Ce sujet a été résolu
Six années se sont écoulées depuis l’anéantissement de la menace irakienne – une nouvelle menace existentielle pour le dollar américain est apparu en la personne de celui qui a refusé de tirer la leçon du destin tragique de Saddam Hossein : Mouammar Kadafi.
En 2009, alors à la présidence de l’Union Africaine, Mouammar Kadafi propose aux États du continent africain une véritable révolution monétaire qui avait toutes les chances de réussir pour changer le destin du continent et qui été accueilli avec un grand enthousiasme : se soustraire de la domination du dollar américain en créant une union monétaire africaine dans laquelle les exportations du pétrole et autres ressources naturelles africaines soient payées principalement par le dinar-or – une nouvelle monnaie à créer et qui serait fondée sur les actifs financiers et les réserves d’or des fonds souverains du continent.
Suivant l’exemple des pays arabes de l’OPEP ayant leurs propres fonds souverains pétroliers, d’autres pays africains producteurs de pétrole, commençant par les géants pétroliers et gaziers l’Angola et le Nigeria, ont lancé des processus de la création de leurs propres fonds nationaux constitués des revenus tirés des exportations pétrolières. En tout, 28 nations productrices de pétrole et de gaz africains étaient parties prenantes du projet.
Kadhafi, pourtant, a commis une erreur stratégique de calcul qui a non seulement « enterré » le dinar-or, mais également lui a coûté la vie.
Il a sous-estimé le fait qu’il était totalement exclu que ce projet se réalise, d’une part, pour l’État américain et, d’autre part, pour « l’état profond » de Wall Street et de la City de Londres.
Car, non seulement il mettait en danger existentiel la monnaie américaine, mais, en plus, privait les banques new-yorkaises et de la City du brossage habituel de trillions de dollars provenant des exportations de matières premières du continent africain. Le Royaume-Uni était donc en parfaite symbiose avec les États-Unis dans sa volonté de destruction du pouvoir-auteur de la menace.
Dès la prise de décision par des « alliés » sur la neutralisation de la nouvelle menace – ils ne se soucièrent guère du drôle de timing pour être une coïncidence aux yeux des observateurs : plus de 40 ans d’inaction face à Kadhafi, arrivé au pouvoir en 1969, et, dès qu’il expose à l’Union Africaine le projet de cette révolution monétaire – une nouvelle guerre civile orchestrée par les États-Unis se déclenche de suite.
En ayant déjà dans le passif l’invasion criminelle et la destruction de l’Irak basées sur de grossiers mensonges prémédités que l’état américain a proliféré à l’ONU en 2003 via Colin Powell sur les soi-disant armes de destruction massive détenues par Saddam Hussein, les États-Unis ne pouvaient plus se permettre de réutiliser la même technique et ont été obligés de diversifier la mise en place de l’invasion, afin de ne pas se mettre, une fois de plus, en position de criminels de guerre.
Soit, au moment quand ce nouveau « printemps arabe » est arrivé au point d’être écrasé par le pouvoir de l’état libyen – les américains, en restant dans l’ombre, utilisent les pays satellites et vassaux – la France, le Royaume-Uni et le Liban – pour déterrer de l’oubli une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre la Libye datée de 1973 – vieille de plus de 35 ans – pour attaquer et détruire le pays.
La réalisation été faite en violant même leur propre résolution nouvellement adoptée : au lieu de l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye prévue par la résolution, ce sont les bombardements directs des objectifs militaires au sol qui ont eu lieu. Ces bombardements ont été totalement illicites et en totale violation du droit international, car ceux qui ont voté pour l’adaptation de la résolution l’ont fait étant rassurés par les auteurs que l’objectif de l’action n’est que l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne protégeant les civils et nullement la défaite de Kadhafi, ni la destruction de son armée.
C’est-à-dire que les États-Unis, sous la couverture de ses pays-satellites, ont directement menti à l’ONU, une fois de plus, afin d’avoir une moindre base légale pour déclencher les hostilités et de faire par la suite ce qui était prévu d’avance : anéantir la nouvelle menace au dollar américain.
Que ce sont les États-Unis et personne d’autre qui sont les réels auteurs de la destruction de la Libye en 2011 était un secret de polichinelle.
Et, à partir de la publication par Wikileaks de la correspondance du 2 avril 2011 entre l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et son conseiller Sid Blumenthal sur le sujet, le « secret » est sorti de l’ombre : Clinton était l’élément-clé de la conspiration occidentale contre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et, plus précisément, contre la nouvelle monnaie panafricaine – menace directe au dollar américain.
Blumenthal écrit à Clinton : « Selon les informations sensibles disponibles par cette source, le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent… Cet or a été accumulé avant le courant de rébellion et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar-or libyen ».
Comme je l’ai mentionné auparavant, aucune guerre n’a jamais une seule raison pour être lancée. Dans le cas de la guerre contre Kadhafi cela a été de même : une des raisons-clés complémentaires était l’intérêt personnel de Hillary Rodham Clinton de jouer le rôle de « dame de fer » dans le milieu politique américain, en vue des futures élections présidentielles. Ceci était comme dire à son parti politique : « regardez : j’ai été capable d’écraser tout un pays. Ne doutez donc pas que je suis bien en capacité de mener le combat électoral ». En avril 2015 elle annonce sa candidature à la présidence et, en juillet 2016, elle est officiellement désignée comme candidate du Parti démocrate.
Dans la seconde grande guerre du dollar ce n’est pas que l’avenir de la Libye, mais l’avenir de tout le continent africain qui était mis sur l’hôtel du sacrifice pour le bien-être de l’économie américaine.
Tous ceux qui essaient de mettre en danger le système monétaire américain – doivent disparaître, s’ils ne sont pas de taille à résister.
Néanmoins, si c’est un pays puissant qui est en cause et que l’on n’est pas en mesure de l’écraser directement, comme l’Irak et la Libye, ce sont des attaques indirectes multimodales d’envergure qui sont élaborées et lancées, restant toujours dans l’ombre, faisant passer l’agressé pour l’agresseur, dans le but d’affaiblir l’adversaire au point qu’il abandonne ses projets de « destitution » du dollar et soit obligé de se concentrer sur la résolution de problèmes nouvellement apparus.
Après la fin de la guerre en Ukraine – la troisième grande guerre du dollar américain, c’est inévitablement la quatrième grande guerre du dollar – la guerre de Chine – qui aura lieu et dont on ignore encore quelle forme précise elle prendra.
En 2009, alors à la présidence de l’Union Africaine, Mouammar Kadafi propose aux États du continent africain une véritable révolution monétaire qui avait toutes les chances de réussir pour changer le destin du continent et qui été accueilli avec un grand enthousiasme : se soustraire de la domination du dollar américain en créant une union monétaire africaine dans laquelle les exportations du pétrole et autres ressources naturelles africaines soient payées principalement par le dinar-or – une nouvelle monnaie à créer et qui serait fondée sur les actifs financiers et les réserves d’or des fonds souverains du continent.
Suivant l’exemple des pays arabes de l’OPEP ayant leurs propres fonds souverains pétroliers, d’autres pays africains producteurs de pétrole, commençant par les géants pétroliers et gaziers l’Angola et le Nigeria, ont lancé des processus de la création de leurs propres fonds nationaux constitués des revenus tirés des exportations pétrolières. En tout, 28 nations productrices de pétrole et de gaz africains étaient parties prenantes du projet.
Kadhafi, pourtant, a commis une erreur stratégique de calcul qui a non seulement « enterré » le dinar-or, mais également lui a coûté la vie.
Il a sous-estimé le fait qu’il était totalement exclu que ce projet se réalise, d’une part, pour l’État américain et, d’autre part, pour « l’état profond » de Wall Street et de la City de Londres.
Car, non seulement il mettait en danger existentiel la monnaie américaine, mais, en plus, privait les banques new-yorkaises et de la City du brossage habituel de trillions de dollars provenant des exportations de matières premières du continent africain. Le Royaume-Uni était donc en parfaite symbiose avec les États-Unis dans sa volonté de destruction du pouvoir-auteur de la menace.
Dès la prise de décision par des « alliés » sur la neutralisation de la nouvelle menace – ils ne se soucièrent guère du drôle de timing pour être une coïncidence aux yeux des observateurs : plus de 40 ans d’inaction face à Kadhafi, arrivé au pouvoir en 1969, et, dès qu’il expose à l’Union Africaine le projet de cette révolution monétaire – une nouvelle guerre civile orchestrée par les États-Unis se déclenche de suite.
En ayant déjà dans le passif l’invasion criminelle et la destruction de l’Irak basées sur de grossiers mensonges prémédités que l’état américain a proliféré à l’ONU en 2003 via Colin Powell sur les soi-disant armes de destruction massive détenues par Saddam Hussein, les États-Unis ne pouvaient plus se permettre de réutiliser la même technique et ont été obligés de diversifier la mise en place de l’invasion, afin de ne pas se mettre, une fois de plus, en position de criminels de guerre.
Soit, au moment quand ce nouveau « printemps arabe » est arrivé au point d’être écrasé par le pouvoir de l’état libyen – les américains, en restant dans l’ombre, utilisent les pays satellites et vassaux – la France, le Royaume-Uni et le Liban – pour déterrer de l’oubli une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre la Libye datée de 1973 – vieille de plus de 35 ans – pour attaquer et détruire le pays.
La réalisation été faite en violant même leur propre résolution nouvellement adoptée : au lieu de l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye prévue par la résolution, ce sont les bombardements directs des objectifs militaires au sol qui ont eu lieu. Ces bombardements ont été totalement illicites et en totale violation du droit international, car ceux qui ont voté pour l’adaptation de la résolution l’ont fait étant rassurés par les auteurs que l’objectif de l’action n’est que l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne protégeant les civils et nullement la défaite de Kadhafi, ni la destruction de son armée.
C’est-à-dire que les États-Unis, sous la couverture de ses pays-satellites, ont directement menti à l’ONU, une fois de plus, afin d’avoir une moindre base légale pour déclencher les hostilités et de faire par la suite ce qui était prévu d’avance : anéantir la nouvelle menace au dollar américain.
Que ce sont les États-Unis et personne d’autre qui sont les réels auteurs de la destruction de la Libye en 2011 était un secret de polichinelle.
Et, à partir de la publication par Wikileaks de la correspondance du 2 avril 2011 entre l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et son conseiller Sid Blumenthal sur le sujet, le « secret » est sorti de l’ombre : Clinton était l’élément-clé de la conspiration occidentale contre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et, plus précisément, contre la nouvelle monnaie panafricaine – menace directe au dollar américain.
Blumenthal écrit à Clinton : « Selon les informations sensibles disponibles par cette source, le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent… Cet or a été accumulé avant le courant de rébellion et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar-or libyen ».
Comme je l’ai mentionné auparavant, aucune guerre n’a jamais une seule raison pour être lancée. Dans le cas de la guerre contre Kadhafi cela a été de même : une des raisons-clés complémentaires était l’intérêt personnel de Hillary Rodham Clinton de jouer le rôle de « dame de fer » dans le milieu politique américain, en vue des futures élections présidentielles. Ceci était comme dire à son parti politique : « regardez : j’ai été capable d’écraser tout un pays. Ne doutez donc pas que je suis bien en capacité de mener le combat électoral ». En avril 2015 elle annonce sa candidature à la présidence et, en juillet 2016, elle est officiellement désignée comme candidate du Parti démocrate.
