Cette petite UKRAINIENNE : "Je vais PLANTER des RUSSES"

Troisième article :





Усиление мощи и боеспособности Азербайджанской Армии, а также последние широкомасштабные учения в прифронтовой зоне вызывают беспокойство армянской общественности. В армянских СМИ и соцсетях распространяется необъективная, не соответствующая действительности информация, бросающая тень на авторитет азербайджанского солдата. Самое печальное заключается в том, что среди поддерживающих вражескую пропаганду есть так называемые военные эксперты, состоящие из наших же соотечественников, проживающих за рубежом и завидующих росту военной мощи Азербайджана.

Об этом Armiya.az заявил военный эксперт, полковник запаса Шаир Рамалданов.

- К сожалению, среди них необходимо упомянуть Ису Садыхова, представляющего себя как бывшего заместителя министра обороны. В последнее время он выступает с необъективными и не соответствующими действительности заявлениями, которые подрывают авторитет Азербайджанской Армии. Заявления этого человека, который понятия не имеет о реформах в нашей армии, не что иное, как дилетантство. Давайте проанализируем некоторые его абсурдные слова.

Он утверждает, что азербайджанская сторона закупает у России устаревшую и некачественную военную технику и боеприпасы. Отмечу, что закупка техники – это длительный и сложный процесс. В первую очередь, проверяются технические параметры закупаемого оружия и военной техники, возможности их применения и соответствие боевым задачам, получается гарантия и начинаются поэтапные испытания. Закупаемая Азербайджаном военная техника модернизированная, она демонстрируется на парадах и используется в учениях.

За последние годы арсенал Вооруженных сил Азербайджана пополнился танками Т-90С, самоходной артиллерийской установкой «Мста-С» (152 мм), бронетранспортерами ЗТР-82А, ПДМ-3, тяжелой огнеметной системой «Солнцепек» ТОС-1А (220 мм), самоходным противотанковым комплексом «Хризантема-С», самоходной артиллерийской установкой «Вена» 2С31 (120 мм), зенитно-ракетными комплексами ОСА-1Т и БУК-МБ, многоканальной универсальной мобильной зенитно-ракетной системой «Фаворит» С-300, пушками «Гиацинт» 2A36 (152 мм). Об этом знает каждый лейтенант, но почему-то не знает тот, кто называет себя полковником.

Усиление мощи и боеспособности Азербайджанской Армии признают влиятельные международные организации и даже наш противник. По последним статданным, Азербайджанская Армия заняла 53-е место по 50-ти параметрам среди вооруженных сил 130-ти государств.

Далее И.Садыхов утверждает, что закупаемые Азербайджаном у России системы управления авиационных средств могут быть заблокированы страной-производителем прямо во время выполнения боевого задания. Отмечу, что все системы управления авиационных средств в авиапарке ВС Азербайджана модернизированы при помощи таких ведущих стран как Турция, Франция, Израиль, ЮАР, и оснащены современным оборудованием. Возможность вмешательства в работу систем управления со стороны страны-производителя полностью исключена.

Также он заявляет о том, что якобы во время боев в апреле 2016 года работа средств управления огнем в ЗТР-70 Азербайджанской Армии была ограничена радиоэлектронными средствами противника. Это абсурд, поскольку данная колесная техника устарела и уже не состоит в арсенале ВС Азербайджана, а заменена новейшим бронетранспортером ЗТР-82А. Кроме того, ЗТР-70 находятся в механическом управлении и вмешаться в их работу радиоэлектронными средствами невозможно. Я призываю И.Садыхова и прочих быть объективными и не становиться винтиком во вражеской машине пропаганды, - сказал Ш. Рамалданов.

Перевод: Ирана Ахмедова


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Ibba Sheïkhi .


Il se trouve que ce type est originaire de Tchétchénie. En plus de cela, c'est un islamiste ancien proche du président séparatiste Djokhar Doudaïev. Il participe par la suite à la révolte puis assure dans son gouvernement la responsabilité de la sécurité et de l’accueil des délégations étrangères, principalement selon lui de Turquie, d’Iran, d’Estonie ou encore de Russie (1992-1995).

