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" Les echos c'est pas mieux :
https://www.lesechos.fr/2[...]ges-de-lopposition-292430 " Oleg Tiagnybok, le nationaliste qui a tempéré son image " MAIS bien sûr. " Le dirigeant du parti Svoboda (Liberté) a réussi à s’imposer comme le troisième homme de la contestation, dans la rue comme dans les discussions avec les médiateurs européens. Une belle réussite, alors qu’une réputation d’antisémitisme lui colle à la peau depuis des déclarations qui lui ont valu en 2004 l’expulsion du Parti social-national.
Ce chirurgien de 45 ans, né dans le bastion nationaliste de Lviv, capitale de l’ouest du pays, a su capitaliser sur l’organisation et la discipline de son parti, et sur un service d’ordre efficace qui a joué un rôle important dans la défense des manifestants. ". UNE réputation d'antisémitisme seulement? Ou juste une réalité. Une service d'ordre efficace pour les manifestants? Je n'en doute pas. "
Ce chirurgien de 45 ans, né dans le bastion nationaliste de Lviv, capitale de l’ouest du pays, a su capitaliser sur l’organisation et la discipline de son parti, et sur un service d’ordre efficace qui a joué un rôle important dans la défense des manifestants. ". UNE réputation d'antisémitisme seulement? Ou juste une réalité. Une service d'ordre efficace pour les manifestants? Je n'en doute pas. "
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Au poste de principal adjoint de Paroubi : Dmitri Iarosh ancien leader de la milice nazie Secteur Droit. Devinez quoi? le Time lui a donné la parole. Source :
https://time.com/4493/ukraine-dmitri-yarosh-kiev/ " In his interview with TIME, Yarosh, whose militant brand of nationalism rejects all foreign influence over Ukrainian affairs, revealed for the first time that Pravy Sektor has amassed a lethal arsenal of weapons. He declined to say exactly how many guns they have. “It is enough,” he says, “to defend all of Ukraine from the internal occupiers” — by which he means the ruling government — and to carry on the revolution if negotiations with that government break down.
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il y a 2 ans
il y a 2 ans
Il a appelé à l’aide l’émir du Caucase du Nord, Dokka Umarov en lui demandant de soutenir l'Ukraine en organisant des attentats en Russie. C'était le 1er mars 2014 donc rien avoir avec la guerre en Ukraine version 2022 ou 2023. A l'époque ces gens la se considéraient déjà comme de sennemis mortels de la Russie et faisaient tout pour l'abattre. Et pour cette raison, les straussiens et les néo cons avec la complicité de la presse atlantiste à leur botte, ont soutenu des gens de leur tempe. Je rappelle que Dokka Umarov est considéré comme un membre d’Al-Qaïda par les Nations Unies. C'est un chef des terorristes tchétchènes. L'express parle, lui, du Ben Laden du Caucase. Source :
https://www.lexpress.fr/m[...]e-le-kremlin_1318959.html
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il y a 2 ans
il y a 2 ans
Виступ лідера "Правого сектора" Дмитра Яроша
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il y a 2 ans
Olexander Muzychko est un des bras bras de secteur droit. Djokhar Doudaïev lui avait descerné l’Ordre du Héros de la Nation. Pour rappel, Djokhar Doudaïev c'était le commandant des terorristes Tchétchènes dans l'enclave d'Ichkérie. Il participait à de sopérations de guérilla. Puis torturait et décapitait les soldats russes qui se faisaient capturés. Du moins il y participait directement.
Yuriy Prodan, connu pour avoir travaillé à la création du « Marché national de l’énergie », censé réguler ce marché, mais qui a en fait abouti à un partage du gâteau entre groupes oligarchiques et à une corruption généralisée. Egalement proche du groupe de Kolomoisky. Lioudmila Denisova, du côté des affaires sociales, certaines ONG l'avaient dénoncé pour abus de pouvoir et détournement de fonds. En tant que ministre de l'intérieur on avait Arsen Avakov, il a fondé un fond d'investissement ainqi qu'une banque commerciale. Il a connu de scondamnations pour abus de pouvoir ainsi que pour privatisations illégales de terres. Interpol l'a même mis sur la liste des personnes recherchées. Source :
https://archive.kyivpost.[...]region-avakov-124658.html Donc là on a toutes les racailles.