Dans la seconde grande guerre du dollar ce n’est pas que l’avenir de la Libye, mais l’avenir de tout le continent africain qui était mis sur l’hôtel du sacrifice pour le bien-être de l’économie américaine.
Tous ceux qui essaient de mettre en danger le système monétaire américain – doivent disparaître, s’ils ne sont pas de taille à résister.
Néanmoins, si c’est un pays puissant qui est en cause et que l’on n’est pas en mesure de l’écraser directement, comme l’Irak et la Libye, ce sont des attaques indirectes multimodales d’envergure qui sont élaborées et lancées, restant toujours dans l’ombre, faisant passer l’agressé pour l’agresseur, dans le but d’affaiblir l’adversaire au point qu’il abandonne ses projets de « destitution » du dollar et soit obligé de se concentrer sur la résolution de problèmes nouvellement apparus.
Après la fin de la guerre en Ukraine – la troisième grande guerre du dollar américain, c’est inévitablement la quatrième grande guerre du dollar – la guerre de Chine – qui aura lieu et dont on ignore encore quelle forme précise elle prendra.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Dès le 23 février 2014, les dissidents et terroristes tchétchènes réfugiés en Europe appelèrent tous leurs militants et plus largement les Européens, à se liguer pour combattre la Russie. L’annonce du premier bataillon islamiste fut annoncée le 3 mars 2014, au Danemark, par le mouvement politique Caucase Libre, dans le but de profiter du conflit du Donbass, pour envoyer des transfuges tchétchènes combattre les insurgés républicains et Russes ethniques de l’Est de l’Ukraine. Ces Tchétchènes sont pour une grande partie des anciens combattants des deux guerres de Tchétchénie (1994-1996 et 1999-2009), soit de séparatistes liés et financés par les Occidentaux, soit par des fondamentalistes musulmans liés à l’Arabie Saoudite. Certains d’entre eux ont même commis des attentats terroristes en Fédération de Russie, d’autres sont liés également à la puissante mafia tchétchène. Au départ environ 300 volontaires affluèrent du monde entier, où ils vivaient en exil, de Géorgie, d’Azerbaïdjan, de Pologne, Lituanie, Estonie, Suède, Angleterre, Norvège, Danemark, France, Autriche, Finlande et même de Russie. Il n’était pas composé uniquement de Tchétchènes mais aussi de vétérans azerbaïdjanais, de la guerre du Haut-Karabagh (1988-1994), contre les minorités arméniennes orthodoxes. Il y eut également des Ukrainiens musulmans, des Tatars, des Daghestanais, des Ingouches, et le recrutement s’étendit en Syrie pour attirer une poignée de mercenaires du Califat islamique, et d’autres fondamentalistes fanatiques. Les engagés idéologiques furent en réalité rares, et c’est surtout à coup d’argent, notamment ukrainien (et fournit par les USA), que ces combattants furent recrutés à prix d’or. Ils furent bientôt mêlés à différents trafics, en particulier dans la région de Rivne, dans un trafic d’ambre, et la prise de contrôle illégale d’entreprises. Les revenus générés par ces trafics étaient ensuite dirigés vers l’Arabie Saoudite et le Qatar, pour financer le recrutement des mercenaires, leurs équipements et enfin leur entraînement. Comme ce fut le cas en partie pour les djihadistes utilisés par la Bosnie-Herzégovine dans la guerre de Yougoslavie, ces hommes reçurent également des passeport ukrainiens, avec de nouveaux noms, afin de cacher leurs identités et leur permettre de circuler plus librement. Certains d’entre eux étaient carrément de dangereux terroristes recherchés à l’international. C’est également la raison pour laquelle vous trouverez peu d’informations de l’Ukraine sur ces bataillons (il y en a deux autres…), peu désireuse de s’étaler sur le sujet. En effet, dans le cas de la brigade Afghane qui servit et fit des ravages contre les Serbes et les populations civiles en Bosnie-Herzégovine, l’Ukraine elle n’est pas un pays musulman. Il aurait été du plus mauvais effet pour le régime de Porochenko de danser sur les corps des civils du Donbass en une telle compagnie, alors qu’officiellement le monde occidental était en guerre contre lesdits terroristes.
Modification
Il se trouve que déjà le 23 février, il y avait des terroristes tchétchènes qui étaient réfugiés qui ont appelé tous leurs militants et les européens en général à venir combattre la Russie. Ainsi le premier bataillon islamiste avait été annoncé le 3 mars 2014 précisément,. C'était au Danemark et c'était le fait du mouvement politique Caucase Libre. Il s'agissait de profiter tout simplement de la guerre du Donbass pour envoyer des tchétchènes combattre les russes ethniques de l'est Ukrainien. Les Tchétchènes qui ont été envoyés étaient pour beaucoup des anciens combattants des guerres de Tchétchénie. D'autres étaient des séparatistes soutenus et financés par les néocons ou alors juste des fondamentalistes liés à l'Arabie Saoudite. Certains parmi eux avaient commis des attentats en Russie. 300 volontaires ont afflué de plusieurs pays différences, que ce soit de la France la Grande Bretagne, la Suède, la Pologne, la Géorgie, de l'Adzerbaidjan ou de la Russie.. Il y avait aussi des vétérans de l'Adzerbaidjan qui avaient participé à la répression contre les Arméniens orthodoxes. Il y a eu aussi des daghestanais, des Ingouches, des Tatars notamment. Il y a eu des recrutements en Surie pour attirer des mercenaires islamistes même si les mercenaires étaient plutôt rares et que les combattants ont été recrutés grâce au soutien des Etats Unis.
Ils ont été mêlés à du trafic d'ambre et dans la prise de contrôles illégales d'entreprises. Les revenus de ces trafics étaient par la suite envoyés en Arabie Saoudite ou au Qatar le tout pour financier des recrutements de mercenaires, puis leurs équipements et entraînements. Pareil lorsque des islamistes avaient été utilisé contre la Bosnie Herzégovine.dans le cadre de la guerre de Yougoslavie. Dans ce cas on a eu la brigade Afghane qui a causé nombre de destructions et de dommages à l'égard de la Serbie mais également de la Bosnie Herzégovine.
Modification
Il se trouve que déjà le 23 février, il y avait des terroristes tchétchènes qui étaient réfugiés qui ont appelé tous leurs militants et les européens en général à venir combattre la Russie. Ainsi le premier bataillon islamiste avait été annoncé le 3 mars 2014 précisément,. C'était au Danemark et c'était le fait du mouvement politique Caucase Libre. Il s'agissait de profiter tout simplement de la guerre du Donbass pour envoyer des tchétchènes combattre les russes ethniques de l'est Ukrainien. Les Tchétchènes qui ont été envoyés étaient pour beaucoup des anciens combattants des guerres de Tchétchénie. D'autres étaient des séparatistes soutenus et financés par les néocons ou alors juste des fondamentalistes liés à l'Arabie Saoudite. Certains parmi eux avaient commis des attentats en Russie. 300 volontaires ont afflué de plusieurs pays différences, que ce soit de la France la Grande Bretagne, la Suède, la Pologne, la Géorgie, de l'Adzerbaidjan ou de la Russie.. Il y avait aussi des vétérans de l'Adzerbaidjan qui avaient participé à la répression contre les Arméniens orthodoxes. Il y a eu aussi des daghestanais, des Ingouches, des Tatars notamment. Il y a eu des recrutements en Surie pour attirer des mercenaires islamistes même si les mercenaires étaient plutôt rares et que les combattants ont été recrutés grâce au soutien des Etats Unis.
Ils ont été mêlés à du trafic d'ambre et dans la prise de contrôles illégales d'entreprises. Les revenus de ces trafics étaient par la suite envoyés en Arabie Saoudite ou au Qatar le tout pour financier des recrutements de mercenaires, puis leurs équipements et entraînements. Pareil lorsque des islamistes avaient été utilisé contre la Bosnie Herzégovine.dans le cadre de la guerre de Yougoslavie. Dans ce cas on a eu la brigade Afghane qui a causé nombre de destructions et de dommages à l'égard de la Serbie mais également de la Bosnie Herzégovine.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Le bataillon de représailles tchétchène contre les populations civiles du Donbass. Sa 1ère compagnie fut rapidement formée et dénommée Sachka Bilogo (Sachka le Blanc), un ultranationaliste ukrainien, criminel de guerre et ancien combattant dans les rangs tchétchènes durant la Première Guerre de Tchétchénie. Ce malfrat violent, condamné à de multiples reprises pour coups et blessures et des escroqueries, s’illustra durant le Maïdan et fut finalement abattu par la police politique du SBU (24-25 mars 2014). Il préparait en effet un groupe de terroristes pour assassiner des Russes, sur le territoire de la Grande-Bretagne. Dénoncé, le Royaume-Uni lança un mandat d’arrêt international contre lui, étant déjà recherché pour crimes de guerre et tortures par la Russie. Le SBU ayant cherché à procéder à son arrestation, il ouvrit le feu sur les policiers et fut abattu. Cette simple filiation donna déjà le ton. Le bataillon fut immédiatement envoyé en Ukraine et arriva dans le Donbass dans le printemps (environ 150 hommes). Il se livra à des exactions et crimes contre les populations civiles du Donbas, et participa aux combats de la bataille des frontières, notamment à Ilovaïsk, où les forces ukrainiennes furent sévèrement battues (août-septembre). Il servit encore durant la défaite de Debaltsevo, où il subit de lourdes pertes (janvier-février 2015). Il y eut au moins 32 Tchétchènes tués dans la bataille et un nombre inconnu de blessés. Après cette déroute, le bataillon se délita, mais quelques mercenaires djihadistes continuèrent de servir sur le front du Donbass, notamment sur les positions près de Granitnoe (hiver 2015-2016). les Républicains avaient capturé auparavant un drapeau d’ISIS appartenant aux Tchétchènes. Édouard Bassourine déclarait à cette occasion : « il y a la présence d’une quinzaine de membres du bataillon Djokhar Doudaïev,près de la localité de Granitnoe, leurs véhicules sont équipés de drapeaux noirs avec des inscriptions en arabe et ils communiquent entre eux dans cette langue […] c’est une nouvelle confirmation de la présence de terroristes de l’État islamique dans la zone dite de l’ATO, du côté des forces armées ukrainiennes ». A partir d’un certain moment (2016-2020), les mercenaires du bataillon, soit qu’ils ne fussent plus payés, soit qu’ils aient d’autres chats à fouetter se désengagèrent de l’Ukraine. Il fut mis en dormance et en 2020, son commandant déclarait que les hommes qui le composaient, se trouvaient de toute façon prêt à revenir sur le front d’Ukraine. Il fut en effet remis en activité après le début de l’opération russe (24 février 2022), et participa aux combats pour la ville de Kiev (mars). Il se trouve actuellement en ligne contre les forces russes et républicaines. Tous les Tchétchènes de ce bataillon sont passibles de la peine de mort, recherchés en Russie, notamment pour des actes terroristes, des assassinats politiques, des crimes mafieux ou pour des crimes de guerre commis durant les deux guerres de Tchétchénie. Kadyrov a promis qu’ils seraient punis, certains d’entre eux ont des contrats sur leurs têtes.