Les troupes russes prennent son village natal, où sa maison fut brûlée le 15 mars 1999. Il est envoyé à l’étranger pour demander des moyens mais aussi des financements notamment en Turquie. Suite à sa la défaite définitive, il s’exila en Norvège, où il parvient à avoir le statut de réfugié politique. Ensuite, il répond à l’appel de Mounaïev, à la formation du bataillon Djokhar en 2014. Il arrive donc en Ukraine, où il grenouilla plutôt à l’arrière durant la période chaude de l’engagement du bataillon contre les insurgés du Donbass (2014-2015). Ibba Sheïkhi avait comme fonction celui de récolter des fonds pour les trois bataillons formés par les Tchétchènes et autres islamistes se battant pour le régime de Kiev nouvellement formé par les straussiens américains. Ensuite, Ibba rentre bientôt en Norvège où il accorde une interview sur la soit disante future de la victoire de la Tchétchénie.

Sources : https://chechen-governmen[...]%D0%B5%D0%B9%D1%85%D0%B8/

https://chechenews.com/%D[...]%D0%B6%D0%BE%D1%85%D0%B0/

Shamil Tsuneoka-Tanaka

, reporter de guerre japonais, il se lia d’amitié avec des islamistes du FIS en Algérie (1992), puis passa en Afghanistan pour y observer la formation de l’État islamique (1993). Il y revînt et parcouru aussi le Tadjikistan, l’Inde, et le Pakistan (1998). Il travailla ensuite en Tchétchénie (1999), et se radicalisa au point de se convertir à l’Islam fondamentaliste, alors qu’il suivait des détachements contre les Russes dans le conflit d’Abkhazie (2001). L’histoire est très suspecte, il aurait été enlevé, mais ses récits sont également souvent mensongers. Il décida ensuite de passer en Irak, puis en Palestine et retourna encore en Afghanistan (2003-2009). Durant cette période, il fut arrêté par le FSB, en Ingouchie, se baladant avec un visa affaires sur le territoire russe (arrivé le 24 octobre 2004), et donc n’ayant pas d’accréditations comme journaliste. Il cherchait à prendre contact avec des Tchétchènes. Il fut bientôt expulsé de Russie (décembre). Il participa à une manifestation russophobe, avec les membres du mouvement Caucase Libre, à Copenhague, au Danemark, fief des tchétchènes islamistes en exil (février 2010). Il retourna en Afghanistan, où il fut enlevé et une rançon exigée par les Talibans (31 mars-5 septembre 2010), avant d’être finalement libéré. Il aurait été libéré car personne n’avait l’intention de payer sa rançon, selon ses propres déclarations. Il se glissa ensuite en Syrie, franchissant la frontière turque (avril 2013), rejoignant les bandes du Califat islamique. Il passa quelques jours avec eux, notamment avec des Tchétchènes et des Européens convertis combattants avec Al-Nosra. Il retourna encore sur place, à la rencontre du chef wahhabite Omar al Suri (octobre). Bien que déclarant n’être qu’un journaliste indépendant, et seulement un musulman non fondamentaliste, cette couverture commença à s’effriter encore plus sérieusement. Il rejoignit le bataillon Djokhar Doudaïev en Ukraine, non pas comme simple, mais bien comme combattant (mars 2014). Il resta en Ukraine un temps indéterminé et vînt sans doute se promener avec le bataillon dans le Donbass. Il retourna au Japon et prévoyait de retourner en Syrie. Ses activités commencèrent à inquiéter les autorités japonaises, qui lui retirèrent son passeport. Il fut accusé d’avoir participé au recrutement d’un jeune djihadiste, et de chercher à en recruter d’autres, son domicile fut également perquisitionné (6 octobre 2014). Il réussit à recouvrer son passeport pour s’envoler pour le Vietnam (mars 2015), apparaissant dans un rapport de l’OSCE Xenophobia, radicalism and hate crime in Europe 2015, clairement désigné comme un fanatique (28 septembre 2016). Il n’a cessé d’affirmer qu’il n’avait jamais combattu avec les djihadistes, mais des photos existent de lui avec une arme à la main, devant un drapeau de l’ISIS. Il semble s’être fait plus discret ces dernières années, du moins de ce que l’on peut trouver en ligne, il fut toutefois mis en scène par différents articles à son sujet dans l’année 2020, martelant qu’il n’avait pas combattu.