Yevhen Nischchuk, à la culture, pourtant sans expérience en la matière. Oleg Musiy, en ministre de la santé, docteur certes, mais bien sûr formé en Allemagne et surtout aux US. Sinon ce ne serait pas drôle. Il était là à Maidan et s'occupait des soins là bas.
Yuriy Prodan, connu pour avoir travaillé à la création du « Marché national de l’énergie », censé réguler ce marché, mais qui a en fait abouti à un partage du gâteau entre groupes oligarchiques et à une corruption généralisée. Egalement proche du groupe de Kolomoisky. Lioudmila Denisova, du côté des affaires sociales, certaines ONG l'avaient dénoncé pour abus de pouvoir et détournement de fonds. En tant que ministre de l'intérieur on avait Arsen Avakov, il a fondé un fond d'investissement ainqi qu'une banque commerciale. Il a connu de scondamnations pour abus de pouvoir ainsi que pour privatisations illégales de terres. Interpol l'a même mis sur la liste des personnes recherchées. Source :
Yevhen Nischchuk, à la culture, pourtant sans expérience en la matière. Oleg Musiy, en ministre de la santé, docteur certes, mais bien sûr formé en Allemagne et surtout aux US. Sinon ce ne serait pas drôle. Il était là à Maidan et s'occupait des soins là bas.
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il y a 2 ans
il y a 2 ans
Vladimir Groysman en vice premier ministre, ami de l’oligarque de Vinnitsa pro-européen et pro-américain Petro Poroshenko. Andriy Deshchytsya aux affaires étrangères, ayant travaillé à l’OSCE, l’Organisation pour la sécurité et la coopération européenne. Il est également originaire de Lviv, là où Svoboda avait fait 50%... Boris Tarasiuk lui a refusé le poste de vice premier ministre pour l'intégration européenne qu'on lui promettait. C'est un ancien ministre des affaires étrangères. l’Institut pour la coopération euro-atlantique, il est est le fondateur. Ca c'est pour les pro UE.
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il y a 2 ans
Dick Cheney ne voulait pas seulement voir le démantèlement de l’Union soviétique et de l’empire russe mais de la Russie même. En 2008, Bush avait tenté d'attirer les anciennes républiques soviétiques dans l'OTAN, sans succès.
Cette sorte de seconde guerre froide entre la Russie et les US est de nature mercantile plus qu'autre chose. C'est bien sur le plan énergétiques, économiques et monétaires que ces pays s'affrontent. De même que la Chine.
Pour l'Occident Maidan c'est le brave peuple ukrainien s’est soulevé contre la décision de l’autocrate et le méchant président Victor Ianoukovitch de refuser de rejoindre la gentille Union Européenne alors que le peuple ukrainien le voulait ( soit disant ). Mais pour le reste du monde c'est juste l'empire américain qui a une fois de plus interféré directement avec les affaires d'un pays étranger pour y renverser un président pourtant élu de façon démocratique et tout ça pour avoir accepter l'aide russe sur le plan financier tout en refusant les traités dictatoriaux de l'UE et de l'OTAN. Dans le reste du monde, ils savent que néo-nazis ukrainiens de l’Ouest, financés, entraînés, encadrés par l’occident que ce soit par l’USAID ou le NED.
Un coup d'état qui était aussi une révolution orange a mené au pouvoir Timochenko en 2004, la corrompue notoire. Elle fut virée par le peuple par élection en 2010, après avoir privatisé plus de 300 entreprises d’état entre 2006 et 2010. Elle a été libérée peu avant le Maidan de 2014 alors qu'elle avait été condamné à 7 ans d'emprisonnement pour détournement de fonds publics et abus de pouvoir.
Cette sorte de seconde guerre froide entre la Russie et les US est de nature mercantile plus qu'autre chose. C'est bien sur le plan énergétiques, économiques et monétaires que ces pays s'affrontent. De même que la Chine.