Modification.
Ce bataillon a précisément été utilisé contre les civils de la région du Donbass. La 1ère compagnie a été formée. Son nom était Sachka Bilogo ce qui veut dire Sachka le Blanc. Or Sachka le Blanc est précisément un ultranationaliste ukrainien.
Il est connu comme ayant combattu durant la première guerre de Tchétchénie durant les années 1990 et comme un criminel de guerre notoire. On l'a vu à l'oeuvre durant la révolution orange du Maidan. En mars 2014 finalement, il est abattu par le SBU et sa police politique. Il se trouve qu'il préparait des terroristes et les formait pour assassiner des russes en Grande Bretagne. Il était déjà recherché par la Russie.Le Royaume Uni a lancé un mandat d'arrêt international contre lui après que celui ci fut dénoncé. Il ouvre le feu sur les policiers du SBU et est abattu. Le bataillon arrive en Ukraine et dans le Donbass en 2014 durant les mois de mars et avril avec plus d'une centaine hommes. Par la suite, ce fut un enchaînement entre exactions et crimes contre les civils du Donbass. A Llovaisk, les forces ukrainiennes avaient été battus lors de la bataille des frontières au cours duquel le bataillon avait participé. Egalement il participe à la bataille de Debaltsevo en janvier février 2015 avec des pertes élevés à la clé. Une bonne trentaine de Tchétchènes furent tués plus des dizaines de blessés. Après la bataille, le bataillon s'affaiblit. Cependant, nombre d'islamistes restent encore à être dans le Donbass. Entre 2016 et 2020, les mercenaires appartenant à ce bataillon de Bjokhar Doudaiev se sont désengagé de l'Ukraine. Pour certains, ils avaient d'autres objectifs ailleurs. Pour d'autres, ils n'étaient pas assez payés à leurs sens. Cependant, le commandant du bataillon avait déclaré en 2020 que les hommes composant ce bataillon étaient prêt à revenir en Ukraine sur le front du Donbass. Après le 24 février 2022 d'ailleurs, le bataillon était très vite remis sur pied. La plupart des terroristes et des criminels du bataillon feront tout pour ne pas se laisser capturer par la Russie car ils savent qu'après leurs crimes et les attentats commis, ils sont très recherchés. Certains depuis les deux guerres de Tchétchénie.
Modification.
Ce bataillon a précisément été utilisé contre les civils de la région du Donbass. La 1ère compagnie a été formée. Son nom était Sachka Bilogo ce qui veut dire Sachka le Blanc. Or Sachka le Blanc est précisément un ultranationaliste ukrainien.
Il est connu comme ayant combattu durant la première guerre de Tchétchénie durant les années 1990 et comme un criminel de guerre notoire. On l'a vu à l'oeuvre durant la révolution orange du Maidan. En mars 2014 finalement, il est abattu par le SBU et sa police politique. Il se trouve qu'il préparait des terroristes et les formait pour assassiner des russes en Grande Bretagne. Il était déjà recherché par la Russie.Le Royaume Uni a lancé un mandat d'arrêt international contre lui après que celui ci fut dénoncé. Il ouvre le feu sur les policiers du SBU et est abattu. Le bataillon arrive en Ukraine et dans le Donbass en 2014 durant les mois de mars et avril avec plus d'une centaine hommes. Par la suite, ce fut un enchaînement entre exactions et crimes contre les civils du Donbass. A Llovaisk, les forces ukrainiennes avaient été battus lors de la bataille des frontières au cours duquel le bataillon avait participé. Egalement il participe à la bataille de Debaltsevo en janvier février 2015 avec des pertes élevés à la clé. Une bonne trentaine de Tchétchènes furent tués plus des dizaines de blessés. Après la bataille, le bataillon s'affaiblit. Cependant, nombre d'islamistes restent encore à être dans le Donbass. Entre 2016 et 2020, les mercenaires appartenant à ce bataillon de Bjokhar Doudaiev se sont désengagé de l'Ukraine. Pour certains, ils avaient d'autres objectifs ailleurs. Pour d'autres, ils n'étaient pas assez payés à leurs sens. Cependant, le commandant du bataillon avait déclaré en 2020 que les hommes composant ce bataillon étaient prêt à revenir en Ukraine sur le front du Donbass. Après le 24 février 2022 d'ailleurs, le bataillon était très vite remis sur pied. La plupart des terroristes et des criminels du bataillon feront tout pour ne pas se laisser capturer par la Russie car ils savent qu'après leurs crimes et les attentats commis, ils sont très recherchés. Certains depuis les deux guerres de Tchétchénie.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
L’Ukraine un réseau arrière des fondamentalistes islamistes. Bien que l’Ukraine soit très discrète sur les différentes unités composées de terroristes islamistes, elle est devenue un pays de repli depuis l’époque de la formation des trois bataillons « tchétchènes », dont le bataillon Djokhar Doudaïev. Sous la pression des États-Unis appuyée par la Géorgie, un Géorgien du nom de Tsezar Tokhosachvili (1986-) fut arrêté par le SBU dans la région de Kiev (novembre 2019). Ce fanatique, connu sous le nom d’Al-Bara Al-Shishani, avait été un combattant du Califat islamique, dont la mort avait été annoncée lors d’une frappe aérienne en Syrie (août 2017). Par les réseaux construits par les Tchétchènes en Ukraine, des combattants purent être exfiltrés et se replier en Ukraine. Il vivait dans une petite ville près de Kiev, Bila Tserkva, où il était devenu un taxi illégal, par ailleurs sans permis de conduire, possédant aussi un petit commerce dans un marché local. Il s’était installé avec sa femme et ses trois enfants, et continuait de recruter des hommes et de planifier des attentats. Il fut extradé vers la Géorgie (mai 2020), et la question se posa alors de savoir combien de djihadistes se trouvaient encore sur le territoire de l’Ukraine. Lui même était entré sur le territoire de l’Ukraine durant l’été 2018, avec un faux passeport. Comme nous l’avons vu, d’autres militants djihadistes avaient de toute façon reçu par les bataillons tchétchènes la nationalité ukrainienne. Dans une interview, un Ukrainien qui avait rejoint le djihad en Syrie expliqua qu’il était originaire de Krivoï Rog, et que l’Ukraine était devenue un point de transit vers la Syrie (2012-2017). Ce furent justement des citoyens locaux qui aidèrent différents islamistes de pays comme l’Azerbaïdjan, la Géorgie, la Tchétchénie, et d’autres anciennes républiques de l’URSS, qui transitèrent par l’Ukraine, puis de là vers la Turquie. Le défilé de djihadistes fut important surtout à partir de 2014, avec la formation des bataillons tchétchènes et l’idée du régime ukrainien que tout ce qui pouvait être un ennemi de l’Ukraine ne pouvait pas être un ennemi. Malgré tout, avec le financier américain, l’Ukraine dut faire quelques efforts de légalité en arrêtant en 2016, une centaine de fanatiques, dont 46 furent démasqués comme des djihadistes. Plus tard deux groupes terroristes furent démantelés en Ukraine, et 11 points de ralliement et cachettes découverts à Kiev et Kharkov. Les organisations fournissaient de l’aide logistique, des faux documents et de l’argent. Le SBU affirma sans que cela puisse être vérifier que 443 djihadistes avaient été refoulés et interdits de pénétrer dans le pays durant la même période.
MODIFICATION
On sait bien que depuis plusieurs années, l'Ukraine a servi de base de repère voire d'entraînement à de nombreux terroristes. Depuis la formation de sbataillons Tchétchènes notamment. Tsezar Tokhoachvili avait été arrêté en novembre 2019 par le SBU dans la région de Kiev sous la pression des Etats Unis. La Géorgie soutint ce mouvement de pression américain. Il est connu sous le nom d'Al Bara Al Shishani. Il se trouve qu'il s'était engagé du côté du Califat islamique. Suite à une frappe aérienne effectuée au mois d'août 2017, il fut déclaré mort. Il vivait à Bili Tserkva, un ville ukrainienne se situant près de Kiev. Il y avait installé sa famille et il avait continué dans son recrutement d'hommes et dans l'organisation d'attentats. Finalement en mai 2020, il est extradé en Géorgie. Du coup on se demandait combien d'islamistes y avait il en Ukraine. D'autres étaient manifestement dans des bataillons tchétchènes et avaient reçus la nationalité ukrainienne. Un Ukrainien avait justement dans une interview expliqué qu'il était originaire de Krivoi Rog, lui qui avait rejoint le camp des islamistes en Syrie. L'Ukraine a du faire des efforts tout de même pour faire genre qu'ils étaient contre les terroristes. Cela s'est traduit par l'arrestation d'une centaine de fanatiques dont 46 furent identifiés comme étant des terroristes islamistes. 2 groupes terroristes avaient été par la suite démantelés en Ukraine de même que 11 points de ralliement et autres cachettes du genre à Kharkov et Kiev. A l'intérieur de ces points de ralliements et cachettes, les organisations avaient fourni des faux papiers, de l'argent, et des faux documents. A ce moment, le SBU avait affirmé que 443 islamistes avaient été interdits d'entrer en Ukraine durant cette période précisément.
MODIFICATION
On sait bien que depuis plusieurs années, l'Ukraine a servi de base de repère voire d'entraînement à de nombreux terroristes. Depuis la formation de sbataillons Tchétchènes notamment. Tsezar Tokhoachvili avait été arrêté en novembre 2019 par le SBU dans la région de Kiev sous la pression des Etats Unis. La Géorgie soutint ce mouvement de pression américain. Il est connu sous le nom d'Al Bara Al Shishani. Il se trouve qu'il s'était engagé du côté du Califat islamique. Suite à une frappe aérienne effectuée au mois d'août 2017, il fut déclaré mort. Il vivait à Bili Tserkva, un ville ukrainienne se situant près de Kiev. Il y avait installé sa famille et il avait continué dans son recrutement d'hommes et dans l'organisation d'attentats. Finalement en mai 2020, il est extradé en Géorgie. Du coup on se demandait combien d'islamistes y avait il en Ukraine. D'autres étaient manifestement dans des bataillons tchétchènes et avaient reçus la nationalité ukrainienne. Un Ukrainien avait justement dans une interview expliqué qu'il était originaire de Krivoi Rog, lui qui avait rejoint le camp des islamistes en Syrie. L'Ukraine a du faire des efforts tout de même pour faire genre qu'ils étaient contre les terroristes. Cela s'est traduit par l'arrestation d'une centaine de fanatiques dont 46 furent identifiés comme étant des terroristes islamistes. 2 groupes terroristes avaient été par la suite démantelés en Ukraine de même que 11 points de ralliement et autres cachettes du genre à Kharkov et Kiev. A l'intérieur de ces points de ralliements et cachettes, les organisations avaient fourni des faux papiers, de l'argent, et des faux documents. A ce moment, le SBU avait affirmé que 443 islamistes avaient été interdits d'entrer en Ukraine durant cette période précisément.