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Ce mec là c'est un reporter japonais qui s'est rapproché en 1992 des FIS en Algérie puis est allé en Afghanistan par la suite pour assister à la fondation de l'EI en 1993. Par la suite il revient en Afghanistan avant d'aller au Tadjikistan, en Inde puis au Pakistan à la fin des années 1990. En 1999, il va en Tchétchénie pour y travailler et s'y radicaliser. A ce qu'il parait il aurait été enlevé mais on n'est pas sûr étant donné qu'on sait que ce qu'il raconte se révèle souvent faux. Après être allé en Irak et en Palestine, il est retourné encore une fois en Afghanistan en 2003 et il y reste jusqu'en 2009. Entretemps il se fait arrêté par le FSB après une incursion en Ingourchie. Il se trouve que malgré son visa d'affaires et les apparences, il n'avait pas d'accréditation comme journaliste. Il voulait juste entrer en contact avec des Tchétchènes. Il est envoyé au Danemark qui était devenu une des bases des Tchétchènes exilés, aux côtés de la Norvège. Une fois enlevé an Afghanistan après y être retourné, les Talibans ont exigé le paiement d'un lourde rançon. Ces événements se sont déroulés en 2010. Il est finalement libéra, car nul ne voulait payer la rançon selon lui. Il part ensuite en Syrie après avoir durant le mois d'avril 2013 franchit la frontière de la Turquie. Il rejoint An Nosra, les fameux terroristes dont Fabius disait qu'ils faisaient du bon boulot. Il rencontre ensuite Omar Al SUri, chef wahhabite. Il prétendait être un journaliste indépendant et musulman modéré. Ce qui n'était bien sûr pas le cas. En Ukraine, il rejoint par la suite le bataillon Tchétchène Djokhar Doudaiev en tant que combattant en 2014. Il voulait retourner en Syrie. Finalement les autorités japonaises lui retirent son passeport. Il est par la suite accusé d'avoir participé directement au recrutement d'un islamiste et de vouloir en recruter d'autres. Finalement, le 6 octobre 2014, son domicile se fait perquisitionné. Malgré cela, il retrouve son passeport et va au Vietnam en mars 2015. Il apparait logiquement dans un rapport de l’OSCE Xenophobia, radicalism and hate crime in Europe 2015 en tant que fanatique. Malgré le fait qu'il prétendait ne pas avoir combattu auprès des islamistes, des photos montrent bien qu'il combattait auprès d'eux, avec une photo de lui se trouvant devant un drapeau de l'ISIS, le tout avec une arme à la main.

Sources : https://observers.france2[...]-djihadistes-syrie-photos

https://slavyangrad.es/20[...]para-el-batallon-dudayev/

https://www.osce.org/file[...]/documents/d/5/269681.pdf

https://www.livekavkaz.ru/index.php?newsid=10742

Pour ce qui est du bataillon de Crimée.

Issa Akaev (?-), peut-être un faux nom du commandant du bataillon Crimée, il s’afficha longtemps en cagoule et ne retira cette dernière que quand sa famille fut passée en Ukraine. Il donna une interview où il expliqua son avis sur la situation (21 juillet 2015) : « Je dirais tout de suite que beaucoup de gens disent qu’il est possible de résoudre le problème par la voie diplomatique, ils se trompent profondément. Personne ne peut croire que la Russie s’excusera et partira. Cela n’arrivera pas. Dans tous les cas, ce qui se passe maintenant, devra tôt ou tard passer à une phase plus sérieuse, car il faudra que tout cela se décide. Soit ils se battront, soit ils devront s’excuser et partir, mais c’est peu probable, ils vont se battre, et quand ils nous tomberont dessus, nous devrons résister. […] La conquête de la Crimée est assurée, notre tâche est de ramener la Crimée à l’Ukraine. Restaurer ce qui était. Je pense que tant que nous n’y arriverons pas, nous devrons continuer, nous ne nous arrêterons jamais. Tous ceux qui nous rejoignent ont tous la même idée, rentrer chez eux et rétablir la justice. Depuis quelques mois nous faisons du travail de reconnaissance et des opérations de sabotage, nous resterons dans ce créneau. Très probablement il s’agira d’un bataillon du renseignement, une unité distincte qui relèvera de l’État-major, l’unité comptera entre 400 et 500 hommes au maximum. La majorité des hommes seront musulmans, mais nous ne chassons pas les non-musulmans. Ne racontez pas qu’ils ne viennent pas dans nos rangs, nous nous sommes battus côte à côte. Certains ont déjà été démobilisés des forces armées, mais ils ont appris que nous allions être formés, légalisés, ils sont prêts à servir sous contrat avec nous ». Dans l’interview le chef de bataillon affirmait que la conquête de la Crimée pourrait être achevée par les Ukrainiens avant une année (avant l’été 2016) : « Je ne peux pas dire quand, tout ne dépend pas de moi. J’imagine que ce sera une libération par la force armée de toute façon. Je pense qu’il faudra encore attendre un an. Dans un an, l’action débutera quelque part, la Russie sera difficile à combattre, elle est déjà très forte. A ce jour l’armée ukrainienne se bat plutôt bien, elle peut résister à un adversaire qui a beaucoup plus d’expérience du combat que nous. L’essentiel pour nous c’est la patience pour survivre et la compréhension mutuelle entre nous ».