Pour l'Occident Maidan c'est le brave peuple ukrainien s’est soulevé contre la décision de l’autocrate et le méchant président Victor Ianoukovitch de refuser de rejoindre la gentille Union Européenne alors que le peuple ukrainien le voulait ( soit disant ). Mais pour le reste du monde c'est juste l'empire américain qui a une fois de plus interféré directement avec les affaires d'un pays étranger pour y renverser un président pourtant élu de façon démocratique et tout ça pour avoir accepter l'aide russe sur le plan financier tout en refusant les traités dictatoriaux de l'UE et de l'OTAN. Dans le reste du monde, ils savent que néo-nazis ukrainiens de l’Ouest, financés, entraînés, encadrés par l’occident que ce soit par l’USAID ou le NED.
Un coup d'état qui était aussi une révolution orange a mené au pouvoir Timochenko en 2004, la corrompue notoire. Elle fut virée par le peuple par élection en 2010, après avoir privatisé plus de 300 entreprises d’état entre 2006 et 2010. Elle a été libérée peu avant le Maidan de 2014 alors qu'elle avait été condamné à 7 ans d'emprisonnement pour détournement de fonds publics et abus de pouvoir.
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il y a 2 ans
Etant donné l'aide de certains groupes en Ukraine Occidental aux nazis notamment en raison de leur charactère anti russe, il est évident que les groupes néo-nazi ont toujours été une réalité profonde en Ukraine occidentale depuis la fin de la guerre. Ils ont par la suite été intrumentalisé et pris sous l'aile de l'OTAN et des néo cons. Groupes manipulés par les services occidentaux de la même manière que le sont les groupes islamistes/djihadistes combattant aujourd’hui en Syrie, hier en Libye, en Tchétchénie et au Kosovo.
Le chaos actuel ukrainien est en fait une phase supplémentaire d’une guerre énergétique que se livre les grandes compagnies de pétrole et de gaz. Il s’agit en fait du début d’une grande bataille entre d’un côté Exxon, Mobil, Chevron (intérêts Rockefeller/Rothschild), la Royal Dutch/Shell et GazProm, Lukoil et consors de l’autre. La Syrie était un prélude de ceci.
De fait, l’UE est grandement dépendante du gaz naturel russe fourni par GazProm, le géant national russe du gaz naturel et premier exportateur mondial.
Le chaos actuel ukrainien est en fait une phase supplémentaire d’une guerre énergétique que se livre les grandes compagnies de pétrole et de gaz. Il s’agit en fait du début d’une grande bataille entre d’un côté Exxon, Mobil, Chevron (intérêts Rockefeller/Rothschild), la Royal Dutch/Shell et GazProm, Lukoil et consors de l’autre. La Syrie était un prélude de ceci.
De fait, l’UE est grandement dépendante du gaz naturel russe fourni par GazProm, le géant national russe du gaz naturel et premier exportateur mondial.
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il y a 2 ans
L’historien Jean-Jacques Marie, grand spécialiste de Trotsky et que nul ne peut soupçonner de complaisance vis à vis du pouvoir russe a écrit les lignes suivantes : « Malheureusement, les nationalistes ukrainiens se sont désormais joints aux staliniens pour la propager à nouveau. Et ils partagent avec eux des méthodes similaires.
En effet, indique Marko Bojcun, le 13 novembre, la présentation de ce recueil qui devait avoir lieu à la librarie « Yé », rue Lyssenko à Kiev, et qui devait être animée par lui-même, Youri Chapoval de l’Académie nationale des sciences d’Ukraine, par Zakhar Popovitch et Denis Pilash du collectif « Opposition de gauche » (collectif à l’origine de l’édition de ce recueil) a été brutalement interrompue par l’irruption de plusieurs dizaines de nervis du parti d’extrême droite mal nommé « Svoboda » (« Liberté », nouveau nom du « Parti national-social d’Ukraine », fondé en 1991). Ces individus avaient déjà perturbé la présentation du recueil dans la ville de Lviv.
Maniant la calomnie, l’amalgame et la violence avec la même agilité que les staliniens en leur temps, les « Svobodistes » réussirent à empêcher la tenue de la réunion, hurlant des slogans accusant Léon Trotsky (exclu du Parti communiste en 1927 et expulsé d’Union soviétique en 1929) d’être responsable du Golodomor (la famine en Ukraine en 1932-1933), donc de « génocide ». A la sortie, les « svobodistes » vandalisèrent la voiture d’un des orateurs prévus, Zakhar Popovitch, avant que finalement, une heure après le début des incidents, la police n’arrive.
