Ce sujet a été résolu
Ton problème c'est que tu ne fais pas fonctionner la réflexivité de ton intelligence. Ton intelligence peut se saisir elle-même et se prendre comme objet de méditation (et ça on le connaît de façon évidente par le questionnement interne). Ton intelligence peut donc saisir les conditions non conditionnées qui sont nécessaires à son fonctionnement. Parmi ces conditions tu trouves nécessairement l'intuition de l'Être (puisque penser c'est penser l'Être), l'intuition de la vérité (puisque penser c'est affirmer ou interroger la véracité d'un discours), l'intuition du Sens (puisque penser c'est penser le sens de quelque chose).
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
J'ai rien compris

il y a 2 ans
J'ai rien compris

En gros Ton problème c'est que tu ne fais pas fonctionner la réflexivité de ton intelligence. Ton intelligence peut se saisir elle-même et se prendre comme objet de méditation (et ça on le connaît de façon évidente par le questionnement interne). Ton intelligence peut donc saisir les conditions non conditionnées qui sont nécessaires à son fonctionnement. Parmi ces conditions tu trouves nécessairement l'intuition de l'Être (puisque penser c'est penser l'Être), l'intuition de la vérité (puisque penser c'est affirmer ou interroger la véracité d'un discours), l'intuition du Sens (puisque penser c'est penser le sens de quelque chose).
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 ans
je rigole je post pour toi 

Quand j'ai dit que je voulais devenir humoriste, tout le monde a rit. Maintenant que je le suis, plus personne ne rit.🃏
il y a 2 ans
En gros Ton problème c'est que tu ne fais pas fonctionner la réflexivité de ton intelligence. Ton intelligence peut se saisir elle-même et se prendre comme objet de méditation (et ça on le connaît de façon évidente par le questionnement interne). Ton intelligence peut donc saisir les conditions non conditionnées qui sont nécessaires à son fonctionnement. Parmi ces conditions tu trouves nécessairement l'intuition de l'Être (puisque penser c'est penser l'Être), l'intuition de la vérité (puisque penser c'est affirmer ou interroger la véracité d'un discours), l'intuition du Sens (puisque penser c'est penser le sens de quelque chose).
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
Ainsi sans interroger le monde, mais seulement en méditant sur toi-même tu peux connaître avec certitude l'existence d'Être, de vrai et de sens, et la capacité de l'intelligence à y accéder. Si tu refuses cela alors tu refuses la capacité de ton intelligence à connaître sa propre sémanticité, et alors on ne peut plus rien intelliger de soi ni du monde et notre esprit est un néant.
Ah ok, je savais pas merci

il y a 2 ans
Ah ok, je savais pas merci

C'est normal on est là pour s'aider
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 ans
non
Ok pas grave c'était pas pour moi de façon hein . . . . . . . . . . . . . . .
il y a 2 ans
J'ai rien compris

Quand tu penses, tu penses la véracité de quelque chose (sinon de chacune de tes phrases tu ne pourrais pas dire qu'elle vaille quoi que ce soit puisqu'elle n'aurait pas la prétention d'être vraie). Donc au fond de ta pensée il y a un contact entre ton esprit et un principe du vrai qu'on appelle vérité. Ton esprit connaît donc intimement et fondamentalement la vérité, et la connaissance de cette connaissance peut s'obtenir uniquement par la méditation introspective
il y a 2 ans
sinon ça va ? 

Quand j'ai dit que je voulais devenir humoriste, tout le monde a rit. Maintenant que je le suis, plus personne ne rit.🃏
il y a 2 ans
J'aime bien la dialectique, c'est par elle qu'on affine la compréhension qu'on a des essences intelligibles
il y a 2 ans
Quand tu penses, tu penses la véracité de quelque chose (sinon de chacune de tes phrases tu ne pourrais pas dire qu'elle vaille quoi que ce soit puisqu'elle n'aurait pas la prétention d'être vraie). Donc au fond de ta pensée il y a un contact entre ton esprit et un principe du vrai qu'on appelle vérité. Ton esprit connaît donc intimement et fondamentalement la vérité, et la connaissance de cette connaissance peut s'obtenir uniquement par la méditation introspective
Moui, par vraiment convaincu en dehors du fait qu'on a bel et bien envie d'être le plus vrai possible quand on parle et qu'on pense. Notamment pas qu'on puisse définir aussi clairement que tu sembles le faire l'esprit et la vérité, ou y accoler sans précaution les notions de contact et de connaissance
il y a 2 ans