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Issa Akaev était un ancien commandant du bataillon Crimée.

Ce type s'était affiché longtemps en cagoule. Dans le cadre d'une interview donnée le 21 juillet 2015, il a précisé son avis sur la situation : « Je dirais tout de suite que beaucoup de gens disent qu’il est possible de résoudre le problème par la voie diplomatique, ils se trompent profondément. Personne ne peut croire que la Russie s’excusera et partira. Cela n’arrivera pas. Dans tous les cas, ce qui se passe maintenant, devra tôt ou tard passer à une phase plus sérieuse, car il faudra que tout cela se décide. Soit ils se battront, soit ils devront s’excuser et partir, mais c’est peu probable, ils vont se battre, et quand ils nous tomberont dessus, nous devrons résister. […] La conquête de la Crimée est assurée, notre tâche est de ramener la Crimée à l’Ukraine. Restaurer ce qui était. Je pense que tant que nous n’y arriverons pas, nous devrons continuer, nous ne nous arrêterons jamais. Tous ceux qui nous rejoignent ont tous la même idée, rentrer chez eux et rétablir la justice. Depuis quelques mois nous faisons du travail de reconnaissance et des opérations de sabotage, nous resterons dans ce créneau. Très probablement il s’agira d’un bataillon du renseignement, une unité distincte qui relèvera de l’État-major, l’unité comptera entre 400 et 500 hommes au maximum. La majorité des hommes seront musulmans, mais nous ne chassons pas les non-musulmans. Ne racontez pas qu’ils ne viennent pas dans nos rangs, nous nous sommes battus côte à côte. Certains ont déjà été démobilisés des forces armées, mais ils ont appris que nous allions être formés, légalisés, ils sont prêts à servir sous contrat avec nous ». Dans l’interview le chef de bataillon affirmait que la conquête de la Crimée pourrait être achevée par les Ukrainiens avant une année (avant l’été 2016) : « Je ne peux pas dire quand, tout ne dépend pas de moi. J’imagine que ce sera une libération par la force armée de toute façon. Je pense qu’il faudra encore attendre un an. Dans un an, l’action débutera quelque part, la Russie sera difficile à combattre, elle est déjà très forte. A ce jour l’armée ukrainienne se bat plutôt bien, elle peut résister à un adversaire qui a beaucoup plus d’expérience du combat que nous. L’essentiel pour nous c’est la patience pour survivre et la compréhension mutuelle entre nous ».

Eskender Bariev (1974-), il naquit en Ouzbékistan, d’origines tatares de Crimée, il fit des études supérieures et vînt s’installer en Crimée, où il termina ses études de médecine (1999-2001), puis dans l’administration publique et en gestion (2007). Il occupa de nombreux postes dans le mouvement des Medjlis, et s’encarta dans le Parti Notre Ukraine, le parti du futur président de Iouchtchenko (2002), il tenta de se faire élire à la Rada d’Ukraine (2006), puis passa dans les rangs du Parti Batkivshina, le parti européiste et atlantiste d’Ioula Timochenko, la fameuse Reine du Gaz, oligarque et millionnaire corrompue. Il tenta de nouveau de se faire élire à la Rada sous cette couleur, faisant un score de 15,87 % des voix, mais ne fut pas élu (2012). Il était membre des Medjlis du Peuple tatar de Crimée, organisation extrémiste et ultranationaliste et prit position en faveur du Maïdan (2014). Il prit la fuite de Crimée et commença des actions subversives et politiques dans le but de déstabiliser la région. Il était président de l’organisation républicaine de Crimée, de l’Organisation publique de la jeunesse ukrainienne, de l’Union des jeunes fonctionnaires de l’Ukraine, Président honoraire du Centre de la Jeunesse tatare de Crimée, et autoproclamé « Expert principal de l’Institut d’éducation politique » (29 juin 2015). Cette organisation est en fait une structure d’infiltration soutenue par l’USAID, l’UNDP, la NED, l’Union européenne, le fond Conrad Adenauer, et le fond Polska Pomoc, toutes ses organisations sont des antennes américaines, ou financées par les USA, voire noyautés par la CIA et d’autres services secrets occidentaux. Les chances que Bariev soit un pur agent de l’Occident sont très fortes.



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Eskender Bariev

Ce type là est né, en Ouzbékistan, en 1974. Il a des origines tatares.
Après ses étude supérieures, il s'est installé en Crimée. C'est justement là qu'il a terminé ses études de médecine entre 1999 et 2001, puis dans l’administration publique et en gestion (2007). Par la suite, Eskender Bariev a occupé de nombreux postes au sein du mouvement des Medjlis. Par la suite, Bariev s'engage en 2002dans le Parti Notre Ukraine, le parti du futur président de Iouchtchenko. il tenta sa chance en politique en essayant de se faire élire à la Rada d’Ukraine en 2006, puis il est allé dans le Parti Batkivshina, le parti pro UE et atlantiste dirigé à ce moment là par la corrompue notoire Ioula Timochenko, qui est aussi oligarque et multimillionaire. C'est avec ce parti qu'il essaye cette fois de se faire élire à la Rada en 2012 faisant un score de 15,87 % des voix. Un score honorable donc mais insuffisant pour parvenir à se faire élire. Il fut un membre des Medjlis du Peuple tatar de Crimée, organisation extrémiste Eskender a pris par la suite position en faveur dues partisans de Maidan en 2014. Il s'enfuit de Crimée et commença des actions subversives et politiques pour déstabiliser la région. Il était devenu ensuite président de l’organisation républicaine de Crimée, de l’Organisation publique de la jeunesse ukrainienne, de l’Union des jeunes fonctionnaires de l’Ukraine, Président honoraire du Centre de la Jeunesse tatare de Crimée, et autoproclamé « Expert principal de l’Institut d’éducation politique » le 29 juin 2015. En réalité, il faut bien savoir que cette organisation était une structure d’infiltration soutenue par la NED, l’UE, l’USAID, l’UNDP, le fond Conrad Adenauer, et le fond Polska Pomoc, toutes ses organisations sont des agences néocons et américaines, soutenues voire noyautés par les USA voire la CIA et d’autres services secrets occidentaux. Les chances que Bariev soit un pur agent de l’Occident sont très fortes.

Moustafa Djemilev (1943-), né en Crimée durant l’occupation allemande, sa famille fut déportée en Ouzbékistan (1944). Il fit des études secondaires et travailla comme simple ouvrier dans une usine d’aviation à Tachkent. Il entra à l’université pour devenir ingénieur en irrigation (1962), mais fut mis à la porte pour ses activités nationalistes subversives (1965). Il fut appelé dans l’armée soviétique (1966), mais refusa de servir et fut condamné à un an et demi de prison (1966-1967). Il fut l’un des fondateurs d’un groupe de protection des droits de l’Homme en URSS (1969), bientôt arrêté par le KGB, puis condamné à trois ans de prison pour activités antisoviétiques (1970-1972). Il travailla comme ingénieur dans un Kolkhoze, de nouveau arrêté et condamné à un an de prison (1974-1975), puis son emprisonnement prolongé à cause de ses actions subversives dans le sein même de la prison. Il fut condamné à 2,5 ans de prison (1975-1977), puis de nouveau arrêté pour une histoire de fraudes administratives, et condamné à 4 ans d’exil en Yakoutie (1979-1983). L’année de sa libération il tenta de s’installer en Crimée, alors que les Tatars avaient été autorisés à y retourner, mais en fut expulsé au bout de trois jours. De retour en Ouzbékistan, il distribua des tracts antisoviétiques, fut arrêté et condamné à trois ans de prison (1983-1986). Il retourna en Crimée et occupa divers postes dans les organisations nationalistes tatares, président du Comité des peuples déportés de Crimée (1990), représentant la branche la plus radicale et extrémiste du mouvement, et avalisant jusqu’à la collaboration avec Adolf Hitler. Il fut exclu du comité par les Tatars eux-mêmes, dans des conflits de pouvoirs tortueux et des dissensions très fortes entre les différentes chefs politiques tatars (1991). Il fut toutefois élu dans le Conseil du peuple tatar de Crimée (1991-2013), et même député à la Rada d’Ukraine (1998-2007), atteignant son apogée lors de sa nomination à la 79e place des 100 Ukrainiens les plus influents du pays par le journal Korrespondant (2011). Il fut accusé de corruption notamment de s’emparer des fonds destinés à la communauté tatare pour son réaménagement. Dénoncé par des activistes de son mouvement, l’argent transitait par la banque Indat, comme l’indiquait une ancienne militante, Aza Azamatova, dont l’unique propriétaire était Djemilev. Puis les budgets versés par le gouvernement ukrainien disparaissaient en grande partie dans la nature. Une procédure judiciaire fut lancée par un procureur ukrainien, qui mena à la fermeture de la banque et à un scandale, mais l’argent ne fut jamais retrouvé et Djemilev ne fut à aucun moment inquiété. D’autres encore l’accusèrent d’avoir fait éliminer physiquement des opposants politiques tatars qui n’étaient pas dans la ligne de son mouvement extrémiste, notamment dans l’assassinat de Youri Osmanov (1941-1993), battu à mort le 6 novembre 1993 pour s’être opposé au mouvement de Djemilev (Medjlis). Ou encore celui de Norik Shirine, lardé d’une dizaine de coups de couteau puis égorgé, le 20 décembre 2006, qui était en faveur d’un rapprochement entre les Tatars et les Russes. Au moment du retour de la Crimée au giron russe (mars 2014), il déclara qu’il était opposé à ce dernier, et menaça la Russie et le Président Poutine, en déclarant que la Crimée se transformerait en nouvelle Tchétchénie. L’adhésion enthousiaste et massive des Criméens lui porta un camouflet retentissant. Cependant, il fut invité au siège de l’OTAN (14 mars), où il exhorta les diplomates des pays européens à ne pas tenir compte du référendum tenu en Crimée. Il rencontra peu après le Premier ministre turc Erdogan (17 mars). A partir de là, la Crimée lui refusa son retour au pays. Il fut mis en scène par l’Ukraine et la Lituanie au Conseil de sécurité de l’ONU (31 mars), et demanda à la Turquie de fermer le détroit du Bosphore aux navires russes. A ce moment il était clair que Djemilev avait été recruté par l’OTAN, et probablement par la CIA. En errance, il tenta de se rendre à Moscou, pris un vol, puis fut remis dans un avion qui le renvoya en Ukraine (mai). Il tenta alors de retourner en Crimée, en faisant appel à des militants extrémistes tatars. Au point de contrôle de la frontière, une bande chercha à le faire passer en Crimée, mais les forces de sécurité et la police antiémeute de Russie repoussèrent Djemilev qui resta en Ukraine. Il entra dans le Parti politique de Porochenko, dont il était toujours membre (2014), et fut nommé commissaire pour les affaires du peuple tatar de Crimée (2014-2019). Il proposa… d’amputer l’Ukraine de territoires de l’Oblast de Kherson pour former une République autonome de Crimée en Ukraine. Ce qui lui fut bien sûr refusé. Il fut l’un des organisateurs du blocus économique et énergétique de la Crimée, et l’un des fondateurs du bataillon Celebicihan (2015-2016). Un tribunal criméen lança un mandat d’arrêt contre lui à Simferopol pour ses activités subversives contre la Crimée et la Russie (21 janvier 2016). Homme de Porochenko, il perdit son poste à l’arrivée au pouvoir de Zelensky (2019). La Russie l’accusa ensuite d’avoir tenté d’organiser le passage d’armes et de militants en Crimée, ce qui déclencha une poursuite judiciaire contre lui en Fédération de Russie (2020). Il s’illustra en soutenant la proposition absurde faite à la Russie par la Turquie de transférer les prisonniers de l’usine Azostal… sur leur territoire (12 mai 2022). A noter qu’il fut aussi décoré par l’ONU (1998), trois fois candidat au prix Nobel de la Paix (2009, 2011 et 2022), la Pologne le présenta il y a peu comme son candidat (3 mars 2022). Diverses villes en Turquie ont dénommé des rues, des parcs ou l’ont nommé citoyen d’honneur. Il déclarait assez comiquement que « notre lutte pour la Crimée se poursuivra jusqu’à la victoire » (15 mars 2021).

Sinaver Kadyrov (1954-), il né à Samarkand, d’origines tatares. Il effectue des étude ssupérieures à Tachkent dans le but de devenir professeur de langue et de littérature tatare. Sinayer était l’un des rédacteurs du journal clandestin Kjasevet, prônant la sécession de la Crimée et la fondation d’un état tatare dans la péninsule (1984-1985), le journal étant distribué de l’Ouzbékistan vers le Caucase et Krasnodar. Il fut finalement arrêté par le KGB (12 décembre 1985), et condamné à une peine de prison (mars 1986), envoyé en Yakoutie. Il intégra le mouvement extrémiste de Medjlis (1991-2013), dont il devînt l’un des chefs de file, et fut élu à plusieurs reprises dans le Parlement de Crimée, et président de la Commission électorale. Il se fit petit au retour de la Crimée dans le giron russe, mais fut arrêté à la frontière de la Crimée avec l’Ukraine, en possession d’un passeport ukrainien et devant se rendre en Turquie « pour un examen médical » le 23 janvier 2015. Enfin, il se trouve qu'il fut libéré le jour même puis par la suite expulsé avec interdiction formelle de retour. Il préfère ensuite se faire le plus discret possible.

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Abdoullah Karabach (1900-?),
Cet individu est un Tatar de Crimée, il fit des études supérieures à Simferopol pour devenir enseignant. Il faut savoir qu'il est né en 1900. Ensuite, il fut nommé au Conseil des commissaires du Peuple de la République Socialiste Soviétique de Crimée. Il répondit à la campagne de recrutement des Allemands et se porta volontaire pour entrer dans les bataillons de l’autodéfense (janvier 1942), devenant l’un des cadres des collaborateurs tatars. Abdoullah fut ensuite nommé chef d’État-major au 147e bataillon de la Schutzmannshaft du SD, les services de sécurité de la SS. Services de sécurité de la SS avec lesquels il a pu participer par la suite à la chasse aux Grecs, aux Juifs, aux partisans ainsi qu'aux communistes jusqu'en 1944.. Il passa en Allemagne (mai 1944), nommé au grade d’hauptsturmführer dans la waffen SS, et devînt le rédacteur en chef du journal de propagande Kirim, soit Crimée, qui est un organe du Centre nationale tatare de Crimée. Il passa au commandement du Waffen Gruppen Krim, dans la Formation SS Turquie Orientale à partir du 31 décembre 1944. . Enfin, en mars 1945, un mois avant l'arrivée des russes à Berlin, il est nommé représentant des volontaires dans l’armée allemande des Tatars de Crimée au Centre National (mars 1945). Son sort est ensuite inconnu. Il est l’un des exemples qui furent pris en 2014 par quelques transfuges tatars qui formèrent le bataillon Crimée.

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Abdoullah Karabach.

Khanat de Crimée (1441-1774), les Tatares de Crimée étaient à l’origine dans la Horde d’Or, une armée d’invasion, composée de « Tatars », ou « Mongols » qui dans le sillage de Genghis Khan arrivèrent après deux générations aux portes de l’Europe (vers 1240-1245). Cette armée d’invasion détruisit la Rus’s de Kiev, l’un des plus puissants royaumes féodaux chrétiens, qu’elle vassalisa. La Horde d’Or au fil du temps se divisa, s’affaiblissant en plusieurs états, dont le Khanat de Crimée. Il fut fondé par un chef tatar issu de la Horde d’Or (1441), qui bientôt se sépara de cette dernière, en pleine déliquescence. Le khanat de Crimée s’empara même du camp de la « Grande Horde », et devînt l’héritier historique de la horde. Le fondateur du khanat, Devlet Giray régna sur la région sans être contesté jusqu’à sa mort (1466), mais ses successeurs durent bientôt composer avec la montée en puissance de l’Empire Ottoman, qui après la prise de Constantinople (1453) et la destruction de l’Empire Byzantin, progressèrent en Europe, menaçant même de destruction la chrétienté. A la fin du XVIIIe siècle, le Khanat de Crimée était de fait l’un des nombreux états vassaux des Ottomans. Les Tatars croisèrent le fer pendant plusieurs décennies avec les Polonais et les Lituaniens, et lancèrent des incursions en profondeur sur leur territoire, tournant également leurs armes contre les Russes (XVIe siècle). C’est sous le règne du tsar Ivan IV le Terrible (1530-1584), que l’influence tatare commença à décliner. Les Russes détruisirent d’abord le Khanat de Kazan et s’emparèrent de la capitale historique après une campagne militaire (1547-1552). Ils détruisirent ensuite le Khanat d’Astrakhan (1554-1556). La guerre contre le Khanat de Crimée ne tarda pas, et les Tatars s’emparèrent même de Moscou qui fut brûlée (mai 1571), alors qu’Ivan était empêtré dans une guerre contre l’Ordre de Livonie, reliquat de celui des chevaliers teutoniques. Mais l’année suivante les Russes écrasèrent l’armée tatare quasiment sous les murs de Moscou, à la bataille de Molodi (29 juillet-2 août 1572). Kazan et Astrakhan restèrent aux Russes. Les Tatars firent encore un dernier effort contre la Russie, lors des temps troubles et conduisirent de nouveau une armée sous les murs de Moscou, en vain, ils furent vaincus (1591), et n’eurent ensuite plus aucune occasion de menacer sérieusement la Russie. Ils tentèrent également de s’affranchir de l’Empire Ottoman, faisant alliance avec les Cosasques Zaporogues, mais furent vaincus (1628). Ils jouèrent ensuite la carte de l’Hetman Bogdan Khmelnitsky contre les Polonais et Lituaniens, passant en pleine guerre dans leurs rangs, trahissant les Cosaques russes, qui signèrent une alliance éternelle avec la Russie (1649), la guerre se termina par un statut quo (1554). Le Khanat de Crimée pris ensuite position contre elle, une armée tatare, renforcée de cosaques zaporogues qui avait suivi Mazepa, un chef cosaque qui avait trahi l’alliance russe, de janissaires ottomans, de Polonais et Suédois entra en campagne (1711). Les Russes furent vaincus et durent abandonner les territoires qu’ils contrôlaient sur la Mer d’Azov, leur flotte fut détruite. La paix dura peu, l’Empire Ottoman appela le Khanat de Crimée à une guerre contre la Perse. Les Russes en profitèrent pour lancer une expédition (1735-1739), qui ravagea la Crimée. C’est sous la Grande Catherine que l’estocade fut portée au Khanat, les Ottomans étant également vaincus, la vassalité des Tatars leur fut arrachée. L’état tatar moribond continua de subsister jusqu’à l’abdication du dernier khan, Shahin Giray (1782), et après quelques révoltes conduisit à l’annexion pure et simple de la région (17 avril 1783), et sa possession reconnue par la Porte ottomane à son tour vaincue (1791).

Alexandre Kostenko (?-),

Cet individu est originaire de Crimée qui a effectué ses études supérieures au sein del’Académie de la Police Nationale, et fut nommé inspecteur et travaillait avec Stanislas Oudot. Il s'engagea à ses côtés au sein du Parti National-Socialiste d’Ukraine, Svoboda. Il fut directement impliqué à un montage mensonger d’une fausse affaire de trafic d’humains, tentant de mettre en cause le rédacteur en chef du journal russe et de l’opposition communiste, à savoir la Komsomolskaya Pravda. En 2013, il est licencié de la police car sa supercherie est dévoilée. Avec Stanislas Oudot, il a servit dans une compagnie d’autodéfense à l'occasion de Maidan en 2014 et participa aux émeutes et violences. Avec Kostenko, il est impliqué dans la torture de berkuts qui avaient été capturés. Les policiers furent détenus dans les sous-sols de l’administration de la ville qui avait été prise d’assaut. La voix de Kostenko était parfaitement reconnaissable dans une enregistrement diffusé. Celui ci disait en rapportant les résultats de la séance de tortures : « l’un a tout dit, l’autre est encore têtu, on s’en fout, on est la gestapo ! », alors que derrière retentissait les cris d’un homme torturé… Des participants du Maïdan témoignèrent par la suite des tortures que Krasnov et Kostenko infligèrent à deux berkuts en janvier 2014.. Ils devinrent tous deux assistants parlementaires du député de la Rada d’Ukraine du parti National-Socialiste d’Ukraine Svoboda, Édouard Lenonov. En mai 2014, les trois hommes se sont appréhendés par le SBU. Ils avaient déjà été dénoncés comme des agents russes soit disant, et une perquisition mit à jour trois fusils kalachnikov, plus deux pistolets makarov, un fusil de précision, ainsi qu'un pistolet traumatique modifié pour qu'on puisse en effet tirer des vrais cartouches. A cela s'ajoutent des grenades à main, des engins explosifs artisanaux et d'autres types de munition. Ces gens là ont été bientôt libérés et l’affaire fut enterrée. Il intégra ensuite le bataillon Crimée, dont il devint l’un des cadres. Il tenta d’appliquer la stratégie du bataillon de s’infiltrer en Crimée et d’organiser des actions subversives. L’affaire ne dura pas longtemps, il fut arrêté par les services russes du FSB (février 2015), et fut condamné par le tribunal de Simferopol à une peine de 4 ans et 2 mois de prison (mai 2015), notamment pour coups et blessures contre les forces spéciales des berkuts lors des manifestations à Kiev du Maïdan. Enfin, on sait qu'il fut mis sur la liste des prisonniers politiques soit disant « héros » de l’Occident, avec d’autres criminels comme l’officier néonazie du bataillon de massacreurs, Nadejda Savtchenko.


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Sources pour Alexandre Kostenko

https://aif.ru/society/pe[...]roya_stavshego_predatelem

https://putnik1.livejournal.com/2727899.html