Je partage l’indignation du professeur Marko Bojcun, contre ces méthodes qui visent à interdire par la terreur, la diffusion de ces textes qui contribuent à rétablir la vérité historique et la réalité des positions de Léon Trotsky, longtemps bannies d’Union soviétique par la bureaucratie et ses méthodes de terreur.
J’ajoute que le parti « Svoboda » en question est connu comme se revendiquant ouvertement de Bandera et Stetsko, auteurs d’une « proclamation d’indépendance de l’Ukraine » datée du 30 juin 1941, soit huit jours après l’agression nazie contre l’Union soviétique, déclaration qui précisait que l’état ukrainien « indépendant » allait « coopérer étroitement avec la Grande Allemagne national-socialiste, sous la direction de son chef Adolf Hitler, qui est en train de fonder un ordre nouveau en Europe et dans le monde ». « Svoboda » se revendique de la continuité de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et de l’Armée insurrectionnelle d’Ukraine (UPA) de Bandera et Statsko, dont le rôle d’auxiliaires des nazis dans l’extermination des Juifs d’Ukraine n’est plus à prouver. Dans cette remarquable continuité, « Svoboda » a multiplié ces dernières années des déclarations et actes provocateurs antisémites, mais aussi contre la minorité hongroise d’Ukraine, et contre les Russes et la Russie (qualifiant de « mafia judéo-moscovite » l’entourage du président de la République d’Ukraine). »
J’ajoute que le parti « Svoboda » en question est connu comme se revendiquant ouvertement de Bandera et Stetsko, auteurs d’une « proclamation d’indépendance de l’Ukraine » datée du 30 juin 1941, soit huit jours après l’agression nazie contre l’Union soviétique, déclaration qui précisait que l’état ukrainien « indépendant » allait « coopérer étroitement avec la Grande Allemagne national-socialiste, sous la direction de son chef Adolf Hitler, qui est en train de fonder un ordre nouveau en Europe et dans le monde ». « Svoboda » se revendique de la continuité de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et de l’Armée insurrectionnelle d’Ukraine (UPA) de Bandera et Statsko, dont le rôle d’auxiliaires des nazis dans l’extermination des Juifs d’Ukraine n’est plus à prouver. Dans cette remarquable continuité, « Svoboda » a multiplié ces dernières années des déclarations et actes provocateurs antisémites, mais aussi contre la minorité hongroise d’Ukraine, et contre les Russes et la Russie (qualifiant de « mafia judéo-moscovite » l’entourage du président de la République d’Ukraine). »
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il y a 2 ans
Jusqu’à ce jour, la thèse officielle parle d’un massacre ordonné par le gouvernement pro-russe. Cette thèse apparaît rapidement très douteuse. Le premier à la contester est le ministre des Affaires étrangères estonien Urmas Paet. Après son retour d’un séjour à Kiev effectué seulement 5 jours après le massacre, Paet transmet à la commissaire des Affaires étrangères de l’UE Catherine Ashton les révélations d’une docteure ukrainienne qui a examiné les cadavres de la place Maïdan. La conversation téléphonique interceptée et diffusée par les médias est déconcertante.
« Ils ont tous commencé à tirer deux ou trois coups à chaque fois. Cela à duré de 15 à 20 minutes. Nous n’avions pas le choix. On nous a donné l’ordre de tirer tant sur la police que sur les manifestants sans faire de différence. »
« J’étais totalement stupéfait. » C’est ainsi que le Géorgien Alexander Revazishvilli se remémore la fusillade tragique du 24 février 2014, à Kiev quant un groupe de mystérieux tireurs ouvrirent le feu sur la foule et sur les policiers, massacrant plus de 80 personnes. Ce massacre a horrifié le monde et changé le destin de l’Ukraine en forçant la fuite du président pro-russe Viktor Ianoukovytch accusé d’avoir organisé la fusillade. Mais ce massacre a également changé le destin de l’Europe et de notre pays en déclenchant la crise menant aux sanctions contre la Russie de Poutine. Sanctions qui sont revenues en boomerang sur l’économie italienne.