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il y a 2 ans
La CIA recrute des djihadistes pour les envoyer en Ukraine, bis repetita de ce qui fut fait en Bosnie.
Après la défaite du Califat islamique, les combattants eurent bien du mal à s’enfuir, les voies de retraites étant rares. C’est par la Turquie puis l’Ukraine qu’ils purent alors se faufiler dans l’autre sens. Un réseau de faux passeports fut démantelé par le SBU (28 août 2020), fournissant également de faux passeports de l’Union européenne. Une partie a donc pu se glisser en Occident tranquillement, pour rejoindre les bases arrières scandinaves des Tchétchènes, par exemple au Danemark et en Norvège. L’acquisition d’un vrai passeport ukrainien coûtait entre 2 500 et 7 000 dollars, sans parler de la possibilité pour eux d’acheter sur place un mariage blanc, donnant droit à un permis de résident, puis à la citoyenneté ukrainienne. Après quelques temps, il ne suffisait plus que de divorcer, puis de faire venir leurs vraies familles sur place. De la même façon, un tel passeport ukrainien permettait bien sûr de passer facilement en Pologne, peu regardante avec les citoyens ukrainiens, ou pour les plus pauvres de payer un passeur pour passer de l’Ukraine dans ce pays (1 500/3 000 dollars). L’enquête menée par deux journalistes, un Ukrainien et un Polonais (2020), mis en exergue le fait qu’il se trouvait à cette date sur le territoire ukrainien, entre une cinquantaine de djihadistes et plusieurs centaines. Le déclenchement de l’opération spéciale russe (24 février 2022), a de toute façon été une aubaine pour eux. A la fois par la reformation des bataillons de « tchétchènes » islamistes, mais aussi par l’anarchie déclenchée par la guerre. Pour des raisons politiques, la pression américaine s’est éteinte et l’Ukraine ayant besoin de combattants n’est pas très regardante pour qui veut se faire tuer pour elle… soit par convictions, soit contre argent sonnant et trébuchant. L’Ukraine aurait également une population d’environ 1 million de musulmans, dont l’essentiel est originaire des anciennes républiques soviétiques et sont principalement russophones, il ne s’agit donc pas d’une communauté marginale. L’agence Ria Novosti annonçait même que la CIA recrutait à tour de bras des islamistes pour être envoyés comme mercenaires en Ukraine. Elle recrutait dans les camps de prisonniers contrôlés par les Kurdes. Un total de 90 djihadistes furent alors extirpés des prisons, essentiellement des Tchétchènes, des Ouïghours, des Irakiens et des citoyens de l’Union européenne, pour être entraînés et envoyés au combat, tandis que le chiffre de 500 militants à « recycler » pour former un bataillon était annoncé. Ils seront bientôt en Ukraine pour remplir les rangs de bataillons tchétchènes servant de paravents, et présentés comme des « héros de la liberté ». C’est par des renseignements des services secrets de Syrie que cette information est arrivée en Russie.
MODIFICATION
Ce qui a été fait par la CIA avec les islamistes en Ukraine et autres terroristes, était une répétition de ce qui avait été effectué en Bosnie plusieurs années auparavant. Le Califat islamique avait été vaincu. Les combattants de l'organisation ont donc du s'enfuir. Un réseau de faux passeports avaient été démantelés par le SBU durant le 28 août 2020. Des faux papiers de l'UE avaient été fournis par l'organisation. Cela signifie que certains combattants avaient pu entrer dans le territoire de l'UE notamment pour rejoindre les bases de regroupement des Tchétchènes que ce soit en Norvège ou au Danemark par exemple. Ainsi, pour avoir un passeport ukrainien il fallait payer plusieurs milliers de dollars. Plus la possibilité d'acheter un mariage blanc. Le genre de passeports ukrainiens permettant d'aller en Pologne sachant qu'on pouvait payer un passeur pour passer entre l'Ukraine et la Pologne à coup de quelques milliers de dollars. Les bataillons Tchétchènes se sont reformés lors de l'intervention russe en Ukraine. Comme l'Ukraine avait grandement besoin de combattants, ils s'en foutaient de savoir qui étaient ces bataillons. Selon l'agence Ria Novosti, la CIA avait recruté des islamistes pour les envoyer en Ukraine en tant que mercenaires. Ils étaient recrutés dans des camps de prisonniers, lesquels étaient sous contrôle Kurde. Notamment, des Tchétchènes, des Irakiens voire des Ouighours étaient recrutés pour former les bataillons Tchétchènes.
Après la défaite du Califat islamique, les combattants eurent bien du mal à s’enfuir, les voies de retraites étant rares. C’est par la Turquie puis l’Ukraine qu’ils purent alors se faufiler dans l’autre sens. Un réseau de faux passeports fut démantelé par le SBU (28 août 2020), fournissant également de faux passeports de l’Union européenne. Une partie a donc pu se glisser en Occident tranquillement, pour rejoindre les bases arrières scandinaves des Tchétchènes, par exemple au Danemark et en Norvège. L’acquisition d’un vrai passeport ukrainien coûtait entre 2 500 et 7 000 dollars, sans parler de la possibilité pour eux d’acheter sur place un mariage blanc, donnant droit à un permis de résident, puis à la citoyenneté ukrainienne. Après quelques temps, il ne suffisait plus que de divorcer, puis de faire venir leurs vraies familles sur place. De la même façon, un tel passeport ukrainien permettait bien sûr de passer facilement en Pologne, peu regardante avec les citoyens ukrainiens, ou pour les plus pauvres de payer un passeur pour passer de l’Ukraine dans ce pays (1 500/3 000 dollars). L’enquête menée par deux journalistes, un Ukrainien et un Polonais (2020), mis en exergue le fait qu’il se trouvait à cette date sur le territoire ukrainien, entre une cinquantaine de djihadistes et plusieurs centaines. Le déclenchement de l’opération spéciale russe (24 février 2022), a de toute façon été une aubaine pour eux. A la fois par la reformation des bataillons de « tchétchènes » islamistes, mais aussi par l’anarchie déclenchée par la guerre. Pour des raisons politiques, la pression américaine s’est éteinte et l’Ukraine ayant besoin de combattants n’est pas très regardante pour qui veut se faire tuer pour elle… soit par convictions, soit contre argent sonnant et trébuchant. L’Ukraine aurait également une population d’environ 1 million de musulmans, dont l’essentiel est originaire des anciennes républiques soviétiques et sont principalement russophones, il ne s’agit donc pas d’une communauté marginale. L’agence Ria Novosti annonçait même que la CIA recrutait à tour de bras des islamistes pour être envoyés comme mercenaires en Ukraine. Elle recrutait dans les camps de prisonniers contrôlés par les Kurdes. Un total de 90 djihadistes furent alors extirpés des prisons, essentiellement des Tchétchènes, des Ouïghours, des Irakiens et des citoyens de l’Union européenne, pour être entraînés et envoyés au combat, tandis que le chiffre de 500 militants à « recycler » pour former un bataillon était annoncé. Ils seront bientôt en Ukraine pour remplir les rangs de bataillons tchétchènes servant de paravents, et présentés comme des « héros de la liberté ». C’est par des renseignements des services secrets de Syrie que cette information est arrivée en Russie.
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Ce qui a été fait par la CIA avec les islamistes en Ukraine et autres terroristes, était une répétition de ce qui avait été effectué en Bosnie plusieurs années auparavant. Le Califat islamique avait été vaincu. Les combattants de l'organisation ont donc du s'enfuir. Un réseau de faux passeports avaient été démantelés par le SBU durant le 28 août 2020. Des faux papiers de l'UE avaient été fournis par l'organisation. Cela signifie que certains combattants avaient pu entrer dans le territoire de l'UE notamment pour rejoindre les bases de regroupement des Tchétchènes que ce soit en Norvège ou au Danemark par exemple. Ainsi, pour avoir un passeport ukrainien il fallait payer plusieurs milliers de dollars. Plus la possibilité d'acheter un mariage blanc. Le genre de passeports ukrainiens permettant d'aller en Pologne sachant qu'on pouvait payer un passeur pour passer entre l'Ukraine et la Pologne à coup de quelques milliers de dollars. Les bataillons Tchétchènes se sont reformés lors de l'intervention russe en Ukraine. Comme l'Ukraine avait grandement besoin de combattants, ils s'en foutaient de savoir qui étaient ces bataillons. Selon l'agence Ria Novosti, la CIA avait recruté des islamistes pour les envoyer en Ukraine en tant que mercenaires. Ils étaient recrutés dans des camps de prisonniers, lesquels étaient sous contrôle Kurde. Notamment, des Tchétchènes, des Irakiens voire des Ouighours étaient recrutés pour former les bataillons Tchétchènes.
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il y a 2 ans
Des tchétchènes, des djihadistes et un Japonais. Parmi ses rangs, des personnalités se sont incroyablement difficile coriaces à documenter, et notamment parmi ces personnalités on trouve un certain Khassan Issaev, qui était correspondant de guerre tchétchène, ou encore un chef séparatiste tchétchène du nom de Rouslan Eltaev, et un ancien de la guerre du Haut-Karabagh, Noureddine Ismaïlov, mais d’autres ont été plus transparents. Il n’existe quasiment pas de traces des combattants de ce bataillon, pour la simple et bonne raison que beaucoup sont des terroristes recherchés à la fois par la Russie, ou en Occident, et par le fait qu’il s’agit essentiellement de mercenaires. Tout ce petit monde n’a donc pas eu intérêt à se montrer en pleine lumière. Les biographies qui vont suivre sont essentiellement celles d’idéologues et de personnages publics, plus ou moins connus, qui pour l’immense majorité ne portèrent en réalité jamais d’armes.
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il y a 2 ans
Sergeï Melnikoff (1955-), originaire de Russie, né à Leningrad, installé par la suite en Ouzbékistan. Il vécut un temps de fraudes et d’escroqueries, avant d’être arrêté et condamné à une peine de 6 ans de prison (1980-1986). Il préféra prendre le large et s’enfuir, il quitta le pays (1991), en passant à pied la frontière avec la Chine communiste, et se présenta dès lors comme un réfugié politique. Il se rendit aux États-Unis, cherchant à s’infiltrer dans les milieux des médias, mais aussi dans une Commission du Pentagone pour la recherche de prisonniers de guerre américains disparus. Il déclara ensuite avoir vraiment travaillé pour le Pentagone, mythomane invétéré, il n’a cessé de mentir sur ses origines, il aurait été le fils d’un général d’aviation soviétique, il serait poursuivi par les services secrets Nord-coréens, affirmant qu’il y aurait eu un goulag Nord-Coréen en URSS, où il se serait introduit et y aurait photographié Kim il Sung en personne (1989-1990). Il aurait selon lui également était un pionnier du tourisme spatial et se serait préparé à un séjour pour la station orbitale Mir, qu’il ne fit jamais (1995). Il se livra à de nouvelles fraudes et escroqueries et préféra prendre le large, revenant en Ouzbékistan, à Tachkent (1998-2005). Il se rendit en Russie et en Ukraine, tentant de se présenter comme un voyageur et propriétaires d’entreprises, producteur de films ou comme artiste. Il tenta de s’infiltrer dans l’élite et le milieu des affaires, se présentant aussi comme citoyen américain. Il s’engagea alors fermement dans la propagande antirusse (2006), monta un blog, surfant sur les répressions staliniennes et le goulag. Il en fit bientôt un fond de commerce, recherchant les anciens camps, publiant des photos des ruines, puis assurant avoir acheté par la corruption au FSB, 12 tonnes d’archives sur les goulags. Dans ces activités, il publia de nombreuses photos du « goulag », notamment des photos en réalité des massacres commis par les nazis dans les territoires baltes ou ukrainiens. Il s’engagea ensuite pour la cause des séparatistes tchétchènes, prenant de nombreux contacts parmi eux, publiant des articles de plus en plus violents à l’égard de la Russie. Il tenta d’organiser une expédition sur l’Everest pour y planter le drapeau des islamistes tchétchènes, projet pour lequel il collecta des fonds et qui ne fut jamais réalisé. Il organisa une exposition russophobe au Kirghizstan (février 2010), ce qui déclencha la démission du chef de l’Agence d’état pour la culture, condamnant cette dernière et assurant qu’elle pouvait détériorer les relations entre ce pays et la Russie. Il fut décoré par les Tchétchènes pour ses actions propagandistes (17 mars 2012), retourna aux États-Unis dont il avait finalement obtenu la nationalité et continua son agitation politique antirusse. Il se rendit à Kiev lors du Maïdan et prit quelques photos, prenant des contacts avec les membres les plus extrémistes de cette révolution, notamment le Parti Pravy Sektor (hiver 2013-2014). Il rejoignit officiellement le bataillon tchétchène Djokhar Doudaïev formé pour combattre contre les insurgés russes dans le Donbass (mars 2014). Mais il se borna simplement à ses publications comme agitateur et provocateur. Il organisa en Lettonie, à Riga, avec l’aide du gouvernement de ce pays, une exposition « Les gens du Maïdan », présentant cette révolution selon la propagande ukrainienne et occidentale (automne 2015). Il toucha des fonds pour cette action, du Patriarcat orthodoxe de Kiev, mais aussi des ambassades lettone, polonaise et ukrainienne, sans parler de diverses associations américaines liées à l’USAID. Il déclara publiquement à cette occasion que la Lettonie devait procéder à l’expropriation et l’expulsion de tous les Russes ethniques du pays, ce qui fit quelques remous médiatiques en Russie et en Lettonie. L’exposition fut attaquée par des militants pro-russes et antifascistes, conduisant à leurs arrestations. Un conflit éclata entre la mairie de Riga, inquiète des manifestations et des troubles générés, sans parler des bombes lancées par les déclarations racistes et assassines de Melnikoff. L’exposition fut finalement interdite (12 octobre 2015), lui-même assurant attaquer en justice la mairie et réclamer une indemnisation d’un demi-million d’euros. Une partie des photos n’ayant pas été prises par lui, et exposées illégalement en vertu des droits d’auteur, l’affaire s’envenima jusqu’à ce que des politiciens lettons, dont la députée au Parlement européen Tatiana Jdanok déclare qu’il s’agissait « d’un aventurier et russophobe et un provocateur », déplorant les manifestations d’opposants mais déclarant qu’elles étaient inévitables en particulier à cause d’un drapeau du Parti néonazi ukrainien Pravy Sektor, que Melnikoff avait installé dans l’exposition. Elle déclara également qu’il devrait être expulsé de Lettonie et interdit de séjour, y compris dans les autres pays de l’Union européenne.
MODIFICATION
Sergeï Melnikoff est un individu qui est né en 1955 et qui est, originaire de Russie. Ce type est né à Saint Petersburg. Il est allé en Ouzbékhistan. Il fait 6 ans de prisons pour cause de fraude set d'escroquerie entre 1980 et 1986. Finalement il quitte l'OUzbékhistan et passe par la Chine pour se présenter comme réfugié politique. Il se rendit aux États-Unis, cherchant à s’infiltrer dans les milieux des médias, mais aussi dans une Commission du Pentagone pour la recherche de prisonniers de guerre américains disparus. Il dit par la suite avoir vraiment travaillé pour le Pentagone. Ce type a menti sur ses origines. Soit disant un fils de général d’aviation soviétique poursuivi par les services secrets de la Corée du Nord, Il prétend qu'il y a un goulag nord coréen en URSS et qu'il y aurait photographié Kim Il Sung lui même.. Il aurait selon lui également était soit disant un des pionniers du tourisme spatial et se serait préparé à un séjour pour la station orbitale Mi en 1005, ce qui ne fut pas fait.En Ouzbékistan, à Tachkent il revient en 1995 après d'autres escroqueries.. Il part ensuite en Russie et en Ukraine, tentant de se présenter comme un voyageur et propriétaires d’entreprises, producteur de films ou comme artiste. Il essaye tant bien que mal de s’infiltrer dans l’élite et le milieu des affaires, soit disant en tant que citoyen américain. Il commence de la propagande antirusse, parlant souvent notamment de la période de l'URSS. Il en fit bientôt un fond de commerce, recherchant les anciens camps, publiant des photos des ruines, puis assurant avoir acheté par la corruption au FSB, 12 tonnes d’archives sur les goulags. Il avait publié plusieurs photos du goulag soit disant, par exemple des photos qui sont des photos de tueries perpétrés par les nazis dans les territoires baltes ou en Ukraine. Ce type s'engage ensuite pour les séparatistes tchétchènes, prenant de nombreux contacts parmi eux, publiant des articles de plus en plus haineux envers la Russie. Sergei essaye ensuite d’organiser une expédition sur l’Everest pour y planter le drapeau des islamistes tchétchènes. Il essaye de rassembler des fonds mais cela ne fut pas effectué. Au Kirghizstan en février 2010 il organise une expédition russophobe. Cela déclenche la démission du chef de l’Agence d’état pour la culture, condamnant cette dernière et assurant qu’elle pouvait détériorer les relations entre ce pays et la Russie. Il fut décoré par les Tchétchènes pour ses actions propagandistes (17 mars 2012), retourna aux États-Unis dont il avait finalement obtenu la nationalité et continua son agitation politique antirusse. Sergei se rend ensuite à Kiev lors de la révolution orange du Maïdan et prit quelques photos, prend des contacts avec des membres extrêmistes de cette révolution, par exemple de Pravy Sektor au début de 2014. C'est juste après qu'il choisit de rejoindre le bataillon Djokhar Doudaïev formé pour combattre contre les russes ethniques du Donbass. Sergei se contente juste de faire des publications comme agitateur et provocateur. Il organisa en Lettonie, à Riga, avec l’aide du gouvernement de ce pays, une exposition « Les gens du Maïdan », présentant cette révolution selon la propagande ukrainienne et occidentale (automne 2015). Il toucha des fonds pour cette action, du Patriarcat orthodoxe de Kiev, mais aussi des ambassades lettone, polonaise et ukrainienne, sans parler de diverses associations américaines liées à l’USAID. Il déclara publiquement à cette occasion que la Lettonie devait procéder à l’expropriation et l’expulsion de tous les Russes ethniques du pays, ce qui fit quelques remous médiatiques en Russie et en Lettonie. L’exposition a été attaquée par des militants pro russes et antifascistes, ce qui a entraîné à leurs arrestations. Cela a entraîné un conflit entre la mairie de Riga, inquiète des manifestations et de ses conséquences, plus les bombes lancées par les déclarations racistes de Melnikoff. L’exposition a été interdite le 12 octobre 2015, lui-même assurant attaquer en justice la mairie et réclamer une indemnisation d’un demi-million d’euros. Une partie des photos n’ayant pas été prises par lui, et exposées illégalement en vertu des droits d’auteur, l’affaire s’envenima jusqu’à ce que des politiciens lettons, dont la députée au Parlement européen Tatiana Jdanok déclare qu’il s’agissait « d’un aventurier et russophobe et un provocateur », déplorant les manifestations d’opposants mais déclarant qu’elles étaient inévitables en particulier à cause d’un drapeau du Parti néonazi ukrainien Pravy Sektor, que Melnikoff avait installé dans l’exposition. Elle déclara également qu’il devrait être expulsé de Lettonie et interdit de séjour, y compris dans les autres pays de l’Union européenne.
MODIFICATION
Sergeï Melnikoff est un individu qui est né en 1955 et qui est, originaire de Russie. Ce type est né à Saint Petersburg. Il est allé en Ouzbékhistan. Il fait 6 ans de prisons pour cause de fraude set d'escroquerie entre 1980 et 1986. Finalement il quitte l'OUzbékhistan et passe par la Chine pour se présenter comme réfugié politique. Il se rendit aux États-Unis, cherchant à s’infiltrer dans les milieux des médias, mais aussi dans une Commission du Pentagone pour la recherche de prisonniers de guerre américains disparus. Il dit par la suite avoir vraiment travaillé pour le Pentagone. Ce type a menti sur ses origines. Soit disant un fils de général d’aviation soviétique poursuivi par les services secrets de la Corée du Nord, Il prétend qu'il y a un goulag nord coréen en URSS et qu'il y aurait photographié Kim Il Sung lui même.. Il aurait selon lui également était soit disant un des pionniers du tourisme spatial et se serait préparé à un séjour pour la station orbitale Mi en 1005, ce qui ne fut pas fait.En Ouzbékistan, à Tachkent il revient en 1995 après d'autres escroqueries.. Il part ensuite en Russie et en Ukraine, tentant de se présenter comme un voyageur et propriétaires d’entreprises, producteur de films ou comme artiste. Il essaye tant bien que mal de s’infiltrer dans l’élite et le milieu des affaires, soit disant en tant que citoyen américain. Il commence de la propagande antirusse, parlant souvent notamment de la période de l'URSS. Il en fit bientôt un fond de commerce, recherchant les anciens camps, publiant des photos des ruines, puis assurant avoir acheté par la corruption au FSB, 12 tonnes d’archives sur les goulags. Il avait publié plusieurs photos du goulag soit disant, par exemple des photos qui sont des photos de tueries perpétrés par les nazis dans les territoires baltes ou en Ukraine. Ce type s'engage ensuite pour les séparatistes tchétchènes, prenant de nombreux contacts parmi eux, publiant des articles de plus en plus haineux envers la Russie. Sergei essaye ensuite d’organiser une expédition sur l’Everest pour y planter le drapeau des islamistes tchétchènes. Il essaye de rassembler des fonds mais cela ne fut pas effectué. Au Kirghizstan en février 2010 il organise une expédition russophobe. Cela déclenche la démission du chef de l’Agence d’état pour la culture, condamnant cette dernière et assurant qu’elle pouvait détériorer les relations entre ce pays et la Russie. Il fut décoré par les Tchétchènes pour ses actions propagandistes (17 mars 2012), retourna aux États-Unis dont il avait finalement obtenu la nationalité et continua son agitation politique antirusse. Sergei se rend ensuite à Kiev lors de la révolution orange du Maïdan et prit quelques photos, prend des contacts avec des membres extrêmistes de cette révolution, par exemple de Pravy Sektor au début de 2014. C'est juste après qu'il choisit de rejoindre le bataillon Djokhar Doudaïev formé pour combattre contre les russes ethniques du Donbass. Sergei se contente juste de faire des publications comme agitateur et provocateur. Il organisa en Lettonie, à Riga, avec l’aide du gouvernement de ce pays, une exposition « Les gens du Maïdan », présentant cette révolution selon la propagande ukrainienne et occidentale (automne 2015). Il toucha des fonds pour cette action, du Patriarcat orthodoxe de Kiev, mais aussi des ambassades lettone, polonaise et ukrainienne, sans parler de diverses associations américaines liées à l’USAID. Il déclara publiquement à cette occasion que la Lettonie devait procéder à l’expropriation et l’expulsion de tous les Russes ethniques du pays, ce qui fit quelques remous médiatiques en Russie et en Lettonie. L’exposition a été attaquée par des militants pro russes et antifascistes, ce qui a entraîné à leurs arrestations. Cela a entraîné un conflit entre la mairie de Riga, inquiète des manifestations et de ses conséquences, plus les bombes lancées par les déclarations racistes de Melnikoff. L’exposition a été interdite le 12 octobre 2015, lui-même assurant attaquer en justice la mairie et réclamer une indemnisation d’un demi-million d’euros. Une partie des photos n’ayant pas été prises par lui, et exposées illégalement en vertu des droits d’auteur, l’affaire s’envenima jusqu’à ce que des politiciens lettons, dont la députée au Parlement européen Tatiana Jdanok déclare qu’il s’agissait « d’un aventurier et russophobe et un provocateur », déplorant les manifestations d’opposants mais déclarant qu’elles étaient inévitables en particulier à cause d’un drapeau du Parti néonazi ukrainien Pravy Sektor, que Melnikoff avait installé dans l’exposition. Elle déclara également qu’il devrait être expulsé de Lettonie et interdit de séjour, y compris dans les autres pays de l’Union européenne.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Issa Mounaïev (1965-2015), originaire de Tchétchénie, d’un pays petit village reculé. Il s’enrôla dans l’Armée soviétique (1983), et aurait combattu selon ses dires en Afghanistan du côté de l’URSS. Il se rangea dans le camp des séparatistes et islamistes tchétchènes, servant durant la Première Guerre de Tchétchénie (1994-1996), puis durant la Seconde Guerre de Tchétchénie (1999-2009), qui vit la défaite finale et totale de son camp. Il fut commandant d’un bataillon d’assaut Lemi Mounaïev, atteignant le grade de colonel de police (1994-1996), puis revînt à des activités civiles, directeur d’une usine à Grozny. Commandant de la défense de la ville au commencement de la Seconde Guerre de Tchétchénie (1999), il fut nommé général de brigade (2001). Il fut grièvement blessé dans les combats (entre 2004 et 2006), et secrètement transporté en Géorgie, puis en Turquie pour y être soigné, et enfin au Danemark. Il obtînt alors sur place l’asile politique et bientôt la citoyenneté de ce dernier pays. Il fonda immédiatement un mouvement politique, le Caucase Libre, dont il fut le président, et fut nommé procureur-général du gouvernement tchétchène en exil. Il fonda le bataillon Djockhar Doudaïev (mars 2014), ralliant à lui un maximum de fanatiques tchétchènes et d’islamistes hétéroclites (environ 300). Il commanda l’unité durant les batailles perdues des frontières et de Debaltsevo (2014-2015), et fut tué par un obus de mortier dans cette dernière bataille, qui se termina en déroute ukrainienne (1er février 2015). Un rassemblement fut organisé à Kiev pour honorer sa mémoire (6 février), puis il fut enterré à Dniepropetrovsk (8 février). Il fut aussi décoré à titre posthume de la médaille de « Héros de l’Ukraine », par le Président Porochenko. Il était recherché de longue date pour ses crimes de guerre commis durant les guerres de Tchétchénie, par la Fédération de Russie.
MODIFICATION
Issa Mounaïev est né en 1965 et il est mort en 2015. Le mec est originaire de Tchétchénie. Il s’engage dans l’Armée soviétique en 1983, et aurait combattu selon ses propres dires en Afghanistan du côté de l'Armée rouge. Il prend ensuite parti pour les séparatistes et pour les islamistes tchétchènes. Il a fait les deux guerres de Tchétchénie. Durant la deuxième, son camp est complètement battu. Il est commandant d’un bataillon d’assaut Lemi Mounaïev. Il a le grade de colonel de police, puis il revient à des activités civiles en tant que directeur d’une usine à Grozny. Commandant de la défense de la ville au commencement de la Seconde Guerre de Tchétchénie en 1999, il fut nommé général de brigade (2001). Issa Mounaiev a été gravement blessé dans les combats de la guerre de Tchétchénie ayant eu lieu entre 2004 et 2006 puis il a été secrètement transporté en Géorgie et en Turquie pour y être soigné, et enfin au Danemark. Il a obtenu alors sur place l’asile politique et bientôt la citoyenneté de ce dernier pays. Il met sur pied un mouvement politique, qui est le Caucase Libre, dont il est le président, et nommé procureur-général du gouvernement tchétchène en exil. En mars 2014, le bataillon Djockhar Doudaïev,, et il rallie à lui un maximum de fanatiques tchétchènes et d’islamistes hétéroclites (environ 300). Il dirigece bataillon durant les batailles perdues des frontières et de Debaltsevo en 2014 et 2015 et est tué par un obus de mortier dans cette dernière bataille, qui se termina en défaite ukrainienne le 1er février 2015. Le 6 février 2015, un rassemblement est organisé pour lui rendre hommage, puis le 8 février il est enterré à Dniepropetrovsk . Il fut aussi décoré à titre posthume de la médaille de « Héros de l’Ukraine », par le Président Porochenko. Il était déjà de base recherché par la Russie depuis longtemps pour ses crimes de guerre commis durant les guerres de Tchétchénie.
MODIFICATION
Issa Mounaïev est né en 1965 et il est mort en 2015. Le mec est originaire de Tchétchénie. Il s’engage dans l’Armée soviétique en 1983, et aurait combattu selon ses propres dires en Afghanistan du côté de l'Armée rouge. Il prend ensuite parti pour les séparatistes et pour les islamistes tchétchènes. Il a fait les deux guerres de Tchétchénie. Durant la deuxième, son camp est complètement battu. Il est commandant d’un bataillon d’assaut Lemi Mounaïev. Il a le grade de colonel de police, puis il revient à des activités civiles en tant que directeur d’une usine à Grozny. Commandant de la défense de la ville au commencement de la Seconde Guerre de Tchétchénie en 1999, il fut nommé général de brigade (2001). Issa Mounaiev a été gravement blessé dans les combats de la guerre de Tchétchénie ayant eu lieu entre 2004 et 2006 puis il a été secrètement transporté en Géorgie et en Turquie pour y être soigné, et enfin au Danemark. Il a obtenu alors sur place l’asile politique et bientôt la citoyenneté de ce dernier pays. Il met sur pied un mouvement politique, qui est le Caucase Libre, dont il est le président, et nommé procureur-général du gouvernement tchétchène en exil. En mars 2014, le bataillon Djockhar Doudaïev,, et il rallie à lui un maximum de fanatiques tchétchènes et d’islamistes hétéroclites (environ 300). Il dirigece bataillon durant les batailles perdues des frontières et de Debaltsevo en 2014 et 2015 et est tué par un obus de mortier dans cette dernière bataille, qui se termina en défaite ukrainienne le 1er février 2015. Le 6 février 2015, un rassemblement est organisé pour lui rendre hommage, puis le 8 février il est enterré à Dniepropetrovsk . Il fut aussi décoré à titre posthume de la médaille de « Héros de l’Ukraine », par le Président Porochenko. Il était déjà de base recherché par la Russie depuis longtemps pour ses crimes de guerre commis durant les guerres de Tchétchénie.
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il y a 2 ans
Ilias Moussaïev ( ?-), originaire de Tchétchénie, il fit des études à Grozny, en histoire et études sociales (1977-1982). Il fut l’un des séparatistes tchétchènes qui combattit contre la Russie lors des deux guerres de Tchétchénie (1994-1996 et 1999-2009). Il fut vice-ministre des Affaires étrangères de la république séparatiste de Tchétchénie (1998-1999), puis au même poste quelques années plus tard (2005). Il prit la fuite et émigra au Danemark, où il obtînt l’asile politique. Il devînt le chef du Comité d’Organisation du mouvement social et politique Caucase Libre. Il militait pour la libération de l’ensemble du Caucase de la Russie, un projet presque délirant. Dans une interview, il précisait que le mouvement en exil avait été fondé avec des Tchétchènes, mais également des Géorgiens et des Azerbaïdjanais. Il affirmait que des politiciens de l’Union Européenne et des USA étaient derrière eux et approuvaient l’idée d’un Caucase unifié. Selon lui l’effondrement prochain de ce qu’il appelait « l’État colonial russe » était proche, et il annonça même que la Russie pouvait envahir la Géorgie du jour au lendemain, notamment dans l’année 2012 (2011). Puis il répondit à l’appel de Mounaïev pour former un bataillon de Tchétchènes du nom de Djokhar Doudaïev (printemps 2014), devant combattre en Ukraine. Il ne semble pas qu’il y resta longtemps et rentra bientôt dans son exil, pur idéologue. Il lança toutefois un appel aux Ukrainiens (26 février 2022), pour rappeler que des Tchétchènes avaient combattu à leurs côtés, et des Ukrainiens autrefois dans leurs rangs… dépité finalement de voir débarquer contre l’Ukraine la division tchétchène envoyée par Kadyrov.
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il y a 2 ans
Sources pour Moussaiev
https://newcaucasus.com/s[...]h-rossiyskogo-koloni.html
Ильяс Мусаев: крах российского колониального государства решит конфликты на Кавказе
03.03.2011
https://chechenews.com/%D[...]%D0%BD%D1%86%D0%B0%D0%BC/
Ильяс Мусаев: Обращение к украинцам. (ВИДЕО)
Ильяс Мусаев: крах российского колониального государства решит конфликты на Кавказе
03.03.2011
Ильяс Мусаев: Обращение к украинцам. (ВИДЕО)
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il y a 2 ans
Уважаемые украинцы!
Свободные чеченцы в разных концах земного шара болеют и переживают за вашу справедливую освободительную войну против российских оккупантов.
Лучшие сыновья и дочери чеченского народа сложили свои головы, защищая свободу, независимость и территориальную целостность украинского государства.
Несмотря на судебные преследования со стороны украинских властей, которые выдавали российским властям бывших бойцов международных миротворческих батальонов имени Джохара Дудаева и Шейха Мансура, а также не имея нормальных документов на проживание, чеченские добровольцы находятся и сегодня в Украине вместе с вами, защищая ваше государство.
Систематически называя кадыровцев, (которые фактически являются российскими военнослужащими), чеченцами, вы оскорбляете нас тысячи свободных чеченцев, которые словом и делом стараются помочь вам в вашей неравной войне против российских оккупантов.
Во время российско-чеченских войн тысячи украинцев находились в составе российских оккупационных войск, помогая им осуществлять геноцид чеченского народа.
Однако нам не приходило в голову отождествлять их с вашим гордым свободолюбивым народом.
Поэтому, убедительно просим Вас не называть чеченцами тех манкуртов, которые продали души дьяволу и служат международному преступнику Путину, называя себя его пехотинцами.
Мы верим в вашу неминуемую победу над российскими агрессорами и дружбу между нашими народами после того, как мы отстоим вашу и нашу свободу, и независимость!
Слава Украине! Слава Ичкерии!
Ильяс Мусаев, ветеран чеченской независимости.
Свободные чеченцы в разных концах земного шара болеют и переживают за вашу справедливую освободительную войну против российских оккупантов.
Лучшие сыновья и дочери чеченского народа сложили свои головы, защищая свободу, независимость и территориальную целостность украинского государства.
Несмотря на судебные преследования со стороны украинских властей, которые выдавали российским властям бывших бойцов международных миротворческих батальонов имени Джохара Дудаева и Шейха Мансура, а также не имея нормальных документов на проживание, чеченские добровольцы находятся и сегодня в Украине вместе с вами, защищая ваше государство.
Систематически называя кадыровцев, (которые фактически являются российскими военнослужащими), чеченцами, вы оскорбляете нас тысячи свободных чеченцев, которые словом и делом стараются помочь вам в вашей неравной войне против российских оккупантов.
Во время российско-чеченских войн тысячи украинцев находились в составе российских оккупационных войск, помогая им осуществлять геноцид чеченского народа.
Однако нам не приходило в голову отождествлять их с вашим гордым свободолюбивым народом.
Поэтому, убедительно просим Вас не называть чеченцами тех манкуртов, которые продали души дьяволу и служат международному преступнику Путину, называя себя его пехотинцами.
Мы верим в вашу неминуемую победу над российскими агрессорами и дружбу между нашими народами после того, как мы отстоим вашу и нашу свободу, и независимость!
Слава Украине! Слава Ичкерии!
Ильяс Мусаев, ветеран чеченской независимости.
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il y a 2 ans
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Руководитель Оргкомитета общественно-политического движения “Свободный Кавказ” (Дания) Ильяс Мусаев в эксклюзивном интервьюnewcaucasus.com рассказывает об идее создания единого общекавказского пространства, о противодействии этому со стороны России. “Уход России с Кавказа – это залог мирного демократического развития всех кавказских народов”, – говорит Мусаев.
– Расскажите о Вашей организации – какие цели она преследует?
– Общественно-политическое движение “Свободный Кавказ” создано в феврале 2008 года в датском городе Херлев на учредительной конференции представителей Грузии, Азербайджана и Чечении, с целью объединения кавказских диаспор мира с последующим взаимовыгодным сотрудничеством в плане сохранения наших многонациональных культур, языков, традиций и обычаев, и конечно же, для совместной политической, идеологической и информационной работы против российской имперской политики на Кавказе.
Стратегической целью ОПД “Свободный Кавказ” является организация и проведение “Всемирного Конгресса Кавказских Диаспор”, на котором планируется создание исполнительных структур, наделенных полномочиями делегатов Конгресса. Полномочные представители Конгресса в будушем смогли бы выполнять роль посредников в деле разрешения многочисленных межнациональных и территориальных конфликтов между братскими народами Кавказа, а также вести среди европейской общественности информационно-разъяснительную работу, раскрывая суть неоколониальной политики России на Кавказе.
– Ваша организация выступает с идеей создания единого общекавказского пространства. Насколько Вам представляется это реальным в условиях существования многочисленных конфликтов на Кавказе?
– Идея создания общекавказского пространства в головах истинных патриотов Кавказа существовала всегда и примером тому является деятельность двух выдающихся президентов Чечни и Грузии Джохара Дудаева и Звиада Гамсахурдиа в этом направлении. Они до конца своей жизни были преданы идее всеобщего “Кавказского Дома”, где учитывались бы интересы всех кавказских народов. Мы, в свою очередь, невзирая на серьезные трудности при выполнении этой задачи, будем стараться действовать в этом направлении.
– Поддерживают ли идею единого Кавказа в России, США, Европе?
– Насколько официальные лица Америки и Европы поддерживают идею единого Кавказа понять невозможно, но в кругах европейской общественности и части политической элиты, такая постановка вопроса одобряется. Что касается России, то за исключением официальных лиц, связанных с кремлевскими властями, многие российские политики и общественно-политические деятели приходят к пониманию того факта, что рано или поздно Кавказ будет единым и независимым.
– Каким Вам видится решение конфликтов на Южном Кавказе – в Абхазии, Нагорном Карабахе, Южной Осетии?
– Неизбежный и предсказуемый многими сегодняшними аналитиками и политиками крах российского колониального государства – главное и необходимое условие для подлинного разрешения всех межнациональных и территориальных конфликтов на Кавказе. Без этого все попытки международных организаций и стран мирового сообщества будут наталкиваться на очень серьезное противодействие со стороны России. Уход России с Кавказа – это залог мирного демократического развития всех кавказских народов, которых объединяет общая история, культура, обычаи и традиции.
– Российские силовики часто говорят о наличии «баз северокавказских боевиков» в Панкисском ущелье Грузии. Как Вы считаете, это соответствует действительности?
– Пока грузинские власти и ее свободолюбивый народ будут ориентироваться на общеевропейские ценности и проводить самостоятельную независимую от Кремля внутреннюю и внешнюю политику, российские власти всегда будут озвучивать подобные дезинформации с целью ввести в заблуждение мировое сообщество и в любой момент, основываясь на этом, проводить вооруженные провокации против грузинского государства.
– В прошлом году президент Михаил Саакашвили озвучил идею создания конфедерации Грузии и Азербайджана. Насколько реальной она Вам представляется?
– Идея создания конфедерации Грузии и Азербайджана возможна лишь при условии если официальный Баку будет самостоятельным в своих решениях, также как это сегодня делает президент Грузии Михаил Саакашвили. Иначе, любая такая попытка обречена на провал.
– Как Вы оцениваете отмену визового режима со стороны Грузии для жителей Северного Кавказа?
– Благодаря этому смелому политическому шагу со стороны Грузии представители народов Северного Кавказа получили возможность посещать эту страну и на практике увидеть реальные экономические достижения молодого грузинского государства. Заодно, жители Северного Кавказа имеют возможность через Грузию поехать в другие государства, экономя на этом время и финансы. Решение Грузии отменить визовый режим показывает также ее родственные симпатии к народам Северного Кавказа.
– Расскажите о Вашей организации – какие цели она преследует?
– Общественно-политическое движение “Свободный Кавказ” создано в феврале 2008 года в датском городе Херлев на учредительной конференции представителей Грузии, Азербайджана и Чечении, с целью объединения кавказских диаспор мира с последующим взаимовыгодным сотрудничеством в плане сохранения наших многонациональных культур, языков, традиций и обычаев, и конечно же, для совместной политической, идеологической и информационной работы против российской имперской политики на Кавказе.
Стратегической целью ОПД “Свободный Кавказ” является организация и проведение “Всемирного Конгресса Кавказских Диаспор”, на котором планируется создание исполнительных структур, наделенных полномочиями делегатов Конгресса. Полномочные представители Конгресса в будушем смогли бы выполнять роль посредников в деле разрешения многочисленных межнациональных и территориальных конфликтов между братскими народами Кавказа, а также вести среди европейской общественности информационно-разъяснительную работу, раскрывая суть неоколониальной политики России на Кавказе.
– Ваша организация выступает с идеей создания единого общекавказского пространства. Насколько Вам представляется это реальным в условиях существования многочисленных конфликтов на Кавказе?
– Идея создания общекавказского пространства в головах истинных патриотов Кавказа существовала всегда и примером тому является деятельность двух выдающихся президентов Чечни и Грузии Джохара Дудаева и Звиада Гамсахурдиа в этом направлении. Они до конца своей жизни были преданы идее всеобщего “Кавказского Дома”, где учитывались бы интересы всех кавказских народов. Мы, в свою очередь, невзирая на серьезные трудности при выполнении этой задачи, будем стараться действовать в этом направлении.
– Поддерживают ли идею единого Кавказа в России, США, Европе?
– Насколько официальные лица Америки и Европы поддерживают идею единого Кавказа понять невозможно, но в кругах европейской общественности и части политической элиты, такая постановка вопроса одобряется. Что касается России, то за исключением официальных лиц, связанных с кремлевскими властями, многие российские политики и общественно-политические деятели приходят к пониманию того факта, что рано или поздно Кавказ будет единым и независимым.
– Каким Вам видится решение конфликтов на Южном Кавказе – в Абхазии, Нагорном Карабахе, Южной Осетии?
– Неизбежный и предсказуемый многими сегодняшними аналитиками и политиками крах российского колониального государства – главное и необходимое условие для подлинного разрешения всех межнациональных и территориальных конфликтов на Кавказе. Без этого все попытки международных организаций и стран мирового сообщества будут наталкиваться на очень серьезное противодействие со стороны России. Уход России с Кавказа – это залог мирного демократического развития всех кавказских народов, которых объединяет общая история, культура, обычаи и традиции.
– Российские силовики часто говорят о наличии «баз северокавказских боевиков» в Панкисском ущелье Грузии. Как Вы считаете, это соответствует действительности?
– Пока грузинские власти и ее свободолюбивый народ будут ориентироваться на общеевропейские ценности и проводить самостоятельную независимую от Кремля внутреннюю и внешнюю политику, российские власти всегда будут озвучивать подобные дезинформации с целью ввести в заблуждение мировое сообщество и в любой момент, основываясь на этом, проводить вооруженные провокации против грузинского государства.
– В прошлом году президент Михаил Саакашвили озвучил идею создания конфедерации Грузии и Азербайджана. Насколько реальной она Вам представляется?
– Идея создания конфедерации Грузии и Азербайджана возможна лишь при условии если официальный Баку будет самостоятельным в своих решениях, также как это сегодня делает президент Грузии Михаил Саакашвили. Иначе, любая такая попытка обречена на провал.
– Как Вы оцениваете отмену визового режима со стороны Грузии для жителей Северного Кавказа?
– Благодаря этому смелому политическому шагу со стороны Грузии представители народов Северного Кавказа получили возможность посещать эту страну и на практике увидеть реальные экономические достижения молодого грузинского государства. Заодно, жители Северного Кавказа имеют возможность через Грузию поехать в другие государства, экономя на этом время и финансы. Решение Грузии отменить визовый режим показывает также ее родственные симпатии к народам Северного Кавказа.
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il y a 2 ans
– Председатель парламентского комитета Грузии по вопросам диаспоры и Кавказа Нугзар Циклаури заявил, что грузинский парламент начинает работать над признанием геноцида черкесов в Российской империи. Не вызовет ли это еще большее осложнение грузино-российских отношений, осложнение отношений с Арменией, которая также выступает за признание геноцида армян в Турции?
– Если грузинский парламент, признав историческую справедливость постановки такого вопроса решится на признание геноцида черкесов в Российской империи, то это вызовет доверие и признание лидерства Грузии со стороны кавказских народов. Что касается осложнения российско-грузинских отношений после этого, то и без этого, пока у власти находится преступный дуимвират “Медведев-Путин” никакой перспективы улучшения этих отношений не будет.
В отличие от других стран, Россия всегда считала и считает любой компромисс и уступки со стороны противника его трусостью и слабостью. Тому в истории много примеров. Что касается Армении, то ее нынешние власти относятся к Грузии и ее народу с большими симпатиями и поэтому они навряд ли осложнят свои традиционно хорошие отношения с грузинами.
– Российский политик Константин Боровой недавно заявил о том, что Россия может напасть на Грузию в предверии выборов президента в РФ и Сочинской олимпиады. Насколько реален подобный сценарий?
– Россия непредсказуемая имперская страна, которая может осуществить любую вооруженную провокацию против Грузии. Однако, активная внешнеполитическая деятельность Грузии на международной арене, ее крепкий военно-политический союз с Америкой и активизация национально-освободительного движения народов Северного Кавказа, может явиться серьезной преградой для России в ее преступных планах против Грузии.
– Насколько реально возобновление боевых действий в Нагорном Карабахе?
– При наличии больших экономических интересов со стороны США и Европы в этом регионе, а также ухудшающейся с каждым днем политической ситуации в России, такой сценарий сегодня мне представляется практически невозможным.
– 23 февраля этого года “Свободный Кавказ” провел общекавказскую демонстрацию в столице Дании Копенгагене против “российского терроризма” на Кавказе. Какие еще мероприятия планируются в ближайшем будущем?
– ОПД “Свободный Кавказ” планирует различного рода международные конференции, где будут обсуждаться ситуация с правами человека, а также пути достижения мира между грузинами, абхазами и осетинами. В этом направлении мы уже начали работать. Кроме того будем старться проводить митинги, демонстрации, приуроченные к трагическим датам в истории кавказских народов, которых накопилось очень много со дня появления на Кавказе российских колонизаторов.
Ираклий Чихладзе, специально для newcaucasus.com
Фото из личного архива И.Мусаева
Краткая биографическая справка:
Ильяс Мусаев – заместитель министра иностранных дел ЧРИ 1998-1999 гг в правительстве Президента ЧРИ Аслана Масхадова.
1-й заместитель министра иностранных дел ЧРИ в правительстве Президента ЧРИ Абдул-Халима Садулаева 2005.
Руководитель Оргкомитета “Свободный Кавказ”.
Окончил Чечено-Ингушский Государственный Университет в (1977-1982) по специальности история и обществоведение.
– Если грузинский парламент, признав историческую справедливость постановки такого вопроса решится на признание геноцида черкесов в Российской империи, то это вызовет доверие и признание лидерства Грузии со стороны кавказских народов. Что касается осложнения российско-грузинских отношений после этого, то и без этого, пока у власти находится преступный дуимвират “Медведев-Путин” никакой перспективы улучшения этих отношений не будет.
В отличие от других стран, Россия всегда считала и считает любой компромисс и уступки со стороны противника его трусостью и слабостью. Тому в истории много примеров. Что касается Армении, то ее нынешние власти относятся к Грузии и ее народу с большими симпатиями и поэтому они навряд ли осложнят свои традиционно хорошие отношения с грузинами.
– Российский политик Константин Боровой недавно заявил о том, что Россия может напасть на Грузию в предверии выборов президента в РФ и Сочинской олимпиады. Насколько реален подобный сценарий?
– Россия непредсказуемая имперская страна, которая может осуществить любую вооруженную провокацию против Грузии. Однако, активная внешнеполитическая деятельность Грузии на международной арене, ее крепкий военно-политический союз с Америкой и активизация национально-освободительного движения народов Северного Кавказа, может явиться серьезной преградой для России в ее преступных планах против Грузии.
– Насколько реально возобновление боевых действий в Нагорном Карабахе?
– При наличии больших экономических интересов со стороны США и Европы в этом регионе, а также ухудшающейся с каждым днем политической ситуации в России, такой сценарий сегодня мне представляется практически невозможным.
– 23 февраля этого года “Свободный Кавказ” провел общекавказскую демонстрацию в столице Дании Копенгагене против “российского терроризма” на Кавказе. Какие еще мероприятия планируются в ближайшем будущем?
– ОПД “Свободный Кавказ” планирует различного рода международные конференции, где будут обсуждаться ситуация с правами человека, а также пути достижения мира между грузинами, абхазами и осетинами. В этом направлении мы уже начали работать. Кроме того будем старться проводить митинги, демонстрации, приуроченные к трагическим датам в истории кавказских народов, которых накопилось очень много со дня появления на Кавказе российских колонизаторов.
Ираклий Чихладзе, специально для newcaucasus.com
Фото из личного архива И.Мусаева
Краткая биографическая справка:
Ильяс Мусаев – заместитель министра иностранных дел ЧРИ 1998-1999 гг в правительстве Президента ЧРИ Аслана Масхадова.
1-й заместитель министра иностранных дел ЧРИ в правительстве Президента ЧРИ Абдул-Халима Садулаева 2005.
Руководитель Оргкомитета “Свободный Кавказ”.
Окончил Чечено-Ингушский Государственный Университет в (1977-1982) по специальности история и обществоведение.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Labelbeurre
2 ans
Le salut nazi à des dirigeants juifs, ça me fascinera toujours ces tocard d'ukrainiens, dans 10 ans elle sera en boite à faire la pute dans un pays occidental jamais de la vie elle plantera un russe
Les words
il y a 2 ans
Sources pour Melnikov.
https://nesvidomij.livejo[...]sclid=l59edqqmug783222552
https://shimerli.livejour[...]sclid=l59era63dg121373049
https://rusophobophob.livejournal.com/
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il y a 2 ans
il y a 2 ans
СЕРГЕЙ МЕЛЬНИКОФФ И ЕГО САЙТ. Ч.1
Биография международного авантюриста и главного редактора сайта «ГУЛАГ — с фотокамерой по лагерям» по степени «насыщенности» событиями и ложными следами оставляет далеко позади историю другого знаменитого фальсификатора – «человека-фотоаппарата» Данцига Балдаева. Достоверна лишь дата и место его рождения — 13 июля 1955 года, Ленинград, «в семье летчика WWII, генерала авиации». Образование – «закончил высшие курсы экономики при Министерстве внешнеэкономических связей». Министерство с таким названием было образовано только в 1988 году на базе Государственного комитета при Совете Министров СССР по внешнеэкономическим связям. Отраслевые курсы при министерствах существовали, но их задачей была не подготовка специалистов, а повышение уровня их квалификации – то есть попасть на них можно было только окончив профильный ВУЗ и проработав некоторое время в соответствующих ведомствах. Таким образом, Мельникофф, скорее всего, нигде не учился и не имеет диплома, так как для жанра биографии традиционным является сообщение сведений о месте получения высшего образования, а не о «курсах квалификации». ПТУ в которых обучали бы специалистов по «внешнеэкономическим связям» в СССР не существовало.
Впрочем «концепция в который раз изменилась». Теперь Мельникофф называет в качестве исвоей альма-матер уже не загадочные «курсы», а ЛГУ: «Так почему в городе на Неве, там где я родился и учился в университете с проклятым именем Жданова на фасаде, два здоровых и внешне не похожих на даунов 20-летних парня, убили и целиком съели свою знакомую?» (скриншот)
Свою карьеру Сергей Мельников (возможно) начал в идеологических структурах КПСС, что также весьма странно – ибо получившие образование в области «внешнеэкономических связей» прилагали все усилия для того, чтобы работать «по профилю», поскольку такая работа предполагала возможность регулярных заграничных командировок. Сам он пишет об этом периоде так – «бывший член правления Советского Фонда культуры. Более 30 лет работает в профессиональной журналистике». При этом «за свободомыслие, диссидентские настроения и призывы к суду над коммунистической партией, отбывал длительное заключение в политических лагерях СССР», причем в качестве периода пребывания в местах не столь отдаленных Мельникофф называет то 1983–1986 гг, то 1981–1987. За что именно он сидел – неизвестно, но есть непроверенная информация о том, что советский суд под «свободомыслием» имел в виду ст. 156 УК РСФСР «Обман покупателей и заказчиков». При этом уже в 1989 году Мельникофф принимает участие в гидрографической экспедиции на судне «Дмитрий Лаптев» и совершает погружение к затонувшему пароходу «Челюскин».Действительно участвовал:
Биография международного авантюриста и главного редактора сайта «ГУЛАГ — с фотокамерой по лагерям» по степени «насыщенности» событиями и ложными следами оставляет далеко позади историю другого знаменитого фальсификатора – «человека-фотоаппарата» Данцига Балдаева. Достоверна лишь дата и место его рождения — 13 июля 1955 года, Ленинград, «в семье летчика WWII, генерала авиации». Образование – «закончил высшие курсы экономики при Министерстве внешнеэкономических связей». Министерство с таким названием было образовано только в 1988 году на базе Государственного комитета при Совете Министров СССР по внешнеэкономическим связям. Отраслевые курсы при министерствах существовали, но их задачей была не подготовка специалистов, а повышение уровня их квалификации – то есть попасть на них можно было только окончив профильный ВУЗ и проработав некоторое время в соответствующих ведомствах. Таким образом, Мельникофф, скорее всего, нигде не учился и не имеет диплома, так как для жанра биографии традиционным является сообщение сведений о месте получения высшего образования, а не о «курсах квалификации». ПТУ в которых обучали бы специалистов по «внешнеэкономическим связям» в СССР не существовало.
Впрочем «концепция в который раз изменилась». Теперь Мельникофф называет в качестве исвоей альма-матер уже не загадочные «курсы», а ЛГУ: «Так почему в городе на Неве, там где я родился и учился в университете с проклятым именем Жданова на фасаде, два здоровых и внешне не похожих на даунов 20-летних парня, убили и целиком съели свою знакомую?» (скриншот)
Свою карьеру Сергей Мельников (возможно) начал в идеологических структурах КПСС, что также весьма странно – ибо получившие образование в области «внешнеэкономических связей» прилагали все усилия для того, чтобы работать «по профилю», поскольку такая работа предполагала возможность регулярных заграничных командировок. Сам он пишет об этом периоде так – «бывший член правления Советского Фонда культуры. Более 30 лет работает в профессиональной журналистике». При этом «за свободомыслие, диссидентские настроения и призывы к суду над коммунистической партией, отбывал длительное заключение в политических лагерях СССР», причем в качестве периода пребывания в местах не столь отдаленных Мельникофф называет то 1983–1986 гг, то 1981–1987. За что именно он сидел – неизвестно, но есть непроверенная информация о том, что советский суд под «свободомыслием» имел в виду ст. 156 УК РСФСР «Обман покупателей и заказчиков». При этом уже в 1989 году Мельникофф принимает участие в гидрографической экспедиции на судне «Дмитрий Лаптев» и совершает погружение к затонувшему пароходу «Челюскин».Действительно участвовал:
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans