes à base de répétitions orales et écrites, histoire de vérifier que l'étudiant a bien assimilé ses connaissances. En bref, en pédagogie scolastique, la dispute était quelque chose d'important. Il faut aussi savoir que tous les arguments avancés lors des disputes devaient s'appuyer sur les références textuelles dont les leçons avaient donné la maîtrise suffisante. Et l'affrontement dialectique des arguments permettait d'aborder les aspects du thème théologique et philosophique. Au delà de l'aspect oral de la formation universitaire, le livre s'était beaucoup développé entre temps et notamment tout au long du XIIIème siècle.
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il y a 2 ans
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En plus des enseignements effectués, il y avait des grades que les étudiants pouvaient obtenir. D'abord les grades étaient de nature corporative. C'est à dire que concrètement à l'intérieur des universités, ils permettaient aux étudiants d'enseigner à leur tour. En pratique cependant, il y avait peu de gradués qui devenaient professeurs. Et même quand ils le devenaient, dans la plupart des cas, cela ne durait que quelques années. Ces grades servaient avant tout à avoir plus de facilités dans leurs futures carrières dans des domaines autres que l'enseignement en particulier. Car parmi les étudiants en droit suisses de l'université de Bologne, étudiés S. Stelling Michaud, seulement 3 sont devenus professeurs. Les autres sont revenus chez eux pour faire carrière au sein des administrations princières et épiscopales. De plus, il faut savoir que durant le XIIIème siècle, le système des grades en université et les examens qui vont avec se sont formés. D'abord, il y a le grade le plus ancien qui était de base le seul. Ce grade c'était la licence, ou licencia docendi. Pour faire simple, une fois qu'il a été attesté que le candidat concerné remplissait les conditions de scolarité requises, il y avait un jury re maîtres l'écoutait faire une leçon et répondre à ses questions. S'ils le jugeaient aptes, les maîtres présentaient le candidat au chancelier, lequel conférait la licence de manière automatique. Ensuite, on a assisté à l'émergence des grades ne relevant que de l'université.
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il y a 2 ans
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C'est à ce moment là que c'est mis en place une hiérarchie interne avec les étudiants, les bacheliers et les docteurs. Une hiérarchie somme toute assez similaire à celle des corps de métier avec les apprentis, les valets et les maîtres. Le baccalauréat s'est lentement fixé. Il se déroulait généralement en deux temps lors de l'Avent et lors du Carême. Une fois que l'étudiant a prouvé en répondant aux question d'un docteur, qu'il possédait les principaux tesxtes de son programme, le candidat devait montrer face à un jury constitué de 4 maîtres, qu'il était capable d'argumenter mais aussi de faire un cours. Après la licence, il y avait le doctorat ou la mapitrise. Le tout ressemblait à une cérémonie solennelle de réception. Une fois que les deux disputes ont été passé avec succès avec des bacheliers puis avec ses futurs pairs, le nouveau docteur, avec la présence de toute la faculté, recevait du chancelier les insignes de son grade que ce soit une barrette, un livre ou un anneau d'or. Puis à tous ses assistants, il offrir un banquet somptueux, lequel était accompagné de divertissements et de cadeau, ce qui lui revenait cher et l'obligeait dans la plupart des cas à s'endetter. Et justement, pour cela, beaucoup d'étudiants renonçaient au doctorat et se contentaient de la licence qui était moins coûteuse. Ainsi, les droits d'examen à Bologne pour la licence étaient de 60 livres bolonaises.
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il y a 2 ans
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Quant au doctorat, cela faisait 500 livres plus les frais annexes. Pour devenir maître des arts en bref, il fallait avoir 21 ans. Normalement on ne passe à la faculté supérieure qu'après être passé par la faculté des arts. Pour être licencié, il fallait que ce soit en médecine, en arts ou en droit entre 6 et 8 années d'études. Pour ce qui est de la théologie, il en fallait 15. De tel sorte qu'il fallait avoir 35 ans pour devenir docteur en théologie. De plus, après avoir été 7 ans étudiants, le bachelier de théologie devait lire 2 années durant des livres de la Bible en tant que bachelier biblique. Ensuite durant deux années, il devait lire les " Sentences " de Pierre Lombard en tant que bachelier sententiaire cette fois. Enfin, en tant que bachelier formé, participer aux disputes. Le tout avant de pouvoir se présenter à la licence. Cela peut surprendre sachant que l'espérance de vie était à l'époque bien plus courte qu'aujourd'hui. La lenteur est due d'une part à l'accent mis sur le sérieux de l'enseignement, et d'autre part sur la grande place gardée par l'oral dans l'enseignement.
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il y a 2 ans
Euh ? Complètement con, je dis juste que la période moderne que tu décris comme inutile pour soi m'a permis de faire des choses que je n'aurai pas faite au moyen-âge
Je ne savais pas que se dire cultivé était de la culture de l'égo, EXCUSE moi le GOLEM je veux juste créer la meilleure version de moi même car je pense qu'un être éclairé est préférable à un être sombre
Je ne savais pas que se dire cultivé était de la culture de l'égo, EXCUSE moi le GOLEM je veux juste créer la meilleure version de moi même car je pense qu'un être éclairé est préférable à un être sombre
En bref, l'idée reçue de l'être sombre et l'obscurantisme, cela fait clairement partie des idées reçues que certains dont toi ont tendance à encore les éléments à l'heure actuelle.
Je continuerai ma réponse demain.
Je continuerai ma réponse demain.
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il y a 2 ans
Prince
2 ans
Te faire bolosser par les gardes et que ta femme se fasse violer dans la paille pour rien devant ton fils
Pouvoir la violer sans suite

Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a 2 ans
Pouvoir la violer sans suite

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il y a 2 ans
Je condamne fermement !
Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a 2 ans