Les confessions de Revazishvilli et des deux autres Géorgiens – recueillies par l’auteur du document « Ukraine, les vérités cachées » diffusée ce soir à 23h30 sur Matrix, Canal 5 – révèlent une toute autre vérité bien déconcertante. Celle d’un massacre ourdi et exécutée par la même opposition qui a accusé Ianoukovytch et ses alliés russes.
« Ils ont tous commencé à tirer deux ou trois coups à chaque fois. Cela à duré de 15 à 20 minutes. Nous n’avions pas le choix. On nous a donné l’ordre de tirer tant sur la police que sur les manifestants sans faire de différence. »
« J’étais totalement stupéfait. » C’est ainsi que le Géorgien Alexander Revazishvilli se remémore la fusillade tragique du 24 février 2014, à Kiev quant un groupe de mystérieux tireurs ouvrirent le feu sur la foule et sur les policiers, massacrant plus de 80 personnes. Ce massacre a horrifié le monde et changé le destin de l’Ukraine en forçant la fuite du président pro-russe Viktor Ianoukovytch accusé d’avoir organisé la fusillade. Mais ce massacre a également changé le destin de l’Europe et de notre pays en déclenchant la crise menant aux sanctions contre la Russie de Poutine. Sanctions qui sont revenues en boomerang sur l’économie italienne.
Les confessions de Revazishvilli et des deux autres Géorgiens – recueillies par l’auteur du document « Ukraine, les vérités cachées » diffusée ce soir à 23h30 sur Matrix, Canal 5 – révèlent une toute autre vérité bien déconcertante. Celle d’un massacre ourdi et exécutée par la même opposition qui a accusé Ianoukovytch et ses alliés russes.
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il y a 2 ans
Revazishvilli et ses deux compagnons – rencontrés et interviewés dans le documentaire – sont un ancien membre des services de sécurité de l’ex-président géorgien Mikheil Saakachvili et deux ex-militants de son propre parti. Recrutés à Tbilisi par Mamuka Mamulashvili, le conseiller militaire de Saakashvili, ils sont chargés d’appuyer – avec d’autres volontaires géorgiens et lituaniens – les démonstrations en cours à Kiev, moyennant une prime de cinq mille dollars chacun.
Munis de faux passeports, ils arrivent en Ukraine pour coordonner les démonstrations et pour provoquer la police ukrainienne, initialement sans utiliser d’armes. Celles-ci entreront en scène le 18 février et seront distribuées entre les différents groupes de Géorgiens et de Lituaniens par Mamulashvili et par d’autres dirigeants de l’opposition ukrainienne. « Chaque sac contenait trois ou quatre armes, il y avait des pistolets Makarov, des fusils mitrailleurs AKM, des carabines ainsi que des paquets de cartouches ». Le lendemain Mamulashvili et les chefs des protestataires expliquent aux volontaires qu’ils devront affronter un assaut de la police dans le palais du conservatoire et dans l’hôtel Ukraïna.
Source :
https://www.ilgiornale.it[...]-kiev-ordini-1463409.html
Munis de faux passeports, ils arrivent en Ukraine pour coordonner les démonstrations et pour provoquer la police ukrainienne, initialement sans utiliser d’armes. Celles-ci entreront en scène le 18 février et seront distribuées entre les différents groupes de Géorgiens et de Lituaniens par Mamulashvili et par d’autres dirigeants de l’opposition ukrainienne. « Chaque sac contenait trois ou quatre armes, il y avait des pistolets Makarov, des fusils mitrailleurs AKM, des carabines ainsi que des paquets de cartouches ». Le lendemain Mamulashvili et les chefs des protestataires expliquent aux volontaires qu’ils devront affronter un assaut de la police dans le palais du conservatoire et dans l’hôtel Ukraïna.
Source :
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il y a 2 ans
Tutti hanno incominciato a sparare due o tre colpi alla volta. È andata avanti per quindici, venti minuti. Non avevamo scelta. Ci era stato ordinato di sparare sia sulla polizia, sia sui dimostranti, senza far differenza. Ero totalmente esterrefatto». Così il georgiano Alexander Revazishvilli ricorda la tragica sparatoria del 20 febbraio 2014 a Kiev quando un gruppo di misteriosi cecchini aprì il fuoco su folla e poliziotti massacrando oltre 80 persone. Quella strage fece inorridire il mondo e cambiò i destini dell'Ucraina costringendo alla fuga il presidente filorusso Viktor Yanukovich accusato d'aver organizzato la sparatoria. Ma la strage cambiò anche i destini dell'Europa e del nostro paese innescando la crisi che porterà alle sanzioni contro la Russia di Putin. Sanzioni rivelatesi un boomerang per l'economia italiana (Guarda il video).
Le confessioni di Revazishvilli e di altri due georgiani - raccolte da chi scrive nel documentario «Ucraina, le verità nascoste» in onda stasera alle 23.30 su Matrix, Canale 5 - svelano una verità diversa e sconcertante. La verità di una strage ordita e attuata dalla stessa opposizione che accusò Yanukovich e i suoi alleati russi. Revazishvilli e i suoi due compagni - incontrati e intervistati nel documentario - sono un ex membro dei servizi di sicurezza dell'ex presidente georgiano Mikhail Saakashvili e due ex militanti del suo stesso partito. Ingaggiati a Tbilisi da Mamuka Mamulashvili consigliere militare di Saakashvili vengono incaricati di appoggiare - assieme ad altri volontari georgiani e lituani - le dimostrazioni in corso a Kiev in cambio di un compenso finale di 5mila dollari a testa. Muniti di passaporti falsi arrivano in Ucraina per coordinare le dimostrazioni e provocare la polizia ucraina, inizialmente senza far uso di armi. Le armi entrano in scena il 18 febbraio e vengono distribuite ai vari gruppi di georgiani e lituani da Mamulashvili e da altri leader dell'opposizione ucraina. «In ogni borsa c'erano tre o quattro armi, c'erano pistole Makarov, mitragliatori Akm, carabine E poi c'erano pacchi di cartucce». L'indomani Mamulashvili e i capi della protesta spiegano ai volontari che dovranno fronteggiare un assalto della polizia al palazzo del Conservatorio e all'hotel Ucraina. In quel caso - viene spiegato - bisognerà sparare sulla piazza e seminare il caos. Ma uno dei protagonisti confessa di aver ricevuto un'altra spiegazione, molto più esauriente. «Quando è arrivato Mamulashvili l'ho chiesto anche a lui. Le cose si stanno facendo complicate, dobbiamo incominciare a sparare - mi ha risposto non possiamo andare alle elezioni presidenziali anticipate. Ma a chi dobbiamo sparare?, gli ho chiesto. Lui mi ha risposto che il chi e il dove non importava, bisognava sparare da qualche parte tanto per seminare caos».
«Non importava se sparavamo ad un albero, a una barricata o a chi tirava le molotov. conferma un altro volontario - quel che contava era seminare confusione. Sentivi delle urla confessa Alexander - c'erano morti e feriti. Il mio primo e unico pensiero è stato andarmene in fretta prima che s'accorgessero di me. Altrimenti mi avrebbero fatto a pezzi. Qualcuno stava già gridando che c'erano dei cecchini A quattro anni di distanza Alexander e i suoi due compagni raccontano di non aver ancora ricevuto la minima ricompensa e d'aver deciso anche per questo di raccontare la verità su chi li ha usati e abbandonati. «In quel momento non ho realizzato, non ero pronto, poi ho capito. Siamo stati usati. Usati e incastrati».
Le confessioni di Revazishvilli e di altri due georgiani - raccolte da chi scrive nel documentario «Ucraina, le verità nascoste» in onda stasera alle 23.30 su Matrix, Canale 5 - svelano una verità diversa e sconcertante. La verità di una strage ordita e attuata dalla stessa opposizione che accusò Yanukovich e i suoi alleati russi. Revazishvilli e i suoi due compagni - incontrati e intervistati nel documentario - sono un ex membro dei servizi di sicurezza dell'ex presidente georgiano Mikhail Saakashvili e due ex militanti del suo stesso partito. Ingaggiati a Tbilisi da Mamuka Mamulashvili consigliere militare di Saakashvili vengono incaricati di appoggiare - assieme ad altri volontari georgiani e lituani - le dimostrazioni in corso a Kiev in cambio di un compenso finale di 5mila dollari a testa. Muniti di passaporti falsi arrivano in Ucraina per coordinare le dimostrazioni e provocare la polizia ucraina, inizialmente senza far uso di armi. Le armi entrano in scena il 18 febbraio e vengono distribuite ai vari gruppi di georgiani e lituani da Mamulashvili e da altri leader dell'opposizione ucraina. «In ogni borsa c'erano tre o quattro armi, c'erano pistole Makarov, mitragliatori Akm, carabine E poi c'erano pacchi di cartucce». L'indomani Mamulashvili e i capi della protesta spiegano ai volontari che dovranno fronteggiare un assalto della polizia al palazzo del Conservatorio e all'hotel Ucraina. In quel caso - viene spiegato - bisognerà sparare sulla piazza e seminare il caos. Ma uno dei protagonisti confessa di aver ricevuto un'altra spiegazione, molto più esauriente. «Quando è arrivato Mamulashvili l'ho chiesto anche a lui. Le cose si stanno facendo complicate, dobbiamo incominciare a sparare - mi ha risposto non possiamo andare alle elezioni presidenziali anticipate. Ma a chi dobbiamo sparare?, gli ho chiesto. Lui mi ha risposto che il chi e il dove non importava, bisognava sparare da qualche parte tanto per seminare caos».
«Non importava se sparavamo ad un albero, a una barricata o a chi tirava le molotov. conferma un altro volontario - quel che contava era seminare confusione. Sentivi delle urla confessa Alexander - c'erano morti e feriti. Il mio primo e unico pensiero è stato andarmene in fretta prima che s'accorgessero di me. Altrimenti mi avrebbero fatto a pezzi. Qualcuno stava già gridando che c'erano dei cecchini A quattro anni di distanza Alexander e i suoi due compagni raccontano di non aver ancora ricevuto la minima ricompensa e d'aver deciso anche per questo di raccontare la verità su chi li ha usati e abbandonati. «In quel momento non ho realizzato, non ero pronto, poi ho capito. Siamo stati usati. Usati e incastrati».
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il y a 2 ans
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
On leur explique que, dans ce cas, il faudra tirer sur la place et semer le chaos. Mais un des protagonistes reconnait avoir reçu une autre explication plus exhaustive. « Quand Mamulashvili est arrivé, je le lui ai également demandé. Si les choses se compliquent, alors nous devrons commencer à tirer » – m’a-t-il répondu. « Nous ne pouvons pas aller aux élections présidentielles anticipées. Mais sur qui devons-nous tirer ?, lui ai-je demandé. Il m’a répondu que le qui et le où n’avaient pas d’importance, il fallait tirer partout afin de créer le chaos ».
Cela n’avait pas d’importance si nous tirions sur un arbre, une barricade ou sur ceux qui lançaient des cocktails molotov. Un autre volontaire le confirme : ce qui comptait était de semer la confusion. « J’entendais des hurlements », confesse Alexander – il y avait de nombreux blessés. Ma seule préoccupation était de partir aussi vite que possible avant qu’ils ne me détectent. Autrement, ils m’auraient mis en pièces. Quelqu’un criait déjà qu’il y avait des tireurs d’élite. Quatre ans après les faits, Alexander et ses deux compagnons disent n’avoir pas encore reçu la moindre récompense, raison pour laquelle ils ont décidés de dire la vérité sur ceux qui les ont utilisés et abandonnés. « Sur le moment je n’ai pas réalisé. Je n’étais pas prêt. Puis j’ai compris. Nous avons été utilisés et piégés. »
https://www.les-crises.fr[...]-de-la-crise-ukrainienne/
Cela n’avait pas d’importance si nous tirions sur un arbre, une barricade ou sur ceux qui lançaient des cocktails molotov. Un autre volontaire le confirme : ce qui comptait était de semer la confusion. « J’entendais des hurlements », confesse Alexander – il y avait de nombreux blessés. Ma seule préoccupation était de partir aussi vite que possible avant qu’ils ne me détectent. Autrement, ils m’auraient mis en pièces. Quelqu’un criait déjà qu’il y avait des tireurs d’élite. Quatre ans après les faits, Alexander et ses deux compagnons disent n’avoir pas encore reçu la moindre récompense, raison pour laquelle ils ont décidés de dire la vérité sur ceux qui les ont utilisés et abandonnés. « Sur le moment je n’ai pas réalisé. Je n’étais pas prêt. Puis j’ai compris. Nous avons été utilisés et piégés. »
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il y a 2 ans
L’Est de l’Ukraine, industriel, russophone, ayant très longtemps appartenu à la Russie. On compte 30% de russophones en Ukraine ;
Le Centre, ukrainophone, qui a très longtemps appartenu à la Russie ;
L’Ouest, avec la Galicie, ukrainophone, mais ayant appartenu à l’Autriche-Hongrie jusqu’en 1920, puis à la Pologne entre 1920 et 1940 ;
La Crimée, qui n’était pas une région comme les autres, mais une « République autonome », rattachée par le bon plaisir de Khrouchtchev en 1954. Elle comprenait une vaste majorité de Russes, et la base militaire russe de Sébastopol.
En 1997, le PIB par habitant est tombé à 50% de celui de 1991, et il n’est remonté qu’à 80% de ce niveau… Du coup, le revenu par Ukrainien est toujours huit à dix fois inférieur à celui d’un Français, quatre fois inférieur à celui d’un Russe et de 40 % inférieur à un habitant de Namibie ou d’Irak… Avec un salaire minimal mensuel de cent euros, le salaire d’un Ukrainien est 30% inférieur à celui d’un Chinois
L'Ukraine avait choisi la voie de l'intégration de la CEI mais les oligarches ukrainiens ont fait pression sur Ianoukovitch pour qu'il penche vers un accord de libre échange avec l'UE.
Notamment un certain Porochenko, un oligarche devenu ministre du commerce et qui a monté un projet d'accord d'association avec l'UE. Cela aboutirait normalement à une baisse de 99% des droits de douane. A la fin de l'année 2013, le président ukrainien demande une aide de 20 milliards d'euros par an mais seuls 600 millions d'euros ont été finalement accordés. Et François Hollande refuse, déclarant : Nous ne pouvons pas payer l’Ukraine pour qu’elle rejoigne l’accord d’association. Non, nous ne paierons pas
https://www.telegraph.co.[...]an-veto-says-Barroso.html
Le Centre, ukrainophone, qui a très longtemps appartenu à la Russie ;
L’Ouest, avec la Galicie, ukrainophone, mais ayant appartenu à l’Autriche-Hongrie jusqu’en 1920, puis à la Pologne entre 1920 et 1940 ;
La Crimée, qui n’était pas une région comme les autres, mais une « République autonome », rattachée par le bon plaisir de Khrouchtchev en 1954. Elle comprenait une vaste majorité de Russes, et la base militaire russe de Sébastopol.
En 1997, le PIB par habitant est tombé à 50% de celui de 1991, et il n’est remonté qu’à 80% de ce niveau… Du coup, le revenu par Ukrainien est toujours huit à dix fois inférieur à celui d’un Français, quatre fois inférieur à celui d’un Russe et de 40 % inférieur à un habitant de Namibie ou d’Irak… Avec un salaire minimal mensuel de cent euros, le salaire d’un Ukrainien est 30% inférieur à celui d’un Chinois
L'Ukraine avait choisi la voie de l'intégration de la CEI mais les oligarches ukrainiens ont fait pression sur Ianoukovitch pour qu'il penche vers un accord de libre échange avec l'UE.
Notamment un certain Porochenko, un oligarche devenu ministre du commerce et qui a monté un projet d'accord d'association avec l'UE. Cela aboutirait normalement à une baisse de 99% des droits de douane. A la fin de l'année 2013, le président ukrainien demande une aide de 20 milliards d'euros par an mais seuls 600 millions d'euros ont été finalement accordés. Et François Hollande refuse, déclarant : Nous ne pouvons pas payer l’Ukraine pour qu’elle rejoigne l’accord d’association. Non, nous ne paierons pas